plaisir et jouissance
Julia est remontée rapidement dans l’appartement pour préparer la suite des festivités.
De son coté Joana n’est pas restée inactive et de la main droite elle s’empare des couilles d’Harry qu’elle serre doucement tout en tirant dessus pour le forcer à avancer. Harry gémit un peu car il appréhende cette prise et il sait que d’une simple pression Joana peut le faire hurler de douleur. C’est très sensible ces petites choses. Alors il ne résiste pas et avance à petits pas en suivant Joana.
De son autre main Joana a pénétré fermement le vagin de Marie-Claude en glissant sa main entre les fesses de la jeune fille qui a un sursaut de défense vite réprimé d’ailleurs car la main de Joana est autoritaire.
Cet attelage à trois remonte doucement les escaliers sous la conduite ....manuelle de Joana. Ses doigts exercent des pressions plus ou moins forte sur le sexe d’Harry qui reprend vaguement des formes mais c’est un peu tôt pour qu’il redevienne un instrument conquérant. Le vagin de Marie-Claude par contre se mouille abondamment sous les caresses de Joana qui lui branle également le clitoris tout en marchant. Marie-Claude commence à sentir des chaleurs qui remontent au creux de ses reins et se contorsionne pour profiter au mieux des caresses.
-Du calme ma belle, ne cherche pas à jouir comme cela, tu sais que je peux te maîtriser et te maintenir au bords de l’orgasme très longtemps. Alors laisse moi faire.
-Oui Joana, mais tes mains sont tellement douce, oh mon Dieu, j’ai tellement envie de jouir, je ferais ce que tu veux mais fait moi jouir, je t’en prie vite, ne...m...me ...laisse pas comme cela. Ahh ‘c’est fou, tu me rend folle, je t’en supplie je veux jouir Ahhhh, encore oui ...Non,.. pourquoi tu retire tes doigts non continu par pitié, par amour.
-Imbécile, tu oublies vite qui est ta maîtresse, tu ne crois pas ?
Marie-Claude serre ses cuisses l’une contre l’autre pour forcer l’orgasme et Joana la regarde se tortiller mais elle sait aussi qu’il faut arrêter Marie-Claude maintenant car sinon sa punition ne sera pas complète. Alors d’une main ferme elle attrape le téton gauche de Marie-Claude et le tord sans ménagement. Marie-Claude a hurler de douleur
sous la torture infligée à son mamelon.
-Aie, tu m’as fait mal Joana, c’est horrible ce que tu viens de me faire, je suis...je suis toute chamboulée oh j’ai mal au clitoris, mon vagin a faim, c’est dégueulasse..
Mais Marie-Claude n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle se retrouve plaquée contre le mur et que Julia qui était revenu voir ce qui se passait lui demande de faire immédiatement des excuses à Joana.
-Oui maîtresse, je suis désolée mais j’avais tellement envie de jouir que je suis devenue folle. Je te demande pardon Joana pour t’avoir insulté.
-Bon ça ira pour cette fois mais à l’avenir contrôle toi sinon il t’en cuira.
Et tirant sur la queue d’Harry elle le fait avancer plus vite.
Tout le monde arrive dans la chambre du couple Taylor qui pour le moment est plutôt partagé d’une manière peu conventionnelle.
Joana garde Harry bien en mains et Julia prend Marie-Claude en charge.
Le lit conjugal est encadré par deux chaises et Marie-Claude est poussée vers celle de droite quant à Harry il est assis d’autorité sur celle de gauche. Leurs pieds sont tirés en arrière et attachés aux pieds arrières des chaises ce qui les mets dans une position jambes très écartées. Les mains sont attachés aux montants des chaises et au même instant sur un signal de Julia les bandeaux qu’ils avaient devant les yeux leurs sont enlevé.
La pièce n’étant éclairée que par une lumière douce, leurs yeux s’habituent très vite et parcourent le décor rapidement. Devant leurs regards ahuris, Julia et Joana rigolent tout en se tenant par la taille.
-Regardes les Joana, ne sont-ils pas mignons comme cela, prêts pour le spectacle comme à l’Opéra. On pourrait peut-être leur offrir à boire qu’en penses-tu ?
-Oui tu as raison, toute fête doit commencer par une coupe de champagne et puis c’est l’anniversaire de Harry après tout.
Rapidement Julia a servi quatre coupes de champagne. Elle en donne une à Joana et en prend une pour elle.
-Mais suis-je bête, comment vont-ils boire nos tourtereaux ?
-Eh bien le mieux c’est de leur donner à boire nous mêmes.
-Tu as raison Joana, tiens occupe toi de Marie-Claude je m’occupe de Harry.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Joana a pris tendrement la tête de Marie-Claude contre sa poitrine, la bascule en arrière et approche le verre de ses lèvres. Le liquide coule doucement dans la gorge de Marie-Claude qui l’avale au fur et à mesure. C’est bon, c’est frais et Marie-Claude sent monter en elle une douce langueur ce qui, après ce qu’elle vient de subir, est une vraie bénédiction.
Julia a fait pareil avec Harry qui sous l’effet du liquide frais a fermé les yeux et savoure l’instant présent.
-A nous maintenant, vient près de moi Julia adorée, je vais te faire boire à ma façon.
Julia s’approche de Joana et se colle à elle en tendant ses lèvres vers le verre qu’elle Joana tient à la main. Joana avale une gorgée de champagne et colle ses lèvres sur celle de Julia qui les entrouvre pour laisser couler le liquide ambré dans sa bouche. Leurs langues se mélangent dans de douces caresses qui n’en finissent plus. Le piquant du champagne excite leurs papilles et une nouvelle gorgée passe de la bouche de Joana à celle de Julia qui devient de plus en plus excitée. Ce petit jeux du biberon buccal continu plusieurs minutes jusqu’à de que les deux verres soient vides.
Les deux femmes se regardent dans les yeux et ces regards en disent longs sur l’envie qui brûle leur ventre et mouille leurs entre jambes.
-Viens Julia, allongeons nous sur ton lit nous serons plus confortable.
- Oui ma chérie, je te suis, embrasses moi encore, j’aime tes lèvres et ta langue est une merveille en satin. Oui comme cela, non ! ne me branles pas tout de suite, juste tes lèvres sur ma bouche, nous avons toute la nuit devant nous. Les deux autres doivent aussi profiter pleinement du spectacle tu ne crois pas ?
-Oui c’est vrai, donne moi tes lèvres elles sont chaudes et humides comme le vagin de Marie-Claude, tu verra quand tu la suceras elle est douce et chaude. Et crois moi elle aime ça. N’est ce pas Marie-Claude ?
-Oui Joana, j’aime me faire sucer, mais seule une femme peut me procurer un maximum de plaisir, j’aimerai que Jul.., pardon que maîtresse me suce. Je suis sûre d’adorer cela.
-Ne t’inquiètes pas Marie-Claude ton tour viendra, et à ce moment là tu devras être à la hauteur sinon tu sais ce qui t’attend, les chaises au garage n’étaient qu’une entrée en matière.
-Oui maîtresse je ferais de mon mieux et même plus que cela pour vous satisfaire.
-Parfait on verra cela, mais revenons à nos moutons ma chère.
Les deux femmes ont repris leur séance de bouche à bouche et la température monte sur le lit. Les corps de Joana et de Julia bien qu’encore habillées se frottent l’un à l’autre. Les mains se cherchent et commencent à s’égarer entre les cuisses de l’une ou de l’autre.
Julia déshabille Joana qui déshabille Julia, Un sein apparaît, puis deux, puis les chemisiers se déchirent sous l’effet des caresses.
-Oui, serres moi fort, petite salope, tu sais comment branler une femme toi au moins, ce n’est pas comme Harry, quand il faut que je lui explique ça à chaque fois. Oui je sens que ça monte, Ahhhh oui tu me tiens, tu es la plus forte Joana mais...., ahhh oui encore salope, encore, branle moi, plus vite, plus fort ne me laisse pas tomber, ouiii maintenant.. voilà...ahha...ahhh ouiiii c’est bon, c’est bon oui n’arrête pas encore , ahh aah j’en peu plus, oh que c’était fort.
Julia a du mal à reprendre son souffle et reste un moment allongée sur le lit sans rien dire. C’est la voix de Joana lui murmurant des mots doux dans le creux de l’oreille qui la fait sortir de son nuage.
-Regarde Julia, on dirait que Harry reprend des forces.
Et en effet, la queue de Harry reprend de la vigueur et atteint maintenant des proportions honorables en tout cas utilisables si nécessaire.
-Tu le veux, je te le prête. Quand il veut bien il est pas mal et il arrive même à me faire jouir de bonne façon.
Joana s’est placée derrière la chaise de Harry et commence à l’embrasser dans la nuque, sur le lobe de l’oreille, tout en lui murmurant des paroles obscènes qui ont pour effet d’exciter davantage Harry pour lequel la crainte et le plaisir se mêlent.
Quelques instants après Joana fait le tour de la chaise et achève de se déshabiller lentement devant Harry qui en profite au maximum. Puis elle enfourche les genoux de Harry et commence à frotter ses petites lèvres sur le sexe turgescent. Harry ferme les yeux de plaisir et commence à gémir sous les savantes caresses. Les poils du pubis de Joana titillent le sexe d’Harry et il apprécie fortement l’humidité bienveillante de la grotte parfumée.
-Oh oui Joana continu comme cela, j’aime cette sensation de gratouillement, oui encore je bande pour toi, j’ai envie de te pénétrer et de me perdre en toi. Oui encore comme cela.
Le corps d’Harry est parcouru de grands frissons et il se débat pour se détacher et fondre sur Joana dont les hanches ondulent autour du sexe tendu comme un arc.
Joana commence à enfoncer le sexe dans son vagin millimètre par millimètre, reculant chaque fois que Harry fait mine de s’enfoncer plus vite. C’est décidé, c’est elle qui conduit le jeu et Harry n’est là que pour son service, son plaisir et pas autre chose.
Le petit jeu continu durant de longues minutes au bout desquelles le sexe de Joana a complètement avalé celui d’Harry. Joana se contente d’onduler et de se caresser les parois vaginales qui ruissellent de plaisir. Elle sent monter dans ses reins une vague de frissons chauds annonciateur du plaisir. Aussi longtemps qu’elle le peut elle maintien ce rythme lent qui rend fou Harry mais ne lui apporte pas l’orgasme libérateur et c’est bien là le jeu. Jouir du sexe masculin sans lui procurer le plaisir suprême.
Joana est une artiste du sexe, et Harry commence à le comprendre. Jamais elle ne le fera jouir, alors il tente une manoeuvre mais ses liens l’empêche de faire ce dont il avait envie. Pénétrer ce vagin et le bourrer de coups de queue jusqu’à vider cette tension qui devient insupportable.
Mais Joana a vite contrer la manoeuvre et continu son petit jeu diabolique. Elle sent monter en elle l’orgasme irrépressible, libérateur et bientôt elle n’arrive plus à contrôler son propre corps. Prise à son propre jeux elle s’enfonce violemment le sexe dans le vagin et chevauche Harry sans aucun ménagement. Elle plonge ses doigts dans ses cheveux et, s’en servant comme autant de poignées, elle secoue la tête d’Harry tout en le baisant.
L’orgasme la surprend en pleine chevauchée, plein, géant, tout son corps vibre explose dans le plaisir, peu lui importe le plaisir de l’autre, seul le sien compte.
-Oh que c’était bon Julia, ton mec a un sexe fantastique, il est gros, il rempli bien un vagin de femme et quand on l’utile pour soi il est très efficace.
-Tu as raison, mais il ne faut surtout pas le laisser faire, c’est rarement bon. Viens près de moi mon amour, j’ai envie de sentir ta chaleur et ton odeur. Il n’a pas joui au moins, il faut le conserver en état pour la suite.
-Non non, je n’est rien senti de chaud qui giclait entre mes cuisses tout à l’heure. Il est toujours en état. D’ailleurs regarde la tête qu’il fait et tu auras compris.
Les deux femmes éclatent de rire et, se serrant l’une contre l’autre, s’endorment rapidement, laissant les Harry et Marie-Claude attachés sur leurs chaises et sans possibilité de satisfaire les envies qui fourmillent dans leurs cuisses et leurs sexes respectifs.
De son coté Joana n’est pas restée inactive et de la main droite elle s’empare des couilles d’Harry qu’elle serre doucement tout en tirant dessus pour le forcer à avancer. Harry gémit un peu car il appréhende cette prise et il sait que d’une simple pression Joana peut le faire hurler de douleur. C’est très sensible ces petites choses. Alors il ne résiste pas et avance à petits pas en suivant Joana.
De son autre main Joana a pénétré fermement le vagin de Marie-Claude en glissant sa main entre les fesses de la jeune fille qui a un sursaut de défense vite réprimé d’ailleurs car la main de Joana est autoritaire.
Cet attelage à trois remonte doucement les escaliers sous la conduite ....manuelle de Joana. Ses doigts exercent des pressions plus ou moins forte sur le sexe d’Harry qui reprend vaguement des formes mais c’est un peu tôt pour qu’il redevienne un instrument conquérant. Le vagin de Marie-Claude par contre se mouille abondamment sous les caresses de Joana qui lui branle également le clitoris tout en marchant. Marie-Claude commence à sentir des chaleurs qui remontent au creux de ses reins et se contorsionne pour profiter au mieux des caresses.
-Du calme ma belle, ne cherche pas à jouir comme cela, tu sais que je peux te maîtriser et te maintenir au bords de l’orgasme très longtemps. Alors laisse moi faire.
-Oui Joana, mais tes mains sont tellement douce, oh mon Dieu, j’ai tellement envie de jouir, je ferais ce que tu veux mais fait moi jouir, je t’en prie vite, ne...m...me ...laisse pas comme cela. Ahh ‘c’est fou, tu me rend folle, je t’en supplie je veux jouir Ahhhh, encore oui ...Non,.. pourquoi tu retire tes doigts non continu par pitié, par amour.
-Imbécile, tu oublies vite qui est ta maîtresse, tu ne crois pas ?
Marie-Claude serre ses cuisses l’une contre l’autre pour forcer l’orgasme et Joana la regarde se tortiller mais elle sait aussi qu’il faut arrêter Marie-Claude maintenant car sinon sa punition ne sera pas complète. Alors d’une main ferme elle attrape le téton gauche de Marie-Claude et le tord sans ménagement. Marie-Claude a hurler de douleur
sous la torture infligée à son mamelon.
-Aie, tu m’as fait mal Joana, c’est horrible ce que tu viens de me faire, je suis...je suis toute chamboulée oh j’ai mal au clitoris, mon vagin a faim, c’est dégueulasse..
Mais Marie-Claude n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle se retrouve plaquée contre le mur et que Julia qui était revenu voir ce qui se passait lui demande de faire immédiatement des excuses à Joana.
-Oui maîtresse, je suis désolée mais j’avais tellement envie de jouir que je suis devenue folle. Je te demande pardon Joana pour t’avoir insulté.
-Bon ça ira pour cette fois mais à l’avenir contrôle toi sinon il t’en cuira.
Et tirant sur la queue d’Harry elle le fait avancer plus vite.
Tout le monde arrive dans la chambre du couple Taylor qui pour le moment est plutôt partagé d’une manière peu conventionnelle.
Joana garde Harry bien en mains et Julia prend Marie-Claude en charge.
Le lit conjugal est encadré par deux chaises et Marie-Claude est poussée vers celle de droite quant à Harry il est assis d’autorité sur celle de gauche. Leurs pieds sont tirés en arrière et attachés aux pieds arrières des chaises ce qui les mets dans une position jambes très écartées. Les mains sont attachés aux montants des chaises et au même instant sur un signal de Julia les bandeaux qu’ils avaient devant les yeux leurs sont enlevé.
La pièce n’étant éclairée que par une lumière douce, leurs yeux s’habituent très vite et parcourent le décor rapidement. Devant leurs regards ahuris, Julia et Joana rigolent tout en se tenant par la taille.
-Regardes les Joana, ne sont-ils pas mignons comme cela, prêts pour le spectacle comme à l’Opéra. On pourrait peut-être leur offrir à boire qu’en penses-tu ?
-Oui tu as raison, toute fête doit commencer par une coupe de champagne et puis c’est l’anniversaire de Harry après tout.
Rapidement Julia a servi quatre coupes de champagne. Elle en donne une à Joana et en prend une pour elle.
-Mais suis-je bête, comment vont-ils boire nos tourtereaux ?
-Eh bien le mieux c’est de leur donner à boire nous mêmes.
-Tu as raison Joana, tiens occupe toi de Marie-Claude je m’occupe de Harry.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Joana a pris tendrement la tête de Marie-Claude contre sa poitrine, la bascule en arrière et approche le verre de ses lèvres. Le liquide coule doucement dans la gorge de Marie-Claude qui l’avale au fur et à mesure. C’est bon, c’est frais et Marie-Claude sent monter en elle une douce langueur ce qui, après ce qu’elle vient de subir, est une vraie bénédiction.
Julia a fait pareil avec Harry qui sous l’effet du liquide frais a fermé les yeux et savoure l’instant présent.
-A nous maintenant, vient près de moi Julia adorée, je vais te faire boire à ma façon.
Julia s’approche de Joana et se colle à elle en tendant ses lèvres vers le verre qu’elle Joana tient à la main. Joana avale une gorgée de champagne et colle ses lèvres sur celle de Julia qui les entrouvre pour laisser couler le liquide ambré dans sa bouche. Leurs langues se mélangent dans de douces caresses qui n’en finissent plus. Le piquant du champagne excite leurs papilles et une nouvelle gorgée passe de la bouche de Joana à celle de Julia qui devient de plus en plus excitée. Ce petit jeux du biberon buccal continu plusieurs minutes jusqu’à de que les deux verres soient vides.
Les deux femmes se regardent dans les yeux et ces regards en disent longs sur l’envie qui brûle leur ventre et mouille leurs entre jambes.
-Viens Julia, allongeons nous sur ton lit nous serons plus confortable.
- Oui ma chérie, je te suis, embrasses moi encore, j’aime tes lèvres et ta langue est une merveille en satin. Oui comme cela, non ! ne me branles pas tout de suite, juste tes lèvres sur ma bouche, nous avons toute la nuit devant nous. Les deux autres doivent aussi profiter pleinement du spectacle tu ne crois pas ?
-Oui c’est vrai, donne moi tes lèvres elles sont chaudes et humides comme le vagin de Marie-Claude, tu verra quand tu la suceras elle est douce et chaude. Et crois moi elle aime ça. N’est ce pas Marie-Claude ?
-Oui Joana, j’aime me faire sucer, mais seule une femme peut me procurer un maximum de plaisir, j’aimerai que Jul.., pardon que maîtresse me suce. Je suis sûre d’adorer cela.
-Ne t’inquiètes pas Marie-Claude ton tour viendra, et à ce moment là tu devras être à la hauteur sinon tu sais ce qui t’attend, les chaises au garage n’étaient qu’une entrée en matière.
-Oui maîtresse je ferais de mon mieux et même plus que cela pour vous satisfaire.
-Parfait on verra cela, mais revenons à nos moutons ma chère.
Les deux femmes ont repris leur séance de bouche à bouche et la température monte sur le lit. Les corps de Joana et de Julia bien qu’encore habillées se frottent l’un à l’autre. Les mains se cherchent et commencent à s’égarer entre les cuisses de l’une ou de l’autre.
Julia déshabille Joana qui déshabille Julia, Un sein apparaît, puis deux, puis les chemisiers se déchirent sous l’effet des caresses.
-Oui, serres moi fort, petite salope, tu sais comment branler une femme toi au moins, ce n’est pas comme Harry, quand il faut que je lui explique ça à chaque fois. Oui je sens que ça monte, Ahhhh oui tu me tiens, tu es la plus forte Joana mais...., ahhh oui encore salope, encore, branle moi, plus vite, plus fort ne me laisse pas tomber, ouiii maintenant.. voilà...ahha...ahhh ouiiii c’est bon, c’est bon oui n’arrête pas encore , ahh aah j’en peu plus, oh que c’était fort.
Julia a du mal à reprendre son souffle et reste un moment allongée sur le lit sans rien dire. C’est la voix de Joana lui murmurant des mots doux dans le creux de l’oreille qui la fait sortir de son nuage.
-Regarde Julia, on dirait que Harry reprend des forces.
Et en effet, la queue de Harry reprend de la vigueur et atteint maintenant des proportions honorables en tout cas utilisables si nécessaire.
-Tu le veux, je te le prête. Quand il veut bien il est pas mal et il arrive même à me faire jouir de bonne façon.
Joana s’est placée derrière la chaise de Harry et commence à l’embrasser dans la nuque, sur le lobe de l’oreille, tout en lui murmurant des paroles obscènes qui ont pour effet d’exciter davantage Harry pour lequel la crainte et le plaisir se mêlent.
Quelques instants après Joana fait le tour de la chaise et achève de se déshabiller lentement devant Harry qui en profite au maximum. Puis elle enfourche les genoux de Harry et commence à frotter ses petites lèvres sur le sexe turgescent. Harry ferme les yeux de plaisir et commence à gémir sous les savantes caresses. Les poils du pubis de Joana titillent le sexe d’Harry et il apprécie fortement l’humidité bienveillante de la grotte parfumée.
-Oh oui Joana continu comme cela, j’aime cette sensation de gratouillement, oui encore je bande pour toi, j’ai envie de te pénétrer et de me perdre en toi. Oui encore comme cela.
Le corps d’Harry est parcouru de grands frissons et il se débat pour se détacher et fondre sur Joana dont les hanches ondulent autour du sexe tendu comme un arc.
Joana commence à enfoncer le sexe dans son vagin millimètre par millimètre, reculant chaque fois que Harry fait mine de s’enfoncer plus vite. C’est décidé, c’est elle qui conduit le jeu et Harry n’est là que pour son service, son plaisir et pas autre chose.
Le petit jeu continu durant de longues minutes au bout desquelles le sexe de Joana a complètement avalé celui d’Harry. Joana se contente d’onduler et de se caresser les parois vaginales qui ruissellent de plaisir. Elle sent monter dans ses reins une vague de frissons chauds annonciateur du plaisir. Aussi longtemps qu’elle le peut elle maintien ce rythme lent qui rend fou Harry mais ne lui apporte pas l’orgasme libérateur et c’est bien là le jeu. Jouir du sexe masculin sans lui procurer le plaisir suprême.
Joana est une artiste du sexe, et Harry commence à le comprendre. Jamais elle ne le fera jouir, alors il tente une manoeuvre mais ses liens l’empêche de faire ce dont il avait envie. Pénétrer ce vagin et le bourrer de coups de queue jusqu’à vider cette tension qui devient insupportable.
Mais Joana a vite contrer la manoeuvre et continu son petit jeu diabolique. Elle sent monter en elle l’orgasme irrépressible, libérateur et bientôt elle n’arrive plus à contrôler son propre corps. Prise à son propre jeux elle s’enfonce violemment le sexe dans le vagin et chevauche Harry sans aucun ménagement. Elle plonge ses doigts dans ses cheveux et, s’en servant comme autant de poignées, elle secoue la tête d’Harry tout en le baisant.
L’orgasme la surprend en pleine chevauchée, plein, géant, tout son corps vibre explose dans le plaisir, peu lui importe le plaisir de l’autre, seul le sien compte.
-Oh que c’était bon Julia, ton mec a un sexe fantastique, il est gros, il rempli bien un vagin de femme et quand on l’utile pour soi il est très efficace.
-Tu as raison, mais il ne faut surtout pas le laisser faire, c’est rarement bon. Viens près de moi mon amour, j’ai envie de sentir ta chaleur et ton odeur. Il n’a pas joui au moins, il faut le conserver en état pour la suite.
-Non non, je n’est rien senti de chaud qui giclait entre mes cuisses tout à l’heure. Il est toujours en état. D’ailleurs regarde la tête qu’il fait et tu auras compris.
Les deux femmes éclatent de rire et, se serrant l’une contre l’autre, s’endorment rapidement, laissant les Harry et Marie-Claude attachés sur leurs chaises et sans possibilité de satisfaire les envies qui fourmillent dans leurs cuisses et leurs sexes respectifs.
Sam 14 jun 2008
Aucun commentaire