plaisir et jouissance
Suite de: Marie-Claude, Jeune Fille Au Pair - Chapitre 3
Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis son arrivée dans cette famille et elle avait été bien occupé par les enfants d’une part et par Madame Taylor d’autre part qui avait tenu à lui montrer toute la maison et toutes les boutiques où elle avait l’habitude de se servir. Les jeux érotiques avec les enfants avaient été très limité du fait de son emploi du temps et de la surveillance étroite de leur mère. Elle voulait toujours savoir ce qu’ils faisaient. Il n’y avait que le soir qu’elle pouvait vérifier auprès de Marie et de John ses premières impressions et ma foi elle n’avait pas été déçue.
John se branler tous les soirs et il s’arrangeait chaque fois pour jouir juste à son arrivée ce qui donnait lieu parfois à des situations excitantes. Il demandait à Marie-Claude de lui sucer les doigts gluants de sperme, ce qu’elle faisait par jeu, en suçant lentement chacun d’entre eux ce qui avait le don de le faire bander à nouveau. De temps en temps elle prenait alors son sexe entre ses doigts et par de longs mouvements en alternance avec de savants coups de langue elle faisait jouir le petit John qui donnait de grands coups de rein dans le vide en gémissant de plaisir. Après cela, c’est lui qui suçait les doigts de Marie-Claude tout en s’endormant car ces doubles jouissances l’épuisait.
Pour Marie, le coucher était différent. Il donnait lieu à des caresses plus précises, mais pour lesquelles les deux filles devaient faire très attention car la chambre des parents était contiguë à la sienne. Et c’était assez fréquent qu’elles soient obligées de s’interrompre en pleine montée de plaisir car les parents arrivaient. Dans ces cas là, elles en étaient réduites à se branler chacune de leur coté en rêvant à des lendemains meilleurs.
Tout cela laissait Marie-Claude sur sa faim et elle commençait à rêver à des queues bien chaude et bien grosse avec lesquelles elle pourrait jouer toute une nuit. Mais la seule queue à portée de sa main était celle de Monsieur Taylor et elle était inaccessible. Madame Taylor surveillait et se charger de réduire les envies de Monsieur bien au-delà du raisonnable. Les bruits qu’elle entendait à travers les murs, de l’autre coté du couloir, étaient assez éloquents. Madame Taylor avait du tempérament et entendait être satisfaite par son époux aussi souvent que possible et même davantage.
C’est dans cet état d’esprit de frustration accumulées et d’envies non satisfaites que Marie-Claude arriva à son premier week-end de liberté depuis son arrivée à Lyon.
Elle décida donc de partir en chasse et de se farcir le plus grand nombre possible de mecs durant ces deux jours. Elle choisit ses vêtements en conséquence : pas de lingerie fine, des chemisiers suffisamment transparents pour avoir l’air décents, pas de pantalons mais des jupes courtes très moulantes également. Dans le car qui l’amenait vers le centre ville les regards des passagers étaient éloquents mais pas un seul n’osa l’approcher. Ils étaient intimidés par cette jeune fille à l’air si décidé.
-Mince se dit-elle, je leur fais peur. Il faut que je change d’attitude sinon personne ne viendra me draguer.
En descendant du car, elle prit donc un air de jeune fille sage pour marcher dans la rue. Le petit sac à dos qu’elle portait marquait ses seins en les faisant pointer à travers la mince épaisseur du chemisier. Les bouts étaient dressés et cela se voyait. Sa vulve était humide et elle sentait le plaisir monter en elle. Elle entra dans le grand magasin devant lequel elle se trouvait, suivi par deux jeunes gens très intéressé par sa silhouette. Elle les avait repérés et ma foi les trouva plutôt mignons surtout le black. Les grandes manoeuvres avaient commencé. Elle décida de les laisser faire.
Au troisième étage du magasin, ils se décident enfin à passer à l’attaque Il y a moins de monde et volontairement elle se dirige vers le coin le plus isolé. Ils sont près d’elle et le grand black l’interpelle :
-Salut, comment tu t’appelles ? Je ne t’ai jamais vu par ici.
-Marie-Claude, c’est mon prénom dit elle en rougissant légèrement. Cette demande directe l’a un peu désarçonné mais elle se ressaisi très vite.
-Et vous deux c’est quoi vos prénoms,
-Antoine et voici mon pot Mike dit le deuxième garçon.
-Ravie de vous connaître. C’est vrai c’est la première fois que je viens à Lyon, je suis jeune fille au pair dans une famille anglaise. C’est mon premier
week-end de liberté. J’en profite pour me balader.
-On serait ravi de te servir de guide lui dit Antoine en s’inclinant avec un large sourire.
-OK j’accepte très volontiers. Je suis un peu perdue dans cette ville.
-Et si on allait boire un verre plutôt que de rester dans cette boutique. Il fait une chaleur à crever.
-D’accord Mike on y va dit-elle, je vous suis.
Ils passent devant elle et ils rejoignent rapidement la rue et entrent dans un bar situé un peu plus loin sur le même trottoir.
-Qu’est ce que tu bois ? lui demande Antoine.
-Un jus de fruit et vous ?
-De la bière pression.
Le garçon repart avec la commande et revient bientôt avec un plateau chargé de trois verres. C’est Mike qui paye et le garçon les laisse seuls. Ils ont choisi un coin discret du bar où on ne les voit pas du comptoir. Marie-Claude est très excitée et sa vulve est très humide. Elle a envie qu’ils la touchent mais ils n’osent pas encore. C’est elle qui engage la conversation.
-Vous faites quoi dans la vie
-Nous sommes étudiants tous les deux à la fac de lettre. Et ils lui racontent leur vie d’étudiants. Les cours, les soirées, la petite chambre de cité U. C’est surtout Antoine qui parle. Mike lui s’est collé contre Marie-Claude et il a de plus en plus chaud. Marie-Claude a vite réagi à ce contact et la main de Mike est maintenant sur sa cuisse et remonte lentement vers le point le plus chaud. Les cuisses de Marie-Claude se sont ouvertes et le doigt de Mike caresse lentement sa vulve. Elle mouille tout en gémissant. Vite qu’il se dépêche. Qu’il la fourre là sur la table si il veut. Elle veut sa queue dans son ventre mais n’ose pas lui dire comme cela.
Antoine s’est tu. Il a compris la situation et vient se placer de l’autre coté de Marie-Claude et il s’empare de ses seins qu’ils pétri avec douceur mais fermeté. Marie-Claude écarte largement ses cuisses et Mike peut la pénétrer avec deux doigts qu’il fait aller et venir dans sa vulve en feu. Antoine n’a pas perdu de temps non plus et sa langue fouille la bouche de Marie-Claude qui ne lui résiste pas. Elle s’abandonne complètement à leurs caresses. Ses mains n’ont pas perdu de temps et elle tient une queue dans chaque. Les formes sont différentes mais elles sont aussi chaude l’une que l’autre. La taille de celle de Mike est particulièrement imposante. Elle les sent prêtes à jouir mais cherche à faire durer le plaisir de ses partenaires.
Mike le premier a réagi. Il écarte doucement ses doigts de la vulve de Marie-Claude et lui murmure à l’oreille
-Je crois que nous ferions mieux d’aller chez moi nous serions plus tranquilles.
Elle émerge doucement et ouvre les yeux comme si elle sortait d’un rêve. Après quelques secondes, elle a enfin compris la remarque de Mike et acquiesce avec un sourire.
-Tu as raison Mike, allons chez toi nous pourrons faire tout ce dont nous avons envie.
Il réajustent leurs vêtements, finissent leurs verres et sous l’oeil amusé du garçon, quittent le bar en se tenant tous les trois par la taille.
Le trajet vers l’appartement de Mike en car leur semble particulièrement long même si en réalité il de dure qu’un quart d’heure. Pendant tout le trajet ils n’ont pas cessé de la serrer de près et s’ils avaient osé ils l’auraient baisé sur place. C’est donc dans un état d’excitation porté à son plus haut niveau qu’ils entrent chez Mike. Les deux garçons l’entraînent sans un mot dans la chambre et en moins de temps qu’ils ne faut pour le dire elle se retrouve allongée sur le lit, complètement nue et les cuisses largement écartées par les mains autoritaires d’Antoine.
-Vas y Mike commence, elle est prête tu peux la fourrer sans problème. Mike a juste fini de se déshabiller et, sa queue congestionnée se dresse telle un épieu devant la vulve de Marie-Claude qui pousse un petit cri devant un tel engin.
-Doucement s’il te plaît, j’ai peur que tu ma fasse mal murmure-t-elle à l’adresse de Mike. Ca fait longtemps que l’on ne m’a pas baisé.
Mais Mike n’en a cure, au contraire, les craintes de Marie-Claude ne font que l’encourager dans sa démarche et, de toute façon, Antoine la maintien fermement. Il s’approche d’elle et guide son sexe vers la grotte humide. Le gland énorme appuie sur les lèvres de la vulve et d’un geste lent mais ferme il s’enfonce dans le ventre de Marie-Claude qui pousse un long gémissement fait de plaisir et de douleur mélangés. Elle sent le sexe de Mike qui la pénètre, bousculant son petit vagin glissant sur les parois humides jusqu’au plus profond d’elle même.
Quand la queue de Mike touche le fond du vagin elle s’arque boute pour résister mais Mike et sans pitié. Il la maintien fermement en lui bloquant les main au-dessus de sa tête et commence de savants va et vient qui ont le don de faire vibrer Marie-Claude au plus profond de son être. Elle voulait une queue, elle est servie.
Les coups de queue se font de plus en plus rapides et son vagin s’est parfaitement adapté à son invité Elle suit le rythme imposé par Mike et le plaisir l’envahit complètement, ses reins sont brûlants, elle crie, elle gémie.
-Non plus vite, oui continu, tu me tues, c’est bon encore; sa tête roule dans tous les sens, Ahhh encore, ouiiii; Bon sang que c’est bon encore, ouii Ahhhh.
De mini orgasmes la secoue, elle bave de plaisir, elle ne sait plus où elle est, avec qui, son univers se résume à cette queue qui va et vient.
Antoine a libéré ses jambes et elle peut maintenant s’en servir pour entourer le torse de Mike. Son plaisir s’en trouve augmenté et elle suit son rythme.
-Antoine qu’est ce que tu fait ? Cria-t-elle d’un seul coup. Elle a senti un doigt qui s’enfonce dans son anus et cela l’a surprise.
-Je t’encule ma belle, les pouliches dans ton genre sont faites pour tout accepter; et joignant le geste à la parole il enfonce un deuxième doigt dans son cul. Marie-Claude à poussé un cri mais vite étouffé par un baiser de Mike dont la langue fouille sa bouche avec ardeur. Elle est prise de tous les cotés et dans un dernier sursaut elle s’abandonne complètement à ses deux amants. Elle est prête à tout maintenant, tout ce qu’elle veut c’est jouir, jouir toute la nuit sans s’arrêter.
Son premier orgasme la prend par surprise et lui coupe le souffle. Tout son corps a vibré et un long frisson l’a parcouru des pieds à la tête. Mike ne s’est pas arrêté pour autant. Il continu à la fourrer mais d’un mouvement de reins puissant il la fait passer sur lui et elle se retrouve à cheval sur sa queue. Antoine a suivi le mouvement avec ses doigts et il peut sentir la queue de son ami à travers la cloison vaginale. Mais ce n’est pas ce qu’il veut faire. Maintenant que l’anus est dilaté, il retire ses doigts et s’emparant d’un tube de vaseline, il en badigeonne l’entrée généreusement. D’un geste rapide il a sorti sa queue qu’il introduit dans l’anus de Marie-Claude. Elle pousse un cri de douleur mais une grande claque sur les fesses lui fait comprendre qu’elle n’a rien à dire. Mike rigole.
-Ca y est, tu l’a eu, depuis le temps que tu rêvais d’enculer une jolie fille, tu as réussi. Et maintenant voyons ce qu’elle a dans le ventre. Vas y défonce la, je te suis.
Marie-Claude sent les deux queues se mouvoir alternativement dans son cul et son vagin. La sensation est énorme, elle se sent complètement à nu, son intimité la plus secrète vient d’être profané et ....elle aime ça. Les mouvements des garçons s’accélèrent et elle les suit aussi vite qu’elle peut. Elle a perdu toute notion de la réalité, seule compte la jouissance qu’elle sent monter en elle forte, puissante, gigantesque, comme jamais elle n’en a connue. Mike et Antoine ne sont pas en reste, eux aussi sont parcouru de frissons, ils ont chaud dans les reins et jusqu’aux doigts de pieds qui s’écartent comme pour mieux absorber ce qui se prépare.
-Ahhhh oui, c’est bon, c’est la, ouii bon Dieu elle est bonne cette fille; c’est Mike qui vient d’exploser dans le vagin de Marie-Claude et elle sent la liqueur chaude l’inonder et ruisseler sur ses cuisses.
Dans les minutes qui suivent c’est le tour d’Antoine qui lui rempli le cul d’une liqueur chaude et gluante tout en serrant convulsivement les seins qu’il tenait entre ses mains depuis le début de cette séance de sodomie.
Ces mouvements ont le don d’exciter Marie-Claude qui se sent partir dans un orgasme qui sans être très fort est beaucoup plus long que le précédent ce qui lui permet d’en profiter pleinement tout en appréciant les mouvements alternés des deux queues qui n’ont pas cessés pour autant.
Au bout de quelques minutes, épuisés, vidés, leurs corps se séparent et ils roulent tous les trois sur le lit de Mike, pêle-mêle en essayant de retrouver leur souffle.
Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis son arrivée dans cette famille et elle avait été bien occupé par les enfants d’une part et par Madame Taylor d’autre part qui avait tenu à lui montrer toute la maison et toutes les boutiques où elle avait l’habitude de se servir. Les jeux érotiques avec les enfants avaient été très limité du fait de son emploi du temps et de la surveillance étroite de leur mère. Elle voulait toujours savoir ce qu’ils faisaient. Il n’y avait que le soir qu’elle pouvait vérifier auprès de Marie et de John ses premières impressions et ma foi elle n’avait pas été déçue.
John se branler tous les soirs et il s’arrangeait chaque fois pour jouir juste à son arrivée ce qui donnait lieu parfois à des situations excitantes. Il demandait à Marie-Claude de lui sucer les doigts gluants de sperme, ce qu’elle faisait par jeu, en suçant lentement chacun d’entre eux ce qui avait le don de le faire bander à nouveau. De temps en temps elle prenait alors son sexe entre ses doigts et par de longs mouvements en alternance avec de savants coups de langue elle faisait jouir le petit John qui donnait de grands coups de rein dans le vide en gémissant de plaisir. Après cela, c’est lui qui suçait les doigts de Marie-Claude tout en s’endormant car ces doubles jouissances l’épuisait.
Pour Marie, le coucher était différent. Il donnait lieu à des caresses plus précises, mais pour lesquelles les deux filles devaient faire très attention car la chambre des parents était contiguë à la sienne. Et c’était assez fréquent qu’elles soient obligées de s’interrompre en pleine montée de plaisir car les parents arrivaient. Dans ces cas là, elles en étaient réduites à se branler chacune de leur coté en rêvant à des lendemains meilleurs.
Tout cela laissait Marie-Claude sur sa faim et elle commençait à rêver à des queues bien chaude et bien grosse avec lesquelles elle pourrait jouer toute une nuit. Mais la seule queue à portée de sa main était celle de Monsieur Taylor et elle était inaccessible. Madame Taylor surveillait et se charger de réduire les envies de Monsieur bien au-delà du raisonnable. Les bruits qu’elle entendait à travers les murs, de l’autre coté du couloir, étaient assez éloquents. Madame Taylor avait du tempérament et entendait être satisfaite par son époux aussi souvent que possible et même davantage.
C’est dans cet état d’esprit de frustration accumulées et d’envies non satisfaites que Marie-Claude arriva à son premier week-end de liberté depuis son arrivée à Lyon.
Elle décida donc de partir en chasse et de se farcir le plus grand nombre possible de mecs durant ces deux jours. Elle choisit ses vêtements en conséquence : pas de lingerie fine, des chemisiers suffisamment transparents pour avoir l’air décents, pas de pantalons mais des jupes courtes très moulantes également. Dans le car qui l’amenait vers le centre ville les regards des passagers étaient éloquents mais pas un seul n’osa l’approcher. Ils étaient intimidés par cette jeune fille à l’air si décidé.
-Mince se dit-elle, je leur fais peur. Il faut que je change d’attitude sinon personne ne viendra me draguer.
En descendant du car, elle prit donc un air de jeune fille sage pour marcher dans la rue. Le petit sac à dos qu’elle portait marquait ses seins en les faisant pointer à travers la mince épaisseur du chemisier. Les bouts étaient dressés et cela se voyait. Sa vulve était humide et elle sentait le plaisir monter en elle. Elle entra dans le grand magasin devant lequel elle se trouvait, suivi par deux jeunes gens très intéressé par sa silhouette. Elle les avait repérés et ma foi les trouva plutôt mignons surtout le black. Les grandes manoeuvres avaient commencé. Elle décida de les laisser faire.
Au troisième étage du magasin, ils se décident enfin à passer à l’attaque Il y a moins de monde et volontairement elle se dirige vers le coin le plus isolé. Ils sont près d’elle et le grand black l’interpelle :
-Salut, comment tu t’appelles ? Je ne t’ai jamais vu par ici.
-Marie-Claude, c’est mon prénom dit elle en rougissant légèrement. Cette demande directe l’a un peu désarçonné mais elle se ressaisi très vite.
-Et vous deux c’est quoi vos prénoms,
-Antoine et voici mon pot Mike dit le deuxième garçon.
-Ravie de vous connaître. C’est vrai c’est la première fois que je viens à Lyon, je suis jeune fille au pair dans une famille anglaise. C’est mon premier
week-end de liberté. J’en profite pour me balader.
-On serait ravi de te servir de guide lui dit Antoine en s’inclinant avec un large sourire.
-OK j’accepte très volontiers. Je suis un peu perdue dans cette ville.
-Et si on allait boire un verre plutôt que de rester dans cette boutique. Il fait une chaleur à crever.
-D’accord Mike on y va dit-elle, je vous suis.
Ils passent devant elle et ils rejoignent rapidement la rue et entrent dans un bar situé un peu plus loin sur le même trottoir.
-Qu’est ce que tu bois ? lui demande Antoine.
-Un jus de fruit et vous ?
-De la bière pression.
Le garçon repart avec la commande et revient bientôt avec un plateau chargé de trois verres. C’est Mike qui paye et le garçon les laisse seuls. Ils ont choisi un coin discret du bar où on ne les voit pas du comptoir. Marie-Claude est très excitée et sa vulve est très humide. Elle a envie qu’ils la touchent mais ils n’osent pas encore. C’est elle qui engage la conversation.
-Vous faites quoi dans la vie
-Nous sommes étudiants tous les deux à la fac de lettre. Et ils lui racontent leur vie d’étudiants. Les cours, les soirées, la petite chambre de cité U. C’est surtout Antoine qui parle. Mike lui s’est collé contre Marie-Claude et il a de plus en plus chaud. Marie-Claude a vite réagi à ce contact et la main de Mike est maintenant sur sa cuisse et remonte lentement vers le point le plus chaud. Les cuisses de Marie-Claude se sont ouvertes et le doigt de Mike caresse lentement sa vulve. Elle mouille tout en gémissant. Vite qu’il se dépêche. Qu’il la fourre là sur la table si il veut. Elle veut sa queue dans son ventre mais n’ose pas lui dire comme cela.
Antoine s’est tu. Il a compris la situation et vient se placer de l’autre coté de Marie-Claude et il s’empare de ses seins qu’ils pétri avec douceur mais fermeté. Marie-Claude écarte largement ses cuisses et Mike peut la pénétrer avec deux doigts qu’il fait aller et venir dans sa vulve en feu. Antoine n’a pas perdu de temps non plus et sa langue fouille la bouche de Marie-Claude qui ne lui résiste pas. Elle s’abandonne complètement à leurs caresses. Ses mains n’ont pas perdu de temps et elle tient une queue dans chaque. Les formes sont différentes mais elles sont aussi chaude l’une que l’autre. La taille de celle de Mike est particulièrement imposante. Elle les sent prêtes à jouir mais cherche à faire durer le plaisir de ses partenaires.
Mike le premier a réagi. Il écarte doucement ses doigts de la vulve de Marie-Claude et lui murmure à l’oreille
-Je crois que nous ferions mieux d’aller chez moi nous serions plus tranquilles.
Elle émerge doucement et ouvre les yeux comme si elle sortait d’un rêve. Après quelques secondes, elle a enfin compris la remarque de Mike et acquiesce avec un sourire.
-Tu as raison Mike, allons chez toi nous pourrons faire tout ce dont nous avons envie.
Il réajustent leurs vêtements, finissent leurs verres et sous l’oeil amusé du garçon, quittent le bar en se tenant tous les trois par la taille.
Le trajet vers l’appartement de Mike en car leur semble particulièrement long même si en réalité il de dure qu’un quart d’heure. Pendant tout le trajet ils n’ont pas cessé de la serrer de près et s’ils avaient osé ils l’auraient baisé sur place. C’est donc dans un état d’excitation porté à son plus haut niveau qu’ils entrent chez Mike. Les deux garçons l’entraînent sans un mot dans la chambre et en moins de temps qu’ils ne faut pour le dire elle se retrouve allongée sur le lit, complètement nue et les cuisses largement écartées par les mains autoritaires d’Antoine.
-Vas y Mike commence, elle est prête tu peux la fourrer sans problème. Mike a juste fini de se déshabiller et, sa queue congestionnée se dresse telle un épieu devant la vulve de Marie-Claude qui pousse un petit cri devant un tel engin.
-Doucement s’il te plaît, j’ai peur que tu ma fasse mal murmure-t-elle à l’adresse de Mike. Ca fait longtemps que l’on ne m’a pas baisé.
Mais Mike n’en a cure, au contraire, les craintes de Marie-Claude ne font que l’encourager dans sa démarche et, de toute façon, Antoine la maintien fermement. Il s’approche d’elle et guide son sexe vers la grotte humide. Le gland énorme appuie sur les lèvres de la vulve et d’un geste lent mais ferme il s’enfonce dans le ventre de Marie-Claude qui pousse un long gémissement fait de plaisir et de douleur mélangés. Elle sent le sexe de Mike qui la pénètre, bousculant son petit vagin glissant sur les parois humides jusqu’au plus profond d’elle même.
Quand la queue de Mike touche le fond du vagin elle s’arque boute pour résister mais Mike et sans pitié. Il la maintien fermement en lui bloquant les main au-dessus de sa tête et commence de savants va et vient qui ont le don de faire vibrer Marie-Claude au plus profond de son être. Elle voulait une queue, elle est servie.
Les coups de queue se font de plus en plus rapides et son vagin s’est parfaitement adapté à son invité Elle suit le rythme imposé par Mike et le plaisir l’envahit complètement, ses reins sont brûlants, elle crie, elle gémie.
-Non plus vite, oui continu, tu me tues, c’est bon encore; sa tête roule dans tous les sens, Ahhh encore, ouiiii; Bon sang que c’est bon encore, ouii Ahhhh.
De mini orgasmes la secoue, elle bave de plaisir, elle ne sait plus où elle est, avec qui, son univers se résume à cette queue qui va et vient.
Antoine a libéré ses jambes et elle peut maintenant s’en servir pour entourer le torse de Mike. Son plaisir s’en trouve augmenté et elle suit son rythme.
-Antoine qu’est ce que tu fait ? Cria-t-elle d’un seul coup. Elle a senti un doigt qui s’enfonce dans son anus et cela l’a surprise.
-Je t’encule ma belle, les pouliches dans ton genre sont faites pour tout accepter; et joignant le geste à la parole il enfonce un deuxième doigt dans son cul. Marie-Claude à poussé un cri mais vite étouffé par un baiser de Mike dont la langue fouille sa bouche avec ardeur. Elle est prise de tous les cotés et dans un dernier sursaut elle s’abandonne complètement à ses deux amants. Elle est prête à tout maintenant, tout ce qu’elle veut c’est jouir, jouir toute la nuit sans s’arrêter.
Son premier orgasme la prend par surprise et lui coupe le souffle. Tout son corps a vibré et un long frisson l’a parcouru des pieds à la tête. Mike ne s’est pas arrêté pour autant. Il continu à la fourrer mais d’un mouvement de reins puissant il la fait passer sur lui et elle se retrouve à cheval sur sa queue. Antoine a suivi le mouvement avec ses doigts et il peut sentir la queue de son ami à travers la cloison vaginale. Mais ce n’est pas ce qu’il veut faire. Maintenant que l’anus est dilaté, il retire ses doigts et s’emparant d’un tube de vaseline, il en badigeonne l’entrée généreusement. D’un geste rapide il a sorti sa queue qu’il introduit dans l’anus de Marie-Claude. Elle pousse un cri de douleur mais une grande claque sur les fesses lui fait comprendre qu’elle n’a rien à dire. Mike rigole.
-Ca y est, tu l’a eu, depuis le temps que tu rêvais d’enculer une jolie fille, tu as réussi. Et maintenant voyons ce qu’elle a dans le ventre. Vas y défonce la, je te suis.
Marie-Claude sent les deux queues se mouvoir alternativement dans son cul et son vagin. La sensation est énorme, elle se sent complètement à nu, son intimité la plus secrète vient d’être profané et ....elle aime ça. Les mouvements des garçons s’accélèrent et elle les suit aussi vite qu’elle peut. Elle a perdu toute notion de la réalité, seule compte la jouissance qu’elle sent monter en elle forte, puissante, gigantesque, comme jamais elle n’en a connue. Mike et Antoine ne sont pas en reste, eux aussi sont parcouru de frissons, ils ont chaud dans les reins et jusqu’aux doigts de pieds qui s’écartent comme pour mieux absorber ce qui se prépare.
-Ahhhh oui, c’est bon, c’est la, ouii bon Dieu elle est bonne cette fille; c’est Mike qui vient d’exploser dans le vagin de Marie-Claude et elle sent la liqueur chaude l’inonder et ruisseler sur ses cuisses.
Dans les minutes qui suivent c’est le tour d’Antoine qui lui rempli le cul d’une liqueur chaude et gluante tout en serrant convulsivement les seins qu’il tenait entre ses mains depuis le début de cette séance de sodomie.
Ces mouvements ont le don d’exciter Marie-Claude qui se sent partir dans un orgasme qui sans être très fort est beaucoup plus long que le précédent ce qui lui permet d’en profiter pleinement tout en appréciant les mouvements alternés des deux queues qui n’ont pas cessés pour autant.
Au bout de quelques minutes, épuisés, vidés, leurs corps se séparent et ils roulent tous les trois sur le lit de Mike, pêle-mêle en essayant de retrouver leur souffle.
Dim 28 oct 2007
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