plaisir et jouissance
Ami lecteur, toi qui t’aventures ici, sache que tu vas pénétrer en un monde de luxure et de fornication. Tu ne trouveras rien d’autre
ici, car c’est bien le but de ce texte : du sexe, du sexe, rien que du sexe. Que les âmes sensibles, puritaines ou facilement effarouchées se le tiennent pour dit, et s’en tiennent à l’écart.
Puissent les autres prendre autant de plaisir à le lire que j’en ai eu à l’écrire. Ami lecteur, enfin, sache que je n’ai pas voulu faire un « gonzo » car je n’y connais rien. Je suis par contre
convaincu qu’on peut le qualifier de « total sexe. » Alors, ami lecteur, cale-toi bien dans ton siège, car voici que s’ouvrent les portes de : La partouze
J’ai versé tout le champagne qui restait sur ses seins, une demi-bouteille au moins ! Bordel, qu’est-ce que j’en avais envie, elle les avait plantureux ! Elle, c’était la brune, aux cheveux longs et ondulés, je ne me souviens plus de son nom. Du Dom Pérignon, pas de la merde. Il coulait en faisant pssscchhht sur ses globes, puis descendait vers son ventre et son sexe. Je regardais le truc en souriant, béat. Je restais fasciné par le flot qui se divisait autour de ses mamelons. Le champagne froid et l’excitation les faisaient pointer, durs. À genoux, elle tendait son buste en avant, pour accueillir le précieux liquide. Je ne savais pas trop si elle rigolait ou si elle gloussait de plaisir.
La blonde s’est rappliquée en vitesse. Celle-là s’appelait Murielle, je m’en souviens parce que j’avais trouvé ça cruche comme prénom. Plus personne ne s’appelait Murielle aujourd’hui. Surtout pas à son âge, elle ne devait pas avoir plus de vingt ans. Elle avait des petits seins, moins de la moitié de l’autre mais un sourire à vous scier les pattes, et un cul ! une Vénus callipyge. Elle s’est allongée sur le dos et a glissé sa tête entre les jambes de la brunette en me faisant un clin d’œil.
* — Faut pas perdre tout ce bon champagne ! elle a dit, puis elle a collé les lèvres de sa bouche à celles plus intimes de sa copine.
Le champagne glissait sur le ventre de Brunette, dans sa toison, et finissait sur le visage de Murielle. Elle sortait la langue pour le lamper et filer de grandes lèches à la chatte de Brunette.
À cinquante centimètres de nous, Julien et un autre type que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam étaient assis à poil dans le divan. Ils se faisaient sucer par la troisième fille, celle qui disait s’appeler Jessica. Elle avait des formes plus généreuses, sans être grosse. Légèrement ronde, comme on dit aujourd’hui.
À genoux sur la moquette, entre eux deux, elle tenait une queue dans chaque main et les pompait à tour de rôle. Un moment, j’ai tendu le bras et j’ai glissé un doigt dans sa chatte. C’était chaud et humide, agréable. Elle s’est cabrée, un peu, en grognant doucement. Mais comme je voulais rester concentré pour ne pas gaspiller le champagne, j’ai retiré ma main rapidement.
Quand la bouteille a rendu l’âme – la dernière goutte venait de s’écraser sur le sein droit de Brunette – elle m’a attrapé par les cheveux et a collé ma bouche sur sa poitrine. Je ne me suis pas fait prier. J’ai glissé ma langue partout. Je passais par-dessus, par-dessous, je suçais ses pointes, les mordillais doucement. L’acidité du champagne donnait à sa peau un goût exquis. Un étage plus bas, Murielle continuait à lui bouffer la chatte. Brunette devait commencer à s’exciter grave, elle dégoulinait sur son menton. Je lui léchais les seins, la nuque, même les aisselles, toute langue dehors.
Brunette, qui avait attrapé la bouteille vide, a glissé le goulot dans la vulve de Jessica. Elle s’est mise à la tourner, la pousser, de plus en plus loin. Jessica cabrait son dos, reculait son arrière-train pour entrer la bouteille encore plus profond, en émettant des hmpf hmpf, une bite au fond de la gorge. Tout le goulot est entré.
La main de Murielle a atterri sur ma queue. Je l’aurais bénie. Je bandais tellement fort que ça en devenait douloureux. La douceur de sa paume m’apaisa un peu. Sa bouche toujours collée à Brunette – je ne pouvais pas voir les détails de l’affaire mais je me doutais qu’elle devait entrer sa langue au plus profond parce que je voyais presque disparaître son menton entre les grandes lèvres par moments – elle glissait sa main sur ma hampe avec douceur, puis de temps en temps me la lâchait pour caresser mes couilles ou glisser un doigt vers mon anus et le titiller. Pour qu’elle ne soit pas en reste, et aussi parce que ça m’excitait à fond, j’ai posé une main sur sa fente. Elle se rasait intégralement, j’ai bien aimé, ça rendait le contact plus doux, son pubis était lisse comme une joue de bébé. Et j’ai commencé à glisser mon majeur entre ses lèvres. Elle a écarté un peu plus les jambes. J’entrais déjà trois doigts, le pouce sur son clito, quand Jessica a lâché :
* — Baisez-moi, les gars, baisez-moi ! vite ! d’une voix plaintive qui ne laissait aucun doute quant à l’urgence de la demande.
À une vitesse folle, elle s’est retournée, plantant là Brunette avec la bouteille au bout du bras. Elle a sorti une poignée de préservatifs du gros bocal posé sur la table du salon, en a décacheté un avec les dents, qu’elle a ensuite déroulé sur la queue du gars que je ne connaissais pas. Puis elle lui a grimpé dessus et s’est empalée sur son sexe, en lui fourrant ses seins volumineux dans la figure. Brunette regardait toute la scène en léchant le goulot de la bouteille, on aurait dit qu’elle lui faisait une fellation.
Jessica a fait se lever Julien, dans le divan. De la sorte, elle a pu le reprendre dans sa bouche. Elle lui léchait le gland, la tige, les couilles, l’enfonçait dans sa gorge, tandis qu’elle montait et descendait sur le braquemart dressé de l’autre type, haletante.
Un moment, j’ai cru que Brunette allait jouir sous les coups de langue de Murielle, son visage se crispait. Elle a dû juger que c’était trop tôt parce qu’elle s’est reculée. Elle s’est penchée et a roulé un patin d’enfer à Murielle en lui caressant les seins. De la salive leur débordait des lèvres. Moi, je restais là à les regarder, la bite tendue, l’air un peu esseulé. Brunette a dû en prendre conscience parce qu’elle a dit :
* — Viens, on va le sucer.
Elles m’ont fait m’allonger sur le dos. Brunette s’est placée entre mes jambes et Murielle à califourchon sur mon visage. En même temps que je posais le bout de ma langue sur son clito, j’ai senti leurs deux langues s’enrouler autour de mon gland.
Dans le divan, Jessica s’est mise à gémir, han han, sa voix grimpant dans les aigus. Sans rien voir – dans ma position, la seule vue possible, c’était la rosette de Murielle – j’ai deviné au bruit que quelqu’un ouvrait un nouvel emballage de préservatif. Puis, juste après, Jessica, le souffle court, a sorti :
* — Dans le cul, mets-la moi dans le cul !
Putain ce que la chatte de Murielle avait bon goût ! Je passais ma langue dans tous les replis, sur le moindre endroit intime, je suçais ses lèvres, aspirais son bouton, le titillais du bout de ma langue, puis je descendais, la langue bien à plat jusqu’à son petit trou, l’introduisant - ma langue - le plus que je pouvais. Et encore, et encore. Elle dégoulinait. Et toutes les deux, Brunette et elle, s’affairaient sur mon engin avec une ferveur diabolique ! Tantôt je sentais les pointes de leurs langues glisser tout le long de ma verge, tantôt une de mes couilles aspirée dans une bouche, puis des sensations divines de douceur sur mon gland, ou encore je me sentais disparaître au fond d’une gorge tandis qu’un doigt pénétrait dans mon cul. Je n’avais vraiment pas à me plaindre, c’était exquis, mais j’avais tout de même un tout petit regret : je ne voyais pas Jessica, prise en sandwich, se faire pistonner. J’entendais juste les floc floc, flap flap, que faisaient leurs corps en s’entrechoquant.
Puis Murielle s’est levée. Elle a saisi la bouteille de champagne au passage et est allée s’asseoir à côté du trio, dans le divan. D’une main elle a empoigné le gros sein gauche de Jessica et s’est fourré le téton durci dans la bouche. Le goulot de la bouteille s’est retrouvé dans sa chatte.
Brunette a continué encore un peu sa fellation en matant la scène, puis elle a ondulé sur mon corps, frottant le bout de ses seins sur mon ventre, mon torse. Elle les a fourrés dans ma bouche, l’un après l’autre, juste avant de se mettre à les ballotter, m’assénant des petites gifles de ses deux melons. À son tour, elle a attrapé un préservatif, en a déchiré l’emballage et m’a encapuchonné. Et, en me tournant le dos, elle s’est empalée sur mon sexe. Comme elle a posé les mains sur mes genoux, son dos s’est cambré, ouvrant ses fesses et m’offrant une vue de rêve sur son petit trou. Quand j’y ai introduit mon pouce, elle a émis un petit cri et m’a dit :
* — Hmmm, oui, pousse-le bien à fond !
Tour à tour, je reluquais le cul de Brunette qui coulissait sur ma bite, Jessica baisée par ses deux orifices, puis Murielle qui se tronchait avec la bouteille, et qui maintenant roulait un patin à Jessica. Elles se suçaient la langue de bon cœur.
Jessica n’avait plus l’exclusive des cris, elles se mettaient toutes à en pousser. De tous côtés fusaient des hmmm, aaah, ooooh, haaan ! Un moment, j’ai dû faire un gros effort de concentration pour ne pas venir, j’étais au bord du gouffre, mais j’ai évité la tempête.
Brunette a changé de position la première. Elle s’est mise à quatre pattes et, en se retournant, a pris mon sexe dans une main pour le guider vers sa rondelle. Le trou ayant été déjà bien dilaté par mon pouce, j’y suis entré comme dans du beurre. Ensuite, Murielle a attrapé Julien par le bras et lui a dit :
* — À mon tour, viens me défoncer le cul !
Elle s’est retrouvée à quatre pattes, Julien planté derrière elle, les mains tenant ses hanches, la bite enfoncée dans son anus. Puis, Jessica a suivi avec le dernier gars. On formait une sorte d’étoile à trois branches. Au centre, les filles avaient sorti leurs langues qui s’enroulaient, se déroulaient, se léchaient.
On est restés comme ça plusieurs minutes ; ça criait, grognait, par toutes les bouches. Puis Julien a dit :
* — On change de cul, les gars !
On s’est retirés tous les trois, on a remis de nouveaux préservatifs et on a tourné dans le sens des aiguilles d’une montre. J’étais maintenant en train d’enculer Murielle.
Comme on avait des capotes à profusion, on s’est permis de jouer ce jeu-là encore plusieurs fois. Je ne pourrais pas dire quel est le cul qui me plut le plus. Mais je me souviens avoir bien aimé les fesses un peu potelées de Jessica, j’avais apprécié de les voir onduler à chacun de mes coups de boutoir.
Je ne sais plus combien de temps on les a pistonnées comme ça, mais ça ne devait pas être triste. J’étais maintenant revenu derrière Brunette et, à vrai dire, j’en pouvais plus, j’étais au bord de l’explosion. À voir, et entendre, les rictus et les grognements de mes deux comparses, ils ne devaient pas en être loin, non plus. J’ai presque gueulé :
* — Oh putain ! Je vais gicler !
De concert, les deux autres ont dit :
* — Ouah, moi aussi !
Brunette s’est retirée dare-dare. Je me suis relevé, elle s’est retournée et s’est plantée à genoux devant moi en prenant ses seins dans ses mains. Elle les pressait l’un contre l’autre. Les autres filles ont fait pareil. Murielle avait un peu plus de mal avec ses petits nénés mais je trouvais qu’elle se débrouillait pas mal tout de même.
On a viré nos capotes et on s’est branlés. Je crois bien que je suis parti le premier, mais je ne le jurerais pas. Ça n’arrêtait pas, de longs jets chauds s’écrasaient sur les nibards de Brunette. Je lui en ai même mis un filet dans les cheveux ; sur le coup, j’étais un peu désolé, je trouvais que ça faisait comme une tache sur un joli tableau. Les filles se caressaient, étalaient tout le foutre sur leur peau, leurs bouts. Pour sortir les dernières gouttes, elles nous ont attrapés les queues, nous ont branlés en serrant bien comme pour nous essorer.
Finalement, ça avait un petit côté surréaliste, je venais de baiser cette fille par tous les trous, je l’avais aspergée de sperme, et je ne pouvais même plus me rappeler son prénom. Étrange, mais agréable.
Après, je suis tombé sur le cul, un peu lessivé. Je ne voulais plus bouger, pas tout de suite. Je planais, soulagé, heureux, en sueur. Dingue comme sensation. Mais les filles avaient resserré les rangs. Toujours à genoux, elle s’embrassaient toutes les trois en se frottant les seins les uns contre les autres.
Il n’a pas fallu longtemps pour que ma bite se redresse. Je me suis dit « sacrée soirée ! et c’est pas fini ! ».
J’ai versé tout le champagne qui restait sur ses seins, une demi-bouteille au moins ! Bordel, qu’est-ce que j’en avais envie, elle les avait plantureux ! Elle, c’était la brune, aux cheveux longs et ondulés, je ne me souviens plus de son nom. Du Dom Pérignon, pas de la merde. Il coulait en faisant pssscchhht sur ses globes, puis descendait vers son ventre et son sexe. Je regardais le truc en souriant, béat. Je restais fasciné par le flot qui se divisait autour de ses mamelons. Le champagne froid et l’excitation les faisaient pointer, durs. À genoux, elle tendait son buste en avant, pour accueillir le précieux liquide. Je ne savais pas trop si elle rigolait ou si elle gloussait de plaisir.
La blonde s’est rappliquée en vitesse. Celle-là s’appelait Murielle, je m’en souviens parce que j’avais trouvé ça cruche comme prénom. Plus personne ne s’appelait Murielle aujourd’hui. Surtout pas à son âge, elle ne devait pas avoir plus de vingt ans. Elle avait des petits seins, moins de la moitié de l’autre mais un sourire à vous scier les pattes, et un cul ! une Vénus callipyge. Elle s’est allongée sur le dos et a glissé sa tête entre les jambes de la brunette en me faisant un clin d’œil.
* — Faut pas perdre tout ce bon champagne ! elle a dit, puis elle a collé les lèvres de sa bouche à celles plus intimes de sa copine.
Le champagne glissait sur le ventre de Brunette, dans sa toison, et finissait sur le visage de Murielle. Elle sortait la langue pour le lamper et filer de grandes lèches à la chatte de Brunette.
À cinquante centimètres de nous, Julien et un autre type que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam étaient assis à poil dans le divan. Ils se faisaient sucer par la troisième fille, celle qui disait s’appeler Jessica. Elle avait des formes plus généreuses, sans être grosse. Légèrement ronde, comme on dit aujourd’hui.
À genoux sur la moquette, entre eux deux, elle tenait une queue dans chaque main et les pompait à tour de rôle. Un moment, j’ai tendu le bras et j’ai glissé un doigt dans sa chatte. C’était chaud et humide, agréable. Elle s’est cabrée, un peu, en grognant doucement. Mais comme je voulais rester concentré pour ne pas gaspiller le champagne, j’ai retiré ma main rapidement.
Quand la bouteille a rendu l’âme – la dernière goutte venait de s’écraser sur le sein droit de Brunette – elle m’a attrapé par les cheveux et a collé ma bouche sur sa poitrine. Je ne me suis pas fait prier. J’ai glissé ma langue partout. Je passais par-dessus, par-dessous, je suçais ses pointes, les mordillais doucement. L’acidité du champagne donnait à sa peau un goût exquis. Un étage plus bas, Murielle continuait à lui bouffer la chatte. Brunette devait commencer à s’exciter grave, elle dégoulinait sur son menton. Je lui léchais les seins, la nuque, même les aisselles, toute langue dehors.
Brunette, qui avait attrapé la bouteille vide, a glissé le goulot dans la vulve de Jessica. Elle s’est mise à la tourner, la pousser, de plus en plus loin. Jessica cabrait son dos, reculait son arrière-train pour entrer la bouteille encore plus profond, en émettant des hmpf hmpf, une bite au fond de la gorge. Tout le goulot est entré.
La main de Murielle a atterri sur ma queue. Je l’aurais bénie. Je bandais tellement fort que ça en devenait douloureux. La douceur de sa paume m’apaisa un peu. Sa bouche toujours collée à Brunette – je ne pouvais pas voir les détails de l’affaire mais je me doutais qu’elle devait entrer sa langue au plus profond parce que je voyais presque disparaître son menton entre les grandes lèvres par moments – elle glissait sa main sur ma hampe avec douceur, puis de temps en temps me la lâchait pour caresser mes couilles ou glisser un doigt vers mon anus et le titiller. Pour qu’elle ne soit pas en reste, et aussi parce que ça m’excitait à fond, j’ai posé une main sur sa fente. Elle se rasait intégralement, j’ai bien aimé, ça rendait le contact plus doux, son pubis était lisse comme une joue de bébé. Et j’ai commencé à glisser mon majeur entre ses lèvres. Elle a écarté un peu plus les jambes. J’entrais déjà trois doigts, le pouce sur son clito, quand Jessica a lâché :
* — Baisez-moi, les gars, baisez-moi ! vite ! d’une voix plaintive qui ne laissait aucun doute quant à l’urgence de la demande.
À une vitesse folle, elle s’est retournée, plantant là Brunette avec la bouteille au bout du bras. Elle a sorti une poignée de préservatifs du gros bocal posé sur la table du salon, en a décacheté un avec les dents, qu’elle a ensuite déroulé sur la queue du gars que je ne connaissais pas. Puis elle lui a grimpé dessus et s’est empalée sur son sexe, en lui fourrant ses seins volumineux dans la figure. Brunette regardait toute la scène en léchant le goulot de la bouteille, on aurait dit qu’elle lui faisait une fellation.
Jessica a fait se lever Julien, dans le divan. De la sorte, elle a pu le reprendre dans sa bouche. Elle lui léchait le gland, la tige, les couilles, l’enfonçait dans sa gorge, tandis qu’elle montait et descendait sur le braquemart dressé de l’autre type, haletante.
Un moment, j’ai cru que Brunette allait jouir sous les coups de langue de Murielle, son visage se crispait. Elle a dû juger que c’était trop tôt parce qu’elle s’est reculée. Elle s’est penchée et a roulé un patin d’enfer à Murielle en lui caressant les seins. De la salive leur débordait des lèvres. Moi, je restais là à les regarder, la bite tendue, l’air un peu esseulé. Brunette a dû en prendre conscience parce qu’elle a dit :
* — Viens, on va le sucer.
Elles m’ont fait m’allonger sur le dos. Brunette s’est placée entre mes jambes et Murielle à califourchon sur mon visage. En même temps que je posais le bout de ma langue sur son clito, j’ai senti leurs deux langues s’enrouler autour de mon gland.
Dans le divan, Jessica s’est mise à gémir, han han, sa voix grimpant dans les aigus. Sans rien voir – dans ma position, la seule vue possible, c’était la rosette de Murielle – j’ai deviné au bruit que quelqu’un ouvrait un nouvel emballage de préservatif. Puis, juste après, Jessica, le souffle court, a sorti :
* — Dans le cul, mets-la moi dans le cul !
Putain ce que la chatte de Murielle avait bon goût ! Je passais ma langue dans tous les replis, sur le moindre endroit intime, je suçais ses lèvres, aspirais son bouton, le titillais du bout de ma langue, puis je descendais, la langue bien à plat jusqu’à son petit trou, l’introduisant - ma langue - le plus que je pouvais. Et encore, et encore. Elle dégoulinait. Et toutes les deux, Brunette et elle, s’affairaient sur mon engin avec une ferveur diabolique ! Tantôt je sentais les pointes de leurs langues glisser tout le long de ma verge, tantôt une de mes couilles aspirée dans une bouche, puis des sensations divines de douceur sur mon gland, ou encore je me sentais disparaître au fond d’une gorge tandis qu’un doigt pénétrait dans mon cul. Je n’avais vraiment pas à me plaindre, c’était exquis, mais j’avais tout de même un tout petit regret : je ne voyais pas Jessica, prise en sandwich, se faire pistonner. J’entendais juste les floc floc, flap flap, que faisaient leurs corps en s’entrechoquant.
Puis Murielle s’est levée. Elle a saisi la bouteille de champagne au passage et est allée s’asseoir à côté du trio, dans le divan. D’une main elle a empoigné le gros sein gauche de Jessica et s’est fourré le téton durci dans la bouche. Le goulot de la bouteille s’est retrouvé dans sa chatte.
Brunette a continué encore un peu sa fellation en matant la scène, puis elle a ondulé sur mon corps, frottant le bout de ses seins sur mon ventre, mon torse. Elle les a fourrés dans ma bouche, l’un après l’autre, juste avant de se mettre à les ballotter, m’assénant des petites gifles de ses deux melons. À son tour, elle a attrapé un préservatif, en a déchiré l’emballage et m’a encapuchonné. Et, en me tournant le dos, elle s’est empalée sur mon sexe. Comme elle a posé les mains sur mes genoux, son dos s’est cambré, ouvrant ses fesses et m’offrant une vue de rêve sur son petit trou. Quand j’y ai introduit mon pouce, elle a émis un petit cri et m’a dit :
* — Hmmm, oui, pousse-le bien à fond !
Tour à tour, je reluquais le cul de Brunette qui coulissait sur ma bite, Jessica baisée par ses deux orifices, puis Murielle qui se tronchait avec la bouteille, et qui maintenant roulait un patin à Jessica. Elles se suçaient la langue de bon cœur.
Jessica n’avait plus l’exclusive des cris, elles se mettaient toutes à en pousser. De tous côtés fusaient des hmmm, aaah, ooooh, haaan ! Un moment, j’ai dû faire un gros effort de concentration pour ne pas venir, j’étais au bord du gouffre, mais j’ai évité la tempête.
Brunette a changé de position la première. Elle s’est mise à quatre pattes et, en se retournant, a pris mon sexe dans une main pour le guider vers sa rondelle. Le trou ayant été déjà bien dilaté par mon pouce, j’y suis entré comme dans du beurre. Ensuite, Murielle a attrapé Julien par le bras et lui a dit :
* — À mon tour, viens me défoncer le cul !
Elle s’est retrouvée à quatre pattes, Julien planté derrière elle, les mains tenant ses hanches, la bite enfoncée dans son anus. Puis, Jessica a suivi avec le dernier gars. On formait une sorte d’étoile à trois branches. Au centre, les filles avaient sorti leurs langues qui s’enroulaient, se déroulaient, se léchaient.
On est restés comme ça plusieurs minutes ; ça criait, grognait, par toutes les bouches. Puis Julien a dit :
* — On change de cul, les gars !
On s’est retirés tous les trois, on a remis de nouveaux préservatifs et on a tourné dans le sens des aiguilles d’une montre. J’étais maintenant en train d’enculer Murielle.
Comme on avait des capotes à profusion, on s’est permis de jouer ce jeu-là encore plusieurs fois. Je ne pourrais pas dire quel est le cul qui me plut le plus. Mais je me souviens avoir bien aimé les fesses un peu potelées de Jessica, j’avais apprécié de les voir onduler à chacun de mes coups de boutoir.
Je ne sais plus combien de temps on les a pistonnées comme ça, mais ça ne devait pas être triste. J’étais maintenant revenu derrière Brunette et, à vrai dire, j’en pouvais plus, j’étais au bord de l’explosion. À voir, et entendre, les rictus et les grognements de mes deux comparses, ils ne devaient pas en être loin, non plus. J’ai presque gueulé :
* — Oh putain ! Je vais gicler !
De concert, les deux autres ont dit :
* — Ouah, moi aussi !
Brunette s’est retirée dare-dare. Je me suis relevé, elle s’est retournée et s’est plantée à genoux devant moi en prenant ses seins dans ses mains. Elle les pressait l’un contre l’autre. Les autres filles ont fait pareil. Murielle avait un peu plus de mal avec ses petits nénés mais je trouvais qu’elle se débrouillait pas mal tout de même.
On a viré nos capotes et on s’est branlés. Je crois bien que je suis parti le premier, mais je ne le jurerais pas. Ça n’arrêtait pas, de longs jets chauds s’écrasaient sur les nibards de Brunette. Je lui en ai même mis un filet dans les cheveux ; sur le coup, j’étais un peu désolé, je trouvais que ça faisait comme une tache sur un joli tableau. Les filles se caressaient, étalaient tout le foutre sur leur peau, leurs bouts. Pour sortir les dernières gouttes, elles nous ont attrapés les queues, nous ont branlés en serrant bien comme pour nous essorer.
Finalement, ça avait un petit côté surréaliste, je venais de baiser cette fille par tous les trous, je l’avais aspergée de sperme, et je ne pouvais même plus me rappeler son prénom. Étrange, mais agréable.
Après, je suis tombé sur le cul, un peu lessivé. Je ne voulais plus bouger, pas tout de suite. Je planais, soulagé, heureux, en sueur. Dingue comme sensation. Mais les filles avaient resserré les rangs. Toujours à genoux, elle s’embrassaient toutes les trois en se frottant les seins les uns contre les autres.
Il n’a pas fallu longtemps pour que ma bite se redresse. Je me suis dit « sacrée soirée ! et c’est pas fini ! ».
Dim 17 aoû 2008
2 commentaires
texte super beau, qui nous chope aux tripes. dommages qu'il y ai des thermes si crus qui gachent un peu et enlève la sensuilité de cet événement
jade - le 18/08/2008 à 11h22
Très beaux texte, jadore,
Audrey la cochonne.
Audrey la cochonne.
Audrey la cochonne - le 19/09/2008 à 09h24