plaisir et jouissance
La voiture de Joana dans laquelle elles étaient montées, roulait maintenant depuis 10 minutes. Les deux femmes avaient bouclé leur ceinture et aucune des deux n’avait encore ouvert la bouche. C’est Marie-Claude qui parla la première.
-C’est encore loin Joana lui demanda-t-elle?
-Madame ! pas Joana, seuls les femmes ou les hommes avec qui j’ai fait l’amour de manière très satisfaisante ont le droit de m’appeler par mon prénom. Que je n’ai pas à te le répéter. Compris ?
-Oui, Madame. Est ce que c’est encore loin, Madame ? Le ton de sa voix cette fois est timide voire apeuré.
-Oui nous devons encore rouler une bonne demi-heure. Je possède une petite maison de campagne dans laquelle tout est prévu pour mon plaisir personnel. Tu verras, je suis sûre que tu apprécieras ! Un éclat de rire ponctue cette dernière phrase ce qui a le don de faire frémir Marie-Claude. Entre quelles mains est-elle tombée ? Que va-t-il lui arriver ?
Elle frissonne, la main de Joana vient de se poser sur sa cuisse et elle l’oblige à écarter les jambes largement. Sa chatte est offerte aux regards des passants mais peu s’en aperçoivent. Seul un chauffeur de bus klaxonne quand Joana le double, il aimerait bien être dans la voiture avec ces deux femmes. Mais voilà, ce n’est pas pour lui! La main de Joana s’est emmêlée dans les poils du pubis d’Marie-Claude et elle tire un peu dessus histoire de voir. Marie-Claude, sous l’effet de ce geste, avance son ventre jusqu’à se trouver assise en limite du siège. La ceinture de sécurité la tire en arrière mais la main de Joana la tire en avant. Finalement un équilibre est trouvé ce qui permet à Joana de branler délicatement le clitoris humide d’Marie-Claude.
Et elle sait y faire. Le plaisir grandi dans les reins et le bas-ventre de Marie-Claude qui a du mal à se retenir de jouir. Joana est diabolique, elle la laisse en permanence au bord de l’orgasme sans jamais la finir. Cela dure une bonne partie du voyage et Marie-Claude a des courbatures car la position n’est pas des plus confortable.
Joana arrête la voiture devant un portail et, laissant la chatte de Marie-Claude en feu, elle lui ordonne d’aller ouvrir le portail.
-Tout de suite Jo.., non Madame, excusez-moi. Et elle sort de la voiture en courant jusqu’au portail. Elle l’ouvre sans difficulté et laisse passer la voiture
pour le refermer immédiatement derrière. Ca y est, elle est dans l’antre de sa maîtresse pour le meilleur et pour le pire. De toute façon, elle ne peut plus reculer, c’est Joana qui a toutes ses affaires.
-Marie-Claude reviens vite, tu traînes, dépêches toi, vide le coffre et monte tout dans la cuisine. Vite, je n’aime pas attendre !
Marie-Claude a rougi mais s’est exécutée très rapidement, elle ne veut pas mettre Joana en colère, elle a un peu peur. Joana pendant ce temps s’est installée sur le canapé du salon, sa jupe largement remontée sur ses cuisses longilignes. Marie-Claude, ayant terminé son travail, revient vers Joana pour attendre les ordres de sa nouvelle maîtresse.
-Bien, je vois avec plaisir que tu as fait vite. Bon, voyons voir un peu le programme. Je vais aller prendre un bon bain et me préparer pour nos ébats. Pendant ce temps, tu vas finir de ranger la cuisine, faire la vaisselle. Ah au fait déshabilles toi entièrement, pas de bijoux non plus, rien qui ne t’appartienne.
Marie-Claude s’exécute et donne tout ce qu’elle avait sur elle à Joana qui les fourre dans le sac à dos de Marie-Claude qu’elle enferme à double tour dans une armoire.
-Voilà, à partir de maintenant tu es à moi. Tu trouveras un petit tablier de servante à la cuisine. Mets le, ce sera suffisant pour ce que tu as à faire.
Marie-Claude part vers la cuisine où elle trouve effectivement un tablier blanc qui lui couvre à peine le bas-ventre, et monte jusque sous ses seins qui restent ainsi visibles à qui veut bien les voir. Ses fesses, bien entendu, restent à l’air libre, accessible à toutes les mains baladeuses ou au martinet qu’elle voit accrocher au mur de la cuisine. Elle frémit en pensant à ce qu’il peut lui arriver si elle ne satisfait pas Joana. Elle se met donc au travail avec ardeur, bien décidée à entrer dans les grâces de Joana et à répondre à tous ses désirs qui pourraient bien rejoindre rapidement les siens d’ailleurs. Elle se passe une main sur la chatte en gémissant et en serrant ses cuisses très fort jusqu’à éprouver un semblant d’orgasme qui la laisse tremblante, se cramponnant au bord de la table.
-Je deviens folle, dit elle à mi-voix. Cette femme m’a envoûtée, c’est pas possible autrement.
-Qu’est ce que tu dis, Marie-Claude, tu parles toute seule maintenant, lui demande Joana depuis la salle de bain.
-Non, Madame, je me suis cognée en voulant attraper le plat qui est dans le four.
-Et tu en as profité pour jouir un coup petite salope, viens ici ! la voix de Joana s’est brusquement durcie et Marie-Claude se précipite dans la salle de bain.
-Oui Madame je suis là, que dois-je faire ?
-Regardes moi en face et jure moi que tu n’as pas joui toute seule dans la cuisine. Alors, j’attends!
Marie-Claude est rouge de confusion, elle baisse la tête et bredouille trois mots d’excuse.
-Je .., je ne le ferais plus Madame c’est promit.
La main de Joana a volé si vite que Marie-Claude ne l’a pas vu venir. Le téton de son sein droit est prisonnier des doigts de Joana qui le pince fortement. Marie-Claude pousse un cri de douleur et des larmes perlent à ses paupières. Joana souri
-Bon ça ira pour cette fois, mais la prochaine fois tu me demanderas la permission avant de te branler, compris ?
-..Oui .Madame, c’est promis.
-OK, retourne à ton travail et fais le vite, j’ai bientôt fini de me laver.
Marie-Claude la tête basse retourne à la cuisine et s’empresse de faire le travail que Joana lui a demandé. La cuisine est vraiment sale et elle frotte avec énergie tous les plats qui traînaient sur l’évier. La sueur coule sur son front mais rien ne peut l’arrêter maintenant. La cuisine sera propre et bien rangée. Elle l’a promis à Joana et elle lui obéira.
De la salle de bain lui parvient une douce musique, c’est Joana dans sa baignoire qui fredonne des chansons à la mode. Puis elle l’entend qui sort de l’eau. Joana se prépare pour la fête charnelle qui s’annonce et dont elle, Marie-Claude, sera la reine....ou la victime ; elle ne le sait pas encore et cette pensée la perturbe tout en lui donnant des frissons dans le bas-ventre.
Joana la rejoint dans la cuisine pour inspecter son travail. Marie-Claude vient juste de poser le torchon sur son crochet et, tête baissée, les mains jointes derrière le dos attend le jugement de sa maîtresse. C’est bien ce qu’elle est devenue, l’esclave de Joana, pour le meilleur et pour le pire.
Elle attend le verdict. Joana tourne dans la cuisine, sans rien dire. Elle vérifie tout, passant un doigt inquisiteur sur un couvercle, vérifiant le rangement des plats et des assiettes. Bref une inspection détaillée, comme à l’armée.
En passant devant le martinet accroché au mur, elle le décroche ce qui fait frissonner Marie-Claude.
-Tournes toi et penches toi en avant !
Marie-Claude s’exécute en tremblant craignant le pire. Jusqu’où Joana va-t-elle l’emporter? Un premier coup de fouet tombe sur ses magnifiques fesses, suivi de plusieurs autres donnés avec vigueur.
-Aïe, aïe, tu me fais mal Joana, pitié, mon travail est-il si mal fait ? j’ai pas mérité d’être fouettée comme cela.
-Je le sais ma belle, mais n’oublie pas que tes mains t’ont fait jouir sans mon autorisation. Ton travail par ailleurs est bien fait mais n’est pas parfait. Tu recommenceras tout à l’heure. Pour le moment j’espère que ces quelques coups de martinet te feront du bien. La prochaine fois tu seras moins ...indépendante. Bien maintenant direction la salle de bain pour te laver car tu pus ma belle et dans l’état où tu es je devrais de mettre dans la niche du jardin, pas dans ma chambre.
Marie-Claude se dirige vers la salle de bain et, une fois devant la baignoire attend les ordres de Joana.
- Enlèves ce tablier et plonge toi dans ce bain moussant, je vais te laver à ma façon.
Marie-Claude pénètre dans la baignoire et gémie car l’eau est très chaude. Joana la bouscule un peu pour qu’elle rentre dans l’eau plus vite.
-Lave-toi maintenant, ce que Marie-Claude fait avec un certain plaisir car l’eau chaude la détend complètement et lui fait un bien énorme. Elle ne ressent plus la brûlure du martinet.
Pendant ce temps Joana a attrapé un gant de crin et commence à frotter vigoureusement le corps d’Marie-Claude. Tout y passe, le dos puis les jambes, le ventre et les seins, les fesses et enfin l’entre jambe ce qui fait sursauter Marie-Claude sous l’effet de l’action du gant.
Marie-Claude est debout dans la baignoire et son corps est devenu tout rouge sous les caresses de Joana.
-Parfait, tu ressembles à une écrevisse. Sors de la baignoire et mets toi sous la douche.
Marie-Claude s’exécute et Joana ouvre le robinet d’eau froide de la douche. Marie-Claude crie et veut sortir, mais Joana la maintien sous le jet d’eau froide et l’oblige à se rincer complètement. Marie-Claude frissonne mais en même temps elle se sent parfaitement propre et détendue. L’eau froide s’arrête enfin de couler et Joana l’entoure d’une serviette douce et parfumée ce qui achève de la détendre.
-Je vais préparer à boire, profites en pour te faire une beauté en mon honneur.
Marie-Claude regarde ce qu’il y a sur les étagères de la salle de bain et après avoir sélectionné les bons ingrédients, commence à se maquiller et à se coiffer.
Un quart d’heure après elle sort de la salle de bain et rejoint Joana dans le salon. Deux verres sont prêts sur la table, remplis de punch et Joana lui en tend un.
-A ta santé ma chérie et à nos amours, ce week-end doit rester un bon souvenir entre nous. J’espère que tu es d’accord ?
-Oui Madame, je ferais tout ce qu’il faut pour qu’il en soit ainsi. A ta santé.
Les deux filles trinquent ensemble et sirotent en silence leur punch. Joana a les yeux qui brillent et Marie-Claude sens sa tête tourner un peu sous l’effet de l’alcool.
Quand Joana a fini son verre, elle prend Marie-Claude par la taille et l’entraîne vers sa chambre.
-Viens vite me montrer de quoi tu es capable, je suis déjà toute mouillée à l’idée de faire l’amour avec toi.
Les deux filles enlacées, tombent sur le grand lit de Joana et c’est Joana qui dirige la joute amoureuse. Sa langue est active et pénètre dans la bouche de Marie-Claude pour se mêler à sa langue. Leurs baisers sont sans fin et elles roulent l’une sur l’autre alternativement. C’est une espèce de lutte dont une des deux doit sortir vainqueur. Marie-Claude peut encore vaincre mais, petit à petit elle sent qu’elle faibli. Elle est plus jeune et moins forte physiquement que Joana et de plus elle a déjà baisé cet après-midi. Cela l’a passablement épuisée.
Au bout de dix minutes de baisers fougueux, elle ne résiste plus et Joana peut s’emparer complètement de sa bouche sans qu’elle n’oppose de résistance. Ce coup ci elle est bien vaincue, elle n’a pas su prendre sa dernière chance et voluptueusement elle accepte son sort.
Joana aborde un sourire triomphant.
-Ca-y-est, cette fois tu acceptes d’être à moi, tu m’obéiras ? Si c’est oui tu pourras m’appeler par mon prénom.
-Oui mad..., oui Joana, je suis à toi, demandes moi ce que tu veux, je le ferais. Tu m’as complètement maîtrisé, c’est la première fois que cela m’arrive. J’avais plutôt l’habitude de dominer, même les garçons, mais là je m’avoue vaincue. Je suis ton esclave. Demandes.
Joana se relève et se dirige vers son armoire. Elle ouvre les deux porte et Marie-Claude voit apparaître une collection de sous-vêtements tous plus coquin les uns que les autres, des robes transparentes, une paire de menottes et une série de godemichés de taille très variables. Joana fouille un peu et s’empare d’un objet qu’elle montre à Marie-Claude.
-Voilà notre homme dit-elle en riant !
L’objet en question est effectivement un double sexe masculin monté sur une culotte faite de lanières de cuir. Le membre placé à l’intérieur de la culotte s’enfonce dans le vagin de « l’homme » et le deuxième membre plus conséquent est destiné à bourrer la partenaire.
-Vient ici Marie-Claude que je t’équipe; tu seras mon homme et j’espère que tu seras à la hauteur. De toute manière le martinet te remettra rapidement dans la cadence si tu ralentis. Allez enfile cela comme un slip.
Marie-Claude s’exécute et commence par s’enfoncer le sexe intérieur ce qui ne manque pas de la faire frissonner car il est long et vient heurter le fond de sa matrice.
Ensuite elle attache les sangles mais Joana vient derrière elle et les serre bien plus que ce qu’avait fait Marie-Claude. Les lanières pénètrent dans ses chairs notamment celle qui passe entre ses deux fesses et son clitoris est totalement pris dans le support en cuir qui tient les deux membres assemblés en opposition.
-Bien, maintenant marche un peu dans la chambre que je vérifie le montage.
Marie-Claude marche de long en large, les mains sur la tête comme le lui a indiqué Joana. Elle sent le sexe qui bouge dans son vagin et elle ne peut s’empêcher de frémir ce que remarque sa maîtresse.
Joana l’arrête et vérifie la tension des lanières. Elle resserre celle de la taille qui avait un peu bougée.
-Et maintenant viens me montrer ton coup de rein, j’espère qu’il fera au moins aussi bien que celui de tes amants de cet après-midi.
Joana s’est allongée confortablement sur le lit, a écarté lentement ses cuisses tout en se caressant la vulve qui est luisante sous la lumière. Elle replie ses jambes tout en creusant ses reins et Marie-Claude voit apparaître nettement l’anus et la vulve couverte d’un fin duvet noir. Elle reste un moment immobile devant cette vision anatomique mais la voix rauque de Joana qui l’invite à la pénétration la ramène à la réalité. Elle s’avance à genoux sur le lit et s’allongeant doucement entre les cuisses musclées de Joana fait lentement glisser son membre dans le vagin de sa partenaire. Joana gémit de plaisir et attrape les seins de Marie-Claude qu’elle malaxe doucement. Leurs souffles se mêlent et Joana pousse un petit cri de plaisir quant le sexe de Marie-Claude touche le fond du paradis.
Marie-Claude embrasse Joana qui se laisse faire, mais elle sait qu’elle ne pourra pas renverser les rôles sans son consentement. Rapidement, Joana reprend le dessus et mord la langue de Marie-Claude qui à son tour pousse un cri de douleur.
-Ne croit pas que tu vas me vaincre petite salope, maintenant que tu as bien compris la leçon, bouges toi et fait moi jouir toute la nuit si tu peux. ne t’inquiètes pas, je saurais ranimer ta flamme si tu te laisses aller.
Marie-Claude commence à donner des coups de reins maladroitement d’abord mais les minutes passant, elle améliore sa technique et bientôt elle entend Joana roucouler de plaisir et qui l’encourage de la voix.
-Vas-y, baise moi, oui comme cela, tu vaux presque mieux que Mike, pourtant celui-là quand il me bourre c’est un génie. Oui continue, Ahh! encore salope plus vite ou je te fouette, Ahh...oui! oui! Ahhhhh un premier orgasme foudroie Joana qui a du mal à reprendre son souffle. Mais Marie-Claude continue comme elle en a reçu l’ordre. De son coté elle n’est pas insensible à ses propres coups de rein. Lentement le plaisir monte en elle sans qu’elle puisse le refouler. Si elle jouie maintenant, elle ne pourra plus baiser Joana et elle sera fouettée, mais d’un autre coté si elle ralentie le rythme, elle sera également fouettée. Alors tant pis, autant prendre du plaisir et on verra bien ce qui arrivera. Il ne lui faut pas longtemps pour atteindre le même niveau de plaisir que Joana et un violent orgasme l’emporte à son tour. Elle s’écroule haletante sur Joana qui la serre dans ses bras en l’embrassant.
-Eh bien ma salope, tu ne t’embêtes pas toi non plus, mais maintenant il faut continuer ce n’est que le début, la nuit est encore longue.
Lentement Marie-Claude recommence à donner des coups de reins qui maintenant sont bien ajustés et elle sent que Joana est repartie dans son plaisir.
La suite lui donna raison et de longues heures durant elle fut l’amant de Joana qui enchaîna orgasme après orgasme, et chaque fois que Marie-Claude ralentissait le martinet lui redonnait du courage. Ses fesses étaient rouges mais ce n’était pas le souci de Joana; seul son plaisir lui importait.
Après plusieurs heures de plaisir continu, Joana renversa Marie-Claude sur le coté du lit et commença à détacher le double sexe.
-A moi de jouer maintenant
et joignant le geste à la parole elle enfile à son tour le gadget et retournant Marie-Claude comme une crêpe, elle lui écarte largement les cuisses, lui ramène les bras dans le dos qu’elle attache avec une petite cordelette. Puis elle prend de la vaseline et tartine joyeusement l’anus de Marie-Claude qui, comprenant ce qui va lui arriver essaye de se sauver mais Joana a vite fait de la calmer et la couleur de ses fesses prend une nouvelle fois la couleur rouge vif.
-Voyons voir si ton cul sait se montrer aussi souple que ton vagin.
Elle s’allonge sur Marie-Claude et poussant son nouveau sexe d’un bon coup de rein elle encule Marie-Claude d’un coup sec. Marie-Claude hurle de douleur ce qui a le don d’exciter Joana.
-Oui, tu as raison de hurler mais garde ton souffle ce n’est qu’un avant goût de la suite. Ton cul doit m’appartenir aussi alors détends toi et profites
Plus facile à dire qu’à faire et les premiers coup de queue de Joana dans son anus sont relativement douloureux, mais petit à petit le cul de Marie-Claude s’adapte à son nouveau maître et elle commence à ressentir les prémices d’un plaisir qui s’annonce intense bien que différent de ce qu’elle a connu jusqu’à présent.
La main de Joana s’est glissée sur son clitoris qu’elle branle doucement et bientôt Marie-Claude entre dans une transe que Joana maîtrise parfaitement. Elle accélère ou ralentie les coups de queue selon la montée du plaisir de sa partenaire. Elle la maintient ainsi au bord de l’orgasme sans jamais la faire basculer. mais la nature est ainsi faite que cette situation ne dure pas très longtemps et Marie-Claude entre dans un formidable orgasme anal que Joana accompagne en la branlant encore et encore.
-Oh Joana, je t’aime, jamais avant toi je n’avais ressentie un tel plaisir. Demandes moi ce que tu veux, j’obéirais, je t’appartiens désormais. Oh oui encore branles moi, c’est si bon. Oui encore.
Marie-Claude est secouée de petits orgasmes et de grands frissons qui parcourent sa colonne vertébrale de bas en haut et de haut en bas. Quel plaisir, quelle leçon d’amour vient-elle de recevoir. Jamais elle ne l’oubliera.
Joana la détache et retire son sexe, elle le tend à Marie-Claude et lui donne l’ordre de le remettre ce que fait Marie-Claude. C’est au tour de Joana de s’allonger sur le ventre en écartant les jambes.
-A toi de me faire goûter les plaisirs de la sodomie, mais n’oublie pas la vaseline.
Marie-Claude s’empare du tube de vaseline qui traînait sur le lit et pose une grosse goutte de ce produit miraculeux sur son index. Elle l’enfonce délicatement dans l’anus de Joana qui se cambre involontairement tout en appréciant la pénétration. Marie-Claude lui masse l’anus doucement et plusieurs fois de suite elle recommence l’opération de lubrification préliminaire. Puis elle s’allonge sur sa maîtresse et la pénètre doucement en s’arrêtant chaque fois qu’elle sent une résistance des muscles annulaires. Finalement elle encule complètement Joana qui gémit doucement. Marie-Claude commence ses va et vient comme Joana le lui a montré tout à l’heure et les mêmes causes provoquant en général les mêmes effets, c’est au tour de Joana de connaître les spasmes orgasmiques suivi de frissons lombaires qui ne semble plus finir.
Plusieurs fois elle a crié le nom de son amant, ses mains se sont refermées sur celles de Marie-Claude et se pourrait il qu’elle l’aime ? Marie-Claude ne sait plus trop quoi penser mais les coups de martinet qu’elle a déjà reçus la rendent prudente. Joana s’est dégagé de l’emprise de Marie-Claude et l’a attirée contre elle.
-Viens là ma douce esclave, tu m’as donné un merveilleux plaisir que je n’oublierais jamais. Je t’aime mais tu resteras quand même mon esclave car c’est comme cela que je t’aime. Douce et obéissante, soumise à mes ordres et capable de me faire jouir et de jouir aussi.
Tout en disant cela Joana couvre Marie-Claude de petits baisers sur son cou, ses seins, ses lèvres et ses doigts la caresse amoureusement.
Marie-Claude ne sait plus quoi penser. Elle veut bien Joana comme amante et faire l’amour avec elle mais doit-elle pour cela être son esclave ? Bien sûr cette idée l’excite mais la gêne aussi. Joana a senti ses réticences et lui propose d’aller boire un verre au salon ensemble, ce qu’elle font en se tenant par la main. Mais Marie-Claude a toujours son sexe mâle attaché entre les jambes, ce que Joana trouve très bandant. Marie-Claude fait le service et les deux filles boivent une bonne coupe de champagne bien frappé.
Joana lève son verre à la santé de Marie-Claude qui fait la même chose de son côté et ce verre scelle leur couple. Marie-Claude sans vraiment s’en apercevoir a basculé du côté de Joana et leurs relations futures seront marquées par cette folle nuit.
-Bien, allons nous coucher maintenant, il ne nous reste plus que trois heures à dormir avant de reprendre le boulot. Viens ici Marie-Claude, tu dormiras au pied de mon lit. Tu gardes ton sexe mais défense de jouir sans mon autorisation, c’est bien compris ?
-Oui, j’ai compris, mais où est le matelas, je ne vois rien.
-Attrape le sous le lit et si tu veux dormir dessus gonfles le !
Marie-Claude s’exécute et durant de longues minutes elle souffle dans le tube qui permet de gonfler le matelas sur lequel elle fini par s’allonger et s’endormir très vite d’un sommeil lourd, peuplé de rêves pas toujours très sages.
-C’est encore loin Joana lui demanda-t-elle?
-Madame ! pas Joana, seuls les femmes ou les hommes avec qui j’ai fait l’amour de manière très satisfaisante ont le droit de m’appeler par mon prénom. Que je n’ai pas à te le répéter. Compris ?
-Oui, Madame. Est ce que c’est encore loin, Madame ? Le ton de sa voix cette fois est timide voire apeuré.
-Oui nous devons encore rouler une bonne demi-heure. Je possède une petite maison de campagne dans laquelle tout est prévu pour mon plaisir personnel. Tu verras, je suis sûre que tu apprécieras ! Un éclat de rire ponctue cette dernière phrase ce qui a le don de faire frémir Marie-Claude. Entre quelles mains est-elle tombée ? Que va-t-il lui arriver ?
Elle frissonne, la main de Joana vient de se poser sur sa cuisse et elle l’oblige à écarter les jambes largement. Sa chatte est offerte aux regards des passants mais peu s’en aperçoivent. Seul un chauffeur de bus klaxonne quand Joana le double, il aimerait bien être dans la voiture avec ces deux femmes. Mais voilà, ce n’est pas pour lui! La main de Joana s’est emmêlée dans les poils du pubis d’Marie-Claude et elle tire un peu dessus histoire de voir. Marie-Claude, sous l’effet de ce geste, avance son ventre jusqu’à se trouver assise en limite du siège. La ceinture de sécurité la tire en arrière mais la main de Joana la tire en avant. Finalement un équilibre est trouvé ce qui permet à Joana de branler délicatement le clitoris humide d’Marie-Claude.
Et elle sait y faire. Le plaisir grandi dans les reins et le bas-ventre de Marie-Claude qui a du mal à se retenir de jouir. Joana est diabolique, elle la laisse en permanence au bord de l’orgasme sans jamais la finir. Cela dure une bonne partie du voyage et Marie-Claude a des courbatures car la position n’est pas des plus confortable.
Joana arrête la voiture devant un portail et, laissant la chatte de Marie-Claude en feu, elle lui ordonne d’aller ouvrir le portail.
-Tout de suite Jo.., non Madame, excusez-moi. Et elle sort de la voiture en courant jusqu’au portail. Elle l’ouvre sans difficulté et laisse passer la voiture
pour le refermer immédiatement derrière. Ca y est, elle est dans l’antre de sa maîtresse pour le meilleur et pour le pire. De toute façon, elle ne peut plus reculer, c’est Joana qui a toutes ses affaires.
-Marie-Claude reviens vite, tu traînes, dépêches toi, vide le coffre et monte tout dans la cuisine. Vite, je n’aime pas attendre !
Marie-Claude a rougi mais s’est exécutée très rapidement, elle ne veut pas mettre Joana en colère, elle a un peu peur. Joana pendant ce temps s’est installée sur le canapé du salon, sa jupe largement remontée sur ses cuisses longilignes. Marie-Claude, ayant terminé son travail, revient vers Joana pour attendre les ordres de sa nouvelle maîtresse.
-Bien, je vois avec plaisir que tu as fait vite. Bon, voyons voir un peu le programme. Je vais aller prendre un bon bain et me préparer pour nos ébats. Pendant ce temps, tu vas finir de ranger la cuisine, faire la vaisselle. Ah au fait déshabilles toi entièrement, pas de bijoux non plus, rien qui ne t’appartienne.
Marie-Claude s’exécute et donne tout ce qu’elle avait sur elle à Joana qui les fourre dans le sac à dos de Marie-Claude qu’elle enferme à double tour dans une armoire.
-Voilà, à partir de maintenant tu es à moi. Tu trouveras un petit tablier de servante à la cuisine. Mets le, ce sera suffisant pour ce que tu as à faire.
Marie-Claude part vers la cuisine où elle trouve effectivement un tablier blanc qui lui couvre à peine le bas-ventre, et monte jusque sous ses seins qui restent ainsi visibles à qui veut bien les voir. Ses fesses, bien entendu, restent à l’air libre, accessible à toutes les mains baladeuses ou au martinet qu’elle voit accrocher au mur de la cuisine. Elle frémit en pensant à ce qu’il peut lui arriver si elle ne satisfait pas Joana. Elle se met donc au travail avec ardeur, bien décidée à entrer dans les grâces de Joana et à répondre à tous ses désirs qui pourraient bien rejoindre rapidement les siens d’ailleurs. Elle se passe une main sur la chatte en gémissant et en serrant ses cuisses très fort jusqu’à éprouver un semblant d’orgasme qui la laisse tremblante, se cramponnant au bord de la table.
-Je deviens folle, dit elle à mi-voix. Cette femme m’a envoûtée, c’est pas possible autrement.
-Qu’est ce que tu dis, Marie-Claude, tu parles toute seule maintenant, lui demande Joana depuis la salle de bain.
-Non, Madame, je me suis cognée en voulant attraper le plat qui est dans le four.
-Et tu en as profité pour jouir un coup petite salope, viens ici ! la voix de Joana s’est brusquement durcie et Marie-Claude se précipite dans la salle de bain.
-Oui Madame je suis là, que dois-je faire ?
-Regardes moi en face et jure moi que tu n’as pas joui toute seule dans la cuisine. Alors, j’attends!
Marie-Claude est rouge de confusion, elle baisse la tête et bredouille trois mots d’excuse.
-Je .., je ne le ferais plus Madame c’est promit.
La main de Joana a volé si vite que Marie-Claude ne l’a pas vu venir. Le téton de son sein droit est prisonnier des doigts de Joana qui le pince fortement. Marie-Claude pousse un cri de douleur et des larmes perlent à ses paupières. Joana souri
-Bon ça ira pour cette fois, mais la prochaine fois tu me demanderas la permission avant de te branler, compris ?
-..Oui .Madame, c’est promis.
-OK, retourne à ton travail et fais le vite, j’ai bientôt fini de me laver.
Marie-Claude la tête basse retourne à la cuisine et s’empresse de faire le travail que Joana lui a demandé. La cuisine est vraiment sale et elle frotte avec énergie tous les plats qui traînaient sur l’évier. La sueur coule sur son front mais rien ne peut l’arrêter maintenant. La cuisine sera propre et bien rangée. Elle l’a promis à Joana et elle lui obéira.
De la salle de bain lui parvient une douce musique, c’est Joana dans sa baignoire qui fredonne des chansons à la mode. Puis elle l’entend qui sort de l’eau. Joana se prépare pour la fête charnelle qui s’annonce et dont elle, Marie-Claude, sera la reine....ou la victime ; elle ne le sait pas encore et cette pensée la perturbe tout en lui donnant des frissons dans le bas-ventre.
Joana la rejoint dans la cuisine pour inspecter son travail. Marie-Claude vient juste de poser le torchon sur son crochet et, tête baissée, les mains jointes derrière le dos attend le jugement de sa maîtresse. C’est bien ce qu’elle est devenue, l’esclave de Joana, pour le meilleur et pour le pire.
Elle attend le verdict. Joana tourne dans la cuisine, sans rien dire. Elle vérifie tout, passant un doigt inquisiteur sur un couvercle, vérifiant le rangement des plats et des assiettes. Bref une inspection détaillée, comme à l’armée.
En passant devant le martinet accroché au mur, elle le décroche ce qui fait frissonner Marie-Claude.
-Tournes toi et penches toi en avant !
Marie-Claude s’exécute en tremblant craignant le pire. Jusqu’où Joana va-t-elle l’emporter? Un premier coup de fouet tombe sur ses magnifiques fesses, suivi de plusieurs autres donnés avec vigueur.
-Aïe, aïe, tu me fais mal Joana, pitié, mon travail est-il si mal fait ? j’ai pas mérité d’être fouettée comme cela.
-Je le sais ma belle, mais n’oublie pas que tes mains t’ont fait jouir sans mon autorisation. Ton travail par ailleurs est bien fait mais n’est pas parfait. Tu recommenceras tout à l’heure. Pour le moment j’espère que ces quelques coups de martinet te feront du bien. La prochaine fois tu seras moins ...indépendante. Bien maintenant direction la salle de bain pour te laver car tu pus ma belle et dans l’état où tu es je devrais de mettre dans la niche du jardin, pas dans ma chambre.
Marie-Claude se dirige vers la salle de bain et, une fois devant la baignoire attend les ordres de Joana.
- Enlèves ce tablier et plonge toi dans ce bain moussant, je vais te laver à ma façon.
Marie-Claude pénètre dans la baignoire et gémie car l’eau est très chaude. Joana la bouscule un peu pour qu’elle rentre dans l’eau plus vite.
-Lave-toi maintenant, ce que Marie-Claude fait avec un certain plaisir car l’eau chaude la détend complètement et lui fait un bien énorme. Elle ne ressent plus la brûlure du martinet.
Pendant ce temps Joana a attrapé un gant de crin et commence à frotter vigoureusement le corps d’Marie-Claude. Tout y passe, le dos puis les jambes, le ventre et les seins, les fesses et enfin l’entre jambe ce qui fait sursauter Marie-Claude sous l’effet de l’action du gant.
Marie-Claude est debout dans la baignoire et son corps est devenu tout rouge sous les caresses de Joana.
-Parfait, tu ressembles à une écrevisse. Sors de la baignoire et mets toi sous la douche.
Marie-Claude s’exécute et Joana ouvre le robinet d’eau froide de la douche. Marie-Claude crie et veut sortir, mais Joana la maintien sous le jet d’eau froide et l’oblige à se rincer complètement. Marie-Claude frissonne mais en même temps elle se sent parfaitement propre et détendue. L’eau froide s’arrête enfin de couler et Joana l’entoure d’une serviette douce et parfumée ce qui achève de la détendre.
-Je vais préparer à boire, profites en pour te faire une beauté en mon honneur.
Marie-Claude regarde ce qu’il y a sur les étagères de la salle de bain et après avoir sélectionné les bons ingrédients, commence à se maquiller et à se coiffer.
Un quart d’heure après elle sort de la salle de bain et rejoint Joana dans le salon. Deux verres sont prêts sur la table, remplis de punch et Joana lui en tend un.
-A ta santé ma chérie et à nos amours, ce week-end doit rester un bon souvenir entre nous. J’espère que tu es d’accord ?
-Oui Madame, je ferais tout ce qu’il faut pour qu’il en soit ainsi. A ta santé.
Les deux filles trinquent ensemble et sirotent en silence leur punch. Joana a les yeux qui brillent et Marie-Claude sens sa tête tourner un peu sous l’effet de l’alcool.
Quand Joana a fini son verre, elle prend Marie-Claude par la taille et l’entraîne vers sa chambre.
-Viens vite me montrer de quoi tu es capable, je suis déjà toute mouillée à l’idée de faire l’amour avec toi.
Les deux filles enlacées, tombent sur le grand lit de Joana et c’est Joana qui dirige la joute amoureuse. Sa langue est active et pénètre dans la bouche de Marie-Claude pour se mêler à sa langue. Leurs baisers sont sans fin et elles roulent l’une sur l’autre alternativement. C’est une espèce de lutte dont une des deux doit sortir vainqueur. Marie-Claude peut encore vaincre mais, petit à petit elle sent qu’elle faibli. Elle est plus jeune et moins forte physiquement que Joana et de plus elle a déjà baisé cet après-midi. Cela l’a passablement épuisée.
Au bout de dix minutes de baisers fougueux, elle ne résiste plus et Joana peut s’emparer complètement de sa bouche sans qu’elle n’oppose de résistance. Ce coup ci elle est bien vaincue, elle n’a pas su prendre sa dernière chance et voluptueusement elle accepte son sort.
Joana aborde un sourire triomphant.
-Ca-y-est, cette fois tu acceptes d’être à moi, tu m’obéiras ? Si c’est oui tu pourras m’appeler par mon prénom.
-Oui mad..., oui Joana, je suis à toi, demandes moi ce que tu veux, je le ferais. Tu m’as complètement maîtrisé, c’est la première fois que cela m’arrive. J’avais plutôt l’habitude de dominer, même les garçons, mais là je m’avoue vaincue. Je suis ton esclave. Demandes.
Joana se relève et se dirige vers son armoire. Elle ouvre les deux porte et Marie-Claude voit apparaître une collection de sous-vêtements tous plus coquin les uns que les autres, des robes transparentes, une paire de menottes et une série de godemichés de taille très variables. Joana fouille un peu et s’empare d’un objet qu’elle montre à Marie-Claude.
-Voilà notre homme dit-elle en riant !
L’objet en question est effectivement un double sexe masculin monté sur une culotte faite de lanières de cuir. Le membre placé à l’intérieur de la culotte s’enfonce dans le vagin de « l’homme » et le deuxième membre plus conséquent est destiné à bourrer la partenaire.
-Vient ici Marie-Claude que je t’équipe; tu seras mon homme et j’espère que tu seras à la hauteur. De toute manière le martinet te remettra rapidement dans la cadence si tu ralentis. Allez enfile cela comme un slip.
Marie-Claude s’exécute et commence par s’enfoncer le sexe intérieur ce qui ne manque pas de la faire frissonner car il est long et vient heurter le fond de sa matrice.
Ensuite elle attache les sangles mais Joana vient derrière elle et les serre bien plus que ce qu’avait fait Marie-Claude. Les lanières pénètrent dans ses chairs notamment celle qui passe entre ses deux fesses et son clitoris est totalement pris dans le support en cuir qui tient les deux membres assemblés en opposition.
-Bien, maintenant marche un peu dans la chambre que je vérifie le montage.
Marie-Claude marche de long en large, les mains sur la tête comme le lui a indiqué Joana. Elle sent le sexe qui bouge dans son vagin et elle ne peut s’empêcher de frémir ce que remarque sa maîtresse.
Joana l’arrête et vérifie la tension des lanières. Elle resserre celle de la taille qui avait un peu bougée.
-Et maintenant viens me montrer ton coup de rein, j’espère qu’il fera au moins aussi bien que celui de tes amants de cet après-midi.
Joana s’est allongée confortablement sur le lit, a écarté lentement ses cuisses tout en se caressant la vulve qui est luisante sous la lumière. Elle replie ses jambes tout en creusant ses reins et Marie-Claude voit apparaître nettement l’anus et la vulve couverte d’un fin duvet noir. Elle reste un moment immobile devant cette vision anatomique mais la voix rauque de Joana qui l’invite à la pénétration la ramène à la réalité. Elle s’avance à genoux sur le lit et s’allongeant doucement entre les cuisses musclées de Joana fait lentement glisser son membre dans le vagin de sa partenaire. Joana gémit de plaisir et attrape les seins de Marie-Claude qu’elle malaxe doucement. Leurs souffles se mêlent et Joana pousse un petit cri de plaisir quant le sexe de Marie-Claude touche le fond du paradis.
Marie-Claude embrasse Joana qui se laisse faire, mais elle sait qu’elle ne pourra pas renverser les rôles sans son consentement. Rapidement, Joana reprend le dessus et mord la langue de Marie-Claude qui à son tour pousse un cri de douleur.
-Ne croit pas que tu vas me vaincre petite salope, maintenant que tu as bien compris la leçon, bouges toi et fait moi jouir toute la nuit si tu peux. ne t’inquiètes pas, je saurais ranimer ta flamme si tu te laisses aller.
Marie-Claude commence à donner des coups de reins maladroitement d’abord mais les minutes passant, elle améliore sa technique et bientôt elle entend Joana roucouler de plaisir et qui l’encourage de la voix.
-Vas-y, baise moi, oui comme cela, tu vaux presque mieux que Mike, pourtant celui-là quand il me bourre c’est un génie. Oui continue, Ahh! encore salope plus vite ou je te fouette, Ahh...oui! oui! Ahhhhh un premier orgasme foudroie Joana qui a du mal à reprendre son souffle. Mais Marie-Claude continue comme elle en a reçu l’ordre. De son coté elle n’est pas insensible à ses propres coups de rein. Lentement le plaisir monte en elle sans qu’elle puisse le refouler. Si elle jouie maintenant, elle ne pourra plus baiser Joana et elle sera fouettée, mais d’un autre coté si elle ralentie le rythme, elle sera également fouettée. Alors tant pis, autant prendre du plaisir et on verra bien ce qui arrivera. Il ne lui faut pas longtemps pour atteindre le même niveau de plaisir que Joana et un violent orgasme l’emporte à son tour. Elle s’écroule haletante sur Joana qui la serre dans ses bras en l’embrassant.
-Eh bien ma salope, tu ne t’embêtes pas toi non plus, mais maintenant il faut continuer ce n’est que le début, la nuit est encore longue.
Lentement Marie-Claude recommence à donner des coups de reins qui maintenant sont bien ajustés et elle sent que Joana est repartie dans son plaisir.
La suite lui donna raison et de longues heures durant elle fut l’amant de Joana qui enchaîna orgasme après orgasme, et chaque fois que Marie-Claude ralentissait le martinet lui redonnait du courage. Ses fesses étaient rouges mais ce n’était pas le souci de Joana; seul son plaisir lui importait.
Après plusieurs heures de plaisir continu, Joana renversa Marie-Claude sur le coté du lit et commença à détacher le double sexe.
-A moi de jouer maintenant
et joignant le geste à la parole elle enfile à son tour le gadget et retournant Marie-Claude comme une crêpe, elle lui écarte largement les cuisses, lui ramène les bras dans le dos qu’elle attache avec une petite cordelette. Puis elle prend de la vaseline et tartine joyeusement l’anus de Marie-Claude qui, comprenant ce qui va lui arriver essaye de se sauver mais Joana a vite fait de la calmer et la couleur de ses fesses prend une nouvelle fois la couleur rouge vif.
-Voyons voir si ton cul sait se montrer aussi souple que ton vagin.
Elle s’allonge sur Marie-Claude et poussant son nouveau sexe d’un bon coup de rein elle encule Marie-Claude d’un coup sec. Marie-Claude hurle de douleur ce qui a le don d’exciter Joana.
-Oui, tu as raison de hurler mais garde ton souffle ce n’est qu’un avant goût de la suite. Ton cul doit m’appartenir aussi alors détends toi et profites
Plus facile à dire qu’à faire et les premiers coup de queue de Joana dans son anus sont relativement douloureux, mais petit à petit le cul de Marie-Claude s’adapte à son nouveau maître et elle commence à ressentir les prémices d’un plaisir qui s’annonce intense bien que différent de ce qu’elle a connu jusqu’à présent.
La main de Joana s’est glissée sur son clitoris qu’elle branle doucement et bientôt Marie-Claude entre dans une transe que Joana maîtrise parfaitement. Elle accélère ou ralentie les coups de queue selon la montée du plaisir de sa partenaire. Elle la maintient ainsi au bord de l’orgasme sans jamais la faire basculer. mais la nature est ainsi faite que cette situation ne dure pas très longtemps et Marie-Claude entre dans un formidable orgasme anal que Joana accompagne en la branlant encore et encore.
-Oh Joana, je t’aime, jamais avant toi je n’avais ressentie un tel plaisir. Demandes moi ce que tu veux, j’obéirais, je t’appartiens désormais. Oh oui encore branles moi, c’est si bon. Oui encore.
Marie-Claude est secouée de petits orgasmes et de grands frissons qui parcourent sa colonne vertébrale de bas en haut et de haut en bas. Quel plaisir, quelle leçon d’amour vient-elle de recevoir. Jamais elle ne l’oubliera.
Joana la détache et retire son sexe, elle le tend à Marie-Claude et lui donne l’ordre de le remettre ce que fait Marie-Claude. C’est au tour de Joana de s’allonger sur le ventre en écartant les jambes.
-A toi de me faire goûter les plaisirs de la sodomie, mais n’oublie pas la vaseline.
Marie-Claude s’empare du tube de vaseline qui traînait sur le lit et pose une grosse goutte de ce produit miraculeux sur son index. Elle l’enfonce délicatement dans l’anus de Joana qui se cambre involontairement tout en appréciant la pénétration. Marie-Claude lui masse l’anus doucement et plusieurs fois de suite elle recommence l’opération de lubrification préliminaire. Puis elle s’allonge sur sa maîtresse et la pénètre doucement en s’arrêtant chaque fois qu’elle sent une résistance des muscles annulaires. Finalement elle encule complètement Joana qui gémit doucement. Marie-Claude commence ses va et vient comme Joana le lui a montré tout à l’heure et les mêmes causes provoquant en général les mêmes effets, c’est au tour de Joana de connaître les spasmes orgasmiques suivi de frissons lombaires qui ne semble plus finir.
Plusieurs fois elle a crié le nom de son amant, ses mains se sont refermées sur celles de Marie-Claude et se pourrait il qu’elle l’aime ? Marie-Claude ne sait plus trop quoi penser mais les coups de martinet qu’elle a déjà reçus la rendent prudente. Joana s’est dégagé de l’emprise de Marie-Claude et l’a attirée contre elle.
-Viens là ma douce esclave, tu m’as donné un merveilleux plaisir que je n’oublierais jamais. Je t’aime mais tu resteras quand même mon esclave car c’est comme cela que je t’aime. Douce et obéissante, soumise à mes ordres et capable de me faire jouir et de jouir aussi.
Tout en disant cela Joana couvre Marie-Claude de petits baisers sur son cou, ses seins, ses lèvres et ses doigts la caresse amoureusement.
Marie-Claude ne sait plus quoi penser. Elle veut bien Joana comme amante et faire l’amour avec elle mais doit-elle pour cela être son esclave ? Bien sûr cette idée l’excite mais la gêne aussi. Joana a senti ses réticences et lui propose d’aller boire un verre au salon ensemble, ce qu’elle font en se tenant par la main. Mais Marie-Claude a toujours son sexe mâle attaché entre les jambes, ce que Joana trouve très bandant. Marie-Claude fait le service et les deux filles boivent une bonne coupe de champagne bien frappé.
Joana lève son verre à la santé de Marie-Claude qui fait la même chose de son côté et ce verre scelle leur couple. Marie-Claude sans vraiment s’en apercevoir a basculé du côté de Joana et leurs relations futures seront marquées par cette folle nuit.
-Bien, allons nous coucher maintenant, il ne nous reste plus que trois heures à dormir avant de reprendre le boulot. Viens ici Marie-Claude, tu dormiras au pied de mon lit. Tu gardes ton sexe mais défense de jouir sans mon autorisation, c’est bien compris ?
-Oui, j’ai compris, mais où est le matelas, je ne vois rien.
-Attrape le sous le lit et si tu veux dormir dessus gonfles le !
Marie-Claude s’exécute et durant de longues minutes elle souffle dans le tube qui permet de gonfler le matelas sur lequel elle fini par s’allonger et s’endormir très vite d’un sommeil lourd, peuplé de rêves pas toujours très sages.
Mar 27 nov 2007
1 commentaire
c'est a en jouir de plaisir ces pages que vous ecrivez excellent ,tres excitant ou peut on vous ecrire vous contacter?
adel - le 17/12/2007 à 13h24