plaisir et jouissance

Fête du Cinéma oblige voici un film à ne pas manquer,je ne suis pas de retard cette fois. Allez le voir !! Vraiment il est superbe.

Voici quelques infos je vous promets un article plus complet sur ce film dans quelques jours.

Douches Froides premier long métrage de Anthony Cordier. Il ne s’agit pas d’une simple chronique d'ados mais plus d'un film sur les différences sociales. Ce film est une peinture d'un apprentissage et de ses errances.

L'histoire: Mickael a dix-sept ans. Il est issu d’une famille qui doit se battre au jour le jour pour arriver à boucler les fins de mois. Vanessa sa petite amie. Un petit monde pas parfait mais vivable.
Débarque à l’école Clément, un gosse de riche dont le père devient très rapidement le sponsor de l’équipe de judo. En voyant l’affiche, vous l'avez deviné, un ménage à trois se crée. Personne ne semble réaliser ce qui lui arrive, chacun prenant les choses comme elles viennent.

Douches froides
2005 - France - Comédie dramatique - 1h42
Réalisation : Antony Cordier
Avec Johan Libéreau (Mickael), Salomé Stévenin (Vanessa), Florence Thomassin (Annie), Jean-Philippe Ecoffey (Gérard)
Sortie France: 22 Juin 2005

Douches froides a été présenté en 2005 au Festival de Cannes, dans le cadre de la Quinzaine des Réalisateurs.

Plus de liens: La Fête du Cinéma 2005

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Sam 25 jun 2005 2 commentaires
Joli blog sensuel, il m'évoque tout de suite "pillow book", ce film magnifique...
modimo - le 27/06/2005 à 10h13


De trouble et de sueur

Voilà un film qui fera taire un moment tous ceux qui pensent a priori que les oeuvres d’anciens élèves de la Femis sont bardées d'intellectualisme, d'onanisme esthétique et autres poses auteuristes... Authentique "film-prolétaire" (par et sur un enfant du monde ouvrier), Douches froides embrasse au contraire ses enjeux (l’apprentissage de la vie, le rapport au monde qu’on entretient selon son appartenance sociale, la dimension irrationnelle de l’amour, de l’amitié et du désir) avec une sobriété et une simplicité rafraîchissantes.
cinelycee Raphaël LefÚvre - le 30/10/2005 à 15h24