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Eros - essais érotiques

Samedi 9 juillet 6 09 /07 /Juil 00:00

Suite de Sophie – Partie II et de Les premiers contacts

Béa était partie se doucher avec Sophie, moi j’étais cantonné à aller préparer l’apéro… Je sortais les coupes, mais je me demandais bien ce qui pouvait se passer à l’étage pendant mon absence. J’entendais des rires et l’eau qui coulait… La curiosité et l’excitation finirent par prendre le dessus, j’attrapais une bouteille de champagne dans le frigo et 3 coupes et je montais les rejoindre.

 J’étais derrière la porte, j’hésitais encore quelques secondes, allais-je me faire envoyé bouler ? Le pire s’était qu’il n’y avait même pas de serrure à la porte pour se rincer l’œil ! Je finis par me décider, j'ouvris la porte sans frapper, j'entendis à ce moment les filles éclater de rire.

 "On se demandait combien de temps tu allais tenir me dit Bea en continuant de rire. Elle, d'habitude assez pudique, même si elle faisait l'été du seins nus sur la plage, était en culotte et cherchait du shampoing dans l'armoire. Sophie, même si elle souriait, était un peu gênée, car elle était en train de faire pipi. Elle finit de se relever, pris 2 feuilles de papier et s'essuya le minou. Se relevant, elle remis son string.

 J'étais assez excité de voir ces 2 dames sans pudeur devant moi, et j’enchaînais tout de suite.  « Ben tu ne te laves pas » dis-je à Sophie en m’approchant d’elle « Si, si », et elle souleva a quelques centimètres de mes yeux son top blanc pour enfin me laisser découvrir  ses seins en réel…Ils étaient splendides, était ce l’excitation ou le fait de se sentir à l’air toujours est-il qu’ils semblaient très fermes et les tétons suppliaient que je les malaxes. « Et toi, tu ne devais pas nous servir l’apéro », me lança Sophie pour me faire revenir à la réalité.

 Je fermais la bouche et me retournais pour déboucher la bouteille, je remplissais les coupes, Sophie me parla à nouveau, sans doute était ce pour savoir quelle était la marque du  champagne, je ne me souviens plus….Ce que je me souviens par contre, comme si c’était hier : Je me suis retourné pour lui répondre, elle était en train de retirer son petit string tout naturellement. Le fait de découvrir ainsi son sexe me donna un frisson. Bien que n’étant pas totalement épilé comme celui de Bea, il était clair que le sexe de Sophie était très régulièrement entretenu, le maillot était épilé, et il ne restait qu’un tout petit triangle de duvet roux tondu a quelques millimètres… Le spectacle était fabuleux, Sophie alla à la douche et Bea la rejoint. Bea et Sophie se savonnaient mutuellement pendant que je servais les coupes. Avec le spectacle, j'en foutais autant à coté :) Je n'osais pas les rejoindre à la douche, tant ma bite était dure, je me contentais d'admirer le spectacle. Elles se savonnaient les seins et leurs tétons frottaient  entre eux régulièrement.
Sophie me dit : "Et toi, tu te sens propre, ou tu n'arrives pas à retirer son slip tant l'élastique est tendu ?"

 J'étais démasqué, Bea éclata de rire, je baissais mon pantalon et mon slip. "Et bien" dit Sophie. Béa me regardait en souriant, mais je pouvais deviner un peu de crainte dans son regard. Peut être avait elle compris qu'un stade de non retour avait été franchi.

 Les deux filles sortirent de la douche, nous avons trinqué ensemble, c’était vraiment sympa, nous étions tous les 3 à poils, l’eau perlait sur les corps de Bea et Sophie. Bea me donna une tape sur les fesses et me dit « Allez, mon crasseux » et m’accompagna vers la douche, elle me frottait le buste et le sexe avec le gel douche, c’était vraiment agréable, Sophie arriva à son tour, demanda à Bea si elle voulait de l’aide. Bea me regarda avec son petit sourire coquin que j’aime et accepta volontiers l’aide de Sophie qui mit du cœur à l’ouvrage. Sophie me frotta d’abord la poitrine pendant que Bea me nettoyait les fesses en profondeur, Sophie jouait à passer avec ses doigts sur mes tétons, puis elle attrapa mon sexe à pleine main et le frictionna avec énergie. Cette branlette au gel douche qui s’accompagnait du spectacle de ses seins qui s’agitaient devant moi faisait monter la sève, et je faillis éjaculer. Mais Bea nous calma en nous rinçant avec de l’eau bien froide. Nous sommes sorti tous les 3 de la douche et avons rempli une nouvelle fois nos coupes.

 Bea entamait la visite de la maison, enfin ce ne fût pas long, puisque arrivé à la chambre, et alors que je passais devant elle, elle me poussa et me fit tomber sur le lit et dit « là c’est la salle de sport ! » .Je me laissais tomber sur le dos Bea me monta dessus et commença à m’embrasser goulûment, les fesses volontairement bien en l’air. J’imagine que Sophie qui était derrière avait un beau spectacle ! D’ailleurs, elle ne tarda pas à arriver, je sentait ses poings appuyés le long de ma cuisse, mais ne sentait ni caresses, ni sa bouche.  Je compris quelques instants plus tard en entendant Bea gémir que Sophie était en train de lui bouffer la chatte. D’ailleurs, je sentais les tétons de Sophie qui frottaient sur mes cuisses, je bandais de plus belle, j’avais l’impression que ma bite allait exploser, je saisit les seins de Bea et continuait à l’embrasser, quel plaisir ! Nous avions à notre disposition une 3ème  personne qui nous donnait du plaisir à tous les deux, Bea se laissait totalement aller et poussait des cris, Sophie finit par engloutir ma bite et pompait tant qu’elle pouvait. Bea qui avait deviné la situation se recula légèrement pour m’embrasser la poitrine et approcha son cul de Sophie de manière à ce que le nez de Sophie frotte sur le clito de Bea lorsqu’elle s’activait sur ma bite.

 Bea finit par se relever… Elle se retourne pour accompagner Sophie dans la pipe. La sensation est formidable, c’est la première fois de ma vie que je reçois une fellation par deux femmes à la fois. Je sens la sève s’approcher de la sortie, ce qui commence à m’inquiéter. Je sens bien que je ne vais pas tenir la route très longtemps. Bea approche ses fesses de moi pour recevoir encore quelques coups de langue, je la sens alors jouir. Alors qu’elle continue de s’activer sur mon sexe avec Sophie. Elle se redresse et installe Sophie a quatre pattes sur moi pour que je lui donne à mon tour du plaisir avec la langue dans un 69 sympathique. Bea se lève, s’approche de ma tête et écarte délicatement les fesses de Sophie, elle mouille ses doigts et commence à lui malaxer l’anus, comme celui-ci résiste un peu je l’accompagne de quelques coups de langue, Bea décide alors de carrément lui bouffer le trou alors que je m’occupe de la chatte de Sophie, qui ne tarde pas à jouir. Sophie dans un dernier spasme se redresse et s’allonge sur le dos, nous offrant sa chatte béante et dégoulinante, j’hésite à m’y introduire, mais nous avons promis avec  Bea. Heureusement, Bea prend la situation en main, se place à 4 pattes devant Sophie me présentant ainsi sa chatte tout aussi dégoulinante. Je la prend en levrette et jouis assez rapidement.

 Nous nous reposons tous dans un grand câlin à trois, je finis par descendre préparer quelques toasts que nous dégustons ensemble. Nous avons passé un après midi super sympas avec Sophie, nous l’avons reconduit chez elle. En nous disant à bientôt.

A suivre….

Dimanche 19 juin 7 19 /06 /Juin 00:00

Milo Manara est le maître contemporains du dessin érotique. Vous avez surement noté certain de ses superbes dessins dans l'album photo graphics zérotic.

Les femmes qu'il dessine sont superbes.

J'espère que vous lirez ces albums avec délices, entre deux sessions de surf ou de jambes en l'air. n'est ce pas aline...

Voici sa bio provenant du site: Rendez-vous de la bande dessiné d'Amiens.  http://bd.amiens.com/actu.php

En 1966, alors qu'il gagne sa vie comme assistant de sculpteur, Manara découvre la bande dessinée chez l'artiste espagnol Berrocal, à travers Barbarella (de Jean Claude Forest) et Jodelle (de Guy Peellaert). A partir de 1969, il dessine 22 épisodes de Genius pour le compte des éditions Furio Vanio.

De 1971 à 1973, il s'associe avec le scénariste Francesco Rubino et conçoit 48 aventures de Jolanda, une femme pirate parue aux éditions Erregi.
Sa première oeuvre ambitieuse, Lo Scimmiotto (le Singe) paraît en 1976, une oeuvre personnelle aussitôt remarquée par les éditions Casterman.
Pour les éditions Larousse, Manara illustre, de 1976 à 1978, 5 épisodes de l'Histoire de France en bandes dessinées. Toujours pour le même éditeur, il réalise ensuite en 1979 deux récits de la "Découverte du monde en bandes dessinées" et participe l'année suivante au recueil collectif l'Histoire de la Chine..
En 1978, il crée le personnage de Guiseppe Bergman dans le mensuel A Suivre (paru chez Casterman en 1980).
La revue A suivre publie également quelques histoires brèves de Manara, reprises dans le recueil Trompeuses Apparences chez Kesselring en 1984. Ce dernier ouvrage est ensuite proposé sous les titres Courts Métrages (éditions Albin Michel 1988) puis Nouvelles Coquines (éditions J'ai Lu 1989).
En 1982, il se lance dans le western et illustre Quatre doigts, l'homme de papier dans Pilote.
Dès 1983, Manara acquiert une réputaion dans le domaine de la bande dessinée érotique.


Pour Playmen (en Italie) et l'Echo des Savanes (en France), il dessine le premier volume du Déclic. Le succès est immédiat et cette histoire est adaptée sous la forme d'un long-métrage cinématographique réalisé par Jean-Louis Richard et Bob Rafelson, avec Jean-Pierre Kalfon et Florence Guérin dans les principaux rôles.
Manara transforme cet essai et publie en albums Le Parfum de l'Invisible en 1986, Candide Caméra en 1988 et le Déclic n°2 en 1991.
Ces récits sont pré-publiés dans l'Echo des Savanes et sont repris en recueils chez Albin Michel.
Ne se limitant pas au genre érotique, il s'associe avec Hugo Pratt. Ce dernier lui écrit L'Été Indien, une grande fresque retraçant un dramatique épisode de la colonisation nord-américaine, au XVIIème siècle.
En 1991, toujours avec Hugo Pratt, il entreprend El Gaucho dans le revue italienne Il Grifo, publié en décembre 1992 dans A Suivre.
Manara entretient également des rapports privilégiés avec Frederico Fellini, dont il illustre certains sinopsis, le Voyage à Tulum en 1986 et le Voyage d G. Mastorna en 1992.
En décembre 1991, avec Enzo Biagi, il publie Christophe Colomb aux éditions italiennes Mondadori.
Mais les activités de Milo Manara ne se limitent pas à la bande dessinée...

 

Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 00:00

Salut, Voici donc l'autre fois j'ai arrêté de raconter, ben j'étais chaud a mort quoi, en racontant ! Je mouillais mon survêt en plusse, donc j'ai arrêté et j'ai fait une jackoff  devant lŽordi. Bon maintenant, je reprends, la suite de lŽaprèm, de l'autre samedi.

Donc, elle gémissait encore plus, elle sentait ma coquandce entre son dos et mes abdos, elle chauffait, quoi ! J'ai glissé ma main dans son slip, le ventre chaud  puis je suis descendu plus bas. Elle rase totale toujours, donc là pas de poil, et j'ai touché directe son clito. Là j'ai pas arrêté de lui touché son clito juste le doigt du milieu, en faisant tourner le bout du doigt juste dessus en tournant dans un sens sur son clito puis dans l'autre, puis très vite juste hyper light dessus, puis lentement en appuyant fort dessus, en tournant.

Je dis pas, elle gémissait tout le temps, à gauche et à droite de chaque coté, elle tirait sur le drap avec ses mains, pour s'accrocher, ben moi j'avais maintenant le drap tout chaud humide sous mon dos, et je transpirais. En même temps que je lui vibrais sur son clito, j'ai poussé avec mon ventre pour frotter ma tebi dans ses reins. C'était bon, hyyyper jouissif woua comme sensass, en plus comme j'étais sous elle (elle couché sur moi me tournant le dos), jŽavais mis ses cuisses entre mes cuisses ouvertes, mais j'ai ramené les pieds, en bas, entre ces pieds à elle, pour bien les écarter. Donc là je pouvais appuyer clair et bien pousser, lui faire sentir ma queue frotter dans ses reins entre nous.

Apres des minutes comme ça, elle gémissait 1peu plus fort quoi ! Là elle a mit la main dessus la mienne sur son clito (c'est vaaachment vaaachment mouillé, ça glissait).

Et de l'autre main, j'attendais ça, elle a palpé bougé gauche droite, mes boules dans mon caleçon, c'était hyyyper bon, je n'en pouvais plus et donc j'ai retiré ma main de son clito pour lŽattraper au niveau les hanches de chaque coté et la soulever un peu. Là, elle a entré ma main dans mon slibar par la fente, elle a tiré ma queue out par la fente, puis je l'ai refait descendre sur moi. Ben ma queue a passé entre ses cuisses verticales donc contre son slibar.

J'ai la queue en fait arquée (forme banane quoi, quand je suis debout ça monte sur le nombril, donc là elle a plaqué verticale contre sa cocotte, mais y avait son slip entre les deux. J'ai lâché ses pieds écarté par mes pieds, et là elle a serré adonfe les cuisses sur ma tebi coincée entre sa cocotté et ses cuisses elle.

Je mouillais totale, c'est clair (depuis une heure chez moi avant !). J'ai passé ma main sur ma queue pour bien tirer la peau en bas bien décalotter tout, et elle a mis se main de suite dessus sur mon gland. Moi j'ai repris les mouv sur son clito directe, en tournant le majeur dessus comme avant.

Comme ma queue était coincée entre ses cuisses, y avait que le gland qui montait descendait up down donc elle a mis la main juste dessus. Quand je poussais entre ses cuisses elle frottait le gland avec ses doigts, et sinon quand je descendais, ma queue se branlait entre ses cuisses, puis elle remontait dans sa main. En même temps je lui ai branlé le clito. Ouais ben là j'ai la coquandce hardos en tapant ça maintenant ! !

A un moment, j'allais jouir comme ça tellement C'était bon, donc j'ai attrapé sa main pour la virer de ma queue et j'ai stoppé de pousser ma queue entre ses cuisses, seulement elles elle arrêtais pas de bougé dessus quoi, remuant en appuyant avec ses reins, et tout et mon doigt lui vibrait son clito. En fait elle gémissait tellement tout le temps, mais pas trop fort. Et des fois avec ma main je lui mettais devant la bouche quand elle vibrait trop pour quŽelle crie pas. Moi, j'en pouvais plus ! !! ! C'est clair !!
Elle a soulevé sa poitrine de moi, puis je l'ai poussé devant moi, et j'ai dressé mon dos. On était assis sur le bord de son pieu, elle entre mes cuisses et là j'ai continué à lui masturbé son clito comme ça, et le doigt dessus et elle, elle a passé la main son clito pour me jackoff  la queue pareille, man j'allais exploser, c'est clair ! ! Ben j'ai contourné la tête, elle a mis un bras derrière autour mes épaules et comme ça j'ai sucé son téton droite, et l'autre main je la branlé et elle aussi sur ma queue, et le gland raidos.
Quand elle a commencé a me griffé le dos avec ses doigt j'ai pensé quŽelle kiffait trop elle jouissait. Moi aussi, c'était total, purée C'était mad ! J'ai mis speed ma main dans la poche mon blouson, là j'avais des poppers.

J'ai décapsulé j'ai respiré dedans a fond narine gauche puis narine droite (elle prend pas) puis j'ai rebouché, j'ai laissé le poppers sur le pieu a coté, puis j'ai repris à lui mordre lécher le téton, waaaaa j'ai la tête qui zoomait d'un coup, j'ai pensé que c'est lŽorgasme.

Je l'ai mis debout pour encore faire durer, devant moi j'étais assis moi au bord de son pieu, et là j'ai mis le visage dans son ventre en léchant comme fou partout, elle criait je léchais tout le clito les lèvres tout, et dedans aussi elle cria gémissait en mŽattrapant les épaules et me griffait. Je sais pas comment je voulais retarder, mais pendant que lui faisait le cuni, j'ai quand même virer la main de ma queue, et quand même c parti, j'ai envoyé tout jus partout  sur le bord du pieu parterre  et ses jambes et mes zabdos, ben partout, c'"étais trop bon, ben j'ai plus rien vu senti ke le plaisir et son clito dans ma bouche, après j'ai comme des étoiles ! ! ! ! ! ! !
Je suis retombé sur le dos et elle est venus sur moi, couchée me serrant et me frottant, et bisous partout, on rester comme ça longtemps, je pouvais plus bouger et c'était trop bon et elle sur moi et chaude. Waahhhh après bon on s'est calmé une demi heure puis après j'ai pris la douche dans sa salle de bain puis elle aussi. Ben maintenant J'ai envie totale, raconter ça mŽa mis la koquance là.

 

Jeudi 26 mai 4 26 /05 /Mai 00:00

 C'est vrai que la masturbation est quelque chose de
géant. Rien que d'y penser, mon sexe commence déjà à
gonfler…j'aime à me dire que je vais me masturber.
C'est quelque chose que tu peux faire partout, à
n'importe quel moment…il suffit de voir une belle nana
ou bien de croiser un regard et ton imagination fait
le reste. Ensuite tu trouves un endroit où tu peux
être tranquille et tu te masturbes. Je pourrais le
faire 50 fois par jour ! C'est tellement bon…
Mais surtout, j'aime à penser que l'autre se
masturbe…un de mes kiff, est de me retrouver avec
quelqu'un dans une même pièce, me mastruber en
regardant l'autre le faire aussi. Avoir juste la tête
entre ses jambes et matter de très prêt sa
masturbation, voir son clit gonfler de plaisir, sentir
l'odeur du désir…aaaarghhh!

…il faut que j'aille me mastruber !

Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 00:00

Salut, j'ai 19a (bientôt 20 en fait). actuellement des rapports avek 1 copine de fac depuis novembre. hier samedi aprem, j'avais rien de spécial a faire. Déjeuné à 2 h, puis affalé sur le divan, je lookais des clips sur MCM et MTV BAse pour passer le temps. Il y a eu le "Money" de Charli Baltimore (hmmm jŽadore « Ice »).
Donc j'ai un peu trippé là pendant qu'elle zoukait.  elle est trop sexy, c'est clair. bon  jme lâche  là, allez ma queue a dressé. Ben jme suis dit c'est normal, c'est l'effet `Charli » (lol). Ca va passer avek le clip dŽaprès. Et parole j'ai pas tripoté ! j'ai laissé comme ça. En plusse, j'ai changé de chaîne, j'ai zappé sur Hits. Mais là yavait au même moment... Sweaty « Elle me contrôle »! ! ! (je l'avais pas cherché ! !).

C'est le nouveau single Pokora (si vous connaissez « Showbizz » qu'il a sorti avant). Sweaty si vous connaissez, vous zavez pigé : c'est hyper och suggestif, les filles la dance, la fille ki se couche à la fin sur Pokora torse nu). Ben là, ma kokance au lieu descendre...elle a monté total (lol). J'étais hardos total, je te dis pas. ben c'était trop,j'étais bon pour une jackoff là de suite.

Donc là ouai j'ai tripoté, c'était fun,là javais franchement envie en plusse (pourtant j'avais jacké la dernière fois vendredi, la nuit , au pieu). J'ai oté ma queue de mon baggy et j'ai commencé a branler. C'était mouillé donc ça allait pas tardé. Apres 5 minute, jai été au WC, là j'ai continué la jackoff debout devant le lavabo. Pendant que ça approchait (en fait, je fais jamais lŽorgazme de suite, jŽamène au bord 3 ou 4 fois avant de lacher).

Ben c'est là que j'ai pensé, dŽun coup : « Et si je phonais à Suiki là là ?... peut être quŽelle aura envie, et bon on peut faire un trip cool à 2 de suite. Chui ressorti, je lui phoné. Elle était dans sa chambre à la cité U. j'ai demandé ce quŽelle faisait là. Elle a pigé de suite.
« TŽas envie », elle ma dit un peu timidement. Elle est asiate, de Hongkong, elle a 22a, elle est trs fine (1 m60 a peu près), avek des lunettes très fines, cheveux noirs sur les épaules, trs timide, a voix tjs basse kan elle parle. Bon je passe les détails. Ouai, elle sort pas et elle ma dit de venir de suite. C est bon, j'ai rentré ma queue mais elle baissait pas, UP verticale. Bon je suis sorti speed, j'ai pris le bus puis le changement pour la cité U (là ouai, ma kokance a bien baissé heureusement, sinon même en baggy ça se voit).
Je lui rephoné kan je suis arrivé dans le hall de son bâtiment. Elle est descendue pour  me faire passer la porte avec badge. Elle mŽa kissé devant la loge vitrée du gardien, mais copains koi, et on a pris lŽescalier au 3e étage à sa chambre. Comme dhab, on sŽest déchaussé juste derrière sa porte et j'ai laissé là mes Puma SpeadCat.
C'était assez sombre, j'aim bien, et la radio allumé, elle avait baissé le store de la fenetre. Là je lai prise contre moi, ma kokance elle avait rappliké UP Verticale depuis le hall en bas. Et elle a bien  senti contre son ventre, kan je me frottais de gauche a droite. J'avais trop envie et elle ossi. Elle a tiré sur les lacets de mon baggy pour défaire, et j'ai continué à le virer, puis mon caleçon. J'ai déboutonné son jean et j'ai tiré vers le bas, elle lŽa quitté. Puis on a commencé comme dhab, ce qu'on souvent pour commencer.

J'avais ma queue vertical total, elle a palpé, elle a fait MMMmmm, puis elle a fait une vingtaine de fois, avec les deux mains ouvertes, les doigts tendus vers moi, et ma keu entre ses paumes, faisant aller et venir speed la peau. J'ai eu des ondes de plaisir maxi. Là je me suis assis sur son pieu, puis affalé en arriere, mes cuiisses ouvertes, et je lai tirée sur moi. On fait souvent comme ça pour commencer à chauffer ensemble. Elle sŽest couchée sur moi en me tournant le dos, son dos avec son t-shirt sur  ma poitrine, ses cuisses sur mes cuisses ouvertes. Sa tête a coté de la mienne. Avec les pieds que je met entre ses pieds jŽai écarté ses jambes pour que elle s'ouvre bien. (Hmmmm là en racontant ça, ben j'ai une kokance maxi là  dans mon froc devant lŽordi, mais bon faut que jŽaille au bout).

Elle gigotait doucement de gauche à droite et un peu vers le bas et haut, pour frotter ma queue avec ses reins contre mes abdos. Et moi j'ai commencé à la rendre folle à soulevant son t-shirt (donc mes mains passant sous son t-shirt pour caressé ses seins, titiller les ptits bouts en pinçant trs doucement, puis en tournant autour avek les doigts, en faisant des mouvements hypers légers et speed sur les tétons (donc comme avec une plume dessus). Ca la chauffe adonfe, et elle se met a gémir, puis ma main lui fait un téton et de l'autre main je caresse sa poitrine, son ventre les cotés partout. Puis je reprends les deux tétons. C'est seulement bien chode comme ça, que je fais passer ma main dans son slip, pour quelle soit bien mouillé d abord.

 

Mercredi 27 avril 3 27 /04 /Avr 00:00
 Doucement, elle lui dit, très doucement. Elle n'a pas le temps de finir de dire, il est déjà loin en elle, si doucement qu'une coulée de désir la fait se pencher plus encore pour qu'il aille plus loin encore. Depuis le début de la nuit d'automne où les grillons ne chantent plus, leurs lèvres se mêlent, leurs mains aussi, comme la douceur de leurs corps, à l'écart des images inventées censées déclencher des nouveautés au plaisir. Lentement, très lentement, il la caresse, la découvre, la parcoure, les doigts autour de son sexe lisse, juste autour, sans déflorer les secrets, il l'effleure délicatement, pas un mot, seulement le silence de leurs soupirs, et la nuit d'automne aux parfums de raisins vendangés, tout autour, tandis qu'il la désire ouverte et attentive, très attentive même. Les corps sont très près, instant de l'incarnation de la pensée qui les relie l'un à l'autre et les invente en amants. Entre ses mains à elle, joue la tige toute tendue, qui gonfle sous la pression des doigts, l'étreinte est audacieuse et amoureuse, chaque fragment des corps s'ouvre au plaisir, le bout des seins durcit sous la chaleur de la langue. Tout est très lent, tout est très doux, ils sont des amants en paix entièrement consacrés à débobiner leurs désirs précieux comme des fils d'or. Voilà qu'il devance, voilà qu'il prévoit, afin que la caresse invite à plus de hardiesse. Entre ses cuisses à elle, s'écoule vers on ne sait quelle embouchure le délicieux nectar parfumé d'ivresse, alors ses caresses à lui si près, si près, laissent fondre ce miel si doux là sur le ventre puis autour des seins gonflés, il sait alors qu'elle s'écarte plus encore, qu'elle s'offre et ça l'enchante, bien qu'il veuille encore attendre, attendre encore, et c'est beaucoup plus tard, à cet instant où la jouissance crée un goût délicieux au fond de la gorge, où l'émotion se métamorphose en larmes légères et fuyantes sur le visage, alors elle le sent entrer, c'est pourquoi elle dit doucement, très doucement, et même s'il ne dissimule plus son ardeur à conquérir, il prend soin de son plaisir à elle, elle chante et lui, il danse, ils sont complètement libres, c'est leur secret, le chant de leurs corps efface toutes les images vaines ou inaccessibles. Alors il se penche, la rassure et dans un râle profond et doux, la foudroie.
Dimanche 10 avril 7 10 /04 /Avr 00:00
 Cette nuit la il faisait beaucoup trop chaud...Malgré la fenêtre ouverte ton sommeil était difficile...Bien entendu l'idée même de te mettre sous les couvertures ne t'avais pas effleurée...La fenêtre ouverte sur le parc ne changeait rien, la moiteur collant  à ta peau...bien forcée de retirer tout ce qui pouvait coller  à ta peau...comment dormir autrement...Mais rien n'y fait...le sommeil viens te chercher, mais la chaleur t'extirpe des bras de Morphée régulièrement...
Tu sombre dans un demi sommeil...cherchant un moyen de faciliter ton assoupissement...Si seulement il pouvais y avoir quelqu'un coté de toi...Voila ce qu'il t'aurai fallu...un homme...peu importe lequel, juste un homme prêt  à répondre  à tes désir...Tant qu'a avoir chaud, autant que ce soit pour des bonnes raisons....Mais seulement tu es seule...Et s’il ne suffisait que d'imaginer ? Et que l'homme apparaisse...Il serait la, debout,  à coté de ton lit...en train de te regarder...
Pour le moment tu es sur le ventre...les yeux fermés, une jambe légèrement relevée histoire d'exposer la plus grande partie de ton corps  à une hypothétique brise...Je te regarde, en effet...Tu m'a appelé...Oh je ne suis qu'un songe, un rêve, un désir...Juste venu la pour répondre  à ton envie...Mais je suis malgré tout...comment rester insensible  à ce corps étalé sur se lit...ce corps légèrement ruisselant...brillant presque sous le léger éclat de lune qui passe  à travers la fenêtre ouverte...
Je m'assoie  à coté de toi...le lit se déforme légèrement sous mon poids...mais non, comment pourrait il se déformer sous le poids d'un rêve...Pourtant...tu aimerais bien sentir mes mains sur ton corps.... mais c'est mon souffle qui se pose sur ton dos, te faisant frémir d'aise...mes mains se posent enfin sur toi...remontant le long de ton dos...redescendant...glissant sur tes hanches...puis sur tes fesses...
Ma bouche se pose sur ta nuque...tu sens ma langue venir lécher ta peau, légèrement salée de sueur...Tu la sens descendre le long de ta colonne...mmmh...ce doigt qui glisse doucement entre tes fesses....Oui, tu te cambre légèrement...ta cuisse se relève encore un peu plus, espérant laisser le passage  à cette main....mais celle ci,  à peine arrivée  à quelques cm de ton intimité, s'arrête, et reprends le chemin inverse... Tu pousse un léger grognement de mécontentement...mais tu sens aussi ma langue approcher du bas de ton dos...et avec celle ci, ma langue qui glisse toujours sur toi...et s'insinue maintenant doucement entre tes fesses...Tu soupire d'aise  à l'idée de cette langue qui va bientôt atteindre ce point qui brûle maintenant en toi...
Mhhh...Quel joli rêve....
Jeudi 31 mars 4 31 /03 /Mars 00:00

 Dimanche matin, 8h30, nous émergeons. Petit câlin, Béa se demande à présent si nous devons nous rendre à ce rendez vous….Je la convainc que nous ne risquons rien, nous n’allons pas nous faire enlever, le bois le Dimanche est rempli de monde, et puis si il n’y a personne ça nous donnera l’occasion de faire un petit footing, cela fait longtemps que nous n’avons pas fait de sport…Et puis s’il y a quelqu’un, il n’y a aucun mal à se faire de nouveaux amis et à aller courir dans les bois….Béa était rassurée. Un petit dej au lit, une douche et nous étions partis pour courir. Le bois se trouvait à une demie heure de chez nous….Je sentais Béa stressée sur la route, moi aussi mais j’étais encore plus excité et curieux de voir la suite des évènements. Maire ne cessait de faire des « et si… » « Et si, c’est un gars qui se pointe ? »
-Et bien, nous lui dirons que ce n’est pas vraiment jouer franc jeu que de se faire passer pour une femme, mais s’il est sympa on peut toujours aller courir avec lui.
« Et si c’est une fille mais un gros boudin »
-Attends, on a juste parlé d’aller courir ensemble,pas de baiser dans le bois;
« Et si c’est une fille et qu’elle te plait ? »
-Et bien je partirai avec et on te perdra dans les bois; Mais non ! on est depuis 10 ans ensemble et heureux, je ne vais pas partir à la première fille canon qui passe devant moi. Et si ça se trouve c’est à toi qu’elle plaira
«  T’es con, tu sais bien que le côté féminin ne m’attire pas »

-C’est ce que l’on dit…De toutes manières, si tu veux on parie, mais il y aura personne
«  Ok, on parie quoi ? »
-Eh bien, si il y a quelqu’un, c’est toi qui mène le jeu…et s’il n’y a personne tu m’offres ton corps ce soir et tu seras mon esclave » Après quelques instants d’hésitation, Béa accepta.

Nous arrivions sur le lieu de rendez vous…Béa se mit à rire
-Qu’est ce que tu as ?  « On a l’air malin, on ne sait même pas à quoi elle
ressemble, on a juste eu une photo de ses seins, alors, à moins qu’elle se balade seins à l’air, on va avoir du mal à la reconnaître »
-C’est vrai, elle a cet avantage sur nous, elle elle nous a vu sur nos photos, enfin, on sait déjà qu’elle est rousse.

Nous nous sommes garés et sommes descendus de la voiture…il y avait beaucoup de monde ce jour…Nous avons attendu un moment…personne ne venait nous aborder, je jubilais déjà                                                                            -Ah ce soir tu vas être à moi, ça va être vachement sympa ma petite esclave

Nous attendions depuis un bon quart d’heure, toujours personne, alors je dis à Béa qu’il fallait savoir s’avouer vaincu et que nous étions tombés sur un petit plaisantin la veille. « Aller, partons courir »  disais je, lorsque quelqu’un derrière nous dit « Béa, c’est vous ? »

Elle était là, vraiment jolie : Rousse avec de beaux yeux verts et quelques taches de rousseur sur le visage, elle avait mis un fuseau rouge moulant qui ne laissait pas apparaître de marques de culotte (en avait-elle ?), un top bien serré qui moulait sa poitrine. Il n’y avait pas de doute par contre, elle n’avait pas de soutien-gorge : le froid (ou était-ce déjà l’excitation) rendait ses tétons si durs que l’on pouvait les deviner à travers le tissu. Sophie avait du remarquer mon regard bloqué sur ses seins, et dit « Et oui c’est moi » tout en refermant sa veste de jogging.

C’était bien elle effectivement et nous étions si surpris que personne ne disait rien. C’est Sophie qui engagea la conversation :

Sophie Désolée, je suis un peu en retard, j’ai loupé le bus précédent 

Moi Y a pas de soucis, tu n’as pas de voiture ?
Sophie Et vous oubliez que je suis étudiante, je ne cours pas sur l’or  
Béa C’est vrai, alors on va courir ou on reste la à se les geler ?
Moi  Ah, oui, j’avais oublié que nous étions venu pour ça;

Nous sommes donc parti faire un petit footing…enfin petit, nous avons couru plus d’une heure et demie…
On voyait bien que Sophie était bien plus entraînée que nous. C’était vraiment cool, hormis le fait que Sophie était jolie, elle était très sympas, et avait de la conversation, le temps du footing passait très vite, Béa et Sophie parlait de leurs études, Béa avait fait les mêmes qu’elle quelques années plus tôt. Je me suis arrêté à un moment pour faire pipi derrière un arbre, les filles ont continué, tout en me soulageant, je contemplais les 2 petites paires de fesses qui s’éloignaient devant moi…J’ai pris mon temps pour les rattraper afin de profiter le plus longtemps possible du spectacle.. Béa s’est retournée au bout d’un moment et m’a lancé « Bon tu traînes ! » Je suis revenu à leur niveau.

Béa Ben alors, tu faisais quoi ?
Moi  Oh, j’admiré la nature;
Sophie T’as vu quoi ?
Moi 2 belles paires de fesses qui courraient devant moi !
Béa T’es con, c’était beau au moins ?
Moi Oui, enfin sans toutes ces épaisseurs, ça serait sympas aussi.
Sophie Tu sais ce que l’on dit d’abord l’effort, après le réconfort

A ces mots mon sexe se dressa immédiatement…Elle était folle de me chauffer comme cela ! Nous avons terminé le footing, et comme il faisait vraiment beau, nous étions dégoulinants …de sueur.

Sophie Bon ben je vais rentrer, c’était vraiment sympas, il faut que l’on remette cela.

J’avais une boule dans la gorge…elle rentrait ? Je voulais intervenir mais j’avais promis à Béa qu’elle mènerait le jeu. Béa lui dit alors
Béa Attend, tu va pas rentrer en bus, on va te ramener, t’habites où ?
Sophie Cool, car dans mon état…Ca ne vous gêne pas ?
Moi  Oh non ! Nous sommes donc montés dans la voiture.
Moi Il fait vraiment beau aujourd’hui, on se ferait bien un barbecue ce midi ?
Béa Ah ouais, ça fait longtemps…Tu veux venir manger avec nous ?
Sophie C’est sympas, j’accepte volontiers, mais je ne suis pas une fille facile, je ne couche pas le premier soir;
Elle rigolait, mais je commençais sérieusement à être exité…Béa me ramena aussitôt à la raison.

Béa  Nous non plus; De toute manière nous refusons tout rapport hors de notre couple !
Moi  A ce propos tu nous a dit que t’avais eu une expérience originale ?
Sophie Ah oui, avec mon mec et mon ex…c’était vraiment sympas, mais j’ai quitté les deux à présent. Trop dur de choisir.
Béa Y’en a qui s’ennuie pas aux soirées étudiantes !
Moi Aller t’en a trop raconté ou pas assez, raconte
Sophie  Bon aller…

…En fait, ça s’est passé il y a 2 mois, j’étais sortie seule à un zinzin étudiant parce que je m’étais pris la tête avec mon mec et il était parti en claquant la porte. En boîte j’ai rencontré un ex que je n’avais pas revu depuis 6 mois au moins, on a bien discuté toute la soirée, et puis ce qui devait arriver arriva. Il m’a raccompagné chez moi on s’est couché…et
3 minutes plus tard, mon mec rentrait ! Au début, il était furax, et il a commencé à gueuler comme un putois, et puis il a finit par dire, « ah tu veux faire ta salope, montre nous ce que tu sais faire ! » Il a ouvert notre tiroir où il y a plein de jeux sexuels et il s’est installé sur une des deux chaises…Mon ex était vraiment gêné, surtout que comme moi il était à poil. Je ne savais pas trop quoi faire, mais j’avais super envie de baiser alors j’ai commencé un show car je crois que les deux gars n’attendaient que cela. J’ai pris un pinceau à maquillage et je me suis allongé sur le dos sur le lit et me suis caressée les seins jusqu’à ce qu’ils pointent bien, mon ex s’était installé sur l’autre chaise et bandait comme un âne. J’ai continué à me caresser, je suis descendue le long de mon ventre et ai commencé à jouer avec mon minou, il n’y avait pas un bruit dans la pièce à part quelques gémissements que je laissais entendre malgré moi de temps en temps. Je m’étais totalement laissé aller au jeu, j’avais fermé les yeux pour ne pas être gênée par leurs regards, et me caressais comme si j’étais seule dans mon lit. Comme cela ne suffisait pas, je me suis décidée à prendre quelques godes dans le tiroir. Je m’étais mis à  quatre pattes et les léchaient et faisait des allers retours dans ma chatte qu’ils ne pouvaient qu’admirer depuis leur place. J’ai tout à coup senti un liquide froid entre mes fesses…C’était mon mec qui venait que me vider du gel…. « Vas y , dit il , il y a encore une place de bre » je me retournais et ouvrais les yeux, il était bite à l’aire, apparemment il appréciait beaucoup le spectacle. J’ai obéit et je me suis introduit un deuxième gode dans l’anus. Quand j’ai ouvert les yeux à nouveau mon mec était passé devant moi et tenait sa bite raide devant ma bouche…je l’ai engloutie…Je crois qu’à ce moment, j’aurai fait n’importe quoi tant j’étais excitée…Alors que je le suçais, j’ai sentis que quelqu’un derrière moi retirait délicatement mes godes de mon cul et ma chatte et commençait à me bouffer par derrière. C’était réellement une nouvelle sensation. Mon mec a finit par dire « Eh toi, viens, y a de la place pour deux devant  ! », mon ex est venu devant et je les ai sucés chacun leur tour, puis les deux ensemble. Je continuais de sucer mon ex, mon mec a fait le tour et m’a embroché comme un poulet et a
commencé à me pilonner. Il a ensuite saisit un gode et me l’a foutu dans le fond du cul. Je sentais que de chacun de leur côté la sauce allait sortir. Mon ex est sorti de ma bouche, mon mec de ma chatte, il m’a bien écarté les lèvres pour que mon ex ai le droit à son tour de venir en moi. Mon ex a donné quelques coups pour être poli, mais n’en pouvait plus…Ils ont finit
pas jouir tous les deux sur mon dos. Ils se sont rhabillés et sont partis,et je n’ai pas eu de nouvelles depuis…Mais c’est une soirée que je n’oublierais pas de si tôt…

Tu m’étonnes, je n’en pouvais plus, j’étais chaud comme de la braise…Béa ne disait rien…Nous étions arrivés
Béa, Aller, tu nous prépare un apéro, nous on monte se doucher
Sophie Je te suit

Faites nous savoir si cette histoire vous a plus ou non et si vous voulez la suite
(
yves_bea@yahoo.fr)..Nous apprécions les mails avec photos.

Mercredi 30 mars 3 30 /03 /Mars 00:00

Mon rêve ma chair Aline
Ce sont tes seins et leurs tétines
C’est ma langue qui se faufile
Jusqu’à la Porte de ton Nombril
C’est une halte sur le Mont
Pour un pic nique dans le buisson
C’est la descente vers la Vallée
Pour mes doigts enfiévrés
Entre tes colonnes haut dressées
Par parfums et odeurs inondées
C’est l’autel bouillonnant de plaisir
Et c’est moi guidé par le désir
Me soûlant avide de tes élixirs
Mes ongles plantés dans tes fesses
Et y disant la fébrile messe
C’est moi t’écoutant haleter et gémir
Pour succomber enfin au plaisir,
Mon rêve c’est te voir offerte à quatre pattes
Ma bouche assoiffée plaquée à ta chatte
Pétrissant et écartant tes rondeurs
Tremblantes en timides rougeurs
C’est ta main entre mes cuisses qui s’agite
Et écrit sur mon ventre le désir qui la bite
C’est moi signant en langue fourrée
Ce rêve inavoué à ton cul dédié


Mon rêve enfin, c’est planter mon soc
Dans le sillon trempé de ta coque
Au son continu d’un ardent flic floc
C’est moi enfin te portant l’estoc
Rythmé par des tapes coquines
Sur ton adorable gros cul Aline
C’est moi agrippé à tes seins
Ballottés par le va et viens
C’est moi plaqué à tes hanches
Et tes fesses qui mènent la danse
C’est mes doigts égarés dans tes poils
Qui achèvent de peindre la torride toile.

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