Dimanche 16 décembre
7
16
/12
/Déc
22:11
Rapidement Marie-Claude a rejoint la maison des Taylor qui est un peu isolée dans le quartier. Elle ouvre la barrière et rentre dans le jardin et fonce dans madame Taylor qui partait en ville pour un rendez-vous chez le médecin.
-Oh, pardon madame, excusez-moi, je suis en retard, veuillez me pardonner, mon week-end a été chargé.
Marie-Claude est rouge de confusion et baisse la tête en parlant. Elle a conscience de son aspect physique et a bien vu que son interlocutrice a compris d’où elle venait.
-Hum, vu votre état je comprends que vous ayez perdu la tête, j’espère au moins que cela a été agréable ?
-Euh...! oui.., beaucoup enfin ...je veux dire oui comme-ci comme ça.
Marie-Claude s’empêtre de plus en plus dans ses explications ce qui a le don de faire rire madame Taylor. Elle n’est pas dupe et l’embarras de Marie-Claude la réjoui au plus haut point.
-Allez filez à la maison, les enfants ont besoin de vous, mon mari est encore là, alors un peu de tenu s’il vous plaît.
-Oui madame c’est promis.
Marie-Claude reprend sa course et entre en trombe dans la maison. Elle va directement dans sa chambre mais est interceptée au passage par monsieur Taylor qui la pousse dans la cuisine et referme la porte derrière lui.
-Un instant jeune fille, d’où venez-vous comme cela ? Cela fait une heure que je vous attends, il va falloir vous faire pardonner.
En disant cela il tient toujours Marie-Claude par le bras et la force à s’agenouiller devant lui. D’un geste rapide il a ouvert sa braguette et sort son sexe turgescent d’une taille très au dessus de la moyenne du moins d’après l’idée que se fait Marie-Claude d’une telle moyenne. Il lui colle le gland sur les lèvres et appuie fermement dessus. Marie-Claude va pour protester mais à peine a-t-elle ouvert la bouche pour parler que le sexe s’engouffre entre ses lèvres, bouscule ses dents et s’enfonce dans sa gorge aussi loin que possible. Elle a un hoquet et la queue recule un peu le temps qu’elle s’adapte mais elle ne peut plus s’évader. et petit à petit elle prend le rythme que son partenaire lui impose et tout devient plus facile. Elle y prend goût et affine son action buccale, sa langue se fait fourreau, elle entoure le gland rouge foncé et le titille avec art, sa main droite pétrie les couilles de monsieur Taylor et ses lèvres sucent ardemment le membre. Monsieur Taylor soupire, gémi de plaisir mais se retient aussi car les enfants pourraient entendre.
-Ah que c’est bon, depuis le temps que j’en avais envie, ce matin ma femme n’a pas eu le temps de me vider les couilles, alors c’est toi qui va le faire. Mon trésor, ma petite salope adorée, oui suces moi bien, non pas si vite, voilà comme cela bien profond. Ahhh je sens que ça monte, prépare toi à tout boire, ne perd rien, je veux, Ahh, oui je.. veux .. que tu...boivent tout. Ahhh oui ça y est Ahhh
Et d’un grand coup de rein il s’est enfoncé au plus profond de la gorge de Marie-Claude qui suffoque sous l’assaut et les vagues de sperme qui jaillissent dans sa bouche. Elle avale le sperme comme elle le peut, mais une partie déborde, elle n’a pas le temps de s’en préoccuper tant la production est importante.
Les coups de rein se sont espacés et finissent par s’arrêter. Le membre si fier quelques minutes auparavant est maintenant tout mou et pendouille entre les cuisses de monsieur Taylor. Marie-Claude fini d’avaler les dernières gouttes de sperme qui en coule encore et se relève avec un gentil sourire.
-Vous avez aimé, moi beaucoup, je n’ais jamais avalé une telle quantité de sperme en une fois. C’est impressionnant. Votre femme doit être contente, non?
-Euh, oui, en général elle aime assez, mais je pense qu’elle n’est pas aussi douée que vous, problème de génération sans doute. Oh, attention, j’entends les enfants qui arrivent. Vite faite le café ça fera plus naturel.
Marie-Claude s’exécute bien qu’elle n’ait qu’une envie, celle de prendre une bonne douche. Mais décidément tout s’y oppose.
-Bonjour les enfants, vous avez passé un bon week-end.
John l’embrasse en lui touchant les seins comme pas fait exprès mais Marie lui fait une bise du bout des lèvres. Elle boude, elle est jalouse car elle a compris elle aussi que Marie-Claude ne s’est pas embêtée ces deux jours alors que elle, elle a dû se contenter de branlettes à répétition seule dans son lit.
Marie-Claude a saisi ce qui se passait dans la tête de Marie et lui caresse discrètement les seins en lui murmurant au creux de l‘oreille des mots doux et coquin. Ceci a le don de calmer Marie et de lui redonner le sourire.
-Bon, je veux bien, mais ce soir attention de ne pas oublier.
-Eh les filles vous me dites ce que vous avez raconté ?
-Non John, c’est un secret de jeunes filles qui ne regarde pas les garçons.
John prend son air boudeur mais un sourire de Marie-Claude dans sa direction le calme tout de suite.
-Allez, c’est l’heure de partir à l’école, prenez vos cartable on y va.
Marie-Claude, Marie et John sortent de la maison et se dirige vers l’arrêt de car pour rejoindre leurs camarades. Marie-Claude les embrasse tous les deux tendrement en leur souhaitant une bonne journée.
Tournant les talons elle repart vers la maison où, espère-t-elle, une bonne douche l’attend. En rentrant, elle croise la voiture de monsieur Taylor qui lui fait un petit signe. Elle le gratifie d’un large sourire et pousse un soupir de soulagement en refermant le portillon du jardin. Enfin seule, elle va pouvoir s’occuper d’elle sans personne pour lui sauter dessus. C’est pas qu’elle n’aime pas ça, mais trop c’est trop! Et elle éclate de rire, non c’est pas vrai. Du sexe elle en veut, encore et encore, il n’y en a jamais de trop. L’avenir allait lui donner raison.
Commentaires