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Eros - essais érotiques

Vendredi 5 mars 5 05 /03 /Mars 06:53
Je suis chaude et luxurieuse comme Messaline et peut-être plus amoureuse encore, s’il est possible, que cette célèbre Romaine.

Je baise et jouis jusqu’à extinction de force et, de même encore que Messaline, lorsque trente ou quarante hommes m’ont passé sur le corps, je suis exténuée, sans doute, mais je ne suis pas rassasiée ; lorsque réduite, esquintée, anéantie et noyée dans le sperme, je n’ai plus la force de jouir, mon con brûlant demande toujours et plus que jamais un membre viril. C’est même à ce moment que l’envie de faire ça est plus impérieuse et il me semble que cent décharges successives ne me feraient pas broncher ni reculer.

On dira peut-être qu’obéissant à de vains sentiments de vantardise, j’exagère ici mes facultés amoureuses, hé ! bien non, il n’en est rien ; je ne dis que l’exacte vérité et comme preuve de mon dire je vais raconter un de mes exploits amoureux dans tous ses détails, et l’on verra par ce récit combien j’ai raison de me dire une bonne baiseuse.

Il y a de cela quelques années déjà ; j’avais alors dix-sept ou dix-huit ans. J’habitais encore avec ma mère que j’ai dû quitter depuis, pour me livrer sans contrainte à ma lubrique passion. Malgré mon jeune âge, aucun homme, tout robuste eût-il été, n’aurait pu se vanter de me satisfaire et c’est, je le répète, lorsqu’il était entièrement vidé que la rage luxurieuse me prenait avec la plus grande violence ; j’aurais ainsi épuisé vingt hommes l’un après l’autre.

Extrait : Orgie soldatesque ou La Messaline moderne, Au Champ de Mars, 1893.
Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 09:11

Bon, j’avoue que je n’ai pas trop bien dormi cette semaine-là. Mais je suis allée au rendez-vous à l’heure dite et j’ai appuyé sur ce petit bouton blanc à côté duquel était écrit SPARTE D. P.

— Bonjour, que puis-je pour vous ?

— J’ai rendez-vous ce matin à neuf heures. Un certain Alain.

— Qui êtes-vous, madame ?

— Aline Arnault.

— Entrez. Monsieur Alain arrive.

J’entrai. C’était un joli immeuble de bureaux, avec une petite cour centrale. Alain, enfin Monsieur Alain, est arrivé, toujours tiré à quatre épingles.

— Bonjour, Je suis très heureux de vous rencontrer, Aline.

— Euh, bonjour. De même. Ça va ?

— Oui, Aline, je vais bien. Et vous-même ?

— Oui, répondis-je d’une voix trahissant une certaine timidité. Je n’étais pas dans mon monde.

— Veuillez me suivre.

Il m’a emmenée dans une petite salle et m’a montrée une table.

— Aline, je vais vous demander de remplir ce questionnaire. Soyez honnête, ne trichez pas. Les questions sont personnelles mais cela devrait nous aider pour la suite. Mon bureau est derrière cette porte. Lorsque vous aurez fini, frappez, on continuera dans mon bureau.

Après quelques pages de questions très classiques, cela devenait plus direct, particulièrement concernant ma vie personnelle. Je tournai rapidement les pages du gros questionnaire, c’était comme cela pour toutes les questions suivantes. Après avoir hésité, je décidai de finir mes réponses. Après tout, c’était peut être l’occasion de rencontrer de nouvelles personnes et puis Pierre les connaissait.

Voici quelques exemples de questions :

À quel âge avez vous eu votre premier rapport ?

Avez-vous pratiqué la fellation au cours de ces six derniers mois ? Si Non, expliquez en quelques lignes votre réponse.

Après plus de quarante minutes, j’arrivai au bout et je frappai à la porte du bureau d’Alain.

— Merci, Aline. C’est très bien. Maintenant venez ici, prenez place. Je suis sûr que vous avez plein de questions et je dois vous informer de certains détails de notre association.

— Je ne comprends pas trop pourquoi vous m’avez demandé de remplir tout ce questionnaire.

— Eh bien, chère Aline, c’est pour mieux vous connaître. Vous n’êtes pas sans savoir que nous facilitons les rencontres entre hommes et femmes. Vous semblez intéressée par cela.

— Euh… oui.

— Vous semblez aussi m’avoir vu à l’œuvre ?

— Euh…

— Répondez ! Ne soyez pas timide.

— Oui.

— En effet, comment dire… Nous avons certaines règles de fonctionnement. Vous entrez dans notre organisation au niveau un et ensuite vous progresserez. Vous êtes libre de la quitter à tout moment. Cependant une rupture est définitive. De plus, je vais vous demander de signer ce document qui stipule que vous entrez dans notre organisation de votre plein gré. Mais avant, je dois vous dire que nous avons, comment dire, une vision de la femme différente de certaines personnes. Et que nous appliquons ce que nous pensons être bien pour elles, bien sûr.

Il me regarda, et me tendit un stylo.

— Avez vous bien compris ?

— Oui.

— Sur votre condition ?

— Euh, oui. Enfin non… Je veux dire… Je ne sais pas, dis-je rougissante.

— Pour être clair, Aline, la femme dans notre organisation a un statut inférieur à l’homme, et le statut de débutante est le plus bas. Vous devrez donc nous obéir.

— Euh, d’acc… Enfin oui, je comprends.

— Signez là, mademoiselle… Bien, maintenant cela est fait. Je vais vous faire passer un examen médical. Je suis en effet docteur et je vais m’assurer de votre bonne condition physique. Êtes vous d’accord ?

— Je suis en pleine forme.

— Je n’en doute pas mais je me dois de le faire. Cela fait partie des conditions à remplir pour entrer dans Sparte.

— Eh bien, d’accord.

— Veuillez me suivre.

Nous avons marché jusqu’à un autre bureau. Là, il me demanda de me déshabiller. Je gardai mes sous-vêtements. Il procéda aux examens d’usage et me demanda ensuite de tout retirer. Je n’étais pas très d’accord mais je le fis.

— Aline, vous êtes une très jolie jeune femme. Écartez vos jambes. Merci. Encore. Je vois. Mettez vos mains là. Très bien, vraiment. Très jolis seins !

Je tentai un petit "Euh merci’’ qui le fit sourire. L’examen minutieux dura une bonne dizaine de minutes.

— Vous êtes en bonne forme, je pense que vous allez vous plaire. Avant de vous laisser partir, je vais fixer avec vous nos deux prochains rendez-vous.

Je me rhabillai rapidement.

— Disons samedi prochain huit heures. Ce sera une première je pense pour vous. Je vous tiendrai au courant par e-mail. Et on dit la semaine d’après, vendredi, dix-neuf heures. On verra dans tous les cas comment se passe notre rendez-vous de samedi. Voici les heures des rendez-vous.

Il me tendit une carte.

— Aline, j’espère que vous serez tout aussi excitée la semaine prochaine, dit-il en touchant ses doigts.

J’étais morte de honte.

Une fois chez moi, j’étais aussitôt sous la douche. Eh oui, je me suis masturbée. Oui, j’avais été excitée par ses attouchements à peine voilés. Je savais que cela n’était pas la manière de passer un examen médical. Mais cela ne faisait rien, j’avais accepté.

Le samedi suivant, Alain est venu m’ouvrir et m’a amenée dans son bureau. Il m’a expliqué que je serais une Holite. J’avoue, je n’ai pas tout compris mais ce que j’ai compris c’est que je devais faire ce qu’il me disait sinon je devrais quitter le club. Il m’a fait visiter les lieux un peu plus en détail. Sparte possédait presque tout le bâtiment. Il me montra des salles de réunion, des bureaux et diverses petites salles qu’il me présenta comme étant des salles de travail.

Nous sommes retournés dans son bureau et là il m’a demandé si l’examen de la dernière fois m’avait fait du bien. Je restai d’abord silencieuse, cherchant dans ma tête une réponse qui ne sonnerait pas faux, enfin pas trop.

— Je… enfin, c’était un peu bizarre.

— Bizarre, vous êtes sûre, chère Aline ? J’ai décelé une certaine excitation chez vous. Oui, votre minou laissait transparaître cette excitation. Cela fait longtemps que vous n’aviez pas été touchée par un homme, n’est ce pas ?

— Euh… ui.

— Oui, vous avez mis six mois dans le questionnaire. Cela a dû vous manquer. J’ai étudié vos réponses. Vous ne semblez pas être une spécialiste du sexe moderne, si je peux parler ainsi ?

— Pardon ?

— Oui, côté fellation, cunnilingus, anulingus, sodomie ?

— Oui, en effet, enfin, vous savez, je n’ai pas d’homme dans ma vie en ce moment.

— J’ai bien compris cela. Nous avons ce matin, comment dire, la possibilité de commencer votre éducation, chère Aline. Êtes-vous prête ? Voulez-vous commencer ?

Silence. J’avais la possibilité de refuser ?

— Oui j’accepte.

— Sachez qu’en tant qu’holite, vous allez devoir obéir strictement aux ordres. Ce sera dur, mais délicieux pour vous en fin de compte.

Alain m’ordonna de le suivre jusqu’à une salle du sous-sol dans laquelle il me demanda d’entrer. C’était une petite salle qui possédait un canapé, une table, quelques placards et sur un mur des espaliers, me sembla-t-il. Il me demanda de m’asseoir et d’attendre. Quelques minutes après, il revint accompagné d’un homme qui portait un masque de cuir. J’eus un mouvement de recul. Alain me calma.

— Aline, n’aie pas peur. C’est ton étalon, ton dresseur. Debout !

— Maintenant ?

— Oui, là, tout de suite. Lève-toi.

Le ton de sa voix ne laissait pas place à la discussion.

— Déshabille-toi. Et complètement, cette fois. Je veux te voir nue… Maintenant !

Je me suis décalée dans un coin de la pièce pour me déshabiller. J’avais à peine fini qu’Alain était déjà à côté de moi.

— Regarde comme elle est belle, cette femelle. Aline, tourne-toi. Encore. Regarde-moi. Comme elle est belle, cette jolie touffe noire ! Aline, ce beau mâle, c’est Léo. Il participera à ton dressage.

Léo était habillé classe : chemise blanche, pantalon de toile. Il avait la quarantaine mais était, semblait-il, en pleine forme. Son masque de cuir lui donnait une allure de bourreau.

— Recule un peu, me dit-il.

Il me prit le bras et me fit reculer jusqu’à ce que je sois contre le mur. Il prit mon sein droit d’une main ferme.

— Tu aimes être prise en main, jeune fille. Tu as bien choisi. Tu ne le regretteras pas.

Après avoir joué avec mes seins, les pressant comme des fruits, il retourna dans son bureau et en revint avec un appareil photo.

— Souris, Aline. C’est pour ton book. Ton livre qui retracera ta découverte du plaisir. Retourne-toi. Tu sais que tu nous fais envie, avec tes jolies fesses. Allez, mets-toi à quatre pattes.

— Pardon ? dis-je en regardant Alain, l’air incrédule.

— Oui, Aline. Allez, obéis. Tu ne voudrais pas me décevoir pour ton premier jour.

Lentement, je descendis vers le sol et je vis dans leurs yeux plus que du désir, une perversité que je n’avais jamais vue chez un homme. Et leurs mains furent sur mon dos, mes fesses, mes seins. L’homme au masque commentait :

— Elle est un peu grasse comme femelle mais on en fera quelque chose. Et regarde-moi ces seins. Hummm, comme elle a la peau douce. Sais-tu que tu vas me donner beaucoup de plaisir ? Écarte bien tes jambes.

Je sentais leurs doigts glisser sur mon sexe. Leur travail fit son effet. Léo usa de son pouce et de son index pour entrouvrir les lèvres de ma vulve. Alain me tenait par les cheveux, maintenant ainsi ma tête en arrière. Ses yeux brillaient.

— Léo ? Elle est mûre ?

— Oh oui, c’est bon, elle est en chaleur, cette truie. C’est vrai que vu son dossier elle en avait envie. Vas-y, fais-lui goûter son jus.

Léo présenta ses mains.

— Lèche, hilote, ordonna-t-il. Lèche ton jus.

J’ouvris la bouche, il engouffra un doigt, puis deux. Je léchais sans savoir, sans penser… Il retira sa main, ouvrit son pantalon et sortit son sexe. Cette bite était dure et raide. Alain me redressa, il me tenait le cou et les bras. Léo me regardait à travers son masque. J’étais à genoux et il me tenait la tête. Il me prit la bouche, il n’y a pas d’autres mots. Je ne respirais plus, je haletais.

Alain me libéra de son étreinte et me poussa pour que je reprenne ma position. Je n’eus pas le temps de me retourner avant sentir la prise ferme de Léo sur mes fesses. Oui, il venait de me prendre sans capote. Il était parvenu à me pénétrer d’un seul coup sans difficulté. J’essayais d’avancer mais sa prise était forte. Il tenait fermement mes hanches trempées de sueur. Ses coups de butoir étaient masculins, un taureau.

Huumm, Wouuw, Muuuuhhm, la pièce ne résonnait plus que de ces bruits.

Il me pilonna avec vigueur, me faisant jouir et atteindre l’orgasme. Extase non contrôlée. Je sentais ses violents coups de butoir contre mes fesses. Je m’abandonnais, je jouissais. Il râlait, arrrh, arrhh. Il me baisait, il me bourrait.

Il gicla. Il était là, suant, en train de se vider en moi.

Il se retira. J’étais là, à quatre pattes. Suante. Alain debout face à moi toujours bien habillé. Et l’homme à la cagoule me tendit la main pour que je me relève. Je tremblais, mes jambes me tenaient à peine.

— Tu es belle, me dit ce mâle masqué, souriant.

Il m’embrassa, écartant de mes yeux mes cheveux collés par la sueur et quitta la pièce. Alain reprit les choses en main. Il me tendit une serviette. Il s’agitait autour de moi. Et moi je restais là, dans un autre monde. Il m’aida à m’habiller. Je l’entendis me dire :

— Aline, je vois que tu as aimé. Tu n’auras donc pas de crainte à revenir chez nous. Tu as aimé ? Aline, Aline, tu ne me réponds pas ?

— Quoi ?

— Tu as aimé ?

— Oui.

— Allez, viens, c’est fini, il va falloir rentrer chez toi.

J’ai retrouvé ma voiture. J’ai roulé. Je suis rentrée chez moi, épuisée. Je me suis jetée sous la douche avant de m’affaler sur mon lit. Qu’avais-je fait ? Vraiment, pourquoi n’avais-je rien dit ? Était-ce cela, le plaisir ? Je ne sais pas. Oui, j’avais ressenti des choses…

Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 04:56
- Non ! dit vivement Conquette, j’y vais moi-même.

Elle sortit, et, ayant rencontré Rosemauve qui redescendait, parce qu’elle n’avait pas trouvé un vieil oncle assez riche, dont elle recréait l’impotente lubricité, en lui chatouillant le croupion, le scrotum et les testicules ; ce qui le faisait bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son aveu, et l’introduisit.

Les deux filles et les trois hommes étaient nus comme la main. Sans rien dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq à la déshabiller. On lui enleva jusqu’à sa chemise. On lui baigna cul, con, cuisses, pieds… Puis Traitdamour lui dit :

- Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie.

Aussitôt commença la danse nègre ; où chaque fille faisait tous les mouvements d’une Noire ardente qui fuit le vit dont elle brûle d’être enconnée, que le vit attrape, et qui saccade alors en trémoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait. Les garçons poursuivaient les garces le vit en main ; et dès qu’ils les avaient attrapées, elles se retournaient pour l’enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette ; culetant, criotant, jurotant, comme s’ils eussent perforé les cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main ; l’homme la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi tourner de temps en temps.

Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des reins, et je lui dis :

- Conque de Vénus, imite tous les mouvements de cul et de con que tu vois…

Elle était excitée ; elle se mit au milieu de la danse, et les exécuta rapidement… Traitdamour, me voyant en rut, et ses camarades bien disposés, leur dit :

- Au foutoir…

Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute mortifiée !

- Votre tour va venir, ma belle danseuse.

Il étendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillers sous le cul :

- Allons, ma toute éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchez-moi ce connin-là, pendant que je vous le mettrai en levrette, ou vous enculerai, à votre choix ?

- On ne dépucelle pas une vierge en levrette (répondit-elle vivement) : encule-moi, s’il le faut, tandis que je gamahucherai ce connin d’amour…

Elle gamahucha la belle épouse de M. Vitnègre avec fureur, et Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela :

- le vit ! le vit !

Je n’y pouvais plus tenir. Je dérangeai la Rosemauve enculée, pour me précipiter dans le con de ma fille haletante de volupté… J’enconnais vigoureusement, lorsque j’eus la délicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutées de Rosemauve !… Je cocufiai Monsieur Vitnègre aussi copieusement que si j’avais eu les couilles d’un Dieu !… On abluait.

- Avec la permission de ma déesse (à Conquette), il faut que je m’acquitte avec Rosemauve !…

Tout le monde s’écria :

- Non, non, dimanche ! Je ne les écoutai pas ; j’enfilai la pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent témoins de ma nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sérieusement. On alla souper.

La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en étaient édifiés… Mais je ne tarderai pas à les mettre de nos amusements… Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire dans le genre de nos amusements ! Je lui donnai à lire une lettre, adressée à Vitnègre, par un de ses trois payeurs, lettre que j’avais trouvée dans une des malles de ma fille.
Dimanche 22 février 7 22 /02 /Fév 09:06

Je m’appelle Aline, j’ai vingt-cinq ans, je viens du Nord de la France. À vingt-trois ans, j’ai décidé de me réorienter. En effet, après des études de commerce, j’avais beaucoup de mal à trouver un travail stable et j’en souffrais. J’ai donc accepté une offre d’emploi dans une société spécialisée dans l’exploitation du bois dans les Landes et en deux ans je suis passée de simple gratte-papier à un poste où je gérais moi-même certaines parcelles.

Gérer une parcelle, ce n’est pas sorcier mais il faut s’en occuper, y aller souvent et surveiller ce qui peut détruire ce qui y pousse. C’est ainsi que fin avril je me retrouvai à patrouiller le long de ces grands chemins coupe-feu si communs dans les Landes. En parcourant à pied un embranchement plus petit je notai la présence de traces de pneus, chose assez rare dans certaines parcelles mais cela arrivait parfois. En suivant ces traces sur une centaine de mètres je trouvai le lieu où des touristes avaient dû venir s’amuser. J’étais rassurée : pas de trace de feu. Ouf ! Je ramassai par acquit de conscience une bouteille en plastique laissée là et, tout proche, je découvris une carte de visite. Elle était beige et il était écrit dessus en lettres capitales noires SPARTE ainsi qu’une boite postale sur Bordeaux et en petits caractères au bas de la carte un numéro : 9704126. Je la pris avec moi et continuai ma tournée.

Deux semaines plus tard, alors que je discutais avec des collègues et qu’ils me racontaient avoir surpris un couple en fâcheuse posture dans une de leurs parcelles, je leur ai demandé si c’était pratique courante. Ils me confièrent, ce que je pensais déjà, que certaines personnes s’adonnaient à des plaisirs en couple et parfois à l’échangisme dans la forêt des Landes, bien à l’abri des regards.

Je suis brune et un peu en surpoids. Oh, très légèrement ! Je viens d’une famille très stricte côté éducation : un père militaire et une mère au foyer. De plus, je suis fille unique. J’ai gagné ma liberté par mes études que j’ai effectuées loin de ma famille. Côté vie personnelle, j’ai eu quelques petits copains, quelques petites aventures, dont une plus longue lorsque je travaillais dans une banque. Après avoir essayé de la conserver malgré la distance, notre relation s’était finie sans larmes quelques mois auparavant. Depuis, je m’intéressais un peu plus aux hommes autour de moi, sans trouver celui qui me ferait craquer et comme je vivais près de mon travail, ce qui est pratique et pas cher dans une petite ville, je ne sortais pas tous les soirs.

C’est en fait mi-mai, lors d’une sortie sur Bordeaux, la grande ville, que j’ai repensé à cette carte qui était toujours dans une boîte dans mon coffre. Je l’ai ressortie et je me suis dirigée vers l’adresse indiquée. Cela avait tout l’air d’une boîte postale et je fus un peu surprise d’y trouver non pas un bureau de poste mais un petit immeuble de style. Parmi les plaques de cuivre à l’entrée, entre cabinets d’avocat et de consultants, il y avait ce nom : SPARTE – Relations publiques. Bof ! Pas de quoi fouetter un chat.

Mais la porte s’ouvrit soudain. Un couple sortait, accompagné par un homme habillé d’un joli costume. Se tournant vers moi il me demanda :

— Mademoiselle, je peux vous aider ?

— Euh, non… Enfin, si. J’ai trouvé cette carte… sur… enfin, là où je travaille. En fait, dans la forêt des Landes. Je travaille pour B. & M. Export. Elle semble appartenir à quelqu’un de cet immeuble, et de cette société-là, dis-je en lui montrant la plaque. Elle est peut-être à vous ?

— C’est en effet à moi, et j’appartiens à cette société, madame.

Il tendit la main afin que je lui remette la carte.

— Je vous remercie, mademoiselle… ?

— Aline Arnault.

— Enchanté, Aline. Je m’appelle Alain. Merci encore de nous l’avoir rapportée.

— Pardonnez-moi, que fait votre société ?

— Nous… euh… nous sommes dans le développement personnel. Merci encore, et au revoir.

Et la porte se referma.

Le treize juin, je me souviens encore de la date, alors que je parcourais à pied ma parcelle pour vérifier si certains arbres plus rabougris devaient être marqués pour être coupés, j’ai remarqué la présence d’une voiture sur un des chemins de traverse. Je m’approchai pour voir si c’était un collègue ou des touristes perdus. Arrivée à quelques mètres de la voiture je vis des personnes s’afférer entre les arbres un peu plus loin. Je stoppai net. Il y avait là trois hommes autour d’une femme entièrement nue. Intriguée, je me baissai dans les genets pour observer la scène. Je n’entendais pas tout de là où j’étais mais les hommes parlaient fort et vulgairement, et la femme ne semblait pas répondre. Elle marchait à quatre pattes. Un des hommes la frappait mais elle ne criait pas, elle avait une sorte de bâillon, enfin quelque chose sur la bouche. Elle avait la trentaine. Je réfléchissais. Que faire ?

Je regardai de nouveau : les hommes étaient sur elle et la prenaient de manière virile. Ils changeaient de position, lorsque l’un d’entre eux se mit à marcher pour, semblait-t-il, retourner à la voiture. Il passa près de moi. Je reconnus Alain.

Il prit un sac et retourna vers ses amis. Ils étaient occupés. J’en profitai pour filer discrètement. Ce spectacle ne m’avait pas laissée de marbre. Je dois dire que je n’avais jamais regardé un autre couple faire l’amour, et encore moins plusieurs personnes le faire ensemble. J’essayais de sortir ces images de ma tête mais comme vous savez, plus on essaye et plus on y pense… Ce soir-là, dans ma douche je me masturbai en pensant à ce que j’avais vu.

Deux jours après, j’allais partir lorsqu’un des contremaîtres qui s’occupaient du marquage est venu me voir sur le parking de la société. On parla boulot. Il me demanda ce que je pensais du marquage des arbres de la parcelle 746.

— Il a été bien fait.

— Est-ce que tu n’as rien remarqué, Aline ?

— Non ?

— Sûr ? Rien de bizarre ?

— Euh, si ! J’ai cru voir une voiture sur le chemin de traverse. Tu sais celui qui passe près de la citerne.

— Cru ou vu ?

— Vu.

— Et tu as fait un rapport ? Tu sais qu’il faut qu’on le signale à la gendarmerie, surtout si ce sont des locaux, afin de prévenir les incendies.

— Non je ne l’ai pas fait, pas encore.

— Et pourquoi ?

— Pierre, en fait… Euh…

— Quoi ?

— Eh bien, il y avait des gens qui, comment dire, prenaient du plaisir.

— Et ça change quoi ? … Attends, qu’est ce que tu dis ?

— Il y avait des gens, trois hommes et une femme, qui baisaient. Enfin même plus. Euh je… Comment dire, ils la tapaient.

— Tu as noté le numéro de la voiture ? Tu as vu qui ils étaient ?

— Oui… Non, non !

— Oui ou non ?

— En fait, Pierre…

Je lui racontai l’histoire de la carte et lui parlai d’Alain, l’homme aperçu. Après cinq minutes de discussions :

— OK, Aline, je vais faire le rapport, pas la peine que tu t’en occupes, tu as assez de boulot comme ça. Au fait, tu as aimé les regarder ?

— Euh, oui… Enfin… non, ai-je répondu en rougissant.

Une semaine plus tard, Pierre et moi marquions une autre parcelle. Pendant la pause, on discuta de tout et de rien. Pierre me demanda si j’avais un homme dans ma vie. Comme je répondai non, il a souri.

— Je comprends pourquoi tu as aimé mater ce qu’ils faisaient. Cela t’a excitée, me dit-il alors.

— Non, non !

— Vraiment ?

— Non… Oui… J’ai été étonnée de les voir. Tu sais, ils la frappaient. C’était bizarre…

— Oui, oui… Tu sais, chacun prend son plaisir comme il l’entend.

Deux jours plus tard, je recevai une lettre chez moi. Sur la lettre, SPARTE en lettres noires.

Aline,

Nous vous remercions de nous avoir rendu la carte que vous avez trouvée sur votre lieu de travail. Sans doute avez-vous le goût du voyeurisme. Or nous sommes spécialisés dans le développement personnel, et principalement celui des femmes de la région, mariées ou non mais désirant prendre du plaisir ou découvrir de nouveaux plaisirs.

Cependant nos activités ne sont ouvertes qu’à un petit nombre de membres sélectionnés. Vous nous avez été proposée par une de vos relations professionnelles : Pierre.

Si vous souhaitez nous rejoindre, merci de le contacter dans les cinq prochains jours. Sans réponse de votre part, nous considérerons que vous n’êtes pas intéressée et nous ne vous contacterons plus. Dans ce cas nous souhaitons aussi que vous ne nous contactiez plus.

Sincèrement,

Le Directeur Adjoint :

Alain M.

Je tombai assise sur mon canapé. Qui étaient-ils ? Une société, un club ? Une secte ? Que faisait Pierre avec eux ? Le lendemain, je le cherchai. Il n’était pas là. Le surlendemain, je pus enfin discuter avec lui. D’abord, dans le couloir, je lui montrai la lettre. Il la prit et m’ordonna de le suivre dans son bureau.

— Aline, fais attention, c’est un sujet personnel, ne rameute pas tout le monde.

— Pierre, qu’est ce que tu me fais ? Tu les connais, ces gens ? C’est qui ? Ils veulent quoi ?

— Aline, Aline calme-toi. Tu sais, ils ne veulent que ton bien. Oui, je les connais, c’est une association, un lieu de rencontre entre adultes majeurs et vaccinés. Cela permet de découvrir de nouvelles choses de prendre du plaisir différemment. Bien sûr, il y a des règles, mais que sont-elles par rapport à ce que les membres en retirent, hein ? … Et toi, toujours célibataire ? Pas de mec dans ta vie ? C’est vrai ou faux ?

— Vrai.

— Alors tu vois, j’ai pensé à toi et puis tu en as déjà beaucoup vu. Ça t’a plu, non ?

— …un peu.

— Cela t’a excitée ou pas, réponds franchement.

— Euh… Oui !

— Bon. Tu vois, il n’y a pas de mal à ça. Je suis sûr que comme cela tu seras plus heureuse. Tu sais, c’est une sorte de club de rencontre. Tu me fais confiance, oui ou non ?

— Oui.

— Bon, alors accepte. Franchement, qu’est-ce que tu risques ?

— Je vais réfléchir.

— Ne réfléchis pas trop longtemps ; tu as bien lu la lettre j’espère.

— Oui. Il me reste quatre, enfin trois jours pour répondre. Et d’ailleurs, je réponds comment ?

— Eh bien, tu me fais une lettre disant que tu acceptes de rejoindre ce groupe, le groupe SPARTE, et que tu en acceptes les règles. Ah, n’oublies pas de donner tes coordonnées.

— Tout ça ? Une lettre ?

— Oui, une vraie lettre, signée, datée, pas un bout de papier. Tu le feras ?

— Euh !

— Oui ou non ? C’est facile comme réponse !

— Oui, dis-je timidement.

J’ai passé les soirs suivants à écrire, reprendre, imprimer et déchirer des lettres. J’en mis finalement une dans une enveloppe et le soir d’avant la fin du délai, je la posai sur le bureau de Pierre.

Je dormis très mal. Je doutais. Était-ce une bonne idée ? Je n’en étais pas sûre. Étant du signe Balance, je doutais toujours de mes décisions. J’étais un peu timide. Cela avait été un trait de mon caractère depuis pas mal d’années. Déjà, au lycée, quand mes amies organisaient des soirées j’étais invitée au début puis comme je n’en organisais pas je fus rapidement exclue du groupe. Et je me contentais de les écouter raconter leurs soirées et leurs aventures.

Mon éducation sexuelle fut tardive : j’avais vingt ans lorsque j’ai été déflorée par mon petit ami de l’époque. On était partis en vacance quatre jours ensemble dans le sud-est, près de Cassis. Il avait un an de moins que moi et même s’il était beaucoup plus extraverti ce n’était ni un apollon ni un étalon. Je suis restée, que je me souvienne, avec lui un an et demi. Nos rendez-vous étaient des plus espacés et nos ébats se limitaient au premier chapitre du kama-sutra. J’ai eu deux autres aventures ensuite, sans rencontrer ni l’âme sœur ni l’extase au lit.

Pierre, pendant ce temps, lisait et relisait ma lettre :

Pierre,

Suite à la lettre reçue le XXX et à nos discussions deux jours après, j’accepte de rejoindre le groupe SPARTE et j’en accepte les règles.

Vous pouvez me joindre au 05XXXXX en dehors des heures de bureau.

Salutations,

Aline.

Je ne revis Pierre que deux semaines plus tard. Un soir, sur le parking, je me précipitai sur lui pour lui parler. Il me répondit sèchement.

— Aline, je ne décide pas. J’ai transmis ta lettre, c’est tout. Tu es bien impatiente. Cela te manque ? Si tu n’as pas reçu de réponse, eh bien tu attends.

— Euh… non, désolée. D’accord !

— Bien. Alors, retourne bosser, moi j’ai du travail.

J’avoue que plus le temps passait plus j’ouvrais ma boite aux lettres avec cette envie d’en savoir plus, mêlée d’angoisse. Où avais-je mis les pieds ? J’ai enfin reçu cette lettre, une enveloppe de couleur beige, SPARTE en lettres noires en haut à droite, un vendredi.

Aline,

Suite aux recommandations de Pierre, vous avez accepté de faire partie de notre groupe. Nous vous en félicitons. Vous y entrerez au premier niveau. Nous tenons à vous dire qu’au sein de notre groupe la sélection est très rigoureuse pour atteindre des rangs plus élevés. Cependant, l’émulation est intense et vous serez bien encadrée. Nous serons très heureux de vous rencontrer pour un premier rendez-vous le samedi 2 juillet à 9 heures à notre adresse.

Sincèrement,

Le Directeur-Adjoint

                Alain M.
Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 13:19
Julia n’a pas perdu de temps non plus et Marie-Claude ressemble plus à un arbre de Noël qu’à la jeune fille au pair qu’elle était quelques jours auparavant. Julia s’est montrée particulièrement inventive.

Tout d’abord tous les orifices naturels de la douce Marie-Claude sont obstrués par des bougies allumées dont la taille est légèrement supérieure à ces orifices source de tant de plaisirs. L’ensemble est quand même du meilleur effet et Julia a éteint la lumière du garage pour mieux en profiter. A noter également que le bas-ventre de Marie-Claude a été largement épilé et seule une touffe a été laissée comme souvenir, au sommet du pubis. Une guirlande argentée est accroché aux seins de Marie-Claude par le biais de deux pinces à linge qui enserrent les tétons et le moindre de ses mouvements envoi une décharge de douleur ou de plaisir dans son vagin, elle ne sait plus.
Les deux extrémités de la guirlande remontent le long de ses bras en s’entourant autour d’eux et sont finalement fixés sur chacun des petits doigts par des pinces à linge également. Pour le bas de son corps c’est la même chose en partant des orteils mais cette fois la guirlande est accrochée aux petites lèvres de son vagin écartelé par la bougie. Diverses étoiles ou paillettes sont collées sur son corps pour en agrémenter la couleur un peu rougeâtre par endroits. Par ailleurs des guirlandes sont accrochées à ses cheveux par des pinces à linge également.

- Voilà ma toute belle, j’ai fini ma décoration et ma foi, tu ressemble assez à un sapin de Noël ou plutôt à un gâteau d’anniversaire ce qui est logique puisque tu es le cadeau d’anniversaire d’Harry. Dommage que vous ayez cherché à vous enfuir car la fête aurait été douce et charmante à quatre. Maintenant elle va être violente et forte entre Harry et toi et celui qui gagnera sera le maître absolu de l’autre.


Marie-Claude a écouté ce discours sans bouger ce qui n’est pas difficile puisque chaque fois qu’elle bouge elle ressent une douleur. Mais elle est inquiète, elle n’est pas sûre de gagner et d’ailleurs si elle gagne que fera t-elle d’Harry ? Et si elle perd que deviendra t elle entre les mains d’Harry et sans doute celles de Julia ?

Toutes ces questions sont sans réponses et, ma foi, le seul partie qu’elle peut prendre c’est celui du plaisir à prendre, à donner, peu importe mais avoir du plaisir. Et comme elle est jeune elle arrivera bien à le vaincre ce vieux cochon d’Harry, lui qui a une si belle queue et qui s’en sert si bien.

Elle sent son vagin dilaté se mouiller d’avance et cela la rassure quant à ses capacités à remporter la joute qui se prépare. Elle est sure de tenir le coup et de vider les couilles d’Harry dix fois s’il le faut mais jamais elle ne cédera.
Ce discours qu’elle est la seule à entendre et pour cause, lui remonte le moral et c’est avec une vision très optimiste de la suite des évènements qu’elle laisse Julia lui détacher les mains du plafond pour les retrouver, une autour de la bougie qui s’enfonce dans son vagin et l’autre autour de la bougie qui la sodomise. Julia lui intime l’ordre d’avancer avec pour consigne de se branler doucement. Les 3 bougies sont allumées et elle avance devant Julia pour retrouver l’autre duo et voir ce que Joana a concocté pour son plaisir à elle.

La montée de l’escalier est lente et un peu de cire chaude tombe sur ses orteils ce qui la fait sursauter.

-Du calme belle jeune fille, ce n’est pas le moment de jouir, gardes des forces tu va en avoir besoin.

Julia s’est trompée sur les raisons qui ont fait sursauter Marie-Claude mais cela, dans le fond, n’a aucune importance.

-Voilà, arrêtes toi là, je vais voir où ils en sont.

Marie-Claude s’est arrêtée. Elle s’appuie contre le mur car ses jambes sont un peu ankylosées suite à la séance du garage. Etre attachée les bras en l’air et les cuisses largement écartées pendant près de trois quart d’heure c’est fatigant, même quand on est jeune.

Elle entend Julia exprimer sa surprise car elle vient de découvrir ce que Joana a fait d’Harry.

-Eh bien ça alors, tu en as fait un phénomène de foire avec ce sexe au garde à vous et qui à l’air si appétissant. J’ai eu une bonne idée en préparant Marie-Claude comme je l’ai fait, elle en profitera mieux.

Julia caresse doucement Harry sur tout son corps en s’attardant autour de son sexe mais sans y toucher vu son maquillage ! Elle l’embrasse gentiment en lui souhaitant un bon anniversaire et en l’entraînant vers leur chambre. Là elle le positionne face à la grande glace et Harry peu admirer son déguisement et surtout le légume qui a pris possession de son cul. Finalement il s’y est adapté et Joana a peut-être raison quand elle dit que c’est une source de plaisir supplémentaire quand on joui. A voir dans quelques instants.

Joana s’est approchée de lui avec un bandeau et le lui attache sur les yeux.

-Ne t’inquiètes pas c’est pour augmenter ta surprise tout à l’heure. Marie-Claude va arriver et tu vas pouvoir en disposer à ton aise. Alors encore un peu de patience.
Ca y es Julia tu peux amener Marie-Claude, Harry est fin prêt.

-OK j’arrive. Allez avance ma belle pouliche, ton étalon t’attend de queue ferme et crois moi tu as intérêt à assurer car lui il est en sur régime.

A petit pas et toujours en tenant ses deux bougies Marie-Claude avance vers la chambre et découvre Harry avec sa queue énorme couverte d’une substance collante et légèrement rougeâtre. Elle prend peur, qu’est ce que cela peut bien être ? Elle ne veut pas être droguée et ses bonnes résolutions de tout à l’heure commencent à tomber en morceaux. Les deux femmes ont l’intention de lui jouer un bon tour et elle perd toute sa belle assurance.

-Allez avance et viens te placer devant la glace de façon que Harry te voie de tous les cotés en même temps. Allez ne reste pas plantée devant la queue d’Harry, quand elle va te prendre tu sauras vite pourquoi elle a cet aspect.

Interloquée, inquiète Marie-Claude s’est avancée jusqu’à la glace et s’est placée de trois quart. Placé où il est Harry a une vue sur toute son anatomie et les bougies allumées.

-Vas-y Joana, c’est le moment.

Les deux femmes entonnent le Joyeux anniversaire de la chanson et Joana dénoue le bandeau qui lui cachait la vue de Marie-Claude.

-Ohhhh que c’est jolie, un vrai sapin de Noël, vous êtes des salopes toutes les deux mais là, je dois reconnaître que ça me fait plaisir. C’est pour moi que vous l’avez préparée comme cela ?

-Oui mon Harry, elle est toute à toi, tu peux en disposer à ta guise aussi longtemps que tu pourras. Mais attention, il s’agit d’une compétition entre vous deux ; celui ou celle qui criera grâce le premier ou qui s’écroulera en abandonnant aura perdu.

- Et alors demande Harry ?

- Eh bien, c’est très simple, le premier de vous deux qui arrête pour une raison quelconque a perdu. De ce fait il devient la propriété de l’autre, son esclave et devra assouvir tous ses désirs pendant 1 an. Ou du moins jusqu’à son prochain anniversaire.

Marie-Claude a vite fait le calcul, pour Harry c’est dans 1 an , pour elle c’est dans 8 mois. Finalement elle trouve qu’elle a plus de chance que Harry et elle en sourie doucement.

- Mais assez rigolé maintenant, Harry c’est ton anniversaire, c’est donc à toi de commencer la joute.

Harry s’approche doucement de Marie-Claude et souffle les bougies une par une. Puis il retire la bougie qui viole le vagin de Marie-Claude et laisse les deux autres en place. Il prend la main laissée libre par la suppression de la bougie et entraîne doucement Marie-Claude vers le lit.

- Voilà, maintenant tu monte doucement sur le lit et tu te mets à quatre pattes le cul en bordure de lit que je puisse te prendre en restant sur mes deux jambes.

Marie-Claude s’exécute et elle reste en équilibre un peu instable car elle n’a qu’une main de libre pour se maintenir. Les deux femmes regardent les préparatifs avec attention et amusement.

Harry s’est placé derrière Marie-Claude et il la pénètre fermement jusqu’au plus profond de son vagin. Marie-Claude l’absorbe sans difficulté car la bougie a bien préparé le chemin mais elle est très vite surprise par la sensation de chaleur voire de brûlure qui envahi son bas-ventre. Elle voudrait crier, demander à Harry de la défoncer pour calmer cette sensation mais la bougie l’empêche de parler et seuls des borborygmes sortent de sa gorge.

Harry est parfaitement maître de la situation et il ressort du vagin de Marie-Claude après y avoir mis le feu. Il a parfaitement assimilé le rôle des épices sur le vagin de Marie-Claude et il va le tester sur les autres orifices de sa victime.

Maintenant il grimpe sur le lit et, se plaçant face à la bouche de Marie-Claude, il retire la bougie pour la remplacer par sa verge triomphante avant que sa victime ait eu le temps de se décontracter la mâchoire. Sa verge pénètre aussi sans difficulté dans la bouche offerte et s’enfonce sans merci jusqu’au bout. Marie-Claude veut se reculer mais Harry l’a attrapé par les cheveux et la force à tout avaler. Puis toujours en maintenant la tête de Marie-Claude par ses cheveux il imprime un mouvement de va et vient et la bouche de Marie-Claude prend feu à son tour. L’effet des épices ne se fait sentir que progressivement à cause de l’enrobage dans le miel. Mais il est bien et bel là et Marie-Claude sent monter en elle des désirs inconnus jusqu’alors. Harry s’en moque et continu son jeu pendant quelques minutes encore, puis il se retire.

Les lèvres et la bouche de Marie-Claude sont un peu plus rouge que la moyenne et Marie-Claude a très soif de sperme, d’alcool, d’eau, n’importe quoi mais du liquide pour calmer ce feu.

Harry est revenu derrière Marie-Claude et il sort la dernière bougie qui était largement enfoncée dans son cul. Là il recommence la même opération qu’avec le vagin et la bouche et il s’enfonce au plus profond de l’intimité de Marie-Claude sans s’occuper de ses soupirs. Il badigeonne l’intérieur du cul de Marie-Claude avec ce mélange miel- épices qui semble faire merveille. Le résultat au bout de quelques minutes est identique à celui obtenu avec les autres orifices et Marie-Claude est maintenant en feu de tous ses orifices. Il faut qu’elle soit pénétrée, enculée, violée de tous les cotés pour arriver à calmer ce feu qui brûle ses muqueuses et Harry ne semble pas se décider. Du coup elle l’insulte.

- Alors vieux porc tu te décides à me baiser, nous allons voir si ta queue tient le coup, allez viens. Prends-moi, comme tu veux, le cul, le vagin, la bouche ? C’est quoi ton tiercé dans l’ordre ? Allez c’est quand tu veux !

Joana et Julia regarde en s’amusant beaucoup les deux amants se disputer. De son coté Harry commence à sentir aussi les effets du délicieux mélange et sa queue est aussi en feu, alors dans un rugissement de lion amoureux il se précipite sur Marie-Claude et la pénètre violemment sans se préoccuper de la jeune fille. Sous l’assaut elle s’est cabré en poussant un hurlement plus de peur que de douleur et rapidement elle se met à l’unisson de son cavalier et profite pleinement du sexe turgescent.

-Vas y vieille carne, tu peux y aller, jamais tu n’arriveras à me satisfaire, plus vite, ouiiiiii ça devient bon, encore, encore bourres moi. C’est… bon… encor…ouiiii Ahhhhh que c’est bon. Tu peux jouir mon Harry je te viderais les couilles tu verras. Ouiii, voilà enfin un peu de liquide.

Harry dans un  hoquet de plaisir a senti jaillir son sperme dans le vagin de Marie-Claude et cela détend un peu son érection mais ce n’est pas suffisant pour le calmer et il continu à bourrer Marie-Claude qui commence sérieusement à bander.
 

-C’est bon mon Harry mais il m’en faut davantage pour me faire jouir avec ta queue, alors va plus vite, oui comme cela ne t’arrêtes plus maintenant.. ;je..sens que… ça vient, ouiii encore mon trésor encore plus loin ouiii, oui oui Ahhhhh je jouis de ta queue, elle est bonne encore, j’en veux encore, bourres moi, ne t’arrêtes pas, tu m’as mis le feu partout, salaud, encore encore, encore ouiiiiiiique c’est bon Ahh Ahh oui je t’aime Harry quand tu me baises comme ça.

Marie-Claude veux se sauver pour reprendre son souffle mais Harry la tient fermement soudée à sa verge qui en demande encore. Il reprend lentement son labourage et Marie-Claude est obligée de s’y soumettre. Ce n’est pas que ça lui déplaise mais 5mn de repos ferait du bien.

Joana s’est approchée du couple et saisissant une des bougies elle cherche le cul de Marie-Claude et enfonce la bougie d’un coup sec ce qui fait bondir Marie-Claude mais sans toutefois qu’elle puisse se dégager.

-Aie ! tu m’as fait mal Joana, je croyais que ce n’était qu’un combat entre Harry et moi.

-Oui peut-être mais c’est Julia et moi qui en fixons les règles et, nous venons de les changer. Désormais nous sommes à trois contre toi et on va voir.

Pendant ce discours, Julia est montée sur le lit et a placé son sexe sous la bouche de Marie-Claude. D’une main ferme, Joana s’empare de la tête de Marie-Claude et la plaque sur le sexe de Julia.

-Et maintenant tu la suces sans t’arrêter sinon gare.

Marie-Claude est bien forcée de s’exécuter et elle titille le clitoris de Julia qui s’en montre très vite ravie. De son coté Joana s’est mise à branler le cul de Marie-Claude avec la bougie l’enfonçant chaque fois un peu plus et en cherchant à branler la queue d’Harry à travers la cloison anale. De son autre main elle tient le légume qui encule Harry et commence à le faire aller et venir. D'abord surpris de cette sodomie végétale, Harry en apprécie l’étrangeté et synchronise ses coups de queue avec les va et vient du légume. Rapidement il sent monter en lui des frissons annonciateurs d’un orgasme suprême. Sa respiration se fait haletante, ses coups de queue ont du mal à garder le rythme. Alors Joana ralenti un peu pour lui laisser le temps de se reprendre, puis après une ou deux minutes elle recommence et cette fois Harry s’emballe ; il crie de plaisir, il défonce Marie-Claude qui gémie mais n’ose pas abandonner le vagin de Julia pour s’abandonner à son plaisir. Mais c’est Harry qui une fois de plus part dans une folle jouissance qui le tord des pieds à la tête et lui fait enfoncer ses doigts dans les hanches de sa cavalière qui veut échapper à cette folle étreinte mais ne peut pas. Harry la tient, Harry la défonce et elle aime ça.

-Vas y mon gros, oui regarde je suce ta femme et tu me baises, c’est beau la famille, ouiiii défonces moi, encore ouiiii, Ah que c’est bon.

Le cri de jouissance d’Harry la surprend mais elle apprécie les jets de sperme qui coulent en elle et atténuent ainsi la brûlure de ses muqueuses.

-C’est bien mon chéri, maintenant je peux baiser ta femme, tu es vide, tu ne vaux plus rien mon pauvre, attends que je la fasse jouir et tu vas devenir mon esclave.
Ah les mecs, des couilles qui se vide en 5 minutes et pas capable de faire jouir une nana.

Mais Joana qui n’a pas apprécié les paroles de Marie-Claude, a arraché le légume enculeur et l’enfonce directement dans le vagin de Marie-Claude qui se trouve maintenant prise par derrière par ses deux orifices distendus. Joana est une experte et elle joue à merveille de ses deux godemichés. Elle alterne les mouvements, les fait se frotter à travers la cloison anale, appuie tantôt sur l’un tantôt sur l’autre.

Rapidement Marie-Claude est prise par le plaisir et Julia qui veut sa part aussi la maintien sur son vagin car les épices y ont mis le feu. Marie-Claude ne sait plus très bien où elle en est, sa langue s’agite frénétiquement sur le sexe de Julia qui joui brutalement en poussant des petits cris.

-Meerci ma douce, ouiii encore ta langue, toi tu sais sucer, c’est pas comme Harry ; oui ahhh que c’est bon ahhhh, ahh ouiiiiiiiii encore c’est merveilleux.

Son corps est secoué de spasmes qui s’espacent jusqu’à s’apaiser complètement.

Maintenant seule Joana joue avec Marie-Claude et elle n’a pas l’intention de céder devant cette gamine. Elle reprend sa masturbation alternée tout en demandant à Julia de réanimer Harry.

-Suces le doucement en lui massant les couilles ; il faut qu’il reprenne vie. Je m’occupe d’elle et crois moi qu’elle ne sera pas fière dans quelques minutes.



Effectivement plus les minutes passent, plus Marie-Claude sent monter en elle une vague de plaisir que cette branlette double exacerbe au plus au point. Tout cela est conjugué avec l’effet des épices qui ont pénétré toutes ses muqueuses et la rende folle.

-Vas-y Joana je t’en prie fait moi jouir, je meurs ; laisses moi me branler.

-Non pas question, attends que Harry reprenne des forces et je te réserve une petite surprise.

Mais Marie-Claude d’un seul coup elle aussi part dans un orgasme gigantesque qui la fait hurler de plaisir.

-OUIIIIIIIIIIiiiiiiiii, AAAAAAAAAhhh  que…… ;c’est….bon AAAAaaahhhhh oui c’est merveilleux oui encore branles moi encore encore. Elle rue elle danse se roule parterre en se branlant furieusement et en échappant complètement au contrôle de Joana.

Elle reste un long moment allongée sur le tapis en reprenant son souffle tout en se caressant le clitoris car son désir qui se mêle aux brûlures des épices, n’est pas terminé, elle en demande encore et encore.

De son coté Harry commence à reprendre des formes et il lorgne du coté de Marie-Claude toujours allongée sur le tapis.

Joana a bien compris et d’un geste tendre elle s’empare du sexe d’Harry et l’avale à son tour. Ce changement de partenaire a le don de réveiller le sexe d’Harry qui reprend une dimension tout à fait efficace.

-Voilà ; tu es de nouveau d’attaque, gardes le au chaud mon amour, je vais réveiller Marie-Claude. La joute n’est pas finie.

Joana s’est approchée de Marie-Claude et doucement la relève pour la prendre dans ses bras, tendrement et elle l’embrasse du bout des lèvres. Puis sa langue se fait de plus en plus dure et prend possession de la bouche épicée. Cela a le don de l’exciter aussi et bientôt leurs baisers son de plus en plus fougueux. Leurs langues se mélange et le plaisir les reprend. Marie-Claude est de nouveau prête et Joana lui ordonne de remonter sur le lit pour se mettre à quatre pattes, les cuisses largement écartées.

Puis elle fait monter Harry sur le lit derrière Marie-Claude.

- Vas y encules la, elle est ouverte ça ne devrait pas poser de problème.

Effectivement, Harry s’enfonce dans le cul de Marie-Claude facilement et commence à aller et venir doucement.

Joana s’est glissée sous Marie-Claude pour que sa bouche atteigne le clitoris turgescent de Marie-Claude. Elle commence à le titiller en soufflant dessus puis par des petits coups de langue précis elle le fait mouiller de plus en plus.

Julia a placé son vagin près de celui de Joana en mettant ses jambes en ciseau avec celle de Joana. Elle prend la tête de Marie-Claude dans sa main et la fait aller et venir sur les deux sexes largement offerts.

La ronde commence et bientôt les quatre partenaires sont à l’unisson. La chambre est remplie de gémissements, de soupirs, et la première à jouir est Joana. Il faut dire qu’elle avait un certain retard par rapport aux trois autres.

Son orgasme ne l’empêche pas de continuer à titiller le sexe de Marie-Claude qui la suit de peu dans le plaisir ce qui provoque une accélération des coups de queue d’Harry qui joui de trois malheureuses gouttes de sperme mais parcouru par un frisson de la tête au pied.

Julia arrive après les autres mais sans rien leur envier.

La lutte a duré plus d’une heure mais nul ne sait réellement combien de temps. Marie-Claude a été baisée de tous les cotés par les trois acolytes. Ses orgasmes ont été multiples mais elle a quand même réussi à vider complètement les couilles d’Harry qui s’est écroulé sur le coté du lit, vidé, un tout petit sexe recroquevillé entre les cuisses. Par contre Joana et Julia ont été très résistantes et c’est Marie-Claude qui a été vaincu à la fin. Le sexe et le cul épuisés, la bouche endolorie à force d’avoir sucé les deux femmes, elle est entrée au bout du compte dans un état second, sans réaction aux différentes sollicitations dont elle a été l’objet des heures durant. Julia et Joana ont fini par l’abandonner pour s’occuper l’une de l’autre sans se soucier des deux autres. Leurs orgasmes ont envahie l’espace de la chambre sous les regards apathiques d’Harry et de Marie-Claude. Tout le monde a fini par s’endormir d’un sommeil si profond que rien ne pouvait le perturber.
Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 14:58
Au garage, Marie-Claude a repris sa position à genoux sur les deux chaises largement écartées et les mains solidement attachées au plafond du garage de façon que tout son corps soit offert sans défense et tous ses muscles tendus pour augmenter leur sensibilité aux coups et aux caresses.

Pour Harry la situation est différente et Joana l’a allongé sur la table de la cuisine en lui attachant les mains et les pieds aux quatre pieds. Son sexe est en érection et Joana le regarde avec un certain intérêt.

Les premiers gémissements venus de la cave les font sursauter et Joana semble sortir d’une longue rêverie.

- Bon à nous deux mon petit Harry. Qu’est ce que je vais bien pouvoir faire de toi, te serrer les couilles dans un étau, t’enculer avec des carottes, voyons voir ce qu’il y a d’intéressant dans cette cuisine.

Son regard parcourt les meubles mais il n’y a que des instruments électroménagers ou des couteaux, des fourchettes ou des cuillères. Les casseroles sont sans intérêt. Son regard tombe sur une pince à épiler et ses yeux s’illuminent.

-Voilà nous allons commencer par cela, une épilation complète de tes testicules pour les rendre plus agréables à sucer.

Aussitôt dit, aussitôt fait elle se place entre les cuisses de Harry et, saisissant le premier poil avec sa pince elle tire dessus d’un coup sec et l’arrache.


-Aiee, la vache tu m’as fait mal, vas-y plus doucement.

-Harry tu oublies ce qui se passe ? Tu es là parce que tu es puni, si tu était resté bien sage, on t’aurait offert Marie-Claude toute la nuit et même au-delà et, crois moi, tu aurais eu du mal à la satisfaire. De toute façon nous étions encore deux, Julia et moi pour assouvir tes dernières ardeurs. Maintenant c’est trop tard, tu as gâché ton anniversaire, c’est à nous de nous amuser.

Tout en finissant son discours, Joana a repris sa pince et l’arrachage systématique des poils.
Harry crie, rouspète et sursaute à chaque arrachage mais rien n’arrête l’opération et 10 minutes après, ses couilles sont lisses comme celles d’un nouveau né ce qui réjoui Joana qui s’empresse de les goûter pour vérifier son travail. Harry passe de la douleur au plaisir car la langue de Joana est douce et elle sait malaxer des testicules avec douceur. Le sexe d’Harry a repris des proportions dignes d’intérêt ce que remarque Joana.

-Ah je vois que tu reprends goût à la vie, c’est bien. Tu entends crier Marie-Claude, à mon avis elle passe un mauvais moment, c’est vrai que c’est elle qui a provoqué la situation actuelle. Tant pis pour elle, elle mérite sa punition. Bon voyons voir ce qu’il y a encore dans les tiroirs.

Un par un Joana a ouvert les tiroirs des meubles de la cuisine et elle en sort une bougie de bon diamètre, de la ficelle à attacher les poulets, des épices pimentées et des pinces à linge.
Elle détache les mains de Harry et le fait se redresser pour pouvoir lui rattacher les mains derrière le dos. Puis elle lui détache les pieds et Harry se remet debout. Joana le fait pivoter et le force à se coucher sur la table. Son cul est ainsi à la merci d’une sodomisation impromptue ce qui se passe dans la minute qui suit avec l’introduction forcée dans son anus rebelle de la bougie trouvée dans le tiroir. Harry pousse un cri, il vient de se faire violer par une femme et son esprit ne l’accepte pas. Mais Joana avait prévu sa réaction et de son autre main elle s’empare des couilles d’Harry et les presse légèrement entre ses doigts ce qui a le don de le calmer.

- OK Joana j’ai compris, je ne bougerais plus mais j’ai mal.

- Ce n’est pas grave, dans quelques minutes tu seras habitué et tu verras, jouir avec une telle charge dans le cul, c’est un plaisir inoubliable, fait moi confiance je m’y connais.

Les paroles de Joana ont ramené un peu de baume au cœur et les opérations suivantes le font moins souffrir. Elle a pris la ficelle et, après avoir fait une encoche à la base de la bougie, elle la fait passer dedans, la glisse entre les couilles d’Harry, fait un tour mort serré autour de sa verge, la fait remonter jusque sur son épaule puis la fait redescendre pour finalement l’attacher à l’autre extrémité en tendant bien les deux bouts ce qui n’est pas du goût d’Harry car son sexe est pincé par la ficelle. Il se rend compte que, par ce biais il aura du mal à débander pour le plus grand plaisir de ces 3 femelles. Il est bel et bien piégé.

Joana a sortit un briquet qu’elle allume et promène la flamme prés du sexe tendu qui sursaute chaque fois que la température monte. Cela a le don de faire rire Joana qui s’amuse de la peur de sa victime.

- N’est pas peur mon joli Harry, il n’y a pas de saucisses au repas de ce soir par contre il va y avoir des merguez.

Harry ne comprend pas mais, dans sa position il ne pose pas de questions. Il attend la suite vaguement inquiet.

Joana s’est dirigée vers un pot de miel qui était sur l’étagère du fond. Elle l’ouvre et, avec une petite cuillère, elle en prélève une bonne quantité qu’elle place sur une coupelle. Puis, elle prend le pot d’épices marqué Rat Hel Hazoum, une épice orientale aux vertus quelques peu excitantes. Elle en ajoute une bonne cuillère au miel et place le tout dans le micro-onde pendant quelques secondes. A peine sorti du four, elle mélange le sucré et l’épicé et, se servant de la petite cuillère comme d’un pinceau, elle en enduit le sexe et les couilles d’Harry qui sursaute sous la chaleur du mélange. Mais Joana continue sans se préoccuper de lui. Elle lui décalotte le gland et dépose sa mixture joyeusement en branlant Harry. Le miel et les épices mélangées se collent à la peau et à la muqueuse et Harry commence à ressentir la chaleur des épices qui devient supérieure à celle du miel qui s’est vite refroidi d’ailleurs. La sensation de brûlures excitante devient très forte et Harry à envie de se branler mais il est attaché et seule Joana peut faire quelque chose pour lui ce qu’elle se refuse à faire.

-Joana, je t’en prie caresses moi, cette sensation est intolérable, je deviens fou, suce moi, branle-moi, ohhhh c’est fou, tu es diabolique, salope, suce moi. Ouiiiii comme ça ouiii encore Ahhhhhhhhh que ça fait du bien. Merci mon ange mon démon. Aie !

Après l’avoir tendrement branlé, d’une pression de ses doigts, Joana a calmé les ardeurs naissantes d’Harry.

-Gardes tes forces pour Marie-Claude mon tout beau, tu vas en avoir besoin car Julia est en train de la chauffer aussi et je ne sais pas si tu arriveras à la vaincre tout seul. Alors maîtrise toi, c’est bientôt l’heure.


Samedi 6 décembre 6 06 /12 /Déc 08:17
Hasard, quel heureux hasard de se retrouver dans le même train à un wagon d’écart ! Le destin nous réunit de nouveau. Hier encore, je ne savais pas que nous pourrions être ensemble aujourd’hui. Notre appel téléphonique fût de bon augure.

Je te vois à ma place, tu m’attends depuis Lyon. Moi, je monte au Creusot. Sourire d’être près de toi. De retrouver ta bouche et tes baisers. Une heure trente de voyage que je ne vois pas passer. Ta compagnie m’est vraiment agréable. De quoi avons-nous parlé, je ne sais plus…

Gare de Lyon, nous devons prendre le métro, sortie Gare Saint-Lazare. Depuis la veille je sais que tu me réserves une surprise. J’avoue être un peu en crainte de trop de nouveauté. Il est certain qu’à dix heures du matin il est difficile de trouver une chambre d’hôtel prête. Il te fallait bien trouver un remplacement.

Je te suis avec confiance, main dans la main, à travers les rues de Paris. Tu sembles connaître ton chemin. Tu n’hésites pas. L’entrée de l’immeuble est plutôt moderne mais rien indique où tu m’emmènes vraiment. En arrivant à l’étage, devant la porte, une plaque marquée « HAMMAM – SAUNA » m’éclaire un peu. L’entrée est assez petite, je suis derrière toi.

Après que tu aies payé, l’homme de l’accueil nous fait visiter le lieu. Il fait sombre, quelques lumières allumées laissent l’endroit serein. Après nous être déshabillés au vestiaire et avoir déposé nos habits, c’est en peignoir que nous allons prendre une boisson. Ensuite tu m’emmènes vers les douches. Je me retrouve nue, l’eau est bonne et chaude.

Lorsque l’on entre à l’intérieur du hammam, je distingue le jeune couple qui s’était déshabillé en même temps que nous. Au vestiaire je les ai à peine regardé. Non, quand je quittais mes vêtements, je leur tournais le dos. Maintenant, ils sont assis sur la banquette du haut. L’homme porte sa compagne sur lui, elle est encastrée sur ses cuisses. Ils s’embrassent. Un autre couple est assis plus sagement sur la première margelle, ils se caressent. Tu te places à côté d’eux. Moi, je viens m’allonger près de toi, ma tête sur tes cuisses, et je relève les jambes pour pouvoir tenir car c’est plutôt exigu.

Je ferme les yeux. Toi, Pierre, tu m’embrasses doucement, ta langue est douce et tendre. De tes mains tu me caresses les seins. Le couple qui était à côté de nous sort du hammam rempli de vapeur. Tu te lèves à ton tour et viens me lécher entre les cuisses. J’aime beaucoup ta langue qui me fouille. Ton sexe est dressé, tu es debout à côté de moi. Je suis encore couchée sur le dos. Tu diriges ta verge vers ma bouche pour que je te suce, te lèche à mon tour. Mais je sens l’autre couple proche de nous, je ne suis pas vraiment à l’aise. Je pense à eux et j’entends un bruit sourd qui emplit la pièce. Cela m’intrigue, me dérange, je me demande ce que c’est.

    * — Sortons, me dis-tu.


Après avoir remis nos peignoirs, tu me prends la main. Le long des couloirs, plusieurs alcôves peuvent recevoir les couples qui veulent se reposer ou s’aimer. Les portes sont entrebâillées pour certains, plus ouvertes pour d’autres. Je reconnais les deux jeunes noirs. Maintenant, c’est la fille qui est sur son ami. Il est couché sur le dos, elle a un très beau corps souple et nerveux. Je n’ose trop regarder, m’approcher. Je pose à peine mon regard sur eux. Pourtant tu me dis qu’ils aiment être vus. Peut-être, mais c’est dérangeant pour mon esprit. Pas de honte, non. J’ai surtout le sentiment de ne pas avoir le droit de les regarder. Tous les couples que j’ai vus m’ont fait ressentir cela. Non, je n’étais pas à ma place en ce lieu.

Un homme seul semble rôder, ses yeux se posent trop souvent sur moi. Pourtant je n’ai pas de problème avec ma nudité : mon corps, je l’aime bien, je suis pas trop mal faite pour mon âge. Toi, tu me trouves belle et je me sens jolie quand je jette un œil aux miroirs accrochés aux murs. Mais je ne voudrais pas que cet homme me touche. Non, pas envie de lui ou d’un autre inconnu.

Je préfère entrer avec toi dans une petite chambre, m’allonger sur les matelas plastifiés bleus. Deux coussins sont posés en travers. J’ai envie de caresses, d’être simplement couchée. Retrouver ton odeur, la douceur de ta peau. Oui, te toucher.

Nous commençons notre ballet des corps. Nous retrouver, sentir ton envie de moi. Tes baisers, tes caresses… Je te lèche, te suce, te happe. Ta verge respire le désir. Tu es sur moi à me lécher le minou, seulement moi je pense que l’on peux me voir, j’imagine l’homme seul dans le couloir me regardant… Et s’il entrait !

Je me sens bloquée, je voudrais jouir car j’en ai envie mais je ne peux pas. Tu le sens, je crois même te l’avoir dit. Tu te lèves et vas fermer la porte à clé. Mais rien ne change dans mon esprit, je n’arrive pas à oublier l’endroit où je me trouve. Nous reprenons nos caresses. Tu me demandes de te lécher l’anus, c’est doux. Tu t’es épilé, ma langue glisse sur ta peau. Tu aimes cela. De mes mains je frôle, je prends tes bourses. Elles sont pleines, chaudes, charnues.

J’aime quand tu entres dans moi, quand tu me limes, me laboures, me bouscules. Mais je ne peux toujours pas me lâcher, mon corps résiste à l’abandon. Je ne crie pas non plus. Alors que j’adore cela, laisser ma voix s’emporter sans retenue.

    * — Dis-moi ce que tu voudrais, ce que tu as envie, me demandes-tu.


Et là, je t’avoue que je veux que tu m’aimes… Que tu m’aimes.

Et sous tes mots, sous tes doigts, ton sexe dans ma bouche, je t’ai offert un orgasme venu de très loin, enfoui au fond de moi. Quel moment de bonheur. Et des râles sont sortis de moi, trop de jouissance pour pouvoir me retenir… Crier, crier encore… Jouirrrrrrrrrrrrrrr.

Quelques instants de répit et tu recommences à me caresser, à titiller mes seins, à jouer avec mon corps. Tu me fais me mettre à genoux. Doucement, tout doucement, tu entres en moi dans le creux de mes reins. Tu me dis des mots crus, me donnes des tapes sur les fesses. Je sens ta verge qui force le passage. Je suis serrée. Lentement, ma corolle s’entrouvre et, en douceur, tu prends possession de mon intimité. De longues minutes à savourer tes allers-retours, tes va-et-vient en moi. Sentir la pression de ton corps sur ma peau, dans mon dos, la tête dans l’oreiller. Je me retourne et j’aime voir ton regard, j’aime te voir me prendre, encore et encore.

Je m’assieds sur le bord de la banquette pour mieux te saisir dans ma bouche. Tu voudrais venir jouir sur ma langue et me demande de te mettre un doigt dans l’anus. Que je te caresse au niveau de la prostate… Tu aimes trop cela. J’aime te sentir vibrer, tendu, prêt à exploser. Mais je préfère te recevoir dans mon corps. Que tu te remettes dans mon vagin et sous tes coups de reins sentir toute ta décharge et ton énergie à jouir. Oui, moments merveilleux pour moi…

Nous nous sommes levés pour reprendre une douche et pour rejoindre le sauna. Là aussi, des couples qui se caressent. Encore pour moi l’envie de fermer les yeux. La belle noire suce son compagnon juste à côté de moi, il a une queue superbe. Un peu plus loin, d’autres amants se lèchent. Avec Toi, Pierre, tendrement nous nous donnons encore des caresses et j’aime beaucoup ce moment de détente et d’harmonie.

J’ai le sourire aux lèvres d’avoir été aimée…
Vendredi 21 novembre 5 21 /11 /Nov 10:25

Milieu de la nuit, je n’arrive pas à dormir. La nuit est pourtant fraîche, hier il a plu une bonne partie de la journée. C’est la troisième fois que j’ouvre les yeux, il n’est que quatre heures du matin, et mes pensées volent vers toi à chaque réveil.

Vers ce sexe qui m’attend, ce sexe qui m’échauffe le sang, m’échauffe l’esprit, me fait ressentir plus qu’un grésillement au fond du ventre. Comme un feu qui couve et demande à prendre vie. Tu m’en as trop bien parlé hier, il est resté gravé en fond d’écran, je t’imagine derrière moi, prêt à m’offrir.

Ma main caresse ma peau, caresse mon épaule, seule ma nuisette noire me couvre. J’aime me frôler du bout des doigts, légèrement, faire plein de petits allers-retours sur ma peau si réceptive, pour m’envelopper d’une chair de poule, en petits frissons qui passent sur tout mon corps, j’aime trop ces douceurs.


Oh ! Mes mamelons sont tout pointés, du bout de mon ongle, je contourne mon aréole du sein droit. Elle est assez large, pas très foncée. Je ne sais pas pourquoi mais mon sein droit a toujours reçu plus de caresses. Et mon téton est plus gros, plus réactif aussi, il a plus d’entraînement, c’est comme dans tous les domaines, l’action amène l’endurance.

Frémir, ressentir mes doigts courir sur cette poitrine qui a envie d’être tétée, aspirée, gobée, malaxée. Oui gonfler sous la pression de mes paumes. Être pleine d’envie d’aspiration. La prendre à pleines mains et serrer fort, pour sentir la chaleur et la rondeur qui s’en dégage. Continuer mon chemin, descendre vers mon ventre ; ce qu’il est chaud et doux, moelleux et souple.

Quelques tours d’index sur mon nombril et je continue vers mes cuisses entrouvertes. Ma toison pousse, je la laisse pousser, envie de retrouver mes poils, envie de cette garniture noire sur mon mont de vénus. Depuis un bon mois je ne m’épile plus. Pour te permettre de fouiner, fouiller, débusquer l’odeur sauvage de mon fumet, cadeau pour tes narines à notre prochaine rencontre. Pour l’instant elle n’est pas très fournie, ni foisonnante, ils ne mesurent qu’un centimètre environ mes petits poils noirs !

Sois patient, bientôt je me prendrai en photo, sous plusieurs angles, sans pudeur, pour te la montrer… Oui, très bientôt nous allons pouvoir nous découvrir.


Hier matin encore une fois au téléphone, nous avons joué à entretenir le désir, à le faire monter d’un cran supplémentaire. Petit rituel ô combien excitant. J’aime à être docile, à obéir à tes mots. Je réclame le son de ta voix, ton accent envoûtant, eux seuls suffisent à émoustiller mon bas-ventre.

Quand tu me demandes de m’allonger nue sur mon lit à plat ventre, je le fais. Quand tu me demandes de remonter mes jambes, tendre mes fesses au plus haut, je le fais. Quand tu me demandes de ne pas me toucher, de rester à genoux, en lordose, je le fais…

Je fais tout ce que tu me murmures, désirante et soumise, je suis. Oh ! Douce et bonne attente.

Il me plaît d’être femme demandant d’être baisée. D’être femme réclamant à faire l’amour…

Ta voix qui me parle de ton sexe tendu, de ton sexe qui pointe vers ton ventre, de ton sexe qui est dur comme un pieu, comme un bout de bois, dur tel un sabre pour glisser dans ma chair. Tu veux écarter mes chairs. De tes gouttes de désir qui pointent au bout de ton gland. Qui bientôt me prendra. De toi en érection, derrière moi me regardant, de tes yeux sur mon bouton à éclore, de mon anus que tu veux lécher, de ta langue qui veut goûter à mon nectar, de ton nez qui aimerait tant renifler l’odeur de ma fleur la plus intime.

Au son, au rythme de tes mots, mon bassin tanguait pour faire monter le désir un peu plus près de la sortie. Oui ce brasier au fond de mon vagin, tu arrives à l’amener sans que je me touche, aux portes de mes lèvres. Lèvres, que j’effleure à peine, déjà recouvertes d’un filet juteux. L’humidité suinte sous l’émoi, sous l’envie d’être prise.

Oui, oui.

    * — Baise-moi, baise-moi… Je te dis, je te le crie…
    * — Baise-moi, baise-moi.
    * — Donne-moi ton sexe, entre dans moi, juste un tout petit peu. Encore, je te veux… sont mes mots
    * — Non, doucement, pas si vite, calme-toi… je t’entends me répondre.



Et encore ta voix qui m’accompagne, tes mots qui font venir le plaisir. Tes mots qui me chantent ma vulve, mon anus, l’envie de me prendre. Encore elle, l’Envie…

    * — Laisse-moi te regarder, montre-moi, ouvre-toi, me dis-tu.


Je ne suis que soupirs et lamentations. Douce torture pour mon corps en attente. Enfin tu m’autorises à me toucher, à franchir la frontière du lâcher prise.

Inexorablement le plaisir se déverse doucement, au frôlement de mon clitoris, petit mais si sensible. Ma main gauche est bien à plat sur mon ventre, et la droite enferme mon clito entre le pouce et mon index, pour le titiller lentement. Je me concentre complètement sur la montée douce de sensations grisantes.

    * — Maintenant prends ton gode, pose-le juste sur ton clito, dis-toi que c’est moi.


Enfin, je le glisse dans mon intérieur, le reçois comme une verge tendue pour moi.

Le plaisir, je le ressens de mes orteils, il remonte derrière mes cuisses, s’insinue entre mes fesses, glisse vers mon dos. Mon souffle se fait court, ma respiration s’accélère, j’ai chaud, très chaud, entre mes seins coule ma sueur.

Je freine mes mouvements de doigts et du gode, lorsque je sens que je suis en bordure de ne pouvoir arrêter le septième ciel se propager dans mon corps. Je stoppe dix à quinze secondes, et je reprends la montée lente du plaisir diffus mais bien réel. Je ferme les yeux, mon imaginaire spontanément m’ouvre avec limpidité tous les possibles de l’indicible. Je t’imagine si bien près de moi.

Plusieurs fois comme ça. Jouer à arriver à ne pas franchir la limite où le chavirement devient trop impérieux. Pourtant à un moment, même si je souhaite encore me retenir, retarder la délivrance, ma main s’agite implacable sur mon bouton rose en feu, gorgé d’espoir. Et alors une onde de jouissance déferle de partout dans mon être. L’orgasme se déclenche en spasmes, vibrations, ondulations, en passant du bout de mes ongles, à mes doigts écartés, de ma nuque, jusqu’à mes cheveux. Comme une vague énorme emportant tout sur son passage ! Je laisse mes râles sortir de ma gorge et mes cris les accompagner. Tu en redemandes et encore ma jouissance plusieurs fois je te donne. Toujours de plus en plus profond, le plaisir je vais le chercher. Pour toi, pour que tu entendes. Tu aimes tellement.

Je suis dans un état de flottement complet. Mon cœur bat prêt à se rompre. L’ivresse du moment, vertiges et abandon. Étranges sensations mais si bonnes. Oui ! Jouir, jouir, jouir… totalement…

Et doucement je reviens à la vie, lentement tout s’apaise, j’ai envie de repos… Je ferme les yeux, encore, je suis bien. Heureuse… je vais me rendormir, aussi bon qu’hier. Hummm ! Au revoir mon cœur…
Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 12:16
Je suis dans l’ascenseur en train de remonter vers mon appartement, j’examine le reflet que me renvoie le miroir qui se trouve au fond de celui-ci. Je suis plutôt satisfaite, malgré mes quarante printemps depuis quelques semaines je me trouve encore séduisante.

Bien sûr j’ai pris quelques rondeurs ma poitrine est devenue plus généreuse, je suis passée au C désormais. Mes hanches se sont arrondies elles aussi mais en me mettant de profil la cambrure des mes reins et la rondeur de mes fesses n’ont rien perdu de leurs charmes, enfin c’est mon impression.

Mon visage reste lisse, même si quelques fines et presque imperceptibles stries apparaissent au coin de mes yeux noisette.

Il faut dire que ma tenue vestimentaire m’aide bien, mon nouveau job en agence immobilière demande d’avoir toujours une apparence très BCBG, mon tailleur me va à ravir. D’autant plus que j’en ai choisi un plutôt sexy dans ma garde-robe, ayant rendez-vous avec un client pour une visite dans l’après-midi et j’ai remarqué qu’une apparence le moins sage possible permet d’être plus convaincante, du moins quand ma clientèle est masculine.


Là la jupe de mon tailleur est assez courte et remonte bien au-dessus du genou, quasi mi-cuisse pour être précise, et moule très bien mon bassin, mon collant noir et mes escarpins finissent d’affiner ma silhouette. Mon haut est plus sage et consiste juste en une veste classique, la couleur bleu assez sombre, elle fait bien ressortir la couleur châtain clair presque blonde de mes cheveux, pas très naturelle pour être honnête. Je les fais éclaircir, cela aussi est bon pour le commerce.

Le bruit mécanique de l’ascenseur qui arrive au bon niveau me tire de ma contemplation quelque peu narcissique il faut bien le dire, un dernier coup d’œil au miroir et j’avance vers mon appartement.

Je pense alors que Sabrina va être bien surprise de me voir arriver à cette heure, au milieu de l’après-midi. Mon prochain client vient de me téléphoner pour signaler son retard de peut-être deux heures pour la visite prévue cette après-midi.

Comme l’appartement en question se trouve près de chez moi et que j’étais presque à destination, je n’ai pas eu le courage de revenir à l’agence pour quasiment repartir aussitôt.

Sabrina est une jeune fille que j’ai prise pour quelques heures de ménage par semaine, j’ai un emploi du temps bien chargé et préfère sacrifier quelques euros pour conserver mon peu de temps libre.

Penser à elle me fait sourire, j’ai le sentiment très net qu’elle éprouve pour moi une profonde admiration. Je dois représenter pour elle la réussite parfaite avec mes airs de grande bourgeoise bien propre sur elle. Elle s’adresse toujours à moi très timidement, j’ai beau lui dire de m’appeler Catherine, elle n’y arrive pas et elle me lance toujours un timide « madame ».

Ceci a le don de m’énerver mais finalement j’ai renoncé à la corriger là-dessus. Et puis elle est charmante et il faut dire que j’ai déjà eu des expériences intimes avec d’autres femme dans le passé et que sa jeunesse et sa beauté naturelle me font un certain effet, me plaisent, m’attirent même peut-être à y réfléchir…

Je rentre dans l’appartement, me déchausse et avance le long du couloir, je m’apprête à appeler Sabrina quand il me semble entendre un bruit étrange venant du fond. Ce bruit m’intrigue et j’avance en restant finalement muette. En approchant le son devient plus clair et ressemble à des gémissements, cela vient du couloir où se trouvent les chambres. Maintenant la source est claire, cela provient directement de ma chambre.

Je passe la tête par la porte entrebâillée et ce que je vois me laisse complètement stupéfaite. Sabrina est allongée sur mon lit, son caleçon pantacourt élastique qu’elle porte habituellement quand elle vient travailler, est baissé sur ses chevilles, jambes bien écartées elle utilise mon sex-toy avec passion, machinalement je jette un œil vers le tiroir de la table de nuit où je le range, le tiroir est bien grand ouvert.

Quand mon regard se porte de nouveau sur elle, je me rends compte qu’elle tient près de son visage une de mes petites culottes, celle que j’ai mise la veille dans le bac de linge sale. Sa tête est tournée sur le côté et elle regarde un cadre qu’elle a posé à côté, sur le lit. Je reconnais immédiatement la photo qui trône normalement sur la commode, de ma sœur et moi, prise pour le dernier réveillon.

Un peu stupidement je me retire en arrière comme si c’est moi qui étais coupable de quelque chose, sans trop savoir pourquoi je retourne vers l’entrée en pensant au spectacle auquel je viens d’assister. Ce que je pensais être de l’admiration est en fait clairement une attirance sexuelle que Sabrina a pour moi.

Soudain cette nouvelle vérité qui vient de m’éclater sous les yeux fait naître en moi une certaine excitation, mais finalement je prends pitié par avance d’elle en imaginant son désarroi si je la surprenais ainsi, connaissant sa timidité.

Je rechausse mes escarpins, et faisant le plus de bruit possible j’avance dans le couloir, en hurlant presque :

    * — Sabrina c’est moi, ne t’inquiète pas je suis juste de passage pour une heure ou deux.


J’imagine la panique qui doit régner dans ma chambre, volontairement je traîne pour déposer ma veste sur un dossier de chaise et une fois avoir estimé que ma petite « amoureuse » a eu le temps de se reprendre, j’avance vers ma chambre. À proximité c’est maintenant le bruit de l’aspirateur que j’entends, j’ouvre la porte et lui lance :

    * — Ah tu es là, bonjour comment vas tu ?


Elle a remis de l’ordre à la vitesse de l’éclair, seul le dessus du lit toujours un peu froissé me prouve que je n’ai pas eu d’hallucination. Encore une fois je jette un œil machinalement vers ma table de nuit, le tiroir est désormais bien fermé, le cadre lui aussi a retrouvé sa place.

À y regarder de près son visage est quand même quelque peu rouge finalement elle me bredouille dans un souffle :

    * — Bonjour Madame.


Je lui explique alors la raison de ma présence et que la veille j’avais fini un peu tard la soirée, et que m’étendre un peu en attendant que mon client soit enfin disponible me fera le plus grand bien.

    * — Je vais vous libérer la chambre, j’en ai fini pour l’aspirateur aujourd’hui vous serez au calme.


Pendant qu’elle s’affaire au rangement de l’aspirateur, courbée en deux, je ne peux m’empêcher de l’observer en pensant à ce moment intime que je viens de surprendre. Je la regarde maintenant d’un œil bien différent, plus détaillé, voire même je l’inspecte.

Le fin tissu de son pantacourt rouge pâle élastique moule parfaitement son bassin et ses fesses, qu’elle a bien rebondis et musclés, le tissu pénètre légèrement à l’intérieur de son fessier faisant encore plus ressortir son galbe généreux, elle a un beau cul comme on dit ! C’est évident.

Son top blanc à bretelle lui va à ravir, je devine en dessous une poitrine bien ferme et plus menue que la mienne, mais que malgré tout je vois bien tressauter sous le tissu alors qu’elle se débat avec le matériel.

J’examine aussi comme si c’était la première fois son visage, je le redécouvre presque, il est follement attirant, des lèvres charnues dessinent une bouche large qui se découpe parfaitement sur une peau mate, ses yeux sombres et grands laissent deviner malgré cette apparente timidité un petit quelque chose de coquin, peut-être des restes du plaisir interrompu.

    * — Voilà je m’en vais, dit-elle avec un large sourire. Je vais essayer de faire le moins de bruit possible.
    * — Ne t’embête pas, je compte juste m’allonger un peu. Ça m’étonnerait que j’arrive à m’endormir !


D’autant plus que les récents événement m’ont plutôt mise dans un certain état, plus proche de l’excitation que du sommeil.

Voilà elle a quitté la pièce, désormais seule je peux m’étendre sur mon lit. Je défais un peu la fermeture de ma jupe pour être plus à l’aise et je m’allonge en attrapant un magazine, bien décidée à me laver l’esprit et d’être le plus prête possible pour ma visite de tout à l’heure.

Après quelques minutes, ou peut-être plus, la sensation d’une présence me fait lever les yeux. Mécaniquement mon regard quitte la revue et tombe sur le large miroir situé le long de mon lit faisant face au mur où se trouve la porte. Grâce à son reflet je peux voir que la porte est restée entrebâillée, et que le visage de Sabrina est là visible dans l’ouverture.

Visiblement elle ne s’est pas rendue compte que j’avais repéré sa présence, il est vrai que je n’ai pas bougé mise à part mon regard. Elle est là à m’observer, la bouche légèrement entre ouverte, visiblement elle à l’air de prendre du plaisir à me regarder ainsi couché sur mon lit.

Se sentir ainsi espionnée, détaillée avec envie, relance de nouveau en moi se doux plaisir qu’est de sentir l’excitation gravir petit à petit tout son corps, la chaleur monter au visage. Je me rends compte qu’elle observe mes jambes, dans le miroir je peux aussi voir qu’en m’allongeant ma jupe a glissé vers le haut, dévoilant ainsi une grande partie de celles-ci, presque la totalité.

J’éprouve alors l’envie, le besoin de lui en montrer plus, je remonte une jambe et tourne mon bassin. Le plaisir illumine son visage, visiblement elle apprécie mais moi aussi cette modeste exhibition amplifie encore un peu plus mon excitation naissante et donne toutes les envies sauf celle d’arrêter ce petit jeu-là.

Elle veut voir un beau spectacle, eh bien je vais faire de mon mieux, une idée me vient pour corser un peu la situation.

En prenant mon temps je me retourne et me lève, bien sûr Sabrina a disparu de son observatoire. Je réajuste à peine ma jupe et me dirige vers les toilettes. Je traverse le salon et vois Sabrina prenant un air très occupé sur les vitres de la fenêtre, je souris, elle est rapide ma belle Sabrina.

Une fois dans les WC, je remonte ma jupe autour de la taille, retire mon collant, ma culotte et réenfile de nouveau ma seconde peau de nylon. J’examine un instant en baissant la tête ce que cela donne, le collant est plus clair dans sa partie haute, mon triangle brun d’amour se découpe parfaitement au travers du tissu, l’ensemble me paraît très sexy, même très chaud.

En passant je jette mon dessous dans la panière à linge sale et regagne la chambre. Marcher ainsi fait frotter mon collant sur mon sexe, ce qui bien sûr chauffe encore un peu plus mes sens, voilà bien longtemps que je n’avait pas fait ça. De nouveau dans ma chambre je prends bien soin de laisser la porte entrouverte et je me recouche sur le dos, la tête tournée vers le miroir. Je reprends mon magazine, mais mon attention reste fixée sur le reflet du miroir et sur l’entrée de ma chambre.

L’attente est longue, interminable, le visage n’apparaît plus. Je me mets à douter, lui aurais-je fait peur ? Deux fois surprise en train de faire des choses peu avouables et elle se dit que c’est déjà trop ?

Non ! Voilà, une fois de plus le miroir me permet de voir son doux profil réapparaître dans l’embrasure. N’y tenant plus et de peur qu’elle disparaisse, j’agis de mon mieux pour lui donner raison d’être revenue et de lui offrir un beau spectacle, c’est ce qu’elle cherche et moi aussi maintenant.

Je me laisse glisser un peu vers le fond du lit, comme espéré ma jupe se retrousse et remonte très haut, la glace me permet de bien voir par moi-même le spectacle que je lui offre.

Ma jupe s’est retroussée jusqu’en haut de mes cuisses, gainées de noir par le collant elles me paraissent plus grandes que dans la réalité.

Tout en gardant la tête tournée de côté, je fais pivoter mon bassin pour le tourner vers la porte. Une jambe toujours étendue je replie l’autre et écarte doucement la cuisse. Une fois de plus son visage s’illumine, devient même passablement rouge signe que je lui fais bien l’effet escompté.

Je peux voir que son regard plonge dans mon entrejambe, elle est hypnotisée par ce qu’elle voit. Je pourrais tourner la tête et la regarder directement qu’elle ne s’en rendrait pas compte.

De sentir son regard fouiller ce lieu si intime normalement décuple encore mon plaisir. J’imagine ce qu’elle peut voir, le triangle sombre et bien taillé de ma toison, mon sexe qui commence à s’ouvrir sous l’excitation. Je mouille, je le sens, elle doit le voir.

Il faut que j’aille plus loin, mon embrasement est tel que j’en veux toujours plus, montrer plus pour encore plus de plaisir !

Je profite que ses yeux soient occupés pour déboutonner mon corsage, voilà il ne reste plus que les deux ou trois bouton du bas. Comme une gourde je n’ai pas pensé à « refaire » un peu mon haut comme mon bas. Par chance j’ai mis ce matin un soutien-gorge bustier, très échancré et dont les brettelles sont juste fixées devant, sur les côtés.

D’une main experte je dégrafe les deux bretelles discrètement tout en l’observant dans le miroir, c’est bon elle n’a pas vu mon petit jeu et ses yeux sont toujours rivés sur mon entrejambe.

Finalement je me mets complètement sur le dos, la tête toujours tournée dans la bonne direction face au miroir en ayant l’air absorbé par la lecture de mon magazine. J’écarte mon bras libre tout en gonflant la poitrine comme si je m’étirais, comme espéré mon chemisier s’ouvre largement, glisse sur les côtés, libérant ma poitrine.

Le regard de Sabrina monte pour s’arrêter sur mes seins. La glace me renvoie une belle image de mon buste, le chemisier s’est totalement écarté et mes seins, bien que toujours protégés par mon soutien-gorge, ressortent comme deux belles collines, l’échancrure prononcée laisse apparaître une bonne moitié de ma poitrine, il en faudrait peu pour qu’un mamelon ne s’échappe de sa prison de dentelle.

Ceci me donne une idée, faisant mine de vouloir me gratouiller le pied je me redresse, écarte un peu les jambes en tailleur et me penche en avant. Un coup d’œil discret vers le bas de la porte me montre que Sabrina est toujours là, je vois ses pieds.

Je n’ose pas regarder son visage mais j’imagine que ma nouvelle position lui plaît car je sens mon soutien-gorge glisser un peu, bien sûr je ne fais rien pour contrarier cette descente et rapidement un de mes mamelons apparaît, Je sens l’autre à la limite de réussir lui aussi sa tentative d’évasion.

Un bref regard vers mes seins le confirme, je vois parfaitement les large aréoles de mes seins bien brunes et un mamelon pointant vers le ciel bien raide d’excitation. Il faut dire que j’ai encore passé une étape, je suis en feu, je dois me retenir pour ne pas me jeter sur mes seins pour les caresser, les titiller.

Mon regard glisse vers mon entrejambe que je peux voir étant donné ma position, ce qui ne fait qu’amplifier encore mon désir de caresses. Ma petite fleur s’est bien ouverte, je la vois malgré le nylon, mes lèvres sont épanouies et luisent, recouvertes par l’humidité, fruit de mon plaisir.

Je me remets sur le dos sinon je vais craquer, je conserve mes jambes repliées et écarte les cuisses autant que cela soit possible pour avoir l’air naturel, si bien que je sens un courant de fraîcheur glisser sur ma petite chatte bien humide, j’en crispe les pieds de plaisir tout en fermant les yeux un instant.

Un œil sur le miroir, Sabrina semble elle aussi dans tous ses états, elle est cramoisie, je vois qu’une main s’est glissée entre son pantalon et son ventre, la bosse de sa main sur son pubis est bien visible, et bouge d’ailleurs, elle se caresse !

Tu prends du plaisir on dirait ? Attends tu n’as pas encore tout vu… faisant mine de chercher quelque chose de l’autre côté du lit, au pied du miroir, je me mets à quatre pattes sur le lit et plonge à son pied les fesses bien hautes, jambes légèrement écartées. Je sens mes lèvres s’ouvrir encore plus et une fois de plus l’air glisser dessus malgré le collant me faisant mille caresses toutes plus exquises les unes que les autres.

J’imagine la vison qu’elle a de moi ou plutôt de mon fessier, recouvert de ce nylon qui cache si peu de chose, de mon sexe brûlant et trempé à la fois qui s’offre à son regard et qui ne demande qu’à être admiré, frotté et plus encore. Mes seins se sont totalement libérés du coup, mon soutien-gorge n’est plus qu’une sorte de drôle de ceinture autour de ma taille.

Quand je me redresse je les sens se promener à l’air libre. Je peux de nouveau regarder vers le miroir, mes seins lourds se balancent, mes tétons pointent comme deux gros boutons qui ne demanderaient qu’à être utilisés, ma jupe n’est plus qu’un mince bandeau entourant mon bassin, mon visage aussi a pris des couleurs, je brûle de partout.

Sabrina aussi est au bord de la rupture, du moins c’est l’impression qu’elle donne. Sa main s’active tellement sur son bas-ventre qu’elle en a fait glisser son shorty un peu plus bas sur sa taille, son autre main est passée sous son top et caresse ses seins avec une certaine brutalité.

C’en est trop il faut que je m’occupe de moi, j’en ai assez fait pour elle. Je m’étends de nouveau sur le dos, jambes bien repliées et écartées comme auparavant, mais plus de lecture maintenant. Je laisse mon visage faire face au plafond, ma main glisse le long de ma cuisse, elle est maintenant presque sur l’aine, le premier contact m’électrise tout le corps je me retiens pour ne pas geindre.

Ça y est mes doigts glissent sur mon sexe en feu, chaque passage me provoque des frissons, je regarde maintenant directement la porte, Sabrina n’a d’yeux que pour cette main qui glisse et reglisse le long de mon sexe trempé. Mon autre main s’est machinalement occupée de ma poitrine, elle caresse, pétrit, elle s’occupe de mon mamelon, le pince, l’étire…

Je suis complètement sous l’emprise du désir et l’envie de jouir, mes mains s’activent avec frénésie sur mes lèvres, mon clitoris, mais ce maudit collant si infime qu’il soit est encore un rempart. Non ça y est, mes ongles ont transpercé le nylon, mes doigt plongent dans mon sexe détrempé, c’est chaud, c’est bon. Ils entament un va-et-vient et rapidement je jouis une première fois, j’étais tellement excitée, j’ai attendu si longtemps.

Mais ce n’est pas suffisant, mes mains s’activent encore et encore sur mes seins et ma chatte, je me rends compte que je suis en train de gémir, à moins que ce ne soit Sabrina ? Non c’est bien moi. Sabrina est toujours là, le regard sur mon sexe en feu et sur mes mains jouant les pompiers, trop occupée à son plaisir personnel pour voir que je l’observe directement, nouvelle jouissance aussi brutale que la première en la regardant.

Il me faut un moment pour me rendre compte d’un bruit dans le lointain, j’émerge un peu de l’état second où me suis mise pour me rendre compte que c’est mon téléphone que j’avais posé sur la table. Il me faut encore un moment pour sortir de mon hébétude et me dire « Hou ! Hou ! tu as ton téléphone qui sonne. »

Je décroche enfin, et d’une voix sortie d’on ne sait où je dis le « Allô ? » traditionnel.

C’est mon client qui me dit qu’il est arrivé à l’appartement et qu’il m’attend pour la visite, je bredouille un « je suis en route, j’arrive ».

Sabrina a disparu, je suis encore toute flageolante de ma petite séance. Il est temps de se reprendre et de se mettre présentable, mon collant est complètement déchiré à l’entrejambe, moi qui croyais avoir juste un petit trou, toute ma foufoune est à l’air, tant pis je replace ma jupe. Mon soutien-gorge ? Et puis zut je l’enlève pas le temps de chercher à remettre les bretelles.

Je traverse le séjour presque en courant et tombe sur Sabrina. Je ne sais pas si j’ai une tête aussi chavirée qu’elle, je préfère ne pas savoir, mais elle aussi a dû prendre son pied. Comme pour vérifier mon regard se porte vers son entrejambe, une tache sombre se dessine au bas de son pubis… Elle est comme moi elle mouille abondamment.

Péniblement je lui sors quelques mots : client, retard, il m’attend, je dois y aller.

Me re-voilà dans l’ascenseur, dans la glace je vois que le tressautement amorçant la descente fait ballotter mes seins libres de tout soutien sous mon chemisier, loin de m’affoler je trouve ça,… sympa. Tiens il est même un peu trop boutonné ce chemisier, je défais deux boutons, voilà là c’est mieux ! J’ai un beau décolleté pourquoi le cacher ? Cette jupe, voyons on peut bien la remonter un peu sur la taille aussi, parfait comme ça !

Marchant dans la rue pour rejoindre ma voiture, je sens l’air s’engouffrer sous ma jupe et venir se frotter à mon pubis libre de toute protection, Bon Dieu que c’est bon ! J’aurais dû faire ça avant !

Mon pas vif donne un beau mouvement de va-et-vient à ma poitrine, ce qui n’échappe pas à deux passants mâles que je croise, j’aime ce regard… Une nouvelle Catherine est-elle née ? Ou juste des restes de mon show avec Sabrina, pas le temps de s’éterniser là-dessus !

J’ai un client qui m’attend on verra ça après.


À suivre
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