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plaisir

Dimanche 7 décembre 7 07 /12 /Déc 08:12
Hannah rassemble tout son courage. “Moi, je pense à d’autres choses qu’on peut faire la nuit.’’
Jake sourit doucement. Sa main sort de l’obscurité et se pose sur le bras nu de Hannah. Son visage s’avance dans l’espace qui les sépare. Ses lèvres gercées par le soleil sont entrouvertes. Des poils de barbe blonds brillent autour de sa bouche. Juste avant qu’il l’embrasse, elle voit ses paupières closes, comme des volets blancs sur sa peau brune.

Ils les enlèvent l’un après l’autre, jusqu ce que leurs vêtements soient répandus comme des flaques en désordre sur le plancher de la maison de Hannah. Il examine les marques de bronzage qui découpent le corps de Hannah en zones blanches et brunes. Il connaît la forme de son corps mais pas les endroits que le soleil n’a pas atteints, où les veinules bleues courent sous la surface d’une peau soyeuse au toucher. Quand ils se déshabillent sur la plage, l’autre se retourne toujours. Chaque fois que Jake quitte sa bouche et lève la tête, l’épais volume d’une bible apparaît dans le coin de son champ de vision, comme un crapaud qui refuse de s’en aller. Il éteint la lumière, les rendant délibérément aveugles tous les deux. Ils doivent tâtonner pour se trouver. Hannah trébuche jusqu’à la fenêtre et lève à moitié un des stores. Il la regarde de dos tandis qu’elle tire sur le cordon. Les lumières de la rue forment un contour argenté à son corps. Avant qu’elle se retourne il est là, debout à coté d’elle.

- reste, souffle-t-il quand elle essaie de se retourner vers lui. Il soulève ses cheveux et pose les lèvres sur sa nuque. Comme il glisse la bouche sur sa peau, elle tend les bras en arrière et lui passe les mains sur les hanches en une caresse qui le fait frissonner. Jake n’a pas l’habitude de se retenir ; il doit se forcer à prendre son temps. Comme si elle lisait dans ses pensées, elle vient lui mordre l’épaule pour le stimuler. Il se tend vers sa bouche et la couvre de la sienne, plus avide que jamais il n’a été.

Elle ne commence à se raidir que lorsqu’il descend les mains plus bas sur son corps. Elle se tourne. Il la lâche avant qu’elle repousse ses mains. Mais au contraire elle les lui retient et indique la chambre. Il la regarde ramasser ses vêtements et la suit dans le couloir.

Ils grimpent dans le grand lit aux draps froids et amidonnés. C’est comme de monter en scène. Jake préférerait qu’ils soient restés couchés par terre au salon. Dans cette chambre, avec l’armoire ancienne, la coiffeuse et chêne et le plafond façon stuc, ils sont devenus plus formels et une partie de la chaleur a disparu. Il se demande si c’est le dit de ses parents. Hannah se met à parler maintenant qu’ils se touchent et Jake comprend qu’elle essaie de calmer le jeu. Elle lui parle d’un garçon dans une salle de cinéma, un inconnu qui avait pris sa main comme s’ils se trouvaient dans un rêve. Elle lui raconte les histoires qu’elle a bâties autour de lui et son regret de ne pas être restée. Jack la titille du bout des doigts et elle tient sa verge tout en parlant, sa voix devenant plus rauque à mesure que ses histoires deviennent plus sauvages. Ils roulent et rient dans le noir et commencent à se comprendre de manière très différente de ce qu’ils connaissaient jusqu’à présent. Par ses mots, elle s’expose à lui, elle sourit  et se dénude sans cesse  au point qu’il lui verrait presque les os.
Dimanche 5 octobre 7 05 /10 /Oct 02:56
Pour répondre à une question qui m’ a été récemment posée.

J’aime beaucoup sucer le sexe des hommes. J’y ai été initié quasiment en même temps que j’ai appris à diriger le gland décalotté vers l’autre entrée, la souterraine. Dans ma naïveté, j’ai d’abord cru qu’un pompier était un acte sexuel déviant. Je m’entends encore expliquer la chose à une copine, dubitative et légèrement  dégoûtée, moi affectant l’indifférence, en réalité assez fière de ma découverte et de mon aptitude à y faire face. Cette aptitude est bien difficile à expliquer car, au-delà d’un quelconque vestige du stade oral, et avant la crânerie mise dans l’accomplissement d’un acte qu’on croit anormal, il y a une obscure identification au membre que l’on s’approprie. La connaissance que l’on acquiert, à travers l’exploration menées simultanément du bout des doigts et de la langue, des moindres détails de son relief comme de ses plus infimes réactions, est peut-être supérieure à la connaissance qu’en a son propriétaire même. Il en résulte un ineffable sentiment de maîtrise : une minuscule vibration du bout de la langue, et voilà qu’on déclenche une réponse démesurée.

À cela s’ajoute que prendre à pleine bouche procure plus nettement l’impression d’être remplie que lorsque c’est le vagin qui est occupé. La sensation vaginale est diffuse, rayonnante, l’occupant semble s’y fondre, tandis que l’on peut tout à fait distinguer les doux attouchements du gland à l’extérieur ou à l’intérieur des lèvres, sur la langue et sur le palais et jusque dans la gorge.

Sans parler du fait que, dans la phase finale, on goûte le sperme. Bref, on est aussi subtilement sollicité que l’on sollicite soi-même. Reste le mystère, pour moi, de la transmission de l’orifice supérieur à l’orifice inférieur. Comment se fait-il que l’effet de la succion soit ressenti à l’autre extrémité du corps, que le resserrement des lèvres du pénis mette en place un bracelet extraordinairement dur à l’entrée du vagin ?


Lorsque la fellation est bien menée, que je prends mon temps, avec le loisir de réajuster ma position, de varier le rythme, alors je sens venir d’une source qui n’a pas de lieu dans mon corps une impatience qui afflue et concentre une immense énergie musculaire là, à cet endroit dont je n’ai qu’une image imprécise, au bord de ce gouffre qui m’ouvre démesurément.

Orifice d’un tonneau qu’on cerclerait. Lorsque l’anneau se forge par contamination de l’excitation du clitoris voisin, je peux comprendre. Mais lorsque l’ordre vient de l’appareil buccal ! L’explication est sans doute à chercher dans le un détour mental. J’ai beau avoir la plupart du temps les paupières baissées, mes yeux sont si proches du minutieux travail que je le vois néanmoins et l’image que je recueille est un puissant activateur du désir. Le fantasme est peut-être aussi qu’à l’arrière des yeux, le cerveau aurait une intelligence instantanée et parfaite de l’objet qui le touche presque ! Je vois d’abord mes propres arrangements sur lesquels je règle ma respiration : l’étui flexible de ma main, mes lèvres repliées par-dessus mes dents pour ne pas blesser, ma langue qui jette une caresse au gland lorsqu’il s’approche. J’évalue visuellement leur parcours, toute la main qui accompagne les lèvres, parfois avec un léger mouvement tournant, et resserre la pression au niveau du gros bourgeon terminal.

Puis la main tout à coup se désolidarise pour branler vivement, de deux doigts seulement formant tenaille, et agite la soyeuse extrémité sur le coussinet des lèvres refermées dans un baiser. Jacques laisse toujours échapper le « ha » clair et bref d’un ravissement par surprise (alors même qu’il connaît parfaitement la manœuvre), et qui redouble ma propre excitation, lorsque la main lâche prise pour laisser la verge s’engouffrer totalement, jusqu’à toucher le fonds de la gorge. J’essaie de la garder là quelques instants, et même d’en promener l’arrondi au fin fonds du palais, jusqu’à ce que les larmes me viennent aux yeux, jusqu’à suffoquer.
Ou alors, et pour ça il faut avoir le corps entier bien d’aplomb, j’immobilise le moyeu, et c’est toute ma tête qui gravite autour, et je distribue les caresses des joues, du menton mouillé de salive, du front et des cheveux, et même du bout du nez. Je lèche d’une langue prodigue, jusqu’aux couilles qui se gobent si bien. Mouvements entrecoupés de stations plus longues sur le gland où la pointe de la langue décrit des cercles, à moins qu’elle ne s’adonne à des agaceries sur l’ourlet du prépuce. Et puis, hop ! Sans prévenir, je ravale tout et j’entends le cri qui transmet son onde à l’armature forgée à l’entrée de mon con.

Si je me laissais aller à la facilité, je pourrais en écrire des pages, d’autant que la seule évocation de ce travail de fourmi déclenche déjà les premiers signaux d’excitation. Il y aurait peut-être même une lointaine correspondance entre ma façon de peaufiner un pompier et le soin que j’apporte, dans l’écriture, à toute description.
Je me bornerai à ajouter que j’aime aussi abandonner la fonction de conductrice. J’aime qu’on m’immobilise la tête entre deux mains fermes et qu’on baise dans ma bouche comme on baiserait dans mon con. En général, j’éprouve le besoin de prendre dans la bouche dans les premiers moments du rapport, histoire de fouetter les quelques millilitres de sang qui produisent l’érection. Soit que nous sommes debout et que je me laisse couler aux pieds de mon partenaire, soit que nous sommes couchés et que je me précipite sous le drap. Comme dans un jeu : je vais chercher dans le noir l’objet de ma convoitise. D’ailleurs, j’ai bêtement, dans ces moments-là, des paroles d’enfant gourmand. Je réclame « ma grosse sucette », et cela me réjouit. Et quand je relève la tête, parce qu’il faut bien que je détende les muscles aspirés vers l’intérieur de mes joues, je m’en tiens au « hum…, c’est bon » de celui qui fait croire au contentement de ses papilles quand il s’occupe surtout à se gaver.

De même, je reçois les compliments avec la vanité du bon élève le jour de la distribution des prix. Rien ne m’encourage plus que de m’entendre dire que je suis la meilleure des « suceuses ».  Mieux : quand, dans la perspective de ce livre, j’interroge un ami vingt-cinq ans après avoir cessé toute relation sexuelle avec lui, et que je m’entends dire qu’il n’a depuis « jamais rencontré une autre fille qui faisait aussi bien les pipes », je baisse les yeux, d’une certaine façon par pudeur, mais aussi pour couver ma fierté.


La vie sexuelle de Catherine M. de Catherine Millet
Lundi 29 septembre 1 29 /09 /Sep 06:38
Tout se passe comme si la sexualité était constamment
appelée à occuper tous les lieux de la
société, à servir de langage pour exprimer, de
raison pour légitimer des réalités dont les fondements
ne relèvent pas, ou pas principalement, de son ordre.
(GODELIER, 1995 : 13).
Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 01:32
Non je vous rassure le blog ne se transforme en une série de vidéo postées sur d'autres sites. Mais bon contre le sida on peut faire une exception...

Juste une remarque sur cette video et le site mentioné.

Je trouve que la vidéo et le montage en musique vaut le coup d'être montrée. Le site mentioné est commercial alors attention ... et pas forcément d'un interet folichon

Allez plutot consulter celui ci: http://www.un.org/french/events/aids/





Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 03:48
Et voici la réponse...

 
Jeudi 29 novembre 4 29 /11 /Nov 04:16

Voyons un peu si vous êtes joueurs.

Allez juste un peu.

Que font elles ? A vous de me le dire  un petit commentaire on verra celle, celui, ceux qui auront du flair....

 


Dimanche 13 mai 7 13 /05 /Mai 23:40

Bon cela m'a aussi permis de ne rester neutre du point de vu de l'élection présidentielle.  Bon maintenant on a choisi.

Présidentielles, président j'en profite pour vous montrer cette petite photo certes volé par des paparazzi de monsieur Berlusconi en fort galante compagnie et fort nombreuses compagnie. Celui que l'on élu et qui semble apprécier les yachts de luxe et  le cliquant nous fera peut être découvrir une autre facette de la présidence qui est  depuis Mazarine plutôt sage dis t on ....

On a vu pendant cette campagne beaucoup d'information je veux revenir sur le rapport de L'INSERM concernant la sexualité de français qui une fois le court temps médiatique passé a disparu au oubliette de la campagne, rouleau compresseur médiatique.

j'ai sauvegardé le PDF du rapport et le voila disponible. j'espère que vous prendrez le temps de le lire. Il est plu nuancé que ce que l'on a bien voulu lui faire dire. Il montre cependant que la libération des mœurs se poursuit et bon je dois dire pour le plaisir de tous. .. et je dois bien dire de manière égoïste le mien  et j'espère le votre

Des nouvelles voyons voir dans le un peu bizarre j'ai vu apparaître ces derniers jours l'article suivant. Un titre qui attire et qui inquiète tout a la fois. L'homme moderne a le clic facile et se précipite dessus pour découvrir...

Ma fois pas grand chose du moins des informations a confirmer par des études plus pousser par contre la plupart des articles sont accompagnés d'un plus ou moins grand paragraphe sur ce vaccin très médiatisé dans les pays anglo-saxon de la a penser que c'est une campagne publicitaire il n'y a qu"un pas. A vous de juger

 

 




Les papillomavirus humains, responsables de la plupart des cancers utérins, sont aussi liés à certaines tumeurs cancéreuses de la gorge. Le risque que ces tumeurs se développent augmenterait nettement pour les personnes ayant des relations sexuelles bucco-génitales (fellation et cunnilingus), selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

Même sans fumer ou consommer de l'alcool, le fait d'avoir une infection de la bouche avec des papillomavirus et des relations sexuelles bucco-génitales avec de multiples partenaires paraît constituer le principal facteur de risque de certains types de cancer assez rares de la gorge, ont conclu des chercheurs de la faculté de médecine de l'université Johns Hopkins (Maryland). "Le public devrait toutefois être rassuré car le cancer de l'oropharynx (situé à l'arrière de la langue) est relativement rare et la grande majorité des personnes ayant une infection buccale avec des papillomavirus ne développeront probablement pas un cancer de la gorge", explique le Dr Maura Gillison, épidémiologiste et principal auteur de cette recherche.

Son étude a porté sur 86 hommes et 14 femmes qui venaient d'être diagnostiqués d'un cancer de l'oropharynx et qui étaient déjà infectés par des papillomavirus. Ils avaient 32 fois plus de risques de développer ce cancer. Ce taux est trois fois plus élevé que pour les fumeurs et deux fois et demi plus élevé que pour les personnes buvant régulièrement de l'alcool, précise le Dr Gillison.

Les participants à cette étude ayant indiqué avoir eu des relations bucco-génitales avec plus de six partenaires durant leur vie avaient 8,6 fois plus de risques d'avoir un cancer lié à une infection avec des papillomavirus. Cette recherche montre aussi que le fait de fumer ou de boire de l'alcool n'a pas accru les risques de cancer de la gorge chez ceux ayant une infection de la bouche avec des papillomavirus. Et le Dr Gillison d'affirmer : "C'est bien le virus qui provoque le cancer".
Dimanche 17 décembre 7 17 /12 /Déc 18:23
J'ai écouté ce matin l'émission de Philippe Meyer  sur France Culture et je voulais vous faire partager un extrait de sa chronique : la lettre dans laquelle Mme de Lafayette décrit les tourments d’un amour qui croit decouvrir qu’il n’est plus partagé.

Jamais douleur n'a été pareille à la mienne. Je croyais que vous aviez pour moi une passion violente ; je ne vous cachais plus celle que j'avais pour vous, et dans le temps que je vous la laissais voir tout entière, j'appris que vous me trompiez et que vous en aimiez une autre. (…) Je feignis d'être malade pour cacher le désordre de mon esprit ; mais je le devins en effet, et mon corps ne put supporter une si violente agitation. Quand je commençai à me porter mieux, je feignis encore d'être fort mal, afin d'avoir un prétexte de ne vous point voir et de ne vous point écrire. Je voulus avoir du temps pour résoudre de quelle sorte j'en devais user avec vous ; je pris et je quittai vingt fois les mêmes résolutions ; mais enfin je vous trouvai indigne de voir ma douleur, et je résolus de ne vous la point faire paraître. Je voulus blesser votre orgueil, en vous faisant voir que ma passion s'affaiblissait d'elle-même. Je résolus de vous écrire des lettres tièdes et languissantes, Je pensais que je ne vous punirais pas assez en rompant avec vous,(…). Je trouvai qu'il fallait que vous m'aimassiez pour sentir le mal de n'être point aimé, que j'éprouvais si cruellement. Je crus que si quelque chose pouvait rallumer les sentiments que vous aviez eus pour moi, c'était de vous faire voir que les miens étaient changés ; mais de vous le faire voir en feignant de vous le cacher, et comme si je n'eusse pas eu la force de vous l'avouer. Je m'arrêtai à cette résolution ; mais qu'elle me fut difficile à prendre, et qu'en vous revoyant elle me parut impossible à exécuter ! Je fus prête cent fois à éclater par mes reproches et par mes pleurs ; l'état où j'étais encore par ma santé me servit à vous déguiser mon trouble et mon affliction. Je fus soutenue ensuite par le plaisir de dissimuler avec vous, comme vous dissimuliez avec moi ; vous vîtes (…) que mes sentiments étaient changés. Vous en fûtes blessé ; vous vous en plaignîtes. Je tâchais de vous rassurer ; mais c'était d'une manière si forcée, que vous en étiez encore mieux persuadé que je ne vous aimais plus. Enfin, je fis tout ce que j'avais eu intention de faire. La bizarrerie de votre cœur vous fit revenir vers moi, à mesure que vous voyiez que je m'éloignais de vous. J'ai joui de tout le plaisir que peut donner la vengeance.
Jeudi 23 novembre 4 23 /11 /Nov 23:05

Apres une période de spéculation plus ou moins longue selon les différentes personnes c'est la fin d'un Emythe si l'on peux les appeler ainsi. Voila que madame Spears ou ex-ferderline n'est pas encore divorcée que l'on entend parlé de la sex tape la fameuse cassette qui montrerait les deux amants prenant du plaisir.

Un email, un article, et un lien vers une vidéo ou l'on voit une femme pratiquant une fellation. Ressemblance avec Britney oui sans doute. Il faudra 24 heures pour que le emythe s'écroule.


En effet, une vidéo plus longue existe et démontre que ce n'est pas britney. C'est en effet une fellation, peut être pas la meilleur...

 

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