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Eros - essais érotiques

Vendredi 18 mars 5 18 /03 /Mars 00:00

Voici un petit texte que j’ai du porter en moi un certain temps. Ce matin, il est sorti.

D’abord mes mains palpent, malaxent ses épaules, ses bras, avec fermeté et décision. Détendre les muscles, assouplir la peau, caresser le creux du bras. Puis les pouces suivent les omoplates, les doigts roulent la peau de l’épaule, les pouces descendent le long de la colonne, accentuant chaque vertèbre. Les paumes viennent naturellement se placer au creux de ses reins. Elles créent un tourbillon lent. Réveiller l’énergie enfuie à cet endroit. Les mains s’écartent pour pétrir les hanches, glisser légèrement vers le ventre, suivre le sillon des aines, et retour au reins. Mes mains remontent aux épaules et recommencent le trajet, plusieurs fois, jusqu’à ce que son souffle prenne de l’ampleur. enfin revenue au bas de son dos, elle descendent doucement vers les cuisses, le creux poplité, les jambes, en aller-retour fermes et décidés. Ici encore détendre et assouplir. Mais aussi caresser du bout des doigts, tourner avec douceur au creux des genoux, masser les jambes. Puis aller vers les pieds, où, après les mains, ma bouche va prendre le relais, pour baiser, mordiller, lécher, sucer. Orteils, plante, tendons.

Mon souffle maintenant parcours les jambes, les genoux, les cuisses, les fesses. Mes mains reprennent ces globes, charnus, musclés, ronds. Pétrissage lent et doux. Ecartement léger, puis plus ample pour laisser la place à la langue qui s’insinue, cherche et atteint la rosace où elle s’attarde, mouille, ouvre. Le bout de ma langue rencontre le bas de ses lèvres, et les effleure. Je redescends vers les cuisses, et son souffle s’est fait musique depuis un moment. Alors mes mains lui demande de se retourner. Mes lèvres et mes doigts glissent lentement le long de l’intérieur de ses cuisses où la peau se fait de plus en plus douce, de plus en plus fine. Je contourne le triangle pour remonter à son ventre, le baiser, le lécher jusqu’au nombril, mordiller sa toison au parfum si discret. De temps en temps, ma langue s’échappe vers les lèvres. Peu à peu, elle s’y installe. Alors elle lèchent doucement, sucent. La langue s’insinue entre elles, et titille leur intérieur. Elle remonte parfois pour couvrir avec légèreté le petit promontoire qui a gonflé. Et le ballet continue, en haut, en bas, au centre où la langue se glisse et ouvre sa grotte. Son voix à pris son envol, c’est maintenant un chant continu qui m’enthousiasme et me survolte. Ma bouche couvre totalement son sexe, je mange ses lèvres, son clitoris, ma langue s’enfonce, lèche, suce, mouille. Je bois la liqueur de son ventre mêlée à ma salive. Et doucement , mes doigts se mêlent au jeu. Le majeur masse en tournant l’entrée de sa bouche, doucement, sans forcer, au passage il s’enduit de sa sève. Lorsqu’il est totalement trempé, l’index le remplace, et lui s’avance un peu plus, caressant le haut de la paroi. Nos souffles se font plus rauques, ses hanches basculent, un rythme lent, doux et incessant s’est installé. Mon index caresse toujours, et mon majeur a glissé vers la rosace de son cul. Peu à peu il s’introduit, d’abord en tournant lentement, et puis plus vigoureusement. Une phalange s’est installée et masse doucement. L’index reste dans sa chaleur douce et humide, ma bouche s’active, ma langue agace le clitoris. Et tout à coup la tension monte, sa voix explose, et ses mains repoussent mes mains, ma tête. Mes lèvres s’éloignent en petits baisers sur les cuisses qui vont se refermer.

Alors, mon corps se glisse vers le sien, alors ses cuisses s’ouvrent, sa bouche murmure " oui, viens… ".

Sa main s’empare de ma queue et la guide. Je caresse son sexe de mon gland, et peu à peu je me glisse. Douceur de ses lèvres sur ma peau, douceur de son vagin sur mon sexe. Je m’enfonce doucement. Nous savourons l’instant. Et tout à coup, sa voix reprend son chant, l’orgasme s’installe. mon sexe caresse ses parois. Et puis je ressort, m’allonge. Elle se colle à moi, nos souffles se mêlent. Sa bouche glisse vers mon cou, embrasse ma poitrine, titille mes tétons. Elle reprend son parcours, effleure mon ventre de son souffle. Son nez explore ma toison. Sa bouche baise à petits coups la base de ma queue. Sa langue glisse le long de la hampe, effleure le gland. Puis elle redescend pour le parcours inverse, se glisse vers mes couilles, les mordille, ses doigts se faufilent cers mon cul, écartent mes fesses et viennent se poser sur ma rosace. Un instant, un instant seulement. Sa main prend possession de mon sexe et le masse avec vigueur. Sa langue frôle mon méat. Ses lèvres s’en mêlent. Elle lâche une goutte de salive sur le gland. Ses lèvres s’entrouvrent pour couronner mon bout. Et ce jeu continue longtemps, jusqu’à ce que tout à coup sa bouche m’avale totalement. Alors elle procède à un va et vient lent ou rapide. Sa langue caressant toute la longueur qu ‘elle avale. Elle le recrache pour mieux le baiser et le reprendre encore et encore…

Enfin ces jeux ont éveillés tous nos sens, nos peaux sont devenus des récepteurs d’une puissance nouvelle. C’est le moment où mon desir d’elle est son paroxysme. Je la pénètre avec toute ma force, comme pour la clouer sous mon poids. Je vais, je viens. Elle explose. Je la retourne et prend son sexe presque violemment. Mes mains pèsent sur sa taille. Elle se creuse, visage enfoui dans l’oreiller, cul offert à ma démence. Et je la baise. Rythme lent. Rythme rapide. Gland se frottant à ses lèvres, à son clitoris. Queue au fond de sa chatte. Explosion. Sommeil tendre enlacés l’un contre l’autre, l’un dans l’autre. "

Jeudi 17 mars 4 17 /03 /Mars 00:00

« Alors, on la fait cette série ? ». Bea sortait de la douche avec cette grande serviette rouge autour de son corps encore humide... Relevant immédiatement la tête de l’ordinateur avec un sourire en coin, j’attrapais sans attendre l’appareil photo pour commencer les shoots…L’après-midi commençait bien.

Il faut que je vous explique un peu avant de continuer. Cela fait un bout de temps que nous parlons avec ma femme de faire des rencontres coquines…oh, pas d’échangisme pour le moment car nous ne voulons pas avoir de rapports hors couple, mais l’idée du mélangisme ou de se trouver dans des situations coquines nous excite de plus en plus. Comme Bea n’était pas chaude pour aller en club, je lui avais proposé de venir chatter sur un chat coquin un soir pour faire de nouvelles rencontres sympas. Mais pour être reconnu en tant que couple dans ce chat, nous devions envoyer une série de photos…

La séance photos avait commencé et nous nous prenions au jeu, j’étais un artiste et je demandais à mon modèle des poses de plus en plus suggestives... Au bout de 10 photos on vit apparaître ses tétons tout gonflés ainsi que ses aréoles toutes fripées qui ne laissaient aucun doute sur l’état d’excitation de Bea. Quelques instants plus tard, seul un morceau de serviette cachait les derniers recoins d’intimité de la belle, laissant à l’objectif, la vision sublime de sa croupe, ses hanches cambrées et son regard qui en disait long... Le dernier morceau de tissu finit par tomber ne laissant plus aucune place à l’imagination sur l’intimité de son corps... Pour finir, l’appareil posé sur son pied termina le travail seul, nous prenant ensemble dans des poses plus ou moins suggestives.

Cette séance nous avait tant excité que nous avons fait l’amour assez sauvagement, sans photo cette fois car la carte mémoire était pleine. L’étreinte s’est terminée par un long câlin et c’est Bea qui a engagé la discussion sur la suite de la tournure des évènements, elle m’a proposé que l’on se fasse une petite sélection de photos en masquant les visages pour les envoyer sur le site et chatter... Nous avions convenu de faire ça le soir même. Je ne me suis pas fait prié et me suis immédiatement attelé au travail de montage photos pour nous présenter sous nos meilleurs angles.

Le soir venu, j’avais tout prévu pour que cette soirée soit réussie, j’avais installé le portable sur le lit, préparé une nuisette pour Bea, des amuses gueules et même une bouteille de champagne pour agrémenter nos discutions…. Ca y est le moment tant attendu était arrivé, j’étais déjà tout excité alors qu’il ne s’était encore rien passé.

Nous avons échangé quelques mots avec différents hommes, couples et femmes, sur le forum, mais franchement nous n’accrochions avec aucun. Au bout de 30 minutes, je commençais à m’ennuyer, quand Sophie nous contacta. Nous allions déconnecter, mais comme Sophie se disait du même coin que nous, Bea lui répondit. En fait elle était très sympas et ne parla pas cul tout de suite, ça changeait. En plus elle écrivait quasiment sans faute d’orthographe, ce qui est assez rare, il faut le dire. Nous nous sommes pris au jeu et avons continué de discuter…Evidemment nous parlions aussi sexe, mais toujours sur le ton de l’humour. A l’entendre, c’était une rousse de 20 ans, étudiante…Comme je le disais à Bea, je pensais que c’était encore un petit gamin ou un vieux célibataire qui se payait du bon temps, mais comme cela nous
amusait, nous avons continué. Sophie disait que Bea avait de jolis seins, alors, à ma demande j’avoue, Bea lui demanda à son tour de nous montrer les siens. Nous avons reçu quelques minutes plus tard une très jolie photo dans notre mail. De très jolis seins ronds de taille honorable et qui semblaient fermes. En tout cas comme je disais à Bea, ils ressemblaient bien à des seins de rousses vu leur couleur blanche.

Nous avons continué la discussion, qui s’était à présent clairement tourné vers le sexe. Aux dires de Sophie, elle avait déjà fait l’amour avec 2 gars, lors d’une soirée étudiante avec son mec et son ex, elle avait trouvé cela très sympas (on imagine ! ). Je disait à Bea : « Merde c’est cette jeunette qui a 7 ans de moins que nous qui va nous en apprendre ! ».
Cela faisait maintenant plus d’une heure et demi que nous avions commencé à chatter, mais nous n’avions pas vu le temps passer…et comme nous parlions de nos loisirs, Sophie nous dit qu’elle aimait faire du footing. Notre curiosité était trop grande et comme nous serons Dimanche, nous lui avons proposé d’aller courir ensemble le lendemain. A notre grande surprise elle accepta, le rendez vous était fixé à 10h….nous avons continuer de discuter puis comme il se faisait tard, nous avons fini par déconnecter en nous disant à demain…

Nous sommes allés nous coucher…Bea était vraiment excitée de ce premier rendez-vous. Moi moins, et je ne cessait de lui répéter, tu vas avoir une surprise demain, mais sûrement pas celle que tu attends, soit il n’y aura personne, soit un pauvre gars qui sera démasqué ou qui se cachera derrière les arbres pour nous espionner…Nous avons finis par nous endormir...

Lundi 14 mars 1 14 /03 /Mars 00:00

 En attendant le retour de Revebebe un premier essai de  Tonz Harlow . A vous de juger...

Juliette est une jeune femme de 28 printemps. Ses formes généreuses en font l'être le plus désirable qu'il m'ait été donné de rencontrer. La seule occupation qui peut la distraire de la peinture, c'est le sexe. Elle est en la matière d'une gourmandise inqualifiable. J'ai passé déjà quelques heures à l'écouter me narrer ses multiples et variées expériences sexuelles. A croire que cette fille a été créée pour ça... J'ai depuis participer à ces joutes plus d'une fois. Permettez-moi de vous dire qu'en matière de sensations fortes, elle est incontestablement la reine absolue... Je vais juste, pour vous mettre l'eau à la bouche, vous raconter une de ces péripéties qui vous fait ensuite voir la vie autrement. Je ne vous cache pas qu'en ce moment même, juste en y repensant, mon sexe s'est dressé comme il l'était ce fameux soir de juillet 2002...
Nous avions passé la soirée avec des amis, dîner, ciné, dernier verre... Au moment où nous les quittions pour rentrer nous coucher Juliette me fait une proposition que je ne pouvais pas refuser : "Si on allait à la Combe des Grands Buissons ?..." Cet endroit est renommé dans notre région. C'est là que les voyeurs et les exhibs se retrouvent pour s'offrir un moment de plaisir intense... C'était la première fois qu'elle me demandait d'aller là. Elle y avait soi-disant pensé toute la soirée. Un rêve érotique l'avait emmenée à la Combe la nuit dernière. Ce qu'elle y avait vécu, elle voulait le vivre, tout simplement... Elle ne disait rien. Je conduisait et elle était là, perdue dans ses pensées. Seuls ses tétons saillants sous son t-shirt trahissait son excitation. La lueur qui allumait son regard ne pouvait me laisser indifférent. J'y découvris une envie folle de sexe. Elle voulait prendre du plaisir ce soir et elle allait en prendre...
Arrivés à la Combe elle me dit d'arrêter la voiture. J'éteignis aussitôt les phares. Nous nous sommes retrouvés un instant dans le noir jusqu'à ce que notre oeil s'habitue à l'obscurité. Le clair de lune éclaira soudain cet endroit féérique. Juliette me demanda tout à coup d'allumer le plafonnier. La lumière jaune emplit l'habitacle, nous offrant ainsi aux regards indiscrets. Je me laisser totalement diriger par elle. J'attendais patiemment qu'elle me dicte la conduite à suivre... Elle ne dit rien. Elle ôta son pantalon puis sa culotte. Ecartant les jambes elle commença à se caresser, doucement, prenant soin d'écarter ses lèvres pour libérer son clitoris. Elle était déjà très mouillé. Moi même je n'en menais pas large. Une terrible érection tendait mon pantalon. Je la regardais se donner du plaisir, la tête posée sur mon épaule. Je sentais la moindre vibrations de son corps en proie aux caresses expertes... Soudain je m'aperçus que des ombres avaient rejoints notre véhicule. Des hommes, ils devaient être sept ou huit, se pressaient derrière les vitres ou le pare-brise. Ils observaient Juliette qui s'offrait, haletante, aux visiteurs. Très vite les bites étaient sortis de leurs carcans. Des mains s'agitaient sur ses sexes tendus qui venaient cogner aux carreaux comme pour dire ouvrez nous... Rapidement un jet de sperme s'écrasa sur la vitre de Juliette qui intensifia ses caresses. Elle respirait et gémissait plus fort. Sa main se posa sur le bouton de commande des vitres électriques. Du regard elle chercha mon approbation. J'étais tellement excité que j'aurais accepté n'importe quoi. Elle le comprit et entrouvrit de quelques centimètres. Aussitôt une bite pénétra par l'interstice. Le gland brillait sous la lumière du plafonnier. Elle se releva et l'avala d'un coup. Il ne fallut pas longtemps pour que la bite se tende de plus belle pour lâcher un jet brûlant dans la bouche entrouverte d'où se mit à couler le liquide blanchâtre. Pendant ce temps mon sexe s'était retrouvé dans ma main. Je me branlais sans perdre une seconde de ce spectacle ahurissant. Deux sexes s'engouffrèrent ensuite. Juliette les branla les deux vivement. Je ne saurais dire combien de temps dura cette scène mais à la fin Juliette se retrouva maculée de sperme. Il ne lui restait plus qu'à m'offrir une pipe magistrale et à venir s'empaler sur moi. Les hommes dehors, admirant le spectacle, se remirent à se branler. Quand je jouis, Juliette hurla de plaisir et quelques éjaculations vinrent s'écraser sur le pare-brise.
Nous avons repris la route dans l'autre sens, sans dire un mot. Juliette posa sa tête sur mon épaule. Elle était comblée, moi aussi.
Vivement un autre rêve.

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