Mardi 21 novembre
2
21
/11
/Nov
02:31
Mes parents étaient partis en week-end et ma sœur Cindy passait la fin de semaine chez l'une de ses copines. À moi la maison et le repos total, malgré les révisions pour les futurs partiels qui s'annonçaient comme une nuée de sauterelles.
Mais avant de me mettre en chantier, je flâne dans la maison et je retrouve mon ballon de foot. Je vais jouer aux abords de la propriété, cela fait longtemps que je n'ai pas frappé dedans et un peu de détente me fera le plus grand bien. Le mur du garage me sert de gardien, mais j'ai perdu de ma dextérité, quand, d'un coup de pied un peu trop appuyé, le ballon atterrit dans la propriété voisine.
Je suis du regard la trajectoire de l'engin qui roule jusqu'au lit de soleil de ma voisine qui se dore nue sous les rayons chauds du soleil.
Les haies de ma voisine n'excédant pas un mètre, du trottoir on pouvait jeter un œil dans sa propriété.
Mandy, conseillère en gestion informatique âgée d'une trentaine d'années, étendue et sereine goûte le plaisir de quelques jours de repos, elle venait de signer un contrat avec une grosse firme du coin.
Elle entend le ballon rouler sur le gazon fraîchement tondu, s'assoit sur le bord de son lit de soleil quand, d'un coup, je débourre dans sa propriété en quête de mon ballon, je commençais mal la fin de journée.
Evidemment, je ne peux rien ignorer de la nudité de ma belle voisine, qui, sans se précipiter, se couvre de son paréo, de ses seins à ses genoux, mais la transparence du tissu en contre-jour ne dissimule quasiment rien de son corps.
Tout en avançant vers ma voisine, j'observe sous le tissu diaphane de son paréo, les deux aréoles et les tétons de ses seins qui tendent le tissu. Quant au pubis, il ressort en un léger renflement.
Je me force à soutenir le regard de Mandy, bien trop attiré par le dessin de sa plastique. Jamais supplice ne m'a paru si intolérable, je m'excuse auprès de ma voisine pour mon intrusion, en bafouillant comme il m'arrive de le faire quand j'ai fait une bêtise ou que je suis dans mon tort...
-Bonjour ! me dit Mandy de sa voix sensuelle qui eut l'effet d'un courant électrique dans l'échine de mes reins.
La vue de ce corps à peine dissimulé et le doux murmure de sa voix eurent pour effet de déclencher en moi une érection spontanée. Surtout que Mandy ne fait rien pour se cacher et qu'une légère brise, soulève le paréo largement au-dessus de son ventre, mettant à nu son bas-ventre où la toison de son pubis brille comme une nova.
Un peu gêné par mon érection, j'essaie de dissimuler tant bien que mal mon émoi, honteux et confus. Je soutiens momentanément le regard de Mandy, mais je baisse les yeux sur le pubis ainsi dévoilé.
Mandy sourit devant mon audace et passe sa langue sur ses lèvres.
Tout en ne la lâchant pas des yeux, je jette un œil vers la piscine de ma voisine dont l'eau bleue, miroite de mille feux. Mandy qui m'observe alors, ne manque pas de remarquer mon intérêt pour sa piscine, le soleil avait chauffé l'air toute la journée, au point d'asphyxier toute la ville, c'est certain, un bon bain serait le bienvenu.
J'avais déjà par le passé réclamé à mon père, la construction d'une piscine, mais en homme cartésien, il n'avait pas jugé nécessaire une telle installation, toutefois, il n'avait pas dit non, ni oui d'ailleurs. Mais bon, inutile de demander à Mandy de profiter de sa piscine, je venais déjà de lui gâcher sa bronzette.
-Veux-tu te baigner par cette chaleur ? me demande Mandy.
Comme si elle avait lu dans mes pensés, elle avait rendu sa voix plus suave, afin d'observer l'effet qu'elle avait sur moi et qui en général trouble les Hommes.
-Arf ! Ce serait avec plaisir, mais je n'ai pas mon maillot de bain, dis-je à Mandy.
-Ne t'en fais pas, tu n'en as pas besoin, vas-y plonge, elle est délicieuse.
J'hésite une seconde, puis je baisse son short. Ma verge jaillit d'un seul coup, je porte ma main discrètement vers mon sexe et comme un dératé, je plonge dans la piscine, le contact de l'eau sur mon corps chaud me procure une délicieuse sensation de bien-être.
Pour goûter pleinement la fraîcheur de l'eau, je fais un sous l'eau et je ressors sur le dos, sans me soucier que ma verge dépasse tel le périscope d'un Uboat 571.
Mandy s'approche de la piscine, laisse tomber son paréo et franchit les quelques marches qui mènent progressivement au faux-plat du fond de la piscine. Le contact de l'eau sur son corps brûlant lui donne la chair de poule, ses seins se gonflent, tandis que ses tétons ne demandent qu'à exploser. Je n'en reviens pas, ma voisine nue devant moi, s'approche d'une démarche lente et calculée, les seins arrogants et tuméfiés. J'ouvre la bouche pour faire un compliment, Mandy en profite pour venir se coller à moi, elle sent bon le parfum de marque. Un peu paniqué, je ne sais pas trop quoi faire, pris entre la stupeur et l'étonnement, je me hasarde à téter le sein offert et ma main peu experte pétrit le deuxième avec maladresse.
Mandy m'allonge sur les marches de l'escalier de la piscine, seul le haut de mon corps d'éphèbe dépasse de l'eau, les bras en croix, je me laisse porter par la caresse de la langue de Mandy sur mes pectoraux. La langue experte de Mandy s'enfonce dans ma bouche et l'effet fut si convaincant que ma verge se tendit davantage.
Les lèvres parfumées de Mandy descendent lentement le long de mon ventre pour s'attarder sur mon nombril, puis la bouche pulpeuse engloutit mon gland d'un seul coup. La langue repousse le prépuce et excite le frein, le gland enfle, les lèvres humides glissent tout le long de ma verge. Au rythme régulier du battement d'une aiguille de pendule, la bouche maquillée happe le gland et les bourses en de délicieuses caresses. Je me laisse bercer, je sens en moi monter la sève de vie, je vais avoir un orgasme et rien qu'à l'idée de m'abandonner dans la bouche de Mandy, ma jouissance vient, incontrôlable. Ma verge tressaute dans sa bouche et j'éjacule quatre jets de sperme tiède... Mandy me conserve dans sa bouche tout au long de ma jouissance, puis libère ma verge et voit mon visage radieux. Elle me sourit, nullement vexée par la brièveté de l'instant, elle a sûrement l'habitude que ses amants durent plus longtemps dans sa bouche.
Elle s'allonge à son tour sur les marches de la piscine, comme pour offrir au soleil, son corps parfait. Elle cambre légèrement les reins, ses seins bondissent, son ventre se creuse, seul son pubis baigne au ras de l'eau et comme la corolle d'une fleur, ses jambes s'ouvrent, les petites vagues de la piscine clapotent sur sa vulve.
En bon élève, je me dis qu'il faut rendre la pareille à ma bienfaitrice, je lui lèche les tétons, les mordille doucement pendant que mes mains courent le long du ventre plat de la jeune femme. Bien que l'on m'ait inculqué que le sexe était sale, j'approche ma bouche de l'entrejambe de Mandy, une envie de forcer la barrière des lèvres de son sexe me fait avancer un doigt vers la fente légèrement ouverte, j'y glisse deux doigts, tandis que ma langue monte et descend le long de l'antre du bonheur. Cela a bon goût, on m'avait raconté des bêtises ! Ma langue rencontre une petite excroissance, je la sens grossir, la mords tendrement, ce qui a pour effet d'arracher à Mandy un soupir d'extase et bientôt un orgasme. Elle jouit ainsi sous les coups de ma langue, sa vulve se dilate et elle explose un jet de suc dans ma bouche. Mandy se cabre sous le désir, j'enfonce deux de mes doigts dans son sexe en une petite caresse de haut en bas, je les retire de son vagin, pour mieux les plonger à l'intérieur de son ventre. Mes doigts lubrifiés glissent d'un seul coup sur le bas du vagin et s'enfoncent dans l'anus de Mandy qui pousse un râle rauque et bruyant. Excité par la vue de mes doigts dans les reins de Mandy, j'introduis mon pouce dans son vagin. Mandy se laisse caresser un instant dans ses deux orifices intimes, mais elle se dégage lentement des doigts inquisiteurs pour s'allonger sur le ventre, face aux escaliers. Dans cette position, les fesses de Mandy ressortent encore mieux, elle m'offre ainsi, en plein soleil, la vue de son anus brun clair et de sa petite chatte. Et si c'était une invite discrète ?
Je m'agenouille entre les cuisses de Mandy qui avait relevé le bassin, j'ai retrouvé force et vigueur, la grosseur de ma verge en atteste. Je ne peux résister à l'envie d'embrasser les fesses offertes et de lui sucer tout l'entrejambe. Ainsi, je peux lui lécher l'entrée du vagin et l'anus d'un seul coup de langue.
Ma main dirige mon phallus entre les fesses de Mandy, le contact est délicieux, je m'enfonce comme dans un pot de miel, c'est chaud et étroit, mon gland se décalotte entièrement, je ressens une légère douleur. Mais je n'y prête guère attention, le fait de me voir m'introduire dans ses reins occulte le tiraillement du frein de ma verge dû à l'étroitesse des lieux. Je plonge à l'intérieur de Mandy qui, surprise, laisse échapper un cri de bonheur, elle adore qu'on la sodomise sans préparation. D'abord doucement, les muscles de son anus cèdent sous la pression, mon gland disparaît dans les fesses de Mandy et d'une poussée plus hardie, ma verge est absorbée par l'anneau serré. À grands coups de reins, je fais aller et venir ma verge dans son anus, l'étroit fourreau glisse sur ma hampe en la comprimant, je ne vais pas tarder à jouir, mais il faut que je me rattrape sur le coup d'avant. J'avais joui comme un égoïste sans partager avec Mandy, (toutefois, mon hôtesse ne m'en avait pas fait le reproche, signe de sa parfaite éducation) aussi, fallait-il que je lui montre que je savais moi aussi donner avant de recevoir. Je me concentre d'avantage sur le plaisir de Mandy en passant une main sur son entrecuisse pour lui caresser la vulve. Tels des archéologues, mes doigts fouillent son vagin à la recherche de son clitoris et des profondeurs de son intimité. Le caveau de son antre est humide, mes doigts y jouent comme sur un terrain de hockey sur glace, j'adore cette sensation qui résulte de l'activité de ma main sur le sexe de Mandy. Comme en mécanique, j'associe les forces en présence, ma verge plantée dans les reins de Mandy et mes doigts dans son vagin devraient lui extirper une jouissance. Sous le soleil, le corps de Mandy luit de sueur, elle a encore écarté davantage les jambes et creusé ses reins, pour mieux apprécier mes palpations...
À mon grand ravissement, Mandy donne des signes de faiblesse, sa vulve se gonfle et du fin fond de son vagin, jaillit un jet de suc vaginal. Elle ne fait pas dans la discrétion, bien sûr, elle est chez elle, et c'est sans retenue, dans un spasme de plaisir, qu'elle me gratifie d'un :
- Je... jouis... continue... !
Je m'exécute, ses désirs sont des ordres ; aussi pendant qu'elle jouit, tel un travailleur consciencieux, je m'applique dans ses orifices, ce qui a pour effet de me faire jouir aussi. Etroitement emprisonnée dans son anus, ma verge éjacule mon plaisir tant retenu en une délicieuse libération de lave qui courait dans mon ventre.
Tout en jouissant presque à l'unisson, je reste enfoui dans Mandy à goûter son plaisir et le mien.
Une fois rassasiée, elle se dégage de l'épée, son anus béant se referme lentement pour laisser échapper un jet de sperme qui coule jusqu'à l'entrée de son vagin.
J'adore ce moment divin de l'expulsion des souillures du plaisir, mes mains ayant saisi les hanches de Mandy, je regarde s'écouler mon liquide de ses entrailles et toujours en érection, je pénètre une fois encore son anus offert.
Blotti contre Mandy, je lui susurre des mots tendres, comme un amant comblé.
Quelle carnassière, cette Mandy !
Commentaires