Dimanche 9 décembre
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03:21
J’ai le grand plaisir de vous faire cadeau de ce livre qui m’a demandé plus d’un an d’effort pour en écrire les 31 chapitres.
Je l’ai écrit pour une femme que j’ai aimé passionnément mais qui est restée inaccessible car elle n’a pas voulu me rejoindre.
Nous avons vécu des moments formidables, pleins de tendresse, de fureur et d’amour. Des jouissances multiples ont accompagnés les heures que nous avons passé ensemble, toujours trop courtes, pas assez nombreuses. Mais c’est la vie des amants.
Aujourd’hui, le temps a passé et ce livre n’a plus lieu d’être entre nous deux. Il m’a beaucoup aidé à l’attendre et aussi, à évacuer les démons qui me hantaient.
Je vous laisse tourner la première page et amusez-vous bien, c’est mon vœux le plus cher.
Christian.
Samedi 1 décembre
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16:14
La sonnerie du réveil retenti ce qui a le don de faire sursauter Marie-Claude car Joana l’avait placée juste à coté de sa tête. Elle a mal partout d’avoir baisée comme une folle tout le week-end, elle se sent sale et éprouve le besoin d’un bain chaud et moussant. Mais en baissant les yeux elle retrouve la vision de ce sexe mâle planté en elle et retrouve en un clin d’oeil des sensations à caractère érotiques. Elle a envie d’uriner mais avec cet engin ce n’est pas possible et comme elle hésite à l’enlever sans l’autorisation de sa maîtresse, elle se lève pour réveiller Joana aussi amoureusement que possible.
Joana est dans un demi sommeil et, entendant Marie-Claude se lever, elle écarte doucement ses cuisses en dévoilant sa vulve entourée de jolis poils noirs et se tourne légèrement en direction de son esclave préférée.
Marie-Claude a bien vu la manoeuvre. Elle se glisse près de Joana, sur le lit et commence une série de petits baisers sur les jambes qu’elle lèche ensuite tout en remontant avec sa langue vers la toison noire. Elle l’atteint au bout de quelques minutes et donne un premier coup de langue sur la vulve de Joana qui se met à gémir aussitôt.
-Ahhh ! oui, salope tu sais t’y prendre maintenant pour me faire jouir, continue comme cela, oui, oui, encore Ahhh, que c’est bon. Suce ma belle, suce moi encore, encore, Ahhhh
Dans un spasme violent, elle s’est emparée de la tête de Marie-Claude et, la tenant par les cheveux elle l’utilise comme un sexe d’homme, le nez, la langue, les lèvres tout est bon pour satisfaire ce plaisir qui lui brûle les reins. Elle force Marie-Claude à la sucer, elle utilise son nez comme un petit sexe et d’un coup elle explose dans la bouche de Marie-Claude qui sent un liquide chaud lui couler sur les lèvres. Joana vient d’éjaculer se dit-elle! C’est impossible et pourtant, force est de constater qu’elle ruisselle de liqueur juteuse. Marie-Claude la lèche en entier pour faire sa toilette intime ce que Joana apprécie au plus haut point.
-Bravo, tu m’as fait jouir comme rarement cela m’est arrivé au réveil, je saurais m’en souvenir lors de notre prochaine rencontre. Pour aujourd’hui c’est fini. D’ailleurs tu m’as mise en retard et il faut que je me prépare. Va faire du café, mais d’abord vient ici que je te fasse redevenir femme.
Marie-Claude s’approche et Joana lui enlève son sexe non sans la caresser au passage mais Marie-Claude reste sur sa faim. Diabolique Joana, toujours à m’exciter pense-t-elle, mais ne jamais aller jusqu’au bout.
Marie-Claude va faire le café pendant que Joana prend une douche. Marie-Claude voudrait bien en faire autant mais elle n’a pas eu l’autorisation, alors elle continue à préparer le petit déjeuner.
Joana avale le petit déjeuner tout en donnant ses instructions à Marie-Claude qui l’écoute sans rien dire. Elle n’ose pas l’interrompre, elle n’ose pas lui dire qu’elle doit partir elle aussi. Les enfants Taylor l’attendent pour aller à l’école. A cette heure ci, ils se lèvent.
-Joana, s’il te plaît écoutes moi. Je suis obligé de partir rejoindre les enfants que je garde. Ils m’attendent pour partir à l’école. Je te promets que je reviendrais mais pour le moment je dois y aller.
Joana l’a écouté sans rien dire mais ses yeux brillent de colère.
-Alors comme cela tu dois partir ?
-Oui, j’en suis désolée, je t’aime tu sais.
-Bien
Elle se lève sans rien ajouter et se dirige vers le placard dans lequel sont rangé les habits de Marie-Claude. Elle en sort le chemisier et la jupe qu’elle tend à Marie-Claude sans la regarder.
-Voilà, c’est tout ce que tu auras, le reste je le garde pour être sure que tu reviendras. Aller files, tu es déjà en retard.
Marie-Claude s’habille en bégayant un merci mais réalise soudain qu’elle n’a ni papier d’identité, ni argent avec elle.
-Joana, s’il te plaît, je peux avoir mon sac à main, j’ai besoin d’argent et de mes papiers.
-Pas question ma belle, si je te rends tout je ne suis persuadée que tu reviendras. Tiens voilà 5 € pour prendre le car, il passe à 200m d’ici. De tout façon je sais où te trouver, alors à bientôt, peut-être plus vite que tu ne le penses.
Et sur ses paroles mystérieuses, Marie-Claude se sauve. Elle sait qu’elle ressemble à une moins que rien. Elle n’est pas lavée, pas coiffée et porte le strict minimum sur elle.
Elle court vers l’arrêt de car et, par chance, il y en a un qui arrive et va vers son quartier. Elle grimpe et paye son ticket au chauffeur qui la dévisage curieusement. Encore un qui la sauterait bien s’il les circonstances étaient autres. Mais là, il doit conduire et garder ses mains sur son volant.
Ce n’est pas le cas du passager à côté duquel elle s’assoit. Il y a peu de place libre, les gens partent au travail à cette heure là. Lui aussi part au travail, mais il a deviné que Marie-Claude était différente des autres passagers. Sans hésiter, il a collé sa cuisse contre la sienne et la petite jupe que porte Marie-Claude remonte un peu plus haut à chaque secousse du car. Ses seins font de même. Elle sent bien que le mec bande mais il y a trop de monde, il n’osera pas. Et bien si, il a osé, mais de manière très vicieuse, ce qui a surpris Marie-Claude et lui a fait pousser un petit cri heureusement masqué par le bruit du moteur.
Profitant d’un cahot un peu plus fort que les autres, il a glissé sa main sous les fesses de Marie-Claude et en retombant Marie-Claude s’est empalée sur son index qu’il avait mis en bonne position. Il est vrai qu’elle ne porte pas de culotte. Elle sent le doigt qui s’agite en elle, mais ne peut rien faire sans attirer l’attention des autres passagers. Le doigt est coquin et maladroit; plusieurs fois elle a approché de l’orgasme, mais à chaque fois il a raté son coup. C’est donc elle qui glisse discrètement une main entre ses cuisses et guide le doigt de son compagnon qui fini par se stabiliser au bon endroit. Il la branle doucement maintenant et Marie-Claude se laisse envahir d’une douce langueur qui la port petit à petit vers quelque chose de grand, un plaisir qui monte du fond de son vagin et qui irradie dans tout son corps des doigts de pieds jusqu’à la racine des cheveux.
L’orgasme la surprend au moment ou le chauffeur est obligé de freiner brutalement à cause d’un chien qui traversait la rue juste devant le car. Tout le monde crie un coup et, dans le brouhaha qui s’en suit, Marie-Claude peu donner libre cour à son plaisir sans que cela ne se voit. Elle inonde de jus liquoreux la main de son partenaire et se soulève légèrement pour qu’il se retire ce qu’il a la galanterie de faire.
-Merci beau blond, tu serais presque doué tu sais, encore quelques leçons et tu pourrais faire un amant correct. Mais pour le moment j’ai mieux à faire, alors salut, à un de ces jours peut-être.
Son branleur d’un jour est resté sans rien dire. Il est suffoqué par tant de désinvolture et tant de beauté à la fois. Jamais il n’avait rencontré une femme comme celle-là et il voudrait bien finir la journée avec elle. Mais Marie-Claude est déjà loin, elle court vers sa maison, enfin celle des Taylor. Sa jupe vole sous le vent de la course et il peut apercevoir pendant quelques fraction de secondes le cul de Marie-Claude ce que le chauffeur de car salut par un grand coup de Klaxon. Marie-Claude, sans se retourner, le salut en levant le bras et tourne au coin de la rue vers son lieu de séjour.
Mardi 27 novembre
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05:09
La voiture de Joana dans laquelle elles étaient montées, roulait maintenant depuis 10 minutes. Les deux femmes avaient bouclé leur ceinture et aucune des deux n’avait encore ouvert la bouche. C’est Marie-Claude qui parla la première.
-C’est encore loin Joana lui demanda-t-elle?
-Madame ! pas Joana, seuls les femmes ou les hommes avec qui j’ai fait l’amour de manière très satisfaisante ont le droit de m’appeler par mon prénom. Que je n’ai pas à te le répéter. Compris ?
-Oui, Madame. Est ce que c’est encore loin, Madame ? Le ton de sa voix cette fois est timide voire apeuré.
-Oui nous devons encore rouler une bonne demi-heure. Je possède une petite maison de campagne dans laquelle tout est prévu pour mon plaisir personnel. Tu verras, je suis sûre que tu apprécieras ! Un éclat de rire ponctue cette dernière phrase ce qui a le don de faire frémir Marie-Claude. Entre quelles mains est-elle tombée ? Que va-t-il lui arriver ?
Elle frissonne, la main de Joana vient de se poser sur sa cuisse et elle l’oblige à écarter les jambes largement. Sa chatte est offerte aux regards des passants mais peu s’en aperçoivent. Seul un chauffeur de bus klaxonne quand Joana le double, il aimerait bien être dans la voiture avec ces deux femmes. Mais voilà, ce n’est pas pour lui! La main de Joana s’est emmêlée dans les poils du pubis d’Marie-Claude et elle tire un peu dessus histoire de voir. Marie-Claude, sous l’effet de ce geste, avance son ventre jusqu’à se trouver assise en limite du siège. La ceinture de sécurité la tire en arrière mais la main de Joana la tire en avant. Finalement un équilibre est trouvé ce qui permet à Joana de branler délicatement le clitoris humide d’Marie-Claude.
Et elle sait y faire. Le plaisir grandi dans les reins et le bas-ventre de Marie-Claude qui a du mal à se retenir de jouir. Joana est diabolique, elle la laisse en permanence au bord de l’orgasme sans jamais la finir. Cela dure une bonne partie du voyage et Marie-Claude a des courbatures car la position n’est pas des plus confortable.
Joana arrête la voiture devant un portail et, laissant la chatte de Marie-Claude en feu, elle lui ordonne d’aller ouvrir le portail.
-Tout de suite Jo.., non Madame, excusez-moi. Et elle sort de la voiture en courant jusqu’au portail. Elle l’ouvre sans difficulté et laisse passer la voiture
pour le refermer immédiatement derrière. Ca y est, elle est dans l’antre de sa maîtresse pour le meilleur et pour le pire. De toute façon, elle ne peut plus reculer, c’est Joana qui a toutes ses affaires.
-Marie-Claude reviens vite, tu traînes, dépêches toi, vide le coffre et monte tout dans la cuisine. Vite, je n’aime pas attendre !
Marie-Claude a rougi mais s’est exécutée très rapidement, elle ne veut pas mettre Joana en colère, elle a un peu peur. Joana pendant ce temps s’est installée sur le canapé du salon, sa jupe largement remontée sur ses cuisses longilignes. Marie-Claude, ayant terminé son travail, revient vers Joana pour attendre les ordres de sa nouvelle maîtresse.
-Bien, je vois avec plaisir que tu as fait vite. Bon, voyons voir un peu le programme. Je vais aller prendre un bon bain et me préparer pour nos ébats. Pendant ce temps, tu vas finir de ranger la cuisine, faire la vaisselle. Ah au fait déshabilles toi entièrement, pas de bijoux non plus, rien qui ne t’appartienne.
Marie-Claude s’exécute et donne tout ce qu’elle avait sur elle à Joana qui les fourre dans le sac à dos de Marie-Claude qu’elle enferme à double tour dans une armoire.
-Voilà, à partir de maintenant tu es à moi. Tu trouveras un petit tablier de servante à la cuisine. Mets le, ce sera suffisant pour ce que tu as à faire.
Marie-Claude part vers la cuisine où elle trouve effectivement un tablier blanc qui lui couvre à peine le bas-ventre, et monte jusque sous ses seins qui restent ainsi visibles à qui veut bien les voir. Ses fesses, bien entendu, restent à l’air libre, accessible à toutes les mains baladeuses ou au martinet qu’elle voit accrocher au mur de la cuisine. Elle frémit en pensant à ce qu’il peut lui arriver si elle ne satisfait pas Joana. Elle se met donc au travail avec ardeur, bien décidée à entrer dans les grâces de Joana et à répondre à tous ses désirs qui pourraient bien rejoindre rapidement les siens d’ailleurs. Elle se passe une main sur la chatte en gémissant et en serrant ses cuisses très fort jusqu’à éprouver un semblant d’orgasme qui la laisse tremblante, se cramponnant au bord de la table.
-Je deviens folle, dit elle à mi-voix. Cette femme m’a envoûtée, c’est pas possible autrement.
-Qu’est ce que tu dis, Marie-Claude, tu parles toute seule maintenant, lui demande Joana depuis la salle de bain.
-Non, Madame, je me suis cognée en voulant attraper le plat qui est dans le four.
-Et tu en as profité pour jouir un coup petite salope, viens ici ! la voix de Joana s’est brusquement durcie et Marie-Claude se précipite dans la salle de bain.
-Oui Madame je suis là, que dois-je faire ?
-Regardes moi en face et jure moi que tu n’as pas joui toute seule dans la cuisine. Alors, j’attends!
Marie-Claude est rouge de confusion, elle baisse la tête et bredouille trois mots d’excuse.
-Je .., je ne le ferais plus Madame c’est promit.
La main de Joana a volé si vite que Marie-Claude ne l’a pas vu venir. Le téton de son sein droit est prisonnier des doigts de Joana qui le pince fortement. Marie-Claude pousse un cri de douleur et des larmes perlent à ses paupières. Joana souri
-Bon ça ira pour cette fois, mais la prochaine fois tu me demanderas la permission avant de te branler, compris ?
-..Oui .Madame, c’est promis.
-OK, retourne à ton travail et fais le vite, j’ai bientôt fini de me laver.
Marie-Claude la tête basse retourne à la cuisine et s’empresse de faire le travail que Joana lui a demandé. La cuisine est vraiment sale et elle frotte avec énergie tous les plats qui traînaient sur l’évier. La sueur coule sur son front mais rien ne peut l’arrêter maintenant. La cuisine sera propre et bien rangée. Elle l’a promis à Joana et elle lui obéira.
De la salle de bain lui parvient une douce musique, c’est Joana dans sa baignoire qui fredonne des chansons à la mode. Puis elle l’entend qui sort de l’eau. Joana se prépare pour la fête charnelle qui s’annonce et dont elle, Marie-Claude, sera la reine....ou la victime ; elle ne le sait pas encore et cette pensée la perturbe tout en lui donnant des frissons dans le bas-ventre.
Joana la rejoint dans la cuisine pour inspecter son travail. Marie-Claude vient juste de poser le torchon sur son crochet et, tête baissée, les mains jointes derrière le dos attend le jugement de sa maîtresse. C’est bien ce qu’elle est devenue, l’esclave de Joana, pour le meilleur et pour le pire.
Elle attend le verdict. Joana tourne dans la cuisine, sans rien dire. Elle vérifie tout, passant un doigt inquisiteur sur un couvercle, vérifiant le rangement des plats et des assiettes. Bref une inspection détaillée, comme à l’armée.
En passant devant le martinet accroché au mur, elle le décroche ce qui fait frissonner Marie-Claude.
-Tournes toi et penches toi en avant !
Marie-Claude s’exécute en tremblant craignant le pire. Jusqu’où Joana va-t-elle l’emporter? Un premier coup de fouet tombe sur ses magnifiques fesses, suivi de plusieurs autres donnés avec vigueur.
-Aïe, aïe, tu me fais mal Joana, pitié, mon travail est-il si mal fait ? j’ai pas mérité d’être fouettée comme cela.
-Je le sais ma belle, mais n’oublie pas que tes mains t’ont fait jouir sans mon autorisation. Ton travail par ailleurs est bien fait mais n’est pas parfait. Tu recommenceras tout à l’heure. Pour le moment j’espère que ces quelques coups de martinet te feront du bien. La prochaine fois tu seras moins ...indépendante. Bien maintenant direction la salle de bain pour te laver car tu pus ma belle et dans l’état où tu es je devrais de mettre dans la niche du jardin, pas dans ma chambre.
Marie-Claude se dirige vers la salle de bain et, une fois devant la baignoire attend les ordres de Joana.
- Enlèves ce tablier et plonge toi dans ce bain moussant, je vais te laver à ma façon.
Marie-Claude pénètre dans la baignoire et gémie car l’eau est très chaude. Joana la bouscule un peu pour qu’elle rentre dans l’eau plus vite.
-Lave-toi maintenant, ce que Marie-Claude fait avec un certain plaisir car l’eau chaude la détend complètement et lui fait un bien énorme. Elle ne ressent plus la brûlure du martinet.
Pendant ce temps Joana a attrapé un gant de crin et commence à frotter vigoureusement le corps d’Marie-Claude. Tout y passe, le dos puis les jambes, le ventre et les seins, les fesses et enfin l’entre jambe ce qui fait sursauter Marie-Claude sous l’effet de l’action du gant.
Marie-Claude est debout dans la baignoire et son corps est devenu tout rouge sous les caresses de Joana.
-Parfait, tu ressembles à une écrevisse. Sors de la baignoire et mets toi sous la douche.
Marie-Claude s’exécute et Joana ouvre le robinet d’eau froide de la douche. Marie-Claude crie et veut sortir, mais Joana la maintien sous le jet d’eau froide et l’oblige à se rincer complètement. Marie-Claude frissonne mais en même temps elle se sent parfaitement propre et détendue. L’eau froide s’arrête enfin de couler et Joana l’entoure d’une serviette douce et parfumée ce qui achève de la détendre.
-Je vais préparer à boire, profites en pour te faire une beauté en mon honneur.
Marie-Claude regarde ce qu’il y a sur les étagères de la salle de bain et après avoir sélectionné les bons ingrédients, commence à se maquiller et à se coiffer.
Un quart d’heure après elle sort de la salle de bain et rejoint Joana dans le salon. Deux verres sont prêts sur la table, remplis de punch et Joana lui en tend un.
-A ta santé ma chérie et à nos amours, ce week-end doit rester un bon souvenir entre nous. J’espère que tu es d’accord ?
-Oui Madame, je ferais tout ce qu’il faut pour qu’il en soit ainsi. A ta santé.
Les deux filles trinquent ensemble et sirotent en silence leur punch. Joana a les yeux qui brillent et Marie-Claude sens sa tête tourner un peu sous l’effet de l’alcool.
Quand Joana a fini son verre, elle prend Marie-Claude par la taille et l’entraîne vers sa chambre.
-Viens vite me montrer de quoi tu es capable, je suis déjà toute mouillée à l’idée de faire l’amour avec toi.
Les deux filles enlacées, tombent sur le grand lit de Joana et c’est Joana qui dirige la joute amoureuse. Sa langue est active et pénètre dans la bouche de Marie-Claude pour se mêler à sa langue. Leurs baisers sont sans fin et elles roulent l’une sur l’autre alternativement. C’est une espèce de lutte dont une des deux doit sortir vainqueur. Marie-Claude peut encore vaincre mais, petit à petit elle sent qu’elle faibli. Elle est plus jeune et moins forte physiquement que Joana et de plus elle a déjà baisé cet après-midi. Cela l’a passablement épuisée.
Au bout de dix minutes de baisers fougueux, elle ne résiste plus et Joana peut s’emparer complètement de sa bouche sans qu’elle n’oppose de résistance. Ce coup ci elle est bien vaincue, elle n’a pas su prendre sa dernière chance et voluptueusement elle accepte son sort.
Joana aborde un sourire triomphant.
-Ca-y-est, cette fois tu acceptes d’être à moi, tu m’obéiras ? Si c’est oui tu pourras m’appeler par mon prénom.
-Oui mad..., oui Joana, je suis à toi, demandes moi ce que tu veux, je le ferais. Tu m’as complètement maîtrisé, c’est la première fois que cela m’arrive. J’avais plutôt l’habitude de dominer, même les garçons, mais là je m’avoue vaincue. Je suis ton esclave. Demandes.
Joana se relève et se dirige vers son armoire. Elle ouvre les deux porte et Marie-Claude voit apparaître une collection de sous-vêtements tous plus coquin les uns que les autres, des robes transparentes, une paire de menottes et une série de godemichés de taille très variables. Joana fouille un peu et s’empare d’un objet qu’elle montre à Marie-Claude.
-Voilà notre homme dit-elle en riant !
L’objet en question est effectivement un double sexe masculin monté sur une culotte faite de lanières de cuir. Le membre placé à l’intérieur de la culotte s’enfonce dans le vagin de « l’homme » et le deuxième membre plus conséquent est destiné à bourrer la partenaire.
-Vient ici Marie-Claude que je t’équipe; tu seras mon homme et j’espère que tu seras à la hauteur. De toute manière le martinet te remettra rapidement dans la cadence si tu ralentis. Allez enfile cela comme un slip.
Marie-Claude s’exécute et commence par s’enfoncer le sexe intérieur ce qui ne manque pas de la faire frissonner car il est long et vient heurter le fond de sa matrice.
Ensuite elle attache les sangles mais Joana vient derrière elle et les serre bien plus que ce qu’avait fait Marie-Claude. Les lanières pénètrent dans ses chairs notamment celle qui passe entre ses deux fesses et son clitoris est totalement pris dans le support en cuir qui tient les deux membres assemblés en opposition.
-Bien, maintenant marche un peu dans la chambre que je vérifie le montage.
Marie-Claude marche de long en large, les mains sur la tête comme le lui a indiqué Joana. Elle sent le sexe qui bouge dans son vagin et elle ne peut s’empêcher de frémir ce que remarque sa maîtresse.
Joana l’arrête et vérifie la tension des lanières. Elle resserre celle de la taille qui avait un peu bougée.
-Et maintenant viens me montrer ton coup de rein, j’espère qu’il fera au moins aussi bien que celui de tes amants de cet après-midi.
Joana s’est allongée confortablement sur le lit, a écarté lentement ses cuisses tout en se caressant la vulve qui est luisante sous la lumière. Elle replie ses jambes tout en creusant ses reins et Marie-Claude voit apparaître nettement l’anus et la vulve couverte d’un fin duvet noir. Elle reste un moment immobile devant cette vision anatomique mais la voix rauque de Joana qui l’invite à la pénétration la ramène à la réalité. Elle s’avance à genoux sur le lit et s’allongeant doucement entre les cuisses musclées de Joana fait lentement glisser son membre dans le vagin de sa partenaire. Joana gémit de plaisir et attrape les seins de Marie-Claude qu’elle malaxe doucement. Leurs souffles se mêlent et Joana pousse un petit cri de plaisir quant le sexe de Marie-Claude touche le fond du paradis.
Marie-Claude embrasse Joana qui se laisse faire, mais elle sait qu’elle ne pourra pas renverser les rôles sans son consentement. Rapidement, Joana reprend le dessus et mord la langue de Marie-Claude qui à son tour pousse un cri de douleur.
-Ne croit pas que tu vas me vaincre petite salope, maintenant que tu as bien compris la leçon, bouges toi et fait moi jouir toute la nuit si tu peux. ne t’inquiètes pas, je saurais ranimer ta flamme si tu te laisses aller.
Marie-Claude commence à donner des coups de reins maladroitement d’abord mais les minutes passant, elle améliore sa technique et bientôt elle entend Joana roucouler de plaisir et qui l’encourage de la voix.
-Vas-y, baise moi, oui comme cela, tu vaux presque mieux que Mike, pourtant celui-là quand il me bourre c’est un génie. Oui continue, Ahh! encore salope plus vite ou je te fouette, Ahh...oui! oui! Ahhhhh un premier orgasme foudroie Joana qui a du mal à reprendre son souffle. Mais Marie-Claude continue comme elle en a reçu l’ordre. De son coté elle n’est pas insensible à ses propres coups de rein. Lentement le plaisir monte en elle sans qu’elle puisse le refouler. Si elle jouie maintenant, elle ne pourra plus baiser Joana et elle sera fouettée, mais d’un autre coté si elle ralentie le rythme, elle sera également fouettée. Alors tant pis, autant prendre du plaisir et on verra bien ce qui arrivera. Il ne lui faut pas longtemps pour atteindre le même niveau de plaisir que Joana et un violent orgasme l’emporte à son tour. Elle s’écroule haletante sur Joana qui la serre dans ses bras en l’embrassant.
-Eh bien ma salope, tu ne t’embêtes pas toi non plus, mais maintenant il faut continuer ce n’est que le début, la nuit est encore longue.
Lentement Marie-Claude recommence à donner des coups de reins qui maintenant sont bien ajustés et elle sent que Joana est repartie dans son plaisir.
La suite lui donna raison et de longues heures durant elle fut l’amant de Joana qui enchaîna orgasme après orgasme, et chaque fois que Marie-Claude ralentissait le martinet lui redonnait du courage. Ses fesses étaient rouges mais ce n’était pas le souci de Joana; seul son plaisir lui importait.
Après plusieurs heures de plaisir continu, Joana renversa Marie-Claude sur le coté du lit et commença à détacher le double sexe.
-A moi de jouer maintenant
et joignant le geste à la parole elle enfile à son tour le gadget et retournant Marie-Claude comme une crêpe, elle lui écarte largement les cuisses, lui ramène les bras dans le dos qu’elle attache avec une petite cordelette. Puis elle prend de la vaseline et tartine joyeusement l’anus de Marie-Claude qui, comprenant ce qui va lui arriver essaye de se sauver mais Joana a vite fait de la calmer et la couleur de ses fesses prend une nouvelle fois la couleur rouge vif.
-Voyons voir si ton cul sait se montrer aussi souple que ton vagin.
Elle s’allonge sur Marie-Claude et poussant son nouveau sexe d’un bon coup de rein elle encule Marie-Claude d’un coup sec. Marie-Claude hurle de douleur ce qui a le don d’exciter Joana.
-Oui, tu as raison de hurler mais garde ton souffle ce n’est qu’un avant goût de la suite. Ton cul doit m’appartenir aussi alors détends toi et profites
Plus facile à dire qu’à faire et les premiers coup de queue de Joana dans son anus sont relativement douloureux, mais petit à petit le cul de Marie-Claude s’adapte à son nouveau maître et elle commence à ressentir les prémices d’un plaisir qui s’annonce intense bien que différent de ce qu’elle a connu jusqu’à présent.
La main de Joana s’est glissée sur son clitoris qu’elle branle doucement et bientôt Marie-Claude entre dans une transe que Joana maîtrise parfaitement. Elle accélère ou ralentie les coups de queue selon la montée du plaisir de sa partenaire. Elle la maintient ainsi au bord de l’orgasme sans jamais la faire basculer. mais la nature est ainsi faite que cette situation ne dure pas très longtemps et Marie-Claude entre dans un formidable orgasme anal que Joana accompagne en la branlant encore et encore.
-Oh Joana, je t’aime, jamais avant toi je n’avais ressentie un tel plaisir. Demandes moi ce que tu veux, j’obéirais, je t’appartiens désormais. Oh oui encore branles moi, c’est si bon. Oui encore.
Marie-Claude est secouée de petits orgasmes et de grands frissons qui parcourent sa colonne vertébrale de bas en haut et de haut en bas. Quel plaisir, quelle leçon d’amour vient-elle de recevoir. Jamais elle ne l’oubliera.
Joana la détache et retire son sexe, elle le tend à Marie-Claude et lui donne l’ordre de le remettre ce que fait Marie-Claude. C’est au tour de Joana de s’allonger sur le ventre en écartant les jambes.
-A toi de me faire goûter les plaisirs de la sodomie, mais n’oublie pas la vaseline.
Marie-Claude s’empare du tube de vaseline qui traînait sur le lit et pose une grosse goutte de ce produit miraculeux sur son index. Elle l’enfonce délicatement dans l’anus de Joana qui se cambre involontairement tout en appréciant la pénétration. Marie-Claude lui masse l’anus doucement et plusieurs fois de suite elle recommence l’opération de lubrification préliminaire. Puis elle s’allonge sur sa maîtresse et la pénètre doucement en s’arrêtant chaque fois qu’elle sent une résistance des muscles annulaires. Finalement elle encule complètement Joana qui gémit doucement. Marie-Claude commence ses va et vient comme Joana le lui a montré tout à l’heure et les mêmes causes provoquant en général les mêmes effets, c’est au tour de Joana de connaître les spasmes orgasmiques suivi de frissons lombaires qui ne semble plus finir.
Plusieurs fois elle a crié le nom de son amant, ses mains se sont refermées sur celles de Marie-Claude et se pourrait il qu’elle l’aime ? Marie-Claude ne sait plus trop quoi penser mais les coups de martinet qu’elle a déjà reçus la rendent prudente. Joana s’est dégagé de l’emprise de Marie-Claude et l’a attirée contre elle.
-Viens là ma douce esclave, tu m’as donné un merveilleux plaisir que je n’oublierais jamais. Je t’aime mais tu resteras quand même mon esclave car c’est comme cela que je t’aime. Douce et obéissante, soumise à mes ordres et capable de me faire jouir et de jouir aussi.
Tout en disant cela Joana couvre Marie-Claude de petits baisers sur son cou, ses seins, ses lèvres et ses doigts la caresse amoureusement.
Marie-Claude ne sait plus quoi penser. Elle veut bien Joana comme amante et faire l’amour avec elle mais doit-elle pour cela être son esclave ? Bien sûr cette idée l’excite mais la gêne aussi. Joana a senti ses réticences et lui propose d’aller boire un verre au salon ensemble, ce qu’elle font en se tenant par la main. Mais Marie-Claude a toujours son sexe mâle attaché entre les jambes, ce que Joana trouve très bandant. Marie-Claude fait le service et les deux filles boivent une bonne coupe de champagne bien frappé.
Joana lève son verre à la santé de Marie-Claude qui fait la même chose de son côté et ce verre scelle leur couple. Marie-Claude sans vraiment s’en apercevoir a basculé du côté de Joana et leurs relations futures seront marquées par cette folle nuit.
-Bien, allons nous coucher maintenant, il ne nous reste plus que trois heures à dormir avant de reprendre le boulot. Viens ici Marie-Claude, tu dormiras au pied de mon lit. Tu gardes ton sexe mais défense de jouir sans mon autorisation, c’est bien compris ?
-Oui, j’ai compris, mais où est le matelas, je ne vois rien.
-Attrape le sous le lit et si tu veux dormir dessus gonfles le !
Marie-Claude s’exécute et durant de longues minutes elle souffle dans le tube qui permet de gonfler le matelas sur lequel elle fini par s’allonger et s’endormir très vite d’un sommeil lourd, peuplé de rêves pas toujours très sages.
Dimanche 4 novembre
7
04
/11
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15:56
Des minutes, des heures peut-être se sont écoulées depuis leur joute amoureuse, mais Marie-Claude n’en a cure. Son corps s’est séparé de son esprit qui flotte quelque part loin dans un monde radieux, plein de calme et de volupté. Plus de douleur, plus de sensation c’est la détente absolue que seul l’amour peut vous apporter sans danger. On peut le consommer sans modération !
Elle somnole avec ses deux amants qui dorment comme des enfants. Rien ne semble vouloir troubler leur sommeil en cette fin d’après-midi. Marie-Claude, elle, éprouve le besoin de bouger, elle a envie d’uriner et il y a urgence. Elle se lève aussi doucement que possible, sans réveiller les deux autres. Ils sont mignons comme cela ; cette pensée la fait sourire, mais elle espère néanmoins qu’ils retrouvent rapidement des forces.
Sans tirer la chasse d’eau pour ne pas faire de bruit, elle se glisse dans la cuisine car elle a un petit creux. Dans le frigo elle trouve son bonheur, du fromage et des yaourts qu’elle entame de bon appétit.
Deux coups frappés à la porte d’entrée la tire de sa rêverie et elle se lève pour aller ouvrir mais s’arrête aussitôt car elle est entièrement nue. Les coups recommencent.
-Mike tu es là, c’est Joana dit une voix féminine ?
Marie-Claude se décide à répondre car elle a fait tomber sa cuillère par terre et le bruit n’a pas échappé à l’inconnue qui renouvelle son appel.
-Un instant j’arrive, répond Marie-Claude tout en retournant dans la chambre pour récupérer un T-shirt, celui de Mike, qui lui arrive aux genoux.
Marie-Claude ouvre la porte et se trouve nez à nez avec une superbe femme noire d’environ 25 ans qui est aussi surprise qu’elle.
-Bonjour, tu es qui toi ? Qu’es ce que tu fait dans cette tenue chez moi?
-Euhhh, salut répond Marie-Claude en rougissant, je suis Marie-Claude, une amie de Mike et Antoine.
-Une amie de mon mari et quasi à poil, tu plaisantes j’espère ?
-Attendez je vais vous expliquer.
-Pas la peine, mon chou, j’ai compris. Mike t’a emmené ici et tu t’es faite enfilée par ces deux bons à rien. Bravo. Ils t’ont bien baisé au moins, Mike n’est pas mauvais quand il veut bien s’en donner la peine.
Tout en parlant elle s’est approché de la chambre pour jeter un oeil et elle aperçoit les deux hommes endormis.
-Eh bien ma salope tu les a bien eu on dirait. Moi qui venait me détendre un peu, c’est râpé. A moins que...
Sa phrase est restée en suspend mais ses yeux ont parlé pour elle. Elle plante son regard dans celui de Marie-Claude et lui ordonne brusquement de se déshabiller.
Marie-Claude, interloquée hésite une seconde mais une paire de gifles la réveille d’un coup et elle enlève le T-shirt aussi vite qu’elle peut.
-Mets tes mains derrière ton dos. Oui comme cela, c’est bien.
Les seins de Marie-Claude se dressent fièrement, mais ce n’est pas ce qui intéresse Joana pour le moment. Elle passe derrière Marie-Claude et lui attache les mains avec une ceinture qui traînait sur une chaise. Elle serre très fort le lien ce qui fait gémir Marie-Claude.
-Gardes ton souffle pour tout à l’heure, tu en auras besoin. Elle enlève sa robe et, tout en étant derrière Marie-Claude, elle commence à la caresser, le dos puis les cuisses qu’elle écarte très largement, puis les fesses entre lesquelles elle glisse un doigt autoritaire. Mais il glisse dans l’anus de Marie-Claude grâce au sperme d’Antoine et Joana pousse un grognement de satisfaction en enfonçant le doigt au plus profond de son intimité. Marie-Claude gémie de plaisir ou de douleur, elle ne sait déjà plus. Son anus vibre sous les caresses de Joana, c’est une experte en enculage, elle connaît cette grotte ténébreuse, et en explore les milles et une facettes. Marie-Claude est écartelée et sa chatte se mouille de plus en plus. Joana en a conscience, et elle insiste tout en explorant le vagin de Marie-Claude avec son autre main.
Ce petit jeu continu longtemps et Marie-Claude est totalement soumise à la volonté de Joana.
-Je crois que tu es une bonne affaire finalement, voyons voir si ta langue est douée pour les caresses. Viens ici.
-Oui madame, répond Marie-Claude qui se souvient de la gifle qu’elle a reçue.
-Ah, c’est bien, je vois que tu apprends vite. D’ailleurs cela me donne une idée. Je pense que je vais t’utiliser autrement. Et aussitôt dit, elle s’approche de Marie-Claude pour la détacher et l’envoie se rhabiller en silence. Marie-Claude revient avec tous ses habits et son sac à dos, mais Joana ne lui laisse que sa jupe et son chemisier. Pas de sous vêtements, pas de papier d’identité ni d’argent.
-Je te rendrais tout ça quand tu m’auras donné entièrement satisfaction, lui dit Joana.
Marie-Claude frémi de peur et de plaisir mêlés. Que lui voulait donc cette maîtresse femme ? La suite des événements allait lui apporter la réponse.
Dimanche 28 octobre
7
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20:47
Suite de: Marie-Claude, Jeune Fille Au Pair - Chapitre 3
Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis son arrivée dans cette famille et elle avait été bien occupé par les enfants d’une part et par Madame Taylor d’autre part qui avait tenu à lui montrer toute la maison et toutes les boutiques où elle avait l’habitude de se servir. Les jeux érotiques avec les enfants avaient été très limité du fait de son emploi du temps et de la surveillance étroite de leur mère. Elle voulait toujours savoir ce qu’ils faisaient. Il n’y avait que le soir qu’elle pouvait vérifier auprès de Marie et de John ses premières impressions et ma foi elle n’avait pas été déçue.
John se branler tous les soirs et il s’arrangeait chaque fois pour jouir juste à son arrivée ce qui donnait lieu parfois à des situations excitantes. Il demandait à Marie-Claude de lui sucer les doigts gluants de sperme, ce qu’elle faisait par jeu, en suçant lentement chacun d’entre eux ce qui avait le don de le faire bander à nouveau. De temps en temps elle prenait alors son sexe entre ses doigts et par de longs mouvements en alternance avec de savants coups de langue elle faisait jouir le petit John qui donnait de grands coups de rein dans le vide en gémissant de plaisir. Après cela, c’est lui qui suçait les doigts de Marie-Claude tout en s’endormant car ces doubles jouissances l’épuisait.
Pour Marie, le coucher était différent. Il donnait lieu à des caresses plus précises, mais pour lesquelles les deux filles devaient faire très attention car la chambre des parents était contiguë à la sienne. Et c’était assez fréquent qu’elles soient obligées de s’interrompre en pleine montée de plaisir car les parents arrivaient. Dans ces cas là, elles en étaient réduites à se branler chacune de leur coté en rêvant à des lendemains meilleurs.
Tout cela laissait Marie-Claude sur sa faim et elle commençait à rêver à des queues bien chaude et bien grosse avec lesquelles elle pourrait jouer toute une nuit. Mais la seule queue à portée de sa main était celle de Monsieur Taylor et elle était inaccessible. Madame Taylor surveillait et se charger de réduire les envies de Monsieur bien au-delà du raisonnable. Les bruits qu’elle entendait à travers les murs, de l’autre coté du couloir, étaient assez éloquents. Madame Taylor avait du tempérament et entendait être satisfaite par son époux aussi souvent que possible et même davantage.
C’est dans cet état d’esprit de frustration accumulées et d’envies non satisfaites que Marie-Claude arriva à son premier week-end de liberté depuis son arrivée à Lyon.
Elle décida donc de partir en chasse et de se farcir le plus grand nombre possible de mecs durant ces deux jours. Elle choisit ses vêtements en conséquence : pas de lingerie fine, des chemisiers suffisamment transparents pour avoir l’air décents, pas de pantalons mais des jupes courtes très moulantes également. Dans le car qui l’amenait vers le centre ville les regards des passagers étaient éloquents mais pas un seul n’osa l’approcher. Ils étaient intimidés par cette jeune fille à l’air si décidé.
-Mince se dit-elle, je leur fais peur. Il faut que je change d’attitude sinon personne ne viendra me draguer.
En descendant du car, elle prit donc un air de jeune fille sage pour marcher dans la rue. Le petit sac à dos qu’elle portait marquait ses seins en les faisant pointer à travers la mince épaisseur du chemisier. Les bouts étaient dressés et cela se voyait. Sa vulve était humide et elle sentait le plaisir monter en elle. Elle entra dans le grand magasin devant lequel elle se trouvait, suivi par deux jeunes gens très intéressé par sa silhouette. Elle les avait repérés et ma foi les trouva plutôt mignons surtout le black. Les grandes manoeuvres avaient commencé. Elle décida de les laisser faire.
Au troisième étage du magasin, ils se décident enfin à passer à l’attaque Il y a moins de monde et volontairement elle se dirige vers le coin le plus isolé. Ils sont près d’elle et le grand black l’interpelle :
-Salut, comment tu t’appelles ? Je ne t’ai jamais vu par ici.
-Marie-Claude, c’est mon prénom dit elle en rougissant légèrement. Cette demande directe l’a un peu désarçonné mais elle se ressaisi très vite.
-Et vous deux c’est quoi vos prénoms,
-Antoine et voici mon pot Mike dit le deuxième garçon.
-Ravie de vous connaître. C’est vrai c’est la première fois que je viens à Lyon, je suis jeune fille au pair dans une famille anglaise. C’est mon premier
week-end de liberté. J’en profite pour me balader.
-On serait ravi de te servir de guide lui dit Antoine en s’inclinant avec un large sourire.
-OK j’accepte très volontiers. Je suis un peu perdue dans cette ville.
-Et si on allait boire un verre plutôt que de rester dans cette boutique. Il fait une chaleur à crever.
-D’accord Mike on y va dit-elle, je vous suis.
Ils passent devant elle et ils rejoignent rapidement la rue et entrent dans un bar situé un peu plus loin sur le même trottoir.
-Qu’est ce que tu bois ? lui demande Antoine.
-Un jus de fruit et vous ?
-De la bière pression.
Le garçon repart avec la commande et revient bientôt avec un plateau chargé de trois verres. C’est Mike qui paye et le garçon les laisse seuls. Ils ont choisi un coin discret du bar où on ne les voit pas du comptoir. Marie-Claude est très excitée et sa vulve est très humide. Elle a envie qu’ils la touchent mais ils n’osent pas encore. C’est elle qui engage la conversation.
-Vous faites quoi dans la vie
-Nous sommes étudiants tous les deux à la fac de lettre. Et ils lui racontent leur vie d’étudiants. Les cours, les soirées, la petite chambre de cité U. C’est surtout Antoine qui parle. Mike lui s’est collé contre Marie-Claude et il a de plus en plus chaud. Marie-Claude a vite réagi à ce contact et la main de Mike est maintenant sur sa cuisse et remonte lentement vers le point le plus chaud. Les cuisses de Marie-Claude se sont ouvertes et le doigt de Mike caresse lentement sa vulve. Elle mouille tout en gémissant. Vite qu’il se dépêche. Qu’il la fourre là sur la table si il veut. Elle veut sa queue dans son ventre mais n’ose pas lui dire comme cela.
Antoine s’est tu. Il a compris la situation et vient se placer de l’autre coté de Marie-Claude et il s’empare de ses seins qu’ils pétri avec douceur mais fermeté. Marie-Claude écarte largement ses cuisses et Mike peut la pénétrer avec deux doigts qu’il fait aller et venir dans sa vulve en feu. Antoine n’a pas perdu de temps non plus et sa langue fouille la bouche de Marie-Claude qui ne lui résiste pas. Elle s’abandonne complètement à leurs caresses. Ses mains n’ont pas perdu de temps et elle tient une queue dans chaque. Les formes sont différentes mais elles sont aussi chaude l’une que l’autre. La taille de celle de Mike est particulièrement imposante. Elle les sent prêtes à jouir mais cherche à faire durer le plaisir de ses partenaires.
Mike le premier a réagi. Il écarte doucement ses doigts de la vulve de Marie-Claude et lui murmure à l’oreille
-Je crois que nous ferions mieux d’aller chez moi nous serions plus tranquilles.
Elle émerge doucement et ouvre les yeux comme si elle sortait d’un rêve. Après quelques secondes, elle a enfin compris la remarque de Mike et acquiesce avec un sourire.
-Tu as raison Mike, allons chez toi nous pourrons faire tout ce dont nous avons envie.
Il réajustent leurs vêtements, finissent leurs verres et sous l’oeil amusé du garçon, quittent le bar en se tenant tous les trois par la taille.
Le trajet vers l’appartement de Mike en car leur semble particulièrement long même si en réalité il de dure qu’un quart d’heure. Pendant tout le trajet ils n’ont pas cessé de la serrer de près et s’ils avaient osé ils l’auraient baisé sur place. C’est donc dans un état d’excitation porté à son plus haut niveau qu’ils entrent chez Mike. Les deux garçons l’entraînent sans un mot dans la chambre et en moins de temps qu’ils ne faut pour le dire elle se retrouve allongée sur le lit, complètement nue et les cuisses largement écartées par les mains autoritaires d’Antoine.
-Vas y Mike commence, elle est prête tu peux la fourrer sans problème. Mike a juste fini de se déshabiller et, sa queue congestionnée se dresse telle un épieu devant la vulve de Marie-Claude qui pousse un petit cri devant un tel engin.
-Doucement s’il te plaît, j’ai peur que tu ma fasse mal murmure-t-elle à l’adresse de Mike. Ca fait longtemps que l’on ne m’a pas baisé.
Mais Mike n’en a cure, au contraire, les craintes de Marie-Claude ne font que l’encourager dans sa démarche et, de toute façon, Antoine la maintien fermement. Il s’approche d’elle et guide son sexe vers la grotte humide. Le gland énorme appuie sur les lèvres de la vulve et d’un geste lent mais ferme il s’enfonce dans le ventre de Marie-Claude qui pousse un long gémissement fait de plaisir et de douleur mélangés. Elle sent le sexe de Mike qui la pénètre, bousculant son petit vagin glissant sur les parois humides jusqu’au plus profond d’elle même.
Quand la queue de Mike touche le fond du vagin elle s’arque boute pour résister mais Mike et sans pitié. Il la maintien fermement en lui bloquant les main au-dessus de sa tête et commence de savants va et vient qui ont le don de faire vibrer Marie-Claude au plus profond de son être. Elle voulait une queue, elle est servie.
Les coups de queue se font de plus en plus rapides et son vagin s’est parfaitement adapté à son invité Elle suit le rythme imposé par Mike et le plaisir l’envahit complètement, ses reins sont brûlants, elle crie, elle gémie.
-Non plus vite, oui continu, tu me tues, c’est bon encore; sa tête roule dans tous les sens, Ahhh encore, ouiiii; Bon sang que c’est bon encore, ouii Ahhhh.
De mini orgasmes la secoue, elle bave de plaisir, elle ne sait plus où elle est, avec qui, son univers se résume à cette queue qui va et vient.
Antoine a libéré ses jambes et elle peut maintenant s’en servir pour entourer le torse de Mike. Son plaisir s’en trouve augmenté et elle suit son rythme.
-Antoine qu’est ce que tu fait ? Cria-t-elle d’un seul coup. Elle a senti un doigt qui s’enfonce dans son anus et cela l’a surprise.
-Je t’encule ma belle, les pouliches dans ton genre sont faites pour tout accepter; et joignant le geste à la parole il enfonce un deuxième doigt dans son cul. Marie-Claude à poussé un cri mais vite étouffé par un baiser de Mike dont la langue fouille sa bouche avec ardeur. Elle est prise de tous les cotés et dans un dernier sursaut elle s’abandonne complètement à ses deux amants. Elle est prête à tout maintenant, tout ce qu’elle veut c’est jouir, jouir toute la nuit sans s’arrêter.
Son premier orgasme la prend par surprise et lui coupe le souffle. Tout son corps a vibré et un long frisson l’a parcouru des pieds à la tête. Mike ne s’est pas arrêté pour autant. Il continu à la fourrer mais d’un mouvement de reins puissant il la fait passer sur lui et elle se retrouve à cheval sur sa queue. Antoine a suivi le mouvement avec ses doigts et il peut sentir la queue de son ami à travers la cloison vaginale. Mais ce n’est pas ce qu’il veut faire. Maintenant que l’anus est dilaté, il retire ses doigts et s’emparant d’un tube de vaseline, il en badigeonne l’entrée généreusement. D’un geste rapide il a sorti sa queue qu’il introduit dans l’anus de Marie-Claude. Elle pousse un cri de douleur mais une grande claque sur les fesses lui fait comprendre qu’elle n’a rien à dire. Mike rigole.
-Ca y est, tu l’a eu, depuis le temps que tu rêvais d’enculer une jolie fille, tu as réussi. Et maintenant voyons ce qu’elle a dans le ventre. Vas y défonce la, je te suis.
Marie-Claude sent les deux queues se mouvoir alternativement dans son cul et son vagin. La sensation est énorme, elle se sent complètement à nu, son intimité la plus secrète vient d’être profané et ....elle aime ça. Les mouvements des garçons s’accélèrent et elle les suit aussi vite qu’elle peut. Elle a perdu toute notion de la réalité, seule compte la jouissance qu’elle sent monter en elle forte, puissante, gigantesque, comme jamais elle n’en a connue. Mike et Antoine ne sont pas en reste, eux aussi sont parcouru de frissons, ils ont chaud dans les reins et jusqu’aux doigts de pieds qui s’écartent comme pour mieux absorber ce qui se prépare.
-Ahhhh oui, c’est bon, c’est la, ouii bon Dieu elle est bonne cette fille; c’est Mike qui vient d’exploser dans le vagin de Marie-Claude et elle sent la liqueur chaude l’inonder et ruisseler sur ses cuisses.
Dans les minutes qui suivent c’est le tour d’Antoine qui lui rempli le cul d’une liqueur chaude et gluante tout en serrant convulsivement les seins qu’il tenait entre ses mains depuis le début de cette séance de sodomie.
Ces mouvements ont le don d’exciter Marie-Claude qui se sent partir dans un orgasme qui sans être très fort est beaucoup plus long que le précédent ce qui lui permet d’en profiter pleinement tout en appréciant les mouvements alternés des deux queues qui n’ont pas cessés pour autant.
Au bout de quelques minutes, épuisés, vidés, leurs corps se séparent et ils roulent tous les trois sur le lit de Mike, pêle-mêle en essayant de retrouver leur souffle.
Lundi 8 octobre
1
08
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03:31
Les enfants ont deviné avant leurs parents que la jeune fille qui approchait avec un regard interrogateur était celle qu’ils attendaient avec impatience. Une nouvelle nurse pour s’occuper d’eux tous les jours, et de plus, elle est très belle. Ils se précipitent vers elle au grand dam de leur mère qui souhaiterait un peu plus de retenu de leur part.
La fille et le garçon arrivent à hauteur de Marie-Claude et lui demandent timidement si elle s’appelle bien Marie-Claude .
-Oui, c’est exact, et vous c’est John et Marie n’est ce pas ?
-Oui, oui, papa, maman, c’est elle je vous l’avais bien dit, s’écrit John en repartant en courant vers sa mère
-Du calme fiston, lui dit le père, il faut être poli quand même!
Il tend sa main à Marie-Claude pour l’accueillir tout en lui disant :
-Veuillez excuser les enfants mademoiselle, ils étaient tellement impatients de vous voir. Voici mon épouse Julia et moi même je me prénomme Harris. Vous c’est Marie-Claude ?
-Tout à fait, oui, enchanté de faire votre connaissance.
-Le voyage a été bon, lui demande la mère ?
-Oui, très bon, un peu fatiguant tout de même dit-elle en rougissant légèrement, ce qui n’a pas échappé au regard aiguë du père.
Tiens tiens, se dit-il, le jeune homme qu’elle saluait tout à l’heure à travers la vitre y serait-il pour quelque chose ? Bah, ce n’est pas mon problème, elle est jeune et belle et a bien le droit de s’amuser un peu quand même.
Ils repartent tous ensemble vers le parking où la voiture familiale est garée. Les bagages de Marie-Claude sont placés dans le coffre et Marie-Claude monte à l’arrière entre les deux enfants qui se serrent contre elle. Il manque un peu de place à l’arrière.
La maison des Taylor se trouve dans la banlieue Est de Lyon et le trajet dure environ une heure compte tenu des embouteillages inévitables en fin
d’après-midi. Elle apprend que les Taylor sont en France depuis quelques semaines pour le travail du père dans une filiale de la société anglaise dans laquelle il travaille. Il doit faire de nombreux voyages d’affaires et sa femme l’accompagne régulièrement. C’est pour cela qu’ils ont besoin d’une jeune fille au pair, sérieuse et capable de s’occuper des enfants pendant leurs absences.
Ils parlent de choses et d’autres, notamment de l’expérience de Marie-Claude comme garde d’enfants dans d’autres familles, de ses talents de cuisinière qui ne sont pas très développés mais suffisant pour nourrir des enfants pendant quelques jours. Ses références, qu’elle a données dans sa lettre de candidature, ont satisfait les Taylor et c’est pour cela qu’ils l’ont embauchée. Elle est toutefois à l’essai pendant un mois pour voir si les enfants l’acceptent.
Pour le moment, cela n’a pas l’air de poser de problème car John s’est endormi la tête sur son épaule ou plutôt son sein droit qu’il écrase un peu, et la main posée sur sa cuisse avec une tendance nette à aller vers entrejambe de Marie-Claude. Elle est d’ailleurs légèrement troublée par l’attitude pour le moins équivoque du garçon. Quant à la fille elle lui a carrément pris la main qu’elle caresse discrètement. La main de Marie est brûlante et cela trouble aussi Marie-Claude. Vu l’âge des enfants, la situation lui apparaît comme ambiguë. Sont-ils entrain de la séduire ou est-ce de l’innocence naturelle ? Elle n’est tout de même pas absolument insensible à ces attouchements discrets et elle se retient pour ne pas y répondre. Mais la nature est ainsi faite que son corps réagi malgré elle. Sa main dans la main de Marie est chaude aussi et elle se surprend à répondre aux caresse de la jeune fille qui manifestement s’échauffe de plus en plus. Marie-Claude voit les cuisses de Maris bouger à travers sa robe rouge et les mouvements ont tendance à s’accélérer au fur et à mesure que les minutes s’écoulent.
La pression des mains de Marie s’accentue de plus en plus et elle l’entend respirer plus vite. Si Claude ne l’avait pas vidé une heure auparavant, elle serait sûrement en train de caresser la fille en douce. Mais là, franchement sa vulve ne répondait plus. Eteinte pour quelque temps! Marie par contre semblait en pleine forme et elle continuait à se masturber en contractant les muscles vaginaux à un rythme de plus en plus rapide. Elle avait découvert ce plaisir discret, un jour par hasard, au cours d’un voyage en voiture avec ses parents et depuis elle passait le temps comme cela. Les voyages lui semblaient beaucoup moins longs depuis cette découverte!
Aujourd’hui son plaisir était plus important car elle tenait la main de Marie-Claude qui, manifestement, l’aidait dans sa quête du plaisir. Cela promettait des moments très agréables dans les semaines à venir. En attendant elle sentait un orgasme puissant monter entre ses cuisses et l’envie de se branler la tenaillait, mais là, dans la voiture ce n’était pas possible. Aussi, elle continuait ses mouvements alternés et d’un seul coup l’orgasme libérateur fut là, lui explosant dans la tête, et provoquant dans son corps un énorme frisson qu’elle eut beaucoup de mal à contenir. Sa main avait écrasé celle d’Marie-Claude qui avait immédiatement compris ce qui se passait dans le corps de la jeune adolescente. Elle l’accompagna du mieux qu’elle pu en serrant très fort la main de Marie et en pressant sa jambe contre la sienne, tout en répondant aux questions des parents de Marie qui, eux, n’avaient rien remarqué.
Marie reprenait doucement son souffle, le regard vague encore, essayant de redescendre de son paradis. Elle sourit à Marie-Claude d’un air complice et ferma les yeux pour revivre ce moment d’intense émotion. Elle s’endort presque aussitôt.
Marie-Claude s’aperçut qu’elle était excitait à nouveau et que cette petite scène avec Marie l’avait remise en forme. Mais voilà il n’y avait pas de possibilité de satisfaire son envie renaissante, pas de sexe en vue, pas de verge à sucer ou branler et encore moins pour s’empaler dessus à grand coups de reins. Tant pis pour elle, ce soir elle se rattraperait avec son vibromasseur, cadeau de son vieil amant qui n’arrivait pas toujours à la satisfaire.
Mercredi 22 août
3
22
/08
/Août
02:41
«Mais c'est surtout dans les théâtres et leurs gradins en demi-cercle que tu chasseras: ces lieux t'offriront plus que tu n'en peux désirer. Là, tu trouveras de quoi aimer, de quoi lutiner, de quoi faire une conquête passagère, de quoi nouer une liaison durable. [...] Les femmes dans leurs atours se pressent aux jeux où va la foule. C'est pour voir qu'elles viennent; mais elles viennent aussi pour être vues: l'endroit est dangereux pour la chaste pudeur.»
Ovide (43 av. J.-C. - 17 ap. J.-C.), L'Art d'aimer
Samedi 21 juillet
6
21
/07
/Juil
21:47
Le train venait de s’arrêter dans une gare de moyenne importance et des voyageurs étaient montés en partance pour Lyon ou Paris. La porte du compartiment dans lequel il était installé s’ouvre sur une ravissante jeune fille d’environ 20 ans, blonde, avec un petit nez retroussé Il a eu à peine le temps d’enregistrer ces détails que son regard est attiré comme par un aimant, vers le chemisier de la jeune fille. Bon sang se dit-il, je n’ai jamais vu de seins aussi pleins et pointus Elle n’a pas de soutien gorge ma parole. Dieu que c’est beau. Et aussitôt il sent une nouvelle fois sa queue bondir dans son jean et heurter la fermeture éclair.
-Vous pouvez m’aider à mettre ma valise dans le filet à bagages s’il vous plaît?
La fille a parlé mais il met quelques secondes à réagir tellement il est ému.
-Euh..oui, bien sûr; il empoigne la valise et, sans effort la pose dans le filet
au-dessus de lui. Voilà c’est fait.
A cet instant le train redémarre avec une petite secousse qui oblige la fille à se raccrocher à lui pour éviter de tomber. Il la rattrape et son regard tombe sur l’ouverture du chemisier, ce qui lui permet d’admirer deux magnifiques seins fiers et bronzés qui ne demande qu’à se laisser caresser. Le parfum de la jeune fille lui monte à la tête d’un seul coup et il bégaye plus qu’il n’articule un « excusez-moi, c’est le train qui... ». Sa phrase reste en suspend devant le sourire de la jeune fille. C’est le même que celui de sa cousine quand elle jouissait dans ses bras.
-Ce n’est pas grave, et merci pour la valise.
Elle s’est assise en face de lui légèrement décalée de façon à ne pas toucher ses pieds par inadvertance. Elle sort un livre de son grand sac à main et commence une lecture attentionnée sans se préoccuper de Claude qui n’en peut plus dans son jean décidément trop étroit. La couverture du livre est masquée par un couvre livre et il n’arrive pas à savoir ce qu’elle lit. Il voudrait bien lui parler mais n’ose pas la déranger. Elle a l’air tellement absorbée par sa lecture qu’elle l’intimide. Il reprend donc le fil de ses pensées tout en regardant à la dérobée les pieds de sa voisine. Au bout d’un moment, il est surpris par leur mouvement. La fille les croise, les décroise, les frotte l’un sur l’autre comme si... Son regard remonte le long de ses jambes bronzées. Des mouvements imperceptibles les agitent, les genoux se frottent , les cuisses se contractent parfois. Non, se dit-il, je rêve, elle est en train de se masturber, comme sa cousine l’avait obligé à faire un soir dans le dos de ses parents devant la télé. Elle l’avait forcé à coincer sa queue entre ses cuisses et, par un lent mouvement de va et vient, à le faire jouir au bout d’une bonne demi-heure sans émettre le moindre son ni le moindre mouvement suspect. Il avait profité d’un bruit plus fort à la télé pour lâcher son sperme entre ses jambes et, ensuite, il avait dû s’essuyer avec les doigts que sa cousine suçait voluptueusement.
Ce souvenir avait ravivé son excitation et maintenant il bandait dur comme fer et sa culotte en était humide. Comme si elle avait deviné ses pensées, la fille lève les yeux de son livre et surprend son regard sur son entrejambes. Il rougit violemment et réussi à articuler quelques mots histoire de sauver la face.
-Votre livre est intéressant ?
Les yeux bleus de la fille sont brillants, un petit air coquin les anime :
-Oh oui dit-elle, en souriant
-Et de quoi s’agit-il ?
-Un roman du Marquis de Sade, vous connaissez cet auteur ?
-Bien sûr lui répond-il, et c’est lequel ,
-Justine ou les infortunes de la vertu
-Ah oui, je vois dit-il, ce n’est pas le meilleur paraît-il, mais l’histoire de cette jeune pucelle marquée du sceau des putains a quelque chose d’effrayant ou de comique. Cela dépend de l’état d’esprit du lecteur, ou de la lectrice. Qu’en pensez-vous ?
Elle ne répond que par un sourire qui a pour effet de ranimer sa flamme qui s’était un peu calmée durant la discussion. Ce sourire est à la fois angélique et plein de promesse, de sous-entendu.
Il a retrouvé un peu de son sang-froid et, profitant des bonnes dispositions de son interlocutrice il lui demande son prénom:
-Je me prénomme Marie-Claude, mon grand-père était suédois.
Il s’enhardit un peu et lui propose de venir s’asseoir à coté d’elle pour lire le livre ensemble. « Ca me rappellera des bons souvenirs, Ah au fait mon prénom est Claude, c’est moins exotique que Marie-Claude mais je l’aime bien »
Elle accepte sans hésiter son invitation et il soulève l’accoudoir placé à sa droite pour lui faire de la place. Maintenant son parfum lui monte à la tête et, avec les secousses du train, leurs jambes se touchent à intervalles régulier et de plus en plus rapprochés d’ailleurs. Malgré l’épaisseur de son jean, il sent la chaleur de ses cuisses, surtout que sa jupe légère est remontée assez haut quant elle s’est assise près de lui.
-J’en suis arrivé au chapitre au cours duquel elle est recueillie par les moines
-Ah, dit-il, c’est effectivement un passage assez ...relevé !
Puis ils se taisent, lisant chacun silencieusement le chapitre en question. Ne sachant pas trop comment placer son bras droit qui le gêne pour la lecture, il l’a posé sur les épaules de Marie-Claude, sans qu’elle proteste ou l’enlève.
-Je peux tourner la page lui demande-t-elle ?
-Euh..., oui, j’ai fini
Elle mouille son doigt sur sa langue rose et tourne la page lentement. Ils continuent à lire comme cela, page après page, doigt mouillé à chaque fois et sans prononcer une seule parole. Seule la chaleur de leur corps a augmentée et il la sent de plus en plus collée à lui. Au moment où elle lève son doigt pour la cinquième fois afin de tourner la page suivante, il bloque son geste avec sa main libre et, posant son index sur la bouche de Marie-Claude, lui ordonne d’une voix rauque,
-Suces mon doigt, c’est moi maintenant qui vais tourner les pages!
Surprise, mais déjà obéissante, elle prend dans sa bouche le doigt de Claude et le suce lentement, sur toute sa longueur, durant de longues secondes qui donne à Claude l’impression de durer une éternité. Il retire son doigt mouillé, luisant de la salive de Marie-Claude, et tourne la page du livre sulfureux. Leur lecture commune continue. Le bras droit de Claude serre davantage ses épaules attirant vers lui le corps brûlant de la jeune fille. Elle lui résiste un peu mais pas trop quand même. Il pourrait renoncer à ses projets qu’elle devine. Sa respiration s’est accélérée et il entend son cœur battre la chamade.
Ils continuent à lire mais, maintenant, chaque fois qu’il faut tourner la page, elle attend qu’il lui tende son doigt, qu’il le pose sur ses lèvres humides. Alors, doucement, elle l’avale et le suce longuement jusqu’à ce qu’il décide de le retirer. Il ne le retire pas d’un seul coup, non, il le retire, l’enfonce à nouveau, le retire jusqu’au bord des lèvres et l’enfonce à nouveau et cela plusieurs fois de suite simulant ainsi un coït buccal qui les excite au plus haut point. Marie-Claude sent que sa culotte est mouillée, elle ruisselle de foutre; jamais elle n’a bandé comme cela. Elle a envi qu’il la baise, là, sur le champ, dans ce wagon où la température est montée brusquement de plusieurs degrés. S’il le lui demande elle obéira sans discuter, sans un mot. Claude a deviné l’état de Marie-Claude. Il a senti le corps de la jeune fille se contracter de plus en plus alors que ses lèvres devenaient de plus en plus molle, de plus en plus humides. Une forte odeur de transpiration se dégage de son corps, comme cela se passait avec sa cousine quand elle bandait dans ses bras. Il connaît les filles depuis ces expériences passées. Il sait qu’elle est prête à tout pour se faire baiser et jouir, jouir pour relâcher la tension qui serre son bas-ventre.
Alors il se décide. Il enlève son bras qui entourait les épaules de Marie-Claude et, d’une voix autoritaire mais douce à la fois il lui ordonne de se lever et d’aller fermer la porte du compartiment et de tirer les rideaux. Le contrôleur est déjà passé, il n’y a plus d’arrêt avant Lyon. Il pense qu’ils ont plus d’une heure devant eux pour s’amuser un peu. Marie-Claude ne dit rien, elle attend les ordres. Il ne lui déplaît pas de se faire commander même si ce n’est pas dans ses habitudes. Une fois de temps en temps ce n’est pas désagréable. Sur son ordre, elle éteint la lumière et le compartiment est plongé dans la pénombre de cette fin de journée. Alors qu’elle à encore le bras levé vers l’interrupteur, il en profite pour détailler à nouveau sa silhouette. Superbe, cette fille est superbe, reste à savoir si elle tient ses promesses.
-Stop, ne bouges plus , lui dit-il, reste dans cette position avec un bras en l’air, oui comme cela, et maintenant tournes toi, que j’admire le coté face. Magnifique, enlèves ta jupe.
Elle la déboutonne lentement, la fait glisser le long de ses jambes bronzées sur lesquelles un léger duvet blanc apparaît. En passant d’un pied sur l’autre, elle l’enlève complètement et sur son ordre, la lui donne. Durant ce strip-tease improvisé, elle a quitté ses chaussures. Pieds nus sur la moquette du compartiment, elle attend les ordres. Lui pendant ce temps, a renifler le tissu de la jupe et l’odeur du sexe de Marie-Claude est là, présent !!
-Tu es très belle comme cela et cette culotte noire te va à ravir. Approches.
Elle s’avance vers lui et sur son invitation, elle s’assoit à califourchon sur ses genoux, écartant ainsi largement ses cuisses. Les mains brûlantes de Claude se posent dessus et remontent lentement vers son entrejambe, pour redescendre vers les genoux et remonter encore plus près de la culotte noire Finalement il la caresse dans entrejambe, au travers de la culotte, qui ressemble d’ailleurs plus à une éponge qu’à un vêtement sec. Elle est mouillée et Claude sent sous ses doigts les replis de la peau qui entoure sa vulve. Les petites lèvres roulent sous ses doigts agiles, sa cousine l’a bien éduqué. Ses caresses se font précises et Marie-Claude gémit, halète de plaisir retenu. Il s’arrête un peu, pour lui laisser reprendre un peu ses esprits.
-Tu es vierge? lui demande-t-il avec un sourire sur les lèvres.
-Non, cela fait bien longtemps que j’ai été dépucelée par mon petit ami de l’époque.
-A quel âge cela est arrivé ?
-J’avais 15 ans environ.
-C’est jeune, et il a fait ça bien au moins. Ce serait dommage de faire souffrir un bijou comme toi.
Elle sourit pour la comparaison et le rassure. « Oui ça s’est bien passé car il avait l’expérience des femmes. C’était un homme d’une vingtaine d’années, un vieux quoi ! ». Et elle rigole au souvenir de ce dépucelage.
-Tu es marié maintenant, fiancée peut-être ?
-Non, pas du tout, j’ai des amants pour satisfaire mes envies.
- Des amants! Combien, un régiment, une équipe de foot ? Claude est surpris, même s’il ne veut pas le laisser paraître.
-En ce moment j’en ai 3. Un très jeune, 16 ans, qui est inépuisable, une merveille, toujours près à bander et me défoncer la chatte quand l’envie me prend. Je lui téléphone et 5 minutes après, je suis dans ses bras et il me baise sans s’arrêter jusqu’à ce que je sois épuisée. Ca peut durer une heure voire plus certains jours. Le deuxième est un père de famille d’environ 45 ans pas très rapide mais un véritable artiste. Il est capable de me maintenir au bord de l’orgasme des heures durant tout en me baisant par tous les orifices de mon corps. Quand il m’encule je devient complètement folle et il fait de moi ce qu’il veut, je suis incapable de lui dire non. Le troisième est un retraité pas performant mais pas exigeant non plus. Par contre il sait se montrer très généreux et c’est intéressant surtout en fin de mois!
Claude est estomaqué et il ne peut s’empêcher de lui dire « Ben ma salope, tu ne t’embêtes pas toi au moins. On peut dire que ton cul et le trait d’union entre les générations ». Il éclate de rire en disant cela, et elle ri aussi.
Tout en lui parlant, Claude a continué à explorer le corps de Marie-Claude. Le chemisier fermé du départ n’est plus qu’un lointain souvenir, il est largement ouvert sur la magnifique poitrine de Marie-Claude. Ses seins sont maintenant entre les mains de Claude qui les pelote avec tout le soin nécessaire. Une large aréole brune entoure les pointes des mamelons qui, sous l’effet des caresses de Claude, sont largement dressés et ont durci sous ses doigts. Il les pétrit et les serre doucement entre ses doigts ce qui a pour effet de faire gémir Marie-Claude à chacune des pressions qu’il exerce à intervalles réguliers. Chaque fois elle a l’impression qu’il lui enfonce une aiguille dans le mamelon mais ce n’est pas douloureux, au contraire. C’est une onde de plaisir qui parcoure ses seins, puis son ventre pour se focaliser à la pointe du bouton qui orne l’entrée de sa vulve. Le clitoris de Marie-Claude est gonflé, tendu comme le sexe de Claude, du moins se l’imagine-t-elle puisqu’il ne lui a rien donné à voir ou à toucher encore
Marie-Claude n’en peut plus, elle veut jouir, sa chatte dégouline d’une liqueur odorante dont l’odeur commence à remplir l’étroit compartiment. Elle veut jouir et le lui dit en haletant les mots plus qu’en les disant « fais moi jouir, je t’en supplie, tu m’as eu, je suis à toi, mais fait moi jouir. Aaaah, c’est bon, continu, oui oui encore »
Mais lui ne presse pas, il alterne les caresses, celles qui l’amène au bord de l’orgasme et celles qui l’en éloigne. Cette science il l’acquise à ses dépends et maintenant il veut en tirer profit avec cette fille que le hasard lui a envoyé.
Marie-Claude est affolée par le plaisir lancinant qui vrille son bas-ventre, lui empli le sexe sans jamais déboucher sur l’orgasme libérateur. Son vagin se contracte au même rythme que les doigts de Claude et son anus fait pareil. Tout son corps bat au même rythme. Sa bouche est sèche à force de respirer par à-coups comme un petit chien, elle lui répète encore et encore « fais moi jouir Claude je t’en supplie, je suis à toi, fais ce que tu veux de moi, je t’appartiens, je suis ta reine , ton esclave , Aaah je veux jouir, encore, encore des caresses, là ne t’arrêtes pas, c’est bien, oui encore, encore Ooooh oui tu me fait du bien, serres moi fort oui, ouiii ». Mais une fois de plus il a ralentie le rythme et elle s’affaisse un peu frustrée de ne pas jouir, heureuse qu’il continue à la peloter, à la fouiller avec ses doigts magiques. Il l’attire vers lui et s’empare de sa bouche doucement d’abord, puis, de plus en plus avidement. Sa langue pénètre la bouche de Marie-Claude et exécute de savants va et vient. Il prend possession de sa langue, la domine, la maîtrise et finalement comme il a vaincu le corps de Marie-Claude il devient le maître de sa langue. Il la tient entre ses dents, sans serrer fort mais fermement quand même et il la suce comme elle lui sucerait la queue s’il le lui demandait.
Elle ne résiste plus du tout, s’abandonne complètement dans les bras de ce jeune homme qu’elle ne connaissait pas une heure auparavant. C’est fou, il a fait d’elle une esclave de l’amour dans ses bras. Lui est heureux. Il l’a vaincu par sa science des caresses et, intérieurement, il remercie sa cousine pour ses leçons.
Marie-Claude veut se branler car la tension dans son ventre est trop forte. Il faut qu’elle jouisse. Mais il bloque son geste et lui ramène les deux mains derrière le dos.
-Laisses tes mains comme cela sinon je t’attache, lui dit-il. Elle s’exécute sans broncher. Voyons voir dans quel état tu te trouves.
D’un geste lent il écarte la petite culotte noire et passe un doigt curieux sur les bords de son vagin. La vulve est mouillée, une vraie rivière, le clitoris est plus que gonflé, turgescent pourrait-on dire. Au contact de ses doigts, elle s’est remise à gémir. Les doigts de Claude glisse sans peine sur les chairs humides. Il enfonce un doigt dans son vagin et sent immédiatement une contraction. Il refait son geste plusieurs fois en imprimant un lent mouvement de va et vient à son index. Plusieurs minutes s’écoulent, rythmées par les cris et gémissements de Marie-Claude et le bruit du train sur les rails. Claude s’est accordé sur le bruit du train, il trouve le rythme à son goût. Marie-Claude elle aimerait être dans un TGV!
-Plus vite je t’en supplie, regarde ce que tu as fait de moi, plus Aaaah, plus vite, ouii encore accélère.
Jouir, elle veut jouir; ses jambes s’affolent, elle les écarte, veut aussitôt les refermer mais Claude la bloque et lui impose un grand écart en écartant ses genoux. Elle est au-delà de ce qu’elle fait d’habitude en gymnastique mais l’excitation l’a rendu très souple et ouverte à tout.
Claude retire ses doigts du vagin et, d’un geste rapide il l’encule avec son pouce et la pénètre à nouveau avec son index. Elle a poussé un cri quand il l’a enculée. Elle a eu mal, mais très vite le plaisir est revenu. Le pouce et l’index se touche à travers la cloison vaginale et Claude continu son petit jeu Sa main est inondée, le miel de Marie-Claude coule sur ses doigts. Voilà, se dit-il, elle est prête pour l’assaut final maintenant. Je peux la baiser sans problème. D’un geste rapide, il ouvre la fermeture éclair de son pantalon, déboutonne la ceinture et met à nu son sexe qui se redresse d’un seul coup et a pris des proportions gigantesque, enfin presque!
Marie-Claude le regarde avec envie et, sur l’ordre de Claude vient s’empaler sur le membre dressé avec un feulement de bête fauve. Les deux gémissent à l’unisson, trouvant un bonheur suprême à cette pénétration. Ils vibrent à l’unisson, réglant les coups de reins sur le bruit du train « oui, encore, oui encore, oui, encore... ».
Le freinage du train les surprend en plein effort. C’est déjà la banlieue de Lyon, vite, vite qu’ils en finissent sinon tout cela n’aura servi à rien? Claude se met debout, soulevant sans peine Marie-Claude toujours empalée sur sa queue. Elle s’accroche à ses épaules et il la plaque contre la vitre du compartiment. Il continu à la baiser, ses coups de reins sont de plus en plus violents. Plus le train freine, plus il accélère ses coups de queue. Elle hurle de plaisir, gémit, secoue la tête dans tous les sens et finalement explose dans un orgasme titanesque qui la prend des doigts de pieds jusqu’au cerveau qui s’illumine de millions de petites étoiles comme un feu d’artifice intérieur. le plaisir la parcoure par ondes successives qui ne finissent pas. Claude qui l’a suivi de peu se répand en elle et à l’impression de se vider complètement. Jamais auparavant il n’avait fourni une telle quantité de sperme, Ses testicules se contractent pour mieux se vider et il a l’impression que son sperme ressort pas la bouche de Marie-Claude tellement l’odeur du sexe est forte dans la petite pièce.
Ils redescendent doucement sur terre en retrouvant leur souffle. Marie-Claude, toujours empalé sur le sexe de Claude ressent une bienheureuse fatigue, une sorte de béatitude que rien ne pourrait détruire, sauf un coup de frein plus brutal que les précédents et qui la fait redescendre brutalement sur terre. Le train entre en gare et les premiers voyageurs qui vont descendre à Lyon commencent à passer dans le couloir. Elle repousse Claude et descend de son perchoir redevenu bien modeste d’ailleurs! Vite il faut qu’elle se rhabille. Elle attrape sa jupe, l’enfile en réajustant comme elle peut sa culotte. Le sperme lui coule sur les mains et elle suce ses doigts machinalement ce qui la fait frémir à nouveau. Ah si elle avait le temps elle aurait fini par le dompter ce jeune amant. Le tout c’est de les épuiser une bonne fois et après ils deviennent plus malléables. La femme est supérieure à l’homme sur le long terme! Elle en est sure.
Elle boutonne rapidement son chemisier en se trompant d’ailleurs, mais elle n’a plus le temps maintenant. Tant pis Claude, galant malgré tout, a descendu sa valise et lui fait une bise tendre, pleine des regrets sur ce qu’ils auraient pu encore faire dans ce wagon. Mais Marie-Claude doit descendre là, on est venu la chercher.
-Au revoir Claude, tu as été merveilleux, je ne t’oublierais jamais. Ce jour restera gravé dans mes souvenirs à jamais. Elle pense néanmoins dans sa tête, qu’un jour elle trouvera, peut-être, un amant de passage encore meilleur, avec un sexe plus long ou plus gros qui sait. Cette pensée la fait sourire et Claude, se méprenant, pense qu’il s’adresse à lui !
-Adieu Marie-Claude, je ne t’oublierais pas non plus.
Marie-Claude sort du compartiment en courant, car le train est immobilisé maintenant depuis deux minutes. Elle saute sur le quai et aperçoit au loin toute une famille qui cherche quelqu’un. « Ce sont eux se dit-elle, voilà ma nouvelle famille pour plusieurs mois ». Elle vérifie sa tenue une dernière fois, et en profite pour reboutonner discrètement son chemisier. Un dernier signe d’adieu à Claude dont elle sent le sperme encore brûlant couler entre ses jambes, et elle se dirige vers la famille qui va l’accueillir comme jeune fille au pair jusqu’à l’été prochain.
Dimanche 8 juillet
7
08
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/Juil
17:55
Après cet après-midi un peu spécial, j'avais revu Éric avec qui je m'étais entretenu plus longuement à propos d'Iela et de ses fantasmes.
En fait, elle avait un véritable cheptel de garçons et de filles à sa botte, qui lui étaient entièrement dévoués, voire soumis. Nul n'avait le droit de s'afficher clairement avec elle, ou de se vanter de leur relation. Elle avait l'exclusivité totale sur eux, ils devaient lui obéir au doigt et à l'œil, et en particulier flirter avec ceux ou celles qu'elle leur désignait. C'est ainsi que j'appris qu'elle était bi, avec une nette préférence pour les filles, et qu'elle se servait d'elles quand elle voulait avoir les faveurs d'un garçon.
En peine de confidences, Éric me raconta la journée d'anniversaire d'Iela, qui s'était déroulée peu de temps auparavant.
Comme ses parents étaient partis en week-end, elle invita son groupe, garçons et filles, à une fête dans la propriété parentale. En venant, ils acceptaient expressément de faire tout ce qu'elle leur imposerait, sous peine de ne plus la revoir. Amoureux et amoureuses comme ils l'étaient tous, il n'y eu aucune défection. Chacun des invités devait se présenter entièrement nu et épilé.
Dès leur arrivée, Iela prit chacun d'eux en photo, une première en pied, et la seconde leur sexe en gros plan et les cuisses bien écartées. Elle leur attribua ensuite un numéro en fonction de leur ordre d'arrivée. Elle était la seule à être vêtue, une jupe blanche assez courte et très transparente, et un petit top de la même couleur largement échancré, laissant apparaître de magnifiques seins qui n'avaient besoin d'aucun maintien.
Elle plaça ses invités côte à côte, les mains derrière la tête, et passa ensuite sa troupe en revue. Elle caressa quelques seins et pinça un téton par ici, flatta plusieurs sexes fièrement érigés et cajola diverses bourses par là. Elle les obligea ensuite à se pencher en avant les mains posées au sol, puis continua son inspection côté pile. Il sembla qu'elle préférait ce côté de ses invités, car tous les fessiers eurent droit à un petit attouchement. Certains eurent même la surprise de sentir un de ses doigts s'infiltrer un peu plus profondément entre leurs fesses.
- Cet après-midi sera consacré à de nombreux petits jeux plaisants, annonça-t-elle. À chaque fois vous vous mettrez dans l'ordre des numéros que je vous ai alloués. Pour le premier jeu, l'un d'entre vous sera bien récompensé, et malheureusement un autre devra être sanctionné. Dans tous les jeux, il y a un gagnant et un perdant.
Pour commencer, ils durent se mettre en file indienne, le premier sur le dos, le second à quatre pattes la tête au niveau du sexe de sa ou son prédécesseur, et ainsi de suite en fonction de leur numéro. Les garçons plus nombreux, se retrouvaient parfois avec un autre garçon devant eux, les filles eurent plus de chance, une seule se retrouva avec un minou face à elle.
- Le jeu est très simple, vous allez donner du plaisir au partenaire devant vous, vous n'avez le droit qu'à votre bouche, votre langue et vos lèvres, l'usage des mains est interdit. Le ou la première qui jouira sera puni pour toute l'après-midi, et le dernier qui aura réussi à se retenir passera la fin du week-end avec moi.
Superbe récompense, mais gare à celui qui perdait, car l'imagination d'Iela en matière de punition était très fertile. Chacun s'activait pour faire essayer de faire perdre son prédécesseur. Iela ne perdit pas de temps, et reprit des clichés de tous en pleine action. Ces photos n'alimentaient pas uniquement sa libido torride, mais serviraient également à faire taire les plus bavards, ou pourraient être utiles pour quelques pressions plus tard.
Trois ou quatre minutes seulement après le début, un garçon nommé Régis ne put se contenir sous la langue experte qui le caressait. L'inspiratrice reprit tout de suite la place vacante, pour essayer d'éliminer un autre concurrent. Il était évident que ce serait un garçon qui perdrait, les filles étant plus longues à la détente.
Près d'une demi-heure plus tard, il ne restait que deux filles en position de 69. Tout le monde regardait ce magnifique duo en pleine action saphique. L'une d'elles se tortilla davantage et se raidit peu de temps après. Elle enrageait d'avoir perdu si près de la victoire. Gwela, l'heureuse gagnante, se précipita dans les bras d'Iela qui l'embrassa amoureusement. Certains disaient que c'était sa favorite du moment.
- Eh bien, maintenant, il est temps de s'occuper de notre perdant. Vous allez l'attacher contre un arbre, bien écartelé et de manière à ce qu'il profite bien du spectacle, car il n'aura plus que le plaisir des yeux jusqu'à ce soir.
La punition ne semblait pas si terrible, encore que cela cachait peut être autre chose.
- À chaque fois qu'il perd la forme, vous irez ranimer son ardeur jusqu'à l'extrême, mais sans qu'il ne se lâche. Celui ou celle qui lui aura donné trop de plaisir ira le rejoindre. Pour le deuxième jeu, venez avec moi les filles, pendant ce temps les garçons iront donner un peu de vigueur à Régis.
Un moment plus tard, les filles sont revenues harnachées d'un double gode-ceinture, une partie ancrée dans leur intimité, et l'autre pointant fièrement devant elles.
- Nous allons faire le petit train maintenant, dit Iela en souriant. Mettez-vous tous à quatre pattes, l'un derrière l'autre. Dans un premier temps, vous allez honorer le petit trou qui sera devant vous, en ne vous servant que de votre langue bien sûr. Je passerai vers chacun de vous, et je veux voir votre langue enfoncée le plus profondément possible.
Un des garçons hésita un moment avant de se baisser, puis préféra déclarer forfait. Il repartit honteusement sous le regard noir d'Iela, son avenir avec elle était joué, mais elle savait qu'elle se vengerait plus tard grâce aux photos.
Une fois tout le monde en position, et comme elle l'avait annoncé, elle fit le tour de la colonne une badine à la main, et prit de nouvelles photos. Elle semblait satisfaite de son petit train, hormis un ou deux fessiers qui reçurent quelques encouragements, et qui gardèrent les traces de son mécontentement pendant plusieurs jours.
- Ce n'est pas mal, vous pourriez presque rivaliser avec la SNCF. Maintenant que le train est formé, il ne reste qu'à accrocher les wagons. Vous allez donc grimper sur votre prédécesseur, et le ou la prendre par derrière. Comme les garçons et les filles se ressemblent de ce côté-là, vous verrez messieurs ce que l'on ressent dans cette position. Ce sera peut être un peu difficile pour vous au début, mais il faudra vous y faire.
L'un après l'autre, ils escaladèrent leur voisin. Les filles n'eurent pas l'air trop désemparées face à cette situation, elles pratiquaient déjà toutes cette pénétration particulière. Il leur fut par contre un peu plus difficile « d'accrocher le wagon », elles n'avaient pas l'habitude d'être dotées d'un attribut mâle.
Pour les garçons ce fut une autre paire de manches : si la pratique leur était assez courante, ce n'étaient généralement pas eux qui étaient la cible. D'autant que les sexy-toys des filles affichaient une grosseur assez honnête.
- Allons messieurs, un peu de courage, appliquez-vous ! N'oubliez pas que vous êtes ici pour me faire plaisir : c'est mon anniversaire aujourd'hui.
Il est vrai que certains faisaient une drôle de tête, car c'était la première fois qu'ils subissaient une sodomie, et l'olisbos fiché entre leurs reins n'était pas de taille courante. Dès que tous eurent pénétré leur voisin, Iela alla s'asseoir sur son fauteuil style Emmanuelle, et leur ordonna de faire avancer leur train en tournant autour d'elle. De temps en temps elle se levait pour aller faire goûter de sa badine à ceux qui manquaient de conviction, ou prendre quelques clichés.
- Le train arrive en gare, il est temps de décharger les bagages. Messieurs, pressez-vous de vous libérer dans vos partenaires, d'autres surprises nous attendent.
Tous les garçons se mirent à s'activer en cadence. Le spectacle aurait pu être drôle en d'autres circonstances. Les premiers à jouir restèrent fichés dans leurs condisciples, n'ayant pas reçu d'ordres, ils ne savaient pas s'ils pouvaient se retirer, et les colères d'Iela pouvaient être terribles. Dès que le dernier parvint à ses fins, elle leur ordonna à tous de se retourner et de nettoyer, toujours avec la langue, l'objet qui venait de les prendre. Ce fut alors un concert de succion et de léchage infini, ils attendaient toujours la directive de mettre fin à leurs calvaires. L'après-midi était loin d'être terminé.
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