Dimanche 12 novembre
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23:42
Sandrine trouvait sa bonne copine Romane bien trop absorbée par d'autres choses que le sexe ; confidente privilégiée, elle savait qu'elle n'avait connu qu'un garçon à 20 ans passés et cela semblait la perturber. Elle qui n'était pas une collectionneuse d'hommes, mais qui ne rechignait jamais à passer un moment agréable, avait sa petite idée pour dévergonder un peu sa copine...
Ce week-end, ses parents étaient partis en province et elle avait l'appartement pour elle toute seule ; enfin, elle allait pouvoir s'envoyer en l'air confortablement et en prenant tout son temps avec Vivien, son boy-friend, ce qui allait les changer de la voiture.
Comme elle avait une idée derrière la tête, elle invita Romane dès le samedi après-midi. Comme elles étaient plus que bonnes copines, cette dernière ne se fit pas prier pour venir ; chez ses parents, la promiscuité était bien souvent de mise et il n'y avait jamais moyen d'être tranquille quand une copine venait, alors...
En début d'après-midi, donc, Romane arriva. Sandrine la fit entrer et elles allèrent directement dans sa chambre, où Vivien pianotait sur le PC. Bien qu'elle ne le connaisse pas vraiment, ça n'étonna pas Romane, qui savait qu'ils sortaient ensemble ; elle se doutait bien qu'avec un week-end complet sans les parents, ça allait être chaud entre eux deux ! Les trois jeunes gens discutaient, rigolaient, bref, passaient un bon moment. Romane alluma une cigarette.
- Ah, j'ai pas de cendrier ici, lui dit Sandrine. Tu n'as qu'à aller en chercher un dans la cuisine... et ramène donc du Coca et des verres pendant que tu y es !
Quelques minutes plus tard, quand elle vint les rejoindre, elle faillit laisser tomber le plateau qu'elle tenait. Vivien était assis sur le lit, pantalon baissé, et Sandrine, accroupie à ses pieds, était en train de le sucer. Elle demeura pétrifiée devant cette scène ; Sandrine se leva et se dirigea vers elle.
- Ben fais pas cette tête-là, ma chérie ! Vivien commençait à bander et une si belle queue, je n'allais pas rester là à ne rien faire !
Oui, une belle queue. Longue, assez fine, toute lisse, bien dressée ; Vivien était aux anges.
Sandrine referma la porte et débarrassa sa copine. Romane avait l'air choquée ; en d'autres lieux, elle aurait sûrement piqué un fard et se serait enfuie en courant, mais là, un zeste d'excitation et de curiosité lui titillait l'esprit. Quand elle sut qu'elle ne partirait pas sans demander son reste, Sandrine se remit à l'ouvrage. Vivien s'affaissa sur le lit et l'ingénue le suça bruyamment. Il prenait un sacré pied, mais il semblait lui aussi un peu gêné, n'osant pas croiser le regard de la copine.
Romane s'assit alors, histoire de mieux profiter de ce qui s'offrait à elle. Quand elle sentit sa copine intéressée, Sandrine se hissa sur Vivien et lui susurra quelque chose à l'oreille. Il redressa la tête, la regarda et acquiesça. Sandrine tendit la main à Romane pour qu'elle se rapproche. Hésitante, elle se leva, fit un pas, puis s'avança franchement.
- Comment tu le trouves, ma puce ?
- Heu... ben, il est pas mal ! lui répondit-elle en bégayant.
- Et sa bite, tu la trouves comment ? lui demanda-t-elle, les yeux pétillants d'excitation.
Là, Romane fut terriblement gênée. Vivien le remarqua en premier et s'allongea complètement sur le lit, le visage vers le plafond. Sandrine reprit :
- Ah, oui, c'est vrai... Tu n'as jamais sucé de garçon...
- Ben... heu... ben non, tu le sais bien...
Sandrine, qui tenait absolument à la mettre en confiance, se colla contre elle et l'embrassa dans le cou.
- Vas-y, approche-toi, prends-la en main... lui dit-elle posément.
Romane tremblait. Elle était envahie par un mélange d'envie, de gêne, d'excitation et de honte. Elle avait des picotements dans les jambes, des frissons lui parcourent tout le corps. Sandrine lui dit des mots gentils, tendres, apaisants, mais elle ne les entendait déjà plus ; ses yeux étaient rivés sur le chibre rutilant de Vivien. Elle semblait à point. La copine lui prit délicatement la main et la rapprocha du sexe du garçon. Silence dans la chambre ; seule la respiration brutale de Romane se faisait entendre.
Sandrine la fit doucement s'agenouiller puis passa derrière elle. Elle caressa ses beaux cheveux blonds, l'embrassa sur la nuque et l'enjoignit de prendre cette queue en main. Encore quelques centimètres, et ça y serait ! Le chibre immaculé de Vivien était prisonnier de sa main tremblante. La garce commença alors à la guider verbalement, sans mots brusques, et pour la première fois de sa vie, Romane branlait un garçon. Et le garçon, il était rudement heureux, justement ! Fou d'excitation face à cette situation peu commune, il jubilait de tout son être sous les va-et-vient désordonnés de la douce main de la jeune fille.
- Doucement, ma puce, pas trop brusque... Voilà, comme ça... Ça va Vivien, c'est bon ?
- Hum...
- Maintenant, mets-la dans ta bouche...
Minute après minute, Romane acquit de plus en plus d'assurance et était de moins en moins hésitante. Elle approcha sa bouche du gland violacé du garçon, sortit la langue et commença à lui titiller le frein avant de le gober délicatement. Sandrine observait : un oeil sur sa copine, un oeil sur son boy-friend. A en juger par le plaisir qu'il prenait, elle avait l'air de bien se débrouiller, très bien, même...
Tout en la guidant de sa voix suave, Sandrine se rapprocha alors au plus près et se mit également à sucer Vivien. Que pourrait-il demander de plus ? Rien ! Les deux merveilleuses jeunes femmes s'occupaient de lui avec un tel talent, qu'il avait du mal à garder les yeux ouverts pour profiter visuellement du spectacle.
De manière sporadique, la langue de Sandrine venait toucher celle de Romane. Celle-ci sembla confuse ; elle avait une petite idée de la suite des réjouissances, mais laissa faire Sandrine sans objecter la moindre remarque. Puis, tandis que leurs lèvres submergeaient le gland, chacune pour moitié, leurs langues s'emmêlèrent et elles se donnèrent un savoureux baiser. Comme si son instinct l'avait prévenu, Vivien se rehaussa un peu et garda cette fois-ci les yeux bien ouverts. Il se redressa sur le lit, ce qui obligea Romane à faire de même pour continuer à le sucer.
Sandrine passe alors derrière elle et commença à la peloter, tout en déboutonnant son chemisier. Romane s'ébouriffa de plaisir quand elle sentit les mains de son amie caresser ses petits seins par-dessus, puis par-dessous le fin soutien-gorge. Ce faisant, Sandrine ôta sa robe et fit glisser la jupe de Romane qui ne cessait de masturber et de sucer Vivien de plus en plus bruyamment ; elle mouillait, la coquine !
La maîtresse des lieux se plaça alors derrière elle, lui caressa les fesses et la fit se redresser légèrement. Elle tira sa culotte le long de ses cuisses et découvrit sa vulve, toute rose, toute fine, trempée de cyprine.
- Ah, mais tu te rases la chatte ? Tu m'avais caché ça...
Romane se retourna furtivement et lui lança un petit sourire complice.
- Ben oui, comme toi ! Enfin, j'imagine...
- Ah ah ! Je te laisserai découvrir ça tout à l'heure... lui répondit-elle.
A peine sa phrase terminée, elle fit pénétrer un doigt dans la moule juteuse de Romane. Guère surprise, celle-ci cessa quand même de sucer Vivien qui était sur le point de décharger. Elle aurait bien envie de goûter à son foutre, mais pour l'heure, elle aussi désirait ressentir des choses...
Sans que Sandrine n'eût à la guider, Romane se releva et s'allongea sur le lit en levrette, les cuisses plaquées contre le sommier. La queue à la main, Vivien s'assit près de sa coquine de petite amie et tous les deux léchèrent goulûment l'abricot de Romane. Elle s'agrippait violemment au dessus de lit et se laissait aller au plaisir, quand elle sentit deux doigts directement au fond de sa tirelire et une langue qui lui lapait la rondelle. Lequel des deux la léchait, lequel des deux la doigtait ? Ca n'avait pas la moindre espèce d'importance ; ce qui comptait, c'est qu'elle en jouisse.
D'un seul coup, elle sentit quelque chose qui butait contre sa moule : c'était Vivien, bien sûr, qui la pénétrait par derrière et se mettait à la limer sans ménagement, tandis que Sandrine essayait de faire rentrer sa langue dans son anus. Comme elle s'imaginait très bien toutes les cochonneries qu'ils allaient pouvoir faire à trois et le plaisir qu'elle pourrait en retirer, pas le moindre soupçon de gêne ne lui vint à l'esprit.
Romane était une frêle jeune fille, très mince, d'apparence fragile et réservée. Véritable blonde, sa peau était très pâle, laiteuse, et son petit cul un véritable appel à l'amour si l'on en jugeait par l'entrain que mettait Vivien à la baiser royalement.
Sandrine, brunette légèrement typée et pulpeuse, était à l'opposé de sa copine. Garce, hardie, sans aucune pudeur, elle aimait se donner entièrement à celui qu'elle avait choisi et malgré ce qu'elle laissait supposer par son assurance, c'est la première fois pour elle aussi qu'elle avait un contact amoureux avec une autre fille.
Et Vivien ? Lui, il prenait la vie comme elle se présentait. Un peu baba-cool sur les bords, l'air négligé, il semblait satisfait que Sandrine prenne toujours les choses en main... et particulièrement cet après-midi !
Sandrine se leva alors et s'assit devant Romane tout en la redressant un peu, tandis que Vivien continuait de lui faire son affaire. De peur de jouir trop vite, il ralentit le rythme, ce qui laissa Romane récupérer un peu ses esprits. Sandrine l'embrassa, la caressa, la fit frissonner de plaisir et de désir. Elle plaqua ses gros seins aux larges aréoles et aux mamelons protubérants, rugueux et durcis de jouissance, contre ceux de Romane, qui ne put s'empêcher de les lécher, les croquer, tout en enfouissant sa main entre ses cuisses.
- C'est vrai, toi aussi tu es épilée ! eut-elle la force de lâcher.
- Hé bien, qu'est-ce que tu attends pour y fourrer ta langue ?
Sandrine écarta largement les cuisses et offrit son intimité à sa copine qui plongea immédiatement son visage dedans. Quelle chatte, et quel contraste avec la sienne ! Des petites lèvres vraiment très grosses et très sombres, un clitoris bandé, une senteur corsée, Romane était vraiment dingue d'excitation et elle lui prodigua un cunni qu'elle ne serait pas prête d'oublier. Sandrine transpirait abondamment, se laissant aller à des râles sourds et saccadés. Malgré les prouesses de Vivien, Romane était plus discrète dans l'extase, question de tempérament. N'empêche qu'elle n'avait dorénavant plus besoin qu'on lui dise ce qu'elle devait faire pour donner et recevoir du plaisir.
Quand elle sentit que Vivien n'allait plus pouvoir se retenir, elle vint s'asseoir entre les cuisses de Sandrine, qui en profita pour l'enserrer et lui pétrir les seins. Vivien lui dit de se lever et de se remettre à le sucer. Très adroite, très sûre d'elle, elle le masturba dans sa bouche tout en lui malaxant les couilles. Lui, il se mit à gigoter dans tous les sens, à se crisper, à crier presque, et il déchargea dans sa bouche alors que Sandrine l'embrassait baveusement dans le cou et lui croquait les lobes.
- Tu n'en perds pas une goutte, hein ! s'exclama alors Sandrine.
- Hum hum hum... lui répondit-elle en tournant légèrement la tête.
Tout en le regardant droit dans les yeux d'une manière très coquine, elle suçait, elle léchait, elle aspirait et avalait tout le foutre du garçon qui s'écroula, repu de bonheur. Puis, elle se retourna et embrassa Sandrine à pleine bouche pour lui faire profiter un peu de la semence. Celle-ci ne fut pas surprise de ce geste, juste un peu du fait qu'elle ait tout avalé lors de sa première fellation.
- Oh, c'est trop bon ! Comment ai-je pu être coincée comme ça ? lâcha Romane.
- Hé bien toi, quand tu t'y mets...
Vivien se releva alors et vint les rejoindre sur le lit, s'empressant de complimenter Romane qui en retira une grande fierté.
- Oui ma puce, tu as été parfaite et tu nous as donné un sacré plaisir à tous les deux...
- Hum... Comme c'était bon... Un homme et une femme en même temps, c'est génial !
- Et le week-end ne fait que commencer ! ajouta Vivien.
Romane avait les yeux qui brillaient à l'idée de ce qu'elle allait découvrir.
- Oui, on a tout notre temps, et naturellement, ce soir, tu restes avec nous hein ?
- Ouiiiii !
- Ton trou du cul me fait envie ! lui dit Vivien.
- Heu... ça... heu... jamais fait ! répondit-elle avec une toute petite gêne.
- Je m'en doute, ma chérie, c'est pas grave. Vivien va s'en charger... et moi aussi !
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