Dimanche 17 août
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/Août
11:53
Ami lecteur, toi qui t’aventures ici, sache que tu vas pénétrer en un monde de luxure et de fornication. Tu ne trouveras rien d’autre
ici, car c’est bien le but de ce texte : du sexe, du sexe, rien que du sexe. Que les âmes sensibles, puritaines ou facilement effarouchées se le tiennent pour dit, et s’en tiennent à l’écart.
Puissent les autres prendre autant de plaisir à le lire que j’en ai eu à l’écrire. Ami lecteur, enfin, sache que je n’ai pas voulu faire un « gonzo » car je n’y connais rien. Je suis par contre
convaincu qu’on peut le qualifier de « total sexe. » Alors, ami lecteur, cale-toi bien dans ton siège, car voici que s’ouvrent les portes de : La partouze
J’ai versé tout le champagne qui restait sur ses seins, une demi-bouteille au moins ! Bordel, qu’est-ce que j’en avais envie, elle les avait plantureux ! Elle, c’était la brune, aux cheveux longs
et ondulés, je ne me souviens plus de son nom. Du Dom Pérignon, pas de la merde. Il coulait en faisant pssscchhht sur ses globes, puis descendait vers son ventre et son sexe. Je regardais le truc
en souriant, béat. Je restais fasciné par le flot qui se divisait autour de ses mamelons. Le champagne froid et l’excitation les faisaient pointer, durs. À genoux, elle tendait son buste en avant,
pour accueillir le précieux liquide. Je ne savais pas trop si elle rigolait ou si elle gloussait de plaisir.
La blonde s’est rappliquée en vitesse. Celle-là s’appelait Murielle, je m’en souviens parce que j’avais trouvé ça cruche comme prénom. Plus personne ne s’appelait Murielle aujourd’hui. Surtout pas
à son âge, elle ne devait pas avoir plus de vingt ans. Elle avait des petits seins, moins de la moitié de l’autre mais un sourire à vous scier les pattes, et un cul ! une Vénus callipyge. Elle
s’est allongée sur le dos et a glissé sa tête entre les jambes de la brunette en me faisant un clin d’œil.
* — Faut pas perdre tout ce bon champagne ! elle a dit, puis elle a collé les lèvres de sa bouche à celles plus intimes de sa copine.
Le champagne glissait sur le ventre de Brunette, dans sa toison, et finissait sur le visage de Murielle. Elle sortait la langue pour le lamper et filer de grandes lèches à la chatte de
Brunette.
À cinquante centimètres de nous, Julien et un autre type que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam étaient assis à poil dans le divan. Ils se faisaient sucer par la troisième fille, celle qui
disait s’appeler Jessica. Elle avait des formes plus généreuses, sans être grosse. Légèrement ronde, comme on dit aujourd’hui.
À genoux sur la moquette, entre eux deux, elle tenait une queue dans chaque main et les pompait à tour de rôle. Un moment, j’ai tendu le bras et j’ai glissé un doigt dans sa chatte. C’était chaud
et humide, agréable. Elle s’est cabrée, un peu, en grognant doucement. Mais comme je voulais rester concentré pour ne pas gaspiller le champagne, j’ai retiré ma main rapidement.
Quand la bouteille a rendu l’âme – la dernière goutte venait de s’écraser sur le sein droit de Brunette – elle m’a attrapé par les cheveux et a collé ma bouche sur sa poitrine. Je ne me suis pas
fait prier. J’ai glissé ma langue partout. Je passais par-dessus, par-dessous, je suçais ses pointes, les mordillais doucement. L’acidité du champagne donnait à sa peau un goût exquis. Un étage
plus bas, Murielle continuait à lui bouffer la chatte. Brunette devait commencer à s’exciter grave, elle dégoulinait sur son menton. Je lui léchais les seins, la nuque, même les aisselles, toute
langue dehors.
Brunette, qui avait attrapé la bouteille vide, a glissé le goulot dans la vulve de Jessica. Elle s’est mise à la tourner, la pousser, de plus en plus loin. Jessica cabrait son dos, reculait son
arrière-train pour entrer la bouteille encore plus profond, en émettant des hmpf hmpf, une bite au fond de la gorge. Tout le goulot est entré.
La main de Murielle a atterri sur ma queue. Je l’aurais bénie. Je bandais tellement fort que ça en devenait douloureux. La douceur de sa paume m’apaisa un peu. Sa bouche toujours collée à Brunette
– je ne pouvais pas voir les détails de l’affaire mais je me doutais qu’elle devait entrer sa langue au plus profond parce que je voyais presque disparaître son menton entre les grandes lèvres par
moments – elle glissait sa main sur ma hampe avec douceur, puis de temps en temps me la lâchait pour caresser mes couilles ou glisser un doigt vers mon anus et le titiller. Pour qu’elle ne soit pas
en reste, et aussi parce que ça m’excitait à fond, j’ai posé une main sur sa fente. Elle se rasait intégralement, j’ai bien aimé, ça rendait le contact plus doux, son pubis était lisse comme une
joue de bébé. Et j’ai commencé à glisser mon majeur entre ses lèvres. Elle a écarté un peu plus les jambes. J’entrais déjà trois doigts, le pouce sur son clito, quand Jessica a lâché :
* — Baisez-moi, les gars, baisez-moi ! vite ! d’une voix plaintive qui ne laissait aucun doute quant à l’urgence de la demande.
À une vitesse folle, elle s’est retournée, plantant là Brunette avec la bouteille au bout du bras. Elle a sorti une poignée de préservatifs du gros bocal posé sur la table du salon, en a décacheté
un avec les dents, qu’elle a ensuite déroulé sur la queue du gars que je ne connaissais pas. Puis elle lui a grimpé dessus et s’est empalée sur son sexe, en lui fourrant ses seins volumineux dans
la figure. Brunette regardait toute la scène en léchant le goulot de la bouteille, on aurait dit qu’elle lui faisait une fellation.
Jessica a fait se lever Julien, dans le divan. De la sorte, elle a pu le reprendre dans sa bouche. Elle lui léchait le gland, la tige, les couilles, l’enfonçait dans sa gorge, tandis qu’elle
montait et descendait sur le braquemart dressé de l’autre type, haletante.
Un moment, j’ai cru que Brunette allait jouir sous les coups de langue de Murielle, son visage se crispait. Elle a dû juger que c’était trop tôt parce qu’elle s’est reculée. Elle s’est penchée et a
roulé un patin d’enfer à Murielle en lui caressant les seins. De la salive leur débordait des lèvres. Moi, je restais là à les regarder, la bite tendue, l’air un peu esseulé. Brunette a dû en
prendre conscience parce qu’elle a dit :
* — Viens, on va le sucer.
Elles m’ont fait m’allonger sur le dos. Brunette s’est placée entre mes jambes et Murielle à califourchon sur mon visage. En même temps que je posais le bout de ma langue sur son clito, j’ai senti
leurs deux langues s’enrouler autour de mon gland.
Dans le divan, Jessica s’est mise à gémir, han han, sa voix grimpant dans les aigus. Sans rien voir – dans ma position, la seule vue possible, c’était la rosette de Murielle – j’ai deviné au bruit
que quelqu’un ouvrait un nouvel emballage de préservatif. Puis, juste après, Jessica, le souffle court, a sorti :
* — Dans le cul, mets-la moi dans le cul !
Putain ce que la chatte de Murielle avait bon goût ! Je passais ma langue dans tous les replis, sur le moindre endroit intime, je suçais ses lèvres, aspirais son bouton, le titillais du bout de ma
langue, puis je descendais, la langue bien à plat jusqu’à son petit trou, l’introduisant - ma langue - le plus que je pouvais. Et encore, et encore. Elle dégoulinait. Et toutes les deux, Brunette
et elle, s’affairaient sur mon engin avec une ferveur diabolique ! Tantôt je sentais les pointes de leurs langues glisser tout le long de ma verge, tantôt une de mes couilles aspirée dans une
bouche, puis des sensations divines de douceur sur mon gland, ou encore je me sentais disparaître au fond d’une gorge tandis qu’un doigt pénétrait dans mon cul. Je n’avais vraiment pas à me
plaindre, c’était exquis, mais j’avais tout de même un tout petit regret : je ne voyais pas Jessica, prise en sandwich, se faire pistonner. J’entendais juste les floc floc, flap flap, que faisaient
leurs corps en s’entrechoquant.
Puis Murielle s’est levée. Elle a saisi la bouteille de champagne au passage et est allée s’asseoir à côté du trio, dans le divan. D’une main elle a empoigné le gros sein gauche de Jessica et s’est
fourré le téton durci dans la bouche. Le goulot de la bouteille s’est retrouvé dans sa chatte.
Brunette a continué encore un peu sa fellation en matant la scène, puis elle a ondulé sur mon corps, frottant le bout de ses seins sur mon ventre, mon torse. Elle les a fourrés dans ma bouche, l’un
après l’autre, juste avant de se mettre à les ballotter, m’assénant des petites gifles de ses deux melons. À son tour, elle a attrapé un préservatif, en a déchiré l’emballage et m’a encapuchonné.
Et, en me tournant le dos, elle s’est empalée sur mon sexe. Comme elle a posé les mains sur mes genoux, son dos s’est cambré, ouvrant ses fesses et m’offrant une vue de rêve sur son petit trou.
Quand j’y ai introduit mon pouce, elle a émis un petit cri et m’a dit :
* — Hmmm, oui, pousse-le bien à fond !
Tour à tour, je reluquais le cul de Brunette qui coulissait sur ma bite, Jessica baisée par ses deux orifices, puis Murielle qui se tronchait avec la bouteille, et qui maintenant roulait un patin à
Jessica. Elles se suçaient la langue de bon cœur.
Jessica n’avait plus l’exclusive des cris, elles se mettaient toutes à en pousser. De tous côtés fusaient des hmmm, aaah, ooooh, haaan ! Un moment, j’ai dû faire un gros effort de concentration
pour ne pas venir, j’étais au bord du gouffre, mais j’ai évité la tempête.
Brunette a changé de position la première. Elle s’est mise à quatre pattes et, en se retournant, a pris mon sexe dans une main pour le guider vers sa rondelle. Le trou ayant été déjà bien dilaté
par mon pouce, j’y suis entré comme dans du beurre. Ensuite, Murielle a attrapé Julien par le bras et lui a dit :
* — À mon tour, viens me défoncer le cul !
Elle s’est retrouvée à quatre pattes, Julien planté derrière elle, les mains tenant ses hanches, la bite enfoncée dans son anus. Puis, Jessica a suivi avec le dernier gars. On formait une sorte
d’étoile à trois branches. Au centre, les filles avaient sorti leurs langues qui s’enroulaient, se déroulaient, se léchaient.
On est restés comme ça plusieurs minutes ; ça criait, grognait, par toutes les bouches. Puis Julien a dit :
* — On change de cul, les gars !
On s’est retirés tous les trois, on a remis de nouveaux préservatifs et on a tourné dans le sens des aiguilles d’une montre. J’étais maintenant en train d’enculer Murielle.
Comme on avait des capotes à profusion, on s’est permis de jouer ce jeu-là encore plusieurs fois. Je ne pourrais pas dire quel est le cul qui me plut le plus. Mais je me souviens avoir bien aimé
les fesses un peu potelées de Jessica, j’avais apprécié de les voir onduler à chacun de mes coups de boutoir.
Je ne sais plus combien de temps on les a pistonnées comme ça, mais ça ne devait pas être triste. J’étais maintenant revenu derrière Brunette et, à vrai dire, j’en pouvais plus, j’étais au bord de
l’explosion. À voir, et entendre, les rictus et les grognements de mes deux comparses, ils ne devaient pas en être loin, non plus. J’ai presque gueulé :
* — Oh putain ! Je vais gicler !
De concert, les deux autres ont dit :
* — Ouah, moi aussi !
Brunette s’est retirée dare-dare. Je me suis relevé, elle s’est retournée et s’est plantée à genoux devant moi en prenant ses seins dans ses mains. Elle les pressait l’un contre l’autre. Les autres
filles ont fait pareil. Murielle avait un peu plus de mal avec ses petits nénés mais je trouvais qu’elle se débrouillait pas mal tout de même.
On a viré nos capotes et on s’est branlés. Je crois bien que je suis parti le premier, mais je ne le jurerais pas. Ça n’arrêtait pas, de longs jets chauds s’écrasaient sur les nibards de Brunette.
Je lui en ai même mis un filet dans les cheveux ; sur le coup, j’étais un peu désolé, je trouvais que ça faisait comme une tache sur un joli tableau. Les filles se caressaient, étalaient tout le
foutre sur leur peau, leurs bouts. Pour sortir les dernières gouttes, elles nous ont attrapés les queues, nous ont branlés en serrant bien comme pour nous essorer.
Finalement, ça avait un petit côté surréaliste, je venais de baiser cette fille par tous les trous, je l’avais aspergée de sperme, et je ne pouvais même plus me rappeler son prénom. Étrange, mais
agréable.
Après, je suis tombé sur le cul, un peu lessivé. Je ne voulais plus bouger, pas tout de suite. Je planais, soulagé, heureux, en sueur. Dingue comme sensation. Mais les filles avaient resserré les
rangs. Toujours à genoux, elle s’embrassaient toutes les trois en se frottant les seins les uns contre les autres.
Il n’a pas fallu longtemps pour que ma bite se redresse. Je me suis dit « sacrée soirée ! et c’est pas fini ! ».
Dimanche 6 juillet
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08:16
— Karine, tu devrais t’inscrire dans « Facebook », c’est génial, m’interpelle Maud.
Nous sommes assises à la terrasse d’un café où nous reprenons quelques forces après une séance de shopping.
— Cela m’a permis de reprendre contact avec une amie de pensionnat que j’avais perdu de vue, m’explique-t-elle. Et pas n’importe laquelle, ma chère, ajoute-t-elle avec un regard espiègle… Celle, me
glisse-t-elle à l’oreille en se penchant vers moi, qui m’a fait découvrir les plaisirs saphiques.
Très intéressée, je ne peux m’empêcher de répondre :
— Raconte-moi ça !
— J’avais juste 18 ans. J’étais en terminale.
Mon amie Maud est toujours pour moi une source d’étonnement. Comme vous le savez, (voir chapitre 5) nous sommes très différentes. Le côté physique d’abord : je suis une grande brune mince toute en
jambes avec guère de poitrine, elle, une petite blonde aux yeux bleus, craquante et pulpeuse. Le caractère ensuite, Maud est une extravertie 100%, drôle, insouciante, vivant au jour le jour, tout
le contraire de ma pomme, longtemps complexée et coincée (voir Chp 1). Pour finir, côté vie amoureuse et sexuelle, nous sommes aux antipodes. Maud multiplie les aventures et se donne à qui lui
plaît avec la bénédiction d’Alex son compagnon qui en fait autant de son côté, tandis que moi, sentimentale et idéaliste, je n’ai aucune envie de tromper Pierre, mon mari.
— Ma mère m’avait mise en pension au fin fond de la Normandie parce que j’étais enragée, m’explique-t-elle en riant. Je ne supportais pas l’idée qu’un jour elle puisse se remarier et j’étais
infernale avec tous les hommes qui lui faisaient la cour. Elle en a eu marre.
— Logique.
— Le pensionnat ne prenait que des filles. Il n’y avait dans ma classe que trois garçons boutonneux qui venaient des villages voisins. Ils ne parlaient que de foot, tu vois le niveau.
— Pas de quoi tomber amoureuse, effectivement.
— Ma nouvelle voisine de dortoir m’intéressait beaucoup plus, c’est elle dont je te parle. Elle se vantait d’avoir déjà couché avec une dizaine de mecs.
— Vrai ?
— Sûrement car elle avait un appétit sexuel féroce. En réfléchissant, c’est probablement à cause de ça que ses parents l’avaient cloîtrée en pension, conclut-elle avec un éclat de rire.
— Et alors ?
— Je vais te dire un truc marrant, Karine. Au bout d’un certain temps en pension, nous avons toutes nos ragnagnas en même temps. C’est bizarre hein ?
— Toutes les élèves ?
— Oui, les profs, je n’en sais rien, dit-elle en riant d’un rire communicatif.
— Ce qui veut dire, continue-t-elle, que toutes les filles ont leur pic de libido en même temps. Tu vois le topo ? Ces jours-là, ma chère, il y a de drôles de bruits dans les dortoirs.
— Tu veux dire que toutes les filles se masturbent ?
— Pas toutes, bien sûr. La proportion c’est une sur deux en général, mais en pension c’était plutôt neuf sur dix. Nous étions toutes en manque de câlins et de tendresse et il y avait une certaine
émulation. Un jour j’ai dû laisser échapper quelques soupirs suggestifs et j’ai écouté ma voisine me chuchoter à voix basse :
— Tu te caresses ?
— Euh, je… je… oui, ai-je répondu toute penaude.
— Il n’y a pas de honte, je le faisais aussi. Viens on va aller dans la salle de douches, nous serons tranquilles pour continuer et on pourra se parler.
— Dis-toi bien, Karine qu’à l’époque, il y a 15 ans, dans ce genre de pension, c’était la galère. Nous étions censées être de vraies jeunes filles et le sexe était un sujet tabou. Tout était
filtré, censuré. Pas question de lire une revue ou un bouquin décrivant un tant soit peu une relation sexuelle. J’étais donc ravie de faire parler une fille qui avait de l’expérience.
— Maud, arrête ! Tu me racontes des salades, tu n’avais rien à apprendre. Tu n’étais plus vierge depuis longtemps.
— Pas depuis longtemps. J’avais une vie très orthodoxe à l’époque.
— Admettons.
— Tu ne me crois pas ? Cela s’était passé dans une 205, l’été d’avant, je ne te dis pas le confort ! explique-t-elle avec un petit rire. Mon amoureux au moment crucial m’avait sorti de la boîte à
gants tout un stock de préservatifs.
— Tu t’étais fait piéger, ma cocotte.
— Oui et alors ? s’exclame-t-elle en haussant le ton, attirant l’attention de notre voisin, un papy rondouillard et rougeaud plongé dans un journal de Turf et en train de noter des numéros avec un
crayon. À 17 ans, c’était temps, non !
— Si tu le dis.
— Bon j’en reviens à cette fille. À un moment, elle m’a demandé si j’aimais me faire lécher. Je lui ai répondu que je n’avais jamais eu droit à ce traitement de faveur dans la 205 de mon copain.
Cela l’a surprise : « Tu ne t’es jamais fait lécher la chatte ? C’est top, tu vas voir, je vais te le faire ».
Je jette un coup d’œil furtif au papy qui ne perd plus rien de notre conversation et qui paraît pétrifié.
— Karine, pourquoi aurais-je refusé ? Tu sais, dans ce genre de pensionnat c’est courant.
— Ah ?
— Les filles qui n’ont pas de tabous au lieu de se caresser seule, le font à deux. C’est quand même mieux.
— Ben, euh… effectivement.
Il va en avoir des choses à raconter à Bobonne, ce gros papy,… il me fait penser à Bidochon. Il a le même look.
— Cela ne veut pas dire qu’elles soient lesbiennes, c’est faute de garçons. Ce n’est pas compliqué à comprendre.
— Je ne dis rien. J’ai capté. Continue.
— Elle m’a allongée sur le carrelage froid, m’a remonté ma chemise de nuit et je me suis retrouvée avec sa tête entre mes jambes. Je te fais un dessin ?
— Décris-moi quand même un peu la scène.
Bidochon pourra me dire merci.
— Si tu veux. J’avoue que mon cœur battait la chamade, et que j’étais plutôt crispée, mais elle me tenait fermement par les hanches, je ne pouvais pas me soustraire, ni crier bien sûr. Tu
t’imagines si une surveillante s’était pointée ?
— Cela aurait pu être une surveillante lesbienne.
Maud hausse les épaules et embraye.
— Quand elle a attaqué mon bouton, j’ai perdu toute résistance, j’ai fermé les yeux, j’ai ouvert mes cuisses en grand et je me suis laissée aller. Elle a écarté ma vulve pour faire saillir mon
clito et elle a commencé à le sucer et à le téter. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil, je le sentais grossir, gonfler à chaque aspiration, atteindre une taille inimaginable. C’était très
différent de mes propres caresses, très doux et très intense à la fois. Quand elle m’a senti mûre, elle s’est mise à le balayer à vif de petits coups de langue à une allure folle, c’était presque
insoutenable, je me suis tortillée dans tous les sens, mais elle a tenu bon et j’ai explosé. J’ai failli hurler.
— Elle savait y faire. Tu as eu du pot.
— Attends, ce n’était pas fini. J’avais à peine repris mon souffle que j’ai senti un doigt me pénétrer, puis deux, puis trois. C’était bien plus gros que le sexe du propriétaire de la 205. J’ai
chuchoté : « Oui… oui… vas-y à fond… » et elle a commencé à me fouiller dans tous les coins. Je me sentais couler comme une fontaine. Puis je n’ai plus fait attention à rien car un plaisir très
différent du premier montait, montait… c’était tout mon bas-ventre qui s’embrasait. L’orgasme m’a terrassée, et m’a tenue plus d’une minute. Je suppliais : « Continue… continue… »
Punaise, Bidochon est scotché, tout pâle, les yeux fixés sur ma copine, la bouche ouverte comme s’il manquait d’air… Il va nous faire une syncope…
— Ne me dis pas que c’était pas ton premier orgasme, Maud. Ton petit copain t’avait déjà fait grimper au plafond de la 205, j’imagine.
— Oui, mais pas avec cette intensité. Je venais d’avoir deux orgasmes de suite, très différents, je découvrais que je ne savais encore rien de mon sexe. Plus rien n’était pareil. Je ne pensais plus
qu’à recommencer.
— Tu n’as pas dû t’en priver.
— Oui, avec elle et avec d’autres, avoue-t-elle en souriant.
— Pourquoi tu souris ?
— Aux vacances de Pâques, elle avait ramené un petit vibro offert par son petit ami de l’époque. Je ne te dis pas le succès qu’elle avait eu avec cet engin. Elle s’était mise à organiser des
expériences sexuelles, une sorte de compétition d’orgasmes, tu vois le genre.
— Non, pas bien.
— Le plus rapide, le plus long, la manière la plus originale pour y arriver.
— Attention aux tricheuses.
— Oui, elle avait aussi fait le concours de la meilleure simulation. C’était à mourir de rire.
— Je vois que tu as appris des choses intéressantes dans ce pensionnat, ma chère Maud.
— Oui, je sais depuis que toutes les femmes sont bisexuelles par nature. C’est juste un interdit moral à transgresser. N’est-ce pas Karine ? ajoute-t-elle avec un petit sourire narquois. Tu ne peux
pas me contredire, je prêche une convaincue, toi, la grande sentimentale soi-disant 100% fidèle à ton mari, tu as bien passé une nuit avec Ayaan et ne me dis pas que tu n’as pas aimé, elle m’a tout
raconté.
Oh, punaise, pourquoi, je me sens fautive tout à coup ? Que répondre ? Je ne vais pas dire que je regrette, ce n’est pas vrai.
— Oui, j’ai aimé, mais je peux t’affirmer que je ne suis pas du tout attirée par les filles.
— Alors comment expliques-tu que tu aies complètement flashé sur elle ?
Oh, la vache, elle appuie où ça fait mal…
— Tu le sais bien.
— J’aime te l’écouter dire, répond-elle avec un large sourire.
— Elle m’avait fait jouir comme une folle sur sa table de massage. Voilà, j’ai avoué, tu es contente ?
Coup d’œil au papy qui ne prend même plus la peine de faire semblant de lire son journal et qui laissant tomber Maud, me dévisage à mon tour.
— Cela ne me suffit pas. Je veux la suite.
— J’étais comme envoûtée, je me caressais la nuit en pensant à elle. J’ai fini par tout raconter à Pierre.
— Il a été malin ton mec de t’autoriser à faire ce qui de toute manière serait arrivé.
— Cela m’a sidérée, car il est plutôt possessif.
— Il est jaloux ?
— Non pas jaloux, possessif. Il me laisse entièrement libre mais il serait inconsolable si j’en profitais.
— Heureusement qu’il n’a pas assisté à vos ébats, conclut-elle en me fixant avec un regard ironique. Raconte un peu.
— Maud, tu n’auras pas de détails. Ce que je peux te dire c’est qu’elle m’a appris un tas de choses et que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en une nuit. Elle m’a épuisée sexuellement,
ajouté-je en souriant. Cela te va comme confession ?
Pourquoi Bidochon me gratifie-t-il d’un sourire graveleux ? Il croit qu’il a une ouverture parce que cela fait plusieurs fois que je le regarde ? Il est grave !
— Cela me va parce que tu avoues que tu n’as pas besoin d’être amoureuse pour accéder au septième ciel.
— Je le concède mais il faut quand même en avoir envie. Un mec grand, séduisant, avec un sexe bien vigoureux, d’accord, mais (en regardant Bidochon) un petit vieux qui déballe une saucisse molle,
défraîchie et qui sent la pisse, c’est mission impossible.
Message reçu ? S’il n’a pas capté, ce vieux débris… Maud, qui a tout compris, me gratifie d’un clin d’œil et poursuit :
— Pour terminer mon histoire, Karine, ensuite je suis rentrée en fac et j’ai perdu de vue ma copine. Cela va me faire tout drôle de la revoir, ajoute-t-elle en me regardant avec ses grands yeux
bleus… Si elle a toujours le feu aux fesses, les retrouvailles vont être chaudes, ajoute-t-elle avec un rire communicatif.
— Et à la fac, Maud, pas d’autres expériences du même genre à me raconter ?
— J’ai eu deux ou trois petits amis… à la suite, très classiquement, rassure-toi. Mais j’ai surtout rencontré Géraldine.
— Géraldine ? Je ne connais pas.
— Une nana complètement déjantée qui a bouleversé ma vie.
— Une lesbienne ?
— Pas du tout. Pourquoi ?
— Tu dis qu’elle a…
— Elle m’a fait découvrir le monde du sexe. Elle a eu l’idée de partir en vacances à Ibiza.
— La réputation des boîtes de nuit ?
— Oui. Un reportage télé qu’elle avait vu. Si je te raconte ça, je vais te choquer, prude comme tu es.
— Vas-y, je suis assise.
Je sens que cela va plaire à Bidochon. Il fait semblant de s’être replongé dans son journal, mais il a toujours les oreilles qui traînent. Va-t-il pouvoir tenir le choc sans éjaculer dans son slip
kangourou ?
— Tu comprends, Maud, m’avait expliqué Géraldine, j’ai 20 ans, dans deux ou trois ans je serai peut-être casée et je n’ai aucune envie de tromper mon futur mari. Alors, si je veux profiter de la
vie et m’amuser un peu, c’est maintenant ou jamais. Viens avec moi, à Ibiza. Là-bas, personne ne nous connaîtra, on va pouvoir s’éclater, ni vue ni connue.
— Tu n’as pas dû être difficile à convaincre.
— Nous avons acheté nos billets d’avion et nous sommes parties à l’aventure. Nous avons sympathisé avec un couple de jeunes qui nous ont conduits dans leur club de vacances. Nous avons pu trouver
une petite chambre en allumant le responsable, un bel hidalgo de 50 balais. Géraldine lui a fait comprendre que s’il s’arrangeait pour ne pas nous faire payer, nous pouvions être très, très
gentilles avec lui.
— Mais, Maud… (Je suffoque indignée) c’est de la prostitution !
— Mais non ! s’esclaffe-t-elle. Il aurait fini dans notre lit même s’il n’avait pas eu le pouvoir de nous rendre service. Il était un peu vieux pour nous, d’accord, mais il était vachement
séduisant, bien bronzé, pas un poil de bedaine, un sourire ravageur à la Julio Iglésias, un vrai tombeur, pas du tout le look pervers pépère de notre voisin aux grandes oreilles.
Oh, punaise, le papy va avaler son dentier… il nous regarde, tout rouge, va-t-il se fâcher ?
— Et surtout il avait un gros savoir-faire, ajoute-t-elle avec un grand sourire et un clin d’œil salace à Bidochon qui du coup semble se calmer.
— Ça, tu ne l’as su qu’après, ma cocotte…
— Tout de suite après, dans la chambre. Ce qui nous a rassurées pour nos débuts, c’est qu’il nous voulait toutes les deux à la fois. On l’a vite épuisé, ajoute-t-elle en riant.
— À 50 ans, avoir deux nymphos dans son lit ! Vous auriez pu le faire crever.
— Penses-tu ! C’était un bon. Pas du genre à avoir besoin de Viagra, lui ! (nouveau clin d’œil vers Bidochon qui dégoûté par cette attaque à sa virilité se lève et nous quitte sans un regard.)
Résultat, continue Maud, nous changions de chambre sans arrêt, au gré des trous du planning mais nous n’avons jamais rien payé.
— Je ne sais pas si je dois te féliciter.
— Tu peux, c’était un club super avec une ambiance très cosmopolite, tout le monde vivait la nuit et ne pensait qu’à faire la fête. Reste assise, Karine. En quinze jours, j’ai dû me taper une
cinquantaine de mecs.
— Mais… (Je calcule horrifiée)… Maud, ce n’est pas possible, ça fait plus de trois par jour !
— Ça va vite, Karine, explique-t-elle en riant de mon indignation. Entre elle et moi c’était presque une compétition. Au début, on s’était fait piéger, on avait suivi un mec rencontré en boîte
soi-disant dans une soirée privée et on était tombé sur une véritable partouze.
— Vous ne vous êtes pas enfuies ?
— On était scotchées. Géraldine a été traînée vers un lit par un grand blond tout nu un peu plus rapide que les autres. Moi, j’hallucinais devant le spectacle. Cela baisait dans tous les coins.
Comme les filles à l’œuvre avaient l’air de prendre beaucoup de plaisir, je me suis dit : "Merde, je ne vais pas me contenter de regarder, je peux bien faire ça une fois dans ma vie."
Alors, tu t’es faite partouzée… (Voix épouvantée)
Je me suis laissée entraîner par mon copain d’un soir qui m’a culbutée sur le coin d’un lit déjà pris par un couple en pleine action. Un autre mec est venu nous regarder, puis un second. C’était la
première fois que je faisais l’amour en public, cela m’a fait un effet terrible et j’ai eu un orgasme très rapidement. Mon copain en se retirant m’a glissé à l’oreille : « Ils attendent leur tour.
Tu es nouvelle, super mignonne et tu jouis facilement, tous les mecs vont vouloir t’essayer. Vérifie leurs préservatifs et amuse-toi bien. »
Punaise, Bidochon est parti trop tôt, il a manqué le meilleur…
— Il est parti tenter sa chance ailleurs, continue Maud, et le premier arrivé a pris aussitôt sa place entre mes jambes. Au début c’est génial. Tu comprends, ton mec sauf s’il est mort de faim, il
ne te baise pas deux fois de suite, il lui faut un petit temps de récupération. Tandis que là, tu viens à peine de prendre du plaisir avec le premier qu’un autre le remplace, tout aussi vigoureux,
tout aussi fougueux, tu n’as pas le temps de refroidir.
Punaise, c’est kiffant comme truc mais il faut être raide dingue…
J’arrive à balbutier :
— Et… et ensuite ça se gâte ?
— Jusqu’au cinquième c’est meilleur à chaque fois mais après il faut être entraînée. Les mecs me prenaient sans même me changer de position. Arrive un moment où tu es complètement défoncée, tu ne
les comptes plus, tu es shootée, tu peines à tenir tes jambes, à bouger comme il faut pour ne pas les décevoir, tu les confonds, tu ne sais même plus qui t’a déjà baisée ou pas, lesquels font ça
bien ou pas, tu as mal aux cuisses, mal au sexe.
J’avais peur pour Bidochon et c’est moi qui vais tomber raide…
— Alors, Karine, continue-t-elle, j’ai fait une pause, j’ai été me laver un peu car il y avait un impatient qui s’était branlé sur mes seins. J’ai fait un tour pour m’en mettre plein les yeux et,
évidemment, au bout d’un certain temps, devant le spectacle l’envie m’est revenue. Cette nuit-là, j’ai dû me faire enfiler par une vingtaine de mecs. Tous ceux qui le désiraient.
Tous ??? Alors là, c’est le pompon ! Ce n’est pas possible ! Elle a un pet au casque.
— Tu… tu ne les choisissais pas ?
— Non, cela ne se fait pas. Dans ce genre de soirée, seul le sexe compte. Un garçon peut être moche, poilu ou grassouillet mais avoir une queue magnifique et faire ça super bien. Je vais même te
dire que les mecs trop beaux sont rarement des fines braguettes.
— Ah… Mais… euh… (J’en ai les neurones qui disjonctent)… et… et les filles ?
— Quoi, les filles ?
— Les jolies doivent être surbookées et les autres délaissées, non ?
— Pas du tout ! D’abord il y a nettement plus d’hommes que de femmes et ensuite une fille canon peut être une vraie planche ou bouger à contretemps tandis qu’une autre moins jolie ou moins jeune
peut avoir des rondeurs appréciées, un grand savoir-faire ou une chatte surprenante.
— Une chatte surprenante ?
— C’est une chatte musclée qui donne aux mecs un max de sensations. Demande à ton mari ce qu’il en pense, il a bien dû connaître ça avant que tu lui mettes le grappin dessus.
— Laisse mon mari où il est et termine ton histoire hallucinante, Maud.
— Pour en revenir à cette partouze, Karine, c’était trop. Overdose. Je n’avais pas l’entraînement, j’ai eu des pertes pendant deux jours. Plus question de se faire traîner dans un piège pareil en
suivant des mecs dans un lieu inconnu. Chaque soir, on se contentait de ramener chacune un garçon. Comme nous n’avions qu’une chambre pour deux on devait leur expliquer que ce n’était pas grave et
qu’il fallait faire avec. La plupart de temps cela se terminait en partie carrée.
— Tu m’étonnes.
— Je t’ouvre des horizons, Karine ?
— Cela ne me branche pas du tout mais j’admets que ton histoire m’a fait mouiller ma petite culotte.
— Si un jour, tu changes d’avis, je peux te faire inviter à des petits dîners libertins quand ton mari sera en voyage.
— Non, Maud.
— Bon… Je n’insiste pas. J’en reviens au décompte. Tu vois, deux par nuit, plus tous ceux de la petite soirée, j’arrive à une cinquantaine et Géraldine encore plus, elle ne savait pas dire non. À
la fin du séjour, elle ne mettait même plus de petite culotte pour partir en boîte.
— Heureusement que je suis assise, effectivement. Qu’est-elle devenue cette copine nympho ? Tu l’as perdue de vue, comme l’autre ?
— Oui. Elle a totalement coupé les ponts avec moi quand elle a rencontré son futur mari.
— Evidement. Elle n’avait pas envie que tu racontes ces vacances à son fiancé.
— Elle devait aussi avoir peur que je me le fasse. Ce qui est ridicule. Tu me connais, je sais ce qu’il faut faire et ne pas faire. Je n’ai jamais dragué ton Mari, Karine, et pourtant il est
craquant.
— Je t’en remercie beaucoup, Maud (avec un air ironique).
— Sans rire, ces vacances ont réellement changé ma vie. Je suis revenue d’Ibiza complètement libérée. De retour à Paris, je me suis mise à pratiquer le sexe comme un sport.
— Un sport ?
— Je me suis mise à fréquenter un club libertin. Mais c’est une autre histoire. Tu as vu l’heure ? Il faut que j’aille récupérer ma fille. Je l’ai collée à ses grands-parents mais ils s’épuisent
vite. Je me sauve. À plus.
Maud me claque deux bises et me laisse seule toute pensive devant mon thé froid. Punaise, et si je me musclais la chatte ? Pour voir.
Samedi 28 juin
6
28
/06
/Juin
10:13
Depuis plusieurs minutes le souffle des deux femmes entrelacées sur le lit, est devenu plus régulier. Elles dorment du sommeil des
amantes épuisées alors qu’Harry et Marie-Claude commence à avoir des crampes dans les muscles de leur corps qui n’ont pas eu le plaisir de se détendre pour cause d’orgasme avorté à répétition.
C’est Harry qui parle en premier en appelant doucement Marie-Claude.
- Marie-Claude tu dors mon petit ange ?
- Non, j’ai mal dans les bras et les jambes et je suis trop tendue pour penser à dormir. Et toi ?
Moi c’est pareil. Je vais essayer de me détacher, j’ai l’impression qu’un de mes liens s’est détendu.
En joignant le geste à la parole, Harry se tortille sur sa chaise et, effectivement, la corde qui retient son pied droit commence à se dégager et quelques minutes plus tard, il a un pied de libre.
Par contre il ne peut rien faire pour les autres malgré tout ses efforts. Marie-Claude de son coté n’est pas restée inactive et elle a réussi à libérer ses deux pieds. Du coup elle fait glisser
tout doucement sa chaise vers celle d’Harry en prenant garde de ne pas faire de bruit et en surveillant le sommeil de deux amantes.
Minute après minute Marie-Claude se rapproche d’Harry qui regarde sa partenaire du moment, celle qu’il a à moitié violée l’autre jour, se rapprocher de lui.
Plusieurs minutes passent et Marie-Claude est maintenant contre Harry. Elle souffle fortement car l’effort a été intense et son souffle caresse Harry qui se sent tout chose. Ca le fait bander
d’avoir cette belle jeune fille qui suce si bien contre lui et son membre traduit son émotion en reprenant en quelques minutes une dimension prometteuse.
Marie-Claude a les yeux fixés sur le membre tendu et a une folle envie de s’empaler dessus mais manifestement elle n’en a pas encore la possibilité. Il faut d’abord se détacher. Marie-Claude fait
pivoter sa chaise pour se trouver dos à dos avec Harry et ses mains commence à s’activer sur les nœuds qui maintiennent Harry.
Au moment où elle pense avoir réussi, elle entend Joana qui parle doucement à Julia en lui murmurant des mots doux.
-Réveilles toi ma douce, j’ai de nouveau envie de toi, et nos tourtereaux ont besoins de soins, tu ne crois pas ?
-Mmmm laisse moi amour, je dors, tu m’as épuisée et j’ai sommeil.
-OK mon ange, dors je vais boire un coup et je reviens.
Ce faisant, elle se retourne et se lève d’un bon au spectacle des deux tourtereaux si proche l’un de l’autre.
-Ah ben merde alors, comment ont-ils fait? Julia réveilles toi, nos amoureux veulent nous quitter sans nous avertir.
Julia émerge doucement de son rêve en se frottant les yeux pendant que Joana fait le tour du lit pour s’approcher des deux chaises. Marie-Claude et Harry sont tétanisés. Leur tentative a échoué et
ils savent que les deux femmes n’attendaient que cela pour s’amuser avec eux et jouer de leurs corps pour en tirer le maximum de plaisir.
Le sexe d’Harry perd progressivement de sa superbe ce qui amuse beaucoup Joana et d’un geste rapide elle s’en empare et tire dessus comme pour l’arracher puis elle prend les couilles dans sa main
et les malaxe sans s’occuper des gémissements de douleur et des soubresauts qui parcourent le corps d’Harry. Pendant plusieurs minutes Joana joue ainsi avec le sexe créant tantôt la douleur tantôt
le plaisir et mettant ainsi les nerfs du malheureux Harry à vif. Puis c’est le tour de Marie-Claude qui devient le souffre douleur temporaire. Les mains de Joana jouent cette fois ci avec les seins
et la bouche de Marie-Claude. Les seins de Marie-Claude sont tout rouges en quelques minutes à force d’être tordus, malaxés, pétris, les mamelons sont pincés, tordus, pincés et écrasés par les
doigts de Joana. Aucune pitié, aucune larme ne l’arrête. Elle veut vaincre toute résistance et dominer totalement ces deux êtres. Marie-Claude pleure et gémie mais rien n’y fait. Joana s’arrêtera
quand elle l’aura décidé et non quand ses victimes le lui demanderont.
Julia la regarde faire, un peu inquiète au début puis, finalement, excitée par le spectacle que Joana lui offre elle se branle, allongée sur le dos, les cuisses largement écartées, et tout en
s’enfonçant un doigt dans le cul elle se branle furieusement jusqu’à hurler son plaisir pour Joana qui la regarde, mi surprise par tant d’ardeur, mi amusée par ce spectacle.
Les derniers frissons parcourent le corps de Julia qui finie par s’écrouler sur le lit.
- Que c’était bon ma chérie, tu sais, j’ai adoré te voir torturer cette fille, je dois être tordue dans ma tête, tu ne crois pas ?
- Peut-être, mais compte tenu de tout ce qui s’est passé aujourd’hui, je ne pense pas que ce soit une maladie. Tu sais cela m’est déjà arrivé quand je fouettais le cul de mon ex petit ami. Il est
vrai que c’est un peu à cause de ce genre de plaisir qu’il m’a quitté. Il trouvait que j’avais tendance à en abuser. Le week-end je le fouettais trois ou quatre fois par jour. Il a fini par se
lasser surtout que je jouissais tellement en me branlant tout en le fouettant que je n’avais plus envie de baiser avec lui. Je peux le comprendre non ?
- Ouais tu as raison et je pense qu’il a eu raison de te quitter.
En disant cela Julia regardait Joana et les deux femmes se mettent à rire aux éclats et vu la tête de leurs victimes attachées, leur rire redouble. Joana se jette sur Julia en l’embrassant
sauvagement. Elle a décidé de la prendre, de la violer s’il le faut car elle n’en peut plus il faut qu’elle jouisse. Son corps se frotte à celui de sa partenaire qui, tout d’abord submergée par
tant de fougue réussi à se dégager suffisamment pour renverser Joana, lui écarter les cuisses et plonger sa bouche sur son sexe en feu qu’elle lèche goulûment, titille avec sa langue, puis lui mord
l’intérieur des cuisses ce qui fait frissonner Joana des pieds à la tête.
- Ahhh salope, tu as trouvé mon point faible, aïe, encore j’aime ça, oui, suce mord Ahhh encore, encore, baises moi, encore, fourre moi avec ta langue, tes doigts encore suce, lèche ouiiiiii c’est
bon encore …..
Julia s’active comme une folle sur le sexe de son amie, de son amante, de sa maîtresse, elle ne sait plus comment l’appeler. Elle suce, elle lèche ce sexe avec une seule idée en tête, provoquer un
orgasme gigantesque, titanesque qui la rendra maîtresse de la situation.
Elle sent monter la pression dans le ventre de Joana, son abdomen se gonfle se tend de plaisir et soudains un cri sort de la bouche de Joana qui annonce la délivrance, le plaisir absolu, l’orgasme
qui vous assomme, vous entraîne dans un trou noir, rouge, vert, bleu.
-Ahhhhhhhhhhh, ouiiiiii, ouiii, ouii, oui c’est bon, c’est géant, jamais j’ai joui comme cela, encore julia aussi longtemps que tu veux, je suis à toi, ouiiiiiiii tu es la meilleure, ah que c’est
bon, que c’est bon.
De longs frissons font vibrer le corps de Joana qui petit à petit retrouve ses esprits et se jette dans les bras de Julia pour l’embrasser à pleine bouche plusieurs minutes durant.
Les deux corps enlacés tombent sur le lit et il leur faut de longues minutes pour retrouver leurs souffles et leurs esprits.
Pendant ce temps, Harry et Marie-Claude sont restés immobiles, n’osant pas bouger, sur leurs chaises, à moitié nus mais à la merci des deux femmes qui se relèvent en les regardant avec un drôle de
petit sourire.
C’est Julia qui parle la première.
- Tu t’occupes d’Harry, je prends Marie-Claude en charge. Rendez-vous dans une demi-heure pour voir qui de nous deux a le mieux traité son sujet
Et c’est sur ces paroles mystérieuses que Julia et Joana se dirigent vers Harry et Marie-Claude. Elles les détachent des chaises mais pour aussitôt leur attacher les mains derrière le dos.
Julia entraîne Marie-Claude vers le sous-sol et Joana tire Harry par le sexe vers la cuisine. Les réjouissances d’un nouveau genre vont commencer.
Samedi 14 juin
6
14
/06
/Juin
11:18
Julia est remontée rapidement dans l’appartement pour préparer la suite des festivités.
De son coté Joana n’est pas restée inactive et de la main droite elle s’empare des couilles d’Harry qu’elle serre doucement tout en tirant dessus pour le forcer à avancer. Harry gémit un peu car il
appréhende cette prise et il sait que d’une simple pression Joana peut le faire hurler de douleur. C’est très sensible ces petites choses. Alors il ne résiste pas et avance à petits pas en suivant
Joana.
De son autre main Joana a pénétré fermement le vagin de Marie-Claude en glissant sa main entre les fesses de la jeune fille qui a un sursaut de défense vite réprimé d’ailleurs car la main de Joana
est autoritaire.
Cet attelage à trois remonte doucement les escaliers sous la conduite ....manuelle de Joana. Ses doigts exercent des pressions plus ou moins forte sur le sexe d’Harry qui reprend vaguement des
formes mais c’est un peu tôt pour qu’il redevienne un instrument conquérant. Le vagin de Marie-Claude par contre se mouille abondamment sous les caresses de Joana qui lui branle également le
clitoris tout en marchant. Marie-Claude commence à sentir des chaleurs qui remontent au creux de ses reins et se contorsionne pour profiter au mieux des caresses.
-Du calme ma belle, ne cherche pas à jouir comme cela, tu sais que je peux te maîtriser et te maintenir au bords de l’orgasme très longtemps. Alors laisse moi faire.
-Oui Joana, mais tes mains sont tellement douce, oh mon Dieu, j’ai tellement envie de jouir, je ferais ce que tu veux mais fait moi jouir, je t’en prie vite, ne...m...me ...laisse pas comme cela.
Ahh ‘c’est fou, tu me rend folle, je t’en supplie je veux jouir Ahhhh, encore oui ...Non,.. pourquoi tu retire tes doigts non continu par pitié, par amour.
-Imbécile, tu oublies vite qui est ta maîtresse, tu ne crois pas ?
Marie-Claude serre ses cuisses l’une contre l’autre pour forcer l’orgasme et Joana la regarde se tortiller mais elle sait aussi qu’il faut arrêter Marie-Claude maintenant car sinon sa punition ne
sera pas complète. Alors d’une main ferme elle attrape le téton gauche de Marie-Claude et le tord sans ménagement. Marie-Claude a hurler de douleur
sous la torture infligée à son mamelon.
-Aie, tu m’as fait mal Joana, c’est horrible ce que tu viens de me faire, je suis...je suis toute chamboulée oh j’ai mal au clitoris, mon vagin a faim, c’est dégueulasse..
Mais Marie-Claude n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle se retrouve plaquée contre le mur et que Julia qui était revenu voir ce qui se passait lui demande de faire immédiatement des excuses à
Joana.
-Oui maîtresse, je suis désolée mais j’avais tellement envie de jouir que je suis devenue folle. Je te demande pardon Joana pour t’avoir insulté.
-Bon ça ira pour cette fois mais à l’avenir contrôle toi sinon il t’en cuira.
Et tirant sur la queue d’Harry elle le fait avancer plus vite.
Tout le monde arrive dans la chambre du couple Taylor qui pour le moment est plutôt partagé d’une manière peu conventionnelle.
Joana garde Harry bien en mains et Julia prend Marie-Claude en charge.
Le lit conjugal est encadré par deux chaises et Marie-Claude est poussée vers celle de droite quant à Harry il est assis d’autorité sur celle de gauche. Leurs pieds sont tirés en arrière et
attachés aux pieds arrières des chaises ce qui les mets dans une position jambes très écartées. Les mains sont attachés aux montants des chaises et au même instant sur un signal de Julia les
bandeaux qu’ils avaient devant les yeux leurs sont enlevé.
La pièce n’étant éclairée que par une lumière douce, leurs yeux s’habituent très vite et parcourent le décor rapidement. Devant leurs regards ahuris, Julia et Joana rigolent tout en se tenant par
la taille.
-Regardes les Joana, ne sont-ils pas mignons comme cela, prêts pour le spectacle comme à l’Opéra. On pourrait peut-être leur offrir à boire qu’en penses-tu ?
-Oui tu as raison, toute fête doit commencer par une coupe de champagne et puis c’est l’anniversaire de Harry après tout.
Rapidement Julia a servi quatre coupes de champagne. Elle en donne une à Joana et en prend une pour elle.
-Mais suis-je bête, comment vont-ils boire nos tourtereaux ?
-Eh bien le mieux c’est de leur donner à boire nous mêmes.
-Tu as raison Joana, tiens occupe toi de Marie-Claude je m’occupe de Harry.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Joana a pris tendrement la tête de Marie-Claude contre sa poitrine, la bascule en arrière et approche le verre de ses lèvres. Le liquide coule doucement dans la gorge
de Marie-Claude qui l’avale au fur et à mesure. C’est bon, c’est frais et Marie-Claude sent monter en elle une douce langueur ce qui, après ce qu’elle vient de subir, est une vraie bénédiction.
Julia a fait pareil avec Harry qui sous l’effet du liquide frais a fermé les yeux et savoure l’instant présent.
-A nous maintenant, vient près de moi Julia adorée, je vais te faire boire à ma façon.
Julia s’approche de Joana et se colle à elle en tendant ses lèvres vers le verre qu’elle Joana tient à la main. Joana avale une gorgée de champagne et colle ses lèvres sur celle de Julia qui les
entrouvre pour laisser couler le liquide ambré dans sa bouche. Leurs langues se mélangent dans de douces caresses qui n’en finissent plus. Le piquant du champagne excite leurs papilles et une
nouvelle gorgée passe de la bouche de Joana à celle de Julia qui devient de plus en plus excitée. Ce petit jeux du biberon buccal continu plusieurs minutes jusqu’à de que les deux verres soient
vides.
Les deux femmes se regardent dans les yeux et ces regards en disent longs sur l’envie qui brûle leur ventre et mouille leurs entre jambes.
-Viens Julia, allongeons nous sur ton lit nous serons plus confortable.
- Oui ma chérie, je te suis, embrasses moi encore, j’aime tes lèvres et ta langue est une merveille en satin. Oui comme cela, non ! ne me branles pas tout de suite, juste tes lèvres sur ma bouche,
nous avons toute la nuit devant nous. Les deux autres doivent aussi profiter pleinement du spectacle tu ne crois pas ?
-Oui c’est vrai, donne moi tes lèvres elles sont chaudes et humides comme le vagin de Marie-Claude, tu verra quand tu la suceras elle est douce et chaude. Et crois moi elle aime ça. N’est ce pas
Marie-Claude ?
-Oui Joana, j’aime me faire sucer, mais seule une femme peut me procurer un maximum de plaisir, j’aimerai que Jul.., pardon que maîtresse me suce. Je suis sûre d’adorer cela.
-Ne t’inquiètes pas Marie-Claude ton tour viendra, et à ce moment là tu devras être à la hauteur sinon tu sais ce qui t’attend, les chaises au garage n’étaient qu’une entrée en matière.
-Oui maîtresse je ferais de mon mieux et même plus que cela pour vous satisfaire.
-Parfait on verra cela, mais revenons à nos moutons ma chère.
Les deux femmes ont repris leur séance de bouche à bouche et la température monte sur le lit. Les corps de Joana et de Julia bien qu’encore habillées se frottent l’un à l’autre. Les mains se
cherchent et commencent à s’égarer entre les cuisses de l’une ou de l’autre.
Julia déshabille Joana qui déshabille Julia, Un sein apparaît, puis deux, puis les chemisiers se déchirent sous l’effet des caresses.
-Oui, serres moi fort, petite salope, tu sais comment branler une femme toi au moins, ce n’est pas comme Harry, quand il faut que je lui explique ça à chaque fois. Oui je sens que ça monte, Ahhhh
oui tu me tiens, tu es la plus forte Joana mais...., ahhh oui encore salope, encore, branle moi, plus vite, plus fort ne me laisse pas tomber, ouiii maintenant.. voilà...ahha...ahhh ouiiii c’est
bon, c’est bon oui n’arrête pas encore , ahh aah j’en peu plus, oh que c’était fort.
Julia a du mal à reprendre son souffle et reste un moment allongée sur le lit sans rien dire. C’est la voix de Joana lui murmurant des mots doux dans le creux de l’oreille qui la fait sortir
de son nuage.
-Regarde Julia, on dirait que Harry reprend des forces.
Et en effet, la queue de Harry reprend de la vigueur et atteint maintenant des proportions honorables en tout cas utilisables si nécessaire.
-Tu le veux, je te le prête. Quand il veut bien il est pas mal et il arrive même à me faire jouir de bonne façon.
Joana s’est placée derrière la chaise de Harry et commence à l’embrasser dans la nuque, sur le lobe de l’oreille, tout en lui murmurant des paroles obscènes qui ont pour effet d’exciter davantage
Harry pour lequel la crainte et le plaisir se mêlent.
Quelques instants après Joana fait le tour de la chaise et achève de se déshabiller lentement devant Harry qui en profite au maximum. Puis elle enfourche les genoux de Harry et commence à frotter
ses petites lèvres sur le sexe turgescent. Harry ferme les yeux de plaisir et commence à gémir sous les savantes caresses. Les poils du pubis de Joana titillent le sexe d’Harry et il apprécie
fortement l’humidité bienveillante de la grotte parfumée.
-Oh oui Joana continu comme cela, j’aime cette sensation de gratouillement, oui encore je bande pour toi, j’ai envie de te pénétrer et de me perdre en toi. Oui encore comme cela.
Le corps d’Harry est parcouru de grands frissons et il se débat pour se détacher et fondre sur Joana dont les hanches ondulent autour du sexe tendu comme un arc.
Joana commence à enfoncer le sexe dans son vagin millimètre par millimètre, reculant chaque fois que Harry fait mine de s’enfoncer plus vite. C’est décidé, c’est elle qui conduit le jeu et Harry
n’est là que pour son service, son plaisir et pas autre chose.
Le petit jeu continu durant de longues minutes au bout desquelles le sexe de Joana a complètement avalé celui d’Harry. Joana se contente d’onduler et de se caresser les parois vaginales qui
ruissellent de plaisir. Elle sent monter dans ses reins une vague de frissons chauds annonciateur du plaisir. Aussi longtemps qu’elle le peut elle maintien ce rythme lent qui rend fou Harry mais ne
lui apporte pas l’orgasme libérateur et c’est bien là le jeu. Jouir du sexe masculin sans lui procurer le plaisir suprême.
Joana est une artiste du sexe, et Harry commence à le comprendre. Jamais elle ne le fera jouir, alors il tente une manoeuvre mais ses liens l’empêche de faire ce dont il avait envie. Pénétrer ce
vagin et le bourrer de coups de queue jusqu’à vider cette tension qui devient insupportable.
Mais Joana a vite contrer la manoeuvre et continu son petit jeu diabolique. Elle sent monter en elle l’orgasme irrépressible, libérateur et bientôt elle n’arrive plus à contrôler son propre corps.
Prise à son propre jeux elle s’enfonce violemment le sexe dans le vagin et chevauche Harry sans aucun ménagement. Elle plonge ses doigts dans ses cheveux et, s’en servant comme autant de poignées,
elle secoue la tête d’Harry tout en le baisant.
L’orgasme la surprend en pleine chevauchée, plein, géant, tout son corps vibre explose dans le plaisir, peu lui importe le plaisir de l’autre, seul le sien compte.
-Oh que c’était bon Julia, ton mec a un sexe fantastique, il est gros, il rempli bien un vagin de femme et quand on l’utile pour soi il est très efficace.
-Tu as raison, mais il ne faut surtout pas le laisser faire, c’est rarement bon. Viens près de moi mon amour, j’ai envie de sentir ta chaleur et ton odeur. Il n’a pas joui au moins, il faut le
conserver en état pour la suite.
-Non non, je n’est rien senti de chaud qui giclait entre mes cuisses tout à l’heure. Il est toujours en état. D’ailleurs regarde la tête qu’il fait et tu auras compris.
Les deux femmes éclatent de rire et, se serrant l’une contre l’autre, s’endorment rapidement, laissant les Harry et Marie-Claude attachés sur leurs chaises et sans possibilité de satisfaire les
envies qui fourmillent dans leurs cuisses et leurs sexes respectifs.
Samedi 31 mai
6
31
/05
/Mai
06:52
Marie-Claude entend les pas de deux..non ...trois personnes qui avancent avec précaution vers son perchoir. Des murmures se font
entendre.
-Voilà doucement, fait attention à la dernière marche elle est un peu glissante. Voilà tu y es.
Marie-Claude a compris, les deux femmes guident une troisième personne qui ne peut être qu’Harry le mari de Julia. C’est donc lui qui va la baiser et par où ? Quel orifice de son corps va-il
honorer. D’elle, il ne connaît que sa bouche; mais aura-t-il le choix ? La réponse ne devait pas tarder.
Marie-Claude entend une fermeture éclair que l’on ouvre et imagine sans peine ce qui va sortir par cette ouverture. La queue de Harry. Elle l’imagine droite et turgescente, prête à s’enfoncer dans
un orifice féminin doux et chaud comme seule une femme sait en offrir aux hommes qu’elles désirent.
Puis la voix de Joana lui ordonne d’ouvrir la bouche sans toutefois prononcer son prénom.
Marie-Claude s’exécute car elle garde en mémoire la gifle de Julia et ne souhaite pas en recevoir une autre.
Joana guide Harry vers la bouche de Marie-Claude, sans un mot et elle attrape les cheveux de Marie-Claude à pleine main pour réaliser la jonction parfaite entre le membre de Harry et la bouche
accueillante de Marie-Claude.
Dés que la queue d’Harry a rencontré les lèvres de la bouche de Marie-Claude il n’a plus besoin de guide. Sa femme l’encourage.
-Vas-y mon chéri enfonce toi dans cette bouche, elle est pour toi et entièrement à ta disposition. Profites en pleinement sans te soucier de sa propriétaire, défonces la si tu veux ou joue avec,
c’est ton cadeau d’anniversaire.
Harry ne se l’ai pas fait dire deux fois, et sa queue pénètre profondément dans la bouche de Marie-Claude. Elle, fait de son mieux mais ce membre est vraiment gros et elle a de la peine à
l’absorber en entier. Pourtant petit à petit elle le prend bien en bouche et s’active de plus en plus. Maintenant c’est Harry qui est prisonnier de cette bouche et soudain il pousse un cri de
surprise.
-Cette, cette bouche, je la connais, cette façon de sucer ma queue, oui encore Marie-Claude encore, j’aime ta bouche tu le sais, continue ma belle; Ahhh merci Julia c’est un merveilleux cadeau,
Merci Joana je m’en souviendrai longtemps.
Le cri de Julia lui coupe tous ses effets et le fige sur place.
-Salaud tu l’as baisé cette mijaurée, quand, où, derrière mon dos sans doute quand je travaillais ou que je m’occupais des enfants. Salopard, tu vas me le payer.
Elle bondi sur Harry et le tire par les cheveux ce qui a pour effet d’arracher sa queue de la bouche de Marie-Claude qui reste bouche ouverte ne sachant plus ce qu’elle doit faire.
Joana essaye de calmer le jeu mais Harry qui ne peut pas se défendre a déjà reçu trois gifles et des coups de poing de la part de Julia.
-Arrête Julia, ça ne sert à rien de t’énerver, j’ai mieux à te proposer, écoute.
Joana entraîne Julia à l’écart et lui explique son idée. Julia se calme peut à peut et au bout de deux minutes accepte l’idée de Joana.
-OK, tu as raison, ce sera bien plus drôle et au moins nous en profiterons.
Les deux femmes retournent près de Harry et Julia le conduit à nouveau près de la bouche de Marie-Claude qui attend sagement qu’on l’honore. La queue de Harry redevient petit à petit d’une taille
normale puis plus imposante sous l’effet des caresses buccales de Marie-Claude.
-Ah que c’est bon Marie-Claude, y-a-pas à dire tu suce divinement.
Mais d’une voix sèche Joana leur ordonne de s’arrêter et de rester soudés ensemble. Ils s’exécutent et attendent les ordres.
-Tu es prêtes Julia, demande Joana ?
-Oui on peut y aller, et en rythme s’il te plaît.
-Alors, à la une, à la deux et à la trois
Vlan, deux claques retentissent simultanément
Marie-Claude gémit mais ne peut émettre un son car elle a la bouche pleine et sous l’effet de la claque sur ses fesses, Harry a donné un coup de rein en avant et sa queue a défoncé la bouche de
Marie-Claude jusqu’au plus profond de l’orifice. Marie-Claude a fait de même de son coté, accentuant ainsi la pénétration.
Vlan, deux autres claques tombent simultanément sur les fesses des deux protagonistes et le même mouvement en avant les anime provoquant un petit haut le cœur chez Marie-Claude.
Mais petit à petit le rythme des claques s’accélère pour atteindre un rythme assez rapide.
La bouche de Marie-Claude est envahi par la queue d’Harry qui sous l’effet du traitement imposé par les deux femmes a encore pris de l’ampleur. Il ne voudrait pas étouffer Marie-Claude mais
maintenant c’est lui qui devance les coups. Son corps a pris le dessus sur sa volonté et il s’enfonce dans cette bouche ronde et chaude sans plus se préoccuper des gémissements qui en sortent.
Jouir, jouir, il n’a plus qu’une idée, jouir, se libérer de cette tension que les coups font monter dans ses reins, son ventre, il a perdu tout contrôle de lui même et il entend à peine les deux
femmes qui les battent, lui et Marie-Claude, tout en rigolant de voir sa tête et les yeux exorbités de Marie-Claude.
-Alors Harry, t’es content de la baiser ta Marie-Claude, si tu voyais sa tête, on dirait qu’elle va éclater, oui vas-y mon Harry défonce la, n’ait pas peur, vas-y Joana fouettes le plus fort,
regardes il aime ça, jamais je ne l’ai aussi excité. Oui plus fort, vas-y Ahhh j’en peu plus, il faut que je me branle.
Tout en continuant à taper sur les fesses de Marie-Claude, Julia a glisser deux doigts entre ses cuisses ouvertes et se branle furieusement. L’effet se fait sentir très rapidement et quelques
secondes après elle joui brutalement en tombant à genoux parterre dans un râle évocateur.
En entendant sa femme jouir, Harry accélère encore son effort et lui aussi est emporté dans une éjaculation énorme, complète, totale qui envahi la bouche de Marie-Claude, la noyant sous un flot de
sperme qu’elle n’arrive pas à avaler aussi vite. Elle tousse et cherche à se dégager de la queue d’Harry qui heureusement a diminué de volume.
Epuisé, Harry tombe à genoux dans une attitude prostrée. Il cherche à rassembler ses idées mais il est trop tôt, on verra ça tout à l’heure. Pour le moment il reprend son souffle et calme les
battements de son cœur.
Marie-Claude reprend également son souffle tout en se redressant un peu car elle commence à avoir des crampes. Le sperme coule sur son menton et elle sent les lèvres de Joana qui la lèche
doucement.
-Hum, ce Harry a très bon goût tu sais Marie-Claude, tu as de la chance d’avoir pu en profiter aussi pleinement.
Joana en profite pour embrasser Marie-Claude qui à encore un peu de mal à réagir du coté de ses lèvres endolories.
Mais Joana sait y faire.
-Oui ma douce amie, il n’y a que toi et moi qui sommes restée sur notre faim. Pour toi c’est dommage, moi je vais bientôt me rattraper et tu devrais aimer cela ma toute belle.
Un dernier baiser sur la bouche de Marie-Claude et Joana retourne vers Julia qu’elle aide à se relever.
-Eh bien, la première partie a plutôt bien marché, si on passait à la deuxième manche ? Qu’en dis-tu ?
-Ok ma chérie, à nous de jouer maintenant.
Julia et Joana aident Marie-Claude et Harry à se relever et ensemble ils prennent le chemin de l’appartement.
Dimanche 10 février
7
10
/02
/Fév
16:09
Après la sortie des deux femmes, Marie-Claude s’est détendue. Après tout, une maîtresse ou l’autre ça ne peut pas être bien différent. Quelques fessées en plus ou des caresses en plus l’important pour elle c’est de jouir, de faire l’amour avec tendresse ou avec violence elle aime tout. Se branler dans toutes les positions, avec les mains, un objet phallique ou être branlée par un homme, une femme tout est bon pour jouir. Elle aime le sexe, celui des hommes quand ils la pénètrent par tous ses orifices, celui artificiel de Joana qui ne s’épuise jamais, il n’y a guère que celui des animaux qu’elle n’a pas goûté. Mais cette pensée la révulse et elle préfère l’oublier de suite.
En attendant elle réfléchi à sa situation qui est nettement moins douloureuse que la précédente. Comme elle est souple, elle réussi en s’appuyant plus fermement sur son genoux droit, à descendre sa jambe gauche jusqu’à terre et de ce fait elle peut s’asseoir sur une des deux chaises ce qui détend immédiatement ses muscles.
Ce n’est pas le tout pense-t-elle, suis je capable de me repositionner rapidement. Elle essaye et après plusieurs tentatives infructueuses, elle y réussi en quelques secondes, ce qui est largement suffisant pour ne pas se faire pincer par ses deux maîtresses. Elle peut donc rester assise tout en écoutant les bruits de la maison.
C’est comme cela qu’elle entend Mr. Taylor qui rentre du travail et la présentation de Joana par Julia à son mari.
-C’est une amie que j’ai rencontré dans mes réunions à la bibliothèque.
-Enchanté, mademoiselle ou madame peut-être ?
-Madame, mon mari est en voyage, lui répond Joana.
Elle a vue le regard admiratif d’Harris quand il a vu ses seins au travers de son corsage, et elle sourit intérieurement en pensant à leur soirée à venir.
Julia a entraîné son mari vers leur chambre pour le chauffer un peu et lui expliquer le programme à demi-mot. Joana continu les préparations en ajoutant quelques épices particulières de sa spécialité dans le punch et les toasts.
Quelques minutes après, Julia et Harris reviennent ensemble et Harris a les joues rouges et la braguette mal refermée.
Joana souri à Harris qui rougi davantage.
-Voilà Joana, Harris a soif, est ce que ton punch est prêt ?
- Oui oui, pas de problème, tiens j’avais prévu, les verres sont déjà pleins.
Et elle tend à ses deux partenaires des verres remplis de punch spécial Joana. Ils trinquent tous ensembles, aux 40 ans de Harris et à l’amour qui rend la vie plus agréable. Ils boivent en silence en savourant la délicieuse boisson et la conversation s’installe petit à petit, de plus en plus animée au fur et à mesure que le punch se répand dans leur corps. Les deux femmes rigolent et Harris prend des envies de toucher son épouse ce qu’il fait discrètement au début puis de plus en plus ouvertement pour finir par lui ploter carrément les seins.
Joana s’approche alors du couple sur le canapé et déboutonne lentement son corsage sous le nez d’Harris qui ouvre de grands yeux affolés. Il regarde son épouse quémandant une autorisation et c’est elle qui, en souriant, lui prend les mains et les conduit vers les seins de Joana. Elle guide les mains de son époux en lui murmurant des mots doux à l’oreille et Joana commence à ressentir de longs frissons dans son bas-ventre. Décidément cette Julia est une experte se dit-elle. J’ai bien fait de venir. Dommage pour Marie-Claude, je perds une esclave somme toute assez douée mais je gagne une amante encore plus douée et surtout moins rugueuse, plus affûtée par la vie. Il faudra que je la fasse essayer par mon mari, il aime les femmes un peu mûres.
Les réflexions de Joana allaient bon train dans sa tête pendant que Harris lui branlait les bouts de ses mamelons, maintenant durs et pointant comme un doigt accusateur vers le fauteur de cette érection mammaire.
-Julia, dis lui de se calmer ou je vais lui sauter dessus et le violer avant qu’il ne réalise, dis lui vite, vite je sens monter en moi des pulsions folles, ....oui Harris continue, salopard tu me tiens entre tes doigts, ta femme est géniale c’est une amante merveilleuse, Ahhhh oui, encore tord les, écrase les , oui j’ai mal, c’est bon, Julia branles moi, aide moi jamais je ne pourrais jouir par les seins ohh que c’est bon Harris continu, oui, oui ahhh , ahhha aaah ouiiiiii, je joui, par les seins, jamais je...je n’avais...connu....cela. Merci Harris .....merci Joana.
Joana s’est écroulée dans les bras de Harris en essayant de reprendre son souffle. Elle a joui entre douleur et plaisir, sans savoir lequel des deux a été le plus fort. C’est une sensation nouvelle, étrange pour elle et elle se promet de renouveler l’expérience dès qu’elle sera seule avec Julia qu’elle soupçonne d’en connaître un sacré rayon sur le corps des femmes et ses multiples ressources.
Joana est blottie dans les bras d’Harris qui embrasse Julia à bouche perdue.
Au bout de quelques minutes Julia se dégage à regret de la langue de son mari et annonce la fin de la première partie qui somme toute était plutôt improvisée.
-Maintenant Harris tu vas avoir le deuxième cadeau de la soirée. Lèves toi et mes tes mains derrière le dos. Joana attaches lui les mains, il ne doit pas s’en servir.
Joana s’exécute conformément au plan qu’elles ont décidé. Sur un geste de Julia, elle lui bande aussi les yeux.
-C’est pour la deuxième surprise mon amour, n’est pas peur tu seras agréablement surpris.
-Je n’ai pas peur Julia, avec toi je sais que ne crains rien de dangereux.
-Et maintenant nous t’emmenons sur les lieux de ton deuxième cadeau. Tiens-lui le bras Joana, je passe devant pour lui ouvrir les portes.
Marie-Claude a entendu les dernières paroles de Julia, elle a compris que son tour était venu et prestement elle remonte sur son perchoir et reprend sa position, cuisses largement écartées, prête au sacrifice au Dieu EROS
Samedi 26 janvier
6
26
/01
/Jan
23:16
Joana savoure son verre dans le calme douillet de ce salon de style anglais. Elle se sent bien. Son esclave est en train de subir sa punition et d’ici une heure elle sera à point, le whisky est bon et le canapé est confortable.
Un bruit de clés dans la serrure la fait sursauter.
-Merde, de la visite, j’avais oublié que Marie-Claude n’était pas chez elle.
La porte s’ouvre et Joana voit une dame de quarante ans environ qui pénètre dans le corridor, ouvre la porte du salon et s’arrête sur le champ en dévisageant Joana.
-Qui êtes vous ?, que faites-vous chez moi et d’ailleurs où est Marie-Claude ?
Devant ce flot de question, Joana s’est levée en posant son verre sur la petite table du salon.
-N’ayez pas peur Madame, je suppose que vous êtes madame Taylor, Marie-Claude m’a si souvent parlé de vous. Bonjour, je suis Joana l’amie de Marie-Claude.
Elle tend sa main à madame Taylor qui lui serre doucement sans grande conviction mais Joana sait y faire passer de la chaleur ce qui détend son interlocutrice.
-Ne vous inquiétez pas, Marie-Claude se détend un peu, elle va revenir.
Tout en parlant, Joana a vu le regard de madame Taylor tomber sur l’échancrure de son corsage et elle a vue la légère rougeur qui à empourpré ses joues.
Tiens tiens se dit-elle, voyons voir si j’ai raison. Tout en parlant, Joana s’est rapprochée de madame Taylor et a défait un bouton de plus à son corsage. Ne portant pas de soutien gorge, ses seins couleur caramel sont maintenant nettement visibles et Joana se trémousse discrètement pour les faire bouger sous le léger tissu du corsage. Madame Taylor est devenue silencieuse comme hypnotisée par ce spectacle.
Joana amplifie ses mouvements jusqu’à l’indécence et elle se trouve contre Madame Taylor.
-Tu les aimes mes seins ? lui dit-elle brusquement, et elle lui murmure à l’oreille, tu sais Marie-Claude les aime aussi et elle sait bien s’en servir.
Madame Taylor est devenue écarlate mais elle a baissé la tête. Joana lui a pris la main et la remonte doucement vers ses seins. Elle pose cette main tremblante sur sa poitrine ferme et tendue tout en susurrant des mots doux à celle qui pourrait devenir sa partenaire.
-Tu es très belle tu sais, j’aime la couleur de tes cheveux, si tu veux je peux me dévêtir davantage, mais avant je voudrais connaître ton petit nom.
-Julia, je...je suis anglaise. Elle ajoute sans savoir pourquoi, mon mari s’appelle Harris.
-Il est anglais aussi je suppose ?
-oui, mais vous êtes très belle aussi et vos seins sont magnifiques. Mais je deviens folle Marie-Claude pourrais nous surprendre.
-Du calme, on ne craint rien, Marie-Claude se repose et tu peux être sûre qu’elle ne nous dérangera pas.
-Ah bon et comment en êtes vous aussi sûre ?
-Je me suis occupée d’elle tout à l’heure et pour le moment elle est calmée. Mais allons sur le canapé nous y serons mieux pour.. bavarder.
Joana entraîne Julia sur le canapé et se serre contre elle tout en déboutonnant complètement son corsage. Ses seins sont durs et Julia a repris ses caresses sans un mot ce qui fini par exciter Joana.
-Hé bien tu es bonne toi, c’est dans les pensionnats anglais que l’on t’a appris à caresser les filles ?
-Oui, tu ne crois pas si bien dire.....
-Oh racontes, je suis sûre que je vais aimer ton histoire.
Confortablement installée contre la poitrine de Joana, elle commence le récit de ses aventures collégiales.
-Eh bien tu vois, je devais avoir 13 ans environ et j’étais pensionnaire dans un collège de filles, près de Londres. Je ne rentrais chez moi que tous les mois et les soirées et les week-ends étaient longs. Aussi certaines filles occupaient leurs loisirs à des joutes amoureuses qui dépassaient souvent les limites admises par la morale de l’époque. Et puis nous n’avions pas le droit de sortir en ville, alors les garçons... on ne peut pas dire qu’on y avait droit.
Pendant ce récit les mains de Joana ne sont pas restées inactives et elles caressent également les seins et les cuisses de Julia dont la robe est remonté très haut.
-Continue, je suis impatiente de connaître la suite.
-Ahhh salope tu vas me faire jouir, doucement avec ton doigt.
Joana retire son doigt qui s’était subrepticement glissé sous la culotte de Julia en s’enfonçant dans son vagin dont l’humidité excitait au plus haut point Joana.
-Depuis quelque j’avais remarqué le jeux d’une vague copine d’origine indienne qui n’arrêtait pas de me regarder surtout quand nous faisions notre toilette et qui passait souvent près de moi en me frôlant comme par inadvertance. J’étais gênée mais aussi intriguée par ce manège. Se pourrait-il qu’elle me drague ? J’étais un peu innocente et j’avais du mal à déterminer la part de hasard dans ces attouchements. Les jours passant, son manège se précisa et comme par souci d’économie, les douches se prenait par deux ou trois dans la même cabine, ma copine s’est débrouillée pour se retrouver avec moi dans la même cabine. La première fois elle fût très correcte, mais petit à petit elle commença à me toucher, puis à me passer le gant dans le dos, puis sur les fesses et ainsi de suite. A chaque fois elle progressait sur mon corps et moi, j’étais sous le charme de ce plaisir nouveau. Je ne disais rien mais mon corps parlait pour moi et elle ne s’y trompait pas. Très vite nous avions pris l’habitude de nous doucher ensemble et le plus souvent possible. Mais rien de décisif ne s’était produit encore. Je sentais bien qu’elle aussi était un peu effrayée de son audace même si elle était plus délurée que moi.
Un jour, tout en tremblant de tout mon corps, je pris le gant de toilette et je commençais à la laver comme elle le faisait avec moi depuis plusieurs semaines. Partant du dos ma main munie du gant a parcouru tout son corps et elle s’est offerte sans retenue à mes caresses qu’elle guidait de manière de plus en plus précise jusqu’à les concentrer uniquement entre ses jambes où elle m’enseignait l’art de la branler lentement pour que le plaisir soit le plus long et le plus fort possible. A un moment donné, son corps s’est mis à bouger par saccades, son bas-ventre donnait de grands coups en avant, elle s’est accrochée à moi et tout en me murmurant des mots incompréhensibles a joui de façon très violente et très prolongée. Son orgasme silencieux a duré plusieurs minutes, du moins s’est l’impression que j’ai eu car je craignais que la surveillante ne nous surprenne. Les portes des cabines n’étaient jamais fermées et de temps en temps les surveillantes ouvraient une porte à l’improviste pour surveiller leurs jeunes pensionnaires aux corps si chauds.
Ce jour là nous avons eu de la chance, personne n’a ouvert notre porte. Marea a fini par se calmer et elle m’a embrassé sur les deux joues avec un grand sourire.
-Merci Julia, tu m’as fait jouir très fort et, si tu veux bien je vais m’occuper de toi maintenant.
Mais ce jour là, je n’ai pas pu profiter de l’art de Maréa car la surveillante a fait retentir la sonnerie de fin de douche et nous avons dû nous essuyer en vitesse pour aller nous coucher. Le lit de Maréa était loin du mien aussi, ce soir là je me suis branlé comme une folle au grand dam de ma voisine immédiate qui m’a menacé d’appeler la surveillante si je n’arrêtais pas immédiatement mon cirque. Je suis donc resté un peu sur ma faim cette nuit là. Par contre je venais de découvrir des plaisirs inconnus et ça c’était le plus important.
Les jours et les semaines qui suivirent furent un enchantement sexuel et les séances de douches des sources de plaisir infinis. Le jet d’eau, les mains, le gant, tout était sujet à caresse, à jouissance et les baisers que nous échangions sous la douche mêlaient nos langues, nos doigts qui s’enfonçaient par tous nos orifices respectifs et nos pubis qui se frottaient l’un contre l’autre à n’en plus finir. Bien sûr, après ces séances qui nous laissaient à moitié satisfaites, nous nous branlions en solitaire dans nos lits plusieurs fois par nuit.
-Voilà, tu comprends maintenant pourquoi j’ai été si perturbée par ta présence et ta tenue si ...offerte. Tu m’as rappelé d’un seul coup tous ces souvenirs et encore je ne t’est pas tout raconté car notre liaison a duré les deux années suivantes, en fait jusqu’à que nous quittions le Collège et que Maréa retourne dans son pays.
-C’est elle qui t’a dépucelé lui demande Joana d’une voix douce.
-Non, elle tenait beaucoup à son pucelage qu’elle assimilait à son honneur de future femme. Par contre coup elle a donc respectait le mien et n’a jamais voulu me prendre bien que je le lui est offert plusieurs fois.
L’horloge du salon sonna 6 coups ce qui fit sursauter Julia.
-Mon Dieu, déjà 6 heures et je n’ai rien fait pour l’anniversaire de Harris. Tu m’as complètement perturbé, c’est fou. Et au fait Marie-Claude n’est pas revenue.
-T’affoles pas ma chérie, j’ai tout ce qu’il te faut pour l’anniversaire de ton mari. On va lui offrir Marie-Claude !
Julia reste bouche bée, elle ne comprend les paroles de Joana.
-Comment cela, lui offrir Marie-Claude, je ne comprend pas.
-Viens près de moi je vais t’expliquer.
Elle prend Julia dans ses bras et après l’avoir embrassé avec passion, lui raconte dans le creux de l’oreille ce qui s’est passé avec Marie-Claude et qu’elle est sa situation à l’heure actuelle. Elle sent que Julia, qui au début du récit semblait outrée par le sort réservé à sa jeune fille au pair s’est détendue et semble très impatiente de voir le résultat du traitement infligé à Marie-Claude. Et ce d’autant plus qu’elle sent que son mari a dû profiter des charmes de Marie-Claude à son insu. Les caresses de Joana y sont aussi pour quelque chose. Julia maintenant est complètement sous le charme de Joana. Elle revit son adolescence brûlante et elle n’attend qu’une chose, jouir des mains et de la langue de Joana.
-Joana, je veux jouir maintenant, je n’en peu plus tu sais, suces moi, branle moi s’il te plaît.
Julia est tombée à genoux devant Joana qui a un sourire triomphant. Elle sent que la nuit va être chaude et ce n’est pas Harris qui va dire le contraire, 3 femmes en chaleur pour s’occuper de lui, je doute qu’il tienne le coup. Pauvre chatounet.
D’une main ferme elle oblige Julia à se relever.
-Enlèves ta culotte tu auras moins chaud comme cela lui dit elle en riant.
Julia s’exécute.
-Que dois je faire maintenant ?
-Gardes la, Marie-Claude en aura besoin sans doute. Maintenant assez discuté, il faut préparer l’anniversaire de ton mari. Viens avec moi on va d’abord s’occuper de Marie-Claude.
Les deux femmes vont au garage dans lequel règne une pénombre propice aux attouchements. Marie-Claude est toujours à cheval sur ces deux chaises et Julia qui la découvre dans cette position pousse un Oh de surprise.
-Joana c’est fou ce que tu as fait là, elle est complètement ouverte et sans défense.
-Oui mais touches la, je suis sûre qu’elle va apprécier. Donnes moi ta culotte en attendant.
Joana prend la culotte de Julia et l’enfile sur la tête de Marie-Claude qui n’a pas encore dit un mot.
-Voilà comme cela tu connaîtras l’odeur de ta nouvelle maîtresse. Je viens de décider de te donner à Julia et à son mari s’il veut bien de toi. Des questions ?
-Non maîtresse, j’obéirais à tes ordres et à ceux de Julia maintenant.
Pendant leur conversation, Julia n’est pas restée sans rien faire. Ses mains ont parcouru le corps de Marie-Claude pour en apprécier la douceur et la fermeté des formes de la jeune fille, le galbe de ses seins et la douceur de son vagin qui, malgré l’inconfort de la position se prête volontiers aux caresses de Julia.
-Elle est encore plus douce que je ne l’imaginais. Nous allons bien nous amuser à l’avenir toi et moi Marie-Claude. Mais il ne faudra plus jouer avec les enfants, d’accord ? Fini les branlettes le soir avant qu’ils ne s’endorment. Tu crois peut-être que je ne l’avais pas remarqué. Tu es d’accord ?
-Oui madame répond prudemment Marie-Claude.
Elle ne connaît pas suffisamment madame Taylor pour prendre le risque de lui désobéir.
De son coté Joana a réfléchi à la première séance qu’elles vont offrir à Harris pour son anniversaire. Elle s’approche de Marie-Claude et la force à se pencher en avant, mais les cordes qui l’attachent sont trop courtes. Marie-Claude gémit, elle a un peu mal et sent monter des crampes dans ses bras et ses jambes
-Joana, je t’en prie, détache moi, j’ai mal aux bras et aux jambes.
-Ce n’est plus à moi de décider ma belle, demandes à ta nouvelle maîtresse.
-Madame Tay....
Une gifle retentissante lui coupe brusquement la parole.
-Cest comme cela que l’on s’adresse à sa maîtresse, lui dit Julia en criant dans son oreille.
-Non non, excusez moi, je ne le ferais plus, c’est promit. S’il vous plaît maîtresse, pourriez vous relâcher mes liens, j’ai des crampes, j’ai mal.
-Pourquoi as tu été punie ?
-Je me suis branlée sans permission maîtresse et Joana m’a puni.
-Tu ne recommenceras plus, parce que moi je suis anglaise et les châtiments corporels ça me connaît.
Marie-Claude tremble un peu, fatigue ou peur de l’inconnu, nul ne le saura mais elle répond par l’affirmative. Oui elle a comprit et accepte son sort.
-OK Joana tu peux lui détacher les mains du plafond et rapprocher un peu les chaises. Les deux femmes s’affairent autour de Marie-Claude et quelques minutes plus tard Marie-Claude se retrouve toujours à cheval sur les deux chaises mais les mains liées derrière le dos et en prime une culotte sur la tête et un bandeau sur les yeux.
-Tu vas rester comme cela sans bouger, lui dit Julia, la fête va bientôt commencer.
Les deux femmes s’embrassent et retourne au salon préparer le buffet pour le soir.
Samedi 5 janvier
6
05
/01
/Jan
11:28
Jeudi. Cela fait quatre jours que son week-end très agité est terminé et Marie-Claude commence à avoir des envies qui lui chatouillent les reins. Mr Taylor est serré de près par madame qui ne lui laisse pas le temps d’aller jouer ailleurs. A peine montre-t-il des signes d’excitation qu’elle l’entraîne dans la chambre ou la salle de bain pour une séance de vide couille. Marie-Claude surprend parfois des bruits qui ne laissent aucun doute sur la nature des activités qui se déroulent dans la pièce d’a coté. Il faut croire que madame Taylor a des doutes sur l’attitude de son mari vis-à-vis de Marie-Claude.
Marie-Claude quant à elle fait monter la pression en caressant le pantalon de monsieur dès qu’elle passe à coté de lui et aussi en s’habillant au plus juste.
Par contre ce qui la gêne davantage c’est le silence de Joana qui a toujours ses papiers et son argent. Le week-end approche et elle aimerait bien les récupérer.
Ces pensées vagabondaient dans sa tête quand la sonnette de la porte d’entrée retenti.
Tiens se dit-elle, ce doit être le facteur. D’un pas rapide elle se dirige vers la porte qu’elle ouvre pensant trouver le préposé mais son sourire se fige sur ses lèvres entre ouvertes.
-Joana, toi ici, quelle... quelle surprise.
Joana souriante ne dit rien mais repousse fermement Marie-Claude à l’intérieur de la maison et referme la porte. Toujours sans rien dire elle attrape Marie-Claude par l’épaule, la fait pivoter en la plaquant contre le mur et lui passe une paire de menotte autour des poignets.
-Joana, arrêtes, tu me fait un peu mal, moi qui ai tant de plaisir à te revoir.
-Silence esclave, tu as oublié qui je suis ? En disant cela Joana lui a tiré les cheveux en arrière. Alors réponds !
- No..non Maîtresse, je suis toujours à toi, tu le sais bien, mais je pensais...
-Silence tu n’as pas à penser, tu es faite pour m’obéir.
-Oui maîtresse, dis moi ce que je dois faire.
-Fait moi visiter cette maison, il se pourrait qu’elle me plaise.
Sur cette phrase sans suite et avec ses mains entravées, Marie-Claude guide Joana dans la maison de ses patrons et lui fait visiter les pièces une à une. La visite se finie dans la chambre de Marie-Claude que Joana passe en revue de manière très détaillée. Elle ouvre tous les placards, tous les tiroirs, regarde les vêtements de Marie-Claude, admire les sous-vêtements, bref se montre la plus indiscrète possible pour bien montrer à Marie-Claude sa vraie place.
Au bout de 10 minutes elle revient vers Marie-Claude qui attendait dans son coin avec un peu d’inquiétude. Qu’est ce qu’elle va inventer encore se disait elle. Elle le su très vite.
Joana revient vers elle avec un petit sourire et l’allonge par terre sur le dos. Elle enlève sa culotte rouge vif et, positionnant sa chatte déjà humide sur la bouche de Marie-Claude lui ordonne de la sucer de la manière la plus douce qu’il soit pour qu’elle en profite le plus longtemps possible.
Marie-Claude commence à promener sa langue sur les petites lèvres, puis passe au clitoris revient, repart, remonte jusqu’à l’anus de Joana qui commence à gémir.
-Ah Marie-Claude tu es... tu es vraiment douée, oui continu comme cela, je ne veux pas jouir mais maintiens moi au bord de l’orgasme comme tu sais si bien le faire.
La bouche de Marie-Claude est inondée de jus Joana est très mouillée, et Marie-Claude se dépasse dans son art, elle veut faire plaisir à sa maîtresse et elle y arrive. Minutes après minutes le plaisir de Joana augmente sans jamais dépasser la limite permise.
-Oui Marie-Claude tu es merveilleuse encore encore ta langue, oui sur le cul partout, encore Aaaah salope tu me tiens, oui encore là, oui doucement. Je t’en supplie fait moi jouir oui je veux jouir maintenant. Mais Marie-Claude est démoniaque, elle ralentie encore le rythme de ses coups de langue et c’est Joana qui craque la première. Elle s’écrase sur la bouche de Marie-Claude et se frotte le clitoris sur le nez, la bouche de Marie-Claude et force son orgasme à sortir de son corps qui était tendu comme un arc.
-Oouiii c’est bon Ahhh Marie-Claude tu es la meilleure suceuse que j’ai connu. oui tu auras droit à une récompense, Ah encore, encore mords suce lèche salope encore, je, je ...Ahhh oui c’est bon ...
Dans un dernier râle, Joana roule sur le coté et glisse ses mains entre ses jambes pour se masturber et arracher encore quelques spasmes de plaisir de son vagin épuisé par les coups de langue de Marie-Claude.
Il lui faut plusieurs minutes pour retrouver ses esprits.
Elle s’approche de Marie-Claude et l’embrasse tendrement; Leurs langues se mêlent, se caressent et bientôt ce n’est que gémissement. Marie-Claude n’en peut plus. Elle est attachée et ne peut pas se branler. Joana a bien compris mais refuse de la toucher ailleurs que sur la langue. Marie-Claude s’affole donne des coups de reins dans le vide, cherche un sexe d’homme qui la défoncerait, mais rien que la langue de Joana qui lui fouille la bouche, s’enroule autour de sa langue. Elle ressent des ondes de plaisir dans tout son corps mais rien pour la satisfaire vraiment.
Joana est encore plus diabolique qu’elle. Les reins de Marie-Claude sont en feu mais les coups qu’elle donne ne sont pas suffisant pour la faire jouir, la langue de Joana non plus.
Joana se relève en riant.
- Oh mais tu ressemble à un petit ver de terre quand tu ondules comme cela. Continus c’est très excitant. Dommage que mon mari ne soit pas là. Il t’aurais enfilé et tu serais moins en panne ! Dommage, ce sera pour une prochaine fois. A tout à l’heure ma chérie, ne quitte pas ta chambre sinon il pourrait t’en cuire.
Et sur ces paroles mystérieuses, Joana quitte la chambre de Marie-Claude et tout en refermant la porte elle éclate de rire. Marie-Claude frémi en se demandant ce qu’elle doit comprendre. Mais son plaisir la reprend et elle cherche désespérément l’orgasme libérateur en donnant des coups de reins dans le vide, en frottant ses cuisses l’une contre l’autre mais rien ne peut apaiser ce feu qui embrase ses reins.
En relevant la tête elle aperçoit une balle de tennis posée sur sa table de travail et une idée lumineuse lui vient. Oui c’est ça...
Elle roule sur le coté et se met à genoux, puis debout. Avec ses mains entravées par les menottes, elle attrape la balle et la pose par terre sur la moquette. Marie-Claude se remet à genoux mais cette fois ci se couche à plat ventre le sexe collé sur la balle de tennis. Elle commence à onduler sur la balle jusqu’à trouver le point maximal du plaisir. Ca vient vite et son clitoris, activé par les poils qui entoure la balle et aussi par son coté élastique, commence à réagir.
-Ohhh que c’est bon, ouiii , aaah tu ne veux pas que je jouisse hé bien tu vas voir que je me débrouille très bien sans toi.
Les coups de rein de Marie-Claude sur la balle s’accélèrent jusqu’à atteindre une cadence folle. Marie-Claude est emportée par son orgasme comme un sprinter qui court le 100m. Elle halète, crie, gémie et finie par hurler son plaisir dans un long cri rauque qui retenti dans toute la maison.
Joana qui l’a entendu, remonte précipitamment pensant que Marie-Claude a eu un accident. Elle rentre dans la pièce et voit Marie-Claude affalée à plats ventre qui respire très fort.
-Ca va lui demande-t-elle ?
-Oh oui très bien lui répond Marie-Claude avec un large sourire, c’était très bon tu sais, le tennis c’est formidable. Et sur ces paroles encore mystérieuse pour Joana, elle roule sur le coté et Joana découvre la balle de tennis coincée entre les cuisses de Marie-Claude.
-Bravo, quelle imagination, ça je ne l’avais jamais vu. Se branler avec une balle de tennis ! Apparemment c’est efficace si j’en crois ton cri. Ainsi dès que j’ai le dos tourné tu jouis sans ma permission. Tu sais que c’est une faute grave qui doit être punie.
Marie-Claude ne ri plus. Elle baisse la tête et murmure
-Oui maîtresse, je le sais, mais tu m’avais tellement excitée que je n’ai pas pu résister. Pardonnes moi, je t’en pris, je ne veux pas être punie.
-Désolé ma grande, mais ton obéissance doit être absolue. Je ne peux pas te pardonner.
Elle attrape Marie-Claude par les cheveux et la force à se mettre debout ce qui la fait crier. Mais Joana n’en a cure. D’une bourrade elle fait avancer Marie-Claude et l’entraîne dans le garage de la maison. Là, elle trouve un rouleau de ficelle qui lui sert à attacher Marie-Claude au tuyau de chauffage après lui avoir ôté les menottes.
-Mes tes mains jointes ensembles Oui c’est ça.
Joana attache les mains de Marie-Claude ensembles, comme si elle priait on ne sait quel Dieu lubrique.
-Maintenant lèves les bras, oui comme cela. Joana fait passer la ficelle au-dessus du tuyau de chauffage et tire dessus avec force. Marie-Claude s’étire et monte sur la point des pieds. C’est ce que voulait Joana. Marie-Claude est en extension et ses seins sont joliment tendus avec les mamelons dressés comme des doigts montrant quelque chose au loin.
Joana ne peut pas s’empêcher de les sucer ce qui donne des frissons à Marie-Claude. Mais ce n’est pas le moment de jouer.
Joana sort du garage et revient avec deux chaises qu’elle place de chaque coté des jambes de Marie-Claude. Elle prend la jambe gauche de Marie-Claude, la tire sur le coté et en la pliant la pose sur la chaise. Elle fait de même avec l’autre jambe. Maintenant Marie-Claude a un genou sur chaque chaise et ses cuisses sont légèrement écartées. Joana se place derrière elle et commence à faire glisser les deux chaises latéralement. Les cuisses de Marie-Claude s’écartent petit à petit sans qu’elle puisse en contrôler l’ouverture. Cette position est diabolique et soumet totalement Marie-Claude au plaisir de Joana. Les chaises continuent à s’écarter et le compas des jambes s’ouvre de plus en plus. Heureusement que Marie-Claude a fait un peu de danse, elle en à garder une certaine souplesse musculaire. Mais tout à des limites et maintenant elle ne peut plus rien faire si ce n’est gémir de douleur car ses muscles sont tendus fortement.
-Joana ne vas pas plus loin s’il de plaît. Tu me déchires l’entrejambe. S’il te plaît arrête.
Joana vient d’arrêter le mouvement des chaises et contournant Marie-Claude se retrouve devant elle.
-Bien maintenant voyons voir comment tu te sens, et d’une main experte elle commence à caresser Marie-Claude qui n’a strictement aucun moyen de s’opposer aux doigts de Joana qui la caresse, la fouille et l’encule à loisir jusqu’à ce que Marie-Claude commence à gémir de plaisir et de douleur mélangés. Mais où est la limite dans ce cas ?
Joana, satisfaite, arrête ses caresses et clos cette séance par un baiser dont la durée laisse Marie-Claude toute essoufflée.
-Bien je te laisse, à tout à l’heure pour une séance plus ....approfondie.
Sur ces mots elle éteint la lumière ce qui plonge le garage dans l’obscurité et sans s’occuper davantage de Marie-Claude remonte dans le salon ou elle s’installe confortablement devant un bon verre de whisky.
Dimanche 16 décembre
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22:11
Rapidement Marie-Claude a rejoint la maison des Taylor qui est un peu isolée dans le quartier. Elle ouvre la barrière et rentre dans le jardin et fonce dans madame Taylor qui partait en ville pour un rendez-vous chez le médecin.
-Oh, pardon madame, excusez-moi, je suis en retard, veuillez me pardonner, mon week-end a été chargé.
Marie-Claude est rouge de confusion et baisse la tête en parlant. Elle a conscience de son aspect physique et a bien vu que son interlocutrice a compris d’où elle venait.
-Hum, vu votre état je comprends que vous ayez perdu la tête, j’espère au moins que cela a été agréable ?
-Euh...! oui.., beaucoup enfin ...je veux dire oui comme-ci comme ça.
Marie-Claude s’empêtre de plus en plus dans ses explications ce qui a le don de faire rire madame Taylor. Elle n’est pas dupe et l’embarras de Marie-Claude la réjoui au plus haut point.
-Allez filez à la maison, les enfants ont besoin de vous, mon mari est encore là, alors un peu de tenu s’il vous plaît.
-Oui madame c’est promis.
Marie-Claude reprend sa course et entre en trombe dans la maison. Elle va directement dans sa chambre mais est interceptée au passage par monsieur Taylor qui la pousse dans la cuisine et referme la porte derrière lui.
-Un instant jeune fille, d’où venez-vous comme cela ? Cela fait une heure que je vous attends, il va falloir vous faire pardonner.
En disant cela il tient toujours Marie-Claude par le bras et la force à s’agenouiller devant lui. D’un geste rapide il a ouvert sa braguette et sort son sexe turgescent d’une taille très au dessus de la moyenne du moins d’après l’idée que se fait Marie-Claude d’une telle moyenne. Il lui colle le gland sur les lèvres et appuie fermement dessus. Marie-Claude va pour protester mais à peine a-t-elle ouvert la bouche pour parler que le sexe s’engouffre entre ses lèvres, bouscule ses dents et s’enfonce dans sa gorge aussi loin que possible. Elle a un hoquet et la queue recule un peu le temps qu’elle s’adapte mais elle ne peut plus s’évader. et petit à petit elle prend le rythme que son partenaire lui impose et tout devient plus facile. Elle y prend goût et affine son action buccale, sa langue se fait fourreau, elle entoure le gland rouge foncé et le titille avec art, sa main droite pétrie les couilles de monsieur Taylor et ses lèvres sucent ardemment le membre. Monsieur Taylor soupire, gémi de plaisir mais se retient aussi car les enfants pourraient entendre.
-Ah que c’est bon, depuis le temps que j’en avais envie, ce matin ma femme n’a pas eu le temps de me vider les couilles, alors c’est toi qui va le faire. Mon trésor, ma petite salope adorée, oui suces moi bien, non pas si vite, voilà comme cela bien profond. Ahhh je sens que ça monte, prépare toi à tout boire, ne perd rien, je veux, Ahh, oui je.. veux .. que tu...boivent tout. Ahhh oui ça y est Ahhh
Et d’un grand coup de rein il s’est enfoncé au plus profond de la gorge de Marie-Claude qui suffoque sous l’assaut et les vagues de sperme qui jaillissent dans sa bouche. Elle avale le sperme comme elle le peut, mais une partie déborde, elle n’a pas le temps de s’en préoccuper tant la production est importante.
Les coups de rein se sont espacés et finissent par s’arrêter. Le membre si fier quelques minutes auparavant est maintenant tout mou et pendouille entre les cuisses de monsieur Taylor. Marie-Claude fini d’avaler les dernières gouttes de sperme qui en coule encore et se relève avec un gentil sourire.
-Vous avez aimé, moi beaucoup, je n’ais jamais avalé une telle quantité de sperme en une fois. C’est impressionnant. Votre femme doit être contente, non?
-Euh, oui, en général elle aime assez, mais je pense qu’elle n’est pas aussi douée que vous, problème de génération sans doute. Oh, attention, j’entends les enfants qui arrivent. Vite faite le café ça fera plus naturel.
Marie-Claude s’exécute bien qu’elle n’ait qu’une envie, celle de prendre une bonne douche. Mais décidément tout s’y oppose.
-Bonjour les enfants, vous avez passé un bon week-end.
John l’embrasse en lui touchant les seins comme pas fait exprès mais Marie lui fait une bise du bout des lèvres. Elle boude, elle est jalouse car elle a compris elle aussi que Marie-Claude ne s’est pas embêtée ces deux jours alors que elle, elle a dû se contenter de branlettes à répétition seule dans son lit.
Marie-Claude a saisi ce qui se passait dans la tête de Marie et lui caresse discrètement les seins en lui murmurant au creux de l‘oreille des mots doux et coquin. Ceci a le don de calmer Marie et de lui redonner le sourire.
-Bon, je veux bien, mais ce soir attention de ne pas oublier.
-Eh les filles vous me dites ce que vous avez raconté ?
-Non John, c’est un secret de jeunes filles qui ne regarde pas les garçons.
John prend son air boudeur mais un sourire de Marie-Claude dans sa direction le calme tout de suite.
-Allez, c’est l’heure de partir à l’école, prenez vos cartable on y va.
Marie-Claude, Marie et John sortent de la maison et se dirige vers l’arrêt de car pour rejoindre leurs camarades. Marie-Claude les embrasse tous les deux tendrement en leur souhaitant une bonne journée.
Tournant les talons elle repart vers la maison où, espère-t-elle, une bonne douche l’attend. En rentrant, elle croise la voiture de monsieur Taylor qui lui fait un petit signe. Elle le gratifie d’un large sourire et pousse un soupir de soulagement en refermant le portillon du jardin. Enfin seule, elle va pouvoir s’occuper d’elle sans personne pour lui sauter dessus. C’est pas qu’elle n’aime pas ça, mais trop c’est trop! Et elle éclate de rire, non c’est pas vrai. Du sexe elle en veut, encore et encore, il n’y en a jamais de trop. L’avenir allait lui donner raison.
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