Novembre 2024 | ||||||||||
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La fille a les cuisses écartées, la chatte à l'air. Son pubis est assez bien entretenu, presque pas de poils ; je me dis que ça fait plaisir, cette nouvelle mode de se raser la chatte. Je préfère ça pour les cunnis. Je viens de lui enlever son string, elle s'est bien laissé faire, ce qu'elle sait qui l'attend doit lui plaire ; ma tête est face à ses cuisses écartées, mais je me recule un peu, je vais quand même lui enlever ses chaussettes parce que baiser (ou même juste lécher) une fille avec des chaussettes, j'aime pas trop ça.
Je "déchaussette" la fille. Elle ne prête pas trop attention à ce que je fais car mon pote a sorti son sexe et lui a fait comprendre qu'il aimerait se faire sucer. La fille, gentille, s'exécute et fait quelques va-et-vient buccaux sur sa grosse bite. Elle a les yeux fermés, un visage assez mignon finalement. Le visage angélique d'une fille qui suce un gros pouce !Avant de passer aux choses sérieuses, je caresse un peu son clito pour l'exciter et pour la mater en train de sucer mon pote ; ça m'excite beaucoup. Et puis j'approche mon visage de sa vulve, j'écarte les lèvres avec mes doigts et je commence à agiter ma langue. Je m'applique. Je veux lui faire du bien mais surtout bien l'exciter pour la suite. Je veux qu'elle soit bien chaude et bien salope.
Je suis un peu bourré, pas évident de bien se concentrer mais je m'applique. J'écarte sa chatte, je bouge les doigts sur les côtés pour faire vibrer la chair et je m'acharne sur le clito pour ne pas lui laisser de répit. La petite cochonne commence à gémir, je l'entends. Les gémissements timides sont étouffés par la grosse bite de mon pote, qui ne quitte pas sa bouche. Mon pote a la main dans ses cheveux, il n'appuie pas vraiment sur la tête mais guide le va-et-vient. Je vois son visage, de profil, ses yeux fermés et par en dessous les couilles de mon pote. Trop fort !
J'adore me faire sucer, mais j'aime presque tout autant mater une fille qui suce un autre mec. Je sais pas pourquoi, c'est une vue vraiment excitante. Pour moi la fellation est un plaisir autant physique que visuel. Quand une fille me suce, ça me fait beaucoup moins d'effet si c'est dans le noir, j'ai besoin de la voir.Bref ! Je continue de lécher la fille, son sexe est bien mouillé de sa mouille et de ma salive mêlées. Ma queue dure me titille un peu mais je reste encore quelques minutes à m'occuper d'elle. Et si je lui mettais un doigt dans le cul ? On va voir si elle moufte. Je passe mon majeur sur ses lèvres pour le rendre glissant et puis je l'approche de son petit trou, en continuant de caresser sa chatte. J'enfonce le doigt, petit à petit. Elle continue de sucer, ça a pas l'air de la traumatiser ! Eh bien, branlons-lui le cul en la léchant ! Je fais re-gigoter ma langue sur son clito, en bougeant mon doigt dans son trou du c'. Je change de doigt, j'approche mon pouce, je l'enfonce ; ça rentre. Toi, ma coquine, on va bien s'amuser avec toi !
- On tourne ?C'est moi qui viens de dire ça. C'est pas tout ça, mais moi aussi je veux prendre mon pied. Mon pote se redresse, il bouge. La fille se tourne un peu, je viens à son niveau. Là, je lui roule une grosse pelle, bien profonde, en lui tenant la nuque. Je continue ma grosse pelloche, je prends sa main et la pose sur ma queue pour qu'elle me branle. Je la lâche la main et lui caresse la chatte, en continuant de tenir sa nuque et de l'embrasser profond.
- J'ai envie que tu me suces...Je viens de lui dire ça en tenant toujours sa nuque, mais sans la forcer. Je veux pas lui faire peur, maintenant il faut aller jusqu'au bout.
La petite cochonne descend et prend mon sexe dans sa bouche. C'est parti pour une pipe. Derrière, mon pote est en train d'enfiler un préservatif. Il va sûrement la pénétrer. Il laisse les autres capotes sur le matelas, à mon intention.
Elle suce pas mal, en tout cas elle y va sans rechigner. À dix-huit ans les filles sont pas encore au top et ça se ressent, ça reste une pipe de fille un peu jeune, mais elle se débrouille. Pour faire une bonne pipe, la qualité première est quand même de montrer qu'on aime ça, et elle se donne sans compter.Mon pote écarte ses fesses, prend la fille en levrette. On se regarde, on est presque mort de rire. Trop bon, je suis en train de me faire sucer et lui la prend en levrette, en lui agrippant les fesses. Putain que c'est bon ! Je regarde son cul, la vue est top ; mon pote y va de plus en plus fort, de temps en temps il ralentit et elle continue de sucer en gémissant et en tâchant de ne pas arrêter.
- C'est bon ? je lui fais.Elle hoche la tête, enlève un peu ma queue, dit :
- Oui.Et elle la remet. Je vois sa tête, je vois son cul, je peux pas m'empêcher d'agripper sa tête et d'enfoncer un peu plus.
Mon pote a attrapé son paquet de clopes et s'en grille une. Il retourne en elle et continue de baiser en fumant d'une main. On se regarde, en se marrant presque. Et puis il attrape le cendrier et le pose sur le dos de la fille. Je suis plié de rire dans ma tête.Il a fini sa clope, viré le cendrier. Il la baise bien, y va de plus en plus fort. Ah ça y est, je le sens partir ! Mon pote grogne un peu, semble cracher la purée et prendre un pied mortel. Il ralentit, relâche un peu les fesses de la fille. Pendant qu'il jouissait, j'ai senti que ça ne la laissait pas indifférente, ça l'a excitée de le sentir prendre son pied avec son petit cul.
Mon pote passe son tour, je prends le relais. J'enfile une capote, je la prends en missionnaire. Elle a enfin la bouche libre, elle peut gémir tranquille, et elle se prive pas. Pas des gémissements affirmés, dominateurs, mais des gémissements doux, qui viennent de l'intérieur, presque timides. Elle a la bouche ouverte, les yeux tantôt ouverts, tantôt fermés, et moi je la baise, je la bourre, je prends mon pied avec sa chatte. Combien de mecs l'ont baisée avant moi ? Est-ce que ses ex voulaient la sodomiser, lui giclaient sur les seins, lui demandaient d'avaler ? J'en sais rien, ça me passe par la tête et je me concentre sur le plaisir de baiser, moi et mon pote, cette fille que je connais à peine.J'y vais un peu fort, je me retiens quand même, ça sert à rien de faire le bourrin. J'ai envie qu'elle kiffe cette petite salope, qu'elle kiffe de faire un trip à trois, qu'elle prenne un plaisir physique et mental en se sentant cochonne.
Je me retiens de jouir. J'aime pas jouir deux fois, je préfère une seule et bien forte. Une bonne éjac' à la fin.On est sur le côté. Mon pote revient à la charge, il titille son petit trou avec ses doigts ; il se branle en même temps.
Il pousse ses fesses, pour qu'elle vienne sur moi. Mon pote a enfilé une nouvelle capote et vient se positionner derrière son trou du cul.
- Ouh là, attends je sais pas !La fille vient de parler, l'air un peu anxieux. Mon pote :
- On peut essayer, non ?Elle a pas l'air convaincue, elle hésite. Je peux comprendre, remarque.
- T'as déjà fait, la sodomie ? je lui demande.- Oui.
- Et alors ?
- Ben ça va, mais deux en même temps je sais pas, ça fait beaucoup.
Ok, ok. Va falloir la motiver.- On peut essayer... lui dit mon pote.
- Ouais, j'ajoute, on essaie et si t'aimes pas, on arrête.
Elle hoche la tête, ça lui dit aussi. Allons-y !Ce qui est con, je me dis dans ma tête, c'est qu'elle commence pas avec la plus petite derrière ! Je suis plutôt bien membré mais mon pote encore mieux. Enfin bon, lui mettons pas le doute maintenant qu'elle est partante !
Je crois que mon pote met de la salive sur sa queue. La fille continue de bouger un peu sur moi et puis elle freine. Je sens que mon pote essaie d'introduire son engin. Putain ! ça me fait bander tout ça... Quelle putain de bonne soirée ! (Enfin il doit déjà être vers les minuit et demi une heure).
Aïe, mon pote s'enfonce ! Je vois la tête de la fille d'en dessous, je prends un pied mortel. Elle gonfle les narines, inspire en se concentrant. Elle se crispe un peu, ça fait un peu mal mais ça rentre. Et je sens la queue de mon pote ! Trop fort !Je suis pas homo, même pas bi, j'ai aucune attirance pour mon pote mais ça me fait délirer de sentir sa queue de l'autre côté, à travers la paroi du cul de la fille !
Allez, on y va ! Le va-et-vient, lentement. Moi je ne bouge pas et la fille à peine. Pour moi, niveau sensations, y a mieux, même si c'est bien serré. Mais surtout, c'est mentalement que c'est tripant. Je regarde le visage de la fille, régulièrement, je touche sa peau, je touche ses seins fermes (un bonnet B, je pense).
Mon pote pousse de plus en plus vite, il a pris le rythme. Là, pour la peine, les gémissements de la nana ne sont plus timides, elle donne de la voix ! Elle est en train de se faire faire une double pénétration et ça lui fait de l'effet, mélange de plaisir et de douleur.
- Ça va ?Elle hoche la tête, elle dit oui.
Putain, j'ai besoin de gigoter, c'est trop bon. Mon pote aussi, il y va. Elle fait des "Ah ! Ah !", elle est dedans et nous aussi.Mais soudain elle se crispe et nous arrête. Elle dit qu'elle a quand même un peu mal.
- Tu veux qu'on arrête ?Là on est emmerdés parce qu'elle dit oui. Mon pote hésite, puis se retire. Elle souffle.
Mon pote :- Je peux continuer derrière, seul ?
Moi (j'hésite) :- Ouais, vas-y.
Oups, c'est moi qui ai répondu alors que c'était plutôt à elle, mais elle dit pas non. Elle se remet en levrette et mon pote la sodomise.Moi :
- T'as moins mal ?
Elle (en train de se faire enculer et un peu choquée) :- Ça va !
Mon pote y va, varie le rythme. Bon, et moi, qu'est-ce que je fais ?Tant pis pour la sodo, je préfère me faire sucer. Je retire la capote et pointe ma queue dure vers son visage. Elle comprend le message et la gobe à nouveau.
Comme tout à l'heure, sauf que maintenant la queue de mon pote est dans son cul. La fille semble avoir un peu transpiré, ses mèches sont collées sur son front.Le petit manège dure depuis quelques minutes quand soudain mon pote râle et balance ses décharges dans son cul, dans sa capote.
La fille donne aussi un peu de la voix (ses derniers va-et-vient d'orgasme étaient un peu violents) et puis elle se calme, reprend son souffle. Elle reprend la pipe.
Bon, c'est pas tout ça, va falloir penser à éjecter toute l'excitation accumulée. D'autant que je crains qu'elle se fatigue et rechigne à sucer encore très longtemps. Je me concentre, je veux tout lâcher dans sa bouche.Moi :
- Tu veux pas la lécher ?
Mon pote est un peu surpris.Moi (en me marrant) :
- Allez, sois sympa, faut qu'elle jouisse elle aussi.
Mon pote finit sa clope, se rapproche du cul de la fille et la lèche dans cette position, à quatre pattes.Et moi je me reconcentre, je sens que ça la re-motive pour donner de la bouche.
Moi :- T'as déjà avalé ?
Elle sort ma queue de sa bouche.- Oui, mais ça dépend avec qui"
Je me dis, ah ok. Est-ce que je repose une question ?Moi :
- T'aimes bien ?
Elle enlève de nouveau ma queue de sa bouche.- Moyen. (Elle va pour la remettre, mais poursuit :) Ça dépend avec qui.
Elle la remet.Ok, qu'en penser ? Ben, on va pas poser trop d'autres questions, la réponse était évasive, on va rester évasif dans le doute. Elle a pas dit clairement qu'elle voulait pas, elle l'a déjà fait... Au moins, elle hurlera pas au scandale.
Allez, je sens mes couilles qui durcissent, qui approchent du point de non-retour. Je vois son visage angélique, son joli nez qui respire, je sens le souffle sortant de ses narines, sur toute la longueur de mon sexe. Tu vas me faire jouir, petite suceuse...Je râle au dernier moment ; je serre mon poing dans ses cheveux, je n'appuie pas sur la tête, mais je tiens quand même un peu, pour lui montrer que je veux qu'elle reste. J'éjacule dans sa bouche, je me déverse dans un plaisir indescriptible, tout tangue autour de moi. La fille a freiné son va-et-vient, elle ne bouge presque plus, pas tout à fait suffisamment, mais elle ne s'est pas enlevée et c'est déjà ça. Je finis d'expulser tout mon sperme, toute ma jouissance, je desserre ma main, mes muscles. Mon désir chute d'un coup, je m'écarte presque d'elle.
Elle n'a pas l'air spécialement heureuse mais pas dégoûtée non plus. Elle se recule, recrache un peu de sperme dans sa main. Dommage, mais bon elle a donc avalé le reste.
Je me reprends, je lui souris. Je pose un bisou sur sa bouche, je caresse ses seins. Je fais signe à mon pote, qui s'était arrêté pour mater, de continuer.On la caresse et, plus tard, mon pote la lèchera à nouveau. Difficile de dire si elle a eu un orgasme dans la soirée, mais je suis persuadé qu'elle a pris beaucoup de plaisir.
On ne l'a pas revue (pas spécialement envie). Je sais juste que cette fille sort avec un mec fixe, maintenant. Mais qui sait, un jour, peut-être...Cela fait maintenant onze mois que Julie et moi sommes tombés amoureux l'un de l'autre et que nous vivons ensemble. Nous ne formons pas un couple ordinaire. En effet, quand nous nous sommes rencontrés, Julie n'avait jamais eu de vraie relation sexuelle complète avec un garçon, elle était lesbienne depuis toujours et vivait en couple avec Martine. Bien que formant un couple stable, elles étaient toutes les deux très attirées par l'être féminin et lors de leurs soirées entre filles, il n'était pas rare que des petits câlins de tendresse ou des massages se terminent par des jeux sexuels.
Lors de notre mise en couple, Julie n'a pas rompu avec Martine et elles continuent de passer deux nuits ensemble par semaine. C'est un besoin que Julie ressent comme important et lorsqu'elle revient vers moi, elle est toujours très amoureuse et très chaude. Je trouve donc mon compte dans cet arrangement et j'ai l'impression de vivre une première fois lorsque nous nous retrouvons après une ou deux nuits d'absence. Ces onze mois passés ensemble sont un véritable bonheur qui nous nourrit complètement. Ce n'est pas un bonheur qui nous tombe dessus miraculeusement sans que l'on ne se pose aucune question, mais c'est au contraire quelque chose qui se construit au jour le jour grâce à la connaissance que chacun acquiert de soi et de l'autre dans son altérité.Le bonheur que nous nous donnons l'un l'autre se voit de l'extérieur. A chaque instant, nous avons des petits gestes d'attention et de bienveillance l'un pour l'autre et, ce qui ne gâte rien, ces petits effleurements, ces tendres et chastes bisous et ces regards complices sont teintés d'un érotisme qui, s'il reste soft, n'est pas dissimulé.
Quand on nous demande les raisons pour lesquelles notre couple nous apporte beaucoup de bonheur, nous répondons que :
- Chacun de nous admire des qualités chez l'autre. Ces qualités ne sont pas forcément les mêmes mais elles touchent à l'être et non au paraître. Si monsieur a choisi madame pour son tour de poitrine avantageux et madame a choisi monsieur pour sa capacité à conduire vite sa grosse cylindrée, cela ne rentre pas dans les critères. Cela peut prêter à sourire, mais en écoutant les confidences des gens en difficulté dans leur couple, c'est hélas, très fréquent.- Chacun respecte l'autre dans ce qu'il est et n'essaie pas de le changer. Si changement il y a, ce qui est notre cas, c'est la cerise sur le gâteau et nous en exprimons alors de la reconnaissance à l'autre, ce qui le motive encore plus pour qu'il s'améliore mais sans qu'il y ait la moindre obligation.
- Cette relation nous permet de grandir dans la connaissance que nous avons de nous et du genre humain en général. Chaque jour, nous avons l'un et l'autre l'impression d'être plus tolérants, plus sincères, plus vrais et plus intelligents que la veille.
- Nous prenons tout ce qui nous arrive avec humour et nous nous efforçons, ce n'est pas vraiment le bon mot, car en fait cela ne nous demande aucun effort, de trouver le positif de toute situation, non seulement celles de la vie courante, même aussi banales que d'éplucher des patates ensembles, mais surtout dans la sexualité.
Par exemple, quand Julie sent que son orgasme va lui échapper, elle reste complètement réceptive, certains diraient passive, continue à me caresser tendrement et bien souvent, la jouissance arrive au moment où elle s'y attend le moins. Si c'est moi qui ne bande pas au quart de tour quand elle me sollicite dans une situation imprévue, je la pénètre un peu avec mon pénis à demi-mou, je me concentre sur les bisous et caresses que je lui donne et le miracle se produit assez rapidement.Nous nous mettons à table. Je suis en face de Julie et Martine est à côté d'elle. La table est assez étroite et cela nous permet de nous toucher avec nos jambes. Je peux même mettre une jambe entre ses cuisses et lui caresser le minou avec mes orteils, après avoir enlevé mes chaussures, évidemment. Nous pouvons aussi nous toucher les mains et jouer à nous les caresser de manière très ludique et créative. Julie et Martine ne se gênent pas pour se mettre les bras autour de la taille ou du cou selon les moments. Quelques petits bisous sont aussi échangés entre elles. Toute cette sensualité entre nous trois ne nous empêche pas de causer avec les autres invités.
Nous arrivons à la fin du repas. Une musique douce nous invite à danser un slow. Julie et Martine se lèvent, s'enlacent et commencent à danser en étant ventre contre ventre et seins contre seins. Personne ne peut avoir le moindre doute sur le fait qu'elles sont amoureuses l'une de l'autre. D'un signe de tête, Julie m'invite à me joindre à elles, je me mets derrière elle et je me frotte langoureusement contre ses fesses. Je l'enlace et, régulièrement, je me hasarde à toucher les bras et les flancs de Martine. Mais c'est pour la bonne cause, car cela me permet de mieux enlacer ma tendre et douce Julie, et Martine semble apprécier mes gestes.Une semaine plus tard, en fin d'après-midi, Julie et moi faisons l'amour. Le soir, il est prévu que Julie rejoigne Martine pour une nuit d'amour entre filles. Après m'être répandu au plus profond de son intimité de fille et être resté un bon moment à ressentir les palpitations de son vagin, elle me dit :
- Je vais te lécher !- Je me mets alors sur le dos et elle vient entre mes cuisses et absorbe complètement mon sexe dans sa bouche.
- J'adore ce goût de nos sécrétions mélangées !- J'aime bien ce partage. Je t'embrasserai après !
- C'est bon !
Elle s'allonge contre moi et nous nous embrassons à pleine bouche.J'introduis deux doigts dans sa chatte, je recueille l'alchimie de nos fluides d'amour et je lui en barbouille le visage. Elle sourit généreusement.
- Dis donc, tu as intérêt à te laver avant de rejoindre ta Martine chérie !- Non, j'y vais comme cela !
- Et si elle n'aime pas ?
- Je me laverai chez elle, tout simplement !
- Et puis, on ne sait jamais, elle pourrait aimer ?
- Tu as vu, elle est de moins en moins farouche avec toi !
- Cela s'annonce bien !
- Quand on dansait à trois, l'autre jour, tu lui as bien trituré les fesses !
- Trituré est un bien grand mot ! Est-ce que ça t'a gênée ?
- Non. J'ai bien souri en voyant ton approche subtile !
Nous nous embrassons à nouveau. Je pense alors que je ne me lasserai jamais de ses gestes complices. Je me régale du goût de sa salive imprégnée de toutes nos hormones sexuelles.- Si Martine se frotte le minou contre le tien, elle pourrait tomber enceinte si un spermatozoïde sautait vers son vagin !
- Il n'y a pas de danger aujourd'hui !
- Comment tu le sais ? Tu connais son cycle ?
- Entre filles, on sait ces choses-là. En plus, avec elle, c'est facile car nos cycles sont synchronisés. Certainement le fait de faire l'amour ensemble ?
- J'ai lu que dans un couvent, les religieuses ont toutes leurs règles en même temps et pourtant, elles ne font pas l'amour !
- Tu n'es pas là pour contrôler ce qui s'y passe ! Je te verrais bien en directeur de couvent !
Je la regarde amoureusement. Comme je la trouve belle et rayonnante ! Quand je pense que certains lui trouvaient plein de défauts ! Moi, j'adore ses grosses fesses bien rebondies, son nez un peu de travers et ses petites lèvres bien pendantes que beaucoup auraient fait rectifier par un chirurgien ! J'aime aussi sa pilosité. Julie est très nature et personne ne pourra l'obliger à s'épiler !Nous flânons encore un peu de temps sous la couette.
- Est-ce que tu crois qu'on finira à trois dans le même lit ?- Je pense que oui, mais laisse du temps au temps !
- Est-ce que Martine est vierge comme tu l'étais avant que l'on se connaisse ?
- Je laisse planer le mystère ! Tu verras bien quand elle te laissera mettre tes doigts en elle !
- Je reconnais là ton côté joueur et coquin !
Julie s'en va maintenant rejoindre Martine.Le lendemain soir, je revois Julie, toujours aussi rayonnante. Elle m'annonce que jeudi, il y a une opération de désinsectisation dans l'immeuble de Martine et, comme elle ne supporte pas l'odeur du produit contre les cafards, elle viendra dormir avec nous deux ou trois jours, le temps d'aérer l'appartement.
Je n'en crois pas mes oreilles mais Julie tempère vite mon enthousiasme.
- Martine m'a bien dit que je devais rester entre elle et toi dans le lit !- Oui, au moment de se coucher !!!!!!
- Je crains que tu ne te trompes. En plus, elle veut qu'on soit dans le noir dans la chambre. Elle a peur de te voir tout nu ! dit-elle en riant de bon cœur.
Jeudi soir, Martine arrive. La soirée est très détendue. Martine parle d'elle comme elle ne l'a jamais fait devant moi. Je lui fais remarquer avec humour qu'elle a une tenue plutôt sexy, comme si elle voulait séduire.- Je trouve que la main a bien fait les choses. Cela se voit que la tête n'était pas aux commandes !
A la fin du repas, je propose que l'on danse à trois, comme lors de la précédente soirée. Nous éprouvons tout les trois beaucoup de plaisir à nous laisser emporter par cette mélodie invitant à la sensualité. C'est d'abord Martine qui fait face à Julie et moi qui enlace Julie par derrière. Je vais jusqu'à introduire mes mains dans sa culotte. Puis nous permutons les rôles, mais nous n'allons pas jusqu'à mettre Martine entre nous.- Tu ne sais pas ce que tu perds, Martine, à ne pas être caressée par nos quatre mains !
- Si, je le sais mais ce n'est pas si simple, on peut avoir envie et en même temps pas envie ! Tu sais, c'est compliqué une fille !
- Ne te culpabilise pas d'être compliquée. C'est ce qui fait ton charme. Julie était comme ça et maintenant, c'est une vraie bombe sexuelle !
- Je me sens rassurée et en confiance, c'est l'essentiel !
- Tu sais, le genre grande baiseuse à la technique parfaite, ce n'est pas mon truc ! J'ai besoin de mystère, de ne pas savoir ce qui va se passer dans une heure !
En effet, quand j'entends une fille dire qu'elle possède une méthode infaillible pour jouir avec n'importe qui, je ne suis pas émoustillé, car j'aurais l'impression d'être avec un robot et d'être réduit à un simple godemiché. Nous entrons dans la chambre et comme convenu, Julie éteint la lumière. L'obscurité est complète car les rideaux sont épais et la nuit sans lune. Nous rions comme des enfants.- Interdiction de rallumer la lampe ! nous dit Martine.
- En plus, seule Julie a le droit de me toucher ! rajoute-t-elle.
Je pense que le fait qu'elle précise en insistant bien est au contraire une invitation. Est-ce conscient ou inconscient de sa part ? Mystère !- Martine, tu ne crois pas que dans le noir, je risque de me tromper de fille ?
- Si tu te trompes, je te mords !
- Je ne savais pas que cette soirée allait se terminer sur le mode SM ! Tu sais que l'on m'a souvent dit que je caresse comme une fille. Peut-être que tu ne verras pas la différence ?
- Dans ce cas, ce ne sera pas une soirée SM !
Julie nous invite à la déshabiller. Elle est allongée sur le lit. La situation est très ludique. Évidemment, dans l'obscurité totale, je ne peux que toucher Martine et dans un grand moment d'amusement, je lui caresse tout le dos. Elle me fait un petit bisou dans le cou pour me montrer son approbation. Julie est maintenant complètement nue. Au tour de Martine maintenant. Là, c'est Julie qui s'en charge. Julie qui doit être très active ce soir, me déshabille enfin et me dit :- Je te laisse ton slip ! On ne sait jamais !
Je commence déjà à être sérieusement excité vu la tournure des événements.
Julie nous demande de la caresser. Un moment donné, Martine et mois caressons chacun un sein de Julie. Nous avons les mains qui se croisent sur sa poitrine et c'est encore l'occasion de nous accorder des petites caresses sur les mains et les bras. Julie se met en travers du lit. Martine s'occupe du haut de son corps et moi du bas. Je commence par lui sucer les pieds qui sentent bon la lavande grâce à un produit naturel que nous avons l'habitude d'utiliser. Elle gémit. Je remonte le long de ses jambes que j'écarte pour commencer à lui lécher l'entrée du minou. Il est abondamment mouillé. Je goûte avec délectation ce délicieux nectar tout en lui caressant les fesses, le ventre et la poitrine.De temps en temps, la main de Martine s'égare vers la vulve de ma bien-aimée et je sens son doigt sous ma langue. J'en profite pour le mordiller en imitant un aboiement de chien. La respiration de Julie s'accélère, je continue de plus belle avec ma langue et Martine revient lui titiller le clitoris avec ses doigts. Nous sentons son orgasme arriver. Il est accompagné d'abondantes sécrétions.
Je m'allonge alors sur Julie. Je n'ai pas beaucoup à forcer pour entrer complètement en elle. Le seul petit souci est que, sa vulve étant tellement glissante que je dois être guidé par sa main pour entrer. Je reste là un bon moment sans presque bouger et je sens un courant passer entre nous au niveau du sexe. C'est très bon !
Julie a maintenant repris ses esprits, se tourne contre Martine et se met à la caresser et à l'embrasser partout. Je reste sagement contre le dos de Julie que je caresse aussi. Un moment donné, Julie prend ma main et la dirige vers les cuisses de Martine. Je suis surpris de tant d'audace de sa part, mais je sais que si elle se permet cela, c'est qu'elle a bien senti que « ça pouvait le faire ».Je caresse d'abord le ventre de Martine, puis ses cuisses. Indépendamment du fait que je suis doux dans mes gestes, je me demande si Martine va se rendre compte que ne fais pas comme Julie. Mais en fait, comme Julie est très créative dans ses caresses, qu'elle se laisse inspirer par l'air du temps et qu'elle ne fait jamais deux fois la même chose, je prends confiance en moi. J'approche une main du minou de Martine. Elle a les cuisses un peu rapprochées et ne parait pas mouillée. Je mets alors mes doigts dans la bouche de Julie qui, comprenant la situation, me bave dessus. Une fois mes doigts ensalivés, je réussis à écarter la fente de Martine et, au fur et à mesure que je fouille son intimité, elle écarte progressivement les cuisses et la cyprine arrive. Le cercle vertueux est enclenché. Je ne trouve pas son clitoris. Décidément, chaque fille est très différente des autres. En même temps, je trouve cela bien, car cela ajoute de la magie dans toutes les rencontres. Je me concentre surtout sur tous les multiples plis et replis de sa vulve et elle se stimule elle-même le clitoris.
Je profite de l'occasion pour satisfaire ma curiosité et vérifier la présence ou pas de signes de la virginité. Il y a bien quelque chose qui empêche d'entrer profondément. Son orgasme arrive. Elle n'est pas très démonstrative, mais les palpitations de sa vulve ne laissent aucun doute. Ne sachant plus quoi faire, je reste avec ma main dans son entrée. Quelque temps plus tard, elle se met à caresser cette douce main pourvoyeuse de plaisir et remonte le long de mon bras. Je sens qu'elle a un doute. Elle suit alors rapidement mon bras et découvre la supercherie. Je ne sais plus où me mettre.
- Tu as senti une main de fille, n'est-ce pas ?- C'était super doux. Aussi doux que Julie et bien plus que certaines filles quand c'est leur première relation avec une autre fille !
- J'ai vraiment pris plaisir à cette découverte pleine de mystère !
- Il y a un mystère en moins. Tu as vu que je suis une vraie lesbienne ! Je n'ai jamais eu un sexe de garçon au fond du minou ! Seulement dans la bouche et le cul et, ce n'est pas un bon souvenir !
- J'espère que tu auras de meilleurs souvenirs de cette nuit !
- Tu as le droit de venir me faire un bisou.
Je viens m'allonger sur elle, je lui fais plein de bisous dans le cou, puis je m'enhardis vers ses lèvres. Je ne peux m'empêcher d'introduire un peu ma langue dans sa bouche. Mon pénis est juste contre ses nymphes. Je sens une douce chaleur m'envahir. C'est un petit orgasme sans éjaculation.- Tu sais, j'ai dit un bisou, pas une défloration !
- Excuses moi mais dans le feu de l'action...!
- C'était jouissif, mais toute chose ayant une fin...!
Je l'embrasse à nouveau puis je reprends ma place derrière Julie. Je me frotte doucement contre son dos et je la couvre de doux baisers. Elle ondule imperceptiblement comme une sirène. Je sens mon sexe se dresser à nouveau et je m'introduis en elle, au plus profond. Elle contracte son vagin comme elle sait si bien le faire. Quand elle arrête, c'est moi qui contracte mon périnée, comme j'ai appris à le faire dans des stages d'initiation à l'amour tantrique et ces petites vibrations de mon sexe se propagent en elle. Nous nous endormons comme cela, lovés l'un contre l'autre. Au bout d'un certain temps que je ne peux définir, car j'ai perdu tous mes repères dans cette obscurité totale, et grâce aussi à tout ce qui se passe d'imprévu, je me réveille et je sens Julie bouger. Elle contracte à nouveau son vagin autour de mon sexe et je renouvelle aussi mes propres contractions. Nous ne bougeons presque pas pour ne pas réveiller Martine qui est toujours pelotonnée dans les bras si bienveillants de Julie. Je sens l'orgasme total m'envahir. Je fais quelques mouvements de bassin supplémentaires et je sens des pulsations m'envahir et se propager de mon ventre vers mes orteils et vers le sommet de mon crâne. Je sens des pulsations envahir mon sexe et je pense alors que j'ai dû lui en mettre une dose inhabituelle de sperme.J'adore vraiment cette sensation d'être reçu complètement dans ma petite femme chérie qui reçoit ma semence comme un don au cœur de ses entrailles. Cette position en cuillère est celle où je ressens le plus de sensations, car je peux être actif tout en n'ayant pas de tension dans les bras.
Martine se retourne doucement vers Julie en s'étirant.- J'ai tout entendu et j'ai senti ton corps vibrer de partout, Julie !
- Et toi, comment tu vis cela !
- Toute cette sensualité et cette douceur ! Vraiment étonnant ! Je sens que j'ai moins peur de l'homme maintenant !
- Si tu veux, tu peux me lécher !
Martine hésite un peu puis, alors que je suis encore dans Julie par l'arrière, approche sa langue de la vulve de Julie et goûte pour la première fois un sexe féminin qui vient d'être rempli par un homme. Je sens sa petite langue sur le bout de mon sexe. C'est quelque chose d'indéfinissable et de magique. Je suis complètement hors du temps. Je me retire alors pour lui laisser complètement la place. Elle peut donc introduire sa langue plus profondément.- Martine, tu viens de faire quelque que je n'ai jamais fait !
- Quoi ?
- Eh bien, moi, je n'ai jamais léché le sexe d'une femme qui vient d'être comblée par son homme !
- Tu as raison, c'est complètement différent de celui d'une fille qui vient de jouir d'une autre fille ! Ce n'est pas mieux ! C'est tout simplement autre chose ! C'est une autre planète ! Je me sens prête à l'explorer !
- Ne t'en fais pas, il y a découvrir tous les jours !
Je me sens vraiment comblé par ces deux femmes auprès de moiAu petit matin, nous sommes tous trois baignés de ces effluves de l'amour. Je tire les rideaux. Le soleil vient baigner la chambre et rend hommage à ces trois êtres si beaux dans leur nudité totale. Cette fois ci, Martine n'a plus aucune crainte de mon regard sur son joli corps de fille. Elle me regarde de près et semble émerveillée.
- Tu en avais déjà vu, pourtant !- Il y a si longtemps que j'avais oublié. En plus, j'avais si peur que je n'ai jamais osé les regarder. Je me sentais tellement crispée que j'étais impénétrable ! Julie, est-ce que ça te gêne si je mets le sexe de François dans ma bouche ? ... Juste pour savoir ce que cela fait ?
- C'est son corps à lui ! C'est à lui à te répondre ! Je te rassure quand même, je suis très contente que tu découvres l'amour hétéro dans de bonnes conditions !
- Tu as su m'y amener habilement !
Martine s'approche de moi et avale complètement mon sexe qui était au repos et se met à le téter. L'effet ne se fait pas attendre longtemps et j'affiche très vite une bonne érection. Martine parait vraiment étonnée de ce que ça lui fait.- Eh bien, c'est vraiment magique ! C'est autre chose qu'un clitoris de fille ! Mais je pense que j'aimerais toujours découvrir aussi un corps de fille. Elles sont toutes si différentes. Chacune a son propre goût, sa propre odeur.
- Tu sais, les garçons sont tous différents aussi. Leur odeur dépend de ce qu'ils mangent !
Nous nous rhabillons l'un l'autre. Chacun de nous va conserver sur lui ces délicieuses fragrances de l'amour pendant toute cette journée. C'est un moyen de prolonger ces merveilleux moments. Martine nous quitte pour la journée après nous avoir embrassés tous les deux et ce n'étaient pas de simples petits bisous.
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