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Eros - essais érotiques

Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 00:00
Je posa la trousse discrètement sur le lavabo, et  alla m’asseoir sur le bord de la baignoire, entre mes compagnons. Je pris dans chacune de mes mains leur, sexe et plaça celui d’Alex, dans ma bouche. Comme il était encor un peu mou, je pu le prendre  en entier…j’adorais ça .pendant ce temps je branlais toujours Loïc. Enfin je les rapprocha tellement l’un de l’autre que je fis se frotteur. Leurs verges ainsi collées, je m’amusais ; un coup de langue à droite, et hop un coupe de langue a gauche... A ma grande surprise Alex pris alors une initiative. Il se serra contre Loïc, et posa sa main sur ses fesses.
 
Je ne voyais pas si il le caressai mais je le pense…Moi assise à hauteur de ces deux sexe dressés et collés l’un a l’autre j’étai aux anges…Ils étaient si collé que je parvenais a  lécher les deux en même temps en remontant ma langue depuis les testicules jusqu’aux glands. Je pouvais toucher d’une seule main 4 testicules …qu’elle excitation. Je saisi un tube de lubrifiant au fond de ma trousse, et Loic compris qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Il se retourna, et  se penchant en avant, en s’appuyant sur le bord de la baignoire, offrit ses fesses à Alex. .Je mis une large noisette de lubrifiant sur mon doigt, que je pris plaisir a introduire dans son anus, ce qui provoqua un gémissement de plaisir. Alex positionna alors son gland sur l’orifice, et je commençais à le branler tout contre  cet petit trou glissant…je plaça ensuite une main derrière les fesses d’Alex et  une sur la verge de Loïc, que je commençait à caresser doucement.

J’appuya sur les fesses  et regarda le plus près possible, ce gland s’enfoncer très lentement  entre les fesses de Loïc. Je déposai quelques coups de langue sur toute cette zone, aussi bien sur la rondelle de Loïc que sur la verge d’Alex. Je dois vous l’avouer, je commençais a vraiment être excitée. Loïc commençait à gémir sous les lents assauts que son derrière subissait. J’augmentais son excitation en le masturbant le plus fort possible. Je voulais qu’il jouisse pour sa première foi. Je regardai toujours ce sexe qui rentrai de plus en plus profondément a chaque mouvement. Loïc gémissait de plus en plus, et en passant ma main sur son gland il me fit cadeau d’une grosse goutte de liquide séminal. ; D’une main je frottais son gland et de l’autre je lui massai les testicules .le pauvre n’en pouvait plus. Alex lui, continuai sa lente progression. Il rentrait maintenant la moitié de son sexe.


Tout doucement, mais d’un même mouvement, Alex rentra jusqu'à la garde. Loïc hurla de plaisir. Apres quelques lents allers-retours Alex me demanda du lubrifiant. J’en déposai sur mes doigts, avant de caresser le sexe d’Alex, puis j’en repris pour glisser de deux doigts dans l’anus bien ouvert de Loic. Une fois a l’intérieur je ne pu me retenir de jouer un peu en rentrant un troisième doigt...Je joua quelques secondes a les écarter puis ressorti  pour laisser la place  à autre chose. Alex rentra avec facilité et commença un mouvement assez rapide, tout  en faisant claquer les fesses de loic a chaque coup de butoir. Les  gémissements avaient place à un râle continu, et j’étais persuadée que malgré le plaisir et l’excitation la douleur était bien présente.


Alex continua à augmenter progressivement la cadence, et se mis lui aussi à gémir. De mon coté je rentra dans la baignoire et me glissa sous Loic. La position n’était pas  des plus confortable, en  tirant légèrement sur son sexe vers le bas je pouvais mettre celui ci dans ma bouche. Pour sa première fois je voulais lui faire l’honneur de tout recevoir.

Et je suis assez surprise, car seulement quelques secondes après avoir débuter ma fellation je senti un jet chaud, puissant,  me remplir la bouche. Comme je ne pouvais tout avaler d’un coup, je ressorti le gland et le laissa m’éjaculer au visage, sous les saccades de ma main qui parcourait sa verge. Lorsque qu’il le me regarda, j’ouvris la bouche pour lui montrer son sperme, et j’avala le tout . C’était presque sucré. Ce n’était certes pas un délice, mais ce n’étai pas aussi désagréable que celui d’Alex qui était particulièrement amer. Les garçons m’aidèrent à me redresser, et Loic me donna un baiser en me félicitant. « Merci ça t’a plu comme première fois ? », il me répondit par un grand sourire, Je me retourna vers Alex, qui bandait toujours aussi dur. On  se lave et on va dans ma chambre ? Ca vous dit les garçons ? Ca marche pour moi fit Alex en posant une main sur ma poitrine. Quelques minutes après nous nous retrouvions tous les trois sur mon lit. En arrivant, alex vint spontanément, pauser la pointe de sa langue entre mes cuisses, et délicatement m’ouvrir en glissant sont son petit morceau de chaire rose entre mes lèvres.  Pendant ce temps loic en profita pour venir me mordiller les tétons. Je n’en pouvais plus. L’extase. Se sentir tant choyé me rendait folle.  Assez rapidement alex délaissa mon sexe humide pour descendre doucement entre mes fesses.  Il se contenta, dans un premier temps de déposer de petits baisers, tout autour, sur le blanc de mes fesses. Puis il se rapprocha, , doucement avant de pauser sa langue sur toute sa largeur. Il lécha ainsi mon anus, en humidifiant un peu plus à chaque passage, avant de commencer à  forcer le passage, a peu plus à chaque fois. Quand enfin, il  me fouilla l’intérieur en  faisant tourner sa langue, il me fourra le vagin de deux doigts habiles. Sous cette double intrusion je ne peu retenir un cri, d‘autant que loic continuai a exciter mes tétons.

Je regarda le sexe de Loic, qui  était encor un peu mou suite a son éjaculation. « Loic met toi aussi de moi, dans ma bouche ». Il obéissait, je remonta ma tête sur le bord du lit et loic, debout, pu placer son sexe dans ma bouche. Je l’avalai complètement, J’adorais cette position du genre gorge profonde.
Ses testicules posait sur mes visage me rendait totalement soumise. D’autant que je n’étais plus vraiment mettre de moi  même sous les doigts et les coup de langue d’Alex, qui ne me laissait aucun répit. N'y tenant plus, il monta sur moi, lubrifia son gland entre mes lèvres, puis fis glisser son sexe entre mes fesses. Ce qui vous l’aurez compris, occasionna chez moi un léger frisson d’angoisse. Il n’en fit rien, et se contenta d’une brève visite de reconnaissance avant de pénétrer doucement  entre mes lèvres.  Loic continuai a m’imprimer une bonne cadence tout en étant de plus en plus dur.  
A ce moment, alex étant sur moi, je vis son visage si près du mien, je ne pu m’empêcher. Je tira sa tête vers mois et colla son visage sur le pubis de loic. Je remarquai qu’il ne protestai pas. Je me permis donc de franchir un nouveau cap, en  plaçant la queue de loic juste devant sa bouche. Et comme il marque un temps hésitation, je me permis encor d’appuyer derrière sa tête.
Quel spectacle, s’offrait au dessus de moi. Alex avalait généreusement, ce sexe durcit par une excitation nouvelle.  .. Apres quelques minutes  ou loic se faisait pomper, et ou je lui mangeait les testicules, Alex s’arreta, et regarda loic. « Allez vas y je suis prêt ! »Pendant que loic fit le tour du lit, alex me regarde. « On se mette à quatre patte. »

Je lui offrit donc mes fesses, qu’il profita pour complimenter d’un coup de léchouille s’immisçant aussi bien devant que derrière.., et la surprise !. Je sentis du lubrifiant sur mon anus.  Je n’étai  pas spécialement adepte de la sodomie, je me permis donc une réflexion à alex ; « tu fais doucement, hein promis ? »


Ne t’en fais pas tu vas ressentir tout ce que je ressens. Il ne prit même pas la peine de m’ouvrir avec un doigt.  Son gland commença m’ouvrir, doucement. Le lubrifiant jouait son rôle à merveille, et puis pour être sur de garder mon excitation, je me caressais le clitoris. Loic debout, commençait à imprimer un petit rythme de vas et viens qu’alex me transmettais totalement, petit à petit les verges rentrèrent, de plus en profondément. Alex et moi gémissions de plus en plus. Je commençais a souffrir mais le plaisir étais au rendez vous. Soudain un coup  de butoir me transperça Alex avait le souffle court...quand à moi  je criai, de plus en plus fort. Puis, enfoncer, au plus profond loic stoppa tout mouvement .
Le sexe d’alex était si dur… je sentais ces contractions en moi , s’était vraiment existant malgré la douleur. Apres avoir repris quelque mouvement, loic et alex se retirèrent, en me regardant d’un œil complice. Loic se plaça s ‘allongea sur le dos et je l’enfourcha. C’était la première qu’un sexe de femme entourait sa queue.  « Alors, ça fait quoi »
« C’est trop bon » me répondit il à bout de souffle.
Alex monta lui aussi sur le lit et me souleva littéralement au dessus de loic, dont le sexe retomba sur son ventre. Alex m’embrassa en faisant tourner sa langue dans ma bouche comme il avait quelques instants avant dans mon anus. « Tu va voir ça va te plaire » me dit il Je me mis au dessus de loic, mais cette fois ci en lui tournant le dos. Je compris de suite quelles étaient les intentions d’Alex. Il se badigeonna le sexe de lubrifiant et  commença à rentrer en moi. Ce n’était pas facile,

Faire rentrer deux sexe dans un vagin, c’est surtout dans les films. Je me couchai complètement en arrière afin de faciliter au maximum alex. Enfin celui parvint à rentrer .J’hurla quand il rentra la totalité de son sexe. J’étais remplie…C’était vraiment un plaisir particulier… Je sentais ces deux sexes frotter l’un sur l’autre, de plus en plus fort car alex augmentait la cadence. Au bout de quelques minutes ils m’emmenèrent à l’orgasme. Pendant que j’étais en train de jouir, loic se retira pour se glisser dans mon anus. A nouveau je me sentais  soumise, d’autant qu’alex me défonçait de plus en plus fort. je ne redescendait pas …cela faisait plusieurs minutes que je ne cessais de jouir. J’étais sur le point de m’évanouir. Enfin alex se retira et couvrit mes seins d’une longue traînée blanche. Quand à loic il ne pu se retenir et  éjacula en moi …de toute façon le pauvre ne devait plus avoir grand chose …



Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00
Voila la suite d' EVA, pour votre plaisir un texte from Juju54.

Apres une pause, agrémenter d’un petit joint et d’un whisky, je commençais à me sentir partir vers le sommeil. Hou non, je ne voulais pas dormir…pas tout de suite. Je regardez mes deux hommes qui, encore plus que moi commençait à sombrer. Voire  ces deux mecs, assis la dans mon  salon, leurs sexe  mous pendant entre leur cuisse me donner les idées les plus folles….
« Déjà fatigué » dis je pour rompre le silence. Loïc me regarda avec un sourire jusqu’au aux oreilles. : Non me dit il juste un petit coup de barre Alex ne me répondit pas, il me fixait dans les yeux. Je ne parvenais pas à comprendre ce qu’il voulait que je devine...

Allez une petite douche proposai je d’une voix malicieuse…sans attendre leur réponse, je continuais. : Il y en bien un de vous deux qui va venir me frotter le dos ?
Sur ce, je me leva, et vis Loïc qui s’empressa de me suivre. J’étais pourtant persuadé qu’il était homo…enfin. après tout, il fallait bien le dépuceler, et être la première n’était pas pour me déplaire. Ma salle de bain était assez vaste. La douche était placée au dessus de la baignoire ce qui me faisait espérer que nous pourrions tenir debout tous les trois. Un frisson me parcoura lorsque je posa mes pieds sur l’émail froid de la baignoire. Frisson que je ressenti à nouveau lorsque l’eau chaude commença à couler sur mon corps. Je senti la pointe de mes tétons se relever légèrement, quelles sensations agréable… J’avais vraiment fais fort ce soir. Deux mecs pour moi toute seule. Il allait falloir que je sois en forme. Perdue dans mes pensées, Loïc fut le premier à me rejoindre. Ca va ? Lui demandais je  Oui, ça fais bizarre mais c‘est sympa me dit il avec un sourire jusqu’au oreilles. Je ne pouvais détourner mes yeux de son sexe. Ses testicules étaient contractés par la fraîcheur de sa nudité. Comme je préférai les voir pendantes, j’augmenta l’eau chaude et lui donna la pomme de douche.  

Je commençai à me nettoyer au gel douche lorsque je remarquai que Loïc ne cessa de fixer mon corps.
_C’est la première fois que tu es avec une fille nue ?
_Oui me dit il, tu es vraiment jolie,
_Merci, tu n’es pas mal non plus tu sais .j’aurais quatre ans de moins …tu m’aurai grandement intéressé ! Plaisantai je !
Je vais prendre ta virginité cette nuit, pensai je avec excitation …comme pour le récompenser de ce cadeau, je voulu lui offrir quelque chose d’intime

Ca te ferait plaisir de me laver ?
Pourquoi pas me dit il de son plus beau sourire  

Je lui tourna le dos, et il commença a étaler du gel douche sur ma peau, depuis ma nuque jusqu’au haut de mes fesses. Comme il était doux…je sentait des frissons parcourir mon ventre …Je reculais un peu afin de me coller contre sa peau, et qu’il s’occupe de mes petits seins. Il ‘attarda de longues secondes sur mes tétons, avant de descendre lentement jusque sous mon nombril. C’était vraiment bon. Il n’était pas pressé, et pourtant je sentais son sexe dressé contre la blancheur de mes fesses. Le sentir aussi dur contre moi, me permis une reflexion. . ;  « je croyais que tu étais homo ».

« A vrai dire avec toi je découvre ma bisexualité ». « Merci » répondis je tu me flatte. Ne lui laissant pas le  temps de me répondre j’enchaîna une question piquante.  Et pour ta première fois ..tu vois ça avec ça avec Alex ou avec moi ?…je ne sais pas quoi te dire ….disons que je préférai quand même un homme …mais je ne pense pas que lui sois près, Il ne l’a jamais fais fait avec un mec .enfin je pense ..

« Oui tu as raison e, et bien ça sera sa première fois aussi ! »
Le sentant toujours hésitant à caresser mes les parties les plus intimes de mon corps, je saisi son sexe et  je frotta son gland entre mes fesses, Peu de temps après mon petit puceau effleura mes lèvres du dos de sa main, puis revint pauser celle ci afin de partir a la découverte de mon sexe.  C’est à ce moment précis que Alex ouvra le rideau  de douche ;  « Alors les excités en s’ennuient pas à ce que je vos ! »

Pour me venger de cette intrusion je me tourna  d’un  coup, et m’accroupissant je pris le sexe de Loïc au plus profond de ma bouche. Il n’avait vraiment pas un gros sexe. Ma petite bouche parvint à se coller sans douleur sur presque toute la longueur de sa verge. Je sentais ses veines contre mes lèvres, tandis que je présentais déjà un petit goût salé au fond de ma bouche. Il faut dire que j’aspirais très fort tout en lui massant les testicules, qui maintenant pendaient généreusement .Ma main continua à s’aventurer sous ses bourses pour assez rapidement,, découvrir son anus poilu. Cela me changeai d’Alex qui  depuis ses 16 ans était toujours rasé, sans le moindre poil. Il faut dire qu’Alex aimer assez, lorsque nous étions plus jeune que j’introduis parfois un doigt ou deux pendant qu’il me prenait. Je n’étais donc pas en terre inconnue avec Loïc. Avec un peu de gel douche qui rester sur ma poitrine, je commençais a masser son petit trou, en essayant d’y pénétrer mon pouce, un peu plus à chaque pression…

Pendant ce temps, Alex, nu lui aussi, nous regardait, totalement passif. Il avait un très léger  début d’érection, qui faisait bien ressortir son gland circoncis. Il était bien fait …grand fin, des muscles bien dessiné, et son sexe, en érection n’étais peut être pas très long mais possédait un beau diamètre … C’étai un bon amant  qui me donner à coup sur plusieurs orgasmes à chaque rapport.

Enfin, je sentais le sexe que je suçais, de plus en plus dur  contre mal langue, et  le goût du salé était de plus en plus prononcé …je me releva complètement et tira par le bras Alex, afin de l’embrasser, et ce juste après avoir littéralement aspiré le sexe de Loïc …je le poussa sous la douche, et lui demanda de se laver rapidement….je sorti  de la baignoire, m’essuya un peu.Mais quand Loïc voulu sortir aussi , je lui demanda de rester à l’intérieur..

Je parti dans ma chambre pour rapidement revenir, avec ma trousse de nuit sous le bras. Cette petite trousse contenait tout ce qu’il  fallait…lubrifiant, gel massant, préservatif, lingette nettoyante, gode, bandeau, ficelle...tout pour s’amuser !!!
Mardi 20 septembre 2 20 /09 /Sep 00:00
Après cette séance de découvertes franco irlandaises, Marie et Balou déplièrent le canapé convertible et s’engouffrèrent sous la couette. Ils continuèrent à se caresser mutuellement allongés côte à côte pour préserver l’instant magique qui avant rendu leur rencontre si intensément fusionnelle.

Marie souriait. Elle était ravie d’avoir séduit ce grand brun aux faux airs de J Reno, et surtout d’être la première femme à le faire jouir après un semestre de galère. La peau laiteuse de Marie contrastait avec celle de cet homme velu de type méditerranéen. Elle se lova contre lui, caressa sa poitrine poilue, embrassa les petits tétons et mélangea ses blanches cuisses aux siennes.

Enlacé ainsi dans les bras de Marie ; Balou laissait son esprit vagabonder vers les délices irlandais. Cette étudiante de 23 ans, grande, rousse, à la poitrine généreuse, à la peau blanche maculée de taches de rousseur, à la longue chevelure flamboyante et bouclée, l’avait séduit et de cela il n’en douta point.  Les Coors chantaient en sourdine, à travers la fenêtre Balou voyait voltiger les flocons de neige, la nuit s’annonçait une fois de plus sibérienne. Mais en cet instant il était bien au chaud sous la couette avec sa jeune amante. La couette d’ailleurs sentait l’odeur ambrée de Marie, elle enivrait les sens de Balou qui s’en délectait.

- A quoi penses-tu ? Questionna Marie.

- A toi, à nous.

- Et ?

- Tu sais Marie, j’adore ton petit accent so british.

Marie se redressa et regarda son amant d’un air interloqué.
- What !!! Only this !
- Mais non je te taquine voyons, ma petite irlandaise adorée.

Ils éclatèrent de rire avant de replonger ensemble vers une cascade de baisers.  Ensuite ils dînèrent d’un ragoût d’agneau préparé à l’avance par l’oncle Freddy. Ouf, Balou avait échappé à cette satanée sauce verte à la menthe qui accompagnait généralement ce plat irlandais typique.  Le restant de la nuit fut tout naturellement consacré à la débauche de plaisir qu’ils se donnèrent jusqu’au petit matin.
Un pincement, une douleur à l’épaule droite réveilla Balou.

- Arrête de ronfler, ça m’énerve. Gémit une petite voix ensommeillée à coté de lui.

Balou se retourna sur son flan gauche, il sourit en se rendormant. Ce samedi matin était encore plus glacial que d’habitude. L’ordinateur de bord de la voiture de Balou affichait -15°. Heureusement que son véhicule avait démarré sans trop de mal car il s’était garé sur un bateau de livraison.

Il avait laissé Marie dans son appartement au petit matin. Le soleil n’était pas encore levé. Balou éprouvait des courbatures après cette folle nuit de luxure. Mais il se dit que des galipettes comme ça il en ferait volontiers tous les week end, ou alors vraiment il était en train de s’encroûter. Certes la trentaine déjà bien entamée il avait encore de beaux restes, mais quand même se dit-il « faut que je fasse gaffe à mon palpitant ». Il souriait, heureux comme un pape en conduisant vers son domicile. Arrivé dans son petit deux pièces, il fut horrifié de constater le bordel ambiant. Marie porterait certainement les jambes à son cou si elle voyait ce capharnaüm. Il se promit de remédier à cela après un petit somme.

Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing !! Driiiiiiiiiiiiiiiiing !!!

La sonnerie stridente du téléphone tira Balou d’un profond sommeil. Un œil, puis deux s’ouvrirent. Il rampa littéralement hors du lit mais arriva trop tard, le répondeur s’était mis en marche.  La voix anglicisée de Marie remplie son salon, elle voulait prendre de ses nouvelles et lui dire qu’elle partait bosser au bar de son oncle et qu’elle terminerait son service très tard.  Mais qu’elle heure était-il ? Se demanda péniblement Balou.

Le radio réveil affichait 17h en le narguant.  Il avait quasiment fait le tour du cadrant.

Balou fila illico sous la douche. Il devait encore s’activer à faire quelques courses si d’aventure son amante rousse débarquait chez lui. De plus, il jeta un œil inquisiteur sur la propreté de l’appartement. Après quelques secondes d’hésitation il décida que le seuil de tolérance ménagère n’était pas encore atteint.  La soirée était déjà bien engagée. Balou avait dîné chez un couple d’amis quinquagénaires dont il était le parrain de leur fille. Ils avaient été très proches de lui après la déconvenue avec Angela. Leur amitié et leur soutien lui avaient également permit de ne pas sombrer dans le gouffre de la dépression.  Sa filleule se prénommait Magali, petite peste de 19 ans, ressemblant à Avril Lavigne, la punkette canadienne. En fait elle s’habillait comme son idole, et le plus drôle c’est que Balou aimait bien cette musique d’une fraîcheur qui lui rappelait sa jeunesse. Magali adorait son parrain chéri. Balou avait fait la baby-sitter à plusieurs reprises lorsqu’il rendait service à ses amis. Il l’avait connu tout bébé, ensuite vers l’âge de 5 ans il lui avait appris à jouer aux cartes, puis au poker.  Magali s’était transformé au fil des années, passant d’une midinette squelettique à une adolescente révoltée, puis à une jeune femme aux formes bien dessinées. Le lien qui l’unissait à son parrain était très fort. Balou était son confident, il la coachait parfois lorsqu’elle tournait mal. Il cédait évidemment à ses désirs lorsque sa filleule faisait les boutiques avec lui. En fait Magali le relookait quelquefois en lui faisant acheter des tenues tendance, alors que lui il lui offrait une bonne partie de ses vêtements. Ensemble dans les magasins ils piquaient souvent des fous rires devant les vendeuses éberluées.

Les parents de Magali voyaient parfois d’un mauvais œil leur fille affublée de tenues trop « trash », mais au fil des ans ils en avaient pris leur partie. Ce soir là Balou était guilleret. Il raconta à ses amis la rencontre avec Marie, mais passa naturellement sous silence la folle nuit écoulée. Magali était assise en face de lui. Il remarqua qu’elle lui jetait un regard noir et que ses propos devenaient acides à son égard. Il ne comprenait pas son attitude, mais une petite voix lointaine lui soufflait que sa filleule devenait peut-être jalouse de Marie….Il chassa rapidement cette idée de son esprit, la trouvant grotesque.

Balou savait Magali à cran car d’une part elle devait préparer son examen du BTS très sérieusement puisqu’elle n’était pas bonne élève, et d’autre part faire le deuil d’une déconvenue sentimentale avec un petit ami. De plus ce soir ses parents lui avaient interdit de sortir dans la mesure où son niveau scolaire laissait à désirer.

Vers minuit, Balou quitta ses amis après un charmant repas très convivial.

Sur le pas de la porte Magali l’attendait.
- Emmène-moi avec toi s’il te plait mon parrain chéri. Dit-elle d’une voix de fillette. J’ai envie de prendre un verre en ta compagnie.
- Hein ? Mais je ne peux pas, tes parents me font confiance et de plus si t’es pas rentrée ils vont m’engueuler.
- Alors c’est dommage, tu ne sais pas ce que tu loupes….

Elle se mit sur la pointe des pieds et rapide comme l’éclair elle lui déposa un baiser appuyé sur ses lèvres. Balou resta interdit. Elle souriait et lui fit un clin d’œil en refermant la porte de l’appartement. Balou tenait bêtement les clés de voiture à sa main en se demandant s’il n’avait pas rêvé. Sacrée Magali se dit-il, elle en pince pour moi ou quoi. Magali referma la porte rapidement. Elle resta adossée à celle-ci et se passa la langue sur ses lèvres pour capturer l’odeur de Balou. Elle était également rouge d’excitation et de confusion, mais elle s’était dite que son geste était le meilleur moyen de faire comprendre à cet homme qu’elle le trouvait à son goût. De plus il se connaissait intimement non ?

Son ventre la taraudait, elle sentait la douce moiteur entre ses cuisses. Elle n’en pouvait plus, elle voulait sentir la verge de cet homme en elle. Magali tremblait d’excitation en courant vers sa chambre. Elle verrouilla la porte et se jeta sur son lit. Elle ôta rapidement son jean et sa culotte, puis elle fouilla dans sa commode et en sorti un sexe d’homme en latex. Elle sentait son miel d’amour humidifier sa toison blonde.

Sur le lit, couchée jambe écartée elle se livrait à un plaisir solitaire. D’abord ses doigts caressèrent son ventre et sa menue poitrine, puis progressivement ils trouvèrent le bourgeon dressé après avoir écartés les roses petites lèvres. Ainsi elle titilla son clitoris, cuisses largement écartées, offerte à la seule vue du plafonnier. Magali gémit, elle imagina les doigts de Balou sur elle, sa langue en elle, sa brune chevelure entre ses cuisses. Cette simple évocation lui déclencha un premier orgasme. Puis elle porta à ses lèvres le godemiché divin. Elle laissa sa langue courir sur l’engin. Ensuite elle écarta ses lèvres et elle le prit en bouche pour le sucer vaillamment. Avec l’autre main elle continuait à se caresser l’entrecuisse. Se sentant prête, elle laissa courir le gland en latex sur tout son corps, caressa ainsi son ventre plat, avant de positionner l’engin à l’orée de son puis d’amour. Elle cria comme une souri à la première poussée, et d’un coup de rein elle s’empala sur le gode.

Balou était en elle. Elle sentait son poids sur elle, son odeur de mâle l’enivrait. Elle replia ses jambes sur les hanches de son amant pour l’enserrer davantage et le garder en elle. Magali gémissait, ses vas et viens s’accélérèrent encore. La hampe virtuelle de Balou coulissait de plus en plus rapidement, elle l’enfonçait profondément dans son ventre comme le ferait cet homme. Elle prononça son prénom et diverses insanités. Son ventre brûlait, elle se tordait, ses muscles intimes comprimaient ce sexe de latex. Elle sentait le plaisir affluer dans tout son être. Elle mordit la taie d’oreiller pour réprimer son hurlement. Balou jouissait avec elle en gémissant, il éjacula longuement et elle sentait dans son vagin la chaleur de sa semence l’inonder complètement.

Magali était allongée sur la couette. Une fine pellicule de sueur filmait son corps, une petite goutte ruisselait entre ses seins. Elle savourait sa félicité. Balou arriva à l’Irish Pub peu avant 1h du matin.
D’autorité il se dirigea vers le comptoir où officiaient sa dulcinée et Freddy. Le bar était enfumé comme d’habitude. Freddy tirait les guiness et Marie servait à table. Elle portait un simple top prêt à exploser sous la pression de sa voluptueuse poitrine, un jean hyper moulant et ses fameuses bottes. Sa tignasse rousse était maintenue par une barrette en bois, ce qui évitait que ses cheveux flamboyants ne traînent dans les verres à bière.
Entre deux clients elle fit un chaste baiser sur les joues de Balou en lui adressant son plus beau sourire.
- Encore un heure mon chou et je serai à toi. Minauda-t-elle.
Freddy se rapprocha de Balou.
- Alors ça gaze entre vous je vois hein ?
- Oui merci nous apprenons à nous connaître
- T’as intérêt à pas faire de conneries avec ma nièce car sinon t’auras tous les Fitzpatrick sur le dos mon gars. L’averti en rigolant Freddy.
- Allez je t’offre une bibine et sers m’en une aussi. Dit Balou. Marie est une fille intelligente, d’un charme fou ça je te l’accorde.

Freddy lui confirma que Marie comptait plus que tout pour lui dans la mesure où avec sa femme il ne pouvait avoir d’enfant.  Deux heures du matin. Les chaises étaient relevées et posées sur les tables. Les lampes s’éteignirent une à une. Il était temps de fermer le bar.
Marie s’engouffra dans la voiture de Balou. Elle ne portait plus son blouson mais un long manteau de laine noir.
- Il faut que je prenne une bonne douche car je pue la clope. Dit-elle. On va chez moi ok ?
Balou acquiesça.
Il faisait toujours aussi glacial sur Paris. Les deux amants se dépêchèrent de regagner leur petit nid d’amour.
Arrivées au sein du petit studio de Marie, tous deux se déshabillèrent avec frénésie pour prendre une douche chaude. Marie constata d’un regard expert que son amant était déjà fièrement au garde à vous, sa hampe dardait et tressautait devant lui.

La minuscule salle d’eau leur offrit toute la promiscuité nécessaire à de tendres caresses et à des succions buccales et clitoridiennes

Ensuite Marie se retrouva le ventre plaqué contre le lavabo, elle faisait face au miroir embué. Jambes écartées, elle recevait la vigoureuse verge de Balou en elle. Néanmoins cette position était inconfortable à tous les deux. Balou se retira d’elle, il murmura à l’oreille de Marie :

- j’aimerais jouir entre tes beaux seins.

Marie gloussa. Elle se coucha de tout son long sur le lit en lui présentant à deux mains sa voluptueuse poitrine. Balou s’agenouilla au-dessus d’elle. D’abord il embrassa alternativement les fabuleux globes, il suça les tétons durcis et sa langue les titilla également. Puis, il laissa sa langue courir sur les roses auréoles. La douce peau blanche émoustillait les sens de Balou.  Marie se laissait faire. Elle vit son amant s’agenouiller au-dessus d’elle. Ensuite ses mains lui câlinèrent sa poitrine. Balou téta littéralement comme un bébé. Son ventre s’embrasait mais elle voulait offrir cette caresse à cet homme si particulier. La bouche de son amant la rendait folle, elle vit la langue lécher les auréoles de ses seins, elle ferma les yeux, livrée ainsi aux caprices de Balou.  Après, la hampe se positionna dans le sillon de sa poitrine. A deux mains Marie pressa ses seins l’un contre l’autre pour enserrer cette verge d’amour. Balou débuta ses vas et viens. Marie voyait devant ses yeux le gland violet venir et disparaître dans le sillon mammaire. Elle aperçu également les grosses bourses se balançant au-dessus de son ventre. Cette image lui arracha une plainte de bonheur.
Au dessus d’elle son amant ahanait. Balou n’allait pas tarder à jouir elle le sentait. Marie compressa encore davantage la hampe entre ses seins. Elle le regarda, son regard plongea dans ses yeux noisette. Un ultime coup de rein. Un cri. Puis elle vit le gland lâcher plusieurs jets de semence, elle regarda avec avidité cette éjaculation qui aspergea son cou. Marie sentit la chaleur de cette lave sur sa peau, puis elle desserra l’étreinte de ses seins sur la hampe, ce qui permit à Balou de continuer à se masturber au-dessus d’elle. Il continua de gémir tout en éjaculant les derniers jets de son plaisir. La sève coulait maintenant sur le menton de Marie, son ventre en était également maculé. Elle passa ses mains sur sa peau et recueilli du bout des doigts la semence de son amant qu’elle suça avec avidité. Balou se lova contre elle, ils se donnèrent un passionné baiser. Leurs langues se taquinaient, leurs salives se mêlaient, les dents s’entrechoquaient.

D’une main experte Marie constata que son amant n’avait pas vraiment perdu sa vigueur. Elle prit l’initiative de s’accroupir à quatre pattes en lui présentant ses fesses. Il n’en fallu pas plus à Balou pour s’agenouiller devant cette croupe blanche dont la rose et luisante fente attendait ses hommages. Marie sentit le gland caresser son intimité naissante. Elle dégoulinait de désir, puis senti une main se poser sur sa hanche avant de hoqueter sous la vive pénétration de son ventre.

Elle sentait en elle ce pieu de chair qui allait et venait, déclenchant des spasmes de bonheur dans tout son être. Marie mordit le coussin à proximité pour étouffer son hurlement d’extase. Une tornade de plaisir venait de prendre possession de son être. Elle sentait la hampe pénétrer au plus profond de son ventre, elle ressentait son frottement sur ses parois internes qui lui envoyèrent une multitude d’ondes orgasmiques.
Marie continua de jouir encore intensément de longues secondes qui lui semblaient durer une éternité lorsqu’elle sentit un doigt caresser son pertuis. Balou vit la rousse crinière bouclée mordre dans le petit coussin. Cette irlandaise était fabuleusement belle à regarder jouir. Lui aussi se voyait entrer et sortir de ce sexe dont la toison rousse était maintenant complètement mouillée. Il s’accrochait aux hanches laiteuses car son amante était secouée de soubresauts violents. Un doigt aventureux pénétrait doucement la rondelle sodomite de Marie. Il allait et venait en même temps que la hampe. Marie se sentait pénétrée doublement. Elle lâcha des feulements de tigresse. Son amant insatiable l’emportait vers un délire orgasmique jamais atteint.
Soudain elle fut bousculée plus violement encore, dans un dernier coup de rein de Balou. Celui-ci perdit contact avec le ventre de Marie, sa verge luisante dressée, il éjacula sur les fesses blanches à longues giclées de semence grasse. Il gémit le prénom de son amante en jouissant de la sorte de longues secondes encore. Tous deux s’écroulèrent ensuite sur le lit. Le regard dans le vide, aucune parole n’était nécessaire. Ils savouraient l’instant présent, ils avaient atteint le nirvâna absolu.
Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 00:00
J'avais à peine 18 ans lors de notre rencontre. Lui était un ami et avait une trentaine d'années de plus que moi. Il s'appelait Jean.  Lors d'un séjour en camping, je me retrouvai à devoir partager une petite caravane avec Jean et donc le même lit. Nous n'avions le choix ni l'un ni l'autre et ce n'était que pour une nuit, puisque je devais repartir le lendemain. Alors je ne me suis pas posé de questions. Il me demanda s'il pouvait dormir en caleçon, je lui répondis que dans ce cas j'en ferais autant, car la chaleur était écrasante.

Nous étions allongés sur le dos, côte à côte et je commençai à m'endormir quand je sentis son bras se poser machinalement contre moi. Je ne réagis pas, puis sa main se tourna contre ma cuisse, la caressa en remontant et se posa dessus. M'étonnant moi-même, je n'eus aucune réaction et en fait, sentir sa main m'excitait bizarrement, mon érection monta brusquement. Jean continuait à avancer sa main sur mon sexe qu'il sentait durcir à chaque seconde et l'entra dans mon caleçon.

Dans un silence absolu, il me branlait. Il me demanda quand même en chuchotant si j'aimais ce qui se passait et je me contentai de gémir. Jean enleva alors mon caleçon et me branla de plus belle. Sentir sa main chaude sur mon sexe et mon plaisir qui montait me fit gémir de plus belle.

La couette bougea beaucoup et je sentis soudain le souffle de Jean sur mon ventre, puis sa bouche autour de mon sexe. Impossible alors de retenir un râle de plaisir, j'essayai de me contrôler mais c'était inutile, le plaisir monta en moi comme jamais, je ne savais plus où je j'étais ni qui j'étais, j'étais en apesanteur dans un univers de plaisir, je n'en pouvais plus, je ne gémis, plus, je couinai presque, j'avais honte de moi mais c'était si bon ! Une éjaculation violente me libéra alors de cet état second et je redescendis doucement sur terre. J'ouvris les yeux, je vis Jean fier de lui, il me caressait le ventre, me dit que j'étais beau et que je lui plaisais beaucoup.

Je me rendis compte qu'il avait avalé tout mon sperme, un peu surpris je mis ma tête contre sa poitrine lui disant que c'était une première pour moi et que j'avais adoré. Je caressai son ventre, descendant vers son caleçon qui m'attirait de plus en plus. A cet instant il était comme un maître de plaisir pour moi, je voulais absolument le remercier, j'aventurai donc une main vers son sexe...

Il était dur et bien proportionné, je fis rapidement glisser le caleçon pour voir ce sexe, cette queue. Je la caressai doucement, puis la pris dans ma main et commençai à la branler. Elle était belle, très belle, et surtout c'était celle de mon maître, donc source de plaisir. Je branlai de plus en plus fort. Poussé par Jean, j'approchai ma bouche de son gland gonflé, je lui donnai un coup de langue, puis un autre, encore un autre, j'adorai ça, j'attrapai le sexe à sa base et l'enfournai dans la bouche, Jean gémit en passant sa main dans mes cheveux, sa réaction m'excita encore plus, je pompai cette queue du mieux que je pus (pour une première fellation je fais mon maximum). Jean me tira carrément les cheveux en enfonçant son sexe au plus profond de ma gorge. Cette prise en main franche me soumit complètement à lui. Avant de jouir, il tira ma tête en arrière pour me prévenir, je laissai alors échapper sa queue qui me cracha au visage quatre giclées de sperme ...
Toujours en me tenant par les cheveux, Jean m'amena jusqu'à sa bouche et m'embrassa à pleine bouche.

« C'est très bien » me dit il, « Tu es très doué, j'aimerais pouvoir recommencer à l'occasion. Je pourrais continuer ton éducation en la matière si tu veux ... »

Cette proposition m'enchanta, c'était clair pour nous deux, il était le maître et moi l'élève.

Je devais repartir, mais l'idée d'une nouvelle nuit avec Jean me fit changer mes plans, il fut enchanté de ma décision et nous passâmes l'après-midi ensemble. Je le dévorais des yeux en permanence et attendais impatiemment que le soleil se couche.

Nous discutâmes autour d'un verre, Jean me fit part de ses désirs et de son attirance pour moi. L'alcool aidant, je lui confiai mon désir de recommencer et ma totale confiance en lui, j'avais soif de jouissances à partager avec lui et je serais un élève obéissant.

Nous allâmes enfin nous coucher (encore en caleçon), j'en avais rêvé tout l'après midi, il me prit dans ses bras, je sentis son souffle sur ma nuque, j'étais aux anges.

Jean me serra contre lui, je sentis sa queue en érection contre mes fesses, j'étais ravi de lui faire autant d'effet, je passai une main derrière moi et attrapai son sexe à travers son caleçon. Je commençai à le branler doucement, Jean descendit une main sur ma hanche, il s'attarda dans le creux de mes reins, m'embrassa dans le coup ... Sa main si douce passa sous mon caleçon, caressa mes fesses, un doigt passa sur mon anus, je continuai à le branler. Jean arrêta ma main et me dit de me laisser faire à présent. J'obéis tel l'élève discipliné que j'étais.

Mon caleçon était déjà au bas du lit, je sentis les deux mains puissantes de Jean me retourner littéralement et me mettre à quatre pattes.

Ses mains s'attardèrent sur mes fesses et mon anus, j'imaginai bien ce qui allait se passer et bien qu'un peu apeuré je m'offris complètement à elles. Une main se saisit de ma verge prête à exploser, la branla doucement puis descendit sur mes testicules et les caressa doucement. C'est à ce moment précis que la langue de Jean passa sur mon anus, je fondis instantanément, quelle sensation délicieuse ! Mon anus s'ouvrait doucement et je sentais cette langue forcer l'entrée autant que possible, que c'est bon !

Jean me signala qu'il fallait passer aux « choses sérieuses » tout en sortant une sorte de tube de crème, je gémis « oui » dans un souffle et sentis son doigt étaler une substance froide sur mon anus brûlant. Plus il étalait, plus son doigt entrait en moi, ça y était mon anus était ouvert et un doigt, puis deux, coulissèrent en moi. Jean mit sa tête entre mes cuisses et me lécha la queue et les bourses tout en continuant de travailler mon anus avec ses doigts et en se branlant. Quand il arrêta, il me prévint que si j'avais aimé ça, j'adorerais la suite. Je n'en pouvais plus d'attendre, je voulais le sentir en moi, me posséder entièrement. Il se mit à genoux derrière moi. « Je suis ton jouet sexuel, fais de moi ce que tu veux » pensais- je. Jean frappa mes fesses avec sa queue et posa son gland contre mon anus.

- Tu veux que je rentre, me demanda t-il ?

- Oui prends-moi, je suis tout à toi, défonce moi ! (Je me surprenais moi-même, mais je le voulais en moi)

- T'es une petite salope toi ! Tu veux que je t'encule ?

- Oui ! Oui ! Encule-moi, je t'en supplie !

Toutes ces grossièretés m'excitaient tellement, je ne me contrôlais plus depuis longtemps quand je sentis alors ce gland brûlant forcer le passage de mon rectum et entrer progressivement. Ce point de chaleur remontait tout doucement dans mes boyaux. Très lentement, Jean s'enfonçait en moi. La petite douleur, au début, fit place à un plaisir sans précédent. Ça y était, cette queue adorée était toute en moi, ses testicules touchaient les miens puis les tapaient au rythme des coups de boutoirs que me donnait Jean.

A présent, je criai mon plaisir.

- Oui, continue, c'est tellement bon! Lui dis-je entre des gémissements et des cris.

- J'adore ton petit cul, t'es tellement bandant!

Pendant qu'il me disait ça, Jean me branlait et je ne tardai pas à jouir abondamment sur son lit. Peu après, il se retira et couvrit mes fesses et mon dos de sperme.

Nous nous écroulâmes chacun de notre coté, épuisés par tant de plaisir.

Ayant repris mon souffle je m'approchai de Jean, mon anus se refermait quand je gobai son sexe afin de le nettoyer au mieux avec ma langue. Jean caressait mes cheveux en me disant qu'il aimerait bien éjaculer dans ma bouche la prochaine fois ...
Dimanche 4 septembre 7 04 /09 /Sep 00:00
Voici un nouveau texte ecrit pas Pholius un petit délice.

Nous allons passer des vacances aux sports d'hiver cette année ! Les réservations sont faites ; les skis, les combinaisons, tout est prêt, seul le trajet aurait pu être plus simple. Mes parents nous emmènent à mi-chemin environ, nous passons la nuit dans une veille maison de campagne familiale qui est vide depuis bientôt un an et on passe nous chercher le lendemain matin pour le reste du trajet.

Nous partons à trois avec ma cousine Pauline et ma sœur Carole. Nous avons tous entre vingt et vingt-cinq ans et nous nous entendons assez bien. J'aurais préféré skier avec une petite amie mais je n'en pas pour le moment et il me sera impossible de rencontrer quelqu'un sur place à cause des mes compagnons de voyage. Pauline et Carole pensent que je ne suis qu'un obsédé qui ne respecte pas les femmes et elles adorent me « casser la baraque » quand je flirte avec une fille. Ce n'est pas grave, ça m'amuse presque mais je ne cherche même plus à jouer les séducteurs quand elles sont dans les parages.

Ce sont d'ailleurs ces deux vipères, comme j'aime les appeler quand elles ne sont pas là, qui ont trouvé la voiture pour la fin du voyage. C'est Florian qui passera nous chercher, sa copine dort chez sa grand-mère dans un village non loin du nôtre, et il pourra donc nous déposer à la station de ski. La solution n'est pas trop mal mais je n'aime pas beaucoup Florian, voire pas du tout même. En fait je suis jaloux de lui car il sort avec la fille la plus jolie, gentille, rigolote que je connaisse : Emma, celle-là même qui va dormir à quelques kilomètres de nous.

Je reconnais être un peu amoureux d'elle, mais je n'ai jamais eu l'occasion de tenter ma chance parce que cet enfoiré de Florian sort avec elle depuis toujours. J'ai même appris qu'ils allaient se fiancer et ils vont faire ça à la montagne, pendant mes vacances, à côté de ma destination !

Nous arrivons à la maison dans l'après-midi pour avoir le temps de nous installer. Nous pensions trouver un minimum de confort, mais notre court séjour va ressembler à du camping. C'est l'hiver, la maison n'a pas été chauffée depuis longtemps et il n'y a que deux lits d'une personne au même étage que la cheminée. Ce n'est que pour une nuit, alors on prépare de quoi faire du feu et les filles dormiront ensemble, comme elles le faisaient parfois étant plus jeunes.

Je finis d'installer les lits et duvets quand on frappe à la porte. Carole va ouvrir et revient accompagnée d'Emma. Je reste figé un instant sous le choc : l'objet de mes phantasmes, la fille qu'il me faut, est juste devant moi, plus belle que jamais. Sa grand-mère a eu un petit malaise, rien de grave, mais elle est à l'hôpital et Emma ne peut pas avoir les clés.

- Emma, tu es la bienvenue, mais comment va-t-on faire pour dormir ? dis-je.

Regardant autour d'elle, Emma comprend la situation un peu précaire de notre couchage. Pour Pauline, la solution est simple, elle dort avec Emma et moi avec ma sœur.

- Tu ne vas pas dormir avec mon abruti de cousin de toute manière, dit Pauline

- Si j'ai pas le choix, ça ne me dérange pas plus que ça tu sais. Je suis sûre qu'il sera un gentleman.

- Bien sûr, je sais me tenir. Et si je peux choisir, je préfèrerais dormir avec toi, tu es plus petite que Carole, on se gênerait moins, dis-je.

Emma fait mine d'hésiter puis accepte en me faisant promettre d'être sage.

Je promets et me voilà forcé de dormir en copain avec la superbe Emma. Ne pas la toucher, ne pas caresser ses petits seins si adorables, ne pas l'embrasser, ne pas peloter son petit cul ferme... ça va être la nuit la plus dure de ma vie.

Il est déjà tard, nous ne tardons pas à nous mettre au lit. J'ai un jogging en guise de pyjama et Emma s'approche de mon lit en culotte avec une grande chemise par-dessus. Ses jambes sont superbes, galbées et fines.

- Je suis désolée, je n'ai pas prévu de pyjama, j'en ai un chez ma grand-mère d'habitude.

- C'est pas grave, je te préfère comme ça de toute façon...

- Petit coquin, va ! Attention, tu as promis d'être sage !

- Mais oui, ne t'inquiète pas.

Emma entre dans mon lit trop petit pour deux. Elle se serre contre moi et nous éteignons la lumière. Je la distingue mal dans l'obscurité mais je sens ses cheveux sur mon bras ainsi que son léger parfum. Pour avoir plus de place elle me tourne le dos et mon bras est par-dessus son épaule. Je la tiens presque dans mes bras, elle est tout contre moi, j'ai envie de la toucher, de l'embrasser... Je dois résister.

Je la sens bouger et plaquer ses fesses contre moi, elles sont juste sur mon sexe qui ne tarde pas à bander très dur. Emma ne peut pas n'avoir rien remarqué. Elle commence un léger va-et-vient avec sa croupe, je n'en peux plus. Emma se retourne doucement pour ne pas faire trop de bruit car nous sommes dans la même pièce que les deux vipères. Elle approche sa bouche de mon oreille, me chuchote de ne pas faire de bruit et dans le même temps sa main rejoint mon sexe. Elle me branle doucement à travers mon pantalon et me fait promettre de garder tout ça secret. Je suis aux anges.

Je déboutonne tout doucement sa chemise, le plus silencieusement possible. Ses seins sont déjà dans mes mains, ils sont doux et chauds, leur contact me fait frémir. Ma bouche est attirée irrémédiablement par ses mamelons qui durcissent rapidement sous les assauts de ma langue.

Emma baisse doucement mon pantalon jusqu'à mi-cuisses. Elle pelote mes fesses en se serrant davantage contre moi, mon sexe ainsi libéré et fièrement dressé est contre sa petite culotte. Elle est déjà toute mouillée, j'essaye de l'enlever mais ce n'est vraiment pas pratique dans notre situation. Emma m'arrête et le fait pour moi. Je passe le bout de mes doigts sur les quelques poils de sa vulve, ils sont doux et moites. Le souffle de ma belle s'accélère un peu, je m'approche alors pour l'embrasser.

Tout doucement je pose un baiser sur ses lèvres, puis un autre, encore un autre, je lèche à présent les lèvres douces et sucrées qui s'offrent à moi. Sa langue me répond et lèche la mienne. Elles se mélangent, se confondent presque, qu'est-ce qu'elle embrasse bien ! Je lèche son palais, ses dents, j'essaye d'aller le plus loin possible dans sa bouche quand je sens le sexe d'Emma tout contre le mien, elle titille mon gland avec ses poils tout en malaxant mes fesses. Ses deux mains sont maintenant au niveau de ma queue, l'une me branle et l'autre masse mes boules. Elle sait vraiment y faire, c'est exquis. Elle murmure :

- J'ai envie de te sucer, tu crois que je peux ?

- J'adorerais ça, mais on risque de réveiller les filles.

- Pas si tu ne gémis pas trop fort, tu crois que tu pourras ?

Emma marque une pause, elle m'embrasse, embrasse ma tempe et passe un coup de langue sur mon oreille.

- Allez, leçon de self-contrôle ! me dit-elle d'un ton ironique avant de s'enfoncer dans le sac de couchage.

Je ne sais pas comment elle y arrive, mais elle est pliée au fond du sac et sa bouche atteint enfin mon gland. Je suis plus qu'heureux, je plane complètement. Emma passe sa langue sur toute la longueur de ma queue puis enserre mon gland dans ses lèvres, le titille de sa langue et enfin avale ma queue en entier. Elle me procure un tel plaisir, je suis fou de cette fille ! Mon plaisir monte au fur et à mesure que ma bite est léchée, aspirée, suçotée, j'ai envie de hurler, j'ai le réflexe de mordre l'oreiller pour étouffer mes cris. Emma continue de me sucer en aspirant toujours plus fort. Je me retire de sa bouche d'un mouvement un peu brusque, je ne tiens plus et je ne crois pas que lui éjaculer en pleine figure sans prévenir soit la meilleure chose à faire. Ma bite se repose un peu, je reprends le contrôle quand Emma ressort la tête du duvet.

- Tu as vu comme je suis gentille avec toi ? À ton tour... je veux te sentir en moi.

Emma est en train de se branler tout doucement sur ma cuisse, je descends une main le long de son corps doux et voluptueux à souhait et arrive à sa petite chatte.

- Laisse-moi faire, lui dis-je.

Je glisse mes doigts contre sa fente déjà trempée, sans difficulté j'en glisse un puis deux à l'intérieur et l'excite comme ça quelques minutes. Elle dégouline sur ma main et mon poignet. Sur un ton presque implorant et s'accrochant fort à mon cou :

- Je ne tiens plus, viens en moi tout de suite, je t'en supplie !

Quelle joie de l'entendre prononcer ces mots ! Tout doucement, avec un maximum de précautions, je la fais passer sous moi, elle m'accueille entre ses cuisses et je la pénètre en appréciant chaque centimètre de ce chemin de plaisir. Ma queue est toute entière dans son ventre, je commence à la besogner dans le plus grand silence. Sa chatte est parfaite, assez étroite : elle serre ma queue à merveille. Emma souffle de plus en plus fort, elle est sur le point de gémir ; par réflexe, je plaque la main sur sa bouche en la limant de plus belle. Elle arrive à calmer son envie de crier, enlève ma main de sa bouche et me demande de ne pas jouir en elle car elle ne prend plus sa pilule. Elle prévient juste à temps, je me retire et éjacule à grosses giclées sur son petit ventre avant de m'écrouler sur elle.

Nous restons ainsi dans les bras l'un de l'autre avec cette sensation d'être dans une bulle de verre, coupés du monde, le temps n'existe plus. Enlacés, nous finissons par nous endormir, encore poisseux de mon sperme.

Je me réveille seul, Emma est déjà dans la salle de bain, lavée, habillée, prête à retrouver son copain Florian. Il ne devrait plus tarder à arriver pour nous emmener au ski et ensuite continuer vers le chalet de ses parents où il leur présentera Emma. La gentille petite Emma qu'il croit fidèle et pas trop portée sur le sexe. À cet instant je ne suis plus autant jaloux de lui qu'avant... je me demande bien pourquoi...
Samedi 27 août 6 27 /08 /Août 00:00
Je m'appelle Sophie, j'avais tout juste 19 ans à l'époque. Mon copain s'appelle Julien et nous sommes ensemble depuis 3 mois environ. Je suis très timide et n'ai pas une grande expérience des garçons. Ma relation avec Julien se passe bien, mais je sais qu'il m'aimerait un peu plus chaude sexuellement.

Il faut dire que mon dépucelage date d'un peu plus d'un an et Julien n'est que le deuxième garçon avec qui je couche. Je l'aime, il est doux, compréhensif et toujours très attentionné.

Il ne me serait jamais venu à l'idée de le tromper, mais un jour la tentation fut si forte que je cédai aux avances d'un certain André. Je n'ai pas été jusqu'à coucher avec lui, heureusement, mais lors d'une soirée un peu arrosée, je l'ai laissé m'embrasser et caresser mes seins. Je l'ai repoussé au dernier moment, alors qu'il essayait de glisser sa main dans ma culotte. J'étais très excitée et il me plaisait beaucoup, mais j'aime trop Julien pour lui faire ça. Ça aurait pu s'arrêter là si je n'avais pas fait « LA » boulette.

On est samedi et comme très souvent à cette heure là je suis avec Julien dans sa chambre à alterner entre câlins et travail (nous sommes à la fac tous les deux et je suis assez sérieuse de ce côté-là). Pour une fois ses parents ne sont pas là et je reste chez Julien jusqu'à leur retour demain soir.

C'est l'heure de la pause câline, je suis allongée sur le lit et Julien a déjà enlevé mon pull et m'embrasse le ventre, j'adore quand il fait ça. Ses bisous me donnent de petits frissons, il remonte tout mon ventre en l'embrassant, il me débarrasse de mon soutif et peut enfin s'adonner à son plus grand plaisir, jouer avec mes seins. Julien adore mes seins, il les embrasse, les malaxe, les lèche ... ils ont déjà gonflé et je sens l'excitation monter en moi.

- Humm, j'adore que tu lèches mes seins, mon bébé !
- Tu es belle ma puce, tu sens si bon et ta peau est si douce ... je t'aime.
- Humm, André ...

Julien s'arrête brusquement et se redresse

- Comment tu m'as appelé ?
- Heu ... désolé ... je ... heu, excuse-moi, c'est à cause d'un film que j'ai vu ...

Julien ne croit pas un mot des mes explications foireuses et je finis pas lui dire la vérité moins quelques détails inutiles. Il ne prend pas mal le fait que j'ai été attirée par un autre garçon mais il change un peu d'attitude et son regard devient un peu plus dur.

- Alors comme ça tu as des envies d'autres mecs ...
- Non, c'était un accident et je n'ai rien fait, je t'aime.
- D'accord, je veux bien te croire, mais si tu m'aimes comme tu le dis, il va falloir te faire pardonner parce que j'ai eu de la peine à cause de toi.
- Je suis désolée mon chéri, je ne vois pas ce que je pourrais faire c'est trop tard.
- Oh, mais j'ai déjà une idée ma puce, puisque que tu joues les petites filles sages et qu'en fait tu n'es qu'une petite coquine, tu ne vas plus faire ta fausse timide avec moi et me laisser te baiser comme tu le mérites.

Julien a sauté sur l'occasion d'assouvir ses fantasmes plutôt que de se mettre en colère, je le reconnais bien là. Bon, je suis prise au piège et très excitée, Julien mérite bien ça après tout et je sais qu'il ne me forcerait jamais vraiment alors ... je décide d'accepter sa proposition et je vais me lâcher vraiment cette fois. Sur les « ordres » de Julien je me suis changée : grandes chaussettes, jupette plissée, chemisier blanc et des couettes, la parfaite écolière coquine. Je joue son jeu jusqu'au bout.

- Alors fillette, il paraît qu'on s'intéresse aux garçons ?
- Non monsieur, ce sont des mensonges
- Moi je crois pourtant que c'est vrai et tu es un peu jeune pour être aussi coquine je trouve, il va falloir que je te corrige tu sais ...
- Non monsieur, je serai sage c'est promis !
- C'est trop tard ma puce, viens ici approche-toi !

Julien est assis sur sa chaise de bureau, je me mets face à lui. Il soulève ma jupe, passe sa main entre mes cuisses et remonte jusqu'à mon sexe. Il le frotte vivement à travers ma culotte en coton.

- Mais c'est déjà tout humide ici, tu es une petite perverse en fait, tu mérites une fessée.

Il me place sur sa gauche, baisse ma culotte sur mes chevilles et me couche sur ses genoux. Me tenant fermement dans cette position il claque mes fesses de plus en plus fort.

- Une fessée pour une méchante petite fille, c'est tout ce qu'elle mérite !
- Non je suis une gentille fille, je ne mérite pas de fessée. (Cette situation m'excite terriblement)

Julien me fesse de plus belle ...

- Il ne faudrait pas que tu deviennes une petite salope, mais je vais t'en faire passer l'envie, je te le promets.

Il arrête de gifler mes fesses qui commençaient à chauffer, je sens son doigt passer sur ma raie, il crache sur mon anus et étale sa salive avec son doigt. Je me débats légèrement ...

- Arrête de bouger, c'est inutile, je sais ce qu'il leur faut aux petites salopes de ton espèce.

Sa grossièreté me surprend mais ça a un coté excitant, je ne dis plus rien et me laisse faire.

Julien se fait plus insistant, son pouce force sur mon anus et entre. Il fait quelques va-et-vient, puis ressort. C'est plutôt agréable comme sensation, en fait.

- Tiens, tu ne te plains plus ? Je savais que tu aimais ça ! Maintenant tu vas me sucer, sale gosse.

Je ne l'ai encore jamais fait, c'est l'occasion ou jamais de combattre mon appréhension. Julien me place entre ses jambes et me met son sexe en érection sous le nez.

- Allez, sale gosse, ouvre la bouche, c'est l'heure de la pipe !

Je place les lèvres autour du gland et commence à le lécher, le goût est un peu bizarre mais le gland est très doux et les réactions de Julien à chaque coup de langue m'encouragent. Il attrape mes couettes et me tire vers lui, sa verge est au fond de ma gorge, il fait le va-et-vient avec ma tête de plus en plus vite, puis retire sa queue de ma bouche d'un coup et éjacule violemment sur mon visage. Surprise, je marque un temps d'arrêt, je suis poisseuse de sperme, j'en ai dans l'œil, dans le nez, dans les cheveux. Julien me tend une serviette.

- Tiens cochonne, débarbouille toi, t'en as partout, c'est du propre !

Pendant que je m'essuie la figure, Julien se lève et je le vois prendre une bougie dans un tiroir.

- C'est pourquoi faire cette bougie ?

- Il paraît qu'avec des bougies, c'est plus romantique, on va voir ce qu'en pense ton cul.

- Quoi ? Ah non, tu ne mets pas ça dans mon derrière, je vais avoir mal.

La voie de Julien se fit plus douce quelques instants.

- Ne t'inquiète pas, mon cœur, tu sais bien que je ne te ferai jamais de mal ... mais j'ai décidé de te faire jouir comme une chienne alors ... (D'un ton redevenu ferme) Allez tu t'es suffisamment nettoyée, remets-toi sur mes genoux pour recevoir ta punition.

- Oui, monsieur !

Je m'allonge à nouveau sur les genoux de Julien. Il caresse mon anus, crache dessus et sort de sous son lit un petit tube. Il l'ouvre et passe une couche abondante de gel sur ma raie. Son index explore déjà mon petit trou, il entre, ressort tourne à l'intérieur pour l'élargir. Julien se saisit de la bougie ... Je la sens se poser sur ma rondelle. Elle doit faire deux centimètres de large et force de plus en plus sur mon anus. Elle entre d'un coup en moi et coulisse dans mon cul. C'est très agréable.

- T'aimes bien prendre des trucs dans ton petit cul toi, hein ?
- Oui monsieur, c'est bon ... humm !
- Alors je vais la laisser là pendant que je te baise d'accord ?
- Non ! Monsieur s'il vous plaît, ne la laissez pas là ... Je vous en supplie !
- Ah ! Tu me supplies maintenant ? Tu sais enfin qui le maître, on dirait ?
- Oui c'est vous ... vous êtes mon maître ...

Julien me porte pour me placer à quatre pattes sur le lit, toujours avec la bougie dans mon derrière, je me sens ridicule et totalement soumise.

- Chose promise, chose due, ma chérie, je vais te baiser comme une chienne.

Julien se place à genoux derrière moi, il enfonce un peu plus la bougie en moi, m'arrachant un cri de plaisir et enfonce son sexe de nouveau en érection tout au fond de ma chatte. Je n'en peux plus, je crie mon plaisir.

- Oui ... Oui ... C'est bon ... Défonce-moi, bébé.
- Pardon ?

Julien claque mes fesses sèchement

- Je suis le maître et toi la chienne, ne l'oublie pas !
- Pardon mon maître, j'aime ce que vous me faites !

La bougie est retirée doucement de mon cul maintenant bien ouvert et Julien sort de ma chatte pour remplacer la bougie, cela m'arrache de nouveaux des cris de plaisir. Je suis en train de me faire enculer, ses mains tiennent fermement mes hanches et Julien me lime le cul de plus en plus vite.

Dans un cri rauque, je jouis comme jamais et m'écroule les fesses en l'air.

Julien, qui n'avait pas encore fini, sort de moi, me retourne et m'assoit face à lui ou plus exactement, face à sa queue. Il me tient par le menton, m'ouvre la bouche et y enfonce sa bite. Il lime ainsi quelques secondes et, me tenant par les couettes, bloque sa queue au fond de la gorge et y déverse son sperme en abondance.

- Avale tout ça, petite chienne !

J'avale son sperme et retombe sur le lit, essoufflée mais comblée.

Depuis cet après midi-là, je suis toujours une « petite fille sage » à l'extérieur, mais la dernière des chiennes quand je suis avec mon Homme.
Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 00:00
La chambre était presque silencieuse, les volets clos laissaient filtrer un mince rai de lumière. Un léger ronflement emplissait la pièce, le réveil à cristaux liquides indiquait presque midi. Deux corps nus gisaient sur les draps blancs. A l’extérieur les cigales chantaient déjà, il faisait atrocement chaud.

Balou ouvrit un œil, puis péniblement un deuxième. Angela dormait d’un sommeil profond à ses cotés, nue, ses cheveux bruns en cascade sur ses épaules. 
Balou allongé, se remémorait la folle nuit écoulée.  Ripailles et luxure à profusion avaient rythmé la soirée. Jamais il n’aurait imaginé que ce petit port italien puisse regorger d’une faune sexuellement si débridée qui lui rappelait Saint Tropez mais sans les mondanités.
Maria l’avait également subjugué. Lorsqu’ils avaient quitté la plage après leurs exploits, ils s’étaient retrouvés au bar à grignoter les restes du repas.
En allant aux toilettes Balou avait croisé Bettina qui en ressortait, accompagnée par la maman de Maria. Elles semblaient ivres toutes les deux. Effectivement la cuvette des toilettes lui confirma qu’une de ces dames au moins avait dû régurgiter son repas et ses boissons. Nauséeux, il fit demi-tour et alla se soulager au pied d’un olivier.
Ensuite les derniers convives avaient tenté de refaire le monde en buvant leurs derniers verres. Balou ne se rappelait plus trop bien comment il était arrivé dans la chambre.

Il quitta la couche et prit une douche revigorante, avala deux alka seltzer contre les maux de tête, s’habilla et descendit à la cuisine. Angela dormait toujours.

La chaleur lui fit rebrousser chemin lorsqu’il arriva sur la terrasse. Il se dirigea derechef vers le salon un peu frais dont les volets étaient clos. Dans la pénombre il s’assit dans un fauteuil pour réfléchir.

Ses yeux habitués à l’obscurité, il distingua une forme allongée sur le canapé. C’était Bettina.

- Bonjour Balou, bien dormi ?
- Oui merci Bettina, Angela dort encore.

Elle se redressa et vint donner une bise chaste sur la joue de son gendre.

- Quelle sacrée soirée n’est-ce pas ? Interrogea-t-elle.
- Certes oui je suis de votre avis, répondit Balou.

Bettina portait un petit top et un simple slip de bain, ses cheveux blonds étaient ramenés en arrière en vrai faux chignon qui lui donnait un air de Milène Farmer blonde.
Tous les deux devisèrent une bonne heure ainsi. Bettina avait préparé une salade légère qui fit le plus grand bien l’estomac de Balou.
Il apprit que Maria était devenue une célébrité locale grâce aux fêtes qu’elle donnait avec sa mère. Toutes deux triaient sur le volet les convives. Cela dit Balou apprit également que chaque invité versait une modique obole pour la participation au frais de fonctionnement, mais la cerise sur le gâteau était que Maria se faisait également payer pour offrir ses charmes aux autochtones, et sa mère aussi certainement.
Balou comprenait mieux maintenant la débauche d’énergie de Maria lorsqu’elle était avec les quatre hommes la nuit dernière, mais il n’aborda pas le sujet avec sa belle-mère.

- Et vous alors, le patron du bar et son fils sont-ils vos amants officiels ? demanda Balou
- Non mon cher vous faites fausse route, Ernesto et moi nous sommes de vieux amis mais parfois nous nous aimons lubriquement. Quant à son fils la nuit dernière a été orchestrée par son père justement, pour le dépuceler. C’est un gamin de vingt ans d’une timidité maladive. J’ai été sa première femme, comprenez-vous ?

Balou sourit en se resservant un petit verre de vin.

- Hummm je comprends oui, vous l’avez initié à l’amour
- On va dire ça, Ernesto lui est également veuf, nous nous retrouvons comme deux jeunes et nous nous aimons passionnément mais nous restons très libres. C’est pour cela aussi que vous ne devez pas vous attacher à moi, vous aimez ma fille, alors vivez votre vie. Mais je dois vous dire que vous êtes un amant formidable, j’ai adoré nos échanges de corps à corps. Ceci doit rester notre jardin secret. Voulez-vous ?

Balou acquiesça. Il avait passé de superbes vacances jusqu’à présent, et il ne voulait pas gâcher la relation qui l’unissait à Angela.

- Vous savez Bettina, vous êtes une femme délicieuse, et je rends grâce aux cieux d’avoir permit notre rencontre si fusionnelle.

Bettina se leva, elle se pencha vers lui. Le regard de Balou se noya dans ses yeux bleus, leurs lèvres se frôlèrent avant de s’entrouvrir. Ils se donnèrent un baiser profondément intense. Bettina tenait le visage de son gendre entre ses mains, elle s’assit à califourchon sur les cuisses de Balou et continua à lui dévorer la bouche.

Ils continuèrent ainsi de longues minutes. Bettina sentait bien l’érection de son gendre à travers la toile du pantalon cogner contre le fin morceau de tissus cachant son intimité, mais elle ne tenta aucune autre manœuvre. Elle éloigna même les doigts inquisiteurs de son gendre.
Elle le laissa ainsi et reprit sagement sa place sur le canapé.
Balou la désirait, mais il n’insista pas. Ils reprirent leurs conversation comme si de rien n’était.

Plus tard Angela arriva en se traînant péniblement dans la cuisine avant de les rejoindre au salon.

- Mais il fait sombre ici, pourquoi restez-vous comme ça ? Questionna Angela.

- D’abord bonjour ma Chérie, lança Bettina. Il fait affreusement chaud à l’extérieur, il faut conserver un peu de fraîcheur dans les pièces.

- Hummmm oui M’man.

Angela embrassa Balou et s‘assit aux côtés de sa mère.

- Nous allons rentrer à Paris Maman, enfin moi du moins.

Balou resta interloqué.
 
Un silence pesant les entourait.

- Ah bon ? Pourquoi si rapidement ? Demanda Balou.
- Arrêtez de me jouer la comédie, j’ai écouté votre conversation, je vous ai vu vous rouler des pelles comme deux adolescents tout à l’heure, alors je me contre fou de vos explications. Hurla Angela.

Balou était déconfit, tout s’écroulait autour de lui.
- Ma chérie voyons, nous avons fait une bêtise, oui c’est vrai, mais…
- Il n’y a pas de mais Balou, tu m’a trompé, et toi Maman tu es infecte !!

Sur ces paroles elle tourna les talons et disparu.

Bettina, ouvrit les volets malgré la chaleur.

- Un peu de lumière après ces sombres paroles, nous ferons le plus grand bien.

Elle servit deux whiskies bien tassés, qu’ils burent en silence.

Une porte qui claque. Un vrombissement de moteur.
Angela disparu dans un nuage de poussière.

- La messe est dite Bettina. Il ne me reste plus qu’à partir moi aussi.
- Balou je suis sincèrement navrée, je n’ai jamais souhaité ça, répondit Bettina.

- Je vais prendre le premier vol pour Paris, furent les dernières paroles de Balou pour sa belle-mère.

Balou quitta la Sicile. Le vol vers Paris lui semblait interminable. Il avait pensé croiser Angela à l’aéroport mais il n’y eu aucune trace d’elle.
Arrivé à leur appartement, il rassembla ses affaires la mort dans l’âme. Il se sentait coupable d’avoir trahi la confiance de son amie.

Un bruit à la porte d’entrée. Angela venait de rentrer elle aussi.

- Tu fais tes valises ?
- Oui je te quitte, je ne mérite pas ton amour Angela.

Elle s’avança vers Balou et le gifla. Il resta stoïquement debout. La brûlure sur sa joue lui remit les idées en place.
Angela portait un spencer beige, un pantalon en toile assorti qui lui moulait admirablement ses fesses de déesse. Balou la détailla sans gène.

- Qu’y a-t-il, j’ai un caca de pigeon sur mon nez ? S’étonna Angela. Tu veux ma photo ?
- Tu es belle, je ne t’oublierai jamais.
- Oh arrête tes salades, tu es d’une mauvaise foi caractérisée.
- Je dis la simple vérité c’est tout, et je regrette tellement si tu savais. Répondit Balou.

Ils se regardèrent l’un l’autre sans mot dire debout au milieu de la chambre à coucher. Balou voyait les yeux sombres de son amie le mitrailler d’un regard noir.

- Je te demande pardon Angela, je t’aime mais je dois partir.

- Pffffffffffftttttttttttttt laisse ta fierté au vestiaire idiot. Je t’aime moi aussi, mais ton attitude m’a profondément blessée. Répondit Angela.

Elle lui prit la main et l’entraîna au salon.

Assis l’un en face de l’autre, Angela lui raconta que sa mère n’en était pas à son premier coup d’essai. Elle avait déjà séduit deux de ses autres amis il y a quelques années. Sa mère souffrait d’un manque affectif cruel, elle était mythomane et de surcroît nymphomane. Angela lui avoua également qu’elle s’attendait à ce que sa mère jette son dévolu sur lui.

- Mais pourquoi ne m’as-tu pas averti ? Questionna Balou.
- Je voulais te tester, voir jusqu’où ton amour pour moi t’entraînerait Je sais c’est mesquin mais après les épreuves que ma mère m’a fait subir je voulais en avoir le cœur net.

- Mon dieu j’hallucine, j’ai dû passer pour un être bien faible à tes yeux.

- Oui, et maintenant tu sais tout, alors libre à toi de me quitter. Il me faudra du temps pour oublier. Mais ma mère baise mieux que moi non ? Alors crois-moi tu peux la retrouver quand bon te semble, elle t’accueillera les cuisses ouvertes.

Balou se leva. Sa décision était prise, il voulait fuir cette femme même s’il l’aimait encore. Elle et sa mère étaient folles à lier, une sueur froide ruisselait dans son cou. Cependant il ne bougea pas. Il était paralysé par le regard hypnotique d’Angela.

Elle rompit le silence,
- Je pense qu’une séparation nous ferait le plus grand bien, nous allons réfléchir chacun de son coté, d’accord ?
- C’est une sage décision que j’approuve. Répondit Balou.

Il se leva, pris ses deux sacs de voyage et quitta l’appartement de son amie.

Plusieurs semaines passèrent. L’automne avait pris ses aises. Balou travailla d’arrache pied pour essayer d’oublier ces deux diaboliques femmes. Il n’avait pas revu Angela, ni reçu un seul coup de téléphone de sa part, et ses appels n’avaient rien donné non plus.
De plus aucune femme n’était entrée dans sa vie depuis cinq mois. Sa vie sexuelle se limitait à des séances masturbatoires seul au fond de son lit. Il se caressait en pensant à Bettina, mais la saveur du plaisir était fade et sans passion.

Il traînait ses guêtres le soir dans son bar irlandais préféré, et tapait la causette avec les habitués. Il y avait bien eu des tentatives de drague par quelques midinettes esseulées, mais Balou préférait rester seul. Le poids des souvenirs était encore trop présent. Pourtant il se rendait bien compte que son comportement le menait dans une impasse et qu’il devait continuer à vivre sa vie avant tout.

Un soir alors qu’il sirotait sa bière, accoudé au bar, on lui tapa sur l’épaule. Il reconnu immédiatement la parfum vanillé de Thierry Mugler. Il se retourna.
Angela se tenait devant lui, belle et souriante. Ses bruns et longs cheveux bouclés tombaient en cascade sur son manteau, elle portait un mignon béret féminin comme on en voit de nos jours.

- Salut ! Lança-t-elle.
- Bonsoir.
- Eh tu pourrais me faire la bise non ?
Balou déposa un chaste baiser sur chacune des joues de son ex.
- Tu m’offres un verre ?
- Un gin tonic pour Mademoiselle ! Dit-il au barman.

Balou alluma une cigarette, celle du cow-boy. Il remarqua qu’Angela portait une alliance et il faillit s’étrangler en buvant sa bière.

- T’es mariée ? Réussit-il à articuler.
- Oui depuis un mois. J’ai rencontré un armateur près de Naples

Balou était sans voix. Il restait bêtement assis sur son tabouret, les bras ballant.

- C’est pour venir m’humilier que tu viens ici ?
- Tu dis des conneries Balou. Si je suis venue c’est pour te parler car je ne t’ai pas oublié.

Balou sentait la moutarde lui monter au nez, mais sa courtoisie légendaire ne l’autorisa pas à renvoyer Angela dans ses 22.

- Avec tout le respect que je te dois ce n’était pas la peine de venir me voir pour m’annoncer une telle nouvelle.
- Je m’en rends très bien compte tu sais, mais je devais te le dire de vive voix. Répliqua Angela.
- De plus je n’habite plus en France.

Balou reprit son self-contrôle, il lui souhaita tout le bonheur possible :

- Vis ta vie maintenant, sois heureuse.

Ils conversèrent encore quelques minutes par pure politesse. Balou lança un billet sur le comptoir et sortit.
Angela le rattrapa sur le trottoir. Elle se jeta dans ses bras.
Et comme au premier jour, la magie opéra.
Ils se donnèrent un long et profond baiser. Un baiser d’adieux songea Balou.
Angela fut la première à quitter leur étreinte comme à regret.

- Adieu. Dit-elle. N’attends rien de moi.

Elle couru vers la bouche de métro sans se retourner.

Balou resta de longs instants, seul sur le bitume. Il commençait à pleuvoir, et il laissa les gouttes de pluie nettoyer ses larmes, l’esprit vide, désespéré comme jamais il ne l’avait été.
Il s’adossa au mur, s’agrippa à la gouttière car ses jambes ne le soutenaient plus, il se laissa aller et s’assit à même le sol.
Il savait maintenant qu’il ne reverrait plus jamais Angela. Pour la première fois il se senti seul au monde, abandonné des siens. Il pleura toutes les larmes de son corps.


Les semaines s’écoulèrent lentement. Noël arriva puis la date du réveillon pour la nouvelle année approcha.
Balou était toujours célibataire. Il avait bien tenté de draguer la nièce du barman irlandais mais il s’était fait éconduire gentiment.

Grande et rousse qu’elle était cette femme, 23 ans, des taches de rousseur sur son joli minois, une bouche aux lèvres roses et pulpeuses, bref une irlandaise pur jus. Bon certes il avait gentiment abusé du Paddy, whiskey irlandais incontournable lorsqu’il l’avait abordée. Marie était étudiante et perfectionnait son français, elle souhaitait également décrocher un poste dans une grande entreprise. Les week-ends elle aidait son oncle. Balou soupçonnait que le chiffre d’affaires de Freddy le patron, avait subitement augmenté depuis que cette belle rousse se trouvait aux commandes le samedi et le dimanche.

Un vendredi soir Balou s’arrêta chez Freddy pour prendre un verre bien mérité après sa journée harassante au bureau. Intérieurement il désirait également voir Marie. Sanglé et cravaté dans son plus beau costume, il s’installa au comptoir et s’assit sur son tabouret comme à l’accoutumée.

- Et bien dis donc tu nous la joues jeune cadre dynamique là ? Le taquina Freddy.
- Je sors de réunion avec la direction, je n’allais tout de même pas y assister en jean et polo.

Les habitués plaisantèrent avec Balou le temps de vider leur verre et de retrouver leur pénates.

- Mais qu’il est tout beau notre Balou national dans son costume !

Balou se retourna et d’abord il cru à une hallucination.

Elle brillait, sa chevelure rousse illuminait le bar. Ses yeux verts le dévoraient. Marie était flamboyante debout à portée de main. Elle portait une longue robe noire qui mettait en valeur ses hanches et son petit fessier. Des bottes de rockeuses, un blouson noir en cuir, complétaient sa tenue.
Balou ne pu détacher son regard de cette Fée rousse à la peau laiteuse maculée de taches de rousseur.

- Monsieur le cadre, tu m’invites à prendre un verre ? Dit l’apparition.
- Euh euh, oui naturellement. Bafouilla Balou. Mais ne travailles-tu pas ce soir ?
- Non cher ami, ce soir c’est relâche pour moi

Freddy confirma d’un hochement de tête.

- Puis-je t’inviter à prendre un verre ailleurs ? Questionna timidement Balou. Nous serions plus tranquille, qu’en penses-tu ?

Marie lui envoya son plus beau sourire et accepta son invitation. Balou avait envie de mordre dans ce fruit mûr qu’étaient les lèvres de Marie. Il imaginait déjà embrasser cette bouche si sexuelle. Il se résonna et la guida avec courtoisie vers sa voiture.

Ils prirent l’apéritif dans un bar cubain où raisonnait la musique afro-cubaine qu’adorait Marie. Cela étonna Balou qui se disait que décidément cette jeunette de 23 ans le surprenait vraiment.
Marie se livra progressivement, elle lui raconta sa vie de petite fille dans le Connemara, ses études à Shannon, ses premiers amours, et son arrivée en France favorisée par son adorable oncle Freddy.
Le courant passait bien entre eux. Balou osa lâcher également quelques bribes intimes sur sa vie récente et passée. Il parla surtout de son boulot, de la vie dans une grande entreprise, choses qui intéressèrent Marie pour la recherche d’un job. Ensuite il lui raconta son séjour en Irlande où il logeait dans les « bed and breakfast » il y a presque 10 ans de cela.
Il fit rire Marie à plusieurs reprises en racontant ces pérégrinations de noctambule à Belfast.

Balou était impressionné par la quantité de punch que pouvait avaler Marie. Il savait par expérience que les irlandaises tenaient la boisson mais là tout de même il en avait à nouveau la preuve vivante

L’heure tournait, 21 heures ; Ils n’avaient pas vu le temps passer. Balou se sentait bien en compagnie de cette demoiselle et à priori elle également. Dehors il commençait à neiger, ce qui l’inquiéta un tantinet.
Marie le devança en annonçant :
- Bon t’as vu il neige, si tu veux je nous prépare un petit plat irlandais pour nous tenir chaud. Ça te dit ?
- Avec plaisir ma chère ! Je te suis. S’entendit dire Balou.

En ce 28 décembre la température descendait à -10°, l’air glacial fouetta le sang de Balou. Cette température polaire donnait aussi des joues roses à Marie. Elle était si belle avec ses longs cheveux roux en cascade sur ses épaules, et son tain de rose. Marie habitait au troisième étage d’un immeuble sans ascenseur, la montée des marches fut ponctuée de rigolades. La chaleur de la cage d’escalier après le froid sibérien du dehors, avait dû renforcer les conséquences alcooliques des punchs sur le comportement de Marie.

Le studio était aménagé avec soin, décoré aux milles couleurs vertes de l’Irlande. Une kitchenette donnait vers la chambre à coucher qui servait aussi de salon. L’œil expert de Balou remarqua cela immédiatement.

Il trouvait cette fille désirable. Tout à l’heure dans le bar leurs mains s’étaient frôlées à plusieurs reprises, leur regard également se trouvaient attiré l’un vers l’autre.

- Sers toi une bière si tu veux, je m’occupe du repas en vitesse.

Balou ôta son loden et sa veste. En bras de chemise il partit à la recherche du frigo qu’il dénicha évidemment dans la kitchenette.
Balou dû se glisser entre le placard et Marie pour accéder au sacro-saint frigo. En se tortillant il frôla de son bas ventre les fesses rebondies de Marie.
Elle gloussa et dit :

- La promiscuité est parfois porteuse de surprises agréables.

Elle regarda Balou de ses yeux verts et confirma :

- T’es un sacré mec toi ! D’autres gars auraient déjà profité de la situation.

Balou déglutit. Il se sentait gauche avec sa bière à la main. Mais il repris son contrôle en répondant :

- Ma maman m’a bien élevé très chère.

Ils éclatèrent de rire ensemble, puis trinquèrent à la galanterie qui se perdait de nos jours.

Marie s’était débarrassée de son blouson d’aviateur. Balou admirait les divines courbes de son corps, ses yeux s’attardèrent sur sa généreuse poitrine qui pointait obstinément à travers la robe. Ensuite son regard fut captivé par la rondeur de ses fesses qu’il devinait toujours sous cette satanée robe longue noire. Il imagina ensuite les cuisses fuselées et blanches qui se trouvait en dessous, ainsi que son ventre plat qu’il aimerait embrasser.

- Dis donc c’est un examen de la marchandise que tu fais ?

Cette remarque tira Balou de sa rêverie. Il rougit tel un puceau pris en train de se masturber. A vrai dire il l’était puceau depuis presque 6 mois, oui. Tant de semaines sans aimer une femme, sans pénétrer dans un ventre doux et chaud.

- Hein ? Quoi ? Que dis-tu ?

Marie laissa la cuisinière. Elle se rapprocha de Balou qui se tenait debout dans l’embrasure de la porte, se planta devant lui et dit :

- Embrasse-moi idiot !

Elle lui prit le verre et se colla contre lui.

Balou se dit qu’il rêvait, il tenait dans ses bras cette rousse déesse qui le faisait fantasmer depuis leur première rencontre. Leurs bouches enfin se trouvèrent, leurs lèvres se soudèrent, leurs langues exécutèrent une sarabande infernale.
Marie sentit battre contre son ventre le désir de Balou. Elle désirait cet homme si différent de tous les autres. Son ventre brûlait d’amour. Elle voulait qu’il soit en elle rapidement. Son abricot d’amour était déjà luxueusement humide par l’excitation.
Elle sentait l’odeur de son partenaire, ses mains musclées lui caressaient les hanches puis les fesses. Ensuite la bouche de Balou s’aventura au creux de son cou, ce qui déclencha un exquis frisson dans tout son corps. Elle adorait les bisous dans le cou.

Un tapis de laine épaisse trônait par terre. Ils se retrouvèrent allongés. Balou la déshabillait adroitement mais délicatement. Elle sentait les mains de mâle expérimenté, la caresser, lui ôter un à un ses vêtements.
Marie se laissait faire. Elle se retrouva complètement nue, couchée cuisses écartées, Balou agenouillé entre elles à lui prodiguer une caresse fabuleuse avec sa bouche.
La langue de son amant la rendait folle. La douceur de cet organe qui la pénétrait, la suçait, son agilité, la firent crier de joie. Elle sentait le souffle chaud de Balou entre ses cuisses, deux doigts la pénétrèrent et elle hurla à nouveau en se tordant de plaisir.

- Viens viens ; Implora-t-elle.

Balou toujours habillé, continuait sa douce caresse buccale. Cette rousse et douce toison le rendaient fou d’amour, ainsi que le parfum marin qui s’en dégageait. Les lèvres, la vulve rose était de délicieuses friandises à sa bouche. Le bourgeon dressé, il le titillait en insérant deux doigts dans cet antre d’amour.
Ensuite sa bouche embrassa le ventre plat, elle remonta vers les seins majestueux aux bouts roses démesurément dressés eux aussi. Balou prit les deux globes dans ses paumes, il les pressa délicatement l’un contre l’autre en pensant à une branlette espagnole.

Marie s’était redressée. Sans un mot elle déboutonna le pantalon de Balou. Elle l’arracha avec frénésie. Son impatience était palpable. Elle voulait le pieu de cet homme en elle. Balou s’écroula de coté sous le dynamisme de Marie. Il vit la jeunette de 22 ans ramper à ses pieds. Ensuite la rousse et longue chevelure bouclée se cala entre ses cuisses. D’une agilité déconcertante Marie se débarrassa du caleçon de Balou.

Enfin elle le vit.

Il palpitait devant ses yeux, elle remarqua qu’il était circoncis. Le gland violet et gonflé dardait vers son visage. De grosses veines bleues couraient sous la fine peau du tronc. Une toison noire et grise laissait apercevoir de lourdes bourses remplies de sève. Marie admira la grosse veine violette elle aussi, courir du haut vers le bas de ce menhir. Elle se passa sa langue rose sur ses lèvres, prête à goûter enfin à ce sucre d’orge excessivement volumineux.

Balou ne bougeait plus, trop captivé par cette rose bouche pulpeuse et ce visage aux taches de rousseur qui se rapprochait inéluctablement de son bas-ventre. Il ferma les yeux lorsqu’il vit les mains de Marie caresser ses jambes velues pour remonter plus haut encore. La tension était à son comble, Marie le sentait. Elle savait également que Balou était sevré d’amour depuis six mois. Elle ne voulait pas risquer de provoquer une éjaculation trop rapide mais elle pressentait que cet homme devait pouvoir redémarrer au quart de tour après une si longue période d’abstinence.

Sa tension à elle était tombée légèrement après les orgasmes que lui avait procuré la bouche de Balou, elle prit donc son temps pour rendre les caresses à ce presque quadra.

Balou vit la bouche de Marie s’ouvrir, une langue rose se posa sur son gland. Cette langue irlandaise lécha le membre de bas en haut. Les doigts continuaient leur tendre caresse sur ses cuisses. Seule la bouche et la langue s’activaient. Ensuite les lèvres déposèrent un doux baiser sur les bourses. Puis Marie laissa sa flamboyante chevelure bouclée entourer la verge turgescente. Ces cheveux masturbaient ainsi cet homme. Elle l’entendait gémir son prénom, il lui dit qu’elle était une déesse et que cette caresse le rendait dingue. Les diaboliques cheveux roux et bouclés continuèrent leur câlin de longs instants encore.

Marie prit son temps encore et encore en recommençant à lécher doucement cette verge pucelle depuis trop longtemps. Puis enfin elle avala progressivement le sexe de Balou.

Lui, il hurla lorsqu’il se vit disparaître dans sa gorge. Il sentit plus qu’il ne vit les lèvres de cette étudiante l’aspirer.
Maria l’emporta au bord du précipice de bonheur et demanda :

- Veux-tu jouir dans ma bouche ou dans mon ventre ?
- Je m’en fous. Réussit-il à éructer, avant de sentir le poids de Marie sur lui

Sa poitrine voluptueuse il l’embrassa, la malaxa, pinça les bouts durs. Il était maintenant dans une autre dimension. Marie s’empala sur son menhir, il vit sa rousse toison l’engloutir interminablement. Marie gloussa et cria de plaisir, un orgasme s’était déclenché en elle à cette simple pénétration.

Balou avait les yeux injectés de sang, il haletait en donnant de violents coups de reins. Il se rendit vite compte que cette jeune irlandaise avait du tempérament à revendre car elle menait le bal. C’est elle qui imprimait le rythme malgré les tentatives de Balou à vouloir accélérer sa cadence.

- Tout doux mon chéri, tout doux. Lui susurra-t-elle.

Ils ahanèrent de cette manière jusqu’à l’extase salvatrice.
Balou griffa les hanches de Marie, qui elle-même mordit l’épaule de son amant. Balou hurla comme un damné lorsque la jouissance arriva. Il ne savait plus si le plaisir ou la douleur, ou les deux le foudroyèrent. Son éjaculation lui parut interminablement longue, il continua de crier et de gémir dans les bras de Marie. Ses seins généreux lui écrasèrent les joues, il les embrassa en se vidant complètement en elle.

Marie fut aussi emportée par un violent orgasme, elle mordit l’épaule de son amant, elle sentait qu’il lui griffait les hanches, ce qui décupla encore son plaisir. Son ventre était un brasier qui recevait une lave en fusion si longtemps retenue. Cette impression de dominer et de « dépuceler »un homme expérimenté la rendait folle de bonheur. Elle hoqueta dans un dernier spasme :

- Ouiii tu es bon et fort !!!
 
Lundi 22 août 1 22 /08 /Août 00:00
Bettina accueilli dans sa gorge la sève chaude de son gendre, elle avala ce nectar pour ne pas en perdre une goutte. Elle caressa les cuisses velues de cet homme qui la rendait folle.

Sa bouche ensuite couvrit de baisers le ventre musclé, ses doigts jouaient avec les poils, ses dents mordillaient les tétons de Balou.

Celui-ci s'abandonna aux caresses de sa belle-mère de longues minutes encore. Ensuite la bouche de Bettina remonta dans son cou, elle lui mordilla le lobe de l'oreille avant de trouver ses lèvres pour un baiser tendre.

Balou lui rendit son baiser avec fougue jusqu'à perdre haleine. Décidément la bouche de Bettina était tellement douce et chaude.

 - Ooohh Bettina vous m'avez ensorcelé. Mon dieu que dois-je penser, que vais-je faire ?

- Mon gendre chéri il ne faut pas que vous tombiez amoureux d'une dame de 55 ans tout de même voyons !!  Gronda gentiment Bettina.

Elle continuait à jouer avec les poils de sa velue poitrine, elle s'amusait à en faire de petits noeuds de ses doigts agiles. Ils étaient allongés cote à cote et se caressaient mutuellement leur peau bronzée.

Ensuite Balou proposa à Bettina de piquer une tête pour se rafraîchir, chose qu'ils firent en batifolant tels des adolescents.

L'après-midi touchait à sa fin, tous les deux prirent le chemin du retour vers la propriété.

 Angela les attendait assise en terrasse et buvant un gin tonic glacé.

 - Bin dites donc vous en faites une tête ! leur lança-t-elle. On dirait deux croques mort.

 Bettina et Balou s'esclaffèrent de rire.

 - Mais non ma chérie, nous nous sommes amusés comme des petits fous, et là on est Ko, répondit Balou. Par contre je boirais bien une bière fraîche, qu'en dites-vous Bettina ?

- Très bonne initiative mon cher, je m'empresse de nous en apporter, répondit sa belle-mère.

 Ils savourèrent en silence ce doux breuvage.

 - Ce soir nous dînons chez Maria,  maman, veux-tu te joindre à nous ? Questionna Angela.

- Oh mes enfants je ne sais pas, il faut que je me refasse une beauté après cette après-midi récréative.

Balou ne pipa mot, il observa l'échange entre la mère et sa fille. Bettina accepta de les accompagner malgré tout.

 

La nuit était chaude. Maria habitait également en bord de mer, non loin de la maison de Bettina, étant la fille de sa femme de ménage.

On dénombrait une bonne vingtaine d'invités sur la terrasse donnant directement sur la plage, buvant et dégustant des antipasti. Balou avait une faim de loup, il se jeta sur le buffet et dévora des petits plats à base de poivrons et divers légumes farcis baignant dans l'huile d'olive. Un vrai délice pour ses papilles de gastronome.

Balou fit la connaissance de Maria, délicieux petit bout de femme brune ressemblant étrangement à une de ses anciennes secrétaires. Elle baragouinait un peu le français que lui avait enseigné Angela. Maria vivait avec sa mère veuve elle aussi comme son amie Bettina. Balou se dit en riant que sacrebleu les hommes étaient laminés par les femmes dans ce village.

 

La soirée battait son plein, les invités buvaient et mangeaient sans se soucier du lendemain, c'est du moins la nette impression que perçu Balou. Angela lui tint compagnie quelques instant avant de se faire happer par un troupeau d'amis qui l'entraînèrent vers la plage. Les convives avaient allumé un feu et jeunes et moins jeunes se trémoussaient au rythme de la sono sur des tubes italiens. Angela ne se priva pas de se joindre à cette bande de joyeux drilles.

 

Balou squatta le bar, il goûta à la bière locale car l'excès de vin blanc ne lui convenait pas. Il se tenait un peu en retrait à l'ombre sur la terrasse. Se rappelant les épisodes amoureux de la journée, il sourit intérieurement en comptant le nombre de fois où il avait joui et éjaculé cette après midi. Bettina le rendait dingue, serait-il en train d'en pincer pour une femme quinquagénaire ? Lui ? Certes sa belle-mère lui avait procuré un plaisir orgasmique inouï comme rarement il en avait éprouvé, mais nom de dieu cette femme était un démon !

 

Soudain il perçu un feulement au dessus de lui. Balou leva sa tête et vit au premier étage une pièce légèrement éclairée. Il quitta la terrasse et marcha le long du mur pour se trouver juste en dessous de la fenêtre. Là il constata ce qu'il pressentait. Des gémissements s'échappaient du premier étage. Il tendit davantage l'oreille et compris qu'un groupe de personnes copulait. Son verre de bière à la main il se mit en devoir d'approfondir sa curiosité, l'alcool qu'il avait bu l'aidant aussi.

 

Il gravit à pattes de velours l'escalier en bois massif tel un chat sur un toit brûlant, c'est ce qu'il se dit en arrivant à l'étage. Il posa délicatement son verre et débuta ses investigations.

Avançant pas à pas dans le couloir, Balou n'eu pas longtemps à attendre pour trouver l'origine des gémissements. Ceux-ci provenaient d'une chambre dont la porte était entrouverte.

Balou reconnu immédiatement la voix de Bettina. Seule une petite lampe de chevet éclairait la pièce.

 

Balou écarquilla les yeux en voyant le spectacle qui s'offrait à lui. Sa belle-mère était prise en sandwiches par deux hommes qui ahanaient en rythme. Sa vue s'adaptant progressivement à la demie pénombre, Balou reconnu le patron du bar qui sodomisait Bettina, l'autre était son fils que chevauchait sa belle-mère.

Balou avait la gorge sèche tout d'un coup. Il avança dans la chambre voulant savourer davantage ce spectacle. Le barman le vit mais Balou lui lança un clin d'oeil de connivence, ce qui le rassura.

Les respirations saccadées, les râles étouffés emplissaient l'air surchauffé de la chambre. Balou était troublé par ce qu'il voyait. Bettina le vit, leurs regards se croisèrent, il lui sourit gentiment et l'encouragea ainsi à continuer.

Le trio devait être au bord du plaisir car immédiatement après la jouissance les gagna. Le père grogna le premier et éjacula dans les fesses de son amante, suivi de son fils qui cria à son tour. Bettina quant à elle étouffa ses cris de bonheur comme toute bonne sicilienne soumise. Le patron du bar se retira d'entre ses fesses mais entrepris de se masturber devant la croupe de Bettina. Balou était impressionné par l'énorme verge dont il voyait la grosse main la branler. Bettina était maintenant presque affalée sur le jeune garçon qu'elle embrassait passionnément. Enfin Balou vit le patron du bar éjaculer à longues giclées sur la croupe de Bettina, les yeux fermés sans pousser un cri, il aspergeait son amante.Balou les laissa reprendre leurs esprits et quitta la pièce sans un mot. Il n'était pas vraiment jaloux mais tout de même une once de dépit le taraudait.

 Bettina retrouva son gendre au bar.

 - Vous êtes un petit garnement mon cher, lança-t-elle. J'espère que vous n'êtes pas jaloux.

- Bien sûr que nom belle-maman chérie, il est toujours agréable de prendre du bon temps, répondit Balou.

 Tous deux s'esclaffèrent et Balou promit d'être discret sur ce qu'il avait vu.

 - Et si nous allions rejoindre Angela ? Je me demande ce qu'elle fait, proposa Bettina.

- Je crois qu'elle est à la plage, répondit Balou.

 Ils rejoignirent le groupe des amis d'Angela qui continuait à danser et chanter, cela depuis le début de la soirée. Bettina se lança immédiatement dans la sarabande, Balou lui, observa d'un oeil amusé tout ce joyeux bordel. Angela l'aperçu et couru vers lui. Elle était gaie et lui semblait-il légèrement ivre.

 - Mon chéri où étais-tu ? J'espère que tu ne t'es pas ennuyé loin de moi.

- Oh Angela, non tout va bien mais tu sais ce genre de sauterie c'est pas trop mon truc.

- Ah la la, quel rabat-joie tu fais des fois !

- Main non, mais je ne connais personne ici, et je n'aime pas guincher tu le sais. Ma ta maman m'a tenu compagnie, alors tout baigne.

 Angela regarda son ami d'un air soupçonneux, puis l'enlaça. Leurs bouches se soudèrent dans un baiser passionné. Balou remarqua l'haleine chargée de gin de sa compagne, cela le fit sourire. Angela était collé à lui comme un pieuvre, elle passa ses mains sous sa chemisette et chuchota :
- J'ai envie de toi là de suite.

 Balou se laissa entraîner par son amie vers un endroit discret en bout de plage à l'abri des regards. En un tour de main Angela ôta sa culotte, elle s'agenouilla dans le sable fin, remonta sa robe sur ses hanches, présenta sa croupe à Balou et lui intima :

- Prends moi là tout de suite, je n'en peux plus.

Balou était quelque peu surpris par tant de précipitation, et il se dit qu'après tout sa compagne avait le sang chaud.

- Viiiiiiiite viiiite gémis Angela. Elle se caressait l'entrejambes devant lui

Cette vision fouetta les sens de Balou. Il déboutonna son pantalon, baissa son caleçon, et s'agenouilla face à ces divines fesses. Son érection pointait vaillamment, son gland cogna contre les lèvres déjà humides d'Angela qui gémit à cet attouchement avant de sentir la verge longue et dure s'enfoncer progressivement dans son ventre.

- Ouiiiiiii ouiiiiiiiiiiii vas-y ouiiiiiiiiiiiiiiii laboure-moi fort mon Balou !!!!!

 Son ami s'accrocha à ses hanches et débuta de longs vas et viens. Son pubis claquait contre les fesses d'Angela, il sentait sa hampe emprisonnée dans un chaud puis mielleux. Les râles de son amie lui prouvèrent qu'il n'avait pas perdu sa vigueur malgré la journée éprouvante. Les grains de sable fin commencèrent à recouvrir leurs cuisses. Angela lâcha :

 - Mets deux doigts dans mon anus !!!! Encore plus vite !!!

 Balou continua à la labourer en introduisant un puis deux doigts dans son pertuis déjà dilaté. Angela rugissait. La belle sicilienne était déchaînée, elle se tordait sous lui, grognait des insanités. Lui sentait ses doigts être aspirés par la rondelle sodomite.  Angela joui enfin, elle lâcha un feulement de lionne qui dû s'entendre sur toute la plage malgré la musique. Balou se dégagea, remonta plus haut et entreprit de la sodomiser.

 

- OOOOOhhhhhhhhhhhhhhh chériiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii encule-moi !!!!!  Cria Angela.

 Balou d'une poussée brutale pénétra entre ses reins. Il se sentait prisonnier, mais tellement dominateur. Il senti qu'il perdait la notion de la réalité car il imaginait sodomiser sa belle-mère, ce qui décupla considérablement sa puissance. Le plaisir grandissant au creux de ses reins, Balou accéléra encore sa cadence. Celle-ci devenait infernale. Il se demandait s'il n'allait pas déchirer l'anus de sa compagne par un si important déchaînement amoureux. Angela n'en demandait pas tant. Elle hurlait de plus belle. Des vagues de bonheur l'emportèrent dans une autre dimension, elle jouissait ainsi empalée à son amant.  Dans un instant de lucidité, Balou remarqua des mouvements dans l'obscurité. Il sentait cependant le plaisir croître progressivement en lui, son pilonnage continuait, son amie hurlait toujours. Enfin la divine libération jouissive lui permit d'éjaculer dans les fesses d'Angela à longues giclées. Il avait l'impression que toute son essence se vidait dans les entrailles de son amante. Lui également ne pu réprimer un hurlement quasi inhumain lorsque le tourbillon du plaisir se déchaîna en lui.

 A bout de souffle, les deux amants restèrent encore soudés de longs instants. Ensuite Balou se retira d'Angela, il lui déposa un doux baiser sur ses fesses callipyges. Il épousseta tant bien que mal le sable envahissant, se redressa pour se rajuster. Au même moment il entendit plus qu'il ne vit des bruits étouffés à quelques mètres d'eux. Angela se rapprocha de son ami et ils se dirigèrent dans la direction d'où émanait des espèces de chuchotements.

 Devant eux ils virent Maria, l'amie d'Angela, agenouillée nue devant un groupe d'homme qu'elle masturbait et suçait alternativement. Quatre hampes fièrement dressées devant son visage étaient prêtes à offrir leur semence. Cette scène surprit grandement Angela car elle savait son amie très prude. Néanmoins ses yeux restèrent rivés sur elle. Maria se tourna vers elle et Balou en leur souriant et dit :

 - Tu vois ma chérie les hommes sont tous amoureux de moi, ils aiment ce que je leur fait.

 En effet, tous souriaient et firent des commentaires salaces en italien.

Balou essaya de distinguer des visages connus. Le patron du bar et son fils lui étaient maintenant familiers. Les deux autres mâles étaient beaucoup plus âgés, on aurait dit des vieux beaux de 70 ans. Maria continua à caresser les verges offertes, ses doigts couraient le long des troncs, sa bouche engloutissait les glands l’un après l’autre. Les hommes se masturbaient également au-dessus d’elle. Maria décida de privilégier ses caresses pour l’un des deux vieux messieurs.

 - C’est le maire du village, souffla Angela à l’oreille de Balou.

 L’homme était presque chauve, petit et fluet. Il portait de petites lunettes rondes au bout de son nez. Balou voyait ses jambes de grenouilles trembloter car il devait être au bord de l’explosion finale. Maria avait engloutit son dard au fond de sa gorge. Ses lèvres soudées à la base du sexe, elle l’aspirait complètement, avant de revenir vers le gland et de lécher le membre avec sa langue.

Cette petite femme ronde a un sacré tempérament pensa Balou, elle lui rappelait Nathalie sa bien-aimée secrétaire, jadis sa maîtresse. Elle veut les faire jouir ensemble se dit-il. Maria cria un ordre et accéléra sa succion sur la hampe sexagénaire. Le maire cria le premier lorsqu’il éjacula dans la bouche qui le pompait. Les trois autres hommes accélérèrent leurs mouvements masturbatoires et ils jouirent de concert en aspergeant Maria de leur sève.

De longues giclées atterrirent sur son menton, sur ses épaules, ses bras, dans ses cheveux. Les gémissements remplissaient l’air alentour. Maria était aux anges, elle se jeta ensuite aux pieds de chacun des mâles et nettoya avec sa langue les dernières gouttes de semence qui perlaient encore au bout de leur gland.

Ce spectacle avait progressivement accaparé toute l’attention de Balou et d’Angela, ils étaient aux premières loges. Maria le savait, en fait elle aimait se savoir observée, désirée par tant de mâles.

Elle se retourna vers eux, et se coucha sur le dos, cuisses écartées puis entreprit de se caresser devant l’assistance réunie autour d’elle.

Seule la lune éclairait la scène, mais Balou voyait bien la main de Maria s’activer entre ses cuisses. Elle gémissait, couinait telle une petite souris. De son autre main, ses doigts caressaient les seins menus, ils pinçaient leur téton.

Angela remarqua que la verge des hommes avait repris une certaine vigueur, notamment celle du fils du patron du café, son nom lui échappait. Il s’approcha de Maria, s’agenouilla entre ses cuisses, la couvrit en la pénétrant d’un violent coup de rein. Elle hurla de bonheur ainsi possédée. Immédiatement il débuta son pilonnage sous les râles de Maria. Son père le barman s’était agenouillé à proximité de la brune tignasse de Maria. La hampe à nouveau fièrement dressée fut happée par la bouche de la jeune femme. Père et fils avait pris possession du corps de la petite jeune femme ronde. Quant aux deux autres hommes ils regardaient avec avidité le trio, tout en caressant de leurs mains les cuisses de Maria.

 Angela et Balou assistèrent à ces ébats collés l’un à l’autre sans pour autant être excités. Ils admiraient la dextérité de Maria livrée à ces hommes, sa manière qu’elle avait de sucer, de se faire prendre, de masturber alternativement la forêt de verges. Plusieurs minutes s’écoulèrent entre cris, gémissements, frottements, grognements, pendant l’extase du groupe. Le visage de Maria fut aspergé de semence chaude, ses joues, son menton en étaient maculées. Le fils du barman se retira du ventre de Maria et dans un dernier élan éjacula sur son abricot d’amour. Maria reçue également un petite giclée de sperme sur ces épaules de la part du maire qui avait réussi en se branlant frénétiquement à éjaculer en gémissant pour elle.
L’amie d’Angela passa ses mains sur son corps et recueillit du bout des doigts la lave de plaisir de ces amants, lave qu’elle lécha pour l’avaler avidement. Les hommes se rhabillèrent prestement en commentant leurs exploits et rejoignirent la maisonnée en bout de plage. Maria couru ensuite vers la mer pour un bain de minuit rapide qui lui permit d’ôter toute trace suspecte. Ensuite elle rejoint Angela et Balou qui l’attendaient. Balou remarqua ces fesses rondes, ses petites cuisses un peu dodues, ses seins menus aux tétons durcis par la baignade. Quelle énergie avait-elle dépensée avec ces quatre hommes, songea-t-il.

Elle enfila rapidement sa robe sans se sécher.

 - Vous avez vu c’était top hein ?

- Maria je ne te reconnais pas, toi qui était si timide avec le sexe, mon dieu quel changement ma chérie, répondit Angela.

- je sais mais c’est ainsi, j’avais envie de vous faire ce cadeau. Et vous deux aussi vous étiez bien, on vous a observé pendant que vous vous amusiez. J’ai adoré la sodomie, hummmm Balou tu es fortiche toi !!

- Euh n’exagérons pas, dit-il en se sentant rougir.

 
Tous trois retournèrent vers la maison en devisant comme si de rien n’était.

 A suivre

Dimanche 21 août 7 21 /08 /Août 00:00

EVA

Voila je vais vous racontez comment c'est arrivé. A l'époque je sortais encore avec mon ex , Eva. Belle petite brune de 1.65mètre, Eva était mon genre. Plutôt, fine, ses cheveux sombre ondulaient allégrement sur sa petite poitrine. Eva et moi, c'était une vielle histoire. Nous nous étions connus, 6 ans plus tôt, et étions instantanément tomber amoureux. Deux ans plus tard notre amour se concrétisait par notre première relation sexuelle, nous avions quinze ans.

Bien sur a cette époque ce n’était pas le nirvana à chaque fois, mais les sentiments faisaient le reste. et puis ....et puis comme tout le monde, nous avons voulu aller voire ailleurs. Nous n’étions pas jaloux. Mais à force ? de rencontres, de discussion au coin d’un oreiller, nous n’avions plus grand chose à faire ensemble…nous nous sommes séparés sans heurts. Ensuite Eva est partie sur  Genève...et les nouvelles se sont faites plus rares…


Pour mes 19 ans Eva m'a rappelé. Pour prendre de mes nouvelles, mais aussi pour que je vienne la voir un week end en hiver... et moi célibataire de mon état, je n’ai vu aucune raison de refuser cette invitation.
Nos retrouvailles furent explosives. Moins d'une heure après la visite de son appartement, je la plaquais contre un mur pour l'embrasser fougueusement. Mais nous nous connaissions, et savions que le plaisir est meilleur lorsque qu'il se fait attendre. C'est pourquoi c n'est qu'après un bon film que j’ai posé ma main au bas de son ventre... Cette nuit là, nous fîmes l'amour comme rarement dans le passé. Il faut dire que diverses expériences avaient enrichis nos corps et nos esprit. Après avoir jouis à trois reprises suite a plusieurs heures de corps à corps torride sous la couette , je déposais les armes avec regrets, tant la vue de ses fesses blanches s'enfonçant sur mon sexe circoncit m'excitait et me faisait perdre jusqu'a la notion de douleur.
Le lendemain, après avoir, pour la première fois depuis longtemps, arrosé ses mamelons d'une belle (petite) giclée, elle me fit part de sa volonté d'organiser une soirée dans son appartement.
Sitôt dit , sitôt fait, quelques heures plus tard nous étions plus d'une quinzaine à un apéritif qui devait durer tout le nuit. Durant cette soirée Eva et moi nous affichions comme à notre premier jour… nous embrassant sans cesse, montrant à tous notre fierté de posséder l'autre.
Pourtant, je me surprenais à découvrir une Eva , allumeuse, aguicheuse, se trémoussant  du haut de ses bottes en cuir. Elle savait bouger ses fesses, faire malicieusement apparaître son string et se frotter contre mon sexe durcit par cette vision.
Vers 3 heures du matin l'alcool faisant son effet, la plupart des convives repartirent, sauf un de ses amis, qui je pense devait être le plus jeune puisqu'il n'était pas encore majeur. Immédiatement après avoir refermer la porte, Eva se rua sur moi et manqua de me renverser lorsque qu'elle m’enfourcha en se cramponnant a mon cou. Sans suivi un long baiser fougueux, dans le quel je senti un étrange mélange de whisky et de mexicaine... La présence du jeune homme commençait à me gêner et malgré mon état d'alcoolémie avancé, je le fis remarquer à Eva. Lorsque elle le regarda sur le canapé, Eva lui demanda si il souhaita dormir dans son salon. En disant cela elle glissa sa main dans mon caleçon et m'empoigna les testicules. Son ami, loic, lui répondit qu'il préférait, si cela ne nous dérangeais pas, ne pas rentrer chez lui dans son état.
Il n'avait pas fini son explication, que Eva me jetai sur le canapé, juste à coté de Loic. Puis, toujours avec la même violence, elle  tira mon pantalon et mon caleçon, avant d'avaler entièrement mon sexe encor un peu mou. .....
 
L’effet de l’alcool anesthésiait mes sens.  Mon érection avait bien du mal à progresser malgré la sensation de chaleur que provoquait  la bouche d’Eva sur mon intimité. Dans un moment de lucidité, à travers les vapeurs alcoolisé qui  perturbait le fonctionnement de mon cerveau, je perçu un  clin d’œil que Eva lança à Loic . Dans un effort de pensée je me demandais ce que mon ex pouvait bien encore mijotés… mais la seule idée qui me venait à l’esprit était que EVA avait envie de nous 2.  Tout en me suçant avec application je la vis agripper le pantalon  de son ami et lui tirait dessus afin  de lui baisser. Celui ci s’exécuta et se retrouva en boxer. Si peu vêtu, il ne pouvait caché son excitation.. Son sexe était  moulé par le tissus synthétique du sous vêtements, et la démarcation de son gland ne faisait aucun doute sur l’état  dans le quel il se trouvait.  
A cette vision je me concentra d’avantage sur ce que faisait ma partenaire, car je ne voulais tout de même pas me trouver en infériorité en face de se jeunot. Enfin je bandais dur. Eva commençait franchement a prendre son  pied. Depuis combien de temps me pompait elle ?  5minutes, une demi heure ?.. Mon  esprit était engourdi, mais mon excitation commençait à me  réveiller.  Tout en me caressant, elle s’amusait à lécher une à une, les gouttes de liquide séminale qui naissait au sommet de mon gland. Cette vision me rendait fou, et si elle continuait de la sorte, le liquide qui sortirai, risquait d’être d’une nature bien différente…
Soudain, elle prit la main de son ami dans la sienne et  lui frotta sur son sexe. L’incitation était limpide. Je laissai faire, passif. Elle fit de même avec moi,, mais pour ma part je me contenter de caresser doucement mes testicule, car j’étais déjà chauffer à l’extrême.
Eva se releva, alla allumer quelques bougies au fond la pièce, avant d’éteindre les lumières. Puis elle  se dirigea vers le lecteur CD ou elle mit le premier album de Saint GERMAIN.  Elle se plaça devant  le canapé ou j’étais assis avec Loic, et prononça ces quelques mots à mon égard : « Tu es prêt à quoi pour me voire nue ?? »   
Grandement excité, et un peu amusé pas se contexte, je lui répondis  le plus calmement possible ; « A beaucoup de choses ».
Elle regarda mon voisin  elle lui dit, le sourire au  lèvre ; Vas  y, fais ce que tu as envie… le temps que je comprenne, sa main serrait déjà mon sexe brûlant. La sensation n’était pas  désagréable. , même si ma première réaction fut plus ou moins de dégoût, Je suis forcé de reconnaître que le jeune homme était adroit…Eva ne nous avait  pas quittait des yeux. Elle souriait jusqu’aux oreilles, et enleva son haut, dévoilant ainsi son sous-tiens gorges en dentelle noire…Elle me regarda en bougeant sur les samples enivrants de la musique, et me demanda si j’étais prêt à encore plus. Je la regarda dans les yeux, et confirma d’un signe de tête, appréhendant ce qu’elle allait encore me demander.    
Elle regarda Loic, qui toujours sur ma droite continuait à me caresser et lui dit ; vas y !
Il se pencha vers moi, et avala mon sexe entièrement rasé sur plus de la moitié de sa longueur. La surprise faillie  me couper le souffle. Apres quelques mouvements je commençais à retrouver une excitation dangereuse, laissant à coup sur un goût salé dans la bouche  du jeune homme.
Mais comme promis EVA s’exécuta. Tout en se trémoussant, Elle enleva avec délicatesse, ses bottes, puis se retourna  pour enlever sa jupe. qui cachait un joli petit string en dentelle noire. Quelle vue ! Elle était superbe, même avec l’éclairage de quelques bougies, le contraste de la dentelle noir sur la blancheur de sa peau était splendide.
Pendant  que loic continuait a m’aspiré littéralement , Eva continuait à nous regardé. A un moment elle me fixa dans les yeux.  Part l’expression de mon visage je voulais lui faire comprendre que je commençais à être vraiment  au bord de l’orgasme. Je ne sentais déjà plus ma queue tant elle était tendue.  Elle comprit mon embarras, et  demanda a loic de s’arrêté. Lorsqu’il se retira je vis mon sexe tendu dégoulinant de salive…
Eva l’avait vu aussi, elle s’assit entre nous et  posa la paume de sa main sur mon gland se qui provoqua une nouvelle contraction de mon organe. Je ne tenais plus …Voyant mon regard plein de détresse, elle enleva sa main et la posa dans mes cheveux pour pénétrer ma bouche de sa langue experte. Tout en m’embrassant  elle posa une main sur le  caleçon  de son ami et le tira vers le bas afin qu’il l’enlève totalement.  Elle me susurra à l’oreille l’ordre d’enlever ma chemise,, ce que je fis sans contestation. Loic  m’imita dans l’instant qui suivi.  En me penchant en avant  j’aperçu son sexe. Il bandait dur. Son sexe était assez poilus et avait en fait une taille assez modeste. A vrai dire je ne suis pas certain, encore aujourd’hui, de son  age. Sa puberté ne devait pas être complète il avait peut être moins de 16 ans…
En tout cas cette vision flattait mon ego( je ne voyais pas en lui un éventuel rival) et je pris donc les actions en mains. Ce fut a mon tour de me placer devant le canapé….
Je commençait à embrasser le dessus des  cuisses d’EVA , tout en baladant mes mains sur son ventre si doux. J’effleurais le tissus de son string, y introduisant un doigt ou deux au niveaux des hanches.
Eva gémit doucement,  elle se tourna vers loic et commença a lui embrasser le torse. Elle demanda doucement , d’une voix que je percevais mal a travers a musique, «  tu es vierge loic ?». Celui ci, répondit, un peu gêné comme on l’ai toujours quand on est un homme et que la réponse est ; oui …
A ce moment Eva descendis déposer un baiser sur le sexe de son ami.. J’en profita pour monter vers son intimité. Doucement, je posais mes mains à l‘intérieur de ses cuisses, pour les écartées de façon à avoir suffisamment de place pour poser mon visage. Je commençais par l’embrasser juste au dessous du nombril, et je descendis doucement  jusqu’au tissus de son string. D’une main délicate je tirai alors celui ci sur le coté, pour découvrir une fois de plus ses lèvres aux contour parfait, subtilement mises en valeur par un rasage parfait. Je jeta alors un œil vers le visage de ma partenaire, comme pour avoir son accord, mais je la vis occupé a déposer des baisers tout autour du sexe du jeune homme. Celui ci commençait d’ailleurs à gémir, et il y avait fort a parier que l’éjaculation n’allait pas tarder à survenir si elle continuait ainsi.
Chose promis chose due, j’ouvrais grand ma bouche pour englober la totalité de ses lèvres dans la chaleur de ma respiration…Là, je l’entendis gémir , sans retenu, son corps se  cambrait en arrière et enfin comme un dernier indicateur du plaisir que je me flattais d’avoir provoqué, sa main se posa  sur mes cheveux , afin de plaquer mon visage contre son sexe. Je fis ce qu’elle voulait, jouant de ma langue, tel un bull dozer. J’entrouvris ces lèvres, et alla caresser de mes dents son clitoris déjà bien gonflé. . Je la sentais mouiller, inondant ma bouche de son liquide sacré. Je descendis en  ensuite ma langue , doucement pour petit à petit l’immiscer à l’intérieur de son vagin. Je m’amusais à entrer , sortit , puis entrer à nouveau… Je la dominais totalement, elle n’étais plus maîtresse d’elle même, elle serrai sporadiquement le sexe du jeune homme au rythme des pénétration de ma langue. Enfin, ma visite aurait était incomplète si je n’avais pas descendu, plus bas  encore. Je lui effleura l’anus de la pointe de ma langue tout en  lui posant un doigt habile sur le clitoris. Elle bougeait dans tous les sens, se tordant sous le plaisir. De mon coté je dois avouer que mon érection n’avait pas faibli ; mon sexe pointait toujours vers le haut.. Eva quand à elle avait mis son jeune ami dans un état second à force de le branler frénétiquement. J’en étais sur :  il était sur le point de jouir. A vrai dire se fut Eva qu’il la première atteignit l‘orgasme  seulement  quelques secondes après que je lui ai introduit 2 doigts dans le vagin. Elle laissa échapper un grand cri et s’enfonça de plus belle sur mes doigts, sans doute un peu trop court.. Apres quelques seconde , je me releva et aller l’embrasser.
 Elle me glissa a l’oreille tu veux prendre ? oui ? et bien fais le jouir…..D’accord mais en même temps que tu t’empales !… Je n’avais pas fini ma phrase qu’Eva était déjà debout, faisant volant son string trempé à travers la pièce. Elle se mis au dessus de moi qui m’était rassis à coté de loic, me tournant le dos, elle pris mon sexe dans sa main et le guida  au plus profond d’elle même. Nous poussâmes tous 2 un soupir de plaisir. Passé cette émotion  elle prit ma main et la posa sur  le sexe de loic. C’était la première fois que je touchais le sexe d’un homme autre que le mien. C’était vraiment dur, on aurait cru du bois. Une des premières sensations que je ressenti fut la chaleur qui rendait ma main moite sur ce sexe encore jeune….Je commençais à le branler doucement, prenant le temps de découvrir toutes les formes de ce sexe décalotté. Il gémissait de plus en plus et m’offrit une grosse goutte de liquide séminal. Eva le regardait, presque attendri pas la scène qui s’offrait à elle. S’appuyant sur ses bras elle commença a remontre son bassin, avant de redescendre, tranquillement. Puis, petit à petit elle accéléra le rythme. Plus elle s’empalait plus je serrais fort, allant jusqu'à écrasé le gland de mon voisin, à l’intérieur de ma paume.
 Il n’en pouvait plus .  Je lui pressais encor une fois les testicules, quand je sentis une chaleur sur mon avant bras. Une belle traînée blanche, qui dégoulinait le long de mon poignet. Je l’astiqua encore de plus belle et senti son sexe se contracté sous les jets multiples qui atteignirent son torse.
Pendant, se temps , exciter par cette vision, Eva continuait a s’empaler. Son orgasme était proche.    Je pris ses fesses entres mes mains, pour tenir son corps au-dessus de moi…. L à, ne pouvant bouger elle sentit mon sexe rentrer de plus en plus fort elle. Si fort et si vite que son orgasme ne tarda pas. Elle hurla de plaisir, d’autant que plus elle criait et plus j’accélérer le rythme. Quand elle me sentit tout près de l’éjaculation, elle me chuchota…attend, on va s’occuper de toi. Elle se leva et me tira par le bras pour que je mette debout …puis elle se rassit a coté de loic. , et prit immédiatement mon sexe en bouche . Ma réaction fut instantanée. Une grosse giclée de sperme la récompensa. Elle s’enleva  et colla le visage de son ami sur mon sexe qu’il avala à pleine bouche. Eva remonta vers moi la bouche rempli de mon liquide et m’embrasa le plus fougueusement possible, me faisant ainsi goûter le fruit de ma jouissance.  Quelques centimètres plus bas une bouche d’homme aspirait le reste de mon éjaculation, aidait par la masturbation que je me prodiguais. L’orgasme que je ressenti, lors de cet instant fut d’une rare intensité…
L’instant passé, nous étions là , tous les 3 nus , à la lueur  des bougies. Ne sachant que faire, j’alla me servir un rhum, histoire de me remettre de toutes ces émotions nouvelles et contradictoires…
La nuit n’était pas terminée, mais vous en savez déjà assez. Ne vous inquiétez pas, la suite je vous la raconterai bientôt…..
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