Mardi 28 octobre
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12:16
Je suis dans l’ascenseur en train de remonter vers mon appartement, j’examine le
reflet que me renvoie le miroir qui se trouve au fond de celui-ci. Je suis plutôt satisfaite, malgré mes quarante printemps depuis quelques semaines je me trouve encore séduisante.
Bien sûr j’ai pris quelques rondeurs ma poitrine est devenue plus généreuse, je suis passée au C désormais. Mes hanches se sont arrondies elles aussi mais en me mettant de profil la cambrure des
mes reins et la rondeur de mes fesses n’ont rien perdu de leurs charmes, enfin c’est mon impression.
Mon visage reste lisse, même si quelques fines et presque imperceptibles stries apparaissent au coin de mes yeux noisette.
Il faut dire que ma tenue vestimentaire m’aide bien, mon nouveau job en agence immobilière demande d’avoir toujours une apparence très BCBG, mon tailleur me va à ravir. D’autant plus que j’en ai
choisi un plutôt sexy dans ma garde-robe, ayant rendez-vous avec un client pour une visite dans l’après-midi et j’ai remarqué qu’une apparence le moins sage possible permet d’être plus
convaincante, du moins quand ma clientèle est masculine.
Là la jupe de mon tailleur est assez courte et remonte bien au-dessus du genou, quasi mi-cuisse pour être précise, et moule très bien mon bassin, mon collant noir et mes escarpins finissent
d’affiner ma silhouette. Mon haut est plus sage et consiste juste en une veste classique, la couleur bleu assez sombre, elle fait bien ressortir la couleur châtain clair presque blonde de mes
cheveux, pas très naturelle pour être honnête. Je les fais éclaircir, cela aussi est bon pour le commerce.
Le bruit mécanique de l’ascenseur qui arrive au bon niveau me tire de ma contemplation quelque peu narcissique il faut bien le dire, un dernier coup d’œil au miroir et j’avance vers mon
appartement.
Je pense alors que Sabrina va être bien surprise de me voir arriver à cette heure, au milieu de l’après-midi. Mon prochain client vient de me téléphoner pour signaler son retard de peut-être deux
heures pour la visite prévue cette après-midi.
Comme l’appartement en question se trouve près de chez moi et que j’étais presque à destination, je n’ai pas eu le courage de revenir à l’agence pour quasiment repartir aussitôt.
Sabrina est une jeune fille que j’ai prise pour quelques heures de ménage par semaine, j’ai un emploi du temps bien chargé et préfère sacrifier quelques euros pour conserver mon peu de temps
libre.
Penser à elle me fait sourire, j’ai le sentiment très net qu’elle éprouve pour moi une profonde admiration. Je dois représenter pour elle la réussite parfaite avec mes airs de grande bourgeoise
bien propre sur elle. Elle s’adresse toujours à moi très timidement, j’ai beau lui dire de m’appeler Catherine, elle n’y arrive pas et elle me lance toujours un timide « madame ».
Ceci a le don de m’énerver mais finalement j’ai renoncé à la corriger là-dessus. Et puis elle est charmante et il faut dire que j’ai déjà eu des expériences intimes avec d’autres femme dans le
passé et que sa jeunesse et sa beauté naturelle me font un certain effet, me plaisent, m’attirent même peut-être à y réfléchir…
Je rentre dans l’appartement, me déchausse et avance le long du couloir, je m’apprête à appeler Sabrina quand il me semble entendre un bruit étrange venant du fond. Ce bruit m’intrigue et j’avance
en restant finalement muette. En approchant le son devient plus clair et ressemble à des gémissements, cela vient du couloir où se trouvent les chambres. Maintenant la source est claire, cela
provient directement de ma chambre.
Je passe la tête par la porte entrebâillée et ce que je vois me laisse complètement stupéfaite. Sabrina est allongée sur mon lit, son caleçon pantacourt élastique qu’elle porte habituellement quand
elle vient travailler, est baissé sur ses chevilles, jambes bien écartées elle utilise mon sex-toy avec passion, machinalement je jette un œil vers le tiroir de la table de nuit où je le range, le
tiroir est bien grand ouvert.
Quand mon regard se porte de nouveau sur elle, je me rends compte qu’elle tient près de son visage une de mes petites culottes, celle que j’ai mise la veille dans le bac de linge sale. Sa tête est
tournée sur le côté et elle regarde un cadre qu’elle a posé à côté, sur le lit. Je reconnais immédiatement la photo qui trône normalement sur la commode, de ma sœur et moi, prise pour le dernier
réveillon.
Un peu stupidement je me retire en arrière comme si c’est moi qui étais coupable de quelque chose, sans trop savoir pourquoi je retourne vers l’entrée en pensant au spectacle auquel je viens
d’assister. Ce que je pensais être de l’admiration est en fait clairement une attirance sexuelle que Sabrina a pour moi.
Soudain cette nouvelle vérité qui vient de m’éclater sous les yeux fait naître en moi une certaine excitation, mais finalement je prends pitié par avance d’elle en imaginant son désarroi si je la
surprenais ainsi, connaissant sa timidité.
Je rechausse mes escarpins, et faisant le plus de bruit possible j’avance dans le couloir, en hurlant presque :
* — Sabrina c’est moi, ne t’inquiète pas je suis juste de passage pour une heure ou deux.
J’imagine la panique qui doit régner dans ma chambre, volontairement je traîne pour déposer ma veste sur un dossier de chaise et une fois avoir estimé que ma petite « amoureuse » a eu le temps de
se reprendre, j’avance vers ma chambre. À proximité c’est maintenant le bruit de l’aspirateur que j’entends, j’ouvre la porte et lui lance :
* — Ah tu es là, bonjour comment vas tu ?
Elle a remis de l’ordre à la vitesse de l’éclair, seul le dessus du lit toujours un peu froissé me prouve que je n’ai pas eu d’hallucination. Encore une fois je jette un œil machinalement vers ma
table de nuit, le tiroir est désormais bien fermé, le cadre lui aussi a retrouvé sa place.
À y regarder de près son visage est quand même quelque peu rouge finalement elle me bredouille dans un souffle :
* — Bonjour Madame.
Je lui explique alors la raison de ma présence et que la veille j’avais fini un peu tard la soirée, et que m’étendre un peu en attendant que mon client soit enfin disponible me fera le plus grand
bien.
* — Je vais vous libérer la chambre, j’en ai fini pour l’aspirateur aujourd’hui vous serez au calme.
Pendant qu’elle s’affaire au rangement de l’aspirateur, courbée en deux, je ne peux m’empêcher de l’observer en pensant à ce moment intime que je viens de surprendre. Je la regarde maintenant d’un
œil bien différent, plus détaillé, voire même je l’inspecte.
Le fin tissu de son pantacourt rouge pâle élastique moule parfaitement son bassin et ses fesses, qu’elle a bien rebondis et musclés, le tissu pénètre légèrement à l’intérieur de son fessier faisant
encore plus ressortir son galbe généreux, elle a un beau cul comme on dit ! C’est évident.
Son top blanc à bretelle lui va à ravir, je devine en dessous une poitrine bien ferme et plus menue que la mienne, mais que malgré tout je vois bien tressauter sous le tissu alors qu’elle se débat
avec le matériel.
J’examine aussi comme si c’était la première fois son visage, je le redécouvre presque, il est follement attirant, des lèvres charnues dessinent une bouche large qui se découpe parfaitement sur une
peau mate, ses yeux sombres et grands laissent deviner malgré cette apparente timidité un petit quelque chose de coquin, peut-être des restes du plaisir interrompu.
* — Voilà je m’en vais, dit-elle avec un large sourire. Je vais essayer de faire le moins de bruit possible.
* — Ne t’embête pas, je compte juste m’allonger un peu. Ça m’étonnerait que j’arrive à m’endormir !
D’autant plus que les récents événement m’ont plutôt mise dans un certain état, plus proche de l’excitation que du sommeil.
Voilà elle a quitté la pièce, désormais seule je peux m’étendre sur mon lit. Je défais un peu la fermeture de ma jupe pour être plus à l’aise et je m’allonge en attrapant un magazine, bien décidée
à me laver l’esprit et d’être le plus prête possible pour ma visite de tout à l’heure.
Après quelques minutes, ou peut-être plus, la sensation d’une présence me fait lever les yeux. Mécaniquement mon regard quitte la revue et tombe sur le large miroir situé le long de mon lit faisant
face au mur où se trouve la porte. Grâce à son reflet je peux voir que la porte est restée entrebâillée, et que le visage de Sabrina est là visible dans l’ouverture.
Visiblement elle ne s’est pas rendue compte que j’avais repéré sa présence, il est vrai que je n’ai pas bougé mise à part mon regard. Elle est là à m’observer, la bouche légèrement entre ouverte,
visiblement elle à l’air de prendre du plaisir à me regarder ainsi couché sur mon lit.
Se sentir ainsi espionnée, détaillée avec envie, relance de nouveau en moi se doux plaisir qu’est de sentir l’excitation gravir petit à petit tout son corps, la chaleur monter au visage. Je me
rends compte qu’elle observe mes jambes, dans le miroir je peux aussi voir qu’en m’allongeant ma jupe a glissé vers le haut, dévoilant ainsi une grande partie de celles-ci, presque la totalité.
J’éprouve alors l’envie, le besoin de lui en montrer plus, je remonte une jambe et tourne mon bassin. Le plaisir illumine son visage, visiblement elle apprécie mais moi aussi cette modeste
exhibition amplifie encore un peu plus mon excitation naissante et donne toutes les envies sauf celle d’arrêter ce petit jeu-là.
Elle veut voir un beau spectacle, eh bien je vais faire de mon mieux, une idée me vient pour corser un peu la situation.
En prenant mon temps je me retourne et me lève, bien sûr Sabrina a disparu de son observatoire. Je réajuste à peine ma jupe et me dirige vers les toilettes. Je traverse le salon et vois Sabrina
prenant un air très occupé sur les vitres de la fenêtre, je souris, elle est rapide ma belle Sabrina.
Une fois dans les WC, je remonte ma jupe autour de la taille, retire mon collant, ma culotte et réenfile de nouveau ma seconde peau de nylon. J’examine un instant en baissant la tête ce que cela
donne, le collant est plus clair dans sa partie haute, mon triangle brun d’amour se découpe parfaitement au travers du tissu, l’ensemble me paraît très sexy, même très chaud.
En passant je jette mon dessous dans la panière à linge sale et regagne la chambre. Marcher ainsi fait frotter mon collant sur mon sexe, ce qui bien sûr chauffe encore un peu plus mes sens, voilà
bien longtemps que je n’avait pas fait ça. De nouveau dans ma chambre je prends bien soin de laisser la porte entrouverte et je me recouche sur le dos, la tête tournée vers le miroir. Je reprends
mon magazine, mais mon attention reste fixée sur le reflet du miroir et sur l’entrée de ma chambre.
L’attente est longue, interminable, le visage n’apparaît plus. Je me mets à douter, lui aurais-je fait peur ? Deux fois surprise en train de faire des choses peu avouables et elle se dit que c’est
déjà trop ?
Non ! Voilà, une fois de plus le miroir me permet de voir son doux profil réapparaître dans l’embrasure. N’y tenant plus et de peur qu’elle disparaisse, j’agis de mon mieux pour lui donner raison
d’être revenue et de lui offrir un beau spectacle, c’est ce qu’elle cherche et moi aussi maintenant.
Je me laisse glisser un peu vers le fond du lit, comme espéré ma jupe se retrousse et remonte très haut, la glace me permet de bien voir par moi-même le spectacle que je lui offre.
Ma jupe s’est retroussée jusqu’en haut de mes cuisses, gainées de noir par le collant elles me paraissent plus grandes que dans la réalité.
Tout en gardant la tête tournée de côté, je fais pivoter mon bassin pour le tourner vers la porte. Une jambe toujours étendue je replie l’autre et écarte doucement la cuisse. Une fois de plus son
visage s’illumine, devient même passablement rouge signe que je lui fais bien l’effet escompté.
Je peux voir que son regard plonge dans mon entrejambe, elle est hypnotisée par ce qu’elle voit. Je pourrais tourner la tête et la regarder directement qu’elle ne s’en rendrait pas compte.
De sentir son regard fouiller ce lieu si intime normalement décuple encore mon plaisir. J’imagine ce qu’elle peut voir, le triangle sombre et bien taillé de ma toison, mon sexe qui commence à
s’ouvrir sous l’excitation. Je mouille, je le sens, elle doit le voir.
Il faut que j’aille plus loin, mon embrasement est tel que j’en veux toujours plus, montrer plus pour encore plus de plaisir !
Je profite que ses yeux soient occupés pour déboutonner mon corsage, voilà il ne reste plus que les deux ou trois bouton du bas. Comme une gourde je n’ai pas pensé à « refaire » un peu mon haut
comme mon bas. Par chance j’ai mis ce matin un soutien-gorge bustier, très échancré et dont les brettelles sont juste fixées devant, sur les côtés.
D’une main experte je dégrafe les deux bretelles discrètement tout en l’observant dans le miroir, c’est bon elle n’a pas vu mon petit jeu et ses yeux sont toujours rivés sur mon entrejambe.
Finalement je me mets complètement sur le dos, la tête toujours tournée dans la bonne direction face au miroir en ayant l’air absorbé par la lecture de mon magazine. J’écarte mon bras libre tout en
gonflant la poitrine comme si je m’étirais, comme espéré mon chemisier s’ouvre largement, glisse sur les côtés, libérant ma poitrine.
Le regard de Sabrina monte pour s’arrêter sur mes seins. La glace me renvoie une belle image de mon buste, le chemisier s’est totalement écarté et mes seins, bien que toujours protégés par mon
soutien-gorge, ressortent comme deux belles collines, l’échancrure prononcée laisse apparaître une bonne moitié de ma poitrine, il en faudrait peu pour qu’un mamelon ne s’échappe de sa prison de
dentelle.
Ceci me donne une idée, faisant mine de vouloir me gratouiller le pied je me redresse, écarte un peu les jambes en tailleur et me penche en avant. Un coup d’œil discret vers le bas de la porte me
montre que Sabrina est toujours là, je vois ses pieds.
Je n’ose pas regarder son visage mais j’imagine que ma nouvelle position lui plaît car je sens mon soutien-gorge glisser un peu, bien sûr je ne fais rien pour contrarier cette descente et
rapidement un de mes mamelons apparaît, Je sens l’autre à la limite de réussir lui aussi sa tentative d’évasion.
Un bref regard vers mes seins le confirme, je vois parfaitement les large aréoles de mes seins bien brunes et un mamelon pointant vers le ciel bien raide d’excitation. Il faut dire que j’ai encore
passé une étape, je suis en feu, je dois me retenir pour ne pas me jeter sur mes seins pour les caresser, les titiller.
Mon regard glisse vers mon entrejambe que je peux voir étant donné ma position, ce qui ne fait qu’amplifier encore mon désir de caresses. Ma petite fleur s’est bien ouverte, je la vois malgré le
nylon, mes lèvres sont épanouies et luisent, recouvertes par l’humidité, fruit de mon plaisir.
Je me remets sur le dos sinon je vais craquer, je conserve mes jambes repliées et écarte les cuisses autant que cela soit possible pour avoir l’air naturel, si bien que je sens un courant de
fraîcheur glisser sur ma petite chatte bien humide, j’en crispe les pieds de plaisir tout en fermant les yeux un instant.
Un œil sur le miroir, Sabrina semble elle aussi dans tous ses états, elle est cramoisie, je vois qu’une main s’est glissée entre son pantalon et son ventre, la bosse de sa main sur son pubis est
bien visible, et bouge d’ailleurs, elle se caresse !
Tu prends du plaisir on dirait ? Attends tu n’as pas encore tout vu… faisant mine de chercher quelque chose de l’autre côté du lit, au pied du miroir, je me mets à quatre pattes sur le lit et
plonge à son pied les fesses bien hautes, jambes légèrement écartées. Je sens mes lèvres s’ouvrir encore plus et une fois de plus l’air glisser dessus malgré le collant me faisant mille caresses
toutes plus exquises les unes que les autres.
J’imagine la vison qu’elle a de moi ou plutôt de mon fessier, recouvert de ce nylon qui cache si peu de chose, de mon sexe brûlant et trempé à la fois qui s’offre à son regard et qui ne demande
qu’à être admiré, frotté et plus encore. Mes seins se sont totalement libérés du coup, mon soutien-gorge n’est plus qu’une sorte de drôle de ceinture autour de ma taille.
Quand je me redresse je les sens se promener à l’air libre. Je peux de nouveau regarder vers le miroir, mes seins lourds se balancent, mes tétons pointent comme deux gros boutons qui ne
demanderaient qu’à être utilisés, ma jupe n’est plus qu’un mince bandeau entourant mon bassin, mon visage aussi a pris des couleurs, je brûle de partout.
Sabrina aussi est au bord de la rupture, du moins c’est l’impression qu’elle donne. Sa main s’active tellement sur son bas-ventre qu’elle en a fait glisser son shorty un peu plus bas sur sa taille,
son autre main est passée sous son top et caresse ses seins avec une certaine brutalité.
C’en est trop il faut que je m’occupe de moi, j’en ai assez fait pour elle. Je m’étends de nouveau sur le dos, jambes bien repliées et écartées comme auparavant, mais plus de lecture maintenant. Je
laisse mon visage faire face au plafond, ma main glisse le long de ma cuisse, elle est maintenant presque sur l’aine, le premier contact m’électrise tout le corps je me retiens pour ne pas
geindre.
Ça y est mes doigts glissent sur mon sexe en feu, chaque passage me provoque des frissons, je regarde maintenant directement la porte, Sabrina n’a d’yeux que pour cette main qui glisse et reglisse
le long de mon sexe trempé. Mon autre main s’est machinalement occupée de ma poitrine, elle caresse, pétrit, elle s’occupe de mon mamelon, le pince, l’étire…
Je suis complètement sous l’emprise du désir et l’envie de jouir, mes mains s’activent avec frénésie sur mes lèvres, mon clitoris, mais ce maudit collant si infime qu’il soit est encore un rempart.
Non ça y est, mes ongles ont transpercé le nylon, mes doigt plongent dans mon sexe détrempé, c’est chaud, c’est bon. Ils entament un va-et-vient et rapidement je jouis une première fois, j’étais
tellement excitée, j’ai attendu si longtemps.
Mais ce n’est pas suffisant, mes mains s’activent encore et encore sur mes seins et ma chatte, je me rends compte que je suis en train de gémir, à moins que ce ne soit Sabrina ? Non c’est bien moi.
Sabrina est toujours là, le regard sur mon sexe en feu et sur mes mains jouant les pompiers, trop occupée à son plaisir personnel pour voir que je l’observe directement, nouvelle jouissance aussi
brutale que la première en la regardant.
Il me faut un moment pour me rendre compte d’un bruit dans le lointain, j’émerge un peu de l’état second où me suis mise pour me rendre compte que c’est mon téléphone que j’avais posé sur la table.
Il me faut encore un moment pour sortir de mon hébétude et me dire « Hou ! Hou ! tu as ton téléphone qui sonne. »
Je décroche enfin, et d’une voix sortie d’on ne sait où je dis le « Allô ? » traditionnel.
C’est mon client qui me dit qu’il est arrivé à l’appartement et qu’il m’attend pour la visite, je bredouille un « je suis en route, j’arrive ».
Sabrina a disparu, je suis encore toute flageolante de ma petite séance. Il est temps de se reprendre et de se mettre présentable, mon collant est complètement déchiré à l’entrejambe, moi qui
croyais avoir juste un petit trou, toute ma foufoune est à l’air, tant pis je replace ma jupe. Mon soutien-gorge ? Et puis zut je l’enlève pas le temps de chercher à remettre les bretelles.
Je traverse le séjour presque en courant et tombe sur Sabrina. Je ne sais pas si j’ai une tête aussi chavirée qu’elle, je préfère ne pas savoir, mais elle aussi a dû prendre son pied. Comme pour
vérifier mon regard se porte vers son entrejambe, une tache sombre se dessine au bas de son pubis… Elle est comme moi elle mouille abondamment.
Péniblement je lui sors quelques mots : client, retard, il m’attend, je dois y aller.
Me re-voilà dans l’ascenseur, dans la glace je vois que le tressautement amorçant la descente fait ballotter mes seins libres de tout soutien sous mon chemisier, loin de m’affoler je trouve ça,…
sympa. Tiens il est même un peu trop boutonné ce chemisier, je défais deux boutons, voilà là c’est mieux ! J’ai un beau décolleté pourquoi le cacher ? Cette jupe, voyons on peut bien la remonter un
peu sur la taille aussi, parfait comme ça !
Marchant dans la rue pour rejoindre ma voiture, je sens l’air s’engouffrer sous ma jupe et venir se frotter à mon pubis libre de toute protection, Bon Dieu que c’est bon ! J’aurais dû faire ça
avant !
Mon pas vif donne un beau mouvement de va-et-vient à ma poitrine, ce qui n’échappe pas à deux passants mâles que je croise, j’aime ce regard… Une nouvelle Catherine est-elle née ? Ou juste des
restes de mon show avec Sabrina, pas le temps de s’éterniser là-dessus !
J’ai un client qui m’attend on verra ça après.
À suivre
Si je cherche un appartement un jour, j'aimerais que ce soit vous qui me le fassiez visiter. A la réflexion, ce n'est pas sûr. Vous me troubleriez tellement que je pourrais louer n'importe quoi ou au contraire ne jamais me décider pour multiplier les visites et les rendez-vous ainsi volés…
Au plaisir de vous lire encore.