plaisir et jouissance
Joana savoure son verre dans le calme douillet de ce salon de style anglais. Elle se sent bien. Son esclave est en train de subir sa punition et d’ici une heure elle sera à point, le whisky est bon et le canapé est confortable.
Un bruit de clés dans la serrure la fait sursauter.
-Merde, de la visite, j’avais oublié que Marie-Claude n’était pas chez elle.
La porte s’ouvre et Joana voit une dame de quarante ans environ qui pénètre dans le corridor, ouvre la porte du salon et s’arrête sur le champ en dévisageant Joana.
-Qui êtes vous ?, que faites-vous chez moi et d’ailleurs où est Marie-Claude ?
Devant ce flot de question, Joana s’est levée en posant son verre sur la petite table du salon.
-N’ayez pas peur Madame, je suppose que vous êtes madame Taylor, Marie-Claude m’a si souvent parlé de vous. Bonjour, je suis Joana l’amie de Marie-Claude.
Elle tend sa main à madame Taylor qui lui serre doucement sans grande conviction mais Joana sait y faire passer de la chaleur ce qui détend son interlocutrice.
-Ne vous inquiétez pas, Marie-Claude se détend un peu, elle va revenir.
Tout en parlant, Joana a vu le regard de madame Taylor tomber sur l’échancrure de son corsage et elle a vue la légère rougeur qui à empourpré ses joues.
Tiens tiens se dit-elle, voyons voir si j’ai raison. Tout en parlant, Joana s’est rapprochée de madame Taylor et a défait un bouton de plus à son corsage. Ne portant pas de soutien gorge, ses seins couleur caramel sont maintenant nettement visibles et Joana se trémousse discrètement pour les faire bouger sous le léger tissu du corsage. Madame Taylor est devenue silencieuse comme hypnotisée par ce spectacle.
Joana amplifie ses mouvements jusqu’à l’indécence et elle se trouve contre Madame Taylor.
-Tu les aimes mes seins ? lui dit-elle brusquement, et elle lui murmure à l’oreille, tu sais Marie-Claude les aime aussi et elle sait bien s’en servir.
Madame Taylor est devenue écarlate mais elle a baissé la tête. Joana lui a pris la main et la remonte doucement vers ses seins. Elle pose cette main tremblante sur sa poitrine ferme et tendue tout en susurrant des mots doux à celle qui pourrait devenir sa partenaire.
-Tu es très belle tu sais, j’aime la couleur de tes cheveux, si tu veux je peux me dévêtir davantage, mais avant je voudrais connaître ton petit nom.
-Julia, je...je suis anglaise. Elle ajoute sans savoir pourquoi, mon mari s’appelle Harris.
-Il est anglais aussi je suppose ?
-oui, mais vous êtes très belle aussi et vos seins sont magnifiques. Mais je deviens folle Marie-Claude pourrais nous surprendre.
-Du calme, on ne craint rien, Marie-Claude se repose et tu peux être sûre qu’elle ne nous dérangera pas.
-Ah bon et comment en êtes vous aussi sûre ?
-Je me suis occupée d’elle tout à l’heure et pour le moment elle est calmée. Mais allons sur le canapé nous y serons mieux pour.. bavarder.
Joana entraîne Julia sur le canapé et se serre contre elle tout en déboutonnant complètement son corsage. Ses seins sont durs et Julia a repris ses caresses sans un mot ce qui fini par exciter Joana.
-Hé bien tu es bonne toi, c’est dans les pensionnats anglais que l’on t’a appris à caresser les filles ?
-Oui, tu ne crois pas si bien dire.....
-Oh racontes, je suis sûre que je vais aimer ton histoire.
Confortablement installée contre la poitrine de Joana, elle commence le récit de ses aventures collégiales.
-Eh bien tu vois, je devais avoir 13 ans environ et j’étais pensionnaire dans un collège de filles, près de Londres. Je ne rentrais chez moi que tous les mois et les soirées et les week-ends étaient longs. Aussi certaines filles occupaient leurs loisirs à des joutes amoureuses qui dépassaient souvent les limites admises par la morale de l’époque. Et puis nous n’avions pas le droit de sortir en ville, alors les garçons... on ne peut pas dire qu’on y avait droit.
Pendant ce récit les mains de Joana ne sont pas restées inactives et elles caressent également les seins et les cuisses de Julia dont la robe est remonté très haut.
-Continue, je suis impatiente de connaître la suite.
-Ahhh salope tu vas me faire jouir, doucement avec ton doigt.
Joana retire son doigt qui s’était subrepticement glissé sous la culotte de Julia en s’enfonçant dans son vagin dont l’humidité excitait au plus haut point Joana.
-Depuis quelque j’avais remarqué le jeux d’une vague copine d’origine indienne qui n’arrêtait pas de me regarder surtout quand nous faisions notre toilette et qui passait souvent près de moi en me frôlant comme par inadvertance. J’étais gênée mais aussi intriguée par ce manège. Se pourrait-il qu’elle me drague ? J’étais un peu innocente et j’avais du mal à déterminer la part de hasard dans ces attouchements. Les jours passant, son manège se précisa et comme par souci d’économie, les douches se prenait par deux ou trois dans la même cabine, ma copine s’est débrouillée pour se retrouver avec moi dans la même cabine. La première fois elle fût très correcte, mais petit à petit elle commença à me toucher, puis à me passer le gant dans le dos, puis sur les fesses et ainsi de suite. A chaque fois elle progressait sur mon corps et moi, j’étais sous le charme de ce plaisir nouveau. Je ne disais rien mais mon corps parlait pour moi et elle ne s’y trompait pas. Très vite nous avions pris l’habitude de nous doucher ensemble et le plus souvent possible. Mais rien de décisif ne s’était produit encore. Je sentais bien qu’elle aussi était un peu effrayée de son audace même si elle était plus délurée que moi.
Un jour, tout en tremblant de tout mon corps, je pris le gant de toilette et je commençais à la laver comme elle le faisait avec moi depuis plusieurs semaines. Partant du dos ma main munie du gant a parcouru tout son corps et elle s’est offerte sans retenue à mes caresses qu’elle guidait de manière de plus en plus précise jusqu’à les concentrer uniquement entre ses jambes où elle m’enseignait l’art de la branler lentement pour que le plaisir soit le plus long et le plus fort possible. A un moment donné, son corps s’est mis à bouger par saccades, son bas-ventre donnait de grands coups en avant, elle s’est accrochée à moi et tout en me murmurant des mots incompréhensibles a joui de façon très violente et très prolongée. Son orgasme silencieux a duré plusieurs minutes, du moins s’est l’impression que j’ai eu car je craignais que la surveillante ne nous surprenne. Les portes des cabines n’étaient jamais fermées et de temps en temps les surveillantes ouvraient une porte à l’improviste pour surveiller leurs jeunes pensionnaires aux corps si chauds.
Ce jour là nous avons eu de la chance, personne n’a ouvert notre porte. Marea a fini par se calmer et elle m’a embrassé sur les deux joues avec un grand sourire.
-Merci Julia, tu m’as fait jouir très fort et, si tu veux bien je vais m’occuper de toi maintenant.
Mais ce jour là, je n’ai pas pu profiter de l’art de Maréa car la surveillante a fait retentir la sonnerie de fin de douche et nous avons dû nous essuyer en vitesse pour aller nous coucher. Le lit de Maréa était loin du mien aussi, ce soir là je me suis branlé comme une folle au grand dam de ma voisine immédiate qui m’a menacé d’appeler la surveillante si je n’arrêtais pas immédiatement mon cirque. Je suis donc resté un peu sur ma faim cette nuit là. Par contre je venais de découvrir des plaisirs inconnus et ça c’était le plus important.
Les jours et les semaines qui suivirent furent un enchantement sexuel et les séances de douches des sources de plaisir infinis. Le jet d’eau, les mains, le gant, tout était sujet à caresse, à jouissance et les baisers que nous échangions sous la douche mêlaient nos langues, nos doigts qui s’enfonçaient par tous nos orifices respectifs et nos pubis qui se frottaient l’un contre l’autre à n’en plus finir. Bien sûr, après ces séances qui nous laissaient à moitié satisfaites, nous nous branlions en solitaire dans nos lits plusieurs fois par nuit.
-Voilà, tu comprends maintenant pourquoi j’ai été si perturbée par ta présence et ta tenue si ...offerte. Tu m’as rappelé d’un seul coup tous ces souvenirs et encore je ne t’est pas tout raconté car notre liaison a duré les deux années suivantes, en fait jusqu’à que nous quittions le Collège et que Maréa retourne dans son pays.
-C’est elle qui t’a dépucelé lui demande Joana d’une voix douce.
-Non, elle tenait beaucoup à son pucelage qu’elle assimilait à son honneur de future femme. Par contre coup elle a donc respectait le mien et n’a jamais voulu me prendre bien que je le lui est offert plusieurs fois.
L’horloge du salon sonna 6 coups ce qui fit sursauter Julia.
-Mon Dieu, déjà 6 heures et je n’ai rien fait pour l’anniversaire de Harris. Tu m’as complètement perturbé, c’est fou. Et au fait Marie-Claude n’est pas revenue.
-T’affoles pas ma chérie, j’ai tout ce qu’il te faut pour l’anniversaire de ton mari. On va lui offrir Marie-Claude !
Julia reste bouche bée, elle ne comprend les paroles de Joana.
-Comment cela, lui offrir Marie-Claude, je ne comprend pas.
-Viens près de moi je vais t’expliquer.
Elle prend Julia dans ses bras et après l’avoir embrassé avec passion, lui raconte dans le creux de l’oreille ce qui s’est passé avec Marie-Claude et qu’elle est sa situation à l’heure actuelle. Elle sent que Julia, qui au début du récit semblait outrée par le sort réservé à sa jeune fille au pair s’est détendue et semble très impatiente de voir le résultat du traitement infligé à Marie-Claude. Et ce d’autant plus qu’elle sent que son mari a dû profiter des charmes de Marie-Claude à son insu. Les caresses de Joana y sont aussi pour quelque chose. Julia maintenant est complètement sous le charme de Joana. Elle revit son adolescence brûlante et elle n’attend qu’une chose, jouir des mains et de la langue de Joana.
-Joana, je veux jouir maintenant, je n’en peu plus tu sais, suces moi, branle moi s’il te plaît.
Julia est tombée à genoux devant Joana qui a un sourire triomphant. Elle sent que la nuit va être chaude et ce n’est pas Harris qui va dire le contraire, 3 femmes en chaleur pour s’occuper de lui, je doute qu’il tienne le coup. Pauvre chatounet.
D’une main ferme elle oblige Julia à se relever.
-Enlèves ta culotte tu auras moins chaud comme cela lui dit elle en riant.
Julia s’exécute.
-Que dois je faire maintenant ?
-Gardes la, Marie-Claude en aura besoin sans doute. Maintenant assez discuté, il faut préparer l’anniversaire de ton mari. Viens avec moi on va d’abord s’occuper de Marie-Claude.
Les deux femmes vont au garage dans lequel règne une pénombre propice aux attouchements. Marie-Claude est toujours à cheval sur ces deux chaises et Julia qui la découvre dans cette position pousse un Oh de surprise.
-Joana c’est fou ce que tu as fait là, elle est complètement ouverte et sans défense.
-Oui mais touches la, je suis sûre qu’elle va apprécier. Donnes moi ta culotte en attendant.
Joana prend la culotte de Julia et l’enfile sur la tête de Marie-Claude qui n’a pas encore dit un mot.
-Voilà comme cela tu connaîtras l’odeur de ta nouvelle maîtresse. Je viens de décider de te donner à Julia et à son mari s’il veut bien de toi. Des questions ?
-Non maîtresse, j’obéirais à tes ordres et à ceux de Julia maintenant.
Pendant leur conversation, Julia n’est pas restée sans rien faire. Ses mains ont parcouru le corps de Marie-Claude pour en apprécier la douceur et la fermeté des formes de la jeune fille, le galbe de ses seins et la douceur de son vagin qui, malgré l’inconfort de la position se prête volontiers aux caresses de Julia.
-Elle est encore plus douce que je ne l’imaginais. Nous allons bien nous amuser à l’avenir toi et moi Marie-Claude. Mais il ne faudra plus jouer avec les enfants, d’accord ? Fini les branlettes le soir avant qu’ils ne s’endorment. Tu crois peut-être que je ne l’avais pas remarqué. Tu es d’accord ?
-Oui madame répond prudemment Marie-Claude.
Elle ne connaît pas suffisamment madame Taylor pour prendre le risque de lui désobéir.
De son coté Joana a réfléchi à la première séance qu’elles vont offrir à Harris pour son anniversaire. Elle s’approche de Marie-Claude et la force à se pencher en avant, mais les cordes qui l’attachent sont trop courtes. Marie-Claude gémit, elle a un peu mal et sent monter des crampes dans ses bras et ses jambes
-Joana, je t’en prie, détache moi, j’ai mal aux bras et aux jambes.
-Ce n’est plus à moi de décider ma belle, demandes à ta nouvelle maîtresse.
-Madame Tay....
Une gifle retentissante lui coupe brusquement la parole.
-Cest comme cela que l’on s’adresse à sa maîtresse, lui dit Julia en criant dans son oreille.
-Non non, excusez moi, je ne le ferais plus, c’est promit. S’il vous plaît maîtresse, pourriez vous relâcher mes liens, j’ai des crampes, j’ai mal.
-Pourquoi as tu été punie ?
-Je me suis branlée sans permission maîtresse et Joana m’a puni.
-Tu ne recommenceras plus, parce que moi je suis anglaise et les châtiments corporels ça me connaît.
Marie-Claude tremble un peu, fatigue ou peur de l’inconnu, nul ne le saura mais elle répond par l’affirmative. Oui elle a comprit et accepte son sort.
-OK Joana tu peux lui détacher les mains du plafond et rapprocher un peu les chaises. Les deux femmes s’affairent autour de Marie-Claude et quelques minutes plus tard Marie-Claude se retrouve toujours à cheval sur les deux chaises mais les mains liées derrière le dos et en prime une culotte sur la tête et un bandeau sur les yeux.
-Tu vas rester comme cela sans bouger, lui dit Julia, la fête va bientôt commencer.
Les deux femmes s’embrassent et retourne au salon préparer le buffet pour le soir.
Un bruit de clés dans la serrure la fait sursauter.
-Merde, de la visite, j’avais oublié que Marie-Claude n’était pas chez elle.
La porte s’ouvre et Joana voit une dame de quarante ans environ qui pénètre dans le corridor, ouvre la porte du salon et s’arrête sur le champ en dévisageant Joana.
-Qui êtes vous ?, que faites-vous chez moi et d’ailleurs où est Marie-Claude ?
Devant ce flot de question, Joana s’est levée en posant son verre sur la petite table du salon.
-N’ayez pas peur Madame, je suppose que vous êtes madame Taylor, Marie-Claude m’a si souvent parlé de vous. Bonjour, je suis Joana l’amie de Marie-Claude.
Elle tend sa main à madame Taylor qui lui serre doucement sans grande conviction mais Joana sait y faire passer de la chaleur ce qui détend son interlocutrice.
-Ne vous inquiétez pas, Marie-Claude se détend un peu, elle va revenir.
Tout en parlant, Joana a vu le regard de madame Taylor tomber sur l’échancrure de son corsage et elle a vue la légère rougeur qui à empourpré ses joues.
Tiens tiens se dit-elle, voyons voir si j’ai raison. Tout en parlant, Joana s’est rapprochée de madame Taylor et a défait un bouton de plus à son corsage. Ne portant pas de soutien gorge, ses seins couleur caramel sont maintenant nettement visibles et Joana se trémousse discrètement pour les faire bouger sous le léger tissu du corsage. Madame Taylor est devenue silencieuse comme hypnotisée par ce spectacle.
Joana amplifie ses mouvements jusqu’à l’indécence et elle se trouve contre Madame Taylor.
-Tu les aimes mes seins ? lui dit-elle brusquement, et elle lui murmure à l’oreille, tu sais Marie-Claude les aime aussi et elle sait bien s’en servir.
Madame Taylor est devenue écarlate mais elle a baissé la tête. Joana lui a pris la main et la remonte doucement vers ses seins. Elle pose cette main tremblante sur sa poitrine ferme et tendue tout en susurrant des mots doux à celle qui pourrait devenir sa partenaire.
-Tu es très belle tu sais, j’aime la couleur de tes cheveux, si tu veux je peux me dévêtir davantage, mais avant je voudrais connaître ton petit nom.
-Julia, je...je suis anglaise. Elle ajoute sans savoir pourquoi, mon mari s’appelle Harris.
-Il est anglais aussi je suppose ?
-oui, mais vous êtes très belle aussi et vos seins sont magnifiques. Mais je deviens folle Marie-Claude pourrais nous surprendre.
-Du calme, on ne craint rien, Marie-Claude se repose et tu peux être sûre qu’elle ne nous dérangera pas.
-Ah bon et comment en êtes vous aussi sûre ?
-Je me suis occupée d’elle tout à l’heure et pour le moment elle est calmée. Mais allons sur le canapé nous y serons mieux pour.. bavarder.
Joana entraîne Julia sur le canapé et se serre contre elle tout en déboutonnant complètement son corsage. Ses seins sont durs et Julia a repris ses caresses sans un mot ce qui fini par exciter Joana.
-Hé bien tu es bonne toi, c’est dans les pensionnats anglais que l’on t’a appris à caresser les filles ?
-Oui, tu ne crois pas si bien dire.....
-Oh racontes, je suis sûre que je vais aimer ton histoire.
Confortablement installée contre la poitrine de Joana, elle commence le récit de ses aventures collégiales.
-Eh bien tu vois, je devais avoir 13 ans environ et j’étais pensionnaire dans un collège de filles, près de Londres. Je ne rentrais chez moi que tous les mois et les soirées et les week-ends étaient longs. Aussi certaines filles occupaient leurs loisirs à des joutes amoureuses qui dépassaient souvent les limites admises par la morale de l’époque. Et puis nous n’avions pas le droit de sortir en ville, alors les garçons... on ne peut pas dire qu’on y avait droit.
Pendant ce récit les mains de Joana ne sont pas restées inactives et elles caressent également les seins et les cuisses de Julia dont la robe est remonté très haut.
-Continue, je suis impatiente de connaître la suite.
-Ahhh salope tu vas me faire jouir, doucement avec ton doigt.
Joana retire son doigt qui s’était subrepticement glissé sous la culotte de Julia en s’enfonçant dans son vagin dont l’humidité excitait au plus haut point Joana.
-Depuis quelque j’avais remarqué le jeux d’une vague copine d’origine indienne qui n’arrêtait pas de me regarder surtout quand nous faisions notre toilette et qui passait souvent près de moi en me frôlant comme par inadvertance. J’étais gênée mais aussi intriguée par ce manège. Se pourrait-il qu’elle me drague ? J’étais un peu innocente et j’avais du mal à déterminer la part de hasard dans ces attouchements. Les jours passant, son manège se précisa et comme par souci d’économie, les douches se prenait par deux ou trois dans la même cabine, ma copine s’est débrouillée pour se retrouver avec moi dans la même cabine. La première fois elle fût très correcte, mais petit à petit elle commença à me toucher, puis à me passer le gant dans le dos, puis sur les fesses et ainsi de suite. A chaque fois elle progressait sur mon corps et moi, j’étais sous le charme de ce plaisir nouveau. Je ne disais rien mais mon corps parlait pour moi et elle ne s’y trompait pas. Très vite nous avions pris l’habitude de nous doucher ensemble et le plus souvent possible. Mais rien de décisif ne s’était produit encore. Je sentais bien qu’elle aussi était un peu effrayée de son audace même si elle était plus délurée que moi.
Un jour, tout en tremblant de tout mon corps, je pris le gant de toilette et je commençais à la laver comme elle le faisait avec moi depuis plusieurs semaines. Partant du dos ma main munie du gant a parcouru tout son corps et elle s’est offerte sans retenue à mes caresses qu’elle guidait de manière de plus en plus précise jusqu’à les concentrer uniquement entre ses jambes où elle m’enseignait l’art de la branler lentement pour que le plaisir soit le plus long et le plus fort possible. A un moment donné, son corps s’est mis à bouger par saccades, son bas-ventre donnait de grands coups en avant, elle s’est accrochée à moi et tout en me murmurant des mots incompréhensibles a joui de façon très violente et très prolongée. Son orgasme silencieux a duré plusieurs minutes, du moins s’est l’impression que j’ai eu car je craignais que la surveillante ne nous surprenne. Les portes des cabines n’étaient jamais fermées et de temps en temps les surveillantes ouvraient une porte à l’improviste pour surveiller leurs jeunes pensionnaires aux corps si chauds.
Ce jour là nous avons eu de la chance, personne n’a ouvert notre porte. Marea a fini par se calmer et elle m’a embrassé sur les deux joues avec un grand sourire.
-Merci Julia, tu m’as fait jouir très fort et, si tu veux bien je vais m’occuper de toi maintenant.
Mais ce jour là, je n’ai pas pu profiter de l’art de Maréa car la surveillante a fait retentir la sonnerie de fin de douche et nous avons dû nous essuyer en vitesse pour aller nous coucher. Le lit de Maréa était loin du mien aussi, ce soir là je me suis branlé comme une folle au grand dam de ma voisine immédiate qui m’a menacé d’appeler la surveillante si je n’arrêtais pas immédiatement mon cirque. Je suis donc resté un peu sur ma faim cette nuit là. Par contre je venais de découvrir des plaisirs inconnus et ça c’était le plus important.
Les jours et les semaines qui suivirent furent un enchantement sexuel et les séances de douches des sources de plaisir infinis. Le jet d’eau, les mains, le gant, tout était sujet à caresse, à jouissance et les baisers que nous échangions sous la douche mêlaient nos langues, nos doigts qui s’enfonçaient par tous nos orifices respectifs et nos pubis qui se frottaient l’un contre l’autre à n’en plus finir. Bien sûr, après ces séances qui nous laissaient à moitié satisfaites, nous nous branlions en solitaire dans nos lits plusieurs fois par nuit.
-Voilà, tu comprends maintenant pourquoi j’ai été si perturbée par ta présence et ta tenue si ...offerte. Tu m’as rappelé d’un seul coup tous ces souvenirs et encore je ne t’est pas tout raconté car notre liaison a duré les deux années suivantes, en fait jusqu’à que nous quittions le Collège et que Maréa retourne dans son pays.
-C’est elle qui t’a dépucelé lui demande Joana d’une voix douce.
-Non, elle tenait beaucoup à son pucelage qu’elle assimilait à son honneur de future femme. Par contre coup elle a donc respectait le mien et n’a jamais voulu me prendre bien que je le lui est offert plusieurs fois.
L’horloge du salon sonna 6 coups ce qui fit sursauter Julia.
-Mon Dieu, déjà 6 heures et je n’ai rien fait pour l’anniversaire de Harris. Tu m’as complètement perturbé, c’est fou. Et au fait Marie-Claude n’est pas revenue.
-T’affoles pas ma chérie, j’ai tout ce qu’il te faut pour l’anniversaire de ton mari. On va lui offrir Marie-Claude !
Julia reste bouche bée, elle ne comprend les paroles de Joana.
-Comment cela, lui offrir Marie-Claude, je ne comprend pas.
-Viens près de moi je vais t’expliquer.
Elle prend Julia dans ses bras et après l’avoir embrassé avec passion, lui raconte dans le creux de l’oreille ce qui s’est passé avec Marie-Claude et qu’elle est sa situation à l’heure actuelle. Elle sent que Julia, qui au début du récit semblait outrée par le sort réservé à sa jeune fille au pair s’est détendue et semble très impatiente de voir le résultat du traitement infligé à Marie-Claude. Et ce d’autant plus qu’elle sent que son mari a dû profiter des charmes de Marie-Claude à son insu. Les caresses de Joana y sont aussi pour quelque chose. Julia maintenant est complètement sous le charme de Joana. Elle revit son adolescence brûlante et elle n’attend qu’une chose, jouir des mains et de la langue de Joana.
-Joana, je veux jouir maintenant, je n’en peu plus tu sais, suces moi, branle moi s’il te plaît.
Julia est tombée à genoux devant Joana qui a un sourire triomphant. Elle sent que la nuit va être chaude et ce n’est pas Harris qui va dire le contraire, 3 femmes en chaleur pour s’occuper de lui, je doute qu’il tienne le coup. Pauvre chatounet.
D’une main ferme elle oblige Julia à se relever.
-Enlèves ta culotte tu auras moins chaud comme cela lui dit elle en riant.
Julia s’exécute.
-Que dois je faire maintenant ?
-Gardes la, Marie-Claude en aura besoin sans doute. Maintenant assez discuté, il faut préparer l’anniversaire de ton mari. Viens avec moi on va d’abord s’occuper de Marie-Claude.
Les deux femmes vont au garage dans lequel règne une pénombre propice aux attouchements. Marie-Claude est toujours à cheval sur ces deux chaises et Julia qui la découvre dans cette position pousse un Oh de surprise.
-Joana c’est fou ce que tu as fait là, elle est complètement ouverte et sans défense.
-Oui mais touches la, je suis sûre qu’elle va apprécier. Donnes moi ta culotte en attendant.
Joana prend la culotte de Julia et l’enfile sur la tête de Marie-Claude qui n’a pas encore dit un mot.
-Voilà comme cela tu connaîtras l’odeur de ta nouvelle maîtresse. Je viens de décider de te donner à Julia et à son mari s’il veut bien de toi. Des questions ?
-Non maîtresse, j’obéirais à tes ordres et à ceux de Julia maintenant.
Pendant leur conversation, Julia n’est pas restée sans rien faire. Ses mains ont parcouru le corps de Marie-Claude pour en apprécier la douceur et la fermeté des formes de la jeune fille, le galbe de ses seins et la douceur de son vagin qui, malgré l’inconfort de la position se prête volontiers aux caresses de Julia.
-Elle est encore plus douce que je ne l’imaginais. Nous allons bien nous amuser à l’avenir toi et moi Marie-Claude. Mais il ne faudra plus jouer avec les enfants, d’accord ? Fini les branlettes le soir avant qu’ils ne s’endorment. Tu crois peut-être que je ne l’avais pas remarqué. Tu es d’accord ?
-Oui madame répond prudemment Marie-Claude.
Elle ne connaît pas suffisamment madame Taylor pour prendre le risque de lui désobéir.
De son coté Joana a réfléchi à la première séance qu’elles vont offrir à Harris pour son anniversaire. Elle s’approche de Marie-Claude et la force à se pencher en avant, mais les cordes qui l’attachent sont trop courtes. Marie-Claude gémit, elle a un peu mal et sent monter des crampes dans ses bras et ses jambes
-Joana, je t’en prie, détache moi, j’ai mal aux bras et aux jambes.
-Ce n’est plus à moi de décider ma belle, demandes à ta nouvelle maîtresse.
-Madame Tay....
Une gifle retentissante lui coupe brusquement la parole.
-Cest comme cela que l’on s’adresse à sa maîtresse, lui dit Julia en criant dans son oreille.
-Non non, excusez moi, je ne le ferais plus, c’est promit. S’il vous plaît maîtresse, pourriez vous relâcher mes liens, j’ai des crampes, j’ai mal.
-Pourquoi as tu été punie ?
-Je me suis branlée sans permission maîtresse et Joana m’a puni.
-Tu ne recommenceras plus, parce que moi je suis anglaise et les châtiments corporels ça me connaît.
Marie-Claude tremble un peu, fatigue ou peur de l’inconnu, nul ne le saura mais elle répond par l’affirmative. Oui elle a comprit et accepte son sort.
-OK Joana tu peux lui détacher les mains du plafond et rapprocher un peu les chaises. Les deux femmes s’affairent autour de Marie-Claude et quelques minutes plus tard Marie-Claude se retrouve toujours à cheval sur les deux chaises mais les mains liées derrière le dos et en prime une culotte sur la tête et un bandeau sur les yeux.
-Tu vas rester comme cela sans bouger, lui dit Julia, la fête va bientôt commencer.
Les deux femmes s’embrassent et retourne au salon préparer le buffet pour le soir.
Sam 26 jan 2008
1 commentaire
sympa ce blog :-)
bonne continuation !