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Eros - essais érotiques

Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 14:20
Claude était monté dans le train pour Lyon depuis maintenant deux bonnes heures et il commençait à somnoler sur la banquette du compartiment de deuxième classe. Dehors le temps était splendide et les paysages qu’il apercevait à travers la vitre sale du wagon annonçaient le retour du printemps et des premières chaleurs.

    Le soleil de fin de journée qui entrait à flot dans le compartiment chauffait l’atmosphère et une douce langueur l’envahissait. Il sentait sa queue se durcir de manière épisodique au rythme des secousses imposées par la configuration de la voie ferrée. Plusieurs fois il avait eu envie de se branler mais à chaque fois des voyageurs étaient passés devant son compartiment et il avait dû renoncer. Il était un peu timide et à 18 ans on est toujours partagé entre l’envie de se branler comme un adolescent et l’espoir de trouve une femme avec qui faire l’amour.


    Se branler! Cela lui rappela des souvenirs de jeunesse, pas si lointain que ça d’ailleurs. Un jour, au cours des vacances d’été, il s’était retrouvé seul avec sa cousine Chantale dans sa chambre de la maison dans laquelle il séjournait; Elle avait un peu plus de 15 ans et lui 14 seulement. Les parents les avaient laissés seuls pour aller au supermarché voisin faire les courses de la semaine. Trois bonnes heures de liberté !

    Chantale l’avait entraîné dans sa chambre sous le prétexte de lui montrer sa collection de boites d’allumettes. Mais rapidement elle lui avait fait comprendre que les boites c’est bien, mais jouer au papa et à la maman c’est mieux, surtout quand il s’agit de jouer à aller se coucher comme s’il faisait nuit. Pour cela elle avait fermé les volets de sa chambre et, dans la pénombre ambiante, s’était approchée de lui. Il était intimidé et ne savait pas trop quoi faire. Leurs respirations étaient devenues plus rapides et le silence qui les entourait leur laisser entendre les battements précipités de leurs cœurs.

    Elle ne portait sur elle qu’une robe d’été légère qui, par transparence lui avait permis de deviner la couleur blanche de sa culotte Petit bateau. En lui prenant les mains, elle lui avait montré comment ouvrir sa robe. Ses doigts tremblaient et il n’arrivait pas à la déboutonner. Les deux adolescents étaient excités comme jamais ils l’avaient été. Claude sentait sa queue dure dans son slip, mais la toile du jean qu’il portait la coinçait. Finalement le dernier bouton céda et il pu faire glisser la robe sur les épaules de sa jeune cousine. Ses petits seins étaient durs comme de la pierre et quand il les lui pris timidement dans ses mains elle gémit en sursautant légèrement comme sous l’effet d’une piqûre d’insecte. Que c’était bon de se faire caresser. Les mains de Claude s’activaient maladroitement sur cette gorge dénudée mais sa cousine avait l’air d’apprécier le traitement parfois rugueux qu’il imposait à ses tétons.

-Continu, ne t’arrête pas lui souffle-t-elle. Encore, encore! Oui pinces moi les bouts. Ouiii! Arrêtes je vais jouir. Encore, Ahh c’est bon tu sais !

    N’y tenant plus elle glisse une main dans sa culotte et commence à se caresser. Son bouton se dresse aussitôt. Elle est toute mouillée et son doigt glisse sur sa fente juteuse comme un beau fruit d’été.

-Continu, encore Ah, c’est bon.

Ses doigts accélèrent et lui ne sait plus trop ce qu’il doit faire. Le visage de sa cousine reflète la douleur, le plaisir. Il ne sait pas. Il n’a jamais vu de fille jouir. C’est la première fois qu’il assiste à un tel débordement de cris, de gémissement et il est un peu affolé.

-Continu comme cela Claude c’est merveilleux ce que tu me fait, Ah je t’aime, prend moi dans tes bras, je veux jouir contre toi. Oui comme ça, c’est bien, c’est merveilleux, encore ne t’arrêtes pas ! Et dans un spasme nerveux puissant et profond elle se serre contre lui. Plusieurs fois elle est secouée par de grands frissons qui la parcourent des pieds à la tête. Elle a l’impression que jamais cela ne s’arrêtera et elle ne veut pas que ça s’arrête. Ses doigts s’activent encore et encore sur son sexe qui ruisselle de bonheur. Mais ce premier orgasme dans les bras de son cousin a été si fort que plus rien n’est possible.

    Lentement elle revient sur terre et reprend son souffle. Une odeur de sueur se dégage de leur deux corps enlacés, debout au milieu de cette chambre de jeune fille.

-Merci Claude, tu as été formidable.

    Lui ne comprend pas très bien mais il est rassuré, sa cousine va bien, elle ne souffre pas comme il avait craint à un moment. Par contre lui, il souffre; sa queue est toujours coincée dans son jean et il aimerait bien se détendre un peu

    Chantale en se serrant contre lui a bien senti la bosse dans le pantalon de Claude et elle se doute du problème.

-Viens, lui dit elle, et, le prenant par la taille elle le pousse vers son petit lit, le fait asseoir puis le pousse par les épaules pour qu’il s’allonge.

C’est à son tour de respirer plus vite. Il sent qu’il va se passer quelque chose mais n’en n’est pas très sûr. Et pourtant si, il avait bien compris.

Le jeu de papa maman continu mais c’est maman qui déshabille papa. C’est fait rapidement et il sent son jean glisser le long de ses jambes, ses sandalettes tomber par terre et sa queue s’épanouir dans sa culotte, blanche elle aussi.

    Chanlate passe doucement sa main sur la bosse, curieuse et légèrement effrayée à la fois. Ses copines lui ont raconté des tas de choses sur le sexe des garçons mais elle n’en a jamais vu. Elle est fille unique. Bien sûr, elle a déjà vu des taureaux à la ferme du village, mais il est impossible que celui de Claude soit aussi gros et velu. Doucement elle appuie sa main et c’est Claude qui, n’en pouvant plus, guide rapidement sa main sur l’objet en question.

    Sous sa main qui tremble un peu, Chanlate sent le morceau de chair palpiter et vibrer. C’est doux, c’est chaud, la verge de son cousin lui semble à la fois dure comme de la pierre et fragile comme un oisillon. Elle n’ose pas bouger.

-Branle-moi je t’en supplie lui souffle-t-il, je n’en peut plus.

-Comment je fait, je sais pas, explique moi, montre moi. Fiévreusement il guide sa main vers sa queue et lui montre le chemin.

-Fait aller ta main de haut en bas, oui comme cela, plus haut, oui jusqu’au bout Ah que c’est bon. Plus vite je t’en prie.

    Mais science infuse ou innocence d’une pucelle, elle n’accélère pas au contraire elle ralentie le mouvement car elle aussi elle veut en profiter de cette tige chaude et humide qui lui remplie la main. Le plaisir pour Claude est gigantesque, jamais quand il se branle il n’a éprouvé un tel plaisir. Sa cousine est démoniaque. Elle a vite compris que son cousin était prêt à tout pour qu’elle continu. Elle ralenti son mouvement jusqu’à s’arrêter.

-Continu, encore je t’en supplie, je ferais tout ce que tu veux mais continu sans t’arrêter.

-Tu feras tout ce que je veux, vraiment?

-Oui tout c’est promis

-Juré ?

-Juré!

    Sa main reprend le mouvement de va et vient d’abord doucement puis plus vite, elle ralentie, repart à nouveau et intuitivement, chaque fois qu’elle sent le sexe sur le point d’éclater elle s’arrête pour repartir quelques secondes après.

- Chantale fais moi jouir, Ah que c’est bon, je deviens fou quand tu t’arrêtes, je veux jouir de ta main Ah oui ça vient Ah!

    Le membre viril de son cousin palpite dans sa main et, d’un seul coup, Claude est, à son tour agité de spasmes violents, il pousse son bassin donnant des coups de reins imaginaires comme s’il pénétrait sa cousine! En fait dans sa tête il la prend, la possède comme un fou, sans bien savoir d’ailleurs comment il devrait faire si tel était le cas. Son sperme a jailli comme un flot de lave brûlante inondant la main de sa cousine et ses jeunes seins en reçoivent des gouttes. Sous la chaleur de cette liqueur odorante la pointe de ses seins se redressent et réclament encore des caresses. Elle lâche la queue de son cousin et se masse frénétiquement les seins avec le sperme de Claude. Sa chatte se mouille à nouveau et elle serre ses cuisses en tremblant. Une onde de plaisir la parcours. Elle est heureuse l’après-midi ne fait que commencer et son cousin est prêt à lui obéir. Un sourire triomphant éclaire ses lèvres humides.

    Petit à petit Claude a retrouvé son calme tout en contemplant sa cousine avec admiration. Elle l’a fait jouir comme jamais et il n’est pas prêt d’oublier cette après-midi. Si elle veut bien le branler encore, il est près à lui obéir les yeux fermés. La suite de ses vacances lui prouva que son obéissance allait être mise à rude épreuve.

    Pendant qu’il rêvait à sa cousine, celle-ci n’avait pas perdu de temps et elle était de nouveau en train de se caresser.

-Viens près de moi Claude, lui ordonna-t-elle, et lèche moi la poitrine. Ton sperme m’a sali et tu dois me laver avec ta langue.

    Interloqué, il se redresse n’osant pas faire ce qu’on lui demande mais d’une main ferme sa jeune cousine lui attrape la tête par les cheveux et l’oblige à plaquer sa bouche sur ses seins.

-Lèches moi et vite sinon gare!

    Vaincu et content à la fois, il entreprend de lui nettoyer les seins, la gorge et le ventre qui se tend sous l’effet des coups de langue. Claude s’applique du mieux qu’il peut même si le goût de son sperme lui donne un peu la nausée. C’est fort et âcre à la fois. D’un autre coté, il sent bien que cette soumission a quelque chose d’excitant!  D’ailleurs sa queue commence à reprendre de bonnes dimensions. Mais Chantale n’en est plus là. Elle commence à gémir et à se tortiller sous l’effet de la langue de Claude. Elle se branle de plus en plus vite, sa fente est humide, inondée même.

-Oh Claude tu me fais du bien, tu es un bon garçon, continu, Ah! Encore, tu m’appartiens, je ferais de toi mon esclave, suce moi, lèche moi, met tes mains dans mon dos, oui comme cela, Ah! C’est bon, je mouille, je bande, c’est merveilleux et dans un dernier râle elle s’écroule à nouveau dans les bras de son cousin en haletant. Des frissons la parcours des pieds à la tête et sa main s’active toujours sur sa chatte mouillée.

Claude termine son nettoyage par un suçage en règle des mamelons dont les pointes restent toujours aussi dures. Maintenant, il attend bien sagement que sa cousine accepte de s’occuper de lui.

-Va me chercher à boire dans le réfrigérateur de la cuisine, dépêches-toi, j’ai très soif

Il part en courant et revient quelques minutes après avec deux bouteilles de jus de fruit.

-Pourquoi as-tu pris deux bouteilles, une seule me suffit

-Mais, j’ai soif moi aussi.

-Tu boiras quand je l’aurais décidé, rapporte cette bouteille où tu l’a prise.

    Il obéi la tête basse et revient auprès de sa cousine en s’asseyant sur le bord du lit. Chantale s’assoit à califourchon sur ses genoux. Ses cuisses sont largement écartées et Claude aperçoit les poils noirs de son sexe qui dépassent de son slip blanc. Maintenant il bande à nouveau et il aimerait bien que sa cousine le branle mais ce n’est pas le cas. Elle passe ses bras autour de son cou et veut l’embrasser sur les lèvres. Ils hésitent un peu tous les deux, comment fait-on, le nez coince mais finalement ce petit problème est résolu, et bientôt leurs langue et leur salive se mélangent joyeusement. Ils se sucent la langue mutuellement y trouvant un plaisir nouveau et étrange. Le goût du sperme remonte dans la bouche de Chantale et elle y prend plaisir. Elle se sépare de lui et lui murmure qu’elle aimerait bien goûter à son sperme.

-Allonges-toi sur mon lit lui dit-elle en lui enlevant son tee-shirt, et branles-toi en me regardant. Il s’exécute et rapidement sa main prend un bon rythme Elle se contente de le regarder faire tout en surveillant le sexe du garçon. Quand elle le voit s’agiter et gémir sur le lit, elle comprend que la jouissance n’est plus loin. Les cris de Claude la confirment dans cette opinion.

-Oui, oui, Ah je vais jouir pour toi mon amour, rien que pour toi, Ah j’aime ça

Un spasme le secoue des pieds à la tête en même temps que le sperme jailli de sa queue et inonde son ventre et ses jambes. Il continu à se branler pour faire jaillir les dernières gouttes tout en reprenant son souffle. Il s’immobilise enfin sous le regard amusé et brillant de curiosité de sa cousine.

-Ne bouges pas, je vais de nettoyer à mon tour.

    Et se penchant vers lui elle commence à lui lécher les jambes, les cuisses, passe au dessus de son sexe redevenu tout mou, continu sur le nombril où elle peut éponger une grosse goutte de sperme. Sa langue s’active maintenant sur le ventre de son cousin, de plus en plus vite. Elle est saisie d’une folle excitation et se rue sur son cousin en s’allongeant sur lui. Ses mains ont saisi ses cheveux et elle lui secoue la tête, son corps ondule frénétiquement sur celui du garçon, ses cuisses s’ouvrent et se referment spasmodiquement et elle donne des coups de reins très violents qui lui écrasent le pubis et lui branle le clitoris.

-C’est pas vrais, je deviens folle, Ah! Ce n’est pas possible que tu me fasses tant d’effet, Ah! A! J’en peu plus, encore, Ah! Oui, tes mains, mets tes mains sur moi, oui comme cela, caresse moi les fesses, Oh oui ! Encore, encore..

    Les coups de reins redoublent d’intensité et les deux corps s’emmêlent, ils roulent l’un sur l’autre et maintenant, c’est Claude qui est entre les cuisses de sa cousine et qui lui donne des coups de rein. Sa queue, ni molle ni dure, cherche la grotte douce et chaude de sa cousine. Il veut la pénétrer mais elle se défend se cabre comme une jument rétive. il la veut, il la veut mais le mince rempart de la culotte tient bon. Ce n’est pas encore qu’il dépucellera sa cousine. Chantale dans un dernier sursaut le jette par terre et tous les deux jouissent à l’unisson en se branlant chacun de leur coté.

    Essoufflés tous les deux, ils restent un long moment immobiles, regardant le plafond et écoutant battre leurs cœurs. C’est Claude qui parle le premier.

-J’ai très soif, je peux aller me chercher une boisson dit, s’il te plaît

    Chantale hésite avant de répondre; pour le moment elle est épuisée et n’a plus envie de jouissance, son corps d’adolescente est repue, comblé.

-OK tu peux y aller

-Merci mon amour s’entend-il dire. Il revient très une bouteille à la main et commence à boire mais sa cousine l’arrête d’un geste.

-Ca suffit, donne moi la bouteille, c’est moi qui vais de donner à boire, approche et mets toi à quatre pattes comme un bon toutou. Il obéit sans rechigner.

    Elle s’allonge complètement sur le sol et verse du liquide dans le creux de son ventre.

-Lèches et tu boiras, et il lui faut pas moins d’un quart d’heure pour vider la bouteille et apaiser sa soif. Il a mal à la langue à force de la lécher mais il découvre le sourire de sa cousine qui semble avoir retrouvé un peu de tonus.

-C’est bien tu es un bon chien et maintenant on va aller se promener. Habilles toi, non donnes moi ta culotte, je la garde en souvenir.

    Le jean lui râpe un peu le sexe mais il le ferme sans trop de mal. Ils sortent de la maison sous un soleil éclatant, et comme sa cousine marche devant lui il en profite pour admirer son corps en contre-jour. Il sent des fourmillements dans sa queue et les frottements du jean aidant il retrouve lui aussi un peu de tonus. Ils marchent ainsi pendant quelques minutes sans parler mais, il sent bien qu’il va se passer quelque chose le concernant. Sa cousine se retourne brusquement avec un sourire au lèvre, le même que celui qu’elle avait tout à l’heure quand elle le faisait attendre avant de le faire jouir !

-Voilà, nous y sommes, dit-elle.

L’endroit est sombre, à l’abri des regards indiscrets et complètement caché de la maison de son oncle. Le sol, légèrement humide, est recouvert d’herbe verte et incite à une petite sieste. La suite devait lui prouver qu’il n’en était rien.

C’était le domaine de sa cousine, son lieu de rendez-vous avec ses petits copains. Elles les retrouvait là pour des parties de touche-touche et des baisers plus ou moins profonds, mais elle n’avait jamais été bien loin avec eux. La peur du SIDA y était pour beaucoup et aussi le risque de grossesse. On peut difficilement acheter des préservatifs à 15 ans à la campagne, en 5 minutes tout le village serait au courant!

-Mets toi à genoux, les mains derrière le dos, lui ordonna-t-elle, ce qu’il fit sans rechigner.

D’un geste rapide, elle lui attache les mains derrière le dos et lui enfile sa culotte sur la tête. Il renifle l’odeur de son sperme qui l’imprègne et son excitation revient. Sa queue durcit à nouveau et vient se coincer sur la fermeture éclair de son jean. Il ne voit pas ce que fait sa cousine qui est allée cueillir une tige d’ortie, sans se piquer. Elle sait comment s’y prendre. Elle s’accroupit devant le cousin et ouvre sa braguette ce qui a pour effet de faire jaillir la verge de Claude dans sa main.

-Eh bien, on peut dire que tu as la santé toi au moins, dit-elle d’un air admiratif. Moi je n’en peut plus, alors pour t’occuper cette nuit je vais te faire un petit massage d’un genre très particulier, et elle éclate de rire.

Tenant le sexe de son cousin dans une main et, après l’avoir branlé pendant plusieurs minutes sans le faire jouir toutefois, elle prend la tige d’ortie et fouette la verge turgescente avec. Son cousin pousse un cri et veut se gratter mais impossible il est attaché. Bientôt, il se roule par terre essayant de calmer les démangeaisons en frottant sa queue dans l’herbe fraîche. Sa cousine ri aux éclats de le voir faire. Il ressemble à un gros ver de terre. Il la supplie de le détacher mais elle lui dit plus tard, qu’ils ont le temps; il est trop drôle comme cela. Claude ne trouve pas ça drôle du tout, il veut se gratter, se branler, faire stopper cette brûlure qui l’excite au plus au point. Finalement il se retrouve à plat ventre dans l’herbe en train de donner des coups de reins dans le sol et ce que sa cousine espérait, se produit finalement, il jouit dans la terre, dans un sursaut énorme qui le soulève du sol avant de le faire retomber épuisé, vidé, sans réaction.

Sa cousine, l’a vaincu, définitivement cette fois-ci, il lui appartiendra pendant toutes les vacances. Il sera tour à tour, son esclave, son amoureux empressé, son chien, son amant, et il ne se souvient plus de tout ce qu’elle a pu lui faire subir durant ces semaines d’été. Il se rappelle avoir fait jouir sa cousine et avoir joui lui-même plusieurs fois par jour, parfois dans sa chambre, mais le plus souvent dans des lieux aussi inattendus qu’étranges comme ceux que l’on peut rencontrer dans une ferme à la campagne. Elle l’obligeait même à se branler en présence de ses parents mais sans qu’ils le sachent bien entendu! Cela se passait au cours des repas ou le soir devant la télé. Bref des vacances affreuses et géniales à la fois qui lui ont laissées un souvenir impérissable. Elles furent épuisantes mais aussi très instructives pour lui. Il savait maintenant beaucoup de chose sur le mystère qui entoure les filles et ses prochaines petites amies allaient en bénéficier.
Dimanche 24 juin 7 24 /06 /Juin 20:07
Au doux temps de ma jeunesse (qui n'est quand même pas trop éloigné), j'avais eu l'idée de descendre en canoë au mois d'août une rivière du sud-est de la France. J'étais accompagné de celle qui n'était pas encore ma femme. La rivière en question était magnifique en été. Elle offrait de multiples possibilités de camping sauvage dans des endroits quasi inaccessibles autrement que par bateau. C'était déjà la mode du retour à la nature. On jouait à « Délivrance », un film américain qui avait eu un succès fou à l'époque et qui racontait la tragique aventure d'amis pagayeurs dans les Appalaches.

Fort heureusement, cette rivière était beaucoup plus sage, du moins sur le strict plan du débit. Car pour ce qui concerne la tenue de ses canoéistes et autres kayakistes, elle était particulièrement dissipée. Disons-le tout net : c'était un véritable lupanar aquatique. L'équipement vestimentaire des pagayeurs était, il est vrai, des plus sommaires. Une femme sur deux ne portait pas de soutien-gorge et un homme sur deux ramait la bite à l'air. Forcément, ça crée des rapprochements, d'autant qu'on traversait de temps à autres des campements de naturisme sauvage avec des jeunes (ou moins jeunes) tout nus qui nous éclaboussaient en se baignant. Lorsqu'on découvrait un canoë garé sur une petite plage, ses occupants se trouvaient presque toujours en train de manger, de bronzer ou de baiser, parfois successivement.


Quelques mots sur ma future femme d'abord. Grande, blonde et sportive, elle était déjà dotée à l'époque d'un appétit sexuel au-dessus de la moyenne, qu'elle préférait satisfaire en appartement, sans rechigner cependant aux sous-bois et autres endroits bucoliques. L'amour de groupe ne l'emballait guère mais elle y avait sacrifié deux fois pour me complaire et se conformer à la mode du moment. Sur le bateau, elle portait un maillot de bain réduit à sa plus simple expression : le tissu du slip couvrait à peine le pubis et la raie des fesses cependant que le soutien-gorge se limitait à deux timbres-poste qui ne dissimulaient même pas l'intégralité de ses mamelons, il est vrai d'une circonférence appréciable. Quand je dénouais les minces cordons, de ma place de pagayeur arrière, elle comprenait le message. Nous allions nous échouer sur un petit banc de sable et nous faisions l'amour en plein soleil avant de nous plonger dans l'eau fraîche. Le bonheur total !

Nous nous conformions, au fond, aux us et coutumes du lieu, comme l'attestent deux scènes qui m'ont particulièrement marqué. Amarré parmi les herbes, un canoë semblait attendre ses occupants. Mais pagayant au ras du bord, nous surprîmes ceux-ci dans une attitude spectaculaire. La femme, plus toute jeune, ronde, les cheveux poivre et sel et la peau caramélisée, était à quatre pattes sur le sable. L'homme, poilu comme un gorille, chauve comme un caillou et les fesses couleur pain brûlé, se trouvait collé à elle, non à genoux mais jambes fléchies, comme pour se rehausser. Chacun de ses coups de rein était ponctué par le ballottement des volumineux nibards de la femme, qui nous regarda passer en nous adressant un rictus dont je ne sus s'il était de connivence ou de plaisir :

- J'ai l'impression qu'il est en train de l'enculer, dis-je à ma copine, quand notre embarcation eut dépassé le couple libidineux.

Mais sur l'eau, le son porte bien. Aussi fus-je à peine surpris d'entendre une voix féminine me répondre :

- Gagné !

Un autre jour, en plein après-midi, nous étions tombés sur une véritable partouze de kayakistes. Les filles, jeunes pour la plupart, se faisaient prendre sur les rochers dans toutes les positions par des types chevelus et musclés. L'une d'elles nous fit un signe de la main, comme pour nous inviter à nous joindre à leurs ébats. J'étais assez tenté car il y avait de superbes morceaux mais ma copine me découragea tout de suite :

- Si tu y vas, je continue toute seule et tu rentres à la nage.

Les circonstances allaient toutefois l'obliger à réviser ces dispositions quasi conjugales. Je l'ai dit, la rivière était plutôt calme mais il y avait quand même, ici ou là, quelques passages qui nécessitaient un minimum de technique. Nous étions en fin d'après-midi et peut-être un peu fatigués. Ma copine ne put compenser suffisamment le courant qui l'entraînait vers un gros rocher. Moi-même, j'avais vu venir le coup trop tard. Notre canoë se mit en travers et un mauvais réflexe nous précipita tous les deux à l'eau avec notre matériel de camping, notre bouffe et nos vêtements. La catastrophe !

Après avoir récupéré le bateau et les pagaies en nageant, nous réussîmes à rejoindre le bord, au creux d'une petite gorge où aboutissait un chemin de pêcheur très en pente. Précisions importantes : j'étais entièrement nu et ma copine n'avait que son mini-slip. Tout le reste était parti dans le courant.

Faisant fi de toute convention sociale, je décidai de monter le chemin en tenue d'Adam, espérant trouver des naturistes, fort nombreux dans le coin. Ma copine resta avec le canoë.

En haut de la falaise, il y avait une petite maison avec une terrasse offrant une vue imprenable sur la gorge. Et sur la terrasse, un couple qui prenait l'apéro tranquillement. Mon arrivée flamberge au vent les laissa le verre en l'air. Certes, les gens nus faisaient partie du paysage par ici mais plutôt à l'heure de la baignade qu'à celle de l'apéritif. Je me hâtai d'expliquer la situation et le couple éclata de rire. La femme disparut à l'intérieur et en revint avec un slip de bain parfaitement démodé, que je m'empressai d'enfiler. Je me sentis tout à coup plus sûr de moi.

- Euh, vous n'avez pas un soutien-gorge aussi ? Parce que ma fiancée, en bas...

La femme me prêta un haut de bikini, avant de m'interpeller :

- Vous ne pouvez pas repartir comme ça ce soir, sans avoir rien mangé et sans rien pour dormir.

Et c'est ainsi que nous fûmes invités à dîner par de parfaits inconnus qui attirèrent très vite notre sympathie.

C'était un couple d'une quarantaine d'années, genre un peu hippie sur le retour. Lui avait les cheveux longs et une barbe de pope, un corps élancé et maigre qui lui aurait donné l'air d'un ermite si sa musculature très apparente n'avait révélé l'ancien athlète. Elle avait un casque d'abondants cheveux frisés, des petites lunettes rondes fumées à la Yoko Ono et une ample robe de lin qui permettaient à ses formes généreuses de vivre leur vie. J'avais tout de suite remarqué qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, à la mode de l'époque mais quelque chose me disait qu'elle ne portait pas non plus de slip et j'en eus la confirmation lorsqu'elle se baissa jambes fléchies pour ramasser une petite cuiller, découvrant un buisson aussi épais que sa crinière.

Le repas fut gai, alimenté par notre mésaventure mais aussi par les scènes décrites plus haut, qui divertirent fort nos hôtes.

- Nous aussi, il nous arrive d'aller au bord de l'eau pour faire l'amour, avouèrent-ils.

Le couple n'était pas du genre bégueule. Je remarquai que le barbu n'était pas insensible à la poitrine (il est vrai superbe) de ma copine. Quant à la frisée, elle avait lancé plein d'allusion à ma virilité exposée. Bref, à la fin du repas, une atmosphère légèrement érotique flottait dans la cuisine.

Avant de monter nous coucher, ma copine et moi allâmes prendre l'air pour retrouver un peu d'intimité et faire le point de la situation. À l'évidence, il fallait employer les grands moyens, c'est-à-dire solliciter un mandat de nos parents pour nous rééquiper et finir cette randonnée aquatique, puisque nous avions encore notre embarcation. Le couple nous emmènerait jusqu'au village le plus proche et s'ils voulaient bien nous héberger un ou deux jours, nos vacances pourraient se poursuivre.

Dans le couloir, une chambre était ouverte et allumée mais ce n'était pas la nôtre. Nous avons tout de suite compris ce qui se passait. Le son ne laissait aucun doute et la lumière nous permit de le vérifier : nos hôtes baisaient. Elle nous faisait face, en travers du lit, à quatre pattes avec toujours ses petites lunettes sur le nez. Il la besognait debout, par derrière, avec des « han ! » de bûcheron canadien. Ils s'exhibaient sans complexe et sans pudeur. Il nous fit un clin d'œil et elle nous tira la langue. Puis ils changèrent de position et je pus alors découvrir le volume impressionnant des organes génitaux de l'homme, inversement proportionnels à la minceur de ses fesses. Couché sur le flanc, il pénétra sa compagne de biais par derrière, la longueur de son pénis lui permettant d'aller et venir en profondeur sans dépenser beaucoup d'énergie.

Je sentis la main de ma copine sur mon sexe et je compris qu'il était grand temps de se mettre à l'unisson après les émotions de la journée.

Le lit de notre chambre était d'une largeur inusitée mais le spectacle nous avait tellement excités que ce détail nous échappa sur le moment. Dans la pièce d'à côté, ça devenait très chaud. La femme bramait de plaisir et ma copine se crut obligée de relever le défi. C'était à celle qui poussait le cri le plus strident. Mais nous avions commencé plus tard et quand nous prîmes notre pied, il y avait beau temps que nos hôtes avaient rendu les armes. Ce qui ne les empêcha pas de nous mater dans l'encadrement de la porte qu'ils avaient ouverte sans vergogne. Morts de fatigue, nous ne nous formalisâmes pas et nous endormîmes dans le vaste pieu.

Le lendemain, le petit-déjeuner fut grivois. La femme, qui s'appelait Nadine, ne tarissait pas d'éloges sur ma virilité. L'homme, prénommé Roger, complimenta ma copine sur son corps et sa sensualité. Quant à nous, nous les félicitâmes pour leur liberté d'esprit et de mœurs :

- Nous sommes libertaires en politique comme en amour, répondit Roger. Il n'y a pas très longtemps, nous vivions encore dans une communauté.

Serviables, ils ne se firent pas prier pour nous emmener au village le plus proche, afin que nous puissions téléphoner. Ils nous prêtèrent même de l'argent pour nous acheter chacun un short, un tee-shirt et un maillot de bain. L'après-midi, nous descendîmes à la rivière pour nous baigner nus et voir passer quelques bateaux occupés, comme d'habitude, par une population le plus souvent jeune et dénudée. Nadine avait un corps un peu lourd mais ses formes opulentes, lorsqu'elles étaient raffermies par l'eau, lui conféraient un érotisme torride de star italienne. J'étais fasciné par les larges aréoles brunes de ses seins cuivrés, massifs et droits comme ceux d'une négresse. Quant à ma copine, je vis bien qu'elle était fascinée par les tablettes de chocolat et surtout l'entrejambe de Roger. Elle me lâcha dans un souffle :

- Il a vraiment le paquet, ce type. J'ai toujours pensé que ceux qui n'en ont pas beaucoup derrière en ont beaucoup devant.

Au dîner, le couple entreprit de nous raconter sa vie. Tous deux étaient d'anciens professeurs de lycée, lui en EPS, elle en français.

- Au début, on ne se fréquentait pas, raconta Nadine, nous évoluions dans deux sphères totalement distinctes. Je le trouvais bel homme, mais ça s'arrêtait là. J'étais mariée, lui aussi et nous avions chacun deux enfants. Puis mai 68 est arrivé. On s'est retrouvé dans les manifs et les AG. C'était une atmosphère un peu foldingue, on rentrait très tard à la maison, on n'en finissait plus de discuter et de refaire le monde. On s'appréciait de plus en plus et un jour, on a fait l'amour ensemble. Pour moi, ç'a été une révélation. Avec Roger, je pouvais avoir deux ou trois orgasmes dans chaque rapport alors qu'avec mon mari, je savais à peine ce que c'était. On squattait une chambre chez des copains et on ne quittait plus le lit. Pour nous, mai 68 s'est arrêté dans un plumard. Quand l'été est arrivé, on a tout plaqué, famille et boulot. On a trouvé cette maison et depuis, je vis de cours par correspondance et Roger enseigne le yoga au village de vacances voisin.

Quand le temps fut venu de regagner notre chambre, Nadine et Roger s'invitèrent dans notre lit géant, le plus naturellement du monde, comme une évidence. Ils étaient évidemment dans le plus simple appareil.

- Ce pieu n'est pas fait pour un couple mais pour deux, rigola Nadine.

Sans doute pour nous mettre à l'aise, nos hôtes ne s'occupèrent pas de nous mais d'eux-mêmes. Nous assistâmes in vivo à leurs préliminaires bucaux-génitaux, nous écoutâmes leurs petites cochonneries verbales et Roger pénétra Nadine et ses lunettes rondes sous nos yeux, sans que nous ayions seulement commencé de nous caresser, fascinés que nous étions par l'exhibitionnisme du couple. Après avoir besogné tranquillement sa compagne, au rythme lent du laboureur, l'homme se retira et présenta sans façon sa verge luisante de Priape devant le visage de ma copine. Celle-ci eut d'abord un petit mouvement de recul, comme effrayée par la dimension de l'engin. Elle me regarda avec l'air de s'excuser et mue par une force irrépressible, sa bouche engloutit le gland congestionné de notre hôte.

Pendant ce temps, la vaste crinière brune de Nadine s'était rapprochée de mon giron et une langue délicieusement agile prit possession de mon pénis, moins puissant mais tout aussi gonflé. Ma copine, que je croyais à mon usage exclusif, avait maintenant les chevilles contre les oreilles de l'athlète qui l'avait pliée en deux pour la pénétrer le plus profondément possible et le lit s'agitait comme chaloupe en tempête. A l'autre bout de la couche, Nadine, les jambes très écartées, les genoux fléchis, la vulve béante sous sa luxuriante végétation, offerte, consentante, attendait mon bon vouloir :

- Prouve-moi que tu es viril, toi aussi.

Ce genre de défi, il ne fallait pas me le lancer deux fois, surtout venant d'une Vénus lascive de lupanar agreste. Oubliant ma copine, qui couinait de plaisir derrière moi, je me ruai sans précaution dans le vagin de Nadine qui cria :

- Eh doucement, je ne suis pas une génisse !

Mes assauts furieux devaient avoir une certaine consistance car elle manifesta très vite une ardeur symétrique. Elle me griffait le dos en me traitant de petit salaud et me verrouilla si bien les reins par la pression de ses talons que j'éjaculai dans la même position, la laissant pantelante et, je crois, satisfaite, malgré la relative brièveté du coït. Mais à la tête du lit, le gars Roger était loin d'avoir fini son boulot. Ma copine le chevauchait en nage et je regardai épaté les circonvolutions enthousiastes de son beau fessier. Où donc était-elle passée, la fille qui me traitait comme un mari ? Stimulé par la main de Nadine, je recommençai à raidir. Roger désarçonna sa partenaire et lui proposa une double pénétration avec mon concours :

- D'accord, répondit-elle, mais c'est mon copain qui m'encule.

Et nous voilà partis dans une figure compliquée, où les jambes se mêlaient aux bras et les sexes aux sexes. Nous étions tous sportifs, heureusement. Nadine exigea le même traitement et obtint un orgasme aussi violent avec des positions masculines inverses de l'acte précédent. Apparemment, elle acceptait la matraque dans son fondement épanoui avec aisance et satisfaction. J'avais éjaculé une nouvelle fois alors que Roger, parfaitement maître de lui-même, était toujours gaillard. Ma copine le prit alors par la main et le conduisit dans la cuisine :

- Viens, j'ai envie que tu me prennes sur la table.

C'était chez elle un fantasme que je connaissais bien pour l'avoir plusieurs fois satisfait, mais là, en terrain inconnu, c'était assez exotique. Nadine et moi, nous les suivîmes. Allongée sur la table, ma copine subissait les assauts de l'homme debout qui la tenait fermement par les cuisses et qui avait remplacé le rythme lent du laboureur par le staccato du métronome. La table se déplaça de trois bons mètres pour se bloquer contre l'évier et ils prirent l'un et l'autre leur plaisir dans un vacarme de cris et de grognements qui nous laissa, Nadine et moi, à moitié assourdis. Ma copine regarda l'homme, les yeux éperdus de reconnaissance, et je me demandai si je n'allais pas devoir ramer tout seul les jours prochains. Nadine n'avait-elle pas tout cédé elle-même à cette bête de sexe ? Heureusement qu'elle était là mais curieusement, elle ne semblait pas du tout jalouse.

Le lendemain, la question se posa si nous allions rester quelques jours ou pas. Nous eûmes, ma copine et moi, une petite scène dans notre chambre : je voulais repartir, pas elle et je comprenais trop bien pourquoi. Du reste, elle n'en faisait pas mystère :

- J'en encore envie de baiser avec ce type. Tu ne m'as jamais déçue mais lui, c'est autre chose, il est phénoménal de puissance et de virilité. On a l'impression qu'il est capable de se retenir indéfiniment et d'attendre tranquillement le plaisir de la femme.

Il y avait de quoi faire des complexes et je manifestai une certaine agressivité, alors que j'avais moi-même usé et abusé de la sensualité de l'épouse.

- Et tu crois que sa femme va accepter une nana plus jeune sous son toit ?

L'argument ne porta pas car elle croyait à la répétition des parties à quatre. En revanche, l'attitude du couple fut sans ambiguïté.

- On s'est bien amusé ensemble mais il vaut mieux que vous repartiez, dit Roger. Vous avez des tas de choses à faire en commun et nous aussi. Restons-en là, n'est-ce pas ?

Deux heures plus tard, nous étions sur notre canoë, ma copine un peu tristounette mais la magie de la rivière aidant, nous retrouvâmes vite le goût de l'aventure. Jeunesse, jeunesse, que tu es versatile ! Nous avions pris pour repère une autre embarcation devant nous et nous accélérions l'allure pour la rejoindre, par jeu. Arrivé à hauteur, nous nous aperçûmes que les deux pagayeurs étaient un monsieur d'âge mûr chauve comme un caillou et poilu comme un gorille, accompagné d'une dame grisonnante aux cheveux très courts et aux formes opulentes, tous deux aussi nus et bronzés qu'on peut l'être. C'était notre couple libidineux de l'autre jour ! Ils nous reconnurent et une discussion amicale s'engagea. Ils nous proposèrent un camping commun au bord de l'eau que nous acceptâmes bien volontiers. Une autre aventure commençait.

(À suivre)
Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 02:09
Ce récit est la suite du texte « Retour de soirée »

Comme convenu, Alban nous a téléphoné. Le vendredi, en fin de journée, nous passons le prendre chez lui pour aller voir son « bon copain » qui, lui, habite dans une autre petite ville de l'Hérault.

Arrivés à une belle villa, nous sommes accueillis par un Africain, l'ami d'Alban. De grande taille, bien bâti, Jérôme, élégamment habillé, nous fait visiter la maison : quatre chambres à coucher, deux salles de bain...

Ses parents actuellement à l'étranger, ce jeunot de 23 ans est donc seul dans cette vaste villa. Dans le salon, une grande table basse est garnie d'une dizaine de flûtes à champagne, divers amuse-gueule et petits fours et, en son centre, un splendide bouquet de fleurs parmi lesquelles jaillit une merveilleuse rose rouge.


Installée sur le canapé, entre mon mari et Alban, Jérôme nous sert le champagne, du brut. La consigne a bien été passée ! Puis il s'assied dans un fauteuil, me faisant face. Durant la conversation, il me regarde avec un sourire qui découvre une belle dentition. Je porte une jupe courte, noire, et un chemisier légèrement saumoné, dont l'échancrure vaut le coup d'œil. Jérôme ne se fait pas prier pour regarder lorsque je me penche vers la table basse pour taper dans les amuse-gueule et petits fours. Alban pose sa main gauche sur mon genou bien découvert ; la chaleur de sa main passe comment un courant le long de ma cuisse et, instinctivement, mes cuisses s'entrouvrent légèrement. Le regard de Jérôme s'y glisse rapidement. Je lui souris ; il se lève alors, prend la rose rouge et vient me l'offrir. Je me lève ; il me serre doucement par la taille, contre lui, tandis que moi, tenant ma rose d'une main, je pose l'autre sur son épaule et plaque bien mon bas-ventre contre le sien, pour discrètement mesurer l'intensité de sa forte érection. Il m'embrasse sur les joues et me glisse dans l'oreille des mots plus qu'aimables qui feraient rougir une jeune vierge, alors que moi, je les ressens avec une intense salacité.

Mais voilà que l'on sonne à la porte. Jérôme s'excuse et va voir. Alban m'interroge :

- Comment le trouves-tu, Jeanine ?

- Gentil ! Bien balancé, mais je te préfère beaucoup, toi, Alban !

- Ouais ! Tu vas avoir une bien grosse surprise, chérie !

On entend parler à l'entrée. Il semble qu'il y ait trois personnes, trois voix d'hommes. Au bout de quelques instants, Jérôme revient accompagné de deux hommes, deux Africains.

- Voici deux de mes copains, de passage dans la région. Je ne peux pas leur refuser de prendre champagne avec nous. Je vous présente Didier et Emile.

Ah ! ce Didier, qu'il est mignon ! Nos regards se sont accrochés. Son sourire timide me va droit au cœur. Il comprend, lui aussi, qu'il me plaît, que je lui plais. Les deux nouveaux venus s'installent en face de moi. Je n'ose faire voir aux autres que j'ai un « ticket » avec Didier, aussi je fais des sourires à tous. Puis soudain, je comprends tout ! Ils ne sont pas de passage ! Ce n'est pas un « bon copain » qu'Alban voulait me présenter, mais bien trois ! J'ai comme une boule à l'estomac, je sens mes jambes qui flageolent ; heureusement que je suis assise ! J'entends à peine la conversation. Je vide ma coupe et en prends une autre. Pierre me jette un œil ; je crois que lui aussi a compris que je suis tombée dans une souricière ! Il s'assied à côté de moi et murmure :

- Ça va, Jeanine ?

- Hum ! Hum ! Oui.

Je dois me ressaisir, après tout ce n'est que l'effet de surprise.

Je m'excuse auprès de ces messieurs et vais à la salle de bain. Là, une petite retouche du visage, rouge à lèvres et le grand jeu... je retire mon soutien-gorge, ajuste une bonne ouverture à ma blouse et retire ma culotte. Je passe mes doigts sur ma vulve pour constater, avec une agréable surprise, que mon frottement avec Jérôme et la touche avec Didier ont eu un effet magique. Tant mieux ! Mes mâles vont en profiter et moi tout autant. C'est donc avec grande assurance que je retourne auprès de ces messieurs.

Ah ! Quel formidable ravissement de voir tous ces regards concupiscents qui me transforment en une femelle en rut ! Le terme est fort, mais exprime bien l'état dans lequel je me trouve. Oui, je me l'avoue, cela fait des lustres que je n'ai pas eu une telle envie de saillies, comme les premières connues avec Pierre !

Sur le divan, je m'installe entre mon mari et Jérôme qui a tôt fait de repérer ma blouse généreusement échancrée et d'y introduire sa grosse patte tandis que de l'autre il finit de la déboutonner pour en faire jaillir mes seins ; l'un est étonnamment malaxé avec douceur, tandis que le téton de l'autre est sucé par ses lèvres épaisses. Je ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse et régale les yeux de mes autres mâles de mes cuisses largement offertes.

C'est alors que mon mari intervient :

- Jérôme, avant de continuer ton amoureuse dégustation, je crois qu'avant les grandes manœuvres auxquelles vous êtes tous conviés, il faut préparer le terrain. Pourquoi ne pas dégager les meubles dans un coin de ce vaste salon et placer des matelas sur le parquet ?

L'accord étant unanime, tous, déjà torses nus, s'activent à déplacer les meubles. Je fais un clin d'œil à Didier pour qu'il m'aide, avec mon mari, à ranger les verres et les plateaux pendant qu'Alban, Emile et Jérôme montent à l'étage pour aller chercher les matelas. Didier et mon mari rient, tout en rangeant la verrerie. Je m'approche près de Didier, par derrière, entoure sa taille, colle ma joue sur son dos nu et chaud et dis à Pierre :

- Serais-tu d'accord mon chéri pour que Didier, seul, vienne un soir à la maison ?

- Tout à fait d'accord ma belle. J'ai vu que Didier et toi, ça a fait un beau « tilt ».

- C'est vrai Pierre ta femme me plaît énormément. Dès que je l'ai vue j'ai craqué ! Tu peux me croire, Pierre, je la traiterai avec respect et douceur tant que tu le voudras, sans m'imposer afin de ne pas briser votre vie à deux.

Toujours plaquée contre lui, ma main droite glisse sur ses abdominaux, puis s'insinue doucement dans le pantalon... Pierre regarde mon geste, l'approuve. Je touche au but :

- C'est vrai que Didier m'aime énormément ! J'en tiens la preuve vivante !

Je dois faire vite, les autres redescendent ; j'offre mes seins à Didier...

Tout est en place, le parquet est matelassé. Allongée sur le dos, blouse détachée, genoux relevés, cuisses entrouvertes, je regarde ces messieurs enlever pantalons et slips, tandis qu'ils admirent avec une convoitise exacerbée la proie dont ils vont se repaître. De mon côté, je suis stupéfaite, ravie, de voir quatre queues noires, tendues à l'extrême, bien dressées, frôlant les ventres, positionnées à une heure, confirmant ainsi la tendre jeunesse de mes prétendants.

Encore cette petite angoisse qui resurgit : ma gorge se sèche, j'entends les battements de mon cœur. Oui, je vais subir les assauts de ces quatre membres noirs, dont celui de Jérôme est d'un très impressionnant calibre. Pour la première fois cinq hommes vont disposer de moi ! Pierre doit comprendre mon inquiétude car il se place à côté de moi, tandis qu'Alban ôte ma blouse et me murmure des mots doux d'encouragement. Emile, dont j'avais quelque peu oublié la présence, me sourit et cela semble m'apaiser. Je fixe mon Didier qui s'agenouille à mes pieds, caresse mes jambes pour remonter le long de mes cuisses. Le bien-être que je ressens alors me les fait ouvrir davantage. Je suis heureuse de lui offrir en priorité mon intimité que ses doigts pénètrent délicatement ; je ferme les yeux et me sens beaucoup plus détendue, plus réceptive.

Je ne sais qui retire ma jupe... Je suis entièrement nue, à la merci de mains qui parcourent mon corps. Une langue sur chaque sein, une troisième qui flâne sur mes cuisses pour remonter vers mon antre, deux hampes fermes, chaudes, déjà ruisselantes qui coulissent dans mes mains tandis qu'une troisième sollicite ma bouche. J'ouvre les yeux, j'aperçois Didier dont la langue fourbit mon sexe, et la queue qui frôle ma bouche est énorme : celle de Jérôme ! Voilà la grosse surprise à laquelle Alban faisait allusion ! Puis les mains qui tripotaient mes seins, les ont désertés ; les membres qui s'agitaient dans mes mains, se sont retirés. Le champ est libre pour Jérôme qui me sourit. Il est costaud, je crains sa brutalité, mais non. Ses gestes sont délicats ; il se place au-dessus de moi, glisse ses genoux sous mes aisselles pour me présenter, avec un sourire qui me met en confiance, son gros gland noir décalotté. Je lui rends son sourire ; mes lèvres frôlent son engin puissant, chaud et déjà abondamment juteux. Appuyé sur ses avant-bras, il s'infiltre légèrement entre mes lèvres ; nos regards sont rivés, complices et avec une infinie précaution il s'enfonce dans ma bouche. Ma main droite saisit le fabuleux sceptre, le maintient bien décapuchonné, tandis que ma gauche palpe les fesses musclées. La langue qui me fourbit me fait exploser ; de ma bouche obstruée par l'imposant visiteur sortent mes grognements de plénitude. Sur ma gauche, j'aperçois mon mari dont le regard grave mais plein de tendresse contemple ma besogne ; j'en suis à la fois émue et fière. Un autre bienfait m'envahit : mon entrecuisse s'ouvre pour recevoir, et avec quel délice, une lente et profonde saillie de je ne sais qui ; elle me comble, aux deux sens du terme, à tel point que j'en perds ma concentration sur la queue de Jérôme. Celui-ci se penche vers mon visage pour me susurrer :

- Tu fais merveille ma belle. Attention ! Tu ne vas pas tarder à déguster la récompense que je vais te verser.

Je retire le membre de ma bouche que je laisse ouverte en attente de la récompense. Pierre ne veut rien manquer ; il m'embrasse sur la joue et moi, toujours la splendide queue en main, je joins mes lèvres aux siennes. Nos langues se lient tandis que la virilité de Jérôme s'insinue entre nos bouches qui se dessoudent. Je masturbe lentement la colonne noire dont le gland sécrète le suc pour moi si exquis. Pierre voit la pointe de ma langue se diriger sur le méat pour récupérer le filet qui s'en écoule. Je comprime le gland pour provoquer un autre écoulement que je déguste sous le regard contemplatif de mon cher époux ; quel intense bonheur pour moi de voir mon mari partager cet instant, tous ces instants sublimes avec mes jeunes amants ! Ma libido m'est revenue certes, mais en même temps je prends encore plus conscience du sentiment amoureux qui me lie incroyablement à Pierre.

Jérôme craque ! La force de projection est étonnante et l'éjaculation très généreuse ! Alors que je savoure cette abondante sève chaude, Pierre s'empresse de me couvrir de baisers tout en me témoignant par des mots crus sa satisfaction. Quel bonheur !

Mon solide gaillard bascule sur le côté et je constate la rapide défaillance de sa superbe, cause du délicieux traitement que je lui ai administré et avec quel plaisir !

C'est Alban qui me baise ! Ah que je suis heureuse ! Nous échangeons un sourire. De chaque côté de mon visage, Emile et Didier, à genoux, me présentent leurs offrandes. Comme ils sont généreux ! Comment ne pas honorer ces si majestueux présents ! Didier se penche vers moi pour me murmurer :

- Emile est puceau.

Voilà donc ce qui explique son air tristounet, embarrassé. Je me sens, tout à coup, pleine de compassion pour lui. Mon devoir me commande de prendre en mains, si je puis dire, ce jouvenceau qui en bave déjà ! Ma main droite le maintient décalotté et l'attire gentiment vers mes lèvres. Je vais le gamahucher comme il se doit. Je me tourne brièvement vers Didier pour lui faire un clin d'œil ; il comprend que je vais soigner son copain et libère ma main gauche.

Mais Alban me tringle avec délice et mon plaisir va crescendo. L'apothéose ne saurait tarder car la baguette du maestro mène bien le concerto ! Ça y est ! Pour moi c'est le final et c'est tout juste si je ne hurle pas ma félicité. Ouf ! Foutrement bon, les contractions de mon utérus sous les chaudes aspersions !

Emile, quelque peu penaud de voir mon visage ravagé de plaisir, fait doucement coulisser son prépuce. Quelques instants pour reprendre mon souffle, mes esprits et j'entreprends la flûte, ô ! combien enchantée, de mon jouvenceau. Mes lèvres l'enrobent juste au bourrelet du gland ; j'alterne succions et petits coups de langue sur le méat pour, toujours par égoïsme, me délecter des préludes de cette verge d'ébène. Le jeunot s'impatiente ; ses poussées se faisant insistantes, d'une main je soupèse ses boules bien gonflées, de l'autre je lustre son instrument, tandis que ma langue virevolte pour une mélodie de bonheur dont la fin prochaine m'est annoncée par les longs et profonds gémissements du jeune mâle. Ça y est ! Je reçois l'abondance de sa jouissance que je garde dans mon palais jusqu'à ce que, lentement, le membre s'évade hors de ma bouche ; je l'entrouvre pour permettre à mon mari de voir la copieuse semence que j'absorbe par petites gorgées.

Et maintenant Didier ! Ce garçon me plaît beaucoup, j'en suis folle. Bien entendu il y a le fort attrait sexuel mais aussi un côté sentimental indéfinissable. La douceur de son visage, ses mains fines, sa poitrine presque imberbe, son corps svelte, athlétique sans trop, la couleur de sa peau, noire bien sûr, mais pas d'un noir charbonneux. Comble du bonheur pour moi et pour l'usage bien particulier que je souhaite en faire, sa queue n'est pas trop épaisse mais d'une mesure impressionnante, s'approchant du diaphragme. Or, entre le pubis et le nombril, la distance moyenne étant de 20 cm et du pubis au diaphragme de 30 cm, j'évalue cette belle pièce de 25 à 28 cm. Ayant fait part de mon estimation à Pierre et Didier, ce denier me confirme les 28 cm.

- Ne crois-tu pas que je devrais offrir mon petit passage à la splendide queue à Didier ? demandé-je à Pierre.

- Oui ma chérie, je suis d'accord et Didier ne dira certainement pas non.

Didier et moi échangeons un sourire ; je fixe son gland ruisselant de désir que mes lèvres attendent d'envelopper. Il s'approche ; mon odorat est sensibilisé par les puissants effluves du scrotum qui me grisent, m'enivrent. Le gland frôle mes lèvres. J'ai tellement envie de le goûter que l'attente me paraît extrêmement longue. Ah ! Enfin il caresse mes lèvres et avec quelle douceur il les écarte, s'introduit dans ma bouche pour glisser sur ma langue. Ô queue, tu es bonne ! J'apprécie ta chaleur, la douceur satinée de ton gland et le généreux suc dont tu veux bien me gratifier.

Didier, à genoux au-dessus de moi, s'enfonce dans ma gorge ; mes mains malaxent ses fesses fermes. Son rythme est lent, c'est agréable, mais il ne va pas assez profond. De mes mains je fais alors pression sur ses fesses pour qu'il s'enhardisse ; il a compris : dès que je relâche la pression, il remonte. La cadence est maintenant bonne. Par moments je suis légèrement étouffée, mais c'est un vrai délice ! Ouf, les sensations sont extra ! Je sens que ma chatte mouille abondamment. Je voudrais bien, là, une langue ou une pénétration. Mais Didier se retire pour me laisser reprendre mon souffle. Je le fais mettre sur le dos et moi à genoux entre ses cuisses. Je prends la belle chose en mains sous les yeux de Pierre accoudé à ma gauche, toujours spectateur attentif et admiratif. Il jubile de voir mes lèvres lisser lentement le gland, en suçoter juste la pointe ; puis je le maintiens décalotté dans l'attente d'une coulée de sève, prémices de sa jouissance. Une première s'écoule lentement sur le frein, puis une seconde. Je regarde mon mari qui attend de voir ma langue éponger cet albumen dont je raffole. Je comble son désir, celui de Didier et le mien ! Ma langue récupère le précieux fluide. Didier ne tient plus, aussi j'absorbe au mieux toute sa queue.

Mon mari s'est éloigné de nous. J'en suis étonnée mais, pas longtemps ! Les éclairs d'un appareil photo saisissent la scène. Tant mieux ! Je pourrais ainsi revoir tous ces magnifiques instants avec Didier, toutes les saillies dont j'aurais profité, mes seins honorés de la semence de tous mes mâles, ma bouche sollicitée par ces jeunes membres.

Mes succions s'accentuent sur le gland de Didier. Il commence à gémir, son plaisir s'intensifie. Il nous avertit de sa fin prochaine. Je le prends en main, le masturbe lentement mais fermement, ne recouvrant pas le gland. Du méat, je vois sourdre mon nectar préféré. Mes lèvres pompent, et avec quel délice, la pointe du gland. J'aspire comme pour vider mon chérubin de tout son jus. Brusquement je m'emballe. J'accélère mes va-et-vient ; une sorte de frénésie s'empare de moi. Je retire la queue de ma bouche pour m'en badigeonner tout le visage et, en alternance, la sucer encore. À Pierre, émerveillé, je dis mon bonheur. Didier ne tient plus et son expulsion est proche. J'ouvre ma bouche, tends la langue afin que Pierre assiste au spectacle. Brusquement, de la queue noire, jaillissent quatre à cinq jets puissants qui tapissent mon palais d'une onctueuse et chaude semence ! Pierre peut en mesurer l'abondance et sous son regard je déguste le nectar de mon jeune amant.

Délicatement ma bouche recueille le membre déjà quiescent pour en absorber l'ultime reliquat ; puis Didier bascule sur le côté.

Mon mari m'offre une coupe de champagne, geste que j'apprécie, ce qui va encore, si besoin était, me plonger dans une griserie nouvelle. Ma bouche ainsi rincée, il goûte à mes lèvres, fouille mon palais, nos langues se mêlent. Je le fais coucher sur le dos et me place entre ses cuisses. Son gland est remarquablement baigné d'une généreuse onctuosité, due à la forte excitation du spectacle que je lui ai offert. Ma langue commence à recueillir le merveilleux suc qui s'écoule lentement. Je prends le gland en bouche et avec quel délice je savoure ce précieux jus si doux, si velouté ! J'aspire goulûment la sève de mon mari. J'en veux davantage ! Quel bonheur est le mien de sucer Pierre ! De l'entendre gémir sous ma caresse m'excite terriblement. Je sens mon désir s'accroître entre mes cuisses. Tout en le gardant dans ma bouche, Pierre et moi nous nous plaçons sur le côté. Il m'annonce qu'il va craquer. Je cesse de le masturber et ralentis mes succions. Je le lèche lentement. Ça y est ! Il se vide, me coule sa crème tiède. Je n'avale pas tout de suite ; j'apprécie la perte de son énergie, sentir fondre rapidement son membre. Je le garde jusqu'à ce qu'il retrouve la mesure de celui d'un enfant ! Le gland est maintenant tout petit. Pierre me sourit :

- Tu n'as pas encore avalé ma chérie ?

Je fais non de la tête. Il me sourit :

- Gourmande !

Ma bouche toujours garnie de sa petite présence, je déglutis lentement sa semence. Puis il s'évade de mon chaud refuge. Pourtant je ne puis résister au plaisir d'enfourner son sexe si diminué et son scrotum. Un bon moment, je garde le tout, bien au chaud, dans ma bouche, jusqu'à ce que Pierre s'assoupisse.
Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 02:35
Retour de soirée - « in vino veritas ! »

Ce dernier samedi d'avril, nous revenons, mon mari, Pierre, et moi, Jeannine, d'un dîner chez des amis.

Après trente ans de mariage, mon mari est toujours insatiable, tandis que moi depuis quelques années, ma libido a disparu, et la « chose », que mon corps réclamait si intensément, m'est aujourd'hui bien indifférente, même insupportable, car la pénétration m'est fort douloureuse.

Nous avons tous les deux soixante ans. Lui 1,80 m, svelte, toujours plein d'humour. Moi 1,63 m, 59 kg, visage agréable, même joli, dit-on, lèvres pulpeuses, certes, exquises pour les baisers, mais aussi, à la bonne époque, pour un autre délice ! Les formes sont généreuses aux bons endroits, par exemple pour mes avantages : un 90 D !

À ce dîner, nous n'étions pas quatre, soit deux couples, mais cinq ! Un jeune noir, dans la vingtaine, que le mari de ma copine avait connu lors d'une mission en Afrique, Alban, venu à Paris pour ses études en médecine, est aussi grand que mon mari mais beaucoup plus athlétique. Les traits de son visage sont fins, sa voix est suave, en harmonie avec la calme personnalité du jeune homme.


En voiture, nous reconduisons Alban. Arrivés devant chez lui, il nous fait la remarque :

- Nous n'avons pas pris de café... Voulez-vous monter en prendre un ?

- Tiens, c'est vrai ! Tu es d'accord, Jeannine ?

J'acquiesce, et nous voilà dans son petit appartement modeste, mais propre et tout en bon ordre.

- Je vous avoue, Alban, que votre café est bienvenu ; il va m'aider à me dégriser car le repas était bien arrosé...

Alban nous fait installer dans son salon, puis passe dans sa petite cuisine. Mon mari, constatant que je suis bien pompette, me demande si je n'ai pas quelques nausées. Je le rassure tout en lui disant que je piquerais bien un somme.

- Tu as remarqué, Jeannine, comme Alban te regardait ? Il a l'air d'en pincer drôlement pour toi !

- Oui, je l'ai remarqué... Mais je n'y puis pas grand-chose et cela m'est bien égal ! Ceci dit, je vais aux toilettes...

Après avoir fait mon petit besoin et quelques légères retouches au visage, je retourne au salon où je trouve mes deux hommes installés dans le divan, mais pas de café dont je sens pourtant l'arôme en provenance de la cuisine. Alban s'explique :

- Jeannine, j'ai deux bouteilles de champagne au frais... Cela vous tente ? Mais attention, c'est du brut !

- Ah du brut ! C'est ce que je préfère ! D'accord pour le champagne, Alban !

Petite discussion banale sur le dîner de nos amis ; alors que nous en sommes à notre troisième coupe, Alban se lève pour mettre un peu de musique, un slow et m'invite à danser.

- Avec plaisir, Alban, cela fait si longtemps que je n'ai pas dansé.

Me voilà dans des bras d'un autre continent. Cette danse est langoureuse, je me sens bien, légère, heureuse et tout naturellement ma tête se pose sur l'épaule de mon partenaire. Je sens son odeur, son musc un peu fort, mais que j'apprécie. La main d'Alban fait pression sur ma taille ; au gré des pas, mon bas-ventre frôle une puissante érection. Je suis étonnée de ma réaction, car ce contact, bien loin de me révolter, semble m'attirer, m'exciter !

Toujours est-il, que prise d'un délicieux vertige, comme dans une semi-inconscience, par des frottements pressants, je manifeste mon intérêt pour cette jeune et ferme tige. Là, Alban, encouragé, prend les choses en main en saisissant ma croupe qu'il commence à malaxer. Mon regard croise celui de Pierre ; nous échangeons un sourire ; il se lève, se place derrière moi pour détacher ma jupe. Alban en profite pour glisser ses mains dans ma culotte étant ainsi en prise directe avec mes fesses. Je ferme les yeux pour apprécier la douce chaleur qui m'envahit et me décolle légèrement de mon cavalier, invitant ainsi mon mari à libérer mes deux hémisphères.

Dans la chambre, jupe et culotte abandonnées dans le salon, Alban détache ma blouse, Pierre, derrière moi, la fait glisser de mes épaules. En soutien-gorge pigeonnant, ultime voile, je ressens fortement la convoitise du jeune mâle qui ne résiste pas à déposer un baiser sur mes seins. Lentement Pierre dégrafe, Alban fait glisser les bretelles.

Ah ! le regard d'Alban lorsqu'il aperçoit mon offrande ! Encore aujourd'hui je mesure l'émerveillement d'un homme au vu des seins. Comme il est écrit : « Le sein nourrira l'enfant et réjouira l'homme ! » Alban les soupèse, et ne tarit pas de compliments ; il me suce les mamelons et je tressaille.

- Vos seins sont lourds et étonnamment fermes, Jeannine !

- C'est toujours ce que j'apprécie, ajoute mon mari.

Je retrouve mes sensations d'autrefois ou je rêve ?

En écrivant ces lignes, mon mari et moi, nous interrogeons. Fallait-il donc quelques coupes de champagne ? In vino veritas : dans la vérité est dans le vin ! Mais aussi, et surtout, un ensemble de circonstances favorables pour un tel choc émotionnel ?

Allongée sur le lit, nue, les pieds par terre, les fesses sur la tranche du matelas, les cuisses largement ouvertes, me voici offerte. Dans une profonde euphorie, je me sens bien détendue et aperçois un membre noir, lui, bien tendu. Alban s'agenouille sur le bord du matelas, sa queue touche mon nombril, glisse sur mon ventre pour remonter entre mes seins, que je réunis, pour l'emprisonner. Après un court temps d'arrêt, qui me permet d'apprécier le poids exquis et chaud du scrotum, Alban entame ses glissades ; son gland effleurant mes lèvres, j'ai soudainement envie de le happer. Pierre me sourit ; Alban se dégage de mes seins pour me poser son gland sur ma bouche. J'accueille le fruit noir, si chaud à mon palais ! Pierre jubile, baise mon front, caresse mon visage. Mais Alban se retire de ma bouche : ses lèvres aspirent fortement mes mamelons et je me sens comme électrisée. Sa langue descend le long de mon ventre, s'attarde quelque peu sur mon nombril, rôde vers mon aine, tandis que sa main caresse mon pubis. Ma chair attend... Être allongée devant lui, nue, pétrie, qui plus est au regard de mon mari, éveille au niveau de mon plexus un charivari qui se propage maintenant jusqu'à mon entrecuisse.

Ses lèvres s'emparent délicatement de mon clitoris, l'aspirent. Tous les replis de ma vulve sont léchés par sa brûlante langue. À mon grand étonnement une manifestation du désir semble poindre, s'amplifier même. Je commence à couiner et ne peux me retenir de clamer à mes deux hommes que je vais défaillir. Dans un geste lascif, mes bras se tendent, mes doigts s'incrustent dans les cheveux crépus et je maintiens la tête de mon amant pour mieux sentir sa bouche sur mon sexe, sa langue me fouiller au plus profond. Je m'agrippe à ses cheveux, par peur de chavirer. Ouf ! Mais quel délice ! Je n'ai pas le temps de sentir arriver mon orgasme et, bouleversée par son intensité, j'exulte dans cette ivresse enfin retrouvée.

Alban reprend son souffle, me sourit, satisfait de m'avoir fait revivre. Il hume ma chair quelques instants, puis de nouveau sa langue reprend un délicat balayage comme pour apaiser mes sens. J'apprécie beaucoup et très détendue, je flatte cette tête qui me procure un tel ravissement. Je me laisse aller ; je souris à Pierre qui caresse mes seins ; nos lèvres s'unissent pour un profond baiser. Je suce avidement sa langue, tandis que celle d'Alban s'active dans mon sexe. La langue se retire pour laisser place au doigt qui glisse lentement sur ma vulve abondamment détrempée de salive. Il écarte mes grandes lèvres, joue longuement avec les petites, puis s'insinue précautionneusement à l'entrée de mon vagin. Maintenant, son doigt me visite par petites touches.

- Dis-moi si tu sens la moindre douleur Jeannine ; dans ce cas, j'arrêterai.

Comprenant que Pierre lui a fait part de ma douleur à la pénétration, je lui souris :

- Merci pour ta délicatesse, Alban ; je ressens en effet un déchirement, parfois plus intense, mais continue de m'ouvrir tout doucement, j'ai tellement envie que tu me pénètres, Alban. Mon désir l'emportera peut-être sur la douleur.

Alban retire son doigt pour le porter à sa bouche ; il me sourit.

- Ta légère lubrification prouve que tu es encore très excitable Jeannine et c'est donc le bon moment pour rouvrir le passage de ton plaisir.

- Enfin une excellente nouvelle, chérie ! s'exclame mon mari. On te devra énormément, Alban et tu pourras, comme nous deux, en profiter !

Deux doigts se glissent, ébréchant un peu plus ma fente. Je ressens une sensation de brûlure, de déchirement, mais en même temps le désir semble poindre. Les doigts se retirent puis la langue revient me butiner avec une telle allégresse que mon bassin se soulève, s'agite, mes mains caressent le visage, mes cuisses l'emprisonnent. Je halète de plus en plus, Pierre masse mes seins, pince mes mamelons... Je veux aller plus loin. Je fais placer Alban sur le dos...

- Tu as raison Jeannine, viens sur moi !

Pierre bande tellement que je suce son gland abondamment juteux ; puis je passe à mon mélanoderme. De saisir le membre si chaud et bien dur du jeune mâle, décuple ma lascivité. Alban, les jambes jointes, je me place au-dessus de lui en écartant largement mes cuisses ; son gland est tout aussi ruisselant que celui de mon mari. Je le dépose sur ma vulve pour l'y faire glisser brièvement : je me sens tout électrisée. Alors, lentement, je m'empale sur le long pieux d'ébène, je pousse afin qu'il m'écartèle et ouvre à nouveau le passage ; mes chairs se distendent. La sensation est comme lorsqu'on retire le pansement d'une plaie. Je marque une courte pause. Alban abandonne mes seins pour m'attirer sur lui. Ses mains caressent mes fesses, puis les écartent. Je m'attends à la visite de son médius. Ce que je ressens alors est sublime : la langue chaude de mon mari flattant mon huis. Mon désir s'accroît d'autant qu'Alban fait palpiter sa queue. Mon envie de jouir est tellement intense que je décide de pousser à fond sur le membre du jeune carabin. Mes chairs se déchirent et je ne peux retenir un cri de douleur, mais je sais que le passage est de nouveau ouvert. Alban me murmure :

- Ne bouge plus, ma chérie. Lorsque tu te sentiras à l'aise, tu reprendras l'initiative. Tu peux aussi, si tu veux, te retirer.

- Merci Alban. Je crois que cela va aller. Te sentir en moi est si merveilleux. Je veux tellement jouir avec toi, chéri !

Et pour la première fois nous échangeons un baiser profond. Ses lèvres épaisses se soudent aux miennes, nos langues fraternisent, tandis que celle de Pierre s'active merveilleusement dans mon anus.

- Tu es très excitable, Jeannine... Maintenant, après cette nouvelle défloraison, tu devrais avoir des pénétrations plus régulières, plus fréquentes afin de bien entretenir ton chaleureux passage.

J'acquiesce et accélère légèrement ma cadence sur ce phallus d'ébène dont le coulissement m'est davantage supportable, voir même beaucoup plus agréable malgré une sensation moindre de plaie à vif. Comme j'en rends compte à mes deux mâles, mon mari me suggère d'être prise en levrette, lui désirant se placer sous moi pour me passer sa langue. Chose dite, chose faite. Je me positionne au-dessus de la tête de Pierre alors qu'Alban place sa queue entre mes cuisses. Appuyée sur mes bras, mes fesses malaxées par les mains d'Alban, je sens son membre tendu et ruisselant glisser sur mes grandes lèvres. Mes seins garnissent les mains de mon mari, alors que sa langue flatte, savoure mon bouton et passe savamment sur ma vulve ; je suis pénétrée par la queue de mon jeune amant.

Ses va-et-vient, très lents, sont de plus en plus profonds, mais d'une grande délicatesse ; malgré cette vive irritation qui m'incommode, je sens naître le plaisir grâce à la si délicieuse conjonction langue-queue. Curieuse aussi, je m'efforce de voir, sous moi, mon mari qui me lèche ; il marque une pause, déplace légèrement sa tête. J'aperçois alors, bien sûr, sa bouche au ras de ma chatte, mais aussi les lents allers et retours du membre noir. Alban se retire complètement, puis, voulant à nouveau me pénétrer, son gland frôle les lèvres de mon mari et, pour un bref instant, trouve refuge dans un nouvel antre. Ma surprise est de courte durée, car Pierre me réintroduit le précieux sceptre. Je ressens encore de la difficulté, mais mon passage me paraît bien rouvert. Encouragé par les ondulations de ma croupe, Alban accélère un peu son rythme. L'activité linguale aidant, mon désir va crescendo et je commence à ahaner bruyamment.

- Alban, mon chéri, vas-y plus vigoureusement ! Pilonne-moi fort !

- Avec plaisir, Jeannine, mais n'hésite pas à me dire si tu as mal.

Entendant nos propos, Pierre s'exclame :

- Chérie, je veux voir ça ! Change de position ! Mets-toi sur le dos, jambes en l'air !

Je me positionne donc, jambes en l'air, maintenues par Alban.

- Pierre, tu veux voir ma queue noire dans la chair blanche de ta femme ?

- Oui, Alban, la voir entrer et sortir lentement ; voir le visage de ma femme irradié de bonheur...

- Ah, mon mari, si de me voir faire l'amour avec un jeune amant de couleur te procure un immense plaisir, tu ne peux pas imaginer combien, en ta présence, le mien est encore plus fort !

Je demande à Alban de me pilonner plus vigoureusement. Ses coups de boutoir se font plus longs, plus profonds. Mon corps se cambre sous chacune de leurs poussées, les avale. J'ai l'impression de voler avec lui. Le plaisir croît, malgré la douleur encore persistante. Je sens son sexe enfler, puis comme une vague puissante déferlant sur la grève, je sens venir mon spasme tout aussi puissant. Alors que d'un cri rauque, je manifeste ma jouissance, une seconde vague se propage intensément dans mon être tout entier : je connais un anéantissement sublime. Je m'effondre. Ma respiration est haletante, comme après une course. Je reprends mes esprits, encore stupéfaite de ce moment d'ivresse impressionnant.

Mes deux hommes, quelque peu abasourdis de me voir dans un si magnifique état, me sourient. La queue d'Alban est toujours en moi, elle palpite comme pour réclamer son dû. Je comprends que lui n'a pas eu son plaisir. Je ne peux le laisser ainsi, je me dois de le récompenser mais aussi, et surtout, je vais aussi m'accorder un autre plaisir que je n'ai guère savouré depuis longtemps.

Alban, allongé sur le lit, les fesses sur la tranche du matelas et les pieds par terre, je suis agenouillée entre ses cuisses largement ouvertes et je contemple cette fabuleuse merveille d'ébène. D'une main, je soupèse le lourd scrotum, de l'autre je masse délicatement ce membre qui m'affole. Je l'hume, je badigeonne mon visage du mélange de nos sécrétions. Pierre me regarde, si étrangement heureux. Le fixant dans les yeux, lentement ma langue caresse le gros bourgeon noir d'où s'écoule le premier jus précurseur du flot dont je vais libérer mon jeune amant.

- Oui, ma chérie, tu es magnifique ainsi ! Fais-toi plaisir et fais plaisir à Alban en le suçant à fond. Montre-moi bien l'instant où sa semence se déversera dans ton palais. Je serai comblé !

Alors, je me mets à la délicieuse besogne, suçotant le bout du gland, ma langue faisant des vrilles. Ma main coulisse sur le membre, descend lentement très à fond pour remonter, sans cependant, recouvrir complètement le fruit noir dont j'attends l'écoulement du suc. Mon bel éphèbe soulève ses reins pour tenter de glisser le fruit gonflé entre mes lèvres. Mais, souriante, je retarde encore abaissant fermement le prépuce. Ma patience est récompensée : une première petite coulée de suc clair s'échappe du méat, glisse sur le frein. Comprimant légèrement le gland, une seconde vient, lubrifiant davantage le frein et déferle lentement le long du membre. Alors ma langue entreprend d'abord quelques caresses sur les bijoux de mon heureux supplicié pour, ensuite remonter le long de la hampe et savourer cette liqueur, prélude à la jouissance, que j'apprécie bien plus que l'ultime. Alban gémit, soulève davantage ses reins ; il veut que je l'enfourne. Pierre me regarde, son membre ruisselant du même suc ; je vais, là aussi, me délecter.

Revenant à Alban, j'absorbe son gland, ma tête commençant de lents va-et-vient tandis que d'une main, je le masturbe. Mon bienheureux s'agite et me supplie. Sentant la fin de son tourment proche, nous changeons de position : moi sur le dos, lui au-dessus de moi, ses genoux sous mes aisselles. Je laisse alors Alban, appuyé sur ses avant-bras, coulisser dans mon palais. Il fait l'effort de se retenir pour ne pas s'emballer au risque de m'étouffer. Comme il a pris la bonne mesure, mes mains caressent ses fesses tandis que mon médius s'introduit légèrement dans son petit passage.

Pierre a vu mon geste et me fait part de son approbation. Il contemple avec un ravissement indescriptible les lentes entrées et sorties de cette queue noire dans ma bouche, puis je garde le gland seul pour lui administrer de fortes succions. Alban nous avertit qu'il va éclater. Il s'agenouille. Pouce, index et majeur, de ma main droite, saisissent alors son pieu, le masturbent par petites et fermes saccades sans recouvrir le gland qui repose sur ma langue tendue. Bouche bien ouverte, j'attends l'expulsion de bonheur de ce gentil et beau garçon qui a su faire renaître le mien et, tout aussi important, celui de mon cher époux. Alban nous avertit qu'il va éclater ; mon mari, à ma gauche, approche son visage et assiste alors aux trois ou quatre jets puissants de la semence propulsée dans mon palais. Le membre perd de sa consistance, je le comprime pour en extraire un reliquat, non négligeable, qui échoue sur ma langue. Je souris à Pierre en déglutissant cet abondant élixir ! Le jeune mâle ne manque pas de compliments, puis bascule sur le côté.

- Viens, mon chéri, je veux, toi aussi te sucer... Cela fait tellement longtemps que dure ton sevrage.

Il n'est pas long et son expulsion n'a guère la vigueur ni l'abondance de la précédente reçue. Qu'importe, elle me comble, me souvenant de notre jeune temps. Comme à cette époque, au lieu de s'assoupir, Pierre veut me satisfaire à nouveau. Il me fait placer au-dessus de lui, mes genoux sous ses aisselles, et entreprend de me lécher jusqu'à me faire jouir !


oooOOOooo


Allongée entre mes deux hommes, je les regarde dormir. Alban m'attire vertigineusement. Je relève le drap, pose doucement ma tête sur son ventre tandis que ma main cajole sa queue encore inerte. Tendrement, j'extrais de son capuchon, le petit fruit noir encore trempé, pour le réchauffer de mes lèvres, de ma bouche où je le garde. Ce n'est pas long. Ma bouche et mon palais se remplissent d'un remarquable volume.

Mon mari, réveillé, assiste à la scène et bande ; son gland ruisselant trouve, un bref instant, asile entre mes lèvres.

Alban prend tendrement mon visage dans ses mains. Je lâche le précieux membre pour m'avancer lentement vers son visage et au passage de mes seins, je caresse la splendide virilité de mon fougueux mélanoderme. Pierre nous regarde. Je lui souris car je sais ce qu'il attend que je fasse. Je glisse le pieu d'ébène entre mes seins que je réunis de mes mains.

- Quel magnifique contraste, ma chérie ! N'est-ce pas, Alban ?

- Oui Pierre, les seins de ta jolie femme sont somptueux ! Mes 22 centimètres y sont bien au chaud ! Ils ont presque disparu ! Ah je vois la tête sortir ! Tu dois faire un mètre de poitrine Jeannine ?

- Oui Alban, 98 cm ! J'en ai de la chance avec toi chéri ! Tu es bien membré, mais la grosseur ? Tu sembles plus gros que Pierre...

- 13 cm de circonférence ; je crois que la fourchette est de 11 à 14,20 cm.

- Ah c'est le même calibre que Pierre ! Pourtant tu me parais plus gros que lui.

- Ma chérie, Alban a vingt et un ans. Il bande beaucoup plus fort que moi ; la différence est là ! Et quatre centimètres de long en plus pour te combler, ce qui n'est pas rien ! Vas-y, ma chérie, masturbe Alban entre tes fastueux appas ! Que je suis heureux de voir cette belle queue noire entre tes beaux seins ! Admirable de te voir, tout à l'heure, pomper un tel morceau, ma chérie !

Alban m'interroge :

- Chérie, maintenant que tu as retrouvé ton tempérament de jeunesse, est-ce que tu aimerais rencontrer un de mes très bons amis ?

Quelque peu étonnée de cette proposition :

- Mais Alban, je ne voudrais pas tout de même passer pour...

- Je comprends ce que tu veux me dire, Jeannine. Ne te préoccupe pas de ça et je crois que Pierre sera de mon avis, profite donc du bonheur que cela peut t'apporter ! Une femme a cette chance de pouvoir jouir plusieurs fois avec trois ou quatre hommes et même plus, alors que nous, nous sommes bien limités.

- Alban a raison, ma chérie. Quant à moi, je suis pleinement d'accord pour te voir prise par trois ou quatre jeunes mâles. La décision t'appartient donc et tu pourras vérifier, d'une part, si tu ressens encore quelque gêne à la pénétration et, d'autre part, juger de ta capacité de jouissance.

Je ne donne pas suite à cette proposition, mais dans le fond et imperceptiblement, je reconnais qu'une telle salacité me comblerait.

Alban bien enserré, je commence donc le doux supplice.

Quel bien-être de sentir la chaleur, la fermeté, mais aussi la douceur de ce membre entre mes seins ! Un ravissant contraste, ce noir enveloppé de blanc ! Il disparaît et resurgit successivement ! Enivrant spectacle, lorsque le gland noir, gonflé, émerge d'entre mes deux blanches rondeurs. Alban pousse un peu plus, j'ouvre la bouche et le cueille. Alban gémit. Du plaisir de voir mes seins emprisonner une telle proie, Pierre exulte et bande fort. Son bonheur est à la mesure du mien ; ses doigts prennent possession de ma chatte en rut, un autre s'enfonce divinement dans mon petit trou. Je ne sais plus où j'en suis. Mon plaisir, ma jouissance. Je bascule sur le dos, mes seins et ma bouche libèrent la belle queue d'ébène. Mes cuisses s'ouvrent sous le feu qui me dévore. La bouche, la langue de Pierre viennent à mon secours, suçant, fouillant dans mon antre, tandis qu'Alban se place à genoux au-dessus de moi. D'une main, je malaxe avec douceur ses couilles dont l'odeur m'affole, de l'autre je saisis sa splendide queue la décalotte pour enfin me délecter du gros fruit au suc abondant. Pierre me lèche et me boit à merveille. J'aspire goulûment et branle, lentement, l'énorme salsifis dont j'attends la chaude sève. Mais ma bouche le lâche pour pouvoir expulser un râle puissant d'extase ! Mon orgasme me bouleverse ; je tente de reprendre mon souffle, alors que la queue formidablement tendue s'agite sur mon visage.

Pierre est maintenant placé près de nous pour voir Alban me badigeonner le visage de son gland ruisselant des prémices de sa jouissance qu'il glisse plusieurs fois sur mes lèvres sollicitant leur ouverture. Ma main prend l'imposant phallus d'ébène ; je respire profondément son puissant parfum exaltant qui me rend lubrique. La pointe de ma langue virevolte sur la gourmandise noire. Alban pousse gentiment, cherchant le passage. Mes lèvres s'arrondissent, ma bouche s'entrouvre, juste ce qu'il faut, pour l'entrée du visiteur tellement désiré. Il est là, mes lèvres et ma bouche l'enveloppent et au niveau du bourrelet du gland, très délicatement, mes dents l'enserrent. À chacune de ses incursions, il est, ainsi, soumis à un voluptueux limage. Le jeune amant noir veut plus encore et moi je le veux encore plus profond. Une bonne respiration, je tends son prépuce et enfourne tout ce que je peux des 22 cm ; je le branle, lentement, mais à fond.

Alban me demande de le serrer fort ; ma langue et mes lèvres répondent à son désir ; il se met à coulisser dans ma bouche. Quelque peu étouffée, je me délecte, néanmoins, de la chaleur, de la grosseur, de la saveur du fabuleux membre. Alban m'annonce que sa fin est proche ; voulant apprécier les jets de son bonheur et que mon mari en soit le témoin, bouche bien ouverte, je tends la langue sous son gland. Ma main s'agite sur la colonne et un, deux, trois jets chauds, violents sont propulsés dans mon palais, les derniers s'échouant sur ma langue. Je garde sa laite épaisse, au goût très relevé et déjà l'ex-superbe queue fond et le gland glisse hors de mes lèvres que je ferme aussitôt.

Tandis qu'Alban bascule sur le côté, je souris à Pierre ; j'ouvre la bouche et il constate l'abondante rasade de semoule que je déglutis lentement sous ses yeux.

Alban somnole.

- Jeannine, je voudrais tant te faire jouir avec ma langue ! J'aime ta chatte, son odeur, son goût... Ah, combien je t'aime, Jeannine !

- Si tu veux Pierre ! Tu sais comme j'adore ça, mais je crains que ce soit long.

Il me fait mettre à genoux au-dessus de lui. Je lui offre ma chatte, lui plaque sur sa bouche. Ses lèvres aspirent les miennes, sa succion merveilleuse me donne la sensation que ma vulve est à moitié absorbée par sa bouche avide. Maintenant, de sa langue Pierre me fouille au plus profond, tellement que son nez s'écrase sur mon pubis.

- C'est bon mon chéri ! Tu vas me faire jouir encore Pierre !

Il saisit mes fesses, je sens son doigt gratouiller mon petit trou, il me colle sur sa bouche et y va de succions alternées de coups de langue. Je m'agite intensément.

- Pierre, Pierre ! Continue, chéri, je vais jouir...

Je suis au bord de mon plaisir. Je ne tiens plus. Ah, j'aime quand mon mari me bouffe comme ça !

Violemment je frotte mon sexe sur sa bouche. Son nez fourbit mon clito, sa langue me balaye sublimement...

- Ah, Pierre ! Je viens, je viens ! Oh que c'est bon, mon chéri !

Je m'allonge sur le dos, souffle et me détends quelque peu.

- Tu n'as pas joui mon amour ? Viens ! Je veux te sucer chéri.

Il accepte et je lui administre le même traitement qu'à Alban. Il n'est pas long à me couler sa semence, pas avec la même puissance et abondance que mon jeune étalon, mais quel bonheur ! Quelle joie de voir Pierre me sourire lorsque j'ai en bouche la virilité du bel éphèbe Alban !

Grâce à la compréhension de mon mari, j'ai retrouvé mon tempérament de jeune femme. On ne sait ce que nous réserve l'avenir, mais je ferai le nécessaire pour profiter de ma sexualité retrouvée avec des mâles qui seront de mon goût mais aussi en tenant compte de l'avis de mon époux.

Lorsque je me réveille, il est 4 heures 30 ! Je fais lever Pierre pour rentrer chez nous. Alban se lève.

Nous fixons un rendez-vous pour la semaine suivante.

Rentrés chez nous, je fais part à Pierre de cette nuit extrêmement surprenante.

- En effet, ma chérie, je crois que tu l'as, comme moi, beaucoup appréciée. Mais il y a une chose que tu n'as pas faite avec Alban et que j'adorerais te voir faire...

- Tu penses à quoi ? Ah ça y est, je devine ! Faisons-la alors tous les deux, tout de suite, et bien sûr, la prochaine fois ça sera avec Alban.

Chose promise, chose due : j'ai offert mon petit passage à Pierre qui l'a d'abord généreusement fourbi de sa langue pour ensuite... Vous devinez la conclusion.
Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 02:29

Pour réussir le cocktail Dark Angel, il faut trois ingrédients : une canette de Red Bull, 1 cl de Jägermeister et enfin 1 cl de vodka noire. Certains rajouteront un zeste de citron et d'érotisme...

La porte sonne et je pose rapidement les bols de biscuits apéritifs sur la table basse. Je vais vers la porte en criant :

- Oui ! Ouiiiiiiii ! J'arrive Camille.

En effet, il ne peut s'agir que d'elle, puisque je l'ai invitée ce soir pour une petite soirée entre nous, entre nanas, et depuis peu je devrais même dire entre deux célibataires !

Dès que j'ouvre la porte, Camille saute dans mes bras, nous sommes très contentes de nous retrouver et de passer une soirée où seuls le délire et la détente seront de rigueur. Elle me montre aussi le contenu des deux grands sacs qu'elle a amenés. Au programme, alcools, vidéos et magazines. Un cliché peut-être ? Nous assumons. Ce soir, nous n'avons pas envie de nous prendre la tête sur ce genre de questions, on veut du fun, ni plus ni moins et les autres on s'en moque !

Camille et moi sommes depuis plus de cinq ans d'excellentes copines. On s'est rencontré au lycée et on a poursuivi le même parcours en faculté. Liées et bien plus même, nous avons toujours apprécié ces soirées totalement infantiles, mais tellement énergisantes et marrantes !

Puis la période mérite, au moins, une soirée détente avec ma meilleure amie, malheureusement dans une situation similaire, concernant les amours, c'est-à-dire elle et moi avons endossé le rôle de la fille plaquée ! Elle pour une autre blonde et moi pour une rousse !

Nous nous installons dans mon salon qui fait également office de chambre, les joies de la vie estudiantine...

La soirée se déroule comme tant d'autres, on se raconte nos histoires, de boulot et de cœur surtout. Le tout devant un film, c'est Love Actually qui débute le bal, parfait pour nous remonter le moral. De toute façon, Camille et moi l'avons vu des dizaines de fois, le film n'est pas le but de cette soirée, on veut se détendre et oublier nos déceptions sentimentales et éventuellement se mettre une cuite en ragotant sur nos ennemies et en enchaînant bêtises sur délires.

Love Actually ne fait qu'un temps et c'est au tour d'un ersatz de ce dernier de prendre la relève. Le rhum et le Bailey diminuent et c'est à ce moment que Camille exhibe fièrement de son sac, délaissé sur le côté du canapé, une bouteille contenant un liquide noirâtre.

- Dis donc, c'est quoi ça ? C'est bizarre ton truc ! dis-je à Camille qui se positionne telle une assistante de magicien la bouteille énigmatique entre ses mains.
- Tu connais pas, hein ? J'en ai bu une fois, à la soirée de Sophia, c'est pas mal du tout, et tu devrais adorer c'est de la vodka ! De la vodka noire ! me répond Camille, le sourire triomphant.
- Noire ? Eh beh à la gueule c'est bizarre ton truc ! Mais j'veux bien essayer ! Allez à nous...
- ...et pas aux autres ! termine Camille. Je vais même te faire une recette... un Dark Angel !
- Waaa un ange noir ! Impressionnant ! lui lancé-je pour la taquiner sur son accent anglais !
- C'est ça, fous-toi de moi ! En attendant, c'est pour ça que Marc t'a plaquée, miss sarcastique !
- Oh t'as pas le droit, méchante ! dis-je en lui tirant la langue et lui lançant un coussin, sachant néanmoins qu'elle me taquine, elle aussi.

À mon grand dam, le coussin atterrit sur sa tête et elle renverse accidentellement un peu de vodka noire sur son débardeur.

- Oups ! Désolé ! Pas fait exprès, frotte vite pour retirer la tache ! dis-je de suite, gênée.
- Bravo ! Miss catastrophe ! Ce n'est pas grave, je vais le retirer dans la salle de bain et j'peux te piquer un vieux t-shirt en attendant ?
- Oui vas-y. T'inquiètes ! Si tu pouvais même prendre un ancien de Marc et éventuellement le tacher aussi, ça m'arrangerait, il passe demain tout récupérer ! répondis-je, contente de ma vengeance.

Pour toute réponse, j'obtiens un clin d'œil complice de ma meilleure amie et un fou rire mutuel qui nous vient simultanément. Camille se dirige vers ma chambre et je l'entends farfouiller dans ma chambre à la recherche d'un des fameux t-shirts de Marc. Pendant ce temps, je fais un peu de place dans le salon en poussant les magazines et je mets un cd dans la chaîne hi-fi. Puis je décide de rejoindre Camille qui, au vu de la lumière sur le tapis, est dans ma salle de bain maintenant.

Lorsque j'ouvre la porte, elle frotte la tache avec un produit, elle fixe mon regard à travers la glace devant elle et me sourit.

Soudain, elle retire son t-shirt et le dépose dans le lavabo qui est rempli d'eau savonneuse. Camille me fait découvrir son dos blanc laiteux. Sa couleur de peau m'a toujours surprise, un brin excitant, car mystérieuse, une telle blancheur c'est presque provocant, si pure. Je sais que tous ses anciens copains ont toujours été attirés par sa peau, voire ont fantasmé dessus. Comme pour amplifier ce phénomène, elle porte un soutien-gorge noir, ce contraste est assez saisissant, je dois bien l'avouer.

Mes réflexions s'arrêtent quand je vois ses doigts parcourir cette plage de sable blanc pour défaire son soutien-gorge et dévoiler ses deux menus seins dans le reflet de la glace où seuls deux petits tétons marron trahissent cette étendue de blanc.

- Je le retire, il me fait mal, je serai plus à l'aise, me dit Camille.
- Vas-y, te gêne pas ! Exhibitionniste va ! réponds-je en rigolant.
- M'étonnerais ça ! Ce n'est pas avec ces deux petits seins que je vais montrer grand-chose ! T'as de la chance toi, là-dessus j't'ai toujours enviée, confesse-t-elle, avec une pointe de tristesse dans les yeux qui m'attendrit aussitôt.
- Oh ! Camille t'es toute belle. Complexe pas. Puis si tu avais des gros seins, tu serais parfaite, ça serait dégueulasse pour les autres nanas. Puis toi au moins, on regarde tes yeux ! C'est pas comme moi !

Tout en la réconfortant, je lui fais un tendre bisou sur la joue et un clin d'œil à la glace pour la faire sourire et oublier son petit complexe. Elle retrouve une étincelle de bonheur dans ses yeux bleus pétillants, puis elle enfile un t-shirt large et ample, bien trop grand pour elle. Mon amie se retourne et me lance avec un grand sourire, signe que la soirée repart sur des bons offices :

- Bon on s'le fait ce fameux cocktail ? Allez, crois-moi, tu vas adorer.

Nous revenons dans le salon et nous nous asseyons en tailleur l'une en face de l'autre adossée sur le canapé. Camille prend nos deux verres et les pose à terre, puis elle décapsule les canettes de Red Bull enfouies au fond du sac. Elle m'étonne par la dextérité avec laquelle elle exécute cette fameuse mixture. Ensuite, elle ouvre la bouteille de vodka noire, la hume et me la fait sentir, on se regarde tout sourire avec une pointe d'impatience et de curiosité pour ma part.

J'ai les yeux grands ouverts, lorsque je vois le cocktail prendre forme, en effet, la vodka reste au-dessus et forme une couche noire qui donne un effet visuel étonnant.

Mon amie saisit les deux verres et m'en tend un.

- Santé un peu, amour beaucoup, sexe follement et amitié toujours !

Nous trinquons et je déguste le désormais célèbre Dark Angel.

Certes, c'est une boisson forte, mais le Red Bull estompe un peu la sensation d'alcool, toutefois les effets sont instantanés, mes joues deviennent brûlantes et sans doute rouge, une bouffée de chaleur monte en moi et mon nez me pique un peu. En face de moi, à l'identique Camille plisse un peu son nez en raison de la force de la boisson.

À la différence près qu'elle boit une seconde rasade qu'elle a du mal à finir en raison d'un étranglement issu d'un début de rire. Je la regarde étonnée, ne sachant absolument pas la cause de gloussement.

Heureusement, Camille s'aperçoit vite de mon air hébété et après avoir retrouvé un semblant de contenu, elle me pointe du doigt et m'annonce :

- Toi, tu vas vite t'apercevoir de la spécificité de cet alcool ! T'as les lèvres légèrement noircies et les dents noires aussi !
- Quoi ? Qu'est ce que tu racontes ? dis-je perplexe.
- Bah c'est simple, regarde...

Pour illustrer ces propos, elle tire la langue exagérément et à ma grande surprise, sa langue est noire !

- Eh oui, reprend-elle. La vodka noire laisse des traces sur la langue et un peu les lèvres ! T'en as plein, t'as l'air maligne ! pouffe-t-elle.
- Merde ! C'est délire ton truc ! Heureusement quand même qu'on est qu'entre nous, car on doit avoir l'air bête !

Camille retire sa langue outrageusement devant et moi et par jeu tout comme par défi, je fais de même tentant de la tirer le plus possible pour la battre. Il est vrai que sa langue est toute noire. Nos yeux sont grands ouverts et pleins de lueurs, nous sommes bêtes, mais heureuses, aidées par l'alcool et la soirée qui nous fait oublier nos emmerdes.

Et sans savoir pourquoi, comme poussée par l'ivresse du moment, j'ai envie de serrer dans mes bras mon amie, ma meilleure amie et je m'approche un peu plus d'elle. Et dans un mimétisme mystérieux, elle fait de même jusqu'à être toute proche et à s'embrasser...

On se redresse sur nos genoux, la main de l'une maintenant la nuque de l'autre. C'est un baiser foudroyant et foudroyeur. Tout semble vaciller autour de moi et très vite plus rien n'existe autour de nous. Ses lèvres sont douces et fermes, nous nous embrassons sans complaisance, avec fougue et une lueur de passion. Un frisson nous électrise lorsque nos poitrines entrent en contact. Je tombe à la renverse entraînant Camille aussi. Ma tête cogne contre la moquette, je laisse sortir un petit grognement et le temps d'une fraction de seconde tout s'arrête. Nous nous regardons, moi un peu sonnée. Camille tente de dire quelque chose, sans doute un simple « ça va ? ». Mais, elle parvient uniquement à retenir son souffle un court moment. Nous sommes essoufflées, mon cœur bat la chamade, j'imagine au même rythme que le sien.

Une mèche blonde tombe sur son visage et tout se déclenche à nouveau. Elle se jette à mes lèvres, nous nous embrassons encore et encore, découvrant les premiers délices de la féminité de l'autre.

Je suis la première à passer ma main sous nos remparts de vêtements. Je caresse son dos, de l'autre je pousse le fouillis qui traîne à terre pour nous faire plus de place et d'un roulement, la voici allongée et moi au-dessus d'elle. Je lui retire promptement son t-shirt et découvre une nouvelle fois sa poitrine, mais cette fois-ci tout est différent. Je découvre ses seins petits qui s'offrent à moi, ou plutôt à mes baisers. Du simple bout de la langue, je titille ses tétons comme je voudrais que tout amant le fasse, c'est-à-dire dans un élan de douceur avec une pointe de malice. Camille passe une main dans ma chevelure comme pour me confirmer tout le bien qu'elle ressent de ma méthode. Soudain, elle se courbe un bref instant et susurre un soupir.

Je ne peux plus résister, je désire aller plus loin, toujours poussée par un désir profond. Je descends dans une série de caresses et baisers à destination de sa poitrine et son ventre. Mes doigts et yeux arrivent au niveau de son pantalon. Un dernier regard vers son visage me confirme de ne garder aucune retenue. Son jean glisse laissant vite apparaître le tissu noir de sa culotte. Le frottement du jean et accompagné de ma langue qui glisse le long de ses jambes jusqu'à sa cheville gauche. Je remonte me positionner à ses côtés et nous nous enlaçons, ses mains se font plus osées également. Je passe mes doigts sur l'élastique de sa culotte, mais n'ose pas aller plus loin, alors j'appuie sur son bas-ventre qui paraît être brûlant sous cette étoffe de tissu.

Dans un dernier baiser, où elle me mord les lèvres, elle repasse au-dessus de moi.

- C'est à ton tour maintenant, dit-elle.

La comprenant parfaitement comme jamais, je tends mes bras afin de l'aider à retirer mon haut. Camille n'attend même pas que je dégrafe mon soutien-gorge pour embrasser mes seins, les sortir de leur balconnet de dentelle. Ces quelques baisers réveillent en moi des envies insoupçonnées jusque-là. Mon soutien-gorge vole à présent à travers la pièce, lancé dans un geste trahissant l'émotion et l'excitation.

Camille appuie sur mes seins, sans jamais me faire mal, bien au contraire, elle parvient à trouver les caresses adéquates pour mon plus grand plaisir. Je me tourne sur le dos et elle me masse, la nuque en premier avec une grande attention, car je lui ai confessé, lors d'une précédente soirée, que c'était une zone particulièrement érogène pour moi. Son massage explore mes omoplates et le creux de mon dos, ensuite, c'est un délice.

Maintenant, elle appose ses mains sur ma jupe, pile au niveau de mes fesses. Elle froisse un peu le tissu et le remonte. Mes fesses apparaissent au regard de Camille. Je sens une de ses mains tremblantes oser faire le premier contact et me faire rougir simultanément.

Soudain, je sens mon string glisser lentement puis le mouvement devient plus rapide, sans m'en rendre compte, je soulève mon bassin pour qu'elle puisse me déshabiller intégralement. Ma jupe et mon string ne sont qu'un tas de vêtements dorénavant. Me voici nue sous les faisceaux incessants de Camille.

Je sais que mon prochain geste est lourd de conséquences et je prends tout mon courage pour l'exécuter avec le plus d'élégance et de naturel possible afin d'évacuer le restant de gêne qui me tenaille encore le ventre. Délicatement, je me retourne me dévoilant aussi nue que Eve, seule la paume d'une de mes mains retarde ce moment ultime en servant d'abri à mon fin duvet intime. Mais la main de mon amie s'en empare, tendrement, et d'un geste, qu'elle réalise en plongeant son regard dans le mien, elle me dévoile entièrement.

Nous jouons un instant avec nos doigts, faisant un puzzle indéchiffrable. Puis, nous nous enlaçons une fois de plus, lors de cet énième échange de douceur, Camille entreprend une danse dans l'unique but de retirer sa culotte devenue bien trop voyante dans une telle circonstance. Et ses jambes s'enroulent autour des miennes à l'instar de nos langues.

Depuis, notre apprentissage commun de l'amour saphique, c'est elle qui est la plus timide, alors comme pour briser une timidité qui pourrait paraître pour de la retenue voire de la gêne, c'est la première à frôler de sa bouche mon sexe.

C'est une approche des plus sensuelles. Elle commence par un délicat baiser sur mon aine puis sa joue se pose et masse subtilement mes lèvres humides. Et enfin sa bouche s'ouvre sur mon fruit secret. Mes ongles se plantent dans la moquette, mes yeux se ferment par une euphorie jusque-là inconnue.

La timidité de Camille se mue bientôt en frénésie délicieuse. Sa main passe de mes cuisses, à mon ventre, se perdant des fois à travers mes doigts ou le duvet de mon pubis. Mon souffle est indépendant de mon cerveau, une larme me vient à l'œil tant le plaisir est bon et la découverte de cette nouvelle forme d'amour est électrique.

Un duel terrible naît au fond de moi. Continuer à profiter de ce torrent de plaisirs ou faire partager ces sensations mystérieuses. C'est sur un dernier frisson volé que ma décision prend forme. Je referme un peu plus les cuisses et Camille relève la tête, je profite de cet arrêt pour glisser sur elle et inverser nos positions.

Me voici, tout près de son sexe lisse. Cela ajoute à l'érotisme qu'elle ne cesse de dégager depuis le début. Tout le reste de son corps la peau de son bas-ventre est d'une blancheur éclatante. Je dirais même que cet endroit couvert par les ombres de la décence est sans doute encore plus éclatant. Seule la porte de son secret tranche avec cette blancheur. Comme si je buvais le Saint-Graal, je m'approche avec précaution et respect de son sexe et lui apporte toute la grâce de mon être.

Je lèche mon amie tentant de la faire vibrer autant qu'elle m'a fait vibrer. Elle ne tarde pas à trembler et s'agiter de toute part, ses soupirs comblent le silence du moment. À présent, ses soupirs se transforment en gémissements lorsqu'après quelques hésitations et tâtonnements j'arrive à atteindre avec couronnement son clitoris. Ma langue s'agite rapidement sans aucun arrêt, j'entreprends de parfaire mon cunni par l'approche de mon majeur vite accompagné par mon index. C'est un vrai émerveillement de la voir ainsi savourer mes caresses. Sa main sur son ventre comme pour tenter vainement de contenir une émotion qui la dépasse.

Soudain, ses pieds bougent en tous sens, un gémissement trahit tout son intérieur, mes doigts semblent être pris dans un étau. Elle se redresse à moitié dans un sursaut et se paralyse dans cette position incongrue. Puis, elle retombe comme retenue par des bras invisibles dans un mouvement extrêmement lent, son sourire, lui, est figé.

Alors que je crois qu'elle va ainsi irrémédiablement retomber, elle se retient sur ses avant-bras et stoppe ainsi sa chute.

Ses sourcils sursautent et une lueur saisissante jaillit de ses yeux. Elle s'assoit sur les fesses les jambes bien écartées, je fais de même et nous voici l'une presque contre l'autre. Seul un étroit passage nous sépare, seuls nos essoufflements se touchent. Alors que nos baisers nous reposent puis nous redonnent de l'envie, nos mains se faufilent à travers cet espace. Nous caressons l'autre tout en se fixant les yeux dans les yeux et le rouge sur le visage.

Très vite, c'est dans une parfaire harmonie que l'une répond à la caresse précédente de l'autre. Celles-ci se font de plus en vite, de plus en plus profonde. C'est un échange perpétuel de bonheur que l'on se transmet. Ce jeu dure pour notre plus grand plaisir.

Toutefois, Camille se saisit de mon poignet et le serre suffisamment pour que je cesse mes caresses à son encontre. Je devine bien vite son idée, m'offrir la jouissance que je n'ai pas encore eue. Ses doigts vont et viennent en moi à un rythme diaboliquement divin, peu à peu je sens mon être se rapprocher de l'explosion attendue. Une main passe dans son dos, presque sans le vouloir je la griffe, mais au moment où j'allais arrêter, croyant lui faire mal, je m'aperçois qu'elle apprécie au contraire.

C'est lors de cette distraction que tout mon corps s'est étendu et je reçois de plein fouet l'onde de bien-être s'abattre et imploser en moi, me laissant pantois, presque assommée. Je jouis longuement sans retenue, inondée et tout simplement détendue. Camille me prend dans ses bras après un dernier frisson mêlé de douceur.

Nous restons dans les bras, unies et ensemble, proches comme jamais. Nous nous allongeons de cette manière. Mes tempes sont encore bouillantes et vibrantes au rythme de mon cœur battant encore la chamade.

Dans une position indescriptible, les membres mêlés les uns avec les autres, nous restons ainsi collées et ensemble. Ma tête reposant sur sa poitrine, je perçois son cœur battre et reprendre une cadence plus modérée. C'est sur cette berceuse naturelle, qu'épuisée et enveloppée par une béatitude absolue, je m'endors dans un sommeil tendre et complice.

Cette soirée fut la seule, inoubliable et unique, une découverte de l'amour saphique et du paroxysme d'une amitié complice. Nous n'en avons jamais reparlé, mais à coup sûr, cela posa un scellé sur notre amitié. Ce soir-là, nous avons délaissé notre amour des hommes pour celui de la complicité féminine. Une parenthèse sensuelle, une explosion d'envies et une belle amitié, voilà les ingrédients d'un cocktail savoureux au goût éternel...

Mercredi 27 décembre 3 27 /12 /Déc 18:26
Nous allons passer des vacances aux sports d'hiver cette année ! Les réservations sont faites ; les skis, les combinaisons, tout est prêt, seul le trajet aurait pu être plus simple. Mes parents nous emmènent à mi-chemin environ, nous passons la nuit dans une veille maison de campagne familiale qui est vide depuis bientôt un an et on passe nous chercher le lendemain matin pour le reste du trajet.

Nous partons à trois avec ma cousine Pauline et ma sœur Carole. Nous avons tous entre vingt et vingt-cinq ans et nous nous entendons assez bien. J'aurais préféré skier avec une petite amie mais je n'en pas pour le moment et il me sera impossible de rencontrer quelqu'un sur place à cause des mes compagnons de voyage. Pauline et Carole pensent que je ne suis qu'un obsédé qui ne respecte pas les femmes et elles adorent me « casser la baraque » quand je flirte avec une fille. Ce n'est pas grave, ça m'amuse presque mais je ne cherche même plus à jouer les séducteurs quand elles sont dans les parages.


Ce sont d'ailleurs ces deux vipères, comme j'aime les appeler quand elles ne sont pas là, qui ont trouvé la voiture pour la fin du voyage. C'est Florian qui passera nous chercher, sa copine dort chez sa grand-mère dans un village non loin du nôtre, et il pourra donc nous déposer à la station de ski. La solution n'est pas trop mal mais je n'aime pas beaucoup Florian, voire pas du tout même. En fait je suis jaloux de lui car il sort avec la fille la plus jolie, gentille, rigolote que je connaisse : Emma, celle-là même qui va dormir à quelques kilomètres de nous.

Je reconnais être un peu amoureux d'elle, mais je n'ai jamais eu l'occasion de tenter ma chance parce que cet enfoiré de Florian sort avec elle depuis toujours. J'ai même appris qu'ils allaient se fiancer et ils vont faire ça à la montagne, pendant mes vacances, à côté de ma destination !

Nous arrivons à la maison dans l'après-midi pour avoir le temps de nous installer. Nous pensions trouver un minimum de confort, mais notre court séjour va ressembler à du camping. C'est l'hiver, la maison n'a pas été chauffée depuis longtemps et il n'y a que deux lits d'une personne au même étage que la cheminée. Ce n'est que pour une nuit, alors on prépare de quoi faire du feu et les filles dormiront ensemble, comme elles le faisaient parfois étant plus jeunes.

Je finis d'installer les lits et duvets quand on frappe à la porte. Carole va ouvrir et revient accompagnée d'Emma. Je reste figé un instant sous le choc : l'objet de mes phantasmes, la fille qu'il me faut, est juste devant moi, plus belle que jamais. Sa grand-mère a eu un petit malaise, rien de grave, mais elle est à l'hôpital et Emma ne peut pas avoir les clés.

- Emma, tu es la bienvenue, mais comment va-t-on faire pour dormir ? dis-je.

Regardant autour d'elle, Emma comprend la situation un peu précaire de notre couchage. Pour Pauline, la solution est simple, elle dort avec Emma et moi avec ma sœur.

- Tu ne vas pas dormir avec mon abruti de cousin de toute manière, dit Pauline

- Si j'ai pas le choix, ça ne me dérange pas plus que ça tu sais. Je suis sûre qu'il sera un gentleman.

- Bien sûr, je sais me tenir. Et si je peux choisir, je préfèrerais dormir avec toi, tu es plus petite que Carole, on se gênerait moins, dis-je.

Emma fait mine d'hésiter puis accepte en me faisant promettre d'être sage.

Je promets et me voilà forcé de dormir en copain avec la superbe Emma. Ne pas la toucher, ne pas caresser ses petits seins si adorables, ne pas l'embrasser, ne pas peloter son petit cul ferme... ça va être la nuit la plus dure de ma vie.

Il est déjà tard, nous ne tardons pas à nous mettre au lit. J'ai un jogging en guise de pyjama et Emma s'approche de mon lit en culotte avec une grande chemise par-dessus. Ses jambes sont superbes, galbées et fines.

- Je suis désolée, je n'ai pas prévu de pyjama, j'en ai un chez ma grand-mère d'habitude.

- C'est pas grave, je te préfère comme ça de toute façon...

- Petit coquin, va ! Attention, tu as promis d'être sage !

- Mais oui, ne t'inquiète pas.

Emma entre dans mon lit trop petit pour deux. Elle se serre contre moi et nous éteignons la lumière. Je la distingue mal dans l'obscurité mais je sens ses cheveux sur mon bras ainsi que son léger parfum. Pour avoir plus de place elle me tourne le dos et mon bras est par-dessus son épaule. Je la tiens presque dans mes bras, elle est tout contre moi, j'ai envie de la toucher, de l'embrasser... Je dois résister.

Je la sens bouger et plaquer ses fesses contre moi, elles sont juste sur mon sexe qui ne tarde pas à bander très dur. Emma ne peut pas n'avoir rien remarqué. Elle commence un léger va-et-vient avec sa croupe, je n'en peux plus. Emma se retourne doucement pour ne pas faire trop de bruit car nous sommes dans la même pièce que les deux vipères. Elle approche sa bouche de mon oreille, me chuchote de ne pas faire de bruit et dans le même temps sa main rejoint mon sexe. Elle me branle doucement à travers mon pantalon et me fait promettre de garder tout ça secret. Je suis aux anges.

Je déboutonne tout doucement sa chemise, le plus silencieusement possible. Ses seins sont déjà dans mes mains, ils sont doux et chauds, leur contact me fait frémir. Ma bouche est attirée irrémédiablement par ses mamelons qui durcissent rapidement sous les assauts de ma langue.

Emma baisse doucement mon pantalon jusqu'à mi-cuisses. Elle pelote mes fesses en se serrant davantage contre moi, mon sexe ainsi libéré et fièrement dressé est contre sa petite culotte. Elle est déjà toute mouillée, j'essaye de l'enlever mais ce n'est vraiment pas pratique dans notre situation. Emma m'arrête et le fait pour moi. Je passe le bout de mes doigts sur les quelques poils de sa vulve, ils sont doux et moites. Le souffle de ma belle s'accélère un peu, je m'approche alors pour l'embrasser.

Tout doucement je pose un baiser sur ses lèvres, puis un autre, encore un autre, je lèche à présent les lèvres douces et sucrées qui s'offrent à moi. Sa langue me répond et lèche la mienne. Elles se mélangent, se confondent presque, qu'est-ce qu'elle embrasse bien ! Je lèche son palais, ses dents, j'essaye d'aller le plus loin possible dans sa bouche quand je sens le sexe d'Emma tout contre le mien, elle titille mon gland avec ses poils tout en malaxant mes fesses. Ses deux mains sont maintenant au niveau de ma queue, l'une me branle et l'autre masse mes boules. Elle sait vraiment y faire, c'est exquis. Elle murmure :

- J'ai envie de te sucer, tu crois que je peux ?

- J'adorerais ça, mais on risque de réveiller les filles.

- Pas si tu ne gémis pas trop fort, tu crois que tu pourras ?

Emma marque une pause, elle m'embrasse, embrasse ma tempe et passe un coup de langue sur mon oreille.

- Allez, leçon de self-contrôle ! me dit-elle d'un ton ironique avant de s'enfoncer dans le sac de couchage.

Je ne sais pas comment elle y arrive, mais elle est pliée au fond du sac et sa bouche atteint enfin mon gland. Je suis plus qu'heureux, je plane complètement. Emma passe sa langue sur toute la longueur de ma queue puis enserre mon gland dans ses lèvres, le titille de sa langue et enfin avale ma queue en entier. Elle me procure un tel plaisir, je suis fou de cette fille ! Mon plaisir monte au fur et à mesure que ma bite est léchée, aspirée, suçotée, j'ai envie de hurler, j'ai le réflexe de mordre l'oreiller pour étouffer mes cris. Emma continue de me sucer en aspirant toujours plus fort. Je me retire de sa bouche d'un mouvement un peu brusque, je ne tiens plus et je ne crois pas que lui éjaculer en pleine figure sans prévenir soit la meilleure chose à faire. Ma bite se repose un peu, je reprends le contrôle quand Emma ressort la tête du duvet.

- Tu as vu comme je suis gentille avec toi ? À ton tour... je veux te sentir en moi.

Emma est en train de se branler tout doucement sur ma cuisse, je descends une main le long de son corps doux et voluptueux à souhait et arrive à sa petite chatte.

- Laisse-moi faire, lui dis-je.

Je glisse mes doigts contre sa fente déjà trempée, sans difficulté j'en glisse un puis deux à l'intérieur et l'excite comme ça quelques minutes. Elle dégouline sur ma main et mon poignet. Sur un ton presque implorant et s'accrochant fort à mon cou :

- Je ne tiens plus, viens en moi tout de suite, je t'en supplie !

Quelle joie de l'entendre prononcer ces mots ! Tout doucement, avec un maximum de précautions, je la fais passer sous moi, elle m'accueille entre ses cuisses et je la pénètre en appréciant chaque centimètre de ce chemin de plaisir. Ma queue est toute entière dans son ventre, je commence à la besogner dans le plus grand silence. Sa chatte est parfaite, assez étroite : elle serre ma queue à merveille. Emma souffle de plus en plus fort, elle est sur le point de gémir ; par réflexe, je plaque la main sur sa bouche en la limant de plus belle. Elle arrive à calmer son envie de crier, enlève ma main de sa bouche et me demande de ne pas jouir en elle car elle ne prend plus sa pilule. Elle prévient juste à temps, je me retire et éjacule à grosses giclées sur son petit ventre avant de m'écrouler sur elle.

Nous restons ainsi dans les bras l'un de l'autre avec cette sensation d'être dans une bulle de verre, coupés du monde, le temps n'existe plus. Enlacés, nous finissons par nous endormir, encore poisseux de mon sperme.

Je me réveille seul, Emma est déjà dans la salle de bain, lavée, habillée, prête à retrouver son copain Florian. Il ne devrait plus tarder à arriver pour nous emmener au ski et ensuite continuer vers le chalet de ses parents où il leur présentera Emma. La gentille petite Emma qu'il croit fidèle et pas trop portée sur le sexe. À cet instant je ne suis plus autant jaloux de lui qu'avant... je me demande bien pourquoi...
Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 00:00
Il est sacré pour moi, c'est mon premier beau jour,
Le seul dont je me plaise à fêter le retour,
Ce jour heureux où ta présence
Ouvrit mon cœur paisible au trouble de l'amour,
Et d'un bien inconnu m'apporta l'espérance.
J'assistais, attentive, à ce concert fameux
Où de Saint-Huberty de la voix mélodieuse,
Où du célèbre Raul la flûte harmonieuse
Des transports de Vénus exhaltaient tous les feux.
    Muette, étonnée, attendrie,
    Je m'abandonnais doucement
    A cette vague rêverie
Qui pour une âme neuve est presque un sentiment.
Un son voluptueux qui meurt à mon oreille
Me fait tressaillir malgré moi :
Je lève mes regards; ils s'arrêtent sur toi.
Je doute un instant si je veille.
Ce front majestueux, ce regard séducteur,
Et ce sourire plein de douceur,
Et cette auréole de gloire
Dont resplendit l'amant des filles de Mémoire,
Portent le délire en mon cœur.
Que ne va point rêver ton amante trop vaine !
Je crois d'abord, je crois que le maître des dieux,
Revêtant une forme humaine,
Pour m'éblouir quitte les cieux.
Que dis-je ? Jupiter semble moins radieux
Alors que, triomphant d'une nymphe éperdue,
Sur son char orgueilleux il sillonne la nue;
Mars, du sein de Cypris s'élançant au combat,
A moins de grâce, moins d'éclat.
   Délicieusement émue,
En silence sur toi j'ose attacher ma vue.
Mais, ô combien s'accroit mon désordre enchanteur,
Lorsque, cédant aux voeux d'un monde admirateur,
Ta voix, plus douce encor qu'une douce musique,
Nous révèle Apollon, qui sur sa lyre d'or
Des beautés de son art déroule le trésor !
Pour te mieux écouter, je retiens mon haleine.
Tu cesses de chanter, une ivresse soudaine
Fait circuler au loin un murmure flatteur :
Chaque applaudissement retentit dans mon coeur ;
C'est là que sont gravés et tes vers et toi-même.
Dieux ! combien je jouis d'admirer ce que j'aime,
D'entendre son éloge en tous lieux répété,
Et de sentir déjà ton immortalité !
Hélas ! Ce seul bonheur permis à ma tendresse,
J'en veux jouir du moins jusqu'à mon dernier jour.
   Je dois te cacher mon amour;
   Mais je le chanterai sans cesse.
Mardi 21 novembre 2 21 /11 /Nov 02:31
Mes parents étaient partis en week-end et ma sœur Cindy passait la fin de semaine chez l'une de ses copines. À moi la maison et le repos total, malgré les révisions pour les futurs partiels qui s'annonçaient comme une nuée de sauterelles.

Mais avant de me mettre en chantier, je flâne dans la maison et je retrouve mon ballon de foot. Je vais jouer aux abords de la propriété, cela fait longtemps que je n'ai pas frappé dedans et un peu de détente me fera le plus grand bien. Le mur du garage me sert de gardien, mais j'ai perdu de ma dextérité, quand, d'un coup de pied un peu trop appuyé, le ballon atterrit dans la propriété voisine.

Je suis du regard la trajectoire de l'engin qui roule jusqu'au lit de soleil de ma voisine qui se dore nue sous les rayons chauds du soleil.


Les haies de ma voisine n'excédant pas un mètre, du trottoir on pouvait jeter un œil dans sa propriété.

Mandy, conseillère en gestion informatique âgée d'une trentaine d'années, étendue et sereine goûte le plaisir de quelques jours de repos, elle venait de signer un contrat avec une grosse firme du coin.

Elle entend le ballon rouler sur le gazon fraîchement tondu, s'assoit sur le bord de son lit de soleil quand, d'un coup, je débourre dans sa propriété en quête de mon ballon, je commençais mal la fin de journée.

Evidemment, je ne peux rien ignorer de la nudité de ma belle voisine, qui, sans se précipiter, se couvre de son paréo, de ses seins à ses genoux, mais la transparence du tissu en contre-jour ne dissimule quasiment rien de son corps.

Tout en avançant vers ma voisine, j'observe sous le tissu diaphane de son paréo, les deux aréoles et les tétons de ses seins qui tendent le tissu. Quant au pubis, il ressort en un léger renflement.

Je me force à soutenir le regard de Mandy, bien trop attiré par le dessin de sa plastique. Jamais supplice ne m'a paru si intolérable, je m'excuse auprès de ma voisine pour mon intrusion, en bafouillant comme il m'arrive de le faire quand j'ai fait une bêtise ou que je suis dans mon tort...

-Bonjour ! me dit Mandy de sa voix sensuelle qui eut l'effet d'un courant électrique dans l'échine de mes reins.

La vue de ce corps à peine dissimulé et le doux murmure de sa voix eurent pour effet de déclencher en moi une érection spontanée. Surtout que Mandy ne fait rien pour se cacher et qu'une légère brise, soulève le paréo largement au-dessus de son ventre, mettant à nu son bas-ventre où la toison de son pubis brille comme une nova.

Un peu gêné par mon érection, j'essaie de dissimuler tant bien que mal mon émoi, honteux et confus. Je soutiens momentanément le regard de Mandy, mais je baisse les yeux sur le pubis ainsi dévoilé.

Mandy sourit devant mon audace et passe sa langue sur ses lèvres.

Tout en ne la lâchant pas des yeux, je jette un œil vers la piscine de ma voisine dont l'eau bleue, miroite de mille feux. Mandy qui m'observe alors, ne manque pas de remarquer mon intérêt pour sa piscine, le soleil avait chauffé l'air toute la journée, au point d'asphyxier toute la ville, c'est certain, un bon bain serait le bienvenu.

J'avais déjà par le passé réclamé à mon père, la construction d'une piscine, mais en homme cartésien, il n'avait pas jugé nécessaire une telle installation, toutefois, il n'avait pas dit non, ni oui d'ailleurs. Mais bon, inutile de demander à Mandy de profiter de sa piscine, je venais déjà de lui gâcher sa bronzette.

-Veux-tu te baigner par cette chaleur ? me demande Mandy.

Comme si elle avait lu dans mes pensés, elle avait rendu sa voix plus suave, afin d'observer l'effet qu'elle avait sur moi et qui en général trouble les Hommes.

-Arf ! Ce serait avec plaisir, mais je n'ai pas mon maillot de bain, dis-je à Mandy.

-Ne t'en fais pas, tu n'en as pas besoin, vas-y plonge, elle est délicieuse.

J'hésite une seconde, puis je baisse son short. Ma verge jaillit d'un seul coup, je porte ma main discrètement vers mon sexe et comme un dératé, je plonge dans la piscine, le contact de l'eau sur mon corps chaud me procure une délicieuse sensation de bien-être.

Pour goûter pleinement la fraîcheur de l'eau, je fais un sous l'eau et je ressors sur le dos, sans me soucier que ma verge dépasse tel le périscope d'un Uboat 571.

Mandy s'approche de la piscine, laisse tomber son paréo et franchit les quelques marches qui mènent progressivement au faux-plat du fond de la piscine. Le contact de l'eau sur son corps brûlant lui donne la chair de poule, ses seins se gonflent, tandis que ses tétons ne demandent qu'à exploser. Je n'en reviens pas, ma voisine nue devant moi, s'approche d'une démarche lente et calculée, les seins arrogants et tuméfiés. J'ouvre la bouche pour faire un compliment, Mandy en profite pour venir se coller à moi, elle sent bon le parfum de marque. Un peu paniqué, je ne sais pas trop quoi faire, pris entre la stupeur et l'étonnement, je me hasarde à téter le sein offert et ma main peu experte pétrit le deuxième avec maladresse.

Mandy m'allonge sur les marches de l'escalier de la piscine, seul le haut de mon corps d'éphèbe dépasse de l'eau, les bras en croix, je me laisse porter par la caresse de la langue de Mandy sur mes pectoraux. La langue experte de Mandy s'enfonce dans ma bouche et l'effet fut si convaincant que ma verge se tendit davantage.

Les lèvres parfumées de Mandy descendent lentement le long de mon ventre pour s'attarder sur mon nombril, puis la bouche pulpeuse engloutit mon gland d'un seul coup. La langue repousse le prépuce et excite le frein, le gland enfle, les lèvres humides glissent tout le long de ma verge. Au rythme régulier du battement d'une aiguille de pendule, la bouche maquillée happe le gland et les bourses en de délicieuses caresses. Je me laisse bercer, je sens en moi monter la sève de vie, je vais avoir un orgasme et rien qu'à l'idée de m'abandonner dans la bouche de Mandy, ma jouissance vient, incontrôlable. Ma verge tressaute dans sa bouche et j'éjacule quatre jets de sperme tiède... Mandy me conserve dans sa bouche tout au long de ma jouissance, puis libère ma verge et voit mon visage radieux. Elle me sourit, nullement vexée par la brièveté de l'instant, elle a sûrement l'habitude que ses amants durent plus longtemps dans sa bouche.

Elle s'allonge à son tour sur les marches de la piscine, comme pour offrir au soleil, son corps parfait. Elle cambre légèrement les reins, ses seins bondissent, son ventre se creuse, seul son pubis baigne au ras de l'eau et comme la corolle d'une fleur, ses jambes s'ouvrent, les petites vagues de la piscine clapotent sur sa vulve.

En bon élève, je me dis qu'il faut rendre la pareille à ma bienfaitrice, je lui lèche les tétons, les mordille doucement pendant que mes mains courent le long du ventre plat de la jeune femme. Bien que l'on m'ait inculqué que le sexe était sale, j'approche ma bouche de l'entrejambe de Mandy, une envie de forcer la barrière des lèvres de son sexe me fait avancer un doigt vers la fente légèrement ouverte, j'y glisse deux doigts, tandis que ma langue monte et descend le long de l'antre du bonheur. Cela a bon goût, on m'avait raconté des bêtises ! Ma langue rencontre une petite excroissance, je la sens grossir, la mords tendrement, ce qui a pour effet d'arracher à Mandy un soupir d'extase et bientôt un orgasme. Elle jouit ainsi sous les coups de ma langue, sa vulve se dilate et elle explose un jet de suc dans ma bouche. Mandy se cabre sous le désir, j'enfonce deux de mes doigts dans son sexe en une petite caresse de haut en bas, je les retire de son vagin, pour mieux les plonger à l'intérieur de son ventre. Mes doigts lubrifiés glissent d'un seul coup sur le bas du vagin et s'enfoncent dans l'anus de Mandy qui pousse un râle rauque et bruyant. Excité par la vue de mes doigts dans les reins de Mandy, j'introduis mon pouce dans son vagin. Mandy se laisse caresser un instant dans ses deux orifices intimes, mais elle se dégage lentement des doigts inquisiteurs pour s'allonger sur le ventre, face aux escaliers. Dans cette position, les fesses de Mandy ressortent encore mieux, elle m'offre ainsi, en plein soleil, la vue de son anus brun clair et de sa petite chatte. Et si c'était une invite discrète ?

Je m'agenouille entre les cuisses de Mandy qui avait relevé le bassin, j'ai retrouvé force et vigueur, la grosseur de ma verge en atteste. Je ne peux résister à l'envie d'embrasser les fesses offertes et de lui sucer tout l'entrejambe. Ainsi, je peux lui lécher l'entrée du vagin et l'anus d'un seul coup de langue.

Ma main dirige mon phallus entre les fesses de Mandy, le contact est délicieux, je m'enfonce comme dans un pot de miel, c'est chaud et étroit, mon gland se décalotte entièrement, je ressens une légère douleur. Mais je n'y prête guère attention, le fait de me voir m'introduire dans ses reins occulte le tiraillement du frein de ma verge dû à l'étroitesse des lieux. Je plonge à l'intérieur de Mandy qui, surprise, laisse échapper un cri de bonheur, elle adore qu'on la sodomise sans préparation. D'abord doucement, les muscles de son anus cèdent sous la pression, mon gland disparaît dans les fesses de Mandy et d'une poussée plus hardie, ma verge est absorbée par l'anneau serré. À grands coups de reins, je fais aller et venir ma verge dans son anus, l'étroit fourreau glisse sur ma hampe en la comprimant, je ne vais pas tarder à jouir, mais il faut que je me rattrape sur le coup d'avant. J'avais joui comme un égoïste sans partager avec Mandy, (toutefois, mon hôtesse ne m'en avait pas fait le reproche, signe de sa parfaite éducation) aussi, fallait-il que je lui montre que je savais moi aussi donner avant de recevoir. Je me concentre d'avantage sur le plaisir de Mandy en passant une main sur son entrecuisse pour lui caresser la vulve. Tels des archéologues, mes doigts fouillent son vagin à la recherche de son clitoris et des profondeurs de son intimité. Le caveau de son antre est humide, mes doigts y jouent comme sur un terrain de hockey sur glace, j'adore cette sensation qui résulte de l'activité de ma main sur le sexe de Mandy. Comme en mécanique, j'associe les forces en présence, ma verge plantée dans les reins de Mandy et mes doigts dans son vagin devraient lui extirper une jouissance. Sous le soleil, le corps de Mandy luit de sueur, elle a encore écarté davantage les jambes et creusé ses reins, pour mieux apprécier mes palpations...

À mon grand ravissement, Mandy donne des signes de faiblesse, sa vulve se gonfle et du fin fond de son vagin, jaillit un jet de suc vaginal. Elle ne fait pas dans la discrétion, bien sûr, elle est chez elle, et c'est sans retenue, dans un spasme de plaisir, qu'elle me gratifie d'un :

- Je... jouis... continue... !

Je m'exécute, ses désirs sont des ordres ; aussi pendant qu'elle jouit, tel un travailleur consciencieux, je m'applique dans ses orifices, ce qui a pour effet de me faire jouir aussi. Etroitement emprisonnée dans son anus, ma verge éjacule mon plaisir tant retenu en une délicieuse libération de lave qui courait dans mon ventre.

Tout en jouissant presque à l'unisson, je reste enfoui dans Mandy à goûter son plaisir et le mien.

Une fois rassasiée, elle se dégage de l'épée, son anus béant se referme lentement pour laisser échapper un jet de sperme qui coule jusqu'à l'entrée de son vagin.

J'adore ce moment divin de l'expulsion des souillures du plaisir, mes mains ayant saisi les hanches de Mandy, je regarde s'écouler mon liquide de ses entrailles et toujours en érection, je pénètre une fois encore son anus offert.

Blotti contre Mandy, je lui susurre des mots tendres, comme un amant comblé.

Quelle carnassière, cette Mandy !
Dimanche 12 novembre 7 12 /11 /Nov 23:42
Sandrine trouvait sa bonne copine Romane bien trop absorbée par d'autres choses que le sexe ; confidente privilégiée, elle savait qu'elle n'avait connu qu'un garçon à 20 ans passés et cela semblait la perturber. Elle qui n'était pas une collectionneuse d'hommes, mais qui ne rechignait jamais à passer un moment agréable, avait sa petite idée pour dévergonder un peu sa copine...

Ce week-end, ses parents étaient partis en province et elle avait l'appartement pour elle toute seule ; enfin, elle allait pouvoir s'envoyer en l'air confortablement et en prenant tout son temps avec Vivien, son boy-friend, ce qui allait les changer de la voiture.


Comme elle avait une idée derrière la tête, elle invita Romane dès le samedi après-midi. Comme elles étaient plus que bonnes copines, cette dernière ne se fit pas prier pour venir ; chez ses parents, la promiscuité était bien souvent de mise et il n'y avait jamais moyen d'être tranquille quand une copine venait, alors...

En début d'après-midi, donc, Romane arriva. Sandrine la fit entrer et elles allèrent directement dans sa chambre, où Vivien pianotait sur le PC. Bien qu'elle ne le connaisse pas vraiment, ça n'étonna pas Romane, qui savait qu'ils sortaient ensemble ; elle se doutait bien qu'avec un week-end complet sans les parents, ça allait être chaud entre eux deux ! Les trois jeunes gens discutaient, rigolaient, bref, passaient un bon moment. Romane alluma une cigarette.

- Ah, j'ai pas de cendrier ici, lui dit Sandrine. Tu n'as qu'à aller en chercher un dans la cuisine... et ramène donc du Coca et des verres pendant que tu y es !

Quelques minutes plus tard, quand elle vint les rejoindre, elle faillit laisser tomber le plateau qu'elle tenait. Vivien était assis sur le lit, pantalon baissé, et Sandrine, accroupie à ses pieds, était en train de le sucer. Elle demeura pétrifiée devant cette scène ; Sandrine se leva et se dirigea vers elle.

- Ben fais pas cette tête-là, ma chérie ! Vivien commençait à bander et une si belle queue, je n'allais pas rester là à ne rien faire !

Oui, une belle queue. Longue, assez fine, toute lisse, bien dressée ; Vivien était aux anges.

Sandrine referma la porte et débarrassa sa copine. Romane avait l'air choquée ; en d'autres lieux, elle aurait sûrement piqué un fard et se serait enfuie en courant, mais là, un zeste d'excitation et de curiosité lui titillait l'esprit. Quand elle sut qu'elle ne partirait pas sans demander son reste, Sandrine se remit à l'ouvrage. Vivien s'affaissa sur le lit et l'ingénue le suça bruyamment. Il prenait un sacré pied, mais il semblait lui aussi un peu gêné, n'osant pas croiser le regard de la copine.

Romane s'assit alors, histoire de mieux profiter de ce qui s'offrait à elle. Quand elle sentit sa copine intéressée, Sandrine se hissa sur Vivien et lui susurra quelque chose à l'oreille. Il redressa la tête, la regarda et acquiesça. Sandrine tendit la main à Romane pour qu'elle se rapproche. Hésitante, elle se leva, fit un pas, puis s'avança franchement.

- Comment tu le trouves, ma puce ?

- Heu... ben, il est pas mal ! lui répondit-elle en bégayant.

- Et sa bite, tu la trouves comment ? lui demanda-t-elle, les yeux pétillants d'excitation.

Là, Romane fut terriblement gênée. Vivien le remarqua en premier et s'allongea complètement sur le lit, le visage vers le plafond. Sandrine reprit :

- Ah, oui, c'est vrai... Tu n'as jamais sucé de garçon...

- Ben... heu... ben non, tu le sais bien...

Sandrine, qui tenait absolument à la mettre en confiance, se colla contre elle et l'embrassa dans le cou.

- Vas-y, approche-toi, prends-la en main... lui dit-elle posément.

Romane tremblait. Elle était envahie par un mélange d'envie, de gêne, d'excitation et de honte. Elle avait des picotements dans les jambes, des frissons lui parcourent tout le corps. Sandrine lui dit des mots gentils, tendres, apaisants, mais elle ne les entendait déjà plus ; ses yeux étaient rivés sur le chibre rutilant de Vivien. Elle semblait à point. La copine lui prit délicatement la main et la rapprocha du sexe du garçon. Silence dans la chambre ; seule la respiration brutale de Romane se faisait entendre.

Sandrine la fit doucement s'agenouiller puis passa derrière elle. Elle caressa ses beaux cheveux blonds, l'embrassa sur la nuque et l'enjoignit de prendre cette queue en main. Encore quelques centimètres, et ça y serait ! Le chibre immaculé de Vivien était prisonnier de sa main tremblante. La garce commença alors à la guider verbalement, sans mots brusques, et pour la première fois de sa vie, Romane branlait un garçon. Et le garçon, il était rudement heureux, justement ! Fou d'excitation face à cette situation peu commune, il jubilait de tout son être sous les va-et-vient désordonnés de la douce main de la jeune fille.

- Doucement, ma puce, pas trop brusque... Voilà, comme ça... Ça va Vivien, c'est bon ?

- Hum...

- Maintenant, mets-la dans ta bouche...

Minute après minute, Romane acquit de plus en plus d'assurance et était de moins en moins hésitante. Elle approcha sa bouche du gland violacé du garçon, sortit la langue et commença à lui titiller le frein avant de le gober délicatement. Sandrine observait : un oeil sur sa copine, un oeil sur son boy-friend. A en juger par le plaisir qu'il prenait, elle avait l'air de bien se débrouiller, très bien, même...

Tout en la guidant de sa voix suave, Sandrine se rapprocha alors au plus près et se mit également à sucer Vivien. Que pourrait-il demander de plus ? Rien ! Les deux merveilleuses jeunes femmes s'occupaient de lui avec un tel talent, qu'il avait du mal à garder les yeux ouverts pour profiter visuellement du spectacle.

De manière sporadique, la langue de Sandrine venait toucher celle de Romane. Celle-ci sembla confuse ; elle avait une petite idée de la suite des réjouissances, mais laissa faire Sandrine sans objecter la moindre remarque. Puis, tandis que leurs lèvres submergeaient le gland, chacune pour moitié, leurs langues s'emmêlèrent et elles se donnèrent un savoureux baiser. Comme si son instinct l'avait prévenu, Vivien se rehaussa un peu et garda cette fois-ci les yeux bien ouverts. Il se redressa sur le lit, ce qui obligea Romane à faire de même pour continuer à le sucer.

Sandrine passe alors derrière elle et commença à la peloter, tout en déboutonnant son chemisier. Romane s'ébouriffa de plaisir quand elle sentit les mains de son amie caresser ses petits seins par-dessus, puis par-dessous le fin soutien-gorge. Ce faisant, Sandrine ôta sa robe et fit glisser la jupe de Romane qui ne cessait de masturber et de sucer Vivien de plus en plus bruyamment ; elle mouillait, la coquine !

La maîtresse des lieux se plaça alors derrière elle, lui caressa les fesses et la fit se redresser légèrement. Elle tira sa culotte le long de ses cuisses et découvrit sa vulve, toute rose, toute fine, trempée de cyprine.

- Ah, mais tu te rases la chatte ? Tu m'avais caché ça...

Romane se retourna furtivement et lui lança un petit sourire complice.

- Ben oui, comme toi ! Enfin, j'imagine...

- Ah ah ! Je te laisserai découvrir ça tout à l'heure... lui répondit-elle.

A peine sa phrase terminée, elle fit pénétrer un doigt dans la moule juteuse de Romane. Guère surprise, celle-ci cessa quand même de sucer Vivien qui était sur le point de décharger. Elle aurait bien envie de goûter à son foutre, mais pour l'heure, elle aussi désirait ressentir des choses...

Sans que Sandrine n'eût à la guider, Romane se releva et s'allongea sur le lit en levrette, les cuisses plaquées contre le sommier. La queue à la main, Vivien s'assit près de sa coquine de petite amie et tous les deux léchèrent goulûment l'abricot de Romane. Elle s'agrippait violemment au dessus de lit et se laissait aller au plaisir, quand elle sentit deux doigts directement au fond de sa tirelire et une langue qui lui lapait la rondelle. Lequel des deux la léchait, lequel des deux la doigtait ? Ca n'avait pas la moindre espèce d'importance ; ce qui comptait, c'est qu'elle en jouisse.

D'un seul coup, elle sentit quelque chose qui butait contre sa moule : c'était Vivien, bien sûr, qui la pénétrait par derrière et se mettait à la limer sans ménagement, tandis que Sandrine essayait de faire rentrer sa langue dans son anus. Comme elle s'imaginait très bien toutes les cochonneries qu'ils allaient pouvoir faire à trois et le plaisir qu'elle pourrait en retirer, pas le moindre soupçon de gêne ne lui vint à l'esprit.

Romane était une frêle jeune fille, très mince, d'apparence fragile et réservée. Véritable blonde, sa peau était très pâle, laiteuse, et son petit cul un véritable appel à l'amour si l'on en jugeait par l'entrain que mettait Vivien à la baiser royalement.

Sandrine, brunette légèrement typée et pulpeuse, était à l'opposé de sa copine. Garce, hardie, sans aucune pudeur, elle aimait se donner entièrement à celui qu'elle avait choisi et malgré ce qu'elle laissait supposer par son assurance, c'est la première fois pour elle aussi qu'elle avait un contact amoureux avec une autre fille.

Et Vivien ? Lui, il prenait la vie comme elle se présentait. Un peu baba-cool sur les bords, l'air négligé, il semblait satisfait que Sandrine prenne toujours les choses en main... et particulièrement cet après-midi !

Sandrine se leva alors et s'assit devant Romane tout en la redressant un peu, tandis que Vivien continuait de lui faire son affaire. De peur de jouir trop vite, il ralentit le rythme, ce qui laissa Romane récupérer un peu ses esprits. Sandrine l'embrassa, la caressa, la fit frissonner de plaisir et de désir. Elle plaqua ses gros seins aux larges aréoles et aux mamelons protubérants, rugueux et durcis de jouissance, contre ceux de Romane, qui ne put s'empêcher de les lécher, les croquer, tout en enfouissant sa main entre ses cuisses.

- C'est vrai, toi aussi tu es épilée ! eut-elle la force de lâcher.

- Hé bien, qu'est-ce que tu attends pour y fourrer ta langue ?

Sandrine écarta largement les cuisses et offrit son intimité à sa copine qui plongea immédiatement son visage dedans. Quelle chatte, et quel contraste avec la sienne ! Des petites lèvres vraiment très grosses et très sombres, un clitoris bandé, une senteur corsée, Romane était vraiment dingue d'excitation et elle lui prodigua un cunni qu'elle ne serait pas prête d'oublier. Sandrine transpirait abondamment, se laissant aller à des râles sourds et saccadés. Malgré les prouesses de Vivien, Romane était plus discrète dans l'extase, question de tempérament. N'empêche qu'elle n'avait dorénavant plus besoin qu'on lui dise ce qu'elle devait faire pour donner et recevoir du plaisir.

Quand elle sentit que Vivien n'allait plus pouvoir se retenir, elle vint s'asseoir entre les cuisses de Sandrine, qui en profita pour l'enserrer et lui pétrir les seins. Vivien lui dit de se lever et de se remettre à le sucer. Très adroite, très sûre d'elle, elle le masturba dans sa bouche tout en lui malaxant les couilles. Lui, il se mit à gigoter dans tous les sens, à se crisper, à crier presque, et il déchargea dans sa bouche alors que Sandrine l'embrassait baveusement dans le cou et lui croquait les lobes.

- Tu n'en perds pas une goutte, hein ! s'exclama alors Sandrine.

- Hum hum hum... lui répondit-elle en tournant légèrement la tête.

Tout en le regardant droit dans les yeux d'une manière très coquine, elle suçait, elle léchait, elle aspirait et avalait tout le foutre du garçon qui s'écroula, repu de bonheur. Puis, elle se retourna et embrassa Sandrine à pleine bouche pour lui faire profiter un peu de la semence. Celle-ci ne fut pas surprise de ce geste, juste un peu du fait qu'elle ait tout avalé lors de sa première fellation.

- Oh, c'est trop bon ! Comment ai-je pu être coincée comme ça ? lâcha Romane.

- Hé bien toi, quand tu t'y mets...

Vivien se releva alors et vint les rejoindre sur le lit, s'empressant de complimenter Romane qui en retira une grande fierté.

- Oui ma puce, tu as été parfaite et tu nous as donné un sacré plaisir à tous les deux...

- Hum... Comme c'était bon... Un homme et une femme en même temps, c'est génial !

- Et le week-end ne fait que commencer ! ajouta Vivien.

Romane avait les yeux qui brillaient à l'idée de ce qu'elle allait découvrir.

- Oui, on a tout notre temps, et naturellement, ce soir, tu restes avec nous hein ?

- Ouiiiii !

- Ton trou du cul me fait envie ! lui dit Vivien.

- Heu... ça... heu... jamais fait ! répondit-elle avec une toute petite gêne.

- Je m'en doute, ma chérie, c'est pas grave. Vivien va s'en charger... et moi aussi !
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