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Eros - essais érotiques

Vendredi 9 décembre 5 09 /12 /Déc 18:53
Lundi 14h30.
Je dépose sur l’écran d’ordinateur de Sophie une petite carte de rendez-vous, l’invitant pour une petite soirée d’amour, de sexe et de plaisir… Après le goûter des enfants, elle me dit « peut-être », elle sait si bien me faire languir…

 20h00.
 Les enfants sont couchés, la soirée peut commencer, je roule un petit joint, histoire de nous détendre. Nous pianotons chacun sur notre ordi, tout en fumant tranquillement notre petit grillet.

Après un petit moment, Sophie me propose de prendre un bain pour nous réchauffer et nous chauffer par la même occasion. J’éteins mon ordi et je vais faire couler un bain, bien chaud. Une fois prêt, j’appelle Sophie.

Elle me rejoint, et nous finissons de consumer dame Marie-Janne, coucher l’un en face de l’autre dans la baignoire.

Après un bon moment de détente, je commence à lui caresser les jambes, se simple contacte avec sa peau m’excite, mon sexe gonfle de plus en plus et vient se blottir sous ses cuisses, au bout d’un moment elle relève ses pieds sur le bord de la baignoire et ouvre ses cuisses, m’invitant à continuer les caresses. Je me redresse et mes mains glissent le long de ses cuisses, mes pousses effleurent son entre jambe et je continue les caresses sur ses cuisses. Je m’installe ensuite jambes croisées sous ses fesses et pousse ses jambes vers elle, je me retrouve alors en tête à tête avec son sexe ouvert, surplombant son anus.

Je prends son gel douche, et je le fais couler sur son pubis, ma main caresse ce petit duvet de poil, puis je fais descendre mes doigts de part et d’autre de ses lèvres, jusque sur son anus que je caresse délicatement avant de remonter le long de son vagin. Mes mains en tremblent de plaisir, je passe son clitoris entre mes doigts, je le sens durcir, je parcours ce chemin à plusieurs reprises, j’ai envie de m’y perdre.

De retour sur son anus, qu’elle me laisse caresser et même lécher de temps en temps, je décide alors de m’en occuper un peu plus sérieusement, en espérant pouvoir y glisser un doigt, pour lui faire découvrir de nouvelles sensations. Je fais tourner mon majeur sur ce petit anneau, qui de contracté, passe vite à un état de décontraction total, en passant sur l’orifice, je sens mon doigt comme aspiré, mais non, je n’y entrerai pas, tant qu’elle ne m’y invite pas ! Et c’est à ce moment-là qu’elle me dit stop, on se lave et on monte…

 

Je sors de l’eau en premier et monte dans la chambre allumer quelques bougies, je pose l’huile de massage sur la petite table à côté du lit, puis je me couche et me caresse en attendant qu’elle monte me rejoindre. Elle arrive enfin en haut de l’escalier, nue, et me demande ce qu’elle doit faire.

Je lui demande de prendre l’huile et de venir vers moi, elle s’installe assise en tailleur face à moi, je me redresse et place mes jambes de chaque côté de ses cuisses. Elle me donne un peu d’huile et en prend dans sa main. Nous fermons les yeux et  commençons à nous masser, je sens ses mains sur ma peau et j’ai du mal à me concentrer. Tout en nous caressant, nos têtes se rapprochent et se posent l’une contre l’autre, son désir se fait sentir par sa respiration. Nos mains continuent de glisser sur nos corps, elles descendent, remontent, se croisent, s’entremêle. Elle passe sa joue contre la mienne, ses lèvres effleurent les miennes, elle embrasse mon coup, je caresse ses seins, elle mes fesses, son ventre, mes cuisses, ses hanches. À cet instant, mon corps brûle de désir et d’amour, elle s’empare de ma verge et commence à me masturber tout doucement. Je remonte le long de sa cuisse et j’arrive sur son vagin, mes doigts glisse dans une moiteur excitante, je sens la lave de son volcan couler sur mes doigts. Elle déplie ses jambes et se rapproche de moi. Je retire ma main, elle commence à frotter mon gland sur son clitoris et entre ses lèvres. Elle se cambre de plus en plus et soudain, d’un grand coup de hanche, elle enrobe mon pénis de tout son corps, ses cuisses glissent sur les miennes, elle va et vient. Nos deux corps n’en forment plus qu’un, nos langues tournent l’une autour de l’autre, sa chaleur envahit mon corps, je vais exploser. Elle stop son va et vient, délie nos corps et se couche sur le dos, les jambes écartées. Je me mets à genoux entre ses cuisses, je prends ma verge et lui frotte la chatte avec, puis je fais glisser mon gland dans son antre, elle se cambre et je sens dans chacun de mes mouvements son clitoris frotter sur ma verge. Elle s’accroche à mes fesses et me donne le rythme, elle gémit, je sens son vagin se contracter et nous explosons ensemble…

Je me retrouve blotti contre son sein, nos mains ne peuvent s’empêcher d’effleurer la peau de l’autre, des frissons parcourent mon corps.

Je l’aime.    

Vendredi 2 décembre 5 02 /12 /Déc 19:09
Je m'appelle Lucie, châtain les yeux marron, j'ai 30 ans et ma vie a complètement changée, il y a 5 ans. A cette époque, je venais de terminer mes études, trouver un emploi. J'avais mon chez moi mais pas d'homme. Célibataire depuis un an. Ma vie était calme, trop calme, rythmée par les compétition de voile que je pratiquais lors de mes week-ends. Je n'étais pas tu tout attiré par les jeunes rebelles qui régataient avec moi.

J'ai du lutter une ou deux fois pour éloigné un prétendant un peu lourd, jeune qui se prenait pour le latin lover irrésistible une fois la compète terminée.

Une personne me faisait de l'effet Pierre compétiteur acharné que je connaissais de vue de puis plusieurs années. Pierre avait 32 ans marié, il menait la vie tranquille d'un actif de province. Plusieurs fois nous avions eu l'occasion de nous rencontrer lors de régates.

Pierre était pas mal brun au yeux bleu un beau marin breton, je le regardais comme un ami proche nous discutions d'un peu tout, nous nous retrouvions de plus en souvent pour discuter. J'étais en fait complètement fascinée. Il me surnommait Luce. Souvent il arrivait que je finisse juste derrière lui classement.

Tout c'est déclenchée un soir après une régate nous discutions de celle du week-end prochain. Je lui annonçais mon intention de ne pas y participer. J'avais en effet prévu une soirée entre anciens potes ce samedi là. Tous en parlant il me pris le bras et me dis que je devrais venir. –"Lucie, je t'ordonne de venir à cette régates. Tu ne voudrais pas manquer un week-end avec moi?"

"Euh, je vais voir ce que je peux faire. Je vais essayer de venir."

J'étais complètement troublée je passais les deux jours suivant a essayer de comprendre pourquoi j'avais envie d'y aller. Après tous il était marié. Samedi suivant, j'étais sur l'eau à régater. J'avais passée une partie de la semaine à m'excuser de ne pas pouvoir venir à la soirée. Pendant tout la préparation et la régate, il ne me regarda a peine. C'est une fois la journée de voile terminée que nous nous sommes rencontré sur le parking. Il m'a dis qu'il était fier de moi. J'avais fais ce qu'il m'avais dis. Je lui rétorquais que moi aussi j'avais envie d'y participer à cette régate. Je ne croyais pas moi-même à cette réponse.

Il plaça sa main contre ma joue et me caressa lentement le cou. Il dis: " Lucie, cela ne te dis pas de m'inviter? Apres tous nous ne sommes pas loin de la ou tu habites, non?"

"Euh, non. Bien sur ...viens. Tu sais comment y aller?"

"Je te suivrai. "

Deux heures après nous nous sommes retrouvé chez moi. Nous avons beaucoup discuté de tout de rien de voile, de ma vie perso. Je buvais ces paroles. C'est à ce moment qu'il ma dis : "Luce, j'aimerai que tu me fasse plaisir. "

"Pardon? "

"Oui j'aimerai que tu me suce"

J'étais là debout, hypnotisée. Il continuait a parler, insistant sur les s. "Je crois Luce que tu dois te soumettre à moi. Obéie moi. Luce suce moi, suce moi."

Je chavire. J'avance vers lui. "Mets toi a genou... voila c'est bien...". Il sort son sexe et me le tend. Je l'attrape et me penche vers cette verge. Il place sa main dans mes cheveux et murmurant toujours:" Luce suce moi'', me guide vers son sexe.

Je le tète doucement. Sa main m'imprime le rythme qu'il désire. J'ai très chaud, je ne réfléchie plus. J'ai a peine le temps de respirer, il me veux léchante, aspirante. Il me voulait soumise. Tout à coup, Pierre m'arrêta. Je le regardait lui sexe luisant gonflé, et moi, bouche ouverte, la langue sortie. Il allait jouir. Me tenant la tête il éjacula sur mon visage.

J'étais là, à genou, couverte de son sperme, il me regardait lubriquement. Il rangea son sexe, se leva en ajoutant. "Tu vois il fallait que tu viennes à cette régate". J'étais ailleurs outrée et excitée.

"J'en attendais pas mieux de toi se soir".

Il ramassa ses affaires, je n'eu que le temps de me lever pour le rejoindre à la porte. "Luce tu as été merveilleuse, on se vois la semaine prochaine?"

Il était parti...   
Mercredi 9 novembre 3 09 /11 /Nov 00:00
Balou vit son équipière plonger entre ses cuisses. D’autorité elle avala son membre devenu flasque. Il caressait enfin la brune chevelure tressée de Maglou. Sa bouche était chaude, sa langue le léchait, puis ses lèvres se soudaient. Elles le pompaient allégrement. Maglou caressait les cuisses velues de son amant en s’activant sur la verge. Elle mit tout son talent pour lui faire retrouver la vigueur originelle. Elle était excitée comme jamais. Elle voulait se faire pénétrer par cet homme jeune, ce serait une première à tous les deux.

Doris permettait très rarement aux employées de faire l’amour avec les donneurs de sperme, alors elle ne voulait absolument pas gâcher cette occasion unique.

Maglou s’activa de plus en plus vite. Sa bouche, ses mains, sa langue dansaient une folle sarabande sur la verge au repos de Balou.
Celui-ci voyait entre ses cuisses, la jeune femme brune se démener pour lui redonner la puissance d’antan.
Dans les box voisins, d’autres hommes jouissaient en criant, le pompage continuait inlassablement. La récolte s’annonçait prometteuse songea Balou. Cette pensée lui fouetta le sang. Instantanément, sa verge reprit un semblant d’érection.
Maglou sentit le membre frémir dans sa bouche. Progressivement il gonflait entre ses lèvres qui se distendaient. Ses doigts fins allaient et venaient le long du tronc, elle admirait devant ses yeux, l’énorme gland violacé qui serait en elle bientôt.

L’amante de Balou s’allongea en gémissant :

- Viens maintenant, couvre-moi jeune homme.

Maglou avait les cuisses largement écartées. Entre sa brune toison taillée en triangle, Balou voyait les roses lèvres luisantes de désir pour lui.
Il s’avança, embrassa les jambes relevées. Puis, instinctivement il pris la position adéquate, sa verge tapotait contre le ventre de Maglou.
Balou sentit une main autoritaire le guider vers l’antre d’amour.

- Pousse doucement ton bassin, murmura son amante.

Balou savoura sa première pénétration. Ce mielleux ventre l’accueillait admirablement. Il avait bien senti une légère résistance lors de sa progression dans le ventre féminin, mais Maglou l’avait encouragé à continuer à la pénétrer.

Maglou ressentait enfin le poids d’un mâle sur elle. Ce reproducteur la remplissait entièrement. Son ventre avait vite cédé sous la pression du gland, le dépucelage avait eu lieu. La petite brûlure avait rapidement laissé sa place à une vague de désir pour cet homme vigoureux. Il ne fallait pas décevoir Doris, qui elle, ne devait pas rater une miette de leurs ébats sur les écrans du poste de contrôle.

Balou donna des puissants coups de reins, il admirait son infirmière qui se tordait de bonheur sous lui. Elle avait noué ses jambes autour de sa taille pour le conserver bien en elle.

Tous deux haletaient, Maglou griffait le dos de son jeune amant, la jouissance était proche.
L’orgasme libérateur montait progressivement des reins de Balou vers ses bourses, pour se concentrer dans sa hampe.

Yeux dans les yeux, ils savourèrent le merveilleux bonheur qui déferlait en eux par vagues successives.

Doris se délecta de ce spectacle grâce aux diverses caméras installées dans chaque box. Après le missionnaire classique, elle vit Maglou se positionner à quatre pattes, croupe offerte, elle écartait les deux globes de ses mains. Balou agrippa ses hanches et d’un puissant coup de boutoir, la pénétra en levrette.

Doris accentua le zoom. L’écran lui renvoyait l’image agrandie, d’un sexe mâle allant en venant
dans une orchidée luisante. Balou fera un bon amant pour la reine Zara, se dit-elle. Le sablier venait d’annoncer la fin des débats.


Balou se retrouva sur sa couche. Il avait encore en tête cette première fois, cette formidable journée de plaisir. Plus de vingt tempêtes avaient passé depuis.
Son bas ventre le brûlait toujours, irrité par trop de pénétrations, trop d’éjaculations certainement aussi.

Ce matin, la nostalgie entourait Balou. Il n’avait jamais plus revu Maglou, la petite amazone brune. De leur union, il savait que deux jumelles étaient nées. Doris le lui avait annoncé discrètement à la faveur d’une étreinte furtive ensemble.
Au fil du temps, la directrice du centre de traite et Balou, étaient devenus amis, amants dans la clandestinité. Doris avait découvert l’amour, ce sentiment indescriptible, entre les bras de Balou. C’est du moins ce qu’elle lui avait dit.
Lui, pensait le contraire, un amant n’était-il pas une source inépuisable de sève, mise à disposition d’une bouche assoiffée? Certes à plus de 200 cycles, Doris gardait un charme certain, même si le vieillissement en était ralenti. En fait, un tacite contrat les liait tous deux, l’une profitant de sa semence, l’autre des facilités de vie et avantages locaux.

Il n’était pas aisé pour les deux amants de se voir quotidiennement. Cependant, Doris tenait en son pouvoir le « clan des gardiennes de la divine semence ».
Les jeunes femmes qui composaient cette unité d’élite lui étaient loyales et fidèles, Doris étant une des leurs.
De plus, les réseaux parallèles, le barème des bakchichs, le troc et la valeur des services « rendus », engendraient mille et un avantages dont profitaient les gardiennes. Elles s’étaient appropriées cette organisation lorsque leur leader avait gravit un échelon supplémentaire vers le pouvoir.
Un trafic de sperme bien huilé faisait leur richesse, la logique voulait qu’elles en profitent également, étant reliées directement à la source de production.

Doris était une femme à la peau très brune, de soyeux cheveux noirs étaient coiffés à « l’andalouse » et tirés en arrière pour former un petit chignon, lui donnant un charme rétro absolument fou de danseuse de flamenco.
La nuit dernière elle avait littéralement martyrisé le dos de Balou de ses ongles rouge sang lorsque la jouissance avait déferlé en elle. Sa bouche aux lèvres rouges et pleines, avait pourtant déjà aspiré une quantité de sève non négligeable, Balou étant prié de ne pas éjaculer en son ventre

Balou aimait Doris, certes à sa façon. Cette femme lui offrait un appartement où il pouvait circuler à sa guise dans le périmètre réservé aux hommes. Les gardiennes veillaient de leur coté au stricte respect des consignes.

D’accord, les femmes dirigeaient le Monde, mais pour autant que Balou puisse en juger, les hommes ne mourraient pas de faim. Ils étaient cantonnés dans des logements ressemblant à des blocs de dominos, « protégés » par les gardiennes. Ils étaient la richesse de la Reine Zara.
Les hommes vivaient et mourraient dans ce lieu, à plusieurs par chambre.
L’homosexualité, forcément tenait sa place dans ces conditions.
Les hommes à fort potentiel physique et endurant, fuyaient ces pratiques afin de conserver leur énergie vitale.
Mais certains mourraient de plaisir au centre de traite, malgré toutes les précautions que prenaient les infirmières. Le sérum qui leur était inoculé développait terriblement les organes génitaux, il était primordial de pouvoir résister à la dépense d’énergie qu’occasionnaient les monstrueuses éjaculations provoquées par la bouche suceuse. De plus, un orgasme mal géré déclenchait habituellement un arrêt cardiaque pour les plus faibles mâles.

L’accompagnatrice, l’infirmière du moment de Balou se prénommait Alicia. Grande femme rousse, à la chevelure bouclée et chatoyante, yeux en amande d’un bleu azur. Elle était presque maigre, avec une petite poitrine. Par contre, des cuisses interminablement fuselées et musclées rehaussaient son physique. Un petit nez fin en trompette, une bouche accueillante et pulpeuse, d’adorables grains de beautés sur ses pommettes embellissaient son visage angélique.

Malgré son statut de privilégié, Balou devait toujours remplir son devoir de se faire traire au moins un fois toute les sept nuits.
Alicia était depuis peu sa nouvelle coéquipière. Ils s’entendaient à merveille. La grande rousse qu’il surnommait « ma sauterelle » connaissait parfaitement l’anatomie masculine, elle le mettait en condition optimum pour qu’il puisse se vider ensuite dans l’infernale machine du plaisir en jouissant en sa compagnie dans les meilleurs conditions possibles.

Balou apprit qu’Alicia courait souvent au stadium. Seule, elle s’entraînait à conserver sa taille de guêpe malgré un âge identique au sien.
Il savait également qu’Alicia n’était plus pucelle. Elle avait participé par le passé à des orgies organisées par la Reine Zara. Malheureusement pour elle, son physique filiforme, ne plaisait pas à la Reine. Elle avait été démise de ses fonctions « d’amante royale » après plusieurs mises en garde, pour par la suite se retrouver au centre de récolte. C’est dans ce lieu que Balou et Alicia s’étaient rencontrés. Une rencontre, qu’il savait orchestrée par Doris, qui elle également avait soif de pouvoir, et rêvait de renverser le régime en place.

Alicia était féline, rapide, et endurante. Sa blanche tunique moulante courait devant Balou. Le stade était vide, mais tous deux étaient surveillés par les gardiennes. Doris avait obtenu pour Balou le droit de s’entraîner en privé avec Alicia, mais sous la surveillance des membres de son unité spéciale.
Ils entamaient le dixième tour à un train d’enfer. Alicia volait littéralement sur la piste, Balou semblait se traîner péniblement plusieurs foulées derrière elle. Le soleil brillait de mille feux. Certaines gardiennes dans les tribunes, encourageaient Alicia. Balou en avait marre de se faire ainsi bananer (encore une expression rétro de l’ancien temps).

Il voyait devant ses yeux où ruisselait la sueur, les cuisses longues et fuselées, légèrement hâlées d’Alicia. Ce n’était plus une sauterelle mais une gazelle.
« Jamais je ne pourrai la rattraper » se dit-il.

Au bout du quinzième tour de piste, Balou abandonna le rythme infernal de sa coéquipière. Il se laissa tomber dans la soyeuse et grasse pelouse verte formant le centre de la piste.

« Je me régale, je suis heureuse » songea Alicia. Son grand brun de Balou n’arrivait plus à la suivre. « Fichtre, s’il me claque dans les pattes je serai bien avancée ». Elle se retourna juste à temps pour apercevoir Balou s’écrouler à même le gazon.
Immédiatement elle fit demi-tour et sprinta vers lui.

- Oh mon Balounet, ça va ? Questionna-t-elle timidement, agenouillée à ses côtés.

Elle le voyait haleter, il recherchait de l’air. Sa poitrine ruisselait de sueur. Torse nu, en basket et boxer, il avait voulu jouer au malin avec elle. Les yeux clos, il reprenait progressivement ses esprits.

- Tu n’as pas envie de perdre ton reproducteur préféré, hein ?

Alicia se retourna.
Son regard se porta d’abord sur le pied couleur caramel aux ongles bien manucurés, puis sur la sandale noire qui l’entourait. Ensuite, elle laissa ses yeux courir le long de la jambe, remonter vers la cuisse musclée, pour terminer vers l’entrejambe serré dans un bermuda kaki.

Doris portait une chemise sable assortie, ses cheveux toujours tirés à quatre épingles.
De sa haute stature de brune incendiaire, bras croisés, elle toisait effrontément Alicia.
Les deux femmes se jaugèrent un bref instant.

- Tu t’intéresses aux jeux du stade maintenant ? Lança Alicia.
- Oui ma chère, d’autant plus que les athlètes de ce genre ne courent pas les rues. Mais prends garde à toi de ne pas les épuiser ainsi. Je te surveille, et mes gardiennes également. Alors ne fais pas d’écarts de conduite que tu pourrais regretter plus tard.

Sur ces bons conseils, Doris tourna les talons, et s’en alla, laissant Alicia seule avec Balou.

Un œil, puis deux s’ouvrirent. Bon sang une rousse fée se tenait au-dessus de lui. Elle lui souriait. Ses lèvres roses s’écartèrent doucement pour laisser la place à de belles dents blanches, les yeux bleus étincelaient. De fines rides entouraient les paupières, mais les mignonnes taches de rousseur masquaient les traces du temps.
Une main agréablement fraîche lui caressa la joue. « Que c’est bon de se laisser dorloter par une femme » pensa Balou en souriant.

- Ah ben Monsieur rigole à présent. Ce n’est donc pas si grave que ça alors ?
- Non non Alicia je t’assure j’ai eu un malaise, répondit Balou.

Toujours allongé, il vit la frimousse de sa belle infirmière se rapprocher de lui. Alicia dénoua sa queue de cheval et les doux cheveux roux tombèrent sur le visage de Balou, lui prodiguant de douces caresses qui le faisaient frissonner.
Elle redressa sa nuque. Balou pu admirer son long et fin cou de déesse. Sa tunique blanche moulait admirablement les hanches et les fesses d’Alicia. Il respirait le parfum salé de sa sueur. De petites auréoles sous les aisselles laissaient à penser qu’Alicia avait tout de même souffert un petit peu. Cette vision réconforta Balou.

La puissante érection ne passa pas inaperçue aux yeux d’Alicia. Le boxer hyper moulant de Balou mettait en évidence cette délicieuse partie de son anatomie. Certes, Alicia avait déjà caressé ce membre, embrassé la bouche masculine, mais là ils sortaient du contexte de travail habituel et cela l’excitait considérablement.

Cachée par le dos de Balou, Alicia laissa ses doigts fins caresser la hampe à travers le tissu.

- Tu aimes ? Gémit-elle d’une voix rauque.
- Oh oui Oh oui ma Fée, oui hummm c’est trop bon

Le risque d’être découverts, démasqués par Doris et ses hyènes, accroissaient leur désir mutuel.
Alicia était trempée comme jamais. Son désir ruisselait presque sur ses cuisses. Son orchidée réclamait son dû, BALOU !
Soudain elle sentit un, puis deux doigts caresser son mont de Vénus. Elle déchira sa culotte, se moquant des conséquences et elle s’empala prestement sur la main de Balou.
Elle avait fermé les yeux. Balou la branlait délicieusement devant les gardiennes de Doris. Et ça, c’était déjà une belle victoire. Alicia se laissa aller à la jouissance, agenouillée sur la main de son coéquipier. Elle lâcha un feulement de fauve qui raisonna de long instant dans l’enceinte du stadium.
Balou avait toujours deux doigts en elle. Il se redressa et poussa délicatement Alicia sur le dos. Immédiatement il s’agenouilla entre ses longues cuisses.
Sa bouche, ses lèvres, sa langue, avaient irrésistiblement envie de boire, de lécher, le nectar de ce roux bonheur féminin. La toison presque transparente laissait voir des lèvres affamées, humides de désir.

Doris aperçu au milieu du stadium, une grande jeune femme rousse, cuisses écartées qui recevait les hommages buccaux de son amant. Elle enrageait de se voir ainsi humiliée devant son corps d’élite, mais elle ne pouvait agir dans l’instant. Elle laissa le couple continuer à se donner du plaisir, sachant que l’homme ne devait pas éjaculer.
« Il en aura un beau paquet pour moi ce soir » songeât Doris.

Alicia gémissait, allongée dans l’herbe, offerte à la bouche de Balou. Sa langue chaude s’insinuait bien loin en elle. Ensuite elle virevoltait comme animée d’une vie propre. Son bouton, léché, caressé, pincé, irradiait également son ventre d’un merveilleux bonheur.

- Viens, viens, geignit-elle. Cela fait si longtemps que je n’ai pas eu une belle queue en moi, oh viens vite mon beau.

Balou se redressa.
Maintenant il embrassait le ventre plat et chaud, sa langue titilla le nombril. Elle remonta vers les petits seins en forme de pomme, dont les bouts roses dardaient vers le ciel ;

Cette jeune femme rousse à la peau légèrement ambrée, le rendait fou de désir. Il savait que Doris les observait. Il savait aussi qu’il ne devait éjaculer sous aucun prétexte, du moins pas devant les gardiennes, en public de surcroît.

- Alicia, tu sais bien que je ne peux pas te pénétrer, je risque de ne pas pouvoir me retenir.
- Si tu peux te retenir je le sais. Donne-moi juste quelques jolis coups de reins pour que mon minou jouisse, vite, vite je te veux, cria-t-elle.

Les gardiennes s’étaient rapprochées de « la scène du crime », prêtes à intervenir si la situation dérapait.
Devant les écrans de contrôles, Doris ne perdait pas une miette du spectacle. Elle constata également que certaines femmes se tortillaient debout dans leurs uniformes kaki. D’autres avaient les tétons de leur poitrine qui pointaient à travers la tunique.
Elles virent Balou couvrir gaillardement Alicia. Il la pénétra instantanément et profondément. De forts gémissements montèrent dans la gorge d’Alicia pour se répandre dans les gradins du stade.
Les femmes admiraient les coups de reins d’abords très lents, puis ensuite plus rapides, de ce reproducteur. Leurs yeux étaient rivés sur les rondes fesses de l’homme qui besognait admirablement leur sœur.

Doris n’en croyait pas ses yeux. Son unité, composée de dix femmes expérimentées, agissait comme une bande de voyeuses.

Soudain un cri supérieur à tous les autres raisonna dans l’enceinte sportive.

Alicia chérie jouissait comme jamais.

Elle était prise de spasmes, de convulsions, sous Balou. Celui-ci ne pouvait pas se retirer de son ventre car son amante avait enroulé ses jambes autour de ses hanches. Il était soudé à elle sans pouvoir s’en défaire en ayant l’impression que sa hampe se faisait aspirer par le ventre affamé.
Balou suait abondamment. Il avait réussit par miracle à contenir son éjaculation mais là devant les visages ébahis des gardiennes, il se sentait affreusement seul.

Deux femmes plus téméraires que leurs collègues, s’étaient agenouillées prêt de lui. Elles commencèrent à lui caresser les fesses, et ses cuisses velues.

Balou se pencha vers le visage d’Alicia. Leurs lèvres se donnèrent un baiser passionné, leurs langues se taquinaient délicieusement. Les salives se mélangeaient, les dents s’entrechoquaient, Alicia tentait de conserver Balou en elle. En effet, elle le sentait toujours aussi vigoureux puisqu’il s’était retenu.

Plusieurs ombres passèrent sur le visage d’Alicia. Elle ouvrit les yeux, et découvrit l’attroupement féminin autour d’eux. Quelque peu surprise, voire intriguée, elle questionna :

- Mais que faites-vous ici ?

Des respirations saccadées, des râles, des bruits de frottements, furent les seules réponses. Alicia libéra Balou de son étreinte. Elle s’assit, et découvrit une dizaine de femmes qui les regardait avec envie. Quelques unes s’étaient dénudées, deux autres caressaient le dos de son amant. Plus loin couchée dans l’herbe une gardienne se masturbait devant Balou.

Le délire total. C’est ce à quoi pensèrent Alicia et Balou.

- « Nous voulons que cet homme nous honore, qu’il nous pénètre comme tu l’as été, qu’il nous montre la divine jouissance ». Dirent les femmes d’une seule et même voix.

Comme de concert, la plus proche de Balou s’agenouilla devant lui et elle entreprit de lui administrer une fellation afin de redonner une belle taille à la verge qui pendouillait, ainsi délaissée. La gardienne, entièrement nue, un peu boulotte, ses lourds seins tressautaient, faisait de son mieux. Sa bouche incroyablement profonde, avalait entièrement le membre maintenant fièrement dressé
Elle gloussa de joie à la vue de ce dard de plaisir, et elle s’agenouilla en présentant sa croupe à Balou.

- Prends-la, murmurèrent les femmes.

La sensation d’une irréalité quasi mystique envahissait Balou. Alicia avait été gentiment écartée du groupe. Un cercle féminin entourait à présent Balou et la femme qui s’offrait.

Le murmure s’intensifia, inlassablement les voix répétaient : « prends la, prends, la prends la, prends la, prends la, prends la, prends la prends, la prends, la prends la ». Les gardiennes marmonnèrent ces mots jusqu’à ce que Balou agrippe les fesses de la jeune femme devant lui, puis lorsque enfin il s’enfonça en elle, les femmes tapèrent le rythme dans leurs mains.

Balou se sentait glisser vers un abîme complètement hallucinant. Jamais il n’aurait imaginé se retrouver entouré d’une horde d’amazones prêtes à se faire prendre par lui. Il délirait en donnant d’énormes coups de boutoir dans le ventre anonyme. Une deuxième et une troisième femme se positionnait en levrette, fesses offertes, à proximité du couple qui copulait.

Balou accélérait ses vas et viens de longs instants, ensuite il ralentissait, pour reprendre de plus belle. Les femmes se pâmaient, elles gémissaient, et hurlaient leur joie lorsque la jouissance libératrice les emportait.
Un enthousiasme sans nom, une folle frénésie gagnait les dix amazones. Elles encourageaient maintenant Balou à continuer sur sa cadence jusqu’à la dernière d’entre elles.

Doris accueillit Alicia dans son bureau. Toutes deux fixaient les écrans où une démonstration de plaisir se déroulait.

- Ce n’est pas possible ! Hurla Doris. Cet homme doit être enfermé, il trouble l’ordre public.
- Arrête ton délire. Le stadium est verrouillé de l’intérieur. A par nous et tes nymphomanes, personne ne sait ce qu’il s’y passe en ce moment, rétorqua Alicia.
- C’est toi la fautive, non ? Tu as envoûté ce brave homme malgré mes recommandations.
- Pfffffffffffftttttttttt…. Alicia balaya d’un revers de la main les accusations de la directrice. « Il va rendre dix de tes soldates heureuses comme jamais elles ne l’ont été. De plus, je pense que dans le tas il va en dépuceler quelques unes aussi. Elle est pas belle la vie ? ».

…………………………………………………………………………………………………

Balou avait l’impression de boire des litres d’eau fraîche, tant il avait soif. Ses oreilles bourdonnaient, son sexe le brûlait malgré l’onguent posé amoureusement par Doris, ses genoux saignaient, bref il se sentait aussi mou qu’une carpette.
Il but encore et encore à la fontaine dans le bureau de Doris.
Assise dans le canapé, Alicia s’était refaite une beauté, mais elle conservait encore entre ses cuisses et sur sa peau, l’odeur suave de Balou. Elle observait ce mâle quadra qu’elle aimerait avoir chaque nuit dans son lit. « Je vais essayer de convaincre Doris de me le prêter », se dit-elle en souriant.
Quant à Doris, elle tapotait impatiemment de ses ongles rouges, le sous-main de son bureau.

Les deux jeunes femmes s’étaient alliées pour renverser Zara et sa cours. La politique n’avait jamais été la tasse de thé d’Alicia, cependant elle devait avouer que la « mère » Doris savait haranguer les foules, pour ensuite les convaincre de la marche à suivre.
La milice était toute à la cause de Doris, l’armée encore hésitante se rapprochait de la sportive charismatique qu’était Alicia.
Malgré ce courant d’opinion favorable à l’opposition, la reine Zara disposait toutefois encore de fortes ressources au sein de ses unités d’élite. Mais il fallait admettre que la révolte grondait. Les meetings étaient officiellement interdits, mais des réunions privées se déroulaient chaque semaine avec davantage de sympathisantes chaque jour.

- Alors t’as terminé de boire ?

La voix cinglante de Doris rompit le charme.

Balou s’affala dans un sofa, mis les deux mains derrière la tête; posa ses pieds sur la table basse et dit :
- Oui M’dame, et j’ai faim.

Alicia s’esclaffa de rire.

- Quoi mais comment oses-tu, hurla Doris.
- Arrête, ça va ton cinéma. Tu ne vois pas que tes amazones, tes gardiennes dévouées, en ont marre de tes frasques. Elles sont fatiguées, usées, elles veulent de l’amour tout simplement. A la limite tu vois, elles s’enfoutent de boire du sperme pour éviter de vieillir, elles veulent une sérénité, un cadre familial avec homme et enfants.
- Tu délires mon pauvre homme.
- Non je ne délire pas ma chère « directrice-récolteuse de semence », rétorqua Balou en appuyant bien sur chaque syllabe.
« Il m’a suffit de quelques minutes pour comprendre en discutant avec ces femmes. Certes, elles m’ont remercié tendrement de les avoir honoré, mais elles voulaient surtout parler ».
- Je pense qu’il n’a pas tord Doris. L’armée aussi s’interroge car il n’est pas question de renverser Zara pour reconstruire une dictature identique. De plus, la guérilla masculine gagne du terrain dans l’ouest. Enfin, la majeure partie des amazones aspire à un climat de sérénité et de paix, en cela je confirme les dires de Balou, annonça Alicia.

Tous les trois discutèrent ainsi une bonne partie de la nuit. Balou eut droit à un repas de roi qu’il partagea de bonne grâce avec les deux femmes. Il était ainsi devenu le premier conseiller et allié masculin dans l’armée clandestine de libération du Monde connu.

Plusieurs grandes tempêtes ont passé depuis cette nuit historique. La démocratie s’est installée, femmes et hommes vivent et apprennent à vivre ensemble
La reine Zara a été emprisonnée quelques mois, Doris est devenue le ministre de l’armée et de la police. Quant à Alicia, elle occupe le poste de présidente, élue au suffrage universel. Dès son accession au pouvoir, elle gracia Zara, qui devait vivre en rase campagne à l’heure d’aujourd’hui.

Le sperme conserve néanmoins encore tous ses avantages pour retrouver un bain de jouvence. Les hommes savent que leur espérance de vie est quasiment deux fois inférieure à celle des femmes, ils se rendent compte que le ménage battra de l’aile le jour où la femme ne pourra plus boire le nectar et qu’elle s’en ira vers un homme plus jeune. La vie est ainsi faite, l’essentiel est que femmes et hommes vivent en pleine harmonie.

C’est à tout cela que pense Balou, debout devant la tombe de Maglou. Il approche lui aussi du seuil limite de reproducteur, il est las de toutes les contraintes physiques nécessaires pour damner le pion aux jeunes pousses qui se bousculent à la banque du sperme, établissement nouvellement rebaptisée par le gouvernement et ne collaborant qu’avec des hommes volontaires.
Alicia lui avait proposé un portefeuille ministériel, mais il refusa. « Choisis le chef des rebelles des régions à l’ouest, il saura te conseiller, et politiquement ce sera une décision correcte. », avait répondu Balou.

Maglou et Balou ne s’étaient jamais revu depuis toutes ces années, il aurait préféré la tenir dans ses bras comme au premier jour, au lieu de s’apitoyer sur lui-même devant sa sépulture.
Les genoux ankylosés, Balou s’agenouilla devant la tombe de Maglou. Il pleurait car il n’avait jamais oublié cette femme, elle lui manquait cruellement. Il aurait donné sa vie pour qu’elle voie tout le chemin accomplit depuis ces vingt dernières grandes tempêtes.
Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 00:00
Balou fait un rêve étrange, il vit sur une planète ressemblant à la terre, peuplée en majorité de femmes. Les hommes eux ne servent qu’à la reproduction et à retarder le vieillissement des femmes. Leur semence bue par les amazones leur permet également de rajeunir.

Le cri des mouettes le réveilla, il entendit le bruit du ressac des vagues sur la plage. L’air était déjà chaud en ce début de matinée, le soleil illuminait sa cellule monacale.
Balou tâta son bas ventre, il lâcha un gémissement. Ses bourses le faisaient encore souffrir. Son sexe irrité brûlait. Cette douleur le réveilla complètement. L’anesthésie perdait ses effets au bout d’un certain temps, comme à chaque fois qu’il se faisait traire.

Il avait lu dans une très vieille encyclopédie que sur une lointaine planète appelée « Terre », certains terriens élevaient des animaux « vaches » pour leur aspirer une substance nommée « lait ». Ce liquide était inclus dans leur alimentation. Balou n’avait pas tout compris, mais en tout cas il ne ressemblait pas à ces bêtes à cornes.

Les femmes dirigeaient le Monde « connu ». Le pays était une île verdoyante, faite de pâturages où les brebis gambadaient, de forêts denses peuplées d’animaux qu’il ne connaissait pas. L’énergie solaire permettait de faire fonctionner divers engins robots et machines, que les femmes utilisaient dans leur quotidien. Les hommes eux, ne servaient qu’à la reproduction de l’espèce. Si un bébé mâle naissait, il était immédiatement placé dans le « centre résidentiel » rempli d’hommes-nounou. Il passait son enfance dans un cocon douillet, axé principalement sur le sport, l’apprentissage de la Loi et le respect des femmes.

Balou ne connaissait pas sa mère; ni son père, encore moins l’histoire de son peuple. Les lointains souvenirs de son enfance le replongeaient dans un univers typiquement masculin.
Les anciens, n’étant plus capables de fournir la sainte semence, étaient cantonnés dans des rôles de serviteurs, de cuisiniers et d’ouvriers.
Lui-même était encore jeune, malgré les quarante grandes tempêtes qu’il avait vécues. Chaque déchaînement de l’océan marquait pour lui une étape supplémentaire dans sa vie.
Il espérait pouvoir encore longtemps convenir aux gouvernantes grâce à la pratique assidue des disciplines sportives, et de ses talents d’amant. Il brûlait d’un amour immodéré pour les femmes, il les respectait plus que de coutume. Certains hommes le considéraient comme un traître, dans la mesure où ils souhaitaient que les femmes redeviennent des servantes et des génitrices au service des hommes comme aux temps anciens avant l’apocalypse.
Balou n‘en avait cure. La Reine Zara était certes un peu tyrannique, mais elle aimait son peuple. Les hommes n’étaient nullement cloîtrés dans des ghettos, ils se devaient simplement de respecter la loi, comme Elle te respectait. Ensuite, les « récolteuses » apportaient plaisirs et jouissances à ceux qui se donnaient la peine de les apprécier.

Cette civilisation n’était pas idyllique pour tout le monde, mais rien n’est parfait. Ceux qui en pâtissaient étaient ceux-la même qui prônaient l’avilissement des femmes.

Allongé sur sa couche, Balou réfléchissait à tout cela. Il savait par quelques vieillards que le Monde n’avait pas toujours été ainsi. A une époque Femmes et Hommes vivaient en complète harmonie. Quel cataclysme avait provoqué ce changement ? La réponse le fuyait toujours.

Son statut de reproducteur lui imposait d’être en condition physique optimale. La journée qui s’annonçait serait remplie d’exercices physiques et de courses à pieds dans le stadium.

Hier soir la Reine Zara l’avait utilisé à nouveau. Les éjaculations répétées le fatiguaient de plus en plus souvent, mais il comprenait que son relatif confort de vie dépendait de ses performances.

Zara était une femme imposante. Blonde, à la peau halée par le soleil. Ses cheveux dorés tombaient en cascade sur ses larges épaules. Sa poitrine relativement petite en comparaison de sa stature, dominait un ventre plat et musclé. D’interminables cuisses puissantes terminaient le tableau.
Balou craignait le regard d’un vert intense de la Reine, cela signifiait si elle sondait ainsi un homme, que pour la nuit il devrait l’honorer, ou baisser dans l’échelle sociale, s’il ne réussissait pas cette épreuve. De plus, sa grande bouche pulpeuse, pouvait aimer et caresser mais aussi mordre.
Dans sa vie, Balou avait déjà dû subir à plusieurs reprises les assauts répétés de cette femme. A chaque fois, il en ressortait épuisé, vidé, anéanti. Généralement, Zara passait la nuit avec plusieurs hommes vigoureux qui lui donnaient du plaisir, mais qu’elle aussi faisait hurler par ses talents d’amoureuse. Des torrents de sève si précieuse coulaient sur sa peau. Elle en avalait la majorité pour que son organisme se régénère. Cette substance ralentissait le vieillissement des femmes.
Le laboratoire national essayait vainement de fabriquer une semence de synthèse, mais les résultats n’étaient pas probants du tout.

Cependant, le Sénat, bannissait le gaspillage de sève. De ce fait Zara recevait ses amants en toute discrétion.

La récolte de laitance quotidienne se déroulait dans un bâtiment à l’écart de la population. Une grande salle souterraine accueillait les hommes élus.
Des cris, des gémissements, des râles, des pleurs, emplissaient alors cet espace. Les employées officiant dans ce cercle restreint étaient triées sur le volet. Des gardiennes armées veillaient à ce qu’aucune femme ne dérobe l’inestimable liquide.

Balou se rappelait la première exploitation de son corps. Il avait 18 tempêtes à son actif, âge minimum pour effectuer le « don de soi » pour la pérennité nationale. Plus jeune, il était libre de sa vie sexuelle. Mais certaines amazones du Sénat désiraient voter une loi abaissant l’âge minimum requis pour la traite des mâles.

Le dépucelage de Balou avait eu lieu dans un laboratoire aseptisé. Avant d’accéder au saint des saints, chaque homme devait passer sous une douche purificatrice. Ensuite les gardiennes les guidaient vers les box adéquats, où elles les sanglaient.
L’homme était debout, nu, attaché et adossé à une paroi douce qui épousait parfaitement son dos.
Ainsi maintenu confortablement, les employées inoculaient avec une fine seringue un sérum à l’homme ce qui augmentait les capacités sexuelles, mais démultipliait également la taille du sexe et des bourses. Le corps mâle générait ainsi une quantité de semence largement supérieure à la moyenne.

Balou se remémorait cela. Il ne pouvait plus bouger, attaché à la paroi du box, il vit son employée vêtue d’une blouse d’infirmière, déposer un support devant son bas ventre. Cet engin ressemblait à un tube d’une cinquantaine de centimètre fait d’une matière ressemblant à du latex.
La jeune femme sourit à son étalon en prenant entre les doigts le sexe encore flasque de Balou. Elle venait de le « piquer ». Lui il était angoissé, ne sachant pas à quoi s’attendre vraiment. Ses aînés l’avaient pourtant prévenu. Au début, l’excitation est si forte qu’on se laisse griser par les orgasmes. Mais ensuite le plaisir peut se transformer en supplice si le mâle n’est pas en parfaite condition physique. Crampes, spasmes, peuvent devenir insupportables dans ces conditions.

L’employée était jeune, mais cela avait-il un sens ? Elle devait certainement boire la semence elle aussi.
Balou la détailla. Petite, brune, cheveux coiffés en nattes, une blouse trop grande pour elle. Elle paraissait nue en dessous. Les doigts fins le masturbaient doucement. « Que c’est bon se dit-il » en gémissant. Sa verge grossissait maintenant à vue d’œil, il sentait une intense chaleur irradier ses testicules.
L’employée ôta sa blouse et se retrouva nue devant Balou. Celui-ci avait les yeux écarquillés par la beauté féminine puisque c’était la première fois qu’il voyait un corps nu de femme. Ensuite, l’effroi le saisit aussi lorsqu’il vit sa monstrueuse érection surmontant des bourses volumineuses.

- Rassure toi, tout ira bien, dit la petite brune.

Elle avait maintenant stoppé sa caresse. Elle s’agenouilla devant lui, ses petites mains soupesèrent les testicules ovoïdes et admirablement formés, aussi gros qu’une belle tomate, gorgés de ce breuvage si important pour ses sœurs. La hampe également était devenue un vrai gourdin long, au diamètre extraordinaire, ressemblant à celui d’un étalon. Elle admirait son œuvre, de grosses veines bleues courraient sous la fine peau du tronc démesurément allongé.
A la vue du gland violacé qui la narguait, elle senti au creux de son ventre la moiteur du désir l’enflammer toute entière. Elle se passa la langue sur ses lèvres. Hélas il lui était interdit de sucer ce magnifique menhir, sous peine de retenue sur salaire.

Contrairement à ce que pensait Balou, elle était pucelle, jamais elle n’avait pu goûter à un sexe d’homme. Pourtant elle en voyait des centaines, mais c’était le prix à payer pour officier dans ce laboratoire.

Balou vit son accompagnatrice rapprocher le tube de latex devant le gland. Cet engin était relié par un tuyau à un appareil s’apparentant à un alambic, fait d’un enchevêtrement de durites en tout genre.
La jeune femme logea sa verge dans ce fourreau jusqu’à la garde. Immédiatement Balou ressenti une agréable douceur envelopper son sexe devenu monstrueux, comme celui d’un incube.
Il transpirait, ses bourses semblaient animées d’une vie propre, il sentait la semence vibrer. Le tube de latex s’anima aussi. Il bougeait, le serrait, le caressait. Il ferma les yeux, c’était sublime.

La petite brune se colla nue à ses côtés, elle lui massait le torse, elle embrassait sa poitrine velue, puis elle enfourna sa langue dans sa bouche, le violant buccalemant. Balou était aux anges.

- Tout doux, jeune homme. Je suis avec toi pour t’aider, susurra l’employée.

Balou perdait pied, il entendait des cris, des gémissements, mêlés de hurlements dans les box alentour. Où était-il ?

Le tube de latex continuait à le pomper, à le masser. C’était merveilleux. Il avait oublié son sexe hors norme. Une gigantesque vague de bonheur allait déferler bientôt en lui, il ressentait le plaisir croître dans le creux de ses reins.
La jeune femme brune quitta sa bouche. Elle s’agenouilla à nouveau devant lui, et elle prit entre ses petites mains, les bourses pleines de balou, qu’elle léchait doucement.

Balou haletait, il vit le tube de latex augmenter sa cadence de succion, le plaisir montait irrémédiablement dans son membre, la sève serait éjectée dans quelques secondes. Son regard croisa celui de son infirmière, agenouillée à ses pieds……

La jouissance suprême. Le jeune mâle se tordit, il explosa en hurlant comme le damné qu’il était. Encore et encore, il éjaculait dans cette bouche artificielle qui n’arrêtait pas de pomper son essence. Ses testicules se vidèrent longuement, son sexe éjaculait interminablement la récolte des femmes.
Balou eu l’impression qu’il allait être aspiré par cet infernal cylindre de plaisir. Jamais il n’avait connu une telle extase. Un bonheur inégalé le faisait vibrer, il frétillait, les tétons de sa poitrine étaient durcis et allongés comme jamais, ses jambes tremblaient, la sueur ruisselait sur son visage.

………………………..

- La moisson a été particulièrement bonne, tu es très prometteur jeune étalon, dit la femme en lui déposant un doux baiser sur le front.
- je n‘en peux plus, gémit Balou. Il était à bout de souffle, comme s’il avait couru un marathon.
- Ne t’inquiète pas, nous recommencerons dans quelques instants mon beau.

Balou la regarda ahurit, comment pouvait-il continuer ? Il comprenait, là en cet instant, les conseils et les craintes de ses aînés.

- Mais c’est impossible Madame cria-t-il.
- Je suis avec toi pour t’aider, rappelle-toi. Je veillerai personnellement à ce que tu remplisses ton quota, même si pour ce premier « jet » tu as été au-delà de mes espérances. Nous formons une équipe, nous réussirons ensemble.

Sur ces bonnes paroles, elle se pelotonna contre lui et dessouda le tube de sa verge. Celle-ci avait retrouvé sa taille normale, comme les bourses d’ailleurs. Puis elle actionna une manette.
Balou se retrouva à l’horizontal, couché sur la texture douce.

- Je m’appelle Maglou, dit l’infirmière

Elle se coucha près de lui, et l’embrassa passionnément. Leurs langues se chamaillèrent, leurs lèvres se soudèrent, tous deux haletaient.
Balou aurait aimé caresser cette femelle qui le rendait fou. Comme si elle avait lu dans ses pensées, Maglou répondit :

- Je ne peux pas te détacher, mais je vais permettre à ta bouche de sucer mon orchidée luisante de désir pour toi.

Elle s’agenouilla au-dessus du visage de Balou. Lentement elle approcha sa brune toison des lèvres de son protégé. Tête-bêche, ils se retrouvèrent. Maglou avait devant ses yeux le sexe à nouveau dressé, mais elle ne pouvait pas le prendre en bouche sous peine de contamination. « Ah ces satanées procédures Qualité », se dit-elle.
Ses doigts masturbaient doucement la verge de Balou, qui lui avait inséré en elle sa langue chaude. Maglou gémissait sous la caresse buccale de cet homme. Il était puceau certes, mais il semblait avoir été bien formé par ses maîtres. Il lui titilla à merveille son bouton avec sa bouche vorace, il savait y faire celui-la.
Le plaisir n’allait pas tarder. Elle repensait à ce menhir qu’elle avait vu, à la taille impressionnante des testicules, aux crispations du visage de l’homme pendant les orgasmes répétitifs. Ces visions la firent jouir violemment au-dessus de Balou. Elle lâcha à son tour un feulement qui se mêlait à ceux des autres box. Ses collègues féminines devaient être dans la même position qu’elle................. En principe. Pensa-t-elle en souriant.

Balou bu à pleine bouche le jus d’amour de sa récolteuse. Ses cris de bonheur chantaient à ses oreilles, quelle joie d’écouter une femme jouir. Décidément cette journée était grandiose.
Maglou stoppa sa branlette de crainte d’une éjaculation non programmée. Elle savait que certains hommes se masturbaient en cachette ou copulaient ensemble dans la joie de Sodome, mais ce n’était pas leur intérêt car ils devaient conserver leur essence vitale, s’ils souhaitaient rester dans la caste des reproducteurs.

La directrice du Centre vint assister à la seconde séance de don pour Balou.

- Bonjour jeune homme, je suis Doris, la responsable de ce lieu de plaisir. J’espère que vous appréciez nos installations et nos hôtesses.
- Oui Madame, Maglou prend très bien soin de moi, elle est adorable.
- Je n’en doute pas. Elle m’a prévenu que votre premier jet vous permet à tous les deux d’approcher le quota de la récolte. C’est assez rare et je tenais à vous féliciter pour cette belle performance, surtout pour un puceau. Logiquement il faut 3 ou quatre traites pour approcher seulement les 100%. Vous allez au-delà c’est bien, le Sénat saura vous remercier.

Balou, nu, debout devant Doris, se mit à s’interroger sur les paroles qu’elle venait de prononcer. Il laissa son regard courir sur cette femme-manager. Sa peau brune luisait. Ses cheveux noirs tirés en arrière en chignon, dévoilaient un visage bien dessiné, des lèvres rouge sang rehaussaient l’ensemble. Elle devait avoir environ 30 cycles de plus que lui, songea-t-il.

Maglou se tenait en retrait. Elle vit sa patronne tendre la main vers la hampe déjà dressée. Les doigts aux ongles rouges s’enroulèrent autour du tronc, elle masturbait délicatement Balou qui avait fermé les yeux de bonheur.

- J’ai presque 200 grandes tempêtes à mon actif, jeune Balou. Vous voyez le bien que nous fait votre nectar. ?

Immédiatement il rouvrit ses yeux, il battait des paupières. « Incroyable » se dit-il.

- Laissons la place à Maglou, voulez-vous ?

Elle le piqua à nouveau.

La seconde récolte se déroula à merveille. Maglou aida presque amoureusement son équipier à accéder à la jouissance sans se dépenser trop rapidement. Les attentions qu’elle lui portait évitaient également des douleurs dues à un excès de succion de la pompe. Il fallait que les deux partenaires soient en parfaite harmonie, ils devaient communiquer et ne pas se laisser griser.

Maglou s’était caressée devant Balou, elle lui prouvait ainsi sa confiance. L’orgasme les avait emporté tous les deux. Le tube de latex était devenu le sexe de Maglou.

Doris avait assisté en connaisseuse à ce deuxième épisode. Elle les avait félicité pour leur harmonie sexuelle, de plus, cette moisson dépassait largement l’objectif du jour.
- Bravo mes chéris, vous formez un excellent tandem. En fait c’est une parfaite idée d’associer une pucelle et un puceau pour cet exercice Ô combien millimétré.

Maglou et Balou se dévisagèrent, comme deux chenapans pris en faute. Ils souriaient, heureux d’être ensemble.

Doris actionna la manette. Balou se retrouva allongé.

- Ma fille, dit-elle à Maglou, je t’autorise à faire l’amour avec ce garçon.

Elle délia les sangles de Balou rapidement.

- Je vous laisse jusqu’à ce que ce sablier se soit écoulé. Je me tiendrai à l’extérieur, bon amusement mes tourtereaux.

Maglou se jeta immédiatement sur Balou, elle roula sur lui.

- Prends moi vite mon chéri, vite je te veux en moi, gémit la jeune femme.
- Je suis vidé ma belle, je n’arrive plus à bander, dit Balou dépité.

Maglou voyait avec angoisse le sable s’égrainer dans la partie inférieure du sablier.

- Laisse moi faire dit-elle

Elle plongea entre les cuisses du garçon et se mit en devoir d’exécuter une fellation comme le lui avait apprit ses professeurs.

A suivre
Lundi 24 octobre 1 24 /10 /Oct 00:00
L’automne arrivait, je sentais le froid frôler ma peau et des frissons la parcourir. J’étais dans le métro et repensait à cette journée au bureau où les choses ont pris une tournure bien particulière.  Je travaille dans une société de finance depuis environ 3 mois, je fais partie des petites nouvelles embauchées, je dois d’ailleurs du haut de mes 26 ans remonter la moyenne d’âge.
J’ai intégré le département contrôle de gestion et mon chef  Marc est vraiment … très intéressant. Dès le départ, entre nous il y a eu quelques choses … des regards coquins, des gestes lorsque je lui donnais un dossier par exemple il me caressait la main. Si j’avais besoin d’un dossier aux archives il m’accompagnait et aimait (moi aussi d’ailleurs) se coller à moi sous prétexte évidement de prendre un dossier. Je sentais son sexe dur frôler mes fesses et ce n’était pas pour me déplaire.

Aujourd’hui, c’est le passage à l’acte … un geste de trop et notre désir c’est enflammer ! Ce matin j’avais opté pour une jupe noire, des chaussures à talons, un chemisier rose, et des dessous noirs en dentelle.

Rien n’était prévu pourtant mais heureusement je suis toujours très prévoyante. Tout d’abord, ce matin quand je suis arrivée il m’a serré la main de manière différente comme s’il tenait à me dire c’est aujourd’hui nous deux, je me suis tout de suite sentie toute drôle.
Puis il m’a convoqué dans son bureau (juste une fenêtre donnant sur l’extérieur), et là il m’a dit qu’il voulait me parler d’un tableau, des chiffres et il s’est assis près de moi autour de la table de travail, il avait posé sa main sur ma cuisse et la caressait (tout en m’expliquant je ne sais plus trop quoi). Je sentais mes joues devenir rouge, il le remarqua et s’avanca pour un baiser langoureux, sa main caressant toujours ma cuisse ….
Je le stoppais, j’avais encore envie de jouer alors je pris le dossier et me retira dans mon bureau, un désir en bas du ventre bien présent…
Le reste de la journée passa …
Il était 19h00 et tout le monde était partis, il devait rester à l’étage Marc, la femme de ménage … et moi. Je me rendis dans la salle des photocopieurs, quand la lumière s’éteignit tout à coup, la porte se ferma seule la lumière verte éclairait la pièce. Je sentis le souffle de Marc sur mon coup, ses mains plaquées sur ma poitrine et son sexe déjà dur contre mes fesses.
Là j’avais vraiment envie, je me retourna et l’embrassa fougueusement. Il déboutonna mon chemisier et caressa ma poitrine de sa langue. Sa main glissa le long de ma cuisse et frotta doucement mon sexe puis plus rapidement ce qui m’exista énormément. Je commençais à déboutonner sa chemise et lui léchait l’oreille le cou…

Je pris les devants en lui retirant son pantalon, et son boxer j’avais envie de le caresser, de sentir son sexe gonflé entre mes mains. Je l’ai plaqué contre le photocopieur et commença à descendre ma bouche, ma langue vers son sexe. D’abord, je lui léchais le sexe dans toute la longueur, puis titillait son gland du bout de ma langue afin de le goûter … il n’en pouvait plus d’autant que je le masturbait en même temps. Il n’en pouvait plus, il voulait plus alors il me plaqua son sexe dans ma bouche et commença un va et vient. A présent je le suçais et j’adorais ça !!! hummm quel régal ! Je le regardais et j’aimais voir son visage sous les effets de ma bouche, de ma langue…
Puis il s’arrêta me souleva et me posa sur le photocopieur et là il mit sa langue sur mon sexe et commença à le caressa de manière très vive j’étais à lui !!! Je m’offrais complètement à sa bouche sa langue qu’il faisait rentrer dans mon sexe…. Je me suis mise à jouir et à  plaquer vivement son visage sur mon sexe. Il se releva et me caressa avec son gland, le faisant sortir puis rentrer … j’étais complètement folle et excitée !!
Puis doucement il rentra et effectua un va et vient de plus en plus rapide ! Il ne manquait pas de m’embrasser, limite de violer ma bouche avec sa langue tant le désir qu’il l’animait était puissant. Le va et vient était de plus en plus fort, passionner féroce !!! Il décida de s’arrêter, il voulait juste retarder et goûter une autre pose …
Il me caressa de ses doigts et me retourna en me demandant de bien me cambrer et là il me prit en levrette … ses mains caler sur mes hanches il me fourra de plus belle et de plus en plus excitée !
J’ai jouis !! et lui il aspergea mes fesses de son sperme …. Je pense qu’on aura d’autres occasions pour recommencer cette « réunion de travail » !

Je me souviendrais de cette journée de travail comme d’une belle journée payer à baiser !
Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 00:00

Balou se réveilla ce samedi matin avec un goût étrange dans la bouche, une sensation de gueule de bois, alors qu’il n’avait pas picolé.
Il se souvenait de la nuit de débauche homosexuelle qui l’avait entraîné vers un abîme sans fond.
Comment avait-il pu céder aux envies de Marie aussi facilement ?
Il réfléchissait à cette situation ubuesque, en se disant que son amie irlandaise avait un sens développé pour des pratiques sexuelles hors normes, du moins à ses yeux.
Celle-ci dormait allongée à ses côtés. Ils avaient longuement discuté après le départ de Marc. Balou avait fait comprendre à Marie qu’il ne souhaitait plus renouveler ce type d’expérience. Elle lui avait rétorqué qu’une fois un fantasme réalisé, l’humain généralement se sent coupable d’avoir transgressé les règles, règles qu’on se crée soi-même évidemment.

Balou ne pouvait nier le plaisir que lui avaient procuré les trois bouches anonymes et le corps à corps avec Marc. Mais maintenant avec du recul il trouvait ces orgasmes fades, comme un régime sans sel.

Il se retourna vers Marie qui dormait toujours. Nue sous le drap fin, seules ses épaules blanches aux taches de rousseurs dépassaient. Il se pencha, et déposa un léger baiser sur la peau soyeuse.

Balou se leva, se doucha, bu un café noir en fumant une cigarette. Il se demandait si sa vie ne prenait pas un tournant dangereux en acceptant les frasques sexuelles de Marie.

Marie se réveilla, elle tâtonna dans le lit à la recherche de son homme. Du côté de Balou les draps étaient froids.
Elle s’étira langoureusement, elle aurait bien voulu que son compagnon soit avec elle en cet instant. Elle repensait à la nuit dernière où elle avait admiré Marc se faisant prendre par Balou. Ces pensées l’excitaient, elle sentait son orchidée rousse qui s’humidifiait.

Marie repoussa les draps. Couchée sur le dos, elle se caressait le ventre. Ses cuisses s’écartèrent doucement, ses doigts frôlaient l’entrecuisse puis remontaient progressivement vers son bouton déjà luisant. Elle jouait avec lui tout en insérant un puis deux doigts en son ventre.
Elle pensait à ces deux hommes qui s’étaient livrés aux plaisirs de Sodome devant ses yeux. Marie aurait bien voulu prendre en bouche la verge de Marc, caresser ses bourses, et sa peau rasée. Elle pensait à ce plaisir intense, le gland de Marc entre ses lèvres et lui en train de se faire sodomiser par Balou.
Elle se passa la langue sur ses lèvres, et accéléra les vas et viens de ses doigts. Marie gémissait seule dans la chambre.
Maintenant elle avait la hampe de Marc au fond de la gorge. Marie voyait son boss blond gémir sous sa caresse buccale. Elle tenait aux creux de ses mains les lourdes bourses revêtues de quelques blonds poils.

Marie se masturbait avec frénésie. Sucer son patron gay était de ses grands fantasmes. Le faire crier de bonheur, malgré le fait qu’il soit homosexuel, la mettait dans tous ses états.

Le plaisir montait, le feu brûlait. Ses doigts étaient humides. Soudain, elle se redressa, se positionna à quatre pattes, offrant sa croupe à la porte de la chambre.
Une main caressait sa luisante fente, l’autre introduisit 2 doigts dans son pertuis. Ainsi pénétrée par les deux côtés, elle s’imagina prise par Balou et Marc.

Elle sursauta. Une bouche venait de déposer un baiser sur ses fesses blanches parsemées de taches de rousseur. Ensuite deux mains agrippèrent ses hanches, puis elle sentit le gland d’une verge cogner contre son ventre.

- Ah oui, oui défonce-moi, gémit Marie.

Balou se tenait derrière elle. Il inséra un doigt explorateur entre les fesses de sa compagne. Simultanément il fit pénétrer sa hampe dans le sillon mielleux.

Marie cria d’abord de surprise. Ses pensées se télescopaient, fantasme et réalité se mêlaient. Mais c’était si bon que Marc soit venu juste à cet instant. Elle le sentait bien en elle, de plus son doigt la sodomisait gentiment. Elle poussa sa croupe pour venir davantage à sa rencontre. La verge l’emplissait, elle allait et venait de plus en plus vite.

Ses pensées divaguèrent vers Marc son Chef homo, elle le voyait qui la prenait à grands coups. Oui, c’était lui qui coulissait en son ventre, là en ce moment. « Quelle divine pensée », se dit-elle, en jouissant sous les premières vagues de l’orgasme.

- Encore, encore hurla-t-elle.

Balou souriait, il était ravi de cet intermède matinal. Il donna plusieurs claques sur les fesses blanches de Marie en gémissant « oui ma belle, Marc va te défoncer »

A ces mots, Marie lâcha un rugissement de lionne. Son corps se crispa, son ventre explosa dans une multitude d’orgasmes.
Balou sentit les muscles intimes de sa compagne se refermer sur sa hampe comme pour le happer. Il ne pu se retenir plus longtemps, l’éjaculation vint lui ouvrir la porte du bonheur.

Plus tard, allongés côte à côte, tous deux devisaient.

- Je t’ai entendu appeler « Marc » tout à l’heure lorsque tu te masturbais. Tu fantasmes sur lui ? Interrogea Balou.

Marie se mordit la lèvre inférieure. « Mince j’ai gaffé » se dit-elle.

- Franchement, la nuit dernière, vous voir ensemble tous les deux, m’a grandement excité. Alors oui j’ai fantasmé sur lui, v’là t’es content !

Balou la regarda intensément dans les yeux et répondit :

- C’est ton droit, mais notre relation n’est-elle pas en train de prendre l’eau ?

Marie se leva prestement, « nous en parlerons après ma douche, devant un bon café noir. Tu le prépares mon Chéri ? »

« Cette jeune femme rousse est sacrément particulière » pensa Balou en se dirigeant vers la cuisine.


Après l’épisode d’Angela, Marie avait emménagé chez Balou (cf. la série « la dolce vita »). Elle avait relooké l’appartement, redonné une âme à ce logement. Puis elle avait décroché un job dans un service de communication dirigé par Marc.
Marie et Balou filaient le parfait amour. Cependant les caprices sexuels de sa compagne commençaient à agacer Balou. Non pas qu’il fut prude ou coincé, mais la multitude de partenaires noctambules dont Marie avait envie n’était pas compatible avec ses aspirations.

Ils discutèrent de ce sujet une bonne partie de la matinée.

- Je t’avais prévenu Balou, ma sexualité est souvent débridée. Tu as voulu vivre avec moi, donc il faut que tu en assumes les conséquences, répéta plusieurs fois Marie.

Balou était peiné. Evidemment il savait tout cela, mais il pensait qu’avec le temps et l’amour qu’il portait à Marie, ses « écarts » s’amenuiseraient.

- Allez arrête de faire ta tête des mauvais jours, je suis ainsi faite, tu n’y changeras rien. Si tu veux je me barre, c’est ce que tu veux ?

Balou ne pipa mot.

Marie continua sur sa lancée :
- Nous nous entendons à merveille au lit, tu es un amant formidable, et je t’aime. J’ai envie de vivre avec toi. Je désire te faire connaître d’autres plaisirs et les partager avec l’homme de ma vie, donc toi.
- D’accord, mais comprends-moi. Je suis parfois déstabilisé par tes excès, même si j’y prends du plaisir, rétorqua Balou.
- Ok my Darling, dit-elle avec son petit accent so british qui faisait chaque fois craquer Balou.

Marie se leva de sa chaise pour s’agenouiller aux pieds de Balou.

- Pardon mon chéri de t’avoir chagriné. J’ai envie de me faire pardonner mon chou.

D’autorité elle déboutonna le pantalon, qu’elle jeta dans un coin. Sa blanche main caressait la bosse qui se formait sous l’étoffe du caleçon.
Balou haletait. « Elle me rend dingue, mais j’aime ». Il ferma les yeux lorsqu’il senti la chaude bouche de Marie l’avaler progressivement.

Le silence dans la cuisine. Seuls les bruits de succion d’une voluptueuse jeune femme rousse emplissaient la pièce. Quelques soupirs de ci de là accompagnaient la belle fellatrice dans son œuvre.

Marie avait les lèvres distendues par l’imposant diamètre de cette verge qu’elle aimait. Ses rouges lèvres pulpeuses étaient soudées au tronc, elle pompait.
Sa longue langue rose s’enroulait autour du membre dressé, pour ensuite lécher délicatement les bourses poilues et le doux gland couleur framboise.

Marie adorait sucer Balou. Elle aimait plus que tout l’emporter au bord du précipice du bonheur en ralentissant sa caresse. Elle reprenait également son souffle de cette manière. Puis, elle masturbait le menhir entre ses soyeux cheveux roux. Balou raffolait de cet attouchement.
Lorsqu’elle sentait les soubresauts annonciateurs de l’éjaculation, elle stoppait tout contact, attendant que la tension baisse d’un palier. Puis elle reprenait sa succion pour emmener Balou dans un cran supplémentaire vers la limite ultime avant l’orgasme. C’était un exercice qu’elle maîtrisait parfaitement.
Palier après palier, elle guidait son compagnon vers la jouissance suprême. Langue, bouche, et doigts devenaient alors insupportables, tant le membre était tendu à l’extrême. Tout le plaisir se concentrait dans cette hampe, la sève se mettait à bouillir dans les bourses. Le plaisir montait crescendo du creux des reins de Balou pour aboutir dans sa verge.

Ces allers et venues duraient depuis un long moment déjà. Balou voyait sa verge humide de salive, apparaître puis disparaître entre les lèvres de son amante. Il avait été plusieurs fois à deux doigts de jouir, mais à chaque fois Marie réussissait grâce à son talent, à contenir le bonheur libérateur.

La porte de la cuisine grinça. Du coin de l’œil, Marie vit la blonde tignasse de Magali dans l’embrasure de la porte. Balou n’avait rien remarqué, il haletait comme un damné.

- Ferme les yeux mon chéri, demanda Marie.
- Je n’en peux plus, ne me laisse pas dans cet état, gémit-il.
- promis oui, je vais te faire une surprise.

Balou céda une nouvelle fois à ses caprices.

Magali voyait Balou assis sur une chaise dans la cuisine, Marie entre ses cuisses le fellationnait amoureusement. Elle arrivait comme un cheveu sur la soupe, certes, mais ce n’était pas de sa faute si la sonnette de l’entrée ne fonctionnait pas. …..
Elle savait que Marie avait détecté sa présence, alors que Balou ahanait sur son siège sexe fièrement érigé.

- Garde les yeux fermés, je te dirai quand les ouvrir, lui intima Marie.

Balou attendait fébrilement la suite. Cette fellation lui avait procuré mille plaisirs, mais il savait pertinemment que l’orgasme qui allait suivre, le ferait une nouvelle fois décoller vers le paradis.
Les yeux clos, il sentit la bouche reprendre sa caresse. Celle-ci lui semblait timide au premier abord.

Magali suçait enfin son Balou chéri. Cela faisait une éternité qu’elle n’y avait plus goûtée. Elle savourait ce moment de tendre complicité.

Soudain, Balou compris que ce n’était plus Marie qui le caressait. Il sentit que des mains se posaient sur ses paupières.

- Ta blonde nymphe va te faire jouir, murmura Marie dans son cou, avant de l’embrasser tendrement.

Il gémit de plus belle.

- Ouvre les yeux.

Magali, nue, agenouillée aux pieds de son aîné, vit Balou ouvrir les paupières en gémissant. Il la regardait tendrement, comme il l’avait si gentiment fait par le passé. Son regard était rempli de tendresse et d’amour. Il lui souriait béatement.

Magali s’activa sur le membre comme elle avait appris à le faire à ses jeunes amants de la fac. Marie également lui avait montré la voie en l’observant tout à l’heure.

Balou vit Marie rejoindre Magali à ses pieds. Toutes deux maintenant se relayaient alternativement. Deux femmes nues devant lui, « mon dieu je rêve » pensa-t-il.

Un cri.

Le hurlement ravagea la petite cuisine. Une chaise se renversa. Deux déesses tentaient de boire la semence de l’homme qui jouissait ardemment, les yeux injectés de sang. Elles pompaient le dard qui crachait sa lave blanche, des jets s’écrasèrent dans leur cheveux, sur leur menton, et leurs poitrines.

Magali fut la première à recueillir dans sa bouche la semence de Balou. Lui, il poussait des hurlements de dément, jamais elle ne l’avait vu dans un tel état. Marie lui prêta main forte et pris sa place pendant qu’elle branlait la hampe.

…………………………………………….


Balou reprit ses esprits. La cuisine vidée de sexe lui semblait bien calme.
Il tendit l’oreille. De la chambre à coucher lui parvenait des râles étouffés……

Il se rajusta, et à pattes de velours se dirigea vers le fond de l’appartement.

Têtes bêches, Magali et Marie étaient imbriquées. Coups de langues, doigtés, caresses, gémissements, agrémentaient le spectacle. Les jeunes femmes s’en donnaient à cœur joie.

Balou était stupéfié de les voir ainsi, ses deux amies prenaient un plaisir certain dans leurs ébats, mêlés d’amour et de sensualité.

Magali jouis la première, sous la bouche de Marie. Elle sentit la langue de sa rousse amante bien en elle, de plus Marie jouait admirablement des doigts sur son bouton d’amour.
Marie était couché sur elle, sa chevelure bien ancrée entre ses cuisses. Le plaisir fut à la fois violent et rapide, enfin elle redécouvrait les joies de Sapho.

Balou admirait sa blonde protégée de 19 ans, jouir sous les caresses de sa compagne. Il lui semblait que les seins de Magali étaient dressés comme jamais ils ne l’avaient été, en effet les bouts roses tendues, dardaient comme un appel.

Marie se redressa la première en se léchant les lèvres avec sa langue, telle une lionne dégustant sa proie.


- Non reste !!! Supplia Magali
- Je reviens ma poulette.

Marie vit Balou, elle se releva. Comme une divine apparition, elle lui prit la main et le guida vers la couche où Magali reposait.

Magali toute émoustillée par la venue de son Balounet chéri, le regardait venir à elle avec envie. Marie le guidait gentiment.

Vendredi 14 octobre 5 14 /10 /Oct 00:00
Marie s’éclatait dans son nouveau job. Le service de communication était dirigé par un homme d’une extrême douceur. Enfin elle avait son CDI, elle était heureuse et avait sauté au cou de son boss dès qu’il lui avait appris la nouvelle.  Sa vie avec Balou continuait son petit bonhomme de chemin. Ils ne vivaient pas d’amour et d’eau fraîche mais presque. Ce garçon était vraiment surprenant, il avait des appétits sexuels considérables, ce qui la comblait évidemment. Il lui répétait sans cesse qu’elle était une bombe et que c’était de sa faute à elle s’il se comportait ainsi.

Marie avait également sondé discrètement Magali concernant sa relation avec Balou. Elle savait que son ami n’avait plus eu de contact charnel avec elle depuis la soirée chez Mireille et André.
Elles s’étaient rencontrées toutes les deux dans le studio de Magali pour aborder le sujet de ce cher Balou. De plus, Marie trouvait cette jeune femme à son goût.
De cette discussion entre filles, il en était ressortit que Magali aimait Balou et qu’elle brûlait aussi de désir pour lui.

Assise au bureau devant son écran, Marie laissait ses pensées vagabonder vers cette poupée blonde. Elle se rappelait bien leur rencontre car au fil du dialogue Magali avait lâché :

- Marie tu sais j’aime Balou, j’ai toujours envie de lui. C’est lui qui m’a initié et appris ce que je sais de l’amour et du sexe. Je ne veux pas briser votre ménage mais je sais que Balou m’aime également très fortement.
- Bien sûr ma chère, il me l’a avoué. En fait il nous aime toutes les deux. Et le lien qui vous uni est si ancien, il y a un énorme vécu entre vous, et là je ne parle pas de sexe mais d’affection d’une gamine pour un ami de ses parents.

Magali lui déclara ensuite qu’elle voyait Jérôme le grand basketteur blond, qu’ils couchaient ensemble, mais elle ne savait pas vraiment si elle était amoureuse de lui. En fait Balou lui avait montré la voie en la libérant sexuellement, et naturellement elle se lâchait avec Jérôme.

Elles se regardaient toutes les deux en souriant, assises sagement sur le canapé. Magali portait une minijupe bariolée assortie à un petit top moulant qui laissait voir son ventre plat. Ses cuisses fuselées par la pratique assidue de la natation, attiraient le regard de Marie.

La tenue de Marie était plus stricte puisqu’elle venait de quitter son bureau. Elle était habillée d’un sage tailleur bleue marine. Jambes croisées, elle fixait son amie avec envie. Sa lourde poitrine dardait à travers son chemisier blanc. Ses roux cheveux bouclés reposaient en cascade sur ses épaules.
Elle voyait bien que Magali l’observait avec attention.

Le silence, plus aucune parole, seul le bruit de la circulation emplissait la pièce. Fenêtres ouvertes, les rideaux voltigeaient au gré d’un petit vent.

Deux femmes se faisaient face.

Marie se rappela cet instant magique où aucune parole n’était nécessaire. Elle décroisa ces jambes, se rapprocha de Magali, puis posa sa main sur son genou. Ses doigts couraient sur la douce peau, puis remontèrent lentement sur la cuisse. Marie remarqua que la respiration de Magali s’accélérait.
Leurs visages se rapprochèrent. Marie sentait le souffle chaud de la poupée blonde sur ses joues. Elle attira Magali vers elle, leurs lèvres se frôlaient encore.

Elles s’embrassaient maintenant, leurs langues se mêlèrent. Marie se délecta de cette bouche, elle la dévorait et la découvrait.
Elle sentait vibrer contre elle le corps de Magali. Leurs mains se cherchaient, s’appréciaient, se jaugeaient. Marie laissa ses doigts avancer vers la délicieuse moiteur de l’entrecuisse. Magali gémit sous cet attouchement.

- Avec ta bouche, s’il te plaît, geignit-elle.

Marie la déshabilla en un clin d’œil. Sa minijupe se retrouva jetée au bout de la pièce.
La bouche pulpeuse se posa sur le ventre plat, une langue rose et pointue courait sur la chaude peau. Des mains expertes se débarrassèrent du string, Marie s’agenouilla entre les cuisses de Magali, enfin elle goûtait à ce petit minou blond.
Elle écoutait son amie gémir sous sa langue, elle embrassait son pistil et ses petites lèvres. L’orchidée s’ouvrait à sa bouche et parfumait ses narines.

Marie rêvassait toujours devant son écran. Elle se souvenait que Magali avait joui discrètement en appuyant sa rousse chevelure sur le centre de son plaisir.
Ensuite, Marie s’était redressée et elle lui avait donné un baiser passionné où se mêlait son jus d’amour.
Magali avait à son tour voulu lui prodiguer des caresses, mais Marie s’était dérobée, elle devait rejoindre Balou.
Les jeunes femmes devaient se revoir prochainement, elles auraient toute l’après-midi à elles.

Le boss de Marie déboula dans son bureau, ses pensées érotiques se volatilisèrent instantanément. Cet homme était d’une infinie douceur, grand, blond, mince, cheveux coupés courts, la trentaine, il s’appelait Marc. Marie avait vite décelé qu’il était homo. Cela faisait maintenant 3 mois qu’ils travaillaient ensemble, Marie était devenue son assistante.

- Il est mignon ton ami, dit Marc en voyant la photo de Balou posée sur le bureau de Marie.
- Oui dit-il elle en souriant, c’est un bel homme charmant. Parfois un peu chiant mais tellement attachant.
- Tu as de la chance d’avoir mis le grappin sur un tel oiseau.
- Je sais bien que tu es homo Marc, mais tu sais des beaux mecs il y en a partout, il faut juste les trouver.

Marie savait Marc très seul. Il ne faisait que des rencontres éphémères, alors que lui était un grand romantique. Ils en avaient déjà longuement discuté à la pause de midi, et Marie essayait de le rassurer sur son état quelquefois tristounet.

- Si tu veux ce soir on pourrait prendre un verre ensemble et tu ferais la connaissance de Balou, minauda-t-elle.
- Ok c’est sympa, rassure-toi je ne vais pas te le piquer, ton cher et tendre.

Marie et Marc arrivèrent en avance chez Freddy, le patron de l’Irish Pub. Balou devaient les rejoindre un peu plus tard.

La pinte de Marc était déjà bien entamée lorsqu’il vit la porte du bar s’ouvrir. Il reposa instantanément son verre qu’il allait porter à sa bouche.
Un grand brun, cheveux court, portant un costume cravate anthracite, pénétra dans le local enfumé et se glissa jusqu’à eux. Marc dévorait Balou des yeux. Marie le remarqua et lui glissa lorsque Balou fila aux toilettes :

- Il n’est pas à vendre mon cher.
- Sacrebleu, qu’il est beau ton homme, je me damnerais pour lui, renchérit Marc.

Seul aux toilettes, Balou pensa au Boss de Marie qui n’arrêtait pas de le reluquer. Sa main avait frôlé la sienne lorsqu’il avait tenté d’attraper des olives. Une décharge électrique avait parcouru le corps de Balou. Bon sang se dit-il, ce gars là a la douceur d’une femme. Il l’avait lui aussi observé en coin et avait été captivé par la finesse de ses mains, par le bleu azur de ses yeux.
Il retourna au comptoir et avala son verre d’un trait.

Marc voulait les emmener dans un club gay, mais Balou n’était pas très chaud.

- Ne t’inquiète pas Balounet, on ne va pas te croquer, dit-il d’un air moqueur.

Marie éclata de rire et tous deux suivirent Marc. Une boite comme une autre en fait, pensa Balou. Hommes et femmes ensembles. Il ne pensait trouver que des mâles en rut.

Marc connaissait l’endroit comme sa poche. Balou le voyait papillonner de groupes en groupes. Marie et lui furent présentés à plusieurs personnes, notamment des hommes.

Balou se sentait mal à l’aise. Observé qu’il était, de plus les regards masculins le déshabillaient, des mains frôlaient ses fesses. Bref il ressemblait à un puceau débarquant dans un bordel. Marie s’en amusait et riait à gorge déployée en voyant sa mine renfrognée.

- A l’étage c’est le club très privé, où les gens passent à l’acte, confia Marc.
- J’aimerais voir, tu pourrais nous faire rentrer ? Souffla Marie.
- D’accord, je veillerai sur Balou, on fera semblant d’être ensemble tous les deux. Ainsi nous ne serons pas trop importunés, d’accord Monsieur Balou ? Interrogea Marc.
- Ai-je vraiment le choix.

La pénombre les enveloppait, agrémentée par des chuchotements et de petits cris étouffés. Marc avait d’autorité pris la main virile de Balou dans la sienne pour faire savoir à l’assistance qu’ils formaient un couple amoureux.
Il y avait de petits salons et des renfoncements où les couples, trio ou autres se livraient à de tendres étreintes, ou alors à de torrides corps à corps.

- Regarde, souffla Marie

Balou tourna la tête et vit un quatuor qui se déchaînait sans prêter aucunement attention à eux.
Un homme jeune avec une queue de cheval blonde, suçait agenouillé, un garçon ventripotent. Tout le monde était nu. Il fellationnait la verge sans user des mains, simplement avec sa bouche, ses doigts étant occupés à masturber les deux autres protagonistes.

- Hummm c’est beau de voir des hommes se donner du plaisir. J’adore. Confia Marie.

Balou la regarda d’un œil interrogateur.

- J’aimerais proposer un jeu les garçons, déclara Marie. Elle regarda Balou droit dans les yeux et continua :

- Il faudrait bander les yeux de Balou pour qu’il devine qui le sucerait, moi ou un homme Qu’en dis-tu mon chéri ?

Balou ne dit rien.

Un ange passa.

- Il m’a avoué un jour que cette situation était son plus grand fantasme, dit Marie.

Marc était sidéré. Il souriait. Balou vit qu’il se léchait déjà les lèvres. Il ferma les yeux et se laissa emporter vers une terre vierge et inconnue pour lui. La bouche le suçait divinement, les mains caressaient ses cuisses velues. Couché nu sur un moelleux tapis, les yeux bandés, il se laissait faire. Mairie avait gentiment ligoté ses poignets avec une écharpe de soie.
Il entendait les bruits de succion, des chuchotements alentours, il haletait. Balou savait qu’il était entré dans une nouvelle dimension de débauche où Marie l’entraînait gentiment.
Soudain il sut qu’un homme le pompait. Le frôlement d’une joue avec une barbe naissante l’alerta. Ses doigts griffèrent la trame du tapis, il senti sa hampe être engloutie au fond de la gorge profonde.
La bouche ne bougeait plus.

- Tu aimes mon chéri, n’est-ce pas, susurra Marie à son oreille.
- Ouiiiiiiiiiiii hurla-t-il, c’est bon ! Oh que c’est bon.

La bouche se remit en mouvement. Une langue ensuite lui titilla le gland avant de lécher le tronc et de s’enrouler autour.
Balou gémit car une autre bouche venait de se poser sur sa poitrine velue, puis une autre déposa ses lèvres sur les siennes. Une langue impérieuse fouilla sa bouche. Il reçu un baiser passionné auquel il répondu lui aussi.

Le cerveau de Balou explosa. Il avait disjoncté, caressé par ces trois bouches en même temps, il tombait dans un précipice de plaisir insoupçonné.

Le plaisir bouillonnait au creux de ses reins, la jouissance suprême était proche. Les trois bouches continuaient leur œuvre. L’une le suçait, la seconde mordillait ses tétons, la troisième embrassait son cou et son visage.

- Je vais jouir cria-t-il.
- Vas-y mon Balounet, donne ta sève à ces trois garçons, glissa Marie

S’en était trop pour lui. Se savoir embrassé par trois mecs. Il éjacula violemment dans la bouche soudée à son ventre. Il hurla de tout son soûl en se vidant interminablement. Il gémit ensuite lorsque les bouches le lavèrent et le léchèrent longuement et lentement. Son gland était si sensible maintenant que le moindre coup de langue lui arrachait un cri mêlé de douleur et de plaisir.

Enfin les bouches le quittèrent. Mais Balou était toujours allongé nu, les mains délicieusement emprisonnées dans l’écharpe de soie, et les yeux toujours bandés.

Une main chaude se posa sur son sexe ramolli. Il tressaillit à ce contact et haleta. Les doigts s’enroulèrent très doucement autours du membre pour débuter une lente masturbation.
Balou sentait sa vigueur revenir progressivement.

- C’est Marc qui te branle, lui dit Marie.
- hummmmmmmmm, réussit à éructer son ami.

Un éblouissement.

On lui avait retiré le bandeau des yeux. Balou distinguait les lampes en pattes de verre, allumées qui diffusaient une lumière tamisée. Puis il vit Marc nu, agenouillé à ses cotés qui le regardait amoureusement en souriant tout en le caressant.

Marie était assise dans un fauteuil, elle les observait.

- Marc va te faire jouir mon chéri. Tu vas voir, tu en redemanderas.
- Je n’en peux plus, gémit Balou.
Marie dénoua l’écharpe pour libérer ses mains.
Mais il ne pu en dire davantage car Marc son blond amant longiligne et imberbe, s’était penché vers son visage, puis d’autorité il avait happé sa bouche. Une longue et chaude langue caressait son palais.
Balou lui rendit son baiser en sentant la main de Marc prendre la sienne et la guider vers son sexe épilé.

Les deux garçons étaient maintenant agenouillés l’un en face de l’autre. Balou admirait le dessin de la verge blanche qu’il branlait. Marc était circoncis comme lui, et le gland rose était divinement doux. La hampe palpitait entre ses doigts, elle était chaude et soyeuse à la fois.

- Nous sommes frère d’amour mon Balounet chéri, haleta Marc en continuant de masturber son brun compagnon, qui lui-même le caressait.

Balou ne dit rien mais lui sourit.

- OOOOhhhhhhh gémit Marc. Ta main est délicieuse, hummm mais j’aimerais aussi sentir ton menhir en moi.

Il se retourna en lui présentant sa croupe musclée. Il écarta davantage ses fesses à deux mains. Balou vit la rondelle du pertuis sacrément dilatée qui réclamait sa hampe.

- Prends-moi Balou, geignit Marc. Je veux te sentir me labourer comme tu le ferais à une femme.

Balou se rapprocha de son amant blond accroupi devant lui. Il regarda Marie en coin. Elle lui souriait et l’encouragea :

- Vas-y mon chéri, Marc va te dépuceler et si tu veux il te rendra la pareille.

Balou, les sens enflammés, dirigea sa verge vers l’entrée interdite. Son gland cogna contre la rondelle, ce qui arracha un cri de contentement à Marc.
Il s’humidifia un doigt, puis commença à l’introduire doucement entre les fesses de son amant qui frétillait d’impatience.

- Mets en deux Balou, c’est facile tu vas voir

Effectivement, Balou n’eu aucun mal à écarter le pertuis d’amour. Il fit coulisser ces doigts quelques instants. Ensuite il débuta l’introduction de son gland violacé.
Il s’accrocha d’une main aux hanches de Marc et de l’autre il força le tronc de sa hampe à pénétrer le chaud conduit masculin.
Immédiatement la rondelle se dilata entièrement, Balou pénétra en Marc en gémissant. Il n’avait jamais sodomisé un garçon, et il se regarda s’enfoncer dans les entrailles du bonheur.
Le chaud fourreau serrait admirablement bien sa verge.

- Allez mon chéri fait hurler ton bel amant blond, lança Marie.

Marc accroupi, haletait sous le poids de ce grand mec brun qui le défonçait, il le secouait comme un fétu de paille, il le limait à la façon d’un métronome. Sodomisé ainsi devant son assistante, Marc jouissait, il éjacula sur le tapis en hurlant, tandis que Balou accélérait maintenant la cadence de ses coups de boutoir.
Ce garçon était énorme, jamais il ne s’était senti aussi rempli. Ses grosses mains velues s’accrochaient à ses hanches, elles le griffaient, et le trituraient.

Balou n’en pouvait plus. Il voyait son imberbe amant se tordre et gémir sous lui. Son bas ventre claquait contre les fesses musclées. Le plaisir grandissait, sa sève bouillonnait dans ses bourses. Inlassablement il accentua ses vas et viens.

Enfin la suprême libération lui arracha un hurlement. Balou rejeta sa tête en arrière et éjacula dans les fesses de Marc après un dernier coup de boutoir violent qui les renversa tous les deux.

Couchés de cotés, soudés en cuiller, Balou embrassait le dos de son partenaire en lui murmurant des mots d’amour.

A suivre
Vendredi 7 octobre 5 07 /10 /Oct 00:00
Magali était heureuse. Allongée seule dans son lit, elle se remémorait les moments magiques qu’elle avait passé avec Balou. Il était plus de minuit, elle ne dormait toujours pas.
Son aîné l’avait quitté en tout début de soirée pour rejoindre sa copine Marie. Elle était un peu déçue car elle ne s’était pas fait pénétrée comme elle le souhaitait.
Magali pensait qu’après l’épisode masturbatoire, Balou allait lui faire l’amour, hélas elle n’avait pas eu le loisir de le sentir en elle. Il lui avait fait comprendre que pour le moment il ne fallait pas précipiter les évènements. Evidemment Magali ne lui en voulait pas puisque ce qui s’était passé entre eux était déjà inespéré.

Elle se rappelait les jets de sève qui s’étaient écrasés sur elle, sur ses joues, sur son menton et ses épaules. La chaleur de cette laitance, son goût iodé, elle s’en était délectée.
Voir un homme éjaculer avec une telle puissance, hurler son prénom et jouir au-dessus d’elle, l’avait transporté vers un continent de délires sexuels qu’elle ne connaissait pas.
Pour une première avec son Balou chéri, c’était une réussite presque totale. Mais maintenant elle en voulait davantage, et pour cela il fallait qu’elle reprenne la pilule.
Le sommeil la gagna, elle s’endormit un sourire aux lèvres.

Balou s’était douché en vitesse chez sa poupée blonde pour évacuer toute odeur féminine suspecte. En conduisant vers son domicile, les souvenirs de ce délirant après-midi restaient gravés dans sa mémoire. Une tendresse infiniment douce à l’égard de cette fille le transportait vers une félicité fabuleuse. Il n’avait pas de remord, fut-il surpris de constater. Par contre il marchait sur des œufs et devait prendre d’infinies précautions s’il voulait jongler entre Marie et sa jeune maîtresse.

Quelques semaines plus tard….

Les jours de ce chaud printemps s’écoulèrent paisiblement. Marie avait complètement relooké l’appartement et, cerise sur le gâteau, elle avait décroché un job dans un service de communication d’une grande entreprise.

Magali quant à elle avait considérablement rattrapé son retard scolaire, et par la même occasion son niveau de note avait grimpé. Elle prenait enfin du plaisir à la préparation de son BTS. Il fallait également souligner que son amant Balou y avait contribué pour beaucoup.
Ils se voyaient en secret une à deux heures par semaine en soirée.

Assise à son bureau dans son studio, Magali rêvassait en se rappelant la première fois où Balou l’avait pénétrée. Il était entré dans son ventre chaud qui attendait cela depuis si longtemps. Ils avaient fait l’amour très doucement dans une infinie complicité les menant jusqu’à la félicité. Magali s’était accrochée à lui avec ses jambes, dans la position classique du missionnaire. Elle voulait que tous deux jouissent les yeux dans les yeux, et Balou avait éjaculé en elle avec un tel romantisme que des larmes de joie avaient coulé sur ses joues.
 
A ses yeux Balou était un dieu, à la fois amant et initiateur. Il avait pris son temps, l’avait longuement caressée. Sa bouche avait goûté à sa blonde toison, à son abricot d’amour encore adolescent. Ses mains avaient câliné ses menus seins aux bouts roses, puis elles s’étaient introduites dans l’antre serré de ses fesses. Magali avait couiné puis elle s’était abandonnée aux doigts explorateurs qui lui fouillaient son pertuis de pucelle.

De longs instants, elle avait gémi en frétillant sous la dextérité manuelle et buccale de son amant. Elle avait bien tenté de la caresser elle aussi, mais il se dérobait dès que les petites mains fines se posaient sur sa hampe. Balou avait également embrassé ses blonds cheveux soyeux, puis il avait écarté ses cuisses de gazelle et avec une infinie douceur il l’avait pénétrée très lentement.
Magali s’était accrochée à lui en enroulant ses jambes autour de sa taille. Son amant ensuite l’avait emporté vers le nirwana.

La petite poupée blonde pensait à tout cela en révisant ses cours. Son esprit ne cessait de vagabonder vers cet homme mûr. Elle se dit qu’il faudrait qu’elle prenne des photos de leurs ébats avec son APN. De cette manière elle conserverait sur son ordinateur l’empreinte de leur amour.
Magali comprenait la position de Balou au sujet de Marie, elle ne voulait surtout pas briser leur couple. Mais bon sang que pouvait-il trouver à cette grande rousse pleine de taches de rousseur et à la poitrine volumineuse….alors qu’elle, elle ressemblait à une nymphette blonde tout droit issue d’un conte d’éroïc-fantaisy. Cela dit, elle devait admettre que Marie était une très belle femme. De plus elle ne ressentait pas vraiment de jalousie à son égard, ce qui la surprenait pour autant.

Il était samedi soir, les parents de Magali et amis de Balou, organisaient une petite fête chez eux. André le père dirigeait une entreprise de travaux publics relativement importante. Il décrochait des contrats juteux qui permettaient de pérenniser son entreprise de la meilleure manière qui soit et par la même occasion d’engranger des bénéfices substantiels.
Clients et amis se retrouvèrent dans leur appartement de type attique à grignoter des petits fours et à guincher aux rythmes de l’orchestre.
En fait ni André, ni Balou n’appréciaient ce genre de festivité, mais André avait cédé aux souhaits de sa femme qui avait certainement la folie des grandeurs….c’est du moins ce que pensait Balou.

La soirée était bien avancée. Marie portait une longue robe rouge aux épaules nues, qui moulait ses formes de walkyries. Sa poitrine et ses formes mises ainsi en valeur attiraient inévitablement les regards de tous les hommes, et des femmes également. Sa rousse chevelure bouclée tombait en cascade sur ses épaules. Son dos était dénudé jusque vers le haut des fesses. Cela amusait Balou car il soupçonnait sa compagne d’avoir des instincts exhibitionnistes par instant.
Magali la dévorait des yeux. Le courant passait bien entre elles, Balou l’avait remarqué, mais pourvu que sa poupée blonde ne fasse pas de gaffe se dit-il.
Magali quant à elle était habillée bien plus sobrement. Elle portait une veste en lin vert olive, assortie à un pantalon qui moulait ses petites fesses.

Balou un peu en retrait, observait sa compagne et sa maîtresse converser joyeusement. Elles se souriaient et pouffaient de rire pour un rien. Elles avaient trop bu, pensa-t-il.

Marie conversa avec Magali une bonne partie de la soirée. Elle lui raconta sa venue en France, sa rencontre avec Balou. Toutes les deux parlèrent de lui, de sa vie, de sa galanterie, de son travail… Mais aucune n’aborda un sujet intime le concernant. Par contre elles se racontèrent leurs aventures passées, leur drague sur le net et les rencontres qui en découlaient.
Plus tard Marie se lança avec Magali sur la piste de danse. Elles avaient commencé à mettre le feu dans cette soirée un peu trop guindée à leur goût.

Balou remonta vers la terrasse pour prendre l’air. Il n’y avait personne. Il alluma une cigarette, la fumée se tortilla vers le ciel.
Soudain il perçu un chuchotement émanant du coin de la terrasse. Il s’approcha à pattes de velours vers l’endroit concerné.
D’abord il cru à une hallucination. Mais ses yeux s’habituèrent à la pénombre. Le spectacle qui s’offrait devant lui, lui fouetta le sang.

André son pote assis dans un fauteuil, cuisses écartées, pantalon accroché au dossier, il se masturbait vigoureusement devant sa femme entourée de deux jeunes éphèbes.
Balou était fasciné de voir Mireille la femme de son pote avaler alternativement les verges érigées devant son visage, agenouillée qu’elle était sur un matelas en mousse.
André se branlait, il haletait. Sa grosse paluche allait en venait rapidement le long de son membre.
C’était complètement surréaliste, mais terriblement excitant de voir ce couple de notables s’adonner ainsi à la luxure. D’ailleurs Balou fut immédiatement en érection lorsqu’il vit Mireille, quinquagénaire BCBG nue qui masturbait maintenant les deux hommes.

- Prenez-la maintenant, gémi André, mais enculez-la, je veux la voir soumise à vos désirs.

Comme par magie Mireille se mis à quatre pattes et présenta sa croupe maigre aux deux hommes.
Le premier la pris tout d’abord en levrette pour bien humidifier sa verge, il détendit le pertuis de Mireille en insérant un puis deux doigts entre ses fesses. Mireille suçait l’autre garçon pendant qu’elle se faisait prendre.

Balou les laissa et retourna à la soirée, un sourire aux lèvres. Sacrée famille, pensa-t-il.

Marie dansait, elle se trémoussait devant les mâles éberlués qui ne devaient pas voir tous les week-ends une diablesse rousse sur une piste de danse. D’autres femmes l’avaient rejoint. Elle aimait s’offrir aux regards des autres, il faudra qu’elle en parle un jour à son cher et tendre Balou.
Magali et elle avaient longtemps discuté ensemble. Marie s’était vite rendu compte que cette petite blonde en pinçait pour son compagnon. Elle était charmante et bien foutu pensa-t-elle, j’ai intérêt à surveiller mon mâle. Elle le vit d’ailleurs qui revenait. Elle s’élança à son cou, et lui administra un baiser hollywoodien à souhait.

Balou vit sa pieuvre rousse se jeter dans ses bras. Il senti sa bouche se faire violer par une langue irlandaise. Ils s’embrassèrent passionnément devant l’assemblée présente.

Les invités applaudirent cet entracte d’amoureux, tout en commentant la fougue de Marie.

Un pincement au cœur, Magali les vit s’embrasser. Elle écouta ensuite les commentaires graveleux de certaines personnes, homme ou femmes.
Son regard fut ensuite attiré par sa mère qui revenait de la terrasse. Elle avait les yeux étincelants comme hallucinés, elle souriait béatement. Sa mère se jeta sur un plateau de coupe de champagne et elle en avala deux à la suite. Magali l’observa en se demandant quelle mouche avait piqué sa chère mère pour la rendre ainsi joviale.
En se rapprochant d’elle, Magali aperçu une traînée blanche accrochée dans les cheveux blonds de sa mère.
Nul doute possible, c’était du sperme !!

Mireille portait un tailleur rose très kitch, on aurait dit un bonbon sur pattes. Sa chevelure blonde platine coupée au carré lui donnait un air de Sabine Azéma. Elle vit sa fille Magali s’approcher d’elle et la prendre par le bras pour l’entraîner à l’écart.

- Qu’y a-t-il ma chérie ?
- Maman tu as une traînée suspecte dans tes cheveux, souffla-t-elle.

Mireille passa ses doigts sur la mèche de cheveux souillée.

- Ooooohhh mais…..
- c’est du sperme maman.

Mireille rougit instantanément et fila aux toilettes.

Magali se dit que ses parents avaient décidément de drôles d’envies de batifoler ainsi en pleine soirée mondaine. Cela lui fit plaisir de les savoir si inventifs en amour.
Sa mère revint vers elle quelques instants plus tard.

- Mon dieu crois-tu que quelqu’un a remarqué mon état ?
- Mais non M’man, ne t’inquiète pas. Mais dis-moi, toi et papa vous laissez vos invités en plan pour faire des galipettes en pleine soirée ? Questionna sa fille.
- Tu sais ma chérie, ton père et moi avons encore une vie sexuelle. Je suis sincèrement confuse, mais tu n’es plus une enfant n’est-ce pas ?

Mireille laissa sa fille ainsi et elle rejoignit un groupe d’amis qui conversait avec son mari.

Balou n’avait pas perdu une miette de la conversation entre Magali et sa mère. Il souriait intérieurement. Voir Mireille, une trace de semence dans ses cheveux et se rappelant comment elle donnait des fellations à deux garçons devant son mari qui se masturbait, l’émoustillait gaillardement.
En fait ces deux hommes étaient des amis de Magali qui fréquentaient la même école qu’elle. Balou appris au cours de la soirée que le plus grand des deux était l’ex petit ami de sa filleule. Le monde est bien petit se dit-il.

La séance des slows débuta.
Balou vit Marie danser avec un homme grand et chauve. Celui-ci la tenait fermement par la taille, tout en gardant son nez dans le décolleté plongeant de son amie. Marie était collée à lui, elle lui parlait dans le creux de l’oreille.
Ensuite Balou laissa son regard se poser vers l’entrejambe du type chauve. Comme il le présentait, on voyait une bosse poindre à travers le pantalon de son smoking.
Il se disait bien que sa compagne allait en faire bander plus d’un à cette soirée, cela lui faisait plaisir que les gens apprécient son amie. Dans ces moments il fallait réfréner sa jalousie, de plus il était mal placé pour juger le comportement de Marie, non ? Mais il ne fallait pas que ce crâne d’œuf abuse de la situation….

Marie dansait langoureusement avec ce grand type, il était directeur d’une agence immobilière. Elle sentait cogner contre son ventre le désir de cet homme. Il n’osait pas plaquer ces mains sur ces fesses, mais sa respiration était saccadée. Il va jouir dans son froc si ça continue, se dit-elle.
Elle savait également que Balou les regardait. Marie lui avait fait comprendre qu’elle adorait exciter les hommes, qui la nuit venue devaient troncher bobonne en pensant à elle, ou alors ils devaient se masturber en fantasmant sur ses formes.

- Vous êtes bien excité mon cher, minauda-t-elle.
- Oh Marie vous avez un charme fou, réussi à articuler crâne d’œuf.

Depuis le début des slows, la lumière avait baissé d’intensité. Des couples dansaient, plus ou moins soudés ensemble. Marie fit de petits mouvements rotatifs du bassin qui massèrent la bosse de l’homme chauve grâce à son ventre.
Il lâcha un gémissement en plaquant ses mains sur les fesses callipyges de cette déesse rousse.

Marie lui glissa dans l’oreille :
- Voulez-vous jouir de moi ?
- Je ne….comment allons-nous faire ?
- Nous allons monter sur la terrasse et vous vous masturberez devant moi, ok ?

L’homme ne dit rien, il souriait bêtement.
Marie et lui quittèrent discrètement la piste de danse dans la pénombre.

Balou avait suivi de loin leur manège, il voulait savoir jusqu’où sa compagne pouvait aller.
L’air s’était rafraîchit mais Marie n’en avait cure. Elle se dandinait devant l’homme chauve dont son pantalon était tirebouchonné à ses pieds. Elle prenait des poses lascives, lui se masturbait devant elle, mais il supplia :

- J’ai envie de vous, nous serions mieux chez moi.
- Non mon cher, non, vous avez accepté de jouir de mon image, alors branlez-vous s’il vous plait.
- Vous pourriez m’aider vous aussi, non ?
- Mais je vous aide, dit-elle en remontant sa robe jusqu’à la hauteur de son ventre.

Elle se caressa l’entrecuisse pour encourager l’homme en face d’elle. Celui-ci accéléra les mouvements de sa main sur sa hampe
Marie sentait la moiteur de son ventre croître progressivement. Tous deux n’étaient séparés que de quelques pas. Elle se coucha sur le matelas de mousse, et cuisses écartées se masturba également devant cet inconnu. L’homme se rapprocha d’elle en se branlant frénétiquement.

- Je veux jouir sur ton visage ma belle, haleta-t-il.

Marie n’avait nullement envie de se faire inonder par sa semence. Elle sentait la situation lui échapper, ce qui coupa son élan masturbatoire. Elle se redressa et dit :

- Stoppons là, nous sommes allés trop loin, voulez-vous ?

Elle ajusta sa robe et son string. L’homme restait debout, sa verge entre les doigts il était frustré.

- Vous n’êtes qu’une allumeuse, lança-t-il.

Marie s’approcha de lui et le gifla. Crâne d’œuf vacilla et trébucha en se prenant les pieds dans son pantalon tirebouchonné. Elle tourna les talons et retourna à la soirée.

Magali et Balou étaient cachés derrière un arbrisseau. Ils avaient assistés à toute la scène, blottis l’un contre l’autre.
Balou savait maintenant que sa compagne était aussi délurée que lui. Cette constatation lui arracha un sourire, il songea que sa vie sexuelle allait radicalement changer dans les prochains temps.
Il savait Marie très intelligente, car pour agir de la sorte, elle devait avoir une motivation bien réelle. Avait-elle eu vent de ses escapades avec Magali ? Etait-ce une manière de se venger ? Telles étaient les questions qui tenaillaient Balou.

Magali n’en croyait pas ses yeux. La copine de son parrain avait levé cet homme pour une séance de plaisirs manuels à deux. Elle avait regardé la scène avec avidité, toute excitée qu’elle était. Elle prit la main de son aîné et déposa un chaste baiser sur ses doigts.

Marie, Magali, et Balou, se retrouvèrent au bar. La soirée touchait à sa fin. L’agent immobilier chauve, éconduit par Marie, était en grande conversation avec André le maître de maison. Celui-ci jeta des regards dans leur direction.
Marie ne se décontenança pas, elle sourit aux deux hommes en levant son verre à leur santé.

- T’as eu un souci avec le grand chauve ? , questionna Balou.

Marie le regarda intensément de ses yeux verts. Pendant une fraction de seconde elle ne dit rien.

- Non, nous avions simplement une divergence d’opinion et je l’ai gentiment remis en place.

Une marque rouge zébrait le visage de l’agent immobilier, mais Balou ne fit aucun commentaire.

Magali se retrouva en compagnie de ses deux copains d’école. Ils riaient en buvant des vodkas tonic.
Balou les observa un instant, puis il se rendit compte que le petit groupe filait à l’anglaise vers les chambres.

La tête lui tournait un peu. Magali avait certainement trop bu, mais elle se sentait bien. Alexandre son ex était venu, accompagné par Jérôme. Tous deux étaient des copains d’enfance, ils avaient connu Magali en première année de BTS.
Alexandre était un grand garçon brun quasiment maigre, un piercing au sourcil droit, cheveux mi-longs, l’autre, Jérôme était sa réplique blonde. Tous deux jouaient également dans le même club de basket.
Le ventre de Magali brûlait, elle avait envie d’eux. Elle ne s’expliquait pas cette frénésie sexuelle qui l’avait envahi, certes elle trouvait ces deux garçons à son goût, mais de là à franchir le pas pour un trio, il y avait un monde.
Magali se rendait maintenant compte que depuis que Balou l’avait initié aux mille et un plaisir, sa féminité, ses envies, allaient en grandissant. Grâce à son aîné elle dégusterait toutes les merveilles sexuelles qu’offrait la vie. Et ces deux hommes en faisaient partie.

Marie avait également suivi le manège du trio. Elle susurra à l’oreille de Balou :

- Ils vont baiser ensemble mon chou. Ta petite filleule blonde semble bien intrépide.
- Hummmm
- On dirait que t’es contrarié toi ! Tu sais elle est majeure et vaccinée, petit parrain chéri, dit Marie en rigolant.
- Je sais bien, dit Balou. Mais bon, deux mecs en même temps pour un petit bout de chou ça me paraît trop. Je dois vieillir moi….

Magali était assise, empalée sur Alexandre, sa blonde toison engloutissait son pieu. Jérôme les avait rejoint sur le lit, Magali le masturbait délicatement.
La poupée blonde gloussait de joie. Elle avait deux hommes à sa merci, qui lui donnaient du plaisir.

Alexandre se voyait disparaître dans le ventre de Magali. Elle le chevauchait telle une amazone, et imprimait la cadence. Sa blonde tignasse lui voilait le visage. Alexandre tendit ses mains, ses doigts caressèrent la petite poitrine qui tressautait devant ses yeux. Ensuite il pinça les bouts, ce qui déclencha un cri de joie ou de douleur à Magali, il ne savait pas.

- Jérôme aimerait te sodomiser ma beauté, haleta-t-il, tout en calquant ses coups de boutoir sur le rythme de la poupée blonde.
- Nonnnnnnnnnnnn, nonnnnnnnnnnnnn, je ne l’ai jamais fait cria Magali.

Magali tenait maintenant fermement le membre de Jérôme, elle ne voulait pas laisser déraper la situation. Ses doigts précipitèrent leur masturbation pour lui faire cracher sa semence.
Jérôme se redit compte du changement d’attitude de Magali. Il se dégagea de cette main caressante, se mit debout face à la bouche de Magali.

Elle sentait la hampe d’Alexandre cogner au fond de son ventre, elle était divinement prise. Maintenant, la verge de son pote frottait contre son menton. Le gland lui semblait moins majestueux que celui de Balou, mais tout aussi chaud et doux.

- Suce-moi alors, supplia Jérôme.

Il avança légèrement son bassin.
Magali écarta ses lèvres et une rose longue pointue s’en échappa. Sa petite main fine caressa la cuisse musclée, et l’autre main guida la hampe dans sa bouche. Elle se contorsionnait admirablement, mais elle encouragea Jérôme à les rejoindre sur la couche, ce qui faciliterait la fellation.
La tignasse blonde allait en venait sur la verge dressée. Magali la pompait joyeusement et léchait le gland comme une sucette « chuppa chupp ».
Alexandre continuait à ahaner entre les cuisses de Magali.

- Je vais jouir, hurla-t-il.
- Non pas encore ! Cria Magali entre deux succions.

Il gémit, ses grandes mains agrippèrent les hanches de Magali, et il éjacula longuement en elle.
Par contre elle-même n’avait pas encore joui, elle était froissée qu’Alexandre jute si vite. Décidément se dit-elle il est resté un mièvre amant.
Elle se focalisa sur la verge dans sa bouche, puis demanda timidement à Jérôme de remplacer Alex.

Magali s’accroupi en présentant sa croupe devant Jérôme. Son ventre réclamait un sexe vigoureux. Elle senti le gland presser contre sa vulve rose et luisante, puis elle perçu la pénétration longue et douce. Enfin ! Elle était comblée
Son jeune amant blond comme elle, posa une main dans son dos et de l’autre s’agrippa à sa hanche.

Alexandre, penaud, se rhabilla et quitta la chambre d’où s’échappaient des gémissements de plaisir.

Marie et Balou virent le grand brun quitter la chambre en premier. Il semblait triste et pensif. Mireille, la mère de Magali vint à sa rencontre, et elle l’entraîna à l’écart.

Magali était secouée par les assauts répétés de Jérôme. Ce grand basketteur blond la limait interminablement. Elle semblait si fragile, couverte par ce garçon de près de deux mètres. Jérôme accéléra davantage son pistonnage, ce qui provoqua des râles de plaisir à la poupée blonde. Elle joui à nouveau. Le sexe de Jérôme allait si loin en elle, qu’elle craignait qu’il ne la déchire. Mais elle se rendit vite compte que ses muscles intimes en redemandaient, alors elle perdit la notion de toute réalité et se laissa emporter par le feu du bonheur qui la consumait.
Jérôme essayait de contenir son plaisir, il tenta vainement de retarder une énième fois son éjaculation, mais la vision de Magali hurlant son plaisir, provoqua inévitablement le sien. Il se vida en elle à longs jets chauds et gras.

- Merveilleux, tu es fabuleuse ma poupée, furent ses seuls mots. Il se réajusta et quitta la chambre sans un regard pour son amante du moment.

Magali était toujours accroupie, les fesses en l’air, son sexe frétillant où coulait son nectar d’amour mélangé à la sève de Jérôme. Elle resta ainsi prostrée de longues minutes, puis elle s’allongea sur la couette pour reprendre ses esprits.
Qu’avait-elle réalisé ? Elle avait brisé un tabou, faire l’amour avec deux garçons. Enfin non, elle avait plutôt baisé et s’était fait baiser par deux mecs sans aucun savoir-vivre, ni aucun sentiment, pensa-t-elle.

Marie d’un coup de menton, désigna à Balou, Jérôme qui revenait du fond de l’appartement. Il fut également immédiatement interpellé par Mireille.
Balou avait une envie furieuse de courir voir sa filleule. J’espère que tout va bien se dit-il.
L’attente lui semblait interminable. Toujours aucune Magali en vue.
Soudain il vit Mireille aller vers la chambre de Magali. Elle disparu quelques minutes.

- Bin dis donc t’en fait une tête, dit Marie en se lovant contre lui.
- Non je….
- Arrête my Darling, je te connais. Tu n’en pincerais pas un peu pour Magali, dis moi ?
- Hein ? Tu déconnes là, elle est ma filleule c’est tout.
- Un peu plus non ? Insista Marie.

Marie était maintenant collé à Balou. Elle le poussa dans les toilettes.

Agenouillée sur le tapis devant Balou, elle entreprit de déboutonner son pantalon. Elle dégagea le sexe flasque de son amant. Marie fit la moue avant d’engloutir complètement ce petit bout de chair masculine.
Sa langue s’enroula autour, elle le plaqua contre le palais et se mis à l’avaler en suçant de plus belle. Après quelques manipulations aussi appuyées, Marie sentit le sexe se gonfler irrémédiablement dans sa bouche. Elle releva la tête vers Balou et demanda :

- Alors, tu l’as baisé ou pas?

Balou, debout, agrippé au lavabo, la regarda avant de rejeter sa tête en arrière et de lâcher :

- Noooooooooonnnn !!!
- Menteur !! Et la bouche vorace continua son œuvre.

Marie avait une belle et grande bouche pulpeuse, aux lèvres roses charnues. Elle le pompait comme une déesse. La bouche s’arrêta.

- Alors ? Questionna la rousse diablesse. Moi je m’en fous tu sais, mais sache que la porte n’est pas verrouillée et que si les invités ont une envie pressante, ils verront en entrant, un mec en smoking en train de se faire tailler une pipe par une rouquine.

Elle continua de le masturber avec ses longs doigts et ajouta :

- Moi j’ai rien à perdre, mais toi ta réputation de jeune cadre dynamique risque d’être entachée…Alors ? Elle baise bien la petite blonde ?

Balou regardait alternativement Marie et la porte des toilettes. Il vit effectivement que le verrou n’était pas enclenché, et il était trop loin pour l’atteindre avec sa main. Il suait, quelques gouttes tombèrent sur les mains de son amante qui les lécha aussitôt.

- J’attends, dit la voix.

La verge de Balou perdit sa vigueur.

- Oui j’ai couché avec elle, lâcha-t-il.

Balou avait le sentiment que tout allait à nouveau s’écrouler, il courait à sa perte avec les femmes.

Marie éclata de rire en se redressant. Elle alla verrouiller pour de bon la porte des toilettes.

- Je m’en doutais, dit-elle. Allez gros nigaud, donne moi ta sève comme tu l’as donné à Magali.

Marie ôta sa robe et repris sa position, agenouillée à nouveau sur le sol.

Balou était interloqué. Son amante lui souriait, là à ses pieds, soumise à sa volonté.

- Branle-toi au-dessus de mon visage, je veux tout voir. Je veux que tu m’asperges complètement, allez vas-y mon beau mâle.

Il s’empoigna et débuta des vas et viens le longs de sa hampe. Marie le regardait. Il vit sa langue rose lécher ses lèvres. Il vit également que ses mains caressaient sa volumineuse poitrine.

Balou haletait. Sa main droite accéléra la cadence masturbatoire, il se vit gonfler et grossir encore et encore au-dessus du visage de Marie.
Jamais il n’avait vécu une telle situation si angoissante. Les yeux verts de sa compagne brillaient de mille feux, sa bouche attendait son nectar.

Un éclair le foudroya.

Un feulement de lion.

Puis une multitude de jets blancs s’écrasèrent sur le visage d’une déesse rousse aux yeux clos, agenouillée devant la divine verge qui l’aspergeait.

La semence chaude coulait sur son visage. Marie à coups de langue agile recueillait le nectar tant attendu. Les yeux toujours fermés elle attendait que son Lion termine son éjaculation.

Balou respirait avec peine, la sueur coulait sur ses joues, il regarda Marie toujours agenouillée devant lui. Une quantité impressionnante de sève maculait son visage. La laitance coulait également entre ses seins.

Elle ouvrit les yeux et le regarda amoureusement.

- Tu vois c’est facile mon chéri, hummmm merci pour ce don de toi.

Balou l’aida à se relever.
Devant le miroir, elle recueillit avec ses doigts la sève refroidie, les suça et en fit profiter son amant.

En un éclair Marie se refit une beauté, puis ils sortirent des toilettes ensemble.

- Tu as été génial mon chou, mais il faudra que tu m’expliques pourquoi tu me fais des infidélités avec une nymphette de 19 ans.

Ladite jeune fille était en grande conversation avec sa mère.

- Puisque nous sommes dans les confidences, je t’ai vu avant sur la terrasse, te caressant devant crâne d’œuf, répondit Balou.
- Ah ? Tient donc Monsieur joue au voyeur à ce que je vois. Bon ok tu égalises, mais moi je n’ai pas transformé mon essai, n’est-ce pas ?

Marie écouta Balou se livrer à elle. Il lui raconta tout ce qui s’était passé avec Magali. Elle l’écouta religieusement en fumant avec lui sur la terrasse. Balou lui avait prêté sa veste qu’il avait déposée sur ses épaules.

Ensuite Marie lui avoua de son côté qu’elle avait des instincts exhibitionnistes d’une part et qu’elle aimait aussi à l’occasion coucher avec les femmes d’autre part, et justement Magali l’attirait. Elle pensait à juste raison que cette attirance était réciproque.

- Je t’aime Balou, mais j’ai aussi un côté sombre que tu découvriras progressivement si nous restons suffisamment longtemps ensemble.

Magali les rejoignit sur la terrasse.
Elle avait la mine renfrognée de petite fille qui s’est fait gronder.
Marie et Balou se regardèrent, en attendant la suite.
Elle leur raconta que Mireille sa maman l’avait surprise en train de fumer de l’herbe en compagnie de ses copains d’école…….

A suivre...
Dimanche 2 octobre 7 02 /10 /Oct 00:00
Il n’est pas toujours aisé de travailler dans une multinationale, Balou le savait. Mais il arrive parfois au fil de la vie professionnelle que l’excès de dépenses, de stress, de manque de reconnaissance par la hiérarchie, engendre un mal être certain vers les salariés. Balou broyait du noir. Sa direction lui avait refusé une promotion, et la pilule était difficile à avaler sachant qu’une autre personne avait été élue au poste convoité. De plus, la candidature de Marie pour le service export n’avait pas été retenue par la DRH.

Cette accumulation de déception pesait sur lui. L’envie d’aller voir ailleurs si « l’herbe est plus verte » le démangeait, mais le remord également le taraudait, dans la mesure où il avait toujours été loyal et fidèle envers la firme. Marie s’était installée chez lui depuis un mois. Le relookage de l’appartement avait débuté. Balou avait laissé carte blanche à sa compagne, en plus il était nul en bricolage. Marie ne travaillait plus chez l’oncle Freddy le week-end, et ce d’un commun accord avec Balou. Elle recherchait toujours un job stable, mais les travaux dans l’appartement accaparaient tout son temps dans l’immédiat.

Magali, la filleule de Balou, le fuyait. Plus de deux mois s’étaient écoulés depuis ce baiser qu’elle lui avait furtivement volé. Il commençait à comprendre son attitude engendrée vis-à-vis de Marie. Il ne pouvait évidemment en parler ni à sa compagne, ni aux parents de Magali.
Il était peiné de la voir ainsi. Il fallait absolument qu’il trouve un moyen de la rencontrer seul. L’envoi de mails, de messages laissés sur son tel portable, rien n’y faisait. Cette petite peste faisait la sourde oreille.

Il décida de quitter son bureau vers 15h pour rejoindre l’école où étudiait sa filleule. Il fit le pied de grue pendant un bon quart d’heure devant le portail d’entrée. L’air respirait déjà le printemps, les températures en ce mois de mars frôlaient les 20°. Les femmes commençaient à changer de tenues, dévoilant leurs charmes cachés par l’hiver. Balou admira les passantes, les étudiantes, portant des jupes dont il appréciait le galbe des jambes ainsi que la courbe des fesses.

Magali vit son parrain avant qu’il ne la voie. Son ventre se tordit instantanément, une bouffée de chaleur remontait dans ses entrailles, ses joues rosirent.  Enfin il était venu, se dit-elle. Le bonheur de voir Balou la ravissait complètement. Elle se dit en souriant que son manège avait fonctionné. Tout en marchant vers lui, elle se rappelait les séances de plaisir solitaire qu’elle s’octroyait chaque soir, les rêves érotiques voire pornographiques qui l’assaillaient. Magali se voyait avec Balou. Lui, son visage embrassant sa blonde toison, elle le chevauchant telle une amazone. Elle détailla la tenue vestimentaire de son parrain. Il portait un costume gris anthracite superbement bien coupé, une chemise rose pâle avec cravate assortie. Sa brune chevelure coupée court, ses tempes grisonnantes, le rendait irrésistible.

- Coucou !

Balou se retourna. Une déesse blonde sortie de nulle part lui faisait face.
Il resta sans voix quelques secondes, puis prit la parole :

- Bonjour ma petite sirène. Cela fait un bail hein ?

Ils se firent la bise. Magali portait une tenue complètement différente de celles que Balou avait l’habitude de voir. Il la détailla de la tête aux pieds.
Elle portait une jupe écossaise, des bas couleur chair, un spencer assorti à sa jupe, de mignonnes bottines rouge. Ses cheveux blonds coiffés en queue de cheval laissaient voir son cou fin et gracieux.

- Waouuuu tu es superbe ma chérie !

Magali rougissait en se mordant sa lèvre inférieure. Elle frétillait d’aise devant cet homme, elle avait envie de se jeter dans ses bras, mais retint son élan par pudeur.

- Je t’invite à boire un café ? Proposa Balou.

Elle accepta de bon cœur. Ils se retrouvèrent attablés dans un petit troquet sympa.
Magali sirotait son coca light en écoutant parler son parrain. Celui-ci lui posa des tas de questions sur ses études. Bien évidemment il aborda le sujet brûlant du moment.

- Pourquoi me fuis-tu ainsi, qu’ai-je fait de mal ? Questionna-t-il.
- Hum mm c’est compliqué tu sais Balou. Répondit Magali en le regardant droit dans les yeux.
- Allez arrête de me faire des cachotteries, on se connaît depuis si longtemps.

Magali, posa sa main fine sur celle de Balou et dit :

- Je ne suis plus un bébé, je ne suis plus la petite fille ni l’adolescente délurée que tu connaissais. Je suis une femme qui aime un homme. Toi !

Balou la regarda intensément. Il était sidéré par cet aveu.

- Allons, allons Magali, ce n’est pas raisonnable.
- Je ne supporte pas que tu sois avec cette grande rousse. Tu ne penses plus à moi, tu ne m’accompagnes plus dans les boutiques, bref, tu m’as laissé tomber. J’en ai marre !!

La situation semblait surréaliste, se dit Balou. Il faut absolument que je me sorte de là, pensa-t-il. Magali souriait. Son intimité commençait à dégager une douce moiteur. Elle caressait maintenant de ses doigts fins la main de son parrain.  Balou la retira vivement comme s’il s’était brûlé.

- Magali ce n’est pas sage, mais je me mets à ta place, enfin j’essaie. Souffla-t-il. Tu dois certainement avoir des copains cool dans ton entourage, non ?

Cette gamine avait le feu aux fesses. Il ne reconnaissait plus du tout la petite fille, il avait devant lui une femme amoureuse qui le désirait.

- Je me masturbe tous les soirs en pensant à toi, je sens ta queue en moi, je jouis grâce à toi et par toi uniquement. Lança Magali.

Balou espérait que personne n’écoutait leur dialogue. Il ne savait plus que faire. L’unique solution consisterait à partir en courant. Cependant il craignait que Magali colporte des ragots infâmes à son sujet, du genre » mon parrain m’a touchée et caressée »….Bonjour la réputation se dit-il.
Comme si elle avait lu dans ses pensées, Magali lança :

- Je ne m’abaisserais jamais à salir ta réputation en colportant de vils ragots, sois en assuré.
- Bon voilà au moins un point positif, merci ma petite.
- T’es vraiment chiant comme mec ! Je ne suis plus ta « petite », merde !
- Oula ces mots ne sont pas dignes d’une étudiante BCBG.
- Laisse tomber. Bon alors tu m’aimes ou pas ?

Un blanc, un ange passa.

Ils éclatèrent de rire ensemble.

- Oui je t’aime Magali, oui et encore oui, dit Balou. Je t’aime comme un parrain aime sa filleule. Je tiens à toi énormément car je te connais depuis ta naissance. Rappelle-toi les souvenirs.
- Je sais tout ça, je n’en doute absolument pas, mais j’ai envie de faire l’amour avec toi, de t’aimer, de te caresser, de m’offrir à tes baisers, de m’ouvrir comme une fleur.

Balou se sentit rougir, une pointe d’exaspération le traversa également. Et malgré son sang-froid, une érection se développait. Il se tortilla sur sa chaise.

- Tu bandes ?

Balou ne répondit pas. Il fixait cette fille blonde.

- Alors c’est vrai tu as envie de moi tu vois. Ce n’est pas compliqué, souffla Magali.

L’érection de Balou était maintenant au summum de son développement. Il était à l’étroit dans son pantalon. D’autant plus qu’il voyait la langue de Magali lécher la lèvre supérieure de sa bouche, elle le regardait également droit dans les yeux.

- Arrête ton manège s’il te plait, gémit-il.

Magali l’observait. Elle se sentait femme, une femme capable de séduire ce trentenaire mûr. Elle savait qu’ils avaient franchi une certaine ligne jaune. Elle ne pouvait pas s’arrêter ainsi, il lui fallait continuer à rassurer Balou. Elle devait le conduire hors du temps pour le déculpabiliser. Le fait qu’il bandait pour elle la rassura aussi. Balou réfléchissait. Ses méninges turbinaient à plein régime. Cette femme l’emmenait vers un interdit qu’il avait refoulé très loin en lui.
Des souvenirs affluèrent immédiatement et s’insinuèrent dans son esprit.
Lorsque Magali adolescente, se baladait en maillot de bain devant lui, ou lorsqu’il l‘accompagnait dans les cabines d’essayages, il avait bien vu ses formes féminines, ses cuisses de gazelle, ses adorables fesses bien ferme, ses petits seins hauts placés…..Il tenta de chasser ces pensées qui accentuèrent davantage son érection.
La sueur perlait à son front.

Magali le voyait transpirer. Cela devait être difficile pour lui d’accepter, ou plutôt de s’accepter ainsi. Accepter de désirer sa filleule même si aucun lien de parenté ne les unissait puisqu’elle était la fille unique de ses parents, amis de Balou. Elle ne voulait absolument pas le brusquer, mais elle désirait l’amener petit à petit dans les mailles de son filet. Elle était une sirène désirant son Ulysse.

Balou vit la bouche de Magali sucer la paille de son coca. Une langue rose taquina le bout de la paille. Puis les lèvres aspirèrent et pompèrent le liquide.
Il ferma les yeux, serra ses points dont les phalanges blanchirent.
S’en était trop pour lui. Il se vit dans la bouche de Magali agenouillée entre ses cuisses. Sa bouche engloutissait sa hampe, ses doigts fins le masturbaient doucement. Il voyait les lèvres distendues par l’imposant diamètre de sa verge. Ensuite la chevelure blonde remonta vers le sommet et lécha le gland violet.
Magali lui souriait maintenant. Il vit ses doigts enserrer la base de sa hampe, la langue rose titilla son gland.
Les doigts le branlaient, la bouche le pompait. Il vit ensuite des jets de sève blanche asperger le visage de poupée blonde. La fille ferma les yeux en recevant la chaude délivrance de son amant.

- C’était bon, ça t’a plus  mon chou ? dit la fille blonde.

Magali était toujours assise en face de lui et le regardait amoureusement. Soudain il fut à nouveau assis dans le bar. Il ne su jamais si c’était la « vraie » Magali qui avait posé cette question.

- Tu étais ailleurs hein ? Pendant deux bonne minutes j’ai cru que tu avais flipé, t’avais le regard dans le vague comme un débile, dit sa filleule.

- Pardon ? Oui euh je réfléchissais, éructa Balou.
- Mon œil oui…..Si ça t’a plus c’est l’essentiel et j’en suis heureuse.

Balou avait la nette impression de perdre pied. Sa santé mentale lui jouait des tours. Il mourait de soif et bu sa bière en quelques gorgées.

En allumant une cigarette il dit :
- Tu es une petite peste tu sais ça. Oui tu le sais j’en suis sûr. Mais je ne pourrais pas te donner ce que tu désires, je n’ai pas le droit.
- Mais aimerais-tu quand même ? Tu sais bien qu’aucun lien de parenté ne nous unit. Ce n’est pas un inceste.

Balou souffla la fumée vers le plafond.

- Oui tu es belle et désirable. Aucun mec normal ne peut rester insensible à tes charmes. Mais il faudrait trouver un garçon de ta génération, tu dois bien en avoir dans ton école.

- Ils sont trop cons, trop niais, trop macho. Moi je recherche un type comme toi. En plus je l’ai sous la main, dit Magali en reposant ses doigts tendrement sur le poignet de Balou.

Cette fois-ci il ne retira pas sa main. Il sourit à sa filleule. Et ajouta :
- Ma chérie, tu sais bien que je vis avec Marie, je ne suis pas libre.
- Je m’en fiche, tu nous aimeras toutes les deux. En plus elle n’a que 4 ans de plus que moi.

Magali était heureuse de constater le changement d’attitude de son parrain adoré. Elle le voyait qui commençait à fondre pour elle.
Elle vit la main de Balou caresser la sienne. Quelle douceur charmante émanait de cet homme. Sa poitrine se souleva lorsqu’elle respira un bon coup et elle se pencha vers lui pour déposer un doux baiser sur sa bouche.

Balou vit Magali se pencher vers son visage, il ne bougea point. Des lèvres de velours se déposèrent sur les siennes.
Il savoura cet instant magique qui l’emportait loin de ses préoccupations professionnelles. Mais il se rendait bien compte que cette situation n’était pas saine du tout. Que devait-il faire ? Etait-ce de l’amour, du désir qu’il éprouvait pour Magali ? Les souvenirs érotiques enfouis en lui revenaient à la surface, comme le bruit du tonnerre. Un orage se préparait il en était certain.
Comment pouvait-il aimer deux femmes à la fois ? Marie le comblait, ils s’aimaient d’un amour très fort. Quant à Magali l’affection qu’il lui portait se transformait en amour et en désir, c’était indéniable. Il voulait de toute son âme refouler ses pulsions, les jeter aux orties et fuir devant cette fille tentatrice. Mais ne risquait-il pas de provoquer un autre cataclysme en agissant de la sorte, en la laissant tomber ?

Telles étaient les questions que se posait Balou.

Depuis un mois Magali vivait seule, en fait elle avait reprit le studio de Marie. Les amis de Balou, les parents de Magali payaient le loyer de leur fille.

Balou raccompagna Magali chez elle, il conduisait sa voiture en tenant le volant de la main gauche, la droite étant glissée sous la jupe de sa filleule. La chaude moiteur de son entrecuisse le ravissait. Magali gémissait assise à ses cotés.
Dès qu’ils furent montés en voiture, la petite peste blonde avait d’autorité posée sa main sur la cuisse de son parrain. Les doigts étaient remontés pour flatter la bosse érectile.

- Oh mon balounet chéri, j’ai envie de toi, gémit Magali en se tordant sur le siège.

Les pensées de Balou se télescopaient dans sa tête, certes ils ne pratiquaient par l’inceste mais tout de même ils franchissaient allègrement la ligne jaune.
Il dû retirer sa main de sous la jupe car le pilotage de la voiture nécessitait toute son attention.

Magali prit le relais, elle se caressait joyeusement. Elle regardait l’homme qui conduisait. Celui-ci jetait de brefs regards dans sa direction.
La hampe de Balou était en elle. La simple présence à ses côtés lui avait déjà déclenché un orgasme dès que les doigts masculins s’étaient posés sur son minou mouillé.
Magali se caressait pour lui, elle couinait doucement. Son ventre brûlait d’un feu géant. L’incendie se propageait vers chaque parcelle de son corps.

Balou, malgré la circulation importante, avait une terrible érection. Elle le faisait délicieusement souffrir. Près de lui, la « peste blonde » jouissait comme une folle. C’était dingue de voir ça. Il voyait sa bouche ouverte aspirant l’air, sa langue rose, ses dents blanches mordant la lèvre inférieure. De blonds cheveux étaient plaqués contre le front de Magali par la sueur qui perlait.

- Je t’aime ! Je t’aime ! Hurla-t-elle en jouissant à nouveau.

Balou n’en pouvait plus. Arrêté à un feu, il vit que Magali lui présentait ces doigts mouillés. Il les suça avidement. Il avait basculé du coté sombre……..

Arrivés tous deux dans l’appartement des désirs inavouables, la petite peste se jeta immédiatement à son cou pour l’embrasser violement. Elle se colla à lui, sa langue violait sa bouche. Balou laissa ses mains partir à la découverte de ce jeune corps de femme. Il caressa ses flans, ces fesses encore adolescentes.
Ensuite il quitta sa bouche pour se perdre dans le cou qu’il embrassa délicatement. Magali, tête renversée en arrière, se laissait faire. Elle gémissait des « je t’aime » à profusion.

- Je ne prends pas la pilule, glissa-t-elle dans l’oreille de Balou.
- Ce n’est pas grave on s’arrangera, réussit-il à articuler entre deux baisers.

Balou insista pour déshabiller complètement sa filleule. Il prit son temps. Il dégusta cet effeuillage, huma chaque vêtement en se délectant de l’odeur. Il admira le corps, la douce peau qu’il découvrait vraiment. La volupté de l’instant le faisait gémir lui aussi.

Magali était maintenant couchée nue sur le lit. Il l’admirait.
Elle le regardait avidement et devant lui elle se remit à se masturber. Balou voyait la toison blonde, la fente rose aux petites lèvres s’ouvrir comme une fleur. La rosée étincelait cette belle orchidée.
Les doigts de Magali la pénétraient, elle titilla également son pistil dressé. Elle se livrait entière aux regards de cet homme qu’elle aimait profondément.

Balou, le regard rivé vers cette douce toison, se jeta entre les cuisses de sa jeune amante. Il voulait la boire, respirer son parfum, la découvrir avec sa bouche.

Magali hurla dès que les lèvres de son aîné se posèrent sur son intimité. Sa langue taquina son pistil. Ensuite elle la sentit la pénétrer. Son ventre se crispa, elle connu un orgasme fabuleux. Elle appuya la tête de son amant contre le centre de son plaisir en jouissant comme une damnée. Son ventre déversait un feu de joie qui la foudroya.
Oui damnée elle était, elle le savait. Le pêché de chair, le fait de braver un interdit accru encore davantage son extase. Elle cria sans retenue aucune le prénom de son parrain.

Balou suça, lécha, pénétra cet antre du plaisir dont le miel coulait sur son menton. Il écoutait Magali hurler, il la sentait jouir. L’orchidée accueilli deux doigts qu’il fit rapidement coulisser en elle. Il se rendit vite compte que les vas et viens ainsi activés déclenchèrent une seconde vague orgasmique dans le corps de sa petite amante.
Il se releva légèrement et il la regarda avec tendresse, jouir sous ses caresses.

- Déshabille-toi, je veux te voir nu, supplia ensuite Magali.

Il s’exécuta de bonne grâce, son amante le regardait faire, allongée maintenant sur son ventre, ses deux mains sous son menton.

Magali, enfin le vit nu. Ses yeux bleus ne quittaient pas l’objet démesurément allongé qui tressautait au bas ventre de son aîné. Les lourdes bourses se balançaient comme le balancier d’une horloge comtoise. Les cuisses musclées et velues, la toison pubienne noire d’où émergeait ce dard, attirèrent aussi son regard.
Elle se leva, s’approcha de Balou. Timidement ses doigts se posèrent sur sa poitrine velue.

Balou était debout nu face à son amante. Elle se leva et lui caressa la poitrine. Puis il vit les blanches mains de Magali se poser sur sa hampe. Dès cet instant il perdu toute notion de la réalité des choses. Le vertige de l’interdit l’attira, il se laissa tomber pour toujours dans ce puis de luxure.

La petite peste s’agenouilla devant lui. Ses mains caressaient les cuisses. Puis Balou vit les lèvres roses se poser sur le gland. Une bouche chaude se mit ensuite à le sucer timidement.

- Je le fais bien ? demanda une voix de poupée. J’ai pas trop l’habitude tu sais.
- Oui oui ouiiiiiiiiiiii, hummmm c’est trop bon, haleta Balou

Balou tremblait. Il dû s’agripper à la commode. Il se regarda disparaître dans la bouche amoureuse et gourmande. La langue douce s’enroula autour de lui. Son tronc rigide laissait voir des veines bleues gorgées à souhait. Les petites mains de Magali allaient et venaient sur sa hampe.
Quelle douceur. Magali le fellationnait très doucement, avec la même tendresse qu’il avait montré en la caressant avant.
- Ma chérie je vais jouir bientôt, prévint Balou. Je n’en peux plus. Ta bouche est si douce, hummmmm aaoooohhhhh Magaliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, grogna-t-il.

Magali sentait cette verge palpiter dans sa bouche. Elle se dit que c’était un être vivant à part entière. Heureusement que Balou appréciait sa caresse car elle n’était pas une experte en fellation, mais elle savait qu’il aimait qu’on lui prodigue cette douceur. Ce sexe était dur et si doux, le gland avait la forme d’un casque violet et elle aimait sa texture et sa saveur.
Elle était également impressionnée par les grosses veines bleues qui couraient sous la fine peau de ce menhir érigé pour elle.

Soudain un cri.

Magali vit devant ses yeux les jets de sève être expulsés par le gland. Elle lâcha la verge.
Elle senti la chaleur de la semence sur elle, sur son menton.
Elle vit aussi Balou prendre sa hampe en main et se masturber au-dessus de son visage. La main allait et venait à une vitesse vertigineuse.

Un autre cri, plutôt un hurlement et horrifiée elle vit qu’il l’aspergeait de toute sa semence.
Magali resta agenouillée devant son amant sans oser bouger, elle ferma les yeux. Elle avait l’impression que des centaines de jets chauds s’abattaient sur son visage, sur ses épaules, dans ses blonds cheveux.

Agenouillée, la tête relevée face à la hampe, mais les yeux clos, elle se faisait oindre pour son premier baptême du plaisir.

Balou hurla en éjaculant. Il dirigea sa verge vers le visage de poupée. Il l’aspergea. Elle avait fermé ses yeux mais gardait la tête relevée vers lui. Cette vision décupla son orgasme et lui aussi ferma ses yeux tout le temps que dura son bonheur.

Les secondes s’égrainèrent.

A bout de souffle, il rouvrit les yeux. Magali ne bougeait toujours pas. De grasses traînées de semence coulaient sur ses joues. D’autres ruisselaient entre ses lèvres qu’une langue rose recueillait. D’autres encore dégoulinaient de ses épaules et dans ses cheveux.

- Tu peux ouvrir les yeux ma chérie, dit Balou.

Les yeux bleus le regardèrent passionnément, amoureusement. Magali léchait la sève qui refroidissait déjà en la recueillant avec ses doigts.

- J’étais paralysée tu sais, je ne savais que faire, dit la poupée blonde.
- Tu as été parfaite, c’était fabuleux, dit Balou en la relevant. Puis il l’embrassa tendrement. Ils restèrent enlacés debout au milieu de la pièce maintenant silencieuse.
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