plaisir et jouissance
Des minutes, des heures peut-être se sont écoulées depuis leur joute amoureuse, mais Marie-Claude n’en a cure. Son corps s’est séparé de son esprit qui flotte quelque part loin dans un monde radieux, plein de calme et de volupté. Plus de douleur, plus de sensation c’est la détente absolue que seul l’amour peut vous apporter sans danger. On peut le consommer sans modération !
Elle somnole avec ses deux amants qui dorment comme des enfants. Rien ne semble vouloir troubler leur sommeil en cette fin d’après-midi. Marie-Claude, elle, éprouve le besoin de bouger, elle a envie d’uriner et il y a urgence. Elle se lève aussi doucement que possible, sans réveiller les deux autres. Ils sont mignons comme cela ; cette pensée la fait sourire, mais elle espère néanmoins qu’ils retrouvent rapidement des forces.
Sans tirer la chasse d’eau pour ne pas faire de bruit, elle se glisse dans la cuisine car elle a un petit creux. Dans le frigo elle trouve son bonheur, du fromage et des yaourts qu’elle entame de bon appétit.
Deux coups frappés à la porte d’entrée la tire de sa rêverie et elle se lève pour aller ouvrir mais s’arrête aussitôt car elle est entièrement nue. Les coups recommencent.
-Mike tu es là, c’est Joana dit une voix féminine ?
Marie-Claude se décide à répondre car elle a fait tomber sa cuillère par terre et le bruit n’a pas échappé à l’inconnue qui renouvelle son appel.
-Un instant j’arrive, répond Marie-Claude tout en retournant dans la chambre pour récupérer un T-shirt, celui de Mike, qui lui arrive aux genoux.
Marie-Claude ouvre la porte et se trouve nez à nez avec une superbe femme noire d’environ 25 ans qui est aussi surprise qu’elle.
-Bonjour, tu es qui toi ? Qu’es ce que tu fait dans cette tenue chez moi?
-Euhhh, salut répond Marie-Claude en rougissant, je suis Marie-Claude, une amie de Mike et Antoine.
-Une amie de mon mari et quasi à poil, tu plaisantes j’espère ?
-Attendez je vais vous expliquer.
-Pas la peine, mon chou, j’ai compris. Mike t’a emmené ici et tu t’es faite enfilée par ces deux bons à rien. Bravo. Ils t’ont bien baisé au moins, Mike n’est pas mauvais quand il veut bien s’en donner la peine.
Tout en parlant elle s’est approché de la chambre pour jeter un oeil et elle aperçoit les deux hommes endormis.
-Eh bien ma salope tu les a bien eu on dirait. Moi qui venait me détendre un peu, c’est râpé. A moins que...
Sa phrase est restée en suspend mais ses yeux ont parlé pour elle. Elle plante son regard dans celui de Marie-Claude et lui ordonne brusquement de se déshabiller.
Marie-Claude, interloquée hésite une seconde mais une paire de gifles la réveille d’un coup et elle enlève le T-shirt aussi vite qu’elle peut.
-Mets tes mains derrière ton dos. Oui comme cela, c’est bien.
Les seins de Marie-Claude se dressent fièrement, mais ce n’est pas ce qui intéresse Joana pour le moment. Elle passe derrière Marie-Claude et lui attache les mains avec une ceinture qui traînait sur une chaise. Elle serre très fort le lien ce qui fait gémir Marie-Claude.
-Gardes ton souffle pour tout à l’heure, tu en auras besoin. Elle enlève sa robe et, tout en étant derrière Marie-Claude, elle commence à la caresser, le dos puis les cuisses qu’elle écarte très largement, puis les fesses entre lesquelles elle glisse un doigt autoritaire. Mais il glisse dans l’anus de Marie-Claude grâce au sperme d’Antoine et Joana pousse un grognement de satisfaction en enfonçant le doigt au plus profond de son intimité. Marie-Claude gémie de plaisir ou de douleur, elle ne sait déjà plus. Son anus vibre sous les caresses de Joana, c’est une experte en enculage, elle connaît cette grotte ténébreuse, et en explore les milles et une facettes. Marie-Claude est écartelée et sa chatte se mouille de plus en plus. Joana en a conscience, et elle insiste tout en explorant le vagin de Marie-Claude avec son autre main.
Ce petit jeu continu longtemps et Marie-Claude est totalement soumise à la volonté de Joana.
-Je crois que tu es une bonne affaire finalement, voyons voir si ta langue est douée pour les caresses. Viens ici.
-Oui madame, répond Marie-Claude qui se souvient de la gifle qu’elle a reçue.
-Ah, c’est bien, je vois que tu apprends vite. D’ailleurs cela me donne une idée. Je pense que je vais t’utiliser autrement. Et aussitôt dit, elle s’approche de Marie-Claude pour la détacher et l’envoie se rhabiller en silence. Marie-Claude revient avec tous ses habits et son sac à dos, mais Joana ne lui laisse que sa jupe et son chemisier. Pas de sous vêtements, pas de papier d’identité ni d’argent.
-Je te rendrais tout ça quand tu m’auras donné entièrement satisfaction, lui dit Joana.
Marie-Claude frémi de peur et de plaisir mêlés. Que lui voulait donc cette maîtresse femme ? La suite des événements allait lui apporter la réponse.
Elle somnole avec ses deux amants qui dorment comme des enfants. Rien ne semble vouloir troubler leur sommeil en cette fin d’après-midi. Marie-Claude, elle, éprouve le besoin de bouger, elle a envie d’uriner et il y a urgence. Elle se lève aussi doucement que possible, sans réveiller les deux autres. Ils sont mignons comme cela ; cette pensée la fait sourire, mais elle espère néanmoins qu’ils retrouvent rapidement des forces.
Sans tirer la chasse d’eau pour ne pas faire de bruit, elle se glisse dans la cuisine car elle a un petit creux. Dans le frigo elle trouve son bonheur, du fromage et des yaourts qu’elle entame de bon appétit.
Deux coups frappés à la porte d’entrée la tire de sa rêverie et elle se lève pour aller ouvrir mais s’arrête aussitôt car elle est entièrement nue. Les coups recommencent.
-Mike tu es là, c’est Joana dit une voix féminine ?
Marie-Claude se décide à répondre car elle a fait tomber sa cuillère par terre et le bruit n’a pas échappé à l’inconnue qui renouvelle son appel.
-Un instant j’arrive, répond Marie-Claude tout en retournant dans la chambre pour récupérer un T-shirt, celui de Mike, qui lui arrive aux genoux.
Marie-Claude ouvre la porte et se trouve nez à nez avec une superbe femme noire d’environ 25 ans qui est aussi surprise qu’elle.
-Bonjour, tu es qui toi ? Qu’es ce que tu fait dans cette tenue chez moi?
-Euhhh, salut répond Marie-Claude en rougissant, je suis Marie-Claude, une amie de Mike et Antoine.
-Une amie de mon mari et quasi à poil, tu plaisantes j’espère ?
-Attendez je vais vous expliquer.
-Pas la peine, mon chou, j’ai compris. Mike t’a emmené ici et tu t’es faite enfilée par ces deux bons à rien. Bravo. Ils t’ont bien baisé au moins, Mike n’est pas mauvais quand il veut bien s’en donner la peine.
Tout en parlant elle s’est approché de la chambre pour jeter un oeil et elle aperçoit les deux hommes endormis.
-Eh bien ma salope tu les a bien eu on dirait. Moi qui venait me détendre un peu, c’est râpé. A moins que...
Sa phrase est restée en suspend mais ses yeux ont parlé pour elle. Elle plante son regard dans celui de Marie-Claude et lui ordonne brusquement de se déshabiller.
Marie-Claude, interloquée hésite une seconde mais une paire de gifles la réveille d’un coup et elle enlève le T-shirt aussi vite qu’elle peut.
-Mets tes mains derrière ton dos. Oui comme cela, c’est bien.
Les seins de Marie-Claude se dressent fièrement, mais ce n’est pas ce qui intéresse Joana pour le moment. Elle passe derrière Marie-Claude et lui attache les mains avec une ceinture qui traînait sur une chaise. Elle serre très fort le lien ce qui fait gémir Marie-Claude.
-Gardes ton souffle pour tout à l’heure, tu en auras besoin. Elle enlève sa robe et, tout en étant derrière Marie-Claude, elle commence à la caresser, le dos puis les cuisses qu’elle écarte très largement, puis les fesses entre lesquelles elle glisse un doigt autoritaire. Mais il glisse dans l’anus de Marie-Claude grâce au sperme d’Antoine et Joana pousse un grognement de satisfaction en enfonçant le doigt au plus profond de son intimité. Marie-Claude gémie de plaisir ou de douleur, elle ne sait déjà plus. Son anus vibre sous les caresses de Joana, c’est une experte en enculage, elle connaît cette grotte ténébreuse, et en explore les milles et une facettes. Marie-Claude est écartelée et sa chatte se mouille de plus en plus. Joana en a conscience, et elle insiste tout en explorant le vagin de Marie-Claude avec son autre main.
Ce petit jeu continu longtemps et Marie-Claude est totalement soumise à la volonté de Joana.
-Je crois que tu es une bonne affaire finalement, voyons voir si ta langue est douée pour les caresses. Viens ici.
-Oui madame, répond Marie-Claude qui se souvient de la gifle qu’elle a reçue.
-Ah, c’est bien, je vois que tu apprends vite. D’ailleurs cela me donne une idée. Je pense que je vais t’utiliser autrement. Et aussitôt dit, elle s’approche de Marie-Claude pour la détacher et l’envoie se rhabiller en silence. Marie-Claude revient avec tous ses habits et son sac à dos, mais Joana ne lui laisse que sa jupe et son chemisier. Pas de sous vêtements, pas de papier d’identité ni d’argent.
-Je te rendrais tout ça quand tu m’auras donné entièrement satisfaction, lui dit Joana.
Marie-Claude frémi de peur et de plaisir mêlés. Que lui voulait donc cette maîtresse femme ? La suite des événements allait lui apporter la réponse.
Dim 4 nov 2007
1 commentaire
chapitre un peu décevant ...
Florent - le 14/11/2007 à 21h40