plaisir et jouissance
En attendant le retour de Revebebe un premier essai de Tonz Harlow . A vous de juger...
Juliette est une jeune femme de 28 printemps. Ses formes généreuses en font l'être le plus désirable qu'il m'ait été donné de rencontrer. La seule occupation qui peut la distraire de la peinture, c'est le sexe. Elle est en la matière d'une gourmandise inqualifiable. J'ai passé déjà quelques heures à l'écouter me narrer ses multiples et variées expériences sexuelles. A croire que cette fille a été créée pour ça... J'ai depuis participer à ces joutes plus d'une fois. Permettez-moi de vous dire qu'en matière de sensations fortes, elle est incontestablement la reine absolue... Je vais juste, pour vous mettre l'eau à la bouche, vous raconter une de ces péripéties qui vous fait ensuite voir la vie autrement. Je ne vous cache pas qu'en ce moment même, juste en y repensant, mon sexe s'est dressé comme il l'était ce fameux soir de juillet 2002...
Nous avions passé la soirée avec des amis, dîner, ciné, dernier verre... Au moment où nous les quittions pour rentrer nous coucher Juliette me fait une proposition que je ne pouvais pas refuser : "Si on allait à la Combe des Grands Buissons ?..." Cet endroit est renommé dans notre région. C'est là que les voyeurs et les exhibs se retrouvent pour s'offrir un moment de plaisir intense... C'était la première fois qu'elle me demandait d'aller là. Elle y avait soi-disant pensé toute la soirée. Un rêve érotique l'avait emmenée à la Combe la nuit dernière. Ce qu'elle y avait vécu, elle voulait le vivre, tout simplement... Elle ne disait rien. Je conduisait et elle était là, perdue dans ses pensées. Seuls ses tétons saillants sous son t-shirt trahissait son excitation. La lueur qui allumait son regard ne pouvait me laisser indifférent. J'y découvris une envie folle de sexe. Elle voulait prendre du plaisir ce soir et elle allait en prendre...
Arrivés à la Combe elle me dit d'arrêter la voiture. J'éteignis aussitôt les phares. Nous nous sommes retrouvés un instant dans le noir jusqu'à ce que notre oeil s'habitue à l'obscurité. Le clair de lune éclaira soudain cet endroit féérique. Juliette me demanda tout à coup d'allumer le plafonnier. La lumière jaune emplit l'habitacle, nous offrant ainsi aux regards indiscrets. Je me laisser totalement diriger par elle. J'attendais patiemment qu'elle me dicte la conduite à suivre... Elle ne dit rien. Elle ôta son pantalon puis sa culotte. Ecartant les jambes elle commença à se caresser, doucement, prenant soin d'écarter ses lèvres pour libérer son clitoris. Elle était déjà très mouillé. Moi même je n'en menais pas large. Une terrible érection tendait mon pantalon. Je la regardais se donner du plaisir, la tête posée sur mon épaule. Je sentais la moindre vibrations de son corps en proie aux caresses expertes... Soudain je m'aperçus que des ombres avaient rejoints notre véhicule. Des hommes, ils devaient être sept ou huit, se pressaient derrière les vitres ou le pare-brise. Ils observaient Juliette qui s'offrait, haletante, aux visiteurs. Très vite les bites étaient sortis de leurs carcans. Des mains s'agitaient sur ses sexes tendus qui venaient cogner aux carreaux comme pour dire ouvrez nous... Rapidement un jet de sperme s'écrasa sur la vitre de Juliette qui intensifia ses caresses. Elle respirait et gémissait plus fort. Sa main se posa sur le bouton de commande des vitres électriques. Du regard elle chercha mon approbation. J'étais tellement excité que j'aurais accepté n'importe quoi. Elle le comprit et entrouvrit de quelques centimètres. Aussitôt une bite pénétra par l'interstice. Le gland brillait sous la lumière du plafonnier. Elle se releva et l'avala d'un coup. Il ne fallut pas longtemps pour que la bite se tende de plus belle pour lâcher un jet brûlant dans la bouche entrouverte d'où se mit à couler le liquide blanchâtre. Pendant ce temps mon sexe s'était retrouvé dans ma main. Je me branlais sans perdre une seconde de ce spectacle ahurissant. Deux sexes s'engouffrèrent ensuite. Juliette les branla les deux vivement. Je ne saurais dire combien de temps dura cette scène mais à la fin Juliette se retrouva maculée de sperme. Il ne lui restait plus qu'à m'offrir une pipe magistrale et à venir s'empaler sur moi. Les hommes dehors, admirant le spectacle, se remirent à se branler. Quand je jouis, Juliette hurla de plaisir et quelques éjaculations vinrent s'écraser sur le pare-brise.
Nous avons repris la route dans l'autre sens, sans dire un mot. Juliette posa sa tête sur mon épaule. Elle était comblée, moi aussi.
Vivement un autre rêve.