plaisir et jouissance

La sonnerie du réveil retenti ce qui a le don de faire sursauter Marie-Claude car Joana l’avait placée juste à coté de sa tête. Elle a mal partout d’avoir baisée comme une folle tout le week-end, elle se sent sale et éprouve le besoin d’un bain chaud et moussant. Mais en baissant les yeux elle retrouve la vision de ce sexe mâle planté en elle et retrouve en un clin d’oeil des sensations à caractère érotiques. Elle a envie d’uriner mais avec cet engin ce n’est pas possible et comme elle hésite à l’enlever sans l’autorisation de sa maîtresse, elle se lève pour réveiller Joana aussi amoureusement que possible.

Joana est dans un demi sommeil et, entendant Marie-Claude se lever, elle écarte doucement ses cuisses en dévoilant sa vulve entourée de jolis poils noirs et se tourne légèrement en direction de son esclave préférée.

Marie-Claude a bien vu la manoeuvre. Elle se glisse près de Joana, sur le lit et commence une série de petits baisers sur les jambes qu’elle lèche ensuite tout en remontant avec sa langue vers la toison noire. Elle l’atteint au bout de quelques minutes et donne un premier coup de langue sur la vulve de Joana qui se met à gémir aussitôt.

-Ahhh ! oui, salope tu sais t’y prendre maintenant pour me faire jouir, continue comme cela, oui, oui, encore Ahhh, que c’est bon. Suce ma belle, suce moi encore, encore, Ahhhh

Dans un spasme violent, elle s’est emparée de la tête de Marie-Claude et, la tenant par les cheveux elle l’utilise comme un sexe d’homme, le nez, la langue, les lèvres tout est bon pour satisfaire ce plaisir qui lui brûle les reins. Elle force Marie-Claude à la sucer, elle utilise son nez comme un petit sexe et d’un coup elle explose dans la bouche de Marie-Claude qui sent un liquide chaud lui couler sur les lèvres. Joana vient d’éjaculer se dit-elle! C’est impossible et pourtant, force est de constater qu’elle ruisselle de liqueur juteuse. Marie-Claude la lèche en entier pour faire sa toilette intime ce que Joana apprécie au plus haut point.

-Bravo, tu m’as fait jouir comme rarement cela m’est arrivé au réveil, je saurais m’en souvenir lors de notre prochaine rencontre. Pour aujourd’hui c’est fini. D’ailleurs tu m’as mise en retard et il faut que je me prépare. Va faire du café, mais d’abord vient ici que je te fasse redevenir femme.

Marie-Claude s’approche et Joana lui enlève son sexe  non sans la caresser au passage mais Marie-Claude reste sur sa faim. Diabolique Joana, toujours à m’exciter pense-t-elle, mais ne jamais aller jusqu’au bout.

Marie-Claude va faire le café pendant que Joana prend une douche. Marie-Claude voudrait bien en faire autant mais elle n’a pas eu l’autorisation, alors elle continue à préparer le petit déjeuner.

Joana avale le petit déjeuner tout en donnant ses instructions à Marie-Claude qui l’écoute sans rien dire. Elle n’ose pas l’interrompre, elle n’ose pas lui dire qu’elle doit partir elle aussi. Les enfants Taylor l’attendent pour aller à l’école. A cette heure ci, ils se lèvent.

-Joana, s’il te plaît écoutes moi. Je suis obligé de partir rejoindre les enfants que je garde. Ils m’attendent pour partir à l’école. Je te promets que je reviendrais mais pour le moment je dois y aller.

Joana l’a écouté sans rien dire mais ses yeux brillent de colère.

-Alors comme cela tu dois partir ?

-Oui, j’en suis désolée, je t’aime tu sais.

-Bien

Elle se lève sans rien ajouter et se dirige vers le placard dans lequel sont rangé les habits de Marie-Claude. Elle en sort le chemisier et la jupe qu’elle tend à Marie-Claude sans la regarder.

-Voilà, c’est tout ce que tu auras, le reste je le garde pour être sure que tu reviendras. Aller files, tu es déjà en retard.

Marie-Claude s’habille en bégayant un merci mais réalise soudain qu’elle n’a ni papier d’identité, ni argent avec elle.

-Joana, s’il te plaît, je peux avoir mon sac à main, j’ai besoin d’argent et de mes papiers.

-Pas question ma belle, si je te rends tout je ne suis persuadée que tu reviendras. Tiens voilà 5 € pour prendre le car, il passe à 200m d’ici. De tout façon je sais où te trouver, alors à bientôt, peut-être plus vite que tu ne le penses.

Et sur ses paroles mystérieuses, Marie-Claude se sauve. Elle sait qu’elle ressemble à une moins que rien. Elle n’est pas lavée, pas coiffée et porte le strict minimum sur elle.

Elle court vers l’arrêt de car et, par chance, il y en a un qui arrive et va vers son quartier. Elle grimpe et paye son ticket au chauffeur qui la dévisage curieusement. Encore un qui la sauterait bien s’il les circonstances étaient autres. Mais là, il doit conduire et garder ses mains sur son volant.

Ce n’est pas le cas du passager à côté duquel elle s’assoit. Il y a peu de place libre, les gens partent au travail à cette heure là. Lui aussi part au travail, mais il a deviné que Marie-Claude était différente des autres passagers. Sans hésiter, il a collé sa cuisse contre la sienne et la petite jupe que porte Marie-Claude remonte un peu plus haut à chaque secousse du car. Ses seins font de même. Elle sent bien que le mec bande mais il y a trop de monde, il n’osera pas. Et bien si, il a osé, mais de manière très vicieuse, ce qui a surpris Marie-Claude et lui a fait pousser un petit cri heureusement masqué par le bruit du moteur.

Profitant d’un cahot un peu plus fort que les autres, il a glissé sa main sous les fesses de Marie-Claude et en retombant Marie-Claude s’est empalée sur son index qu’il avait mis en bonne position. Il est vrai qu’elle ne porte pas de culotte. Elle sent le doigt qui s’agite en elle, mais ne peut rien faire sans attirer l’attention des autres passagers. Le doigt est coquin et maladroit; plusieurs fois elle a approché de l’orgasme, mais à chaque fois il a raté son coup. C’est donc elle qui glisse discrètement une main entre ses cuisses et guide le doigt de son compagnon qui fini par se stabiliser au bon endroit. Il la branle doucement maintenant et Marie-Claude se laisse envahir d’une douce langueur qui la port petit à petit vers quelque chose de grand, un plaisir qui monte du fond de son vagin et qui irradie dans tout son corps des doigts de pieds jusqu’à la racine des cheveux.
L’orgasme la surprend au moment ou le chauffeur est obligé de freiner brutalement à cause d’un chien qui traversait la rue juste devant le car. Tout le monde crie un coup et, dans le brouhaha qui s’en suit, Marie-Claude peu donner libre cour à son plaisir sans que cela ne se voit. Elle inonde de jus liquoreux la main de son partenaire et se soulève légèrement pour qu’il se retire ce qu’il a la galanterie de faire.

-Merci beau blond, tu serais presque doué tu sais, encore quelques leçons et tu pourrais faire un amant correct. Mais pour le moment j’ai mieux à faire, alors salut, à un de ces jours peut-être.

Son branleur d’un jour est resté sans rien dire. Il est suffoqué par tant de désinvolture et tant de beauté à la fois. Jamais il n’avait rencontré une femme comme celle-là et il voudrait bien finir la journée avec elle. Mais Marie-Claude est déjà loin, elle court vers sa maison, enfin celle des Taylor. Sa jupe vole sous le vent de la course et il peut apercevoir pendant quelques fraction de secondes le cul de Marie-Claude ce que le chauffeur de car salut par un grand coup de Klaxon. Marie-Claude, sans se retourner, le salut en levant le bras et tourne au coin de la rue vers son lieu de séjour.
Sam 1 déc 2007 Aucun commentaire