Vendredi 29 avril
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En ce jour de mariage entre Ken et Barbie un petit post d'outre manche. Un peu de contexte tout d'abord, Doctor Who, cela
vous dit quelque chose? J'en doute. ...; Non toujours pas ?
Alors Doctor Who est une série télévisée britannique de science-fiction qui a débutée en 1963 et se poursuit toujours. Bien
sur ce ne sont pas les mêmes personnages mais la trame reste la même.
Donc ce docteur originaire de la planète Gallifrey, il voyage dans le temps et dans l'espace accompagné d'assistants la
plupart du temps humain. Sa machine à voyager dans le temps est une cabine téléphonique typiquement britannique et kitch. Vous allez me dire c'est n'importe quoi ?
Oui je vous l'accorde mais c'est assez intéressant, les scénaristes ont des idées originales et souvent
intéressantes.
Tout d’abord, petite introduction pour vous parler d'Amy pond l'amie du Docteur Who. Elle apparaît dans la saison 5 de
Doctor Who en 2010 après une apparition confidentielle dans un épisode en 2008.
Amy est pour le docteur Who une compagne efficace mais très indépendante. Amie certes mais elle n'hésite jamais à faire des
critiques ou à désobéir au Docteur, pour de bonnes ou de mauvaises raisons. Amy en tout cas apporte une touche sexy à la série qui a été jusqu'à présent une série familiale sage pour la BBC. Elle
fut remarquée pour les jupes très courtes de son uniforme de police (Le Prisonnier zéro). Ce qui fit scandale lors du premier épisode. A propos de cet uniforme Amy dit au Docteur que "c'était ça ou un costume de soubrette". Le ton est donné.
Proche du Docteur, elle l'embrasse parfois le Docteur mais elle lui annonce aussi qu'elle n'a pas spécialement envie de
quelque chose sur le long terme. Elle décrie l'homme avec qui elle va se marier Rory comme un second choix mais ne succombe pas non plus aux charme du Docteur. En tout cas elle donne du piment à
l'histoire et rajeunie le casting.
Vendredi 3 avril
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14:40
Mercredi 25 février
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Elle me prit dans ses bras, me serra affectueusement et m’appela sa fille.
Après, elle m’entretint de la vie tranquille et douce du couvent ; elle réchauffa encore ma haine pour les hommes et termina par une exhortation pieuse, qui me parut le langage d’une âme divine.
Pour rendre moins sensible la transition subite de la vie du monde à la vie du cloître, il fut convenu que je resterais près de la Supérieure et que je coucherais chaque soir dans son alcôve. Dès
la seconde nuit nous étions à causer le plus familièrement du monde. La Supérieure se retournait, s’agitait sans cesse dans son lit. Elle se plaignait du froid et me pria de me coucher avec elle
pour la réchauffer. Je la trouvai absolument nue. On dort mieux, disait-elle, sans chemise. Elle m’engagea à ôter la mienne ; ce que je fis pour lui être agréable. — Oh ! ma petite, s’écria-t-elle,
en me touchant, tu es brûlante. Comme ta peau est douce. Les barbares ! oser te martyriser de la sorte. Tu as dû bien souffrir. Raconte-moi donc ce qu’ils t’ont fait. Ils t’ont battue ; dis. Je lui
répétai mon histoire, avec tous les détails, appuyant sur ceux qui paraissaient l’intéresser davantage. Le plaisir qu’elle prenait à m’entendre parler fut si vif qu’elle en éprouvait des
tressaillements extraordinaires. — Pauvre enfant ! pauvre enfant ! répétait-elle en me serrant de toutes ses forces.
Insensiblement, je me trouvai étendue sur elle. Ses jambes étaient croisées sur mes reins, ses bras m’entouraient. Une chaleur tiède et pénétrante se répandait par tout mon corps. J’éprouvais un
bien-être inconnu, délicieux qui communiquait à mes os, à ma chair je ne sais quelle sueur d’amour qui faisait couler en moi comme une douceur de lait. — Vous êtes bonne, bien bonne, dis-je à la
Supérieure. Je vous aime, je suis heureuse près de vous. Je ne voudrais jamais vous quitter. Ma bouche se collait sur ses lèvres, et je reprenais avec ardeur : — Oh ! oui, je vous aime à en mourir…
je ne sais… Mais je sens…
La main de la Supérieure me flattait avec lenteur. Son corps s’agitait doucement sous le mien. Sa toison dure et touffue se mêlait à la mienne, me piquait au vif et me causait un chatouillement
diabolique. J’étais hors de moi dans un frémissement si grand que tout mon corps tremblait. À un baiser violent que me donna la Supérieure, je m’arrêtai subitement. — Mon dieu ! m’écriai-je,
laissez-moi… Ah !… jamais rosée plus abondante, plus délicieuse ne suivit un combat d’amour.
L’extase passée, loin d’être abattue, je me précipite de plus belle sur mon habile compagne ; je la mange de caresses. Je prends sa main, je la porte à cette même place qu’elle vient d’irriter si
fort. La Supérieure me voyant de la sorte, s’oublie elle-même, s’emporte comme une bacchante. Toutes deux nous disputons d’ardeur, de baisers, de morsures… quelle agilité, quelle souplesse cette
femme avait dans ses membres. Son corps se pliait, s’étendait, se roulait à m’étourdir. Je n’y étais plus. J’avais à peine le temps de rendre un seul baiser à tous ceux qui me pleuvaient de la tête
aux pieds. Il me semblait que j’étais mangée, dévorée en mille endroits. Cette incroyable activité d’attouchements lubriques me mit dans un état qu’il est impossible de décrire, Ô Fanny ! que
n’étais-tu témoin de nos assauts, de nos élans ! Si tu nous avais vues toutes deux furibondes, haletantes ; tu aurais compris tout ce que peut l’empire des sens sur deux femmes amoureuses. Un
instant ma tête se trouva prise entre les cuisses de ma lutteuse. Je crus deviner ses désirs. Inspirée par ma lubricité, je me mis à la ronger dans ses parties les plus tendres.
Mais je répondais mal à ses voeux. Elle me ramène bien vite sur elle, glisse, s’échappe sous mon corps et, m’entr’ouvrant subtilement les cuisses, elle m’attaque aussitôt avec la bouche. Sa langue
agile et pointue me pique, me sonde comme un stylet qu’on pousse et retire rapidement. Ses dents me prennent et semblent vouloir me déchirer… J’en vins à m’agiter comme une perdue. Je repoussais la
tête de la Supérieure, je la tirais par les cheveux. Alors elle lâchait prise : elle me touchait doucement, m’injectait sa salive, me léchait avec lenteur, ou me mordillait le poil et la chair avec
une raffinerie si délicate, si sensuelle à la fois que ce seul souvenir me fait suinter de plaisir. Oh ! quelles délices m’enivraient ! quelle rage me possédait ! Je hurlais sans mesure ; je
m’abattais abîmée, ou je m’élevais égarée, et toujours la pointe rapide, aiguë, m’atteignait, me perçait avec raideur. Deux lèvres minces et fermes prenaient mon clitoris, le pinçaient, le
pressaient à me détacher l’âme. Non, Fanny, il est impossible de sentir, de jouir de la sorte, ce n’est qu’une fois en sa vie. Quelle tension dans mes nerfs ! quel battement dans mes artères !
quelle ardeur dans la chair et le sang. Je brûlais, je fondais et je sentais une bouche avide, insatiable, aspirer jusqu’à l’essence de ma vie. Je te l’assure je fus desséchée et j’aurais dû être
inondée de sang et de liqueur. Mais que je fus heureuse ! Fanny, Fanny ! je n’y tiens plus. Quand je parle de cet excès je crois éprouver encore ces mêmes titillations dévorantes. Achève-moi… Plus
vite, plus fort… bien ! ah ! bien ! las ! je meurs…
Fanny était pire qu’une louve affamée.
- Assez, assez, répétait Gamiani. Tu m’épuises. Démon de fille ! Je te supposais moins habile, moins passionnée. Je le vois, tu te développes. Le feu te pénètre.
Lundi 12 janvier
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Lundi 15 décembre
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Un idée de sortie culturelle et thématique pour la rentrée de janvier.
Son dernier livre avait déjà un titre étrangement naïf : "Comment les riches détruisent la planète". Avec cet ouvrage, Hervé Kempf, très sérieux journaliste au Monde, spécialiste des questions
d'environnement, a été convié à d'innombrables débats aux quatre coins du pays, preuve que cette question faisait écho. Le livre qu'il publie aujourd'hui tente de répondre à la question qui lui a
été posée inlassablement : " que faire ?" Avec cette fois encore un titre faussement naïf pour un livre qui ne l'est pas.
Avec Hervé Kempf , auteur de : "Pour sauver la planète, sortez du capitalisme" (Seuil)
Phyto Bar - 47 Bd St Germain 75005 Paris - MERCREDI 07 janvier 2009, de 19h00 à 20h30
Tel : 01 44 07 36 99
(Entrée dans la limite des places disponibles)
Samedi 29 novembre
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09:56
Un bon film à aller voir :Chomsky & Cie
À l’heure où impuissance et résignation l’emportent, le travail de Noam Chomsky est un antidote radical pour
tous ceux qui veulent en finir avec la fabrique de l’impuissance et ses chiens de garde intello-médiatiques.
Inlassable, inclassable, implacable, « l’intellectuel le plus populaire et le plus cité au monde » poursuit la mise à nu des mécanismes de domination avec une étonnante vitalité. Mais pas
d’hagiographie, pas de prêt à penser. Souvent l’intellectuel est celui qui veut nous faire penser comme lui.
Au contraire, Chomsky nous incite à développer par nous-mêmes une pensée critique contre les différentes formes de pouvoir et les idéologies qui les justifient. Il montre que les changements
sociaux sont à notre portée.
Et d’ailleurs il n’est pas seul. De Boston à Bruxelles, nous rencontrons chercheurs, journalistes, activistes tels que Jean Bricmont, ou encore Normand Baillargeon auteur du «Petit cours
d’autodéfense intellectuelle», ce qui pourrait être le sous-titre de ce film engagé contre le cynisme conformiste et la pensée molle des faux rebelles.
Dimanche 23 novembre
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En ces temps de baisse des bourses, et de problèmes des sans papiers même si avec la crise économique et
financière on en parle moins. Voici une solution innovante aux problèmes des frontières mise en musique il y a déjà quelques années. L'internationalisation...
Pour écouter, cliquer sur l'image.
Cette petite chanson de gaston Ouvrard chanteur français a été extraite d'une ancienne émission de La bas, si j'y suis de daniel Mermet. Une émission de référence
que vous invite à écouter.
Le site de l'émission:
Dimanche 16 novembre
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04:56
Un petit sujet sur la polygamie ou plus généralement le pluralisme dans la relation amoureuse. Une petite vidéo
extraite d'un reportage très bien fait, sur un couple californien Summer et Kestrel, qui de duo sont passés à un trio avec l’arrivé de Lucy après sept ans de vie commune. Comment fonctionne cette
relation basée sur la liberté de chacun, comment est ce que cela fonctionne au jour le jour.
La vidéo est en anglais sorry... mais je n'ai pas trouvée de reportage aussi bien fait en version francaise.
Petit rapel pour ceux qui n'ont pas le petit Robert sous la main: La polygamie désigne la situation dans laquelle une personne dispose au même moment de plusieurs conjoints de même sexe. Le terme
est formé à partir de deux mots grecs, "polus" qui signifie "plusieurs" et "gamos", signifiant "mariage".
Pour voir, cliquer sur l'image.
Samedi 31 mai
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06:37
Exposant des photos en grands formats mélangeant les couleurs d'un ciel d'orage et les traînées nuageuses utilisant la lumière et l'obscurité pour révéler les lieux
et les personnages.
Artiste par vraiment génial parfois controversé certain aime ou pas … Voila pas que son exposition dans une galerie Roslyn Oxley9 en Australie attire plus la police que les visiteurs du moins pour
le moment. Ces photos de corps nus ont été retirées. L'art doit-il être traité comme un média comme un autre? La question est posée.
En tout cas il semble que de nombreux artistes dont Cate Blanchett ont demandé que l’exposition puisse reprendre. Pour l’instant pas d’exposition mais beaucoup de bruit pour ce qui s’apparente pour
l’instant a de l’excès de zèle.
En effet, certains journalistes font remarquer que des photographies d’une exposition précédentes sont toujours exposées dans d’autre galerie sans que personne ne s’en soucie.
Un peu plus d'info pour les curieux Bill Henson
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