Novembre 2024 | ||||||||||
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Après un petit moment, Sophie me propose de prendre un bain pour nous réchauffer et nous chauffer par la même occasion. J’éteins mon ordi et je vais faire couler un bain, bien chaud. Une fois prêt, j’appelle Sophie.
Elle me rejoint, et nous finissons de consumer dame Marie-Janne, coucher l’un en face de l’autre dans la baignoire.
Après un bon moment de détente, je commence à lui caresser les jambes, se simple contacte avec sa peau m’excite, mon sexe gonfle de plus en plus et vient se blottir sous ses cuisses, au bout d’un moment elle relève ses pieds sur le bord de la baignoire et ouvre ses cuisses, m’invitant à continuer les caresses. Je me redresse et mes mains glissent le long de ses cuisses, mes pousses effleurent son entre jambe et je continue les caresses sur ses cuisses. Je m’installe ensuite jambes croisées sous ses fesses et pousse ses jambes vers elle, je me retrouve alors en tête à tête avec son sexe ouvert, surplombant son anus.
Je prends son gel douche, et je le fais couler sur son pubis, ma main caresse ce petit duvet de poil, puis je fais descendre mes doigts de part et d’autre de ses lèvres, jusque sur son anus que je caresse délicatement avant de remonter le long de son vagin. Mes mains en tremblent de plaisir, je passe son clitoris entre mes doigts, je le sens durcir, je parcours ce chemin à plusieurs reprises, j’ai envie de m’y perdre.
De retour sur son anus, qu’elle me laisse caresser et même lécher de temps en temps, je décide alors de m’en occuper un peu plus sérieusement, en espérant pouvoir y glisser un doigt, pour lui faire découvrir de nouvelles sensations. Je fais tourner mon majeur sur ce petit anneau, qui de contracté, passe vite à un état de décontraction total, en passant sur l’orifice, je sens mon doigt comme aspiré, mais non, je n’y entrerai pas, tant qu’elle ne m’y invite pas ! Et c’est à ce moment-là qu’elle me dit stop, on se lave et on monte…
Je sors de l’eau en premier et monte dans la chambre allumer quelques bougies, je pose l’huile de massage sur la petite table à côté du lit, puis je me couche et me caresse en attendant qu’elle monte me rejoindre. Elle arrive enfin en haut de l’escalier, nue, et me demande ce qu’elle doit faire.
Je lui demande de prendre l’huile et de venir vers moi, elle s’installe assise en tailleur face à moi, je me redresse et place mes jambes de chaque côté de ses cuisses. Elle me donne un peu d’huile et en prend dans sa main. Nous fermons les yeux et commençons à nous masser, je sens ses mains sur ma peau et j’ai du mal à me concentrer. Tout en nous caressant, nos têtes se rapprochent et se posent l’une contre l’autre, son désir se fait sentir par sa respiration. Nos mains continuent de glisser sur nos corps, elles descendent, remontent, se croisent, s’entremêle. Elle passe sa joue contre la mienne, ses lèvres effleurent les miennes, elle embrasse mon coup, je caresse ses seins, elle mes fesses, son ventre, mes cuisses, ses hanches. À cet instant, mon corps brûle de désir et d’amour, elle s’empare de ma verge et commence à me masturber tout doucement. Je remonte le long de sa cuisse et j’arrive sur son vagin, mes doigts glisse dans une moiteur excitante, je sens la lave de son volcan couler sur mes doigts. Elle déplie ses jambes et se rapproche de moi. Je retire ma main, elle commence à frotter mon gland sur son clitoris et entre ses lèvres. Elle se cambre de plus en plus et soudain, d’un grand coup de hanche, elle enrobe mon pénis de tout son corps, ses cuisses glissent sur les miennes, elle va et vient. Nos deux corps n’en forment plus qu’un, nos langues tournent l’une autour de l’autre, sa chaleur envahit mon corps, je vais exploser. Elle stop son va et vient, délie nos corps et se couche sur le dos, les jambes écartées. Je me mets à genoux entre ses cuisses, je prends ma verge et lui frotte la chatte avec, puis je fais glisser mon gland dans son antre, elle se cambre et je sens dans chacun de mes mouvements son clitoris frotter sur ma verge. Elle s’accroche à mes fesses et me donne le rythme, elle gémit, je sens son vagin se contracter et nous explosons ensemble…
Je me retrouve blotti contre son sein, nos mains ne peuvent s’empêcher d’effleurer la peau de l’autre, des frissons parcourent mon corps.
Je l’aime.
Balou se réveilla ce samedi matin avec un goût étrange dans la bouche, une sensation de gueule de bois, alors qu’il n’avait pas picolé.
Il se souvenait de la nuit de débauche homosexuelle qui l’avait entraîné vers un abîme sans fond.
Comment avait-il pu céder aux envies de Marie aussi facilement ?
Il réfléchissait à cette situation ubuesque, en se disant que son amie irlandaise avait un sens développé pour des pratiques sexuelles hors normes, du moins à ses yeux.
Celle-ci dormait allongée à ses côtés. Ils avaient longuement discuté après le départ de Marc. Balou avait fait comprendre à Marie qu’il ne souhaitait plus renouveler ce type d’expérience. Elle lui avait rétorqué qu’une fois un fantasme réalisé, l’humain généralement se sent coupable d’avoir transgressé les règles, règles qu’on se crée soi-même évidemment.
Balou ne pouvait nier le plaisir que lui avaient procuré les trois bouches anonymes et le corps à corps avec Marc. Mais maintenant avec du recul il trouvait ces orgasmes fades, comme un régime sans sel.
Il se retourna vers Marie qui dormait toujours. Nue sous le drap fin, seules ses épaules blanches aux taches de rousseurs dépassaient. Il se pencha, et déposa un léger baiser sur la peau soyeuse.
Balou se leva, se doucha, bu un café noir en fumant une cigarette. Il se demandait si sa vie ne prenait pas un tournant dangereux en acceptant les frasques sexuelles de Marie.
Marie se réveilla, elle tâtonna dans le lit à la recherche de son homme. Du côté de Balou les draps étaient froids.
Elle s’étira langoureusement, elle aurait bien voulu que son compagnon soit avec elle en cet instant. Elle repensait à la nuit dernière où elle avait admiré Marc se faisant prendre par Balou. Ces pensées l’excitaient, elle sentait son orchidée rousse qui s’humidifiait.
Marie repoussa les draps. Couchée sur le dos, elle se caressait le ventre. Ses cuisses s’écartèrent doucement, ses doigts frôlaient l’entrecuisse puis remontaient progressivement vers son bouton déjà luisant. Elle jouait avec lui tout en insérant un puis deux doigts en son ventre.
Elle pensait à ces deux hommes qui s’étaient livrés aux plaisirs de Sodome devant ses yeux. Marie aurait bien voulu prendre en bouche la verge de Marc, caresser ses bourses, et sa peau rasée. Elle pensait à ce plaisir intense, le gland de Marc entre ses lèvres et lui en train de se faire sodomiser par Balou.
Elle se passa la langue sur ses lèvres, et accéléra les vas et viens de ses doigts. Marie gémissait seule dans la chambre.
Maintenant elle avait la hampe de Marc au fond de la gorge. Marie voyait son boss blond gémir sous sa caresse buccale. Elle tenait aux creux de ses mains les lourdes bourses revêtues de quelques blonds poils.
Marie se masturbait avec frénésie. Sucer son patron gay était de ses grands fantasmes. Le faire crier de bonheur, malgré le fait qu’il soit homosexuel, la mettait dans tous ses états.
Le plaisir montait, le feu brûlait. Ses doigts étaient humides. Soudain, elle se redressa, se positionna à quatre pattes, offrant sa croupe à la porte de la chambre.
Une main caressait sa luisante fente, l’autre introduisit 2 doigts dans son pertuis. Ainsi pénétrée par les deux côtés, elle s’imagina prise par Balou et Marc.
Elle sursauta. Une bouche venait de déposer un baiser sur ses fesses blanches parsemées de taches de rousseur. Ensuite deux mains agrippèrent ses hanches, puis elle sentit le gland d’une verge cogner contre son ventre.
- Ah oui, oui défonce-moi, gémit Marie.
Balou se tenait derrière elle. Il inséra un doigt explorateur entre les fesses de sa compagne. Simultanément il fit pénétrer sa hampe dans le sillon mielleux.
Marie cria d’abord de surprise. Ses pensées se télescopaient, fantasme et réalité se mêlaient. Mais c’était si bon que Marc soit venu juste à cet instant. Elle le sentait bien en elle, de plus son doigt la sodomisait gentiment. Elle poussa sa croupe pour venir davantage à sa rencontre. La verge l’emplissait, elle allait et venait de plus en plus vite.
Ses pensées divaguèrent vers Marc son Chef homo, elle le voyait qui la prenait à grands coups. Oui, c’était lui qui coulissait en son ventre, là en ce moment. « Quelle divine pensée », se dit-elle, en jouissant sous les premières vagues de l’orgasme.
- Encore, encore hurla-t-elle.
Balou souriait, il était ravi de cet intermède matinal. Il donna plusieurs claques sur les fesses blanches de Marie en gémissant « oui ma belle, Marc va te défoncer »
A ces mots, Marie lâcha un rugissement de lionne. Son corps se crispa, son ventre explosa dans une multitude d’orgasmes.
Balou sentit les muscles intimes de sa compagne se refermer sur sa hampe comme pour le happer. Il ne pu se retenir plus longtemps, l’éjaculation vint lui ouvrir la porte du bonheur.
Plus tard, allongés côte à côte, tous deux devisaient.
- Je t’ai entendu appeler « Marc » tout à l’heure lorsque tu te masturbais. Tu fantasmes sur lui ? Interrogea Balou.
Marie se mordit la lèvre inférieure. « Mince j’ai gaffé » se dit-elle.
- Franchement, la nuit dernière, vous voir ensemble tous les deux, m’a grandement excité. Alors oui j’ai fantasmé sur lui, v’là t’es content !
Balou la regarda intensément dans les yeux et répondit :
- C’est ton droit, mais notre relation n’est-elle pas en train de prendre l’eau ?
Marie se leva prestement, « nous en parlerons après ma douche, devant un bon café noir. Tu le prépares mon Chéri ? »
« Cette jeune femme rousse est sacrément particulière » pensa Balou en se dirigeant vers la cuisine.
Après l’épisode d’Angela, Marie avait emménagé chez Balou (cf. la série « la dolce vita »). Elle avait relooké l’appartement, redonné une âme à ce logement. Puis elle avait décroché un job dans un service de communication dirigé par Marc.
Marie et Balou filaient le parfait amour. Cependant les caprices sexuels de sa compagne commençaient à agacer Balou. Non pas qu’il fut prude ou coincé, mais la multitude de partenaires noctambules dont Marie avait envie n’était pas compatible avec ses aspirations.
Ils discutèrent de ce sujet une bonne partie de la matinée.
- Je t’avais prévenu Balou, ma sexualité est souvent débridée. Tu as voulu vivre avec moi, donc il faut que tu en assumes les conséquences, répéta plusieurs fois Marie.
Balou était peiné. Evidemment il savait tout cela, mais il pensait qu’avec le temps et l’amour qu’il portait à Marie, ses « écarts » s’amenuiseraient.
- Allez arrête de faire ta tête des mauvais jours, je suis ainsi faite, tu n’y changeras rien. Si tu veux je me barre, c’est ce que tu veux ?
Balou ne pipa mot.
Marie continua sur sa lancée :
- Nous nous entendons à merveille au lit, tu es un amant formidable, et je t’aime. J’ai envie de vivre avec toi. Je désire te faire connaître d’autres plaisirs et les partager avec l’homme de ma vie, donc toi.
- D’accord, mais comprends-moi. Je suis parfois déstabilisé par tes excès, même si j’y prends du plaisir, rétorqua Balou.
- Ok my Darling, dit-elle avec son petit accent so british qui faisait chaque fois craquer Balou.
Marie se leva de sa chaise pour s’agenouiller aux pieds de Balou.
- Pardon mon chéri de t’avoir chagriné. J’ai envie de me faire pardonner mon chou.
D’autorité elle déboutonna le pantalon, qu’elle jeta dans un coin. Sa blanche main caressait la bosse qui se formait sous l’étoffe du caleçon.
Balou haletait. « Elle me rend dingue, mais j’aime ». Il ferma les yeux lorsqu’il senti la chaude bouche de Marie l’avaler progressivement.
Le silence dans la cuisine. Seuls les bruits de succion d’une voluptueuse jeune femme rousse emplissaient la pièce. Quelques soupirs de ci de là accompagnaient la belle fellatrice dans son œuvre.
Marie avait les lèvres distendues par l’imposant diamètre de cette verge qu’elle aimait. Ses rouges lèvres pulpeuses étaient soudées au tronc, elle pompait.
Sa longue langue rose s’enroulait autour du membre dressé, pour ensuite lécher délicatement les bourses poilues et le doux gland couleur framboise.
Marie adorait sucer Balou. Elle aimait plus que tout l’emporter au bord du précipice du bonheur en ralentissant sa caresse. Elle reprenait également son souffle de cette manière. Puis, elle masturbait le menhir entre ses soyeux cheveux roux. Balou raffolait de cet attouchement.
Lorsqu’elle sentait les soubresauts annonciateurs de l’éjaculation, elle stoppait tout contact, attendant que la tension baisse d’un palier. Puis elle reprenait sa succion pour emmener Balou dans un cran supplémentaire vers la limite ultime avant l’orgasme. C’était un exercice qu’elle maîtrisait parfaitement.
Palier après palier, elle guidait son compagnon vers la jouissance suprême. Langue, bouche, et doigts devenaient alors insupportables, tant le membre était tendu à l’extrême. Tout le plaisir se concentrait dans cette hampe, la sève se mettait à bouillir dans les bourses. Le plaisir montait crescendo du creux des reins de Balou pour aboutir dans sa verge.
Ces allers et venues duraient depuis un long moment déjà. Balou voyait sa verge humide de salive, apparaître puis disparaître entre les lèvres de son amante. Il avait été plusieurs fois à deux doigts de jouir, mais à chaque fois Marie réussissait grâce à son talent, à contenir le bonheur libérateur.
La porte de la cuisine grinça. Du coin de l’œil, Marie vit la blonde tignasse de Magali dans l’embrasure de la porte. Balou n’avait rien remarqué, il haletait comme un damné.
- Ferme les yeux mon chéri, demanda Marie.
- Je n’en peux plus, ne me laisse pas dans cet état, gémit-il.
- promis oui, je vais te faire une surprise.
Balou céda une nouvelle fois à ses caprices.
Magali voyait Balou assis sur une chaise dans la cuisine, Marie entre ses cuisses le fellationnait amoureusement. Elle arrivait comme un cheveu sur la soupe, certes, mais ce n’était pas de sa faute si la sonnette de l’entrée ne fonctionnait pas. …..
Elle savait que Marie avait détecté sa présence, alors que Balou ahanait sur son siège sexe fièrement érigé.
- Garde les yeux fermés, je te dirai quand les ouvrir, lui intima Marie.
Balou attendait fébrilement la suite. Cette fellation lui avait procuré mille plaisirs, mais il savait pertinemment que l’orgasme qui allait suivre, le ferait une nouvelle fois décoller vers le paradis.
Les yeux clos, il sentit la bouche reprendre sa caresse. Celle-ci lui semblait timide au premier abord.
Magali suçait enfin son Balou chéri. Cela faisait une éternité qu’elle n’y avait plus goûtée. Elle savourait ce moment de tendre complicité.
Soudain, Balou compris que ce n’était plus Marie qui le caressait. Il sentit que des mains se posaient sur ses paupières.
- Ta blonde nymphe va te faire jouir, murmura Marie dans son cou, avant de l’embrasser tendrement.
Il gémit de plus belle.
- Ouvre les yeux.
Magali, nue, agenouillée aux pieds de son aîné, vit Balou ouvrir les paupières en gémissant. Il la regardait tendrement, comme il l’avait si gentiment fait par le passé. Son regard était rempli de tendresse et d’amour. Il lui souriait béatement.
Magali s’activa sur le membre comme elle avait appris à le faire à ses jeunes amants de la fac. Marie également lui avait montré la voie en l’observant tout à l’heure.
Balou vit Marie rejoindre Magali à ses pieds. Toutes deux maintenant se relayaient alternativement. Deux femmes nues devant lui, « mon dieu je rêve » pensa-t-il.
Un cri.
Le hurlement ravagea la petite cuisine. Une chaise se renversa. Deux déesses tentaient de boire la semence de l’homme qui jouissait ardemment, les yeux injectés de sang. Elles pompaient le dard qui crachait sa lave blanche, des jets s’écrasèrent dans leur cheveux, sur leur menton, et leurs poitrines.
Magali fut la première à recueillir dans sa bouche la semence de Balou. Lui, il poussait des hurlements de dément, jamais elle ne l’avait vu dans un tel état. Marie lui prêta main forte et pris sa place pendant qu’elle branlait la hampe.
…………………………………………….
Balou reprit ses esprits. La cuisine vidée de sexe lui semblait bien calme.
Il tendit l’oreille. De la chambre à coucher lui parvenait des râles étouffés……
Il se rajusta, et à pattes de velours se dirigea vers le fond de l’appartement.
Têtes bêches, Magali et Marie étaient imbriquées. Coups de langues, doigtés, caresses, gémissements, agrémentaient le spectacle. Les jeunes femmes s’en donnaient à cœur joie.
Balou était stupéfié de les voir ainsi, ses deux amies prenaient un plaisir certain dans leurs ébats, mêlés d’amour et de sensualité.
Magali jouis la première, sous la bouche de Marie. Elle sentit la langue de sa rousse amante bien en elle, de plus Marie jouait admirablement des doigts sur son bouton d’amour.
Marie était couché sur elle, sa chevelure bien ancrée entre ses cuisses. Le plaisir fut à la fois violent et rapide, enfin elle redécouvrait les joies de Sapho.
Balou admirait sa blonde protégée de 19 ans, jouir sous les caresses de sa compagne. Il lui semblait que les seins de Magali étaient dressés comme jamais ils ne l’avaient été, en effet les bouts roses tendues, dardaient comme un appel.
Marie se redressa la première en se léchant les lèvres avec sa langue, telle une lionne dégustant sa proie.
- Non reste !!! Supplia Magali
- Je reviens ma poulette.
Marie vit Balou, elle se releva. Comme une divine apparition, elle lui prit la main et le guida vers la couche où Magali reposait.
Magali toute émoustillée par la venue de son Balounet chéri, le regardait venir à elle avec envie. Marie le guidait gentiment.
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