plaisir et jouissance
Célhia de Lavarène, new yorkaise journaliste de formation et combattante du droit des femmes est arrivée au Libéria en 2004 pour mettre en place un programme de lutte contre le trafic des êtres humains.
L'Afrique de l'ouest est en effet un des endroits du monde ou le trafic humain se propage à grande vitesse. Il n'y a pas de pas de mots assez fort pour décrire Monrovia et la corruption endémique qui frappe tout le monde, riche et pauvre. Au Libéria, passer la nuit avec une gamine de 15 ans coûte 300 $, l’acheter coûte entre 4000 $ et 6000 $.
Là bas, elle va au rencontre du monde de la nuit évaluation de la situation.
Pour les membres des contingents de l'ONU elle est la "garce blonde". Pour certain c'est la "garce blonde qui est arrivée, alors on va plus pouvoir tirer un coup".
Elle rencontre dans les night-clubs des filles de Russie, Ukraine et du Maroc qui n'ont même pas quinze ans. Le marché aux esclaves, qu'elle découvre basé sur le trafic de jeunes femmes d'Afrique du nord ou d'Europe, est très lié aux trafics de drogues et d'armes.
Avant d'être connue dans Monrovia, elle réunit alors une équipe de policiers internationaux afin de mettre fin au plus grand nombre de trafic. Les clients de ce trafic sont les hauts diplomates libériens, les diplomates, les membres d’organisations humanitaires, les casques bleus. C'est avec l'aide de combattant népalais et à la manière d'un général qu'elle dirige l'assault contre certains nightclubs.
Dans Visa pour l’enfer – Une femme combat les marchands du sexe, elle raconte l’histoire de ces tout jeunes gens en provenance d’Ukraine, de Russie, du Maghreb, kidnappés ou vendus, privés de passeport, battus et forcés à se prostituer.
Célhia de Lavarène - Auteur de Un visa pour l'enfer - Une femme combat les marchands du sexe (Fayard) - Présidente de l'association Stop Trafficking of People (STOP).
Pour écouter l'émission: http://www.tv-radio.com/ondemand/france_culture/MATINS/MATINS20061116.ram
L'Afrique de l'ouest est en effet un des endroits du monde ou le trafic humain se propage à grande vitesse. Il n'y a pas de pas de mots assez fort pour décrire Monrovia et la corruption endémique qui frappe tout le monde, riche et pauvre. Au Libéria, passer la nuit avec une gamine de 15 ans coûte 300 $, l’acheter coûte entre 4000 $ et 6000 $.
Là bas, elle va au rencontre du monde de la nuit évaluation de la situation.
Pour les membres des contingents de l'ONU elle est la "garce blonde". Pour certain c'est la "garce blonde qui est arrivée, alors on va plus pouvoir tirer un coup".
Elle rencontre dans les night-clubs des filles de Russie, Ukraine et du Maroc qui n'ont même pas quinze ans. Le marché aux esclaves, qu'elle découvre basé sur le trafic de jeunes femmes d'Afrique du nord ou d'Europe, est très lié aux trafics de drogues et d'armes.
Avant d'être connue dans Monrovia, elle réunit alors une équipe de policiers internationaux afin de mettre fin au plus grand nombre de trafic. Les clients de ce trafic sont les hauts diplomates libériens, les diplomates, les membres d’organisations humanitaires, les casques bleus. C'est avec l'aide de combattant népalais et à la manière d'un général qu'elle dirige l'assault contre certains nightclubs.
Dans Visa pour l’enfer – Une femme combat les marchands du sexe, elle raconte l’histoire de ces tout jeunes gens en provenance d’Ukraine, de Russie, du Maghreb, kidnappés ou vendus, privés de passeport, battus et forcés à se prostituer.
Célhia de Lavarène - Auteur de Un visa pour l'enfer - Une femme combat les marchands du sexe (Fayard) - Présidente de l'association Stop Trafficking of People (STOP).
Pour écouter l'émission: http://www.tv-radio.com/ondemand/france_culture/MATINS/MATINS20061116.ram
Sam 18 nov 2006
1 commentaire
Les hommes - essentiellement - lorsqu'ils ne trouvent pas de partenaire et que "ça" les démange, sont souvent disposés à faire des "bêtises". Leur souhait "légitime" c'est d'enfoncer leur sabre au plus profond d'un fourreau et d'en retirer le plaisir au moins égal à celui obtenu à l'occasion d'une masturbation; j'ai bricolé le Hot-Dog et j'en diffuse ici et là le mode de confection, étant donné que les commerçants de genre d'article n'en ont pas voulu; je pense que ceux et celles qui sont en "manque" devraient l'avoir... dans leur armoire.
Couper le haut d'unbe bouteille plastique carrée, pour ne garder que 15 cm (ou plus éventuellement) de hauteur; enlever la protubérance du fond; ouvrir en deux moitiés identiques dans le sens de la longueur. Encastrer, l'une sur l'autre, deux éponges de l6 cmxllx 3,5 cm chacune; passer autour de cet ensemble deux cordelettes comportant chacune 2 ou 3 noeuds à une extrémité, l'autre extrémité se terminant par un oeil; ces cordelettes doivent permettre la fermeture, l'ouverture, mais aussi le réglage, en fonction du volume de remplissage.
Après lavage d'un gant en latex (seconde peau) pour lui retirer son talc, allonger ce gant entre les éponges, en laissant une petite longueur des doigts dépasser; nouer sur cette partie des doigts (un noeud tout simple facile à défaire) une sorte de ruban - assez épais de 7O cm sur l cm - pour empêcher le retrait du gant et profiter de quelques caresses à la retombée du ruban. Refermer l'ensemble. Rabattre l'ouverture du gant (le bourrelet terminal) sur un anneau de 6,5 cm de diamètre sur l cm de hauteur (j'ai découpé cet anneau dans le couvercle d'une boite de nourriture pour poissons); régler la position du gant selon la longueur du Dog.
Bien choisir les éponges, en ce qui concerne leur souplesse, et le gant, lequel doit avoir la consistance d'un préservatif, sinon le frottement pourrait réserver des lendemains "boursouflés". Les cordelettes peuvent être immobilisées, pour la partie fixe, sur les coquilles, avec du ruban adhésif. L'usage du gant esst presque illimité, pourvu qu'il soit rincé avec une eau légèrement savonneuse et conservé (papier torchon) dans un endroit ni trop sec, ni trop humide. Le lubrifiant peut être de la salive complétée par un peu d'eau.