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Eros - essais érotiques

Lundi 15 août 1 15 /08 /Août 00:00
Balou et Angela restèrent encore de longues minutes soudés l'un à l'autre. Ils s'embrassaient tendrement après le merveilleux bonheur qui avait ébloui leurs âmes. Les deux amants avaient le sentiment d'avoir communié avec les Dieux.
Repus, heureux et comblés ils s'avancèrent main dans la main vers la mer accueillante pour se baigner et nager comme deux dauphins amoureux. Seuls sur terre ils étaient maintenant, savourant la plénitude de s'aimer.


Bettina les observa encore, toute retournée par les plaisirs solitaires qu'elle s'était donnée. Elle aurait aimé être en compagnie de son gendre, là en cet instant. Mais la raison de mère lui dictait de ne rien provoquer qui pourrait nuire au bonheur de sa fille. Pourtant Balou accaparait constamment ses pensées, elle imaginait les scénarios les plus fous, son sexe de femme réclamait son dû.

Angela et Balou regagnèrent le sable chaud de la plage. Balou alluma une cigarette, en regardant l'horizon lointain. Il souriait. Angela s'assit et se blottit contre lui, sa tête reposant sur son épaule. Elle tira une bouffée de la cigarette de son amant et dit :

- Avec toi c'est la paradis sur terre mon chéri, je suis heureuse. Mais tu m'a fait languir tout à l'heure ente mes cuisses, tu es un chenapan !
- J'aime te rendre folle de désir, l'attente démultiplie les orgasmes et c'est cela que je voulais te donner, répondit Balou

Ils éclatèrent de rire ensemble.

- J'espère que maman ne nous a pas entendu, ajouta Angela.
- Hummm c'est bizarre que tu me dises cela, je croyais l'autre jour dans la cuisine que tu aimerais que ta mère t'écoute jouir non ?
- Oh la la mon Balounet c'était pour te taquiner voyons. Par contre ma mère est naturiste, et euh je doute qu'elle ait baissé son regard l'autre soir en te voyant prendre un bain de minuit, renchérit Angela.
- Il faisait nuit noire alors tu sais elle n'a pas vu grand chose.
- Hummmm pas sûr mon chou, maman est une croqueuse d'homme, même à son âge elle a le feu aux fesses.
- Arrête de parler ainsi de ta mère voyons, dit Balou en rigolant.
Il tirait nerveusement sur sa cigarette en espérant que son amie ne verrait pas son trouble.
- Tu sembles bien pensif mon chou.
- Non non ça va je pensais à ce que nous allions faire ce soir.
- Ah bah tu sais je dois contacter mon amie Maria, elle a très envie de faire la connaissance de l'homme de ma vie. Je pense qu'elle est curieuse de voir à qui j'ai mis le grappin dessus.

Ils passèrent le restant de l'après midi à alterner baignade et bronzette, rejoint en cela par Bettina.
Balou eu un choc en la voyant.
Par respect pour son gendre et sa fille elle portait un bikini mais trop petit pour elle. Sa généreuse poitrine était facilement visible.
Un chignon blond bien coiffé, un ventre presque plat, quelques douces rondeurs aux hanches, une croupe voluptueuse, un bronzage caramel, des yeux bleus, une bouche aux lèvres charnues, des cuisses fermes, tels était les atouts que mis Bettina sous les yeux de Balou.

- Je n'ai pas osé venir nue mes chéris, je sais que toi Angela tu désapprouves mon loisir de nudiste. Vous savez Balou le père d'Angela était un homme très pratiquant alors vous comprenez.
- Assez maman, j'en ai marre qu'à chaque fois on se chamaille pour ça, je vais aller prendre une douche rafraîchissante.

Elle se leva et  planta ainsi Balou et sa belle-mère.

Celui-ci fit mine de se lever mais Bettina lui lança :

- Laissez-la mon cher, c'est un sujet qui la fâche toujours.

Balou regarda partir Angela à travers la plantation d'oliviers.
Une ombre de luxure commençait à l'envahir, il la sentait s'insinuer en lui progressivement.

- Balou vous savez que vous êtes un amant hors du commun, lui susurra sa belle-mère
Il la regarda, et vit qu'elle avait dégrafé le fin tissu qui maintenait sa poitrine. Les seins de Bettina étaient lourds mais encore fermes malgré ses 55 ans. De brunes auréoles entouraient des tétons caramel déjà dressés.
- Il sont encore beaux n'est-ce pas mon gendre chéri ?
Balou détourna son regard mais il ne pu réprimer une violente érection.
- Oh mon cher je remarque que vous êtes pratiquement prêt à honorer mes seins, qu'en dites-vous ?
Sa belle mère s'était rapprochée de lui. Allongée à ses cotés, elle embrassa son épaule, elle laissa ses doigts courir dans son dos. Balou était tétanisé comme à chaque fois, il avait l'impression que sa belle-mère le violait psychologiquement.
Il se retourna et se retrouva nez à nez face aux voluptueux seins de Bettina. Imperceptiblement sa bouche se rapprocha de ces deux globes. La main de Bettina remonta vers le cou de son gendre et elle attira sa tête sur sa poitrine.
Balou ne résista point. Il se mis à téter comme un enfant cette poitrine de Vénus. Bettina gloussa en jetant sa tête en arrière.
- Oh oui allez-y Balou, sucez-moi et tétez-moi, j'aime vos lèvres sur moi, gémit-elle.

Son gendre la poussa délicatement, elle s'allongea de tout son long.
La bouche frénétique de Balou se délecta ainsi. Ses lèvres titillèrent le bout des seins, ses dents mordillèrent délicatement les tétons. Ensuite cette bouche avide descendit vers le sillon des seins, elle lécha encore et encore. Puis le ventre de Bettina reçu des baisers, le nombril fut taquiné, et la bouche insatiable embrassa le mont de Vénus.
Bettina était aux anges. Elle n'aurait jamais pensé que son gendre daigne lui prodiguer cette caresse. Balou d'un geste habile ôta le string de sa belle-mère, puis sa tête plongea vers les délices marins.
La bouche de Balou découvrit un fruit d'amour luisant, de grosses lèvres rouges et douces accueillirent sa langue. Le bourgeon dressé fièrement reçu mille attentions.
Balou entendait sa belle-mère gémir, elle se pâmait en écartant encore davantage ses cuisses. Balou introduit un, puis deux, et trois doigts dans ce puis mielleux.
Bettina hurla à cet attouchement, elle joui instantanément tellement elle était excité. Son gendre amant faisait aller et venir ses doigts, il les regardait disparaître et revenir.
- Ta main ! Cria Bettina, mets ta main en entier, allez !!
Balou n'avait jamais pratiqué une introduction aussi spectaculaire. Mais il vit et sentit comme par enchantement le sexe de Bettina lui happer les doigts de sa main, sans retenue aucune elle désirait sentir la main de son gendre dans son ventre de quinquagénaire.
Il n'osa pas s'introduire davantage de peur de la déchirer, et le lui susurra à l'oreille.
- Fais-les alors davantage bouger, oh mon Balounet, ouiiiii je jouis comme une folle !!! Cria Bettina
Un peu effrayé au début  par ce qu'il faisait, Balou vit que sa belle-mère appréciait et qu'elle se tortillait comme une damnée.
Le ventre en feu Bettina s'offrait à cette main. Des vagues d'orgasmes la submergèrent de longues minutes.
A bout de force, elle ordonna à Balou d'arrêter ce massage intime. La main de son gendre se retira et Balou en lécha un à un les  doigts inquisiteurs.

Bettina restait couchée, les cuisses écartées, elle reprenait ses esprits. Enfin elle dit :

- Oh mon Balou vous avez été fabuleux, merci pour ce moment de pur bonheur.

Son gendre soupira. Il ôta son slip de main. Son érection dardait vers sa belle-mère. Agenouillé il se masturbait devant elle, pour elle en fait.
Bettina gloussa devant ce spectacle délicieusement érotique.

- Venez sur mon ventre mon cher, j'ai envie que vous jouissiez entre mes seins.

Balou se positionna à califourchon au-dessus d'elle, ses cuisses enserrant la taille de sa belle-mère. Celle-ci fit coulisser le divin pieu au creux du sillon de sa volumineuse poitrine, emprisonna ainsi Balou qui débuta ses vas et viens. A deux mains sur ses seins, elle le serrait. Elle voyait devant ses yeux le gland violet venir et disparaître. La balancement des lourdes bourses de son gendre la fit également frémir.

Balou regardait sa verge compressée par les deux globes, il gémit en sentant au creux de ses reins l'intensité du  plaisir croître progressivement.
Le soleil brûlait leur peau. Tous les deux se regardèrent dans les yeux, et là Balou éjacula en grognant, il retint son cri pour ne pas attirer l'attention d'Angela.
De chaudes giclées de semence maculèrent le cou et le menton de Bettina qui continuait sa délicieuse pression de ses seins sur la hampe de son gendre. Enfin elle relâcha Balou qui s'écroula sur le sable, comblé et repu.

- Humm Balou chéri votre laitance est un nectar que j'aime, je vais vous nettoyer, lança Bettina en plongeant entre les cuisses de son gendre.

Balou se laissa faire et apprécia la bouche de Bettina s'activant sur lui. Elle lapa les restes de sperme. Ce nettoyage en règle lui provoqua de nouveau une violente érection qui ravi sa belle-mère. Il se senti aspirer vers un puis de bonheur. Bettina agenouillée entre ses cuisses le pompait voracement. Balou voyait son chignon blond aller et venir sur son bas-ventre. Plus rien de comptait pour lui, seul son bonheur du moment importait. Il admirait la bouche suceuse distendue par son sexe qui l'aspirait tout entier. Il ferma les yeux et joui doucement en couinant comme un adolescent devant son premier orgasme.

A suivre....
Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 00:00
Le silence encore et toujours.
Bettina avait été aspergée par les torrents de sève de Balou, elle était assise à terre adossée au mur de la cuisine. Son peignoir était dénoué laissant voir sa généreuse poitrine dépasser de sa nuisette. Le sperme imprégnait sa chevelure blonde, de grasses taches maculaient également son peignoir, mais elle avait réussi à en avaler la majorité. Elle souriait béatement, ravie d'avoir bu le nectar d'amour de son gendre et évidemment heureuse de l'orgasme gigantesque qu'elle avait provoqué. Elle avait joui toute seule sans se toucher juste en suçant Balou agenouillée devant lui dans la cuisine. Elle se dit que ce petit déjeuner fut fabuleusement jouissif. La prochaine fois elle se dit qu'elle aimerait bien le faire hurler entre ses seins majestueux.


- Vous devriez vous refaire une beauté avant l'arrivée de votre fille, haleta Balou.
Bettina pris enfin conscience de son état, elle se leva rapidement et s'en alla se débarbouiller.

Balou lui essayait de reprendre ses esprits. Il revenait de l'enfer, il en était maintenant certain. Cette femme l'avait envoûté, il se demandait comment il allait gérer cette situation entre Angela et sa mère.
Sa verge ramollie et gluante pendouillait entre ses jambes, il se mit en devoir de se nettoyer si d'aventure Angela désirait y goûter.

Les huit coups sonnèrent à la pendule du salon. Le soleil brillait de mille feux dans un ciel azur.
Balou se promenait sur la plage, seul pour faire le point avec lui-même, fumant cigarette sur cigarette. Au loin au port du village les pécheurs vendaient les poissons et crustacés péchés la nuit passée.
Il se dit que la vie était vraiment belle, mais surtout mal faite.

Bettina se doucha longuement, elle savourait les souvenirs des moments passés avec son gendre. Elle se rappelait le parfum de son sperme qu'elle avait bu goulûment, cette semence chaude et grasse au goût légèrement iodé. Elle se sentait également très femme capable de séduire un gamin de 30 ans, et cela l'excitait divinement. Elle se dit aussi qu'elle devait absolument rassurer ce garçon car sinon ils couraient tous les trois à la catastrophe.

En arrivant à la cuisine Bettina vit sur la terrasse que sa fille et Balou s'embrassaient tendrement, quel beau couple ils formaient ainsi. Une légère pointe de jalousie lui traversa l'esprit mais elle la chassa aussitôt.
-  Bonjour les enfants, annonça Bettina
- Bonjour maman, dit Angela en l'embrassant sur les joues. Balou en fit de même.
- Tu ne trouves pas maman que Balou a une mine de déterré ce matin ? Demanda sa fille.
- Mais non ou alors ce sont les abus d'alcool de la veille, répondit Bettina.
Balou confirma effectivement avoir trop bu et que la promenade au marché ce matin allait lui remettre l'estomac en place.

Le petit déjeuner se déroula sans encombre et fut vite avalé. Bettina laissa les jeunes partir au marché, d'autant plus que sa femme de ménage n'allait pas tarder.

Angela et Balou passèrent la matinée à flâner sur le port. Ils achetèrent un peu de poisson et des légumes.
Plusieurs personnes s'arrêtèrent pour les saluer et discuter avec eux, surtout avec Angela qui connaissait presque tous les habitants du village. Vers midi ils s'installèrent au comptoir du seul café existant pour prendre un verre. Evidemment toute la faune locale s'y retrouvait en ce jour de marché. Les discutions allaient bon train. Accoudé au bar Balou laissait vagabonder son regard. Des mères de familles et leur marmaille, des vieux monsieurs le mégot collé au bec, un vieux beau avec son écharpe de soie et stetson, de jeunes garçons et filles, des pécheurs et ouvriers, constituait une palette représentative des habitants. Le café était bruyant, ça courait dans tout les sens. Balou ne parlant pas italien il se retrouva vite largué. Angela tentait bien de traduire mais elle se lassa vite de répéter sans cesse les réponses. Bref Balou tapa le crachoir au patron du lieu qui était bien le seul à comprendre un peu l'anglais.
Au bout de deux verres de vin Balou se sentit mieux et revigoré, mais l'heure tournait, il fallait retourner à la propriété.

Sur le chemin du retour Balou fit part à Angela du bon moment qu'il avait passé à découvrir le port de pêche et ses habitants, excellente matinée aussi pour Angela qui avait revu ses amis et connaissances.

- Tu sais j'ai parlé à Maria la fille de notre aide ménagère, et on s'est dit que nous pourrions prévoir une petite soirée avec les personnes avec qui j'ai conservé des liens très forts, qu'en penses-tu mon chéri ?
- Cela est une excellente idée, ainsi je pourrai connaître un peu mieux tes amis, répondit Balou. Mais dans son esprit il se dit que moins il verrait Bettina, mieux il se porterait.

Ce mois de mai était un des plus chaud, la température oscillait constamment vers les 30° à l'ombre. Heureusement que la brise du large donnait un semblant de fraîcheur. Cette douce vie convenait parfaitement aux deux amoureux.

Le déjeuner fut très calme pour Balou, Bettina n'engagea aucune approche à son égard. L'après-midi Angela et son amant se retrouvèrent à la plage privée de la propriété. Ils se prélassaient tous les deux au soleil tels des lézards.
Balou admirait son amie qui ne portait qu'un léger string de bain. Ses fesses rondes callipyges, ses cuisses interminables, sa peau bronzée, ses seins lourds mais fermes, son ventre plat, ses hanches de déesse, sa brune et soyeuse chevelure, elle ressemblait vraiment à Monica Belluci sans aucun doute.
Angela remarqua le manège visuel de Balou.

- J'ai l'impression que tes yeux me marquent au fer rouge mon chéri, lança-t-elle.

Elle était allongée sur son drap de bain, Balou se rapprocha d'elle, leur lèvres se touchèrent pour se donner un fougueux baiser.
La plage était déserte, une douce brise caressait leur corps surchauffé par le soleil.
Balou quitta cette vorace bouche. Ses lèvres descendirent progressivement entre le sillon de la poitrine d'Angela, puis sa langue titilla les bouts durcis couleur caramel. Ensuite Angela senti la bouche de son amant continuer son chemin vers son mont de Vénus. Balou ôta délicatement le string, il se coucha entre les cuisses écartées de son amie. Il dégagea le bourgeon dressé, admira les roses lèvres gonflées de désir, il huma ce parfum marin.
La bouche de Balou était maintenant soudée au centre du plaisir d'Angela, sa langue pénétrait profondément en elle en dansant une sarabande endiablée. Angela gémit, une exquise chaleur embrasait tout son être, elle s'abandonna à la caresse buccale de son ami.
Les doigts de Balou carrèrent les cuisses, le ventre doux. Sa bouche aspira le pistil ce qui provoqua un râle interminable à Angela. Elle n'en pouvait plus, elle désirait que Balou la prenne là immédiatement avec force, mai Balou n'en avait cure, il continuait inlassablement  sa caresse.
Angela le suppliait de venir la couvrir, son ventre se crispait, ses mains griffèrent la sable, elle n'en pouvait plus, elle voulait qu'il soit en elle, que son pieu la pénètre profondément.
Plusieurs vagues de plaisir la submergèrent, elle cria et supplia. Son ventre brûlait d'un feu qui se répandait dans tout son corps. Elle hurla à nouveau encore et encore.
Balou prit un malin plaisir à continuer ainsi. Sa bouche, ses joues son nez, étaient humides du nectar d'amour d'Angela. Il aimait prodiguer cette caresse, il adorait écouter le chant d'amour de son amie, il ne se lassait pas d'embrasser cette brune toison d'amour.

- Viens mon amour, je te veux, viens vite, supplia encore Angela

Balou se redressa. Angela le vit beau et majestueux, agenouillé entre ses cuisses tenant sa hampe érigée entre ses mains. Elle voyait ce dard de désir pour elle, son gland violacé. Cette vision lui arracha un autre râle. Mais Balou toujours agenouillé frottait simplement son gland à l'orée du fruit d'amour mielleux en le faisant pénétrer, puis en le retirant. Ce contact, cet attouchement délicieusement agaçant excita encore davantage Angela qui maintenant cria sa frustration.
Balou sentait que le moment était arrivé, il se coucha sur son amante et la pénétra d'un seul coup jusqu'à la garde.

- Enfin !!!! ouiiiiiiiiiiiiiiiii, Hurla Angela, après une si longue attente

Elle se sentait remplie, pénétrée entièrement. Elle joui ainsi à plusieurs reprises abandonnée aux vas et viens surpuissants de son amant. Ils se regardaient tous les deux les yeux dans les yeux en ahanant. Puis une autre vague de bonheur emporta Angela qui ferma ses paupières en se mordillant la lèvre inférieure. Balou lui continuait inlassablement, il voulait que ces instants durent une éternité car la jouissance qu'il donnait à Angela faisait vibrer son âme.

A l'ombre d'un olivier Bettina les observait depuis le début. Elle avait ôté sa culotte et elle avait introduit deux doigts en elle qu'elle faisait coulisser en imaginant le pieu de son gendre qui la prenait.
La jouissance également à plusieurs reprises l'entraîna vers la nirvâna. Elle entendait sa fille gémir de bonheur, elle la voyait se tortiller sous Balou. Bettina admira la hampe puissante qui entrait et sortait du ventre de sa fille. Cette vision à nouveau lui arracha un orgasme.
Bettina redressa la tête juste à temps pour voir les deux amants jouir ensemble dans un tourbillon de cris et de gémissements. Elle vit le visage de sa fille se crisper, sa bouche ouverte les lèvres retroussées comme si elle criait de douleur, elle la vit s'arc-bouter avant qu'elle ne lâche un grognement de lionne à l'apogée du plaisir.
Balou la vit aussi ainsi, et cela provoqua le déferlement de lave en fusion dans le ventre de son amie. Il avait le sentiment de se vider interminablement, l'impression que son orgasme  n'allait jamais s'arrêter. Lui, rugit à son tour et éjaculant longuement.

A suivre
Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 00:00
Le local me parut superbe et magnifiquement éclairé ; nous ne pûmes arriver qu'en marchant sur un grand crucifix tout parsemé d'hosties consacrées, au bout duquel était la Bible, qu'il fallait de même fouler aux pieds. Vous croyez bien qu'aucune de ces difficultés ne m'arrêta. Je pénétrai.
C'était une fort belle femme de trente-cinq ans qui présidait ; elle était nue, magnifiquement coiffée ; ce qui l'entourait au bureau était également nu : il y avait deux hommes et une femme. Plus de trois cents personnes étaient déjà réunies et nues : on enconnait, on se branlait, on se fouettait, on se gamahuchait, on se sodomisait, on déchargeait, et tout cela dans le plus grand calme ; on n'entendait aucune autre espèce de bruit que celui nécessité par les circonstances. Quelques-uns se promenaient doubles ou seuls ; beaucoup examinaient les autres, et se branlaient lubriquement en face des tableaux. Il y avait plusieurs groupes, quelques-uns même formés de huit ou dix personnes ; beaucoup d'hommes seuls avec des hommes ; beaucoup de femmes entièrement livrées à des femmes ; plusieurs femmes entre deux hommes ; et plusieurs hommes occupant deux ou trois femmes. Des parfums extrêmement agréables brûlaient dans de grandes cassolettes et répandaient des vapeurs enivrantes qui plongeaient, malgré soi, dans une sorte de langueur voluptueuse. Je vis plusieurs personnes sortir ensemble des cabinets d'aisances. Au bout d'un instant, la présidente se leva et prévint, à voix basse, qu'on lui prêtât, quand on pourrait, un moment d'attention. Quelques minutes après, tout le monde m'entoura ; je n'avais été de ma vie tant examinée ; chacun prononçait, et j'ose dire que je ne recueillis de tout cela que des éloges ; de grands complots, de grands projets se formèrent sur moi et autour de moi, et je frémis d'avance de l'obligation où j'allais être de me prêter à tous les désirs que faisaient naître ma jeunesse et mes charmes. Enfin la présidente me fit monter sur une estrade en face d'elle ; et là, séparée par une balustrade de toute l'assemblée, elle ordonna que l'on me mît nue : deux frères servants arrivèrent, et, en moins de trois minutes, il ne me resta pas un vêtement sur le corps. J'avoue qu'un peu de honte s'empara de moi, lorsque les frères, en se retirant, m'exposèrent absolument nue aux yeux de l'assemblée, mais les nombreux applaudissements que j'entendis me rendirent bientôt toute mon impudence.
[...]
Donatien Alphonse François Marquis de Sade orgie et plaisir

Tous les couples, distraits par l'événement de ma réception, se renouèrent, et je fus bientôt attaquée ; de ce moment jusqu'à celui du souper, je ne revis plus Clairwil. Le premier qui m'aborda était un homme de cinquante ans.
- Te voilà bien putain, pour le coup ! me dit-il en me conduisant sur un canapé, il n'y a plus à t'en dédire à présent ; te voilà garce comme une raccrocheuse ; j'ai été content de toi, tu m'as fait bander.
Et le paillard m'enconne en me disant cela. Il lime un quart d'heure, baise beaucoup ma bouche, puis, saisi par une autre femme, il me quitte sans décharger. Une vieille de soixante ans vint à moi, et m'ayant recouchée sur le canapé que j'allais quitter, elle me branla, et se fit branler fort longtemps. Trois ou quatre hommes nous examinaient ; un d'eux encula la matrone, et la fit crier de plaisir. Un autre de ces hommes, voyant que je me pâmais sous les coups de doigts de la tribade, vint m'offrir son vit à sucer ; et comme la vieille me quitta, le coquin passa de ma bouche à mon con ; il avait le plus beau vit du monde, et foutait à merveille.

Extrait - Histoire de Juliette ou Les Prospérités du Vice
Samedi 13 août 6 13 /08 /Août 00:00
Balou plongea dans la mer. L'eau était fraîche mais il lui fallait d'abord évacuer le sable qui l'irritait et ensuite reprendre ses esprits après la folle étreinte avec Bettina.
Mon dieu qu'avait-il fait? Est-ce dû aux effets éthyliques de l'excès de vin ou avait-il plongé dans la débauche la plus totale ? Le fait de se baigner dans l'eau froide devrait lui permettre d'y voir plus clair, du moins l'espérait-il.
Bettina était restée sur la plage. Elle admirait son gendre amant et ses brassées très coulées qu'elle devinait au clair de lune.

Enfin Balou regagnât la terre ferme, nu, devant sa belle-mère.
- Vous êtes une ensorceleuse Bettina, crachat-il.
Bettina admirait son gendre, ses petites fesses rebondies, ses cuisses musclées, sa poitrine velue, son ventre un peu rond entouré de poignées d'amour, sa démarche féline. Elle répondit :
- Vous êtes beau Balou, vous m'avez donné un bonheur immense et ça je ne l'oublierai pas soyez-en certain mon chou.
Balou épousseta ses vêtements et s'habilla à la hâte.
- J'ai aussi aimé Bettina mais ce n'est pas raisonnable, nous avons agit sur un coup de folie.
- Certainement mais le désir a été plus fort que la raison. Vous savez j'ai 55 ans et jamais dans mes désirs les plus fous je n'osais imaginer ce qui est arrivé entre nous. Cependant j'ai lu dans votre regard depuis votre arrivée ici, que je ne vous laissais pas indifférent.
- Oui oui mais coucher avec une dame qui pourrait être grand-mère quand même c'est contraire à la nature.
- Oh arrêtez de me sortir vos principes à deux euro, vous en aviez envie alors nous l'avons fait un point c'est tout, lâcha Bettina un peu excédée.
Son gendre ne dit rien. Tous les deux quittèrent la plage pour remonter vers la maison familiale.
A pas de velours Balou regagna leur chambre où Angela devait dormir.  Il prit une douche et se glissa délicatement dans les draps.
Une main toucha son épaule, il sursauta.
- ça va mon chéri ?
Angela ne dormait pas.
- Oui je suis fatigué, dit-il.
- C'est marrant de prendre une douche si tard, constata son amie.
Balou réfléchi à ce qu'il devait répondre.
- J'ai pris un bain de minuit pour rafraîchir mes esprits car je pense que j'ai abusé du vin blanc.
- Ah ? Et ma mère t'accompagnait ?
Un ange passa....
- Euh oui mais il faisait sombre, elle ne m'a pas vu nu. En fait elle a détourné son regard lorsque je me suis déshabillé, dit-il d'une petite voix mal assurée.
- Tiens donc ça m'étonne, maman n'est pas si prude que ça. Enfin on en reparlera au petit déjeuner. Bonne nuit mon chéri.
- Bonne nuit ma belle.
Balou passa une mauvaise nuit. Il devait absolument parler à Bettina demain matin avant qu'Angela ne pose trop de questions à sa mère.

Allongée dans son lit, Bettina souriait toute seule. Quelle superbe soirée elle avait passé. Elle se remémora l'épisode sur la plage avec son gendre. Quel bel homme, se dit-elle en s'endormant en chien de fusil une main entre ses cuisses.

Un petit rai de lumière filtrait à travers les volets. Il glissait sur le plancher, remontait vers le lit puis vers le visage de Balou.
Balou se réveilla, il avait somnolé quelques heures sans vraiment sombrer dans le sommeil. La bouche pâteuse, il se leva et se traîna vers la salle de bain. Le miroir au-dessus du lavabo lui renvoya l'image d'un trentenaire aux yeux globuleux, les cheveux hirsutes, la mine déconfite et pâle.
Il était 6h30, heure matinale qui lui convenait. Il se dépêcha de vaquer à sa toilette pour pouvoir discuter avec Bettina seuls à seuls.

La maison était silencieuse. Balou rejoignit la cuisine et se fit un double express bien serré sans sucre. Il gagna la terrasse et s'assis dans un fauteuil en allumant une cigarette. La caféine lui fouetta le sang, la nicotine elle, lui apaisa les pensées.

- Bonjour mon cher.

Il se retourna et vit Bettina en peignoir, son chignon défait, ses blonds cheveux tombaient en cascade sur ses épaules. Elle portait des mules horribles surmontées d'une coccinelle, kitsch à souhait. aux yeux de Balou cette dame perdait toute sa grâce ainsi fagotée. Mais il se dit qu'au saut du lit personne ne pouvait faire mieux.

- Bonjour Bettina, bien dormi ?
- Oui très bien, j'ai passé une nuit de rêves.
Balou se racla la gorge, tira une bouffée sur sa cigarette et se lança en disant :
- Ecoutez Bettina, l'épisode de la nuit dernière doit rester entre nous. Angela ne dormait pas hier soir lorsque je me suis couché. Je lui ai dit que j'ai pris un bain de minuit, en ajoutant que vous ne m'aviez pas vu nu car vous aviez détourné votre regard. Il faut absolument que vous lui confirmiez cette version des faits si Angela vous questionne.
- Mais mon petit Balou vous semblez apeuré ? Ne soyez pas inquiet, votre belle-mère préférée saura gérer la situation sans porter préjudice à votre couple. Cependant mon cher, ma fille a du être surprise par vos propos car je suis naturiste et je ne détourne pas les yeux devant la nudité.

Un age passa...........Balou se maudit d'avoir lâché cette phrase.

- Allez Balou je lui dirai en rigolant que je n'ai rien vu puisqu'il faisait nuit noire. Bon allons préparer le petit déjeuner voulez-vous je meurs de faim. Lança Bettina et lui prenant le bras.

Devant la table de la cuisine qui avait vu les ébats d'Angela et de Balou, Bettina s'affairait à préparer le café et une salade de fruits. Balou la regardait faire. Il accentua son regard sur cette femme sorcière qui lui avait procuré un plaisir jamais éprouvé avec aucune autre.
Bettina ressemblait à ces vieilles dames qu'on remarquait sur la Cote d'Azur, une rombière bourrée de fric.  Elle savait qu'il l'observait, elle se doutait de ce qu'il pensait.
- Vous pensez que je suis une sorcière, vieille et défraîchie, n'est-ce pas Balou ?
Son gendre rougit d'être ainsi découvert.
- Bettina, vous êtes une femme exquise, une mère admirable, mais je m'interroge sur les pulsions qui m'ont jeté dans vos bras, c'est tout.
- Et vous regrettez ?
- Oui... Enfin je ne sais plus où j'en suis voila.
- Ecoutez-moi Balou, vous êtes un garçon charmant dont ma fille est amoureuse. J'ai succombé à votre charme comme vous avez succombé au mien, et je vous mentirais si je vous disais que là maintenant j'ai envie de tout stopper. Vous me traitez de sorcière ok je veux bien, mais vous aussi vous êtes un homme envoûtant, et une femme telle que moi ne peut que défaillir à votre contact.
Balou ne sus que répondre, il restait là les bras ballant devant Bettina.

Elle s'essuya les mains, se rapprocha de son gendre.
Ils étaient face à face. Balou était tétanisé, il ne pouvait plus bouger, ou ne voulait pas réagir, il ne savait plus. Son coeur battait la chamade. Il craignait sa belle mère mais une petite voix lui soufflait que cette dernière voulait encore abuser de lui. Cette pensée aussi furtive fut-elle lui provoqua instantanément une érection douloureuse qu'il ne pu masquer à la vue de Bettina.
Cette dernière ne pipa mot. Elle s'agenouilla devant son gendre.
Balou voyait les doigts de sa belle mère déboutonner un à un les boutons de son pantalon. Elle laissa celui-ci tomber aux pieds de son gendre. Ses deux mains baissèrent le caleçon.

Le souffle chaud de Bettina s'abattit sur le bas ventre de Balou. Elle pris ses blonds cheveux longs et entrepris de caresser ainsi la verge dressée devant elle, en veillant à ne pas la toucher avec ses doigts. Ce contact soyeux provoqua un gémissement de Balou.
- OOOOhhhhh Bettina que c'est bon......furent ses seules paroles.
Sa diabolique belle-mère agenouillée à ses pieds le regardait par en-dessous, elle se léchait les lèvres, prête à offrir à son gendre chéri une fellation digne d'une Sicilienne de 55 ans.
- Qu'elle est belle Balou cette hampe dressée pour moi, c'est votre désir qui s'exprime, votre envie de goûter à ma bouche, n'est-ce pas ?
Balou sombra à nouveau dans cette folie de luxure qui l'avait animé la nuit dernière.
- Bettinaaaaaaa oui sucez-moi s'il vous plaît, buvez ma semence chaude, je n'en peux plus allez-y.

Il n'en fallait pas davantage à sa belle-maman pour débuter sa caresse. Elle admira d'abord la finesse du gland violacé. Le fait que Balou soit circoncis donnait encore plus de beauté et de cachet à ce membre. Ensuite son regard se posa sur le tronc gros et long où la fine peau laissait transparaître des veines bleues tendues à l'extrême. Plus bas les lourdes bourses se balançaient devant ses yeux.
Bettina était excitée comme une pucelle, elle sentait la moiteur envahir son ventre, le feu grégeois se rallumait. Elle soupira en engloutissant le gland de Balou.
Son gendre se vit disparaître dans la bouche aux commissures de lèvres ridées. La bouche était chaude et accueillante. Il sentait la langue jouer avec lui. Il s'agrippa à la table de la cuisine pour ne pas tomber à terre car la blonde chevelure avait commencé à aller et venir.
Bettina l'engloutissait au fond de sa gorge. Il se demandait comment elle faisait pour de pas hoqueter. Ses poils pubiens chatouillaient les narines de sa belle mère, il ferma les yeux et disparu dans une autre dimension.

La cuisine était toujours silencieuse, Angela devait dormir profondément. Seuls des râles et des bruits de succion remplissaient l'atmosphère.
Le soleil continuait à se lever. On entendait au loin le bruit des vagues s'écraser sur la plage, et dans une maison sicilienne une belle mère était en train de pomper allègrement son gendre agenouillée en peignoir aux pieds de celui-ci.

Soudain un cri.
Un long gémissement presque inhumain comme on devait en entendre en enfer.
Puis plus rien pendant de longs instants.

à suivre
Jeudi 11 août 4 11 /08 /Août 00:00
Angela aida sa mère à préparer le repas fait de salades et de poissons grillés. Par cette chaleur ils n'avaient pas très envie de manger chaud mais les grillades de la faune marine leur semblaient bien appropriées.
Le dîner se déroula comme prévu en terrasse. Bettina était aux petits soins avec Balou. Il se sentait  gêné par tant de prévenance car elle refusait obstinément qu'il l'aide pour le service. Le vin blanc était magnifique, il coulait à flot. Bettina servit plusieurs pichets.
Rires et discutions animées rythmaient le repas. Balou était vraiment heureux d'être là avec Angela. Bettina raconta un peu sa vie. Elle  lâcha de savoureuses anecdotes concernant son mari, alors Angela la regardait éberluée mais aussitôt elles pouffaient de rire toutes les deux.
Il n'y avait qu'eux trois dans cette grande maison du bord de mer. Pour accéder à la plage il fallait suivre un petit sentier qui traversait une plantation d'oliviers. La maison en elle-même se trouvait à quelques centaines de mètres de la Méditerranée, à l'ombre des pins.
- Alors mes enfants, que faites vous demain? demanda Bettina.
- Rien pour le moment maman. Mais je pense que je vais aller au marché avec Balou pour lui montrer ce qu'est le marché en Sicile. Répondis Angela.
Balou approuva en se reversant une bonne rasade de ce vin blanc très frais. Bettina le taquina gentiment sur les effets soit disant aphrodisiaques de ce cru et Balou naturellement lui en resservit également une généreuse rasade.
Angela se leva et annonça qu'elle était fatiguée, elle allait se coucher.
Elle s'approcha de son amant resté assis et lui déposa un chaste baiser sur la joue en disant :
- Prends soin de maman mon chou, mais ne buvez pas trop tous les deux.
- Ne t'inquiète pas mon ange, je veille sur ton chéri. Répondit Bettina en rigolant.
Angela les laissa tous les deux.
La soirée était bien avancée. La chaleur avait fait place à une délicieuse fraîcheur, la nuit était tombée. Seuls les appliques murales éclairaient la terrasse, le feu des grillades s'était consumé.
Bettina et Balou devisèrent encore de longs instants. Bettina gloussa lorsque Balou la complimenta pour ce très bon repas.
- Vous êtes ici chez vous mon cher, je suis heureuse que ma fille aie enfin rencontré un homme, un vrai ! Dit-elle en plongeant son regard dans celui de son gendre.
Balou ne cilla pas. Ce lien visuel les unit de longues secondes. Aucun des deux ne prononça un mot. Une sorte de délicieuse plénitude s'insinuait lentement en eux. Balou fut le premier à détourner les yeux, mais il laissa son regard glisser sur le cou de Bettina, sur sa généreuse poitrine d'où il voyait poindre les bouts durcis des seins, vers sa bouche pulpeuse.
Bettina était assise face à lui. Elle se leva et vint s'asseoir à sa droite sur la chaise laissée vacante par sa fille. Son parfum embaumait l'atmosphère. Balou voyait mieux maintenant le visage de Bettina. Femme quinquagénaire mais bien conservée. De petites rides marquaient légèrement la peau de sa belle-mère, la peau de son cou commençait également à flétrir mais sa blonde chevelure montée en chignon la rendait pleine de charme. Ses mains aux ongles rouge sang caressèrent distraitement la nappe en coton.
- Je préfère être assise proche de vous, c'est plus facile pour communiquer. Vous ne trouvez pas ?
- Bien sûr Bettina, et maintenant nous nous connaissons un peu mieux. Répondit Balou.
Il se savait plus quoi penser. Sa belle-mère lui faisait des avances c'était évident.
- Vous savez Balou, tout à l'heure dans la cuisine je vous ai vu avec ma fille. Dieu que vous étiez beaux tous les deux ainsi soudés l'un à l'autre. J'ai admiré vos coups de rein et avec ravissement je vous ai écouté jouir en hurlant. Angela vous aime je le sais maintenant.
Malgré la pénombre Balou sentit le rouge lui monter aux joues.
- Mais, mais...............Furent ces seules paroles.
- Ne soyez pas gêné mon cher, vous avez un charme fou,  dit Bettina en posant une main sur le haut de sa cuisse.
Balou sentait la situation dévier dangereusement voir un abîme inconnu, mais son esprit lui soufflait que cette femme quinquagénaire allait l'emmener vers une extase qu'il ne soupçonnait pas.
La main aventureuse de sa belle-mère remonta vers son entre jambe. Balou était déjà en érection depuis un bon moment. Les doigts de Bettina le caressèrent à travers le tissus du pantalon. Il sentait son parfum l'envoûter. Elle le regardait bien droit dans les yeux. Leur bouches se rapprochèrent irrésistiblement, leurs souffles se mélangèrent. Enfin leurs lèvres rentrèrent en contact.
Balou fut agréablement surpris par la douceur de cette bouche. Bettina se leva pour s'installer sur les jambes de son gendre, ses cuisses pendantes de chaque coté. Balou la pris dans ses bras, il se donnèrent un passionné baiser.
La bouche de Bettina dévora carrément celle de Balou. Il laissa ses mains partir à la découverte de ce corps de femme mûre. Ses cuisses chaudes, ses petits bourrelets aux hanches, la douceur de sa peau, excitèrent encore davantage Balou.
Soudain Bettina se redressa et déposant un doigt sur la bouche de son gendre, lui intimant de ne prononcer aucune parole. Elle lui pris la main et le guida dans l'obscurité à travers la plantation d'oliviers. Ils aboutirent sur la plage.
- Bettina je suis confus, réussit à articuler Balou
- Ne dites rien, vous en avez aussi envie que moi
- Mais....
- Il n'y a pas de mais. Venez j'ai envie de vous, j'ai hâte de sentir votre queue en moi.
Il faisait nuit noire. Seul le clapotis des vagues chantait à leurs oreilles.
- Là nous serons bien mon Balou, chuchota Bettina. Elle l'entraîna entre deux barques de pécheurs et se colla à lui comme une pieuvre.
Ils ne faisaient plus qu'un. Ils ne se voyaient presque pas, seul un fin rayon de lune éclairait leurs ébats.
Bettina avait relevé sa robe et ôté sa culotte en se positionnant à quatre pattes face à son gendre en lui présentant son fessier, elle écartait sa fente luisante et mielleuse à deux mains.
- Prenez-moi s'il vous plaît Ô mon gendre, j'attends depuis si longtemps qu'un homme de votre trempe me pilonne, lâcha Bettina.
Balou était au bord d'un précipice, il sentait que s'il s'y laissait tomber, les abîmes de luxure et de débauche allaient l'entraîner vers un espace qu'il ne connaissait pas. Posséder la mère et la fille, quel délice mais aussi quel risque !! Son cerveau, son corps, sa verge tendue et prisonnière de son pantalon, lui hurlaient de se laisser aller et de goûter à la saveur d'une dame qui pourrait être grand-mère. Cette pensée lui ôta toutes inhibition. Il se débraguetta, enleva son slip et s'agenouilla devant la croupe de sa belle -mère.
Le gland frotta contre la cuisse de Bettina. Elle gloussa de plaisir à ce contact. Balou prit sa hampe érigée en main et d'un coup pénétra sans ménagement en Bettina en caressant ces fesses
Il s'accrocha à ses hanches et débuta par de grands vas et viens son pistonnage. Il entrait et sortait d'elle avant de s'y enfoncer profondément. Ce ventre chaud et mielleux, le fait de posséder sa belle-mère ainsi,  lui arracha un orgasme monstrueux qu'il ne voulu pas retarder. Il grogna et éjacula longuement en elle. De son coté Bettina jouit en silence telle une femme habituée à ne pas faire état de son plaisir.
La vigueur de Balou n'avait pas faibli. Il continua à labourer sa belle -mère qui n'en demandait pas temps.
Le sable fin commençait à les recouvrir, il s'infiltrait partout, mais les deux amants n'en avait cure. Ils copulaient comme deux êtres assoiffés de jouissance.
Des vagues entières de plaisirs submergèrent Bettina, son ventre était devenu un feu grégeois qu'il fallait éteindre. Balou jouis à son tour à nouveau en déversant sa lave à deux reprises. Jamais aucune autre femme ne l'avait excitée à ce point, jouir trois fois de suite ainsi était grandiose.
- Encore mon balounet , encore j'en veux encore, haleta Bettina.
- Belle maman je ne peux plus, réussit à dire Balou avant de se retirer d'elle et de s'écrouler sur le sable.
Bettina resta accroupie à quatre pattes avant de constater que son gendre s'était entièrement déshabillé pour piquer une tête.

à suivre.....
 
Lundi 8 août 1 08 /08 /Août 00:00
Angela dormait, allongée sur le ventre. Ses épaules nues  dépassaient de sous les draps ainsi que ses cuisses fuselées. Sa crinière brune reposait délicatement sur l'oreiller.
Le contraste entre la blanche couleur des draps et sa peau caramel est déjà un délice pour les yeux. Elle dort la naïade brune. Les rideaux de flanelles voltigeaient, la fenêtre était ouverte, une légère brise marine soufflait, les mouettes criaient au loin, le ressac des vagues devenait une douce mélodie.
Balou avait la tête vide, il ne savait que penser depuis qu'Angela était rentrée dans sa vie telle une météorite. Le premier épisode avec son roux compagnon datait maintenant depuis belle lunette puisque Angela et lui s'étaient séparés. Balou était devenu en quelques sortes l'amant officiel de la Monica Belluci locale de ce petit village sicilien.

L'accueil dans la famille d'Angela s'était déroulé à merveille, et Balou avait vite prit de l'assurance au sein de cet l'environnement familial très matriarcal. Fêtes, déjeuner et dîners se succédaient, cependant la présence quelque peu envahissante de la mère et des amis d'Angela commençait à lui peser.

En cet instant présent il savourait la quiétude du lieu. Leur chambre lui semblait un havre de paix, il regardait son amie dormir. Elle se  reposait après leur débauche de plaisir et de luxure.
Mais Balou était pensif. Il alla sur la balcon et alluma une cigarette. La nicotine lui fit refonctionner ses neurones. Il regardait au loin l'horizon bleu azur en pensant à Angela. Son âme lui soufflait qu'il était en train de tomber amoureux comme jamais il ne l'avait été. Ce sentiment l'effrayait et l'émoustillait tout à la fois.
Il se rappelait leur rencontre un samedi matin au supermarché, ensuite la nuit d'ivresse avec l'ex petit ami d'Angela où à trois ils avaient fait l'amour à maintes reprises. Entre temps de l'eau avait coulé sous les ponts, Angela et Balou se sont trouvés pour vivre à deux des moments d'amours d'une extrême pureté.
Accoudé à la balustrade en fer forgé du balcon, Balou se remémorait tout cela. Il regarda la fumée bleue s'envoler vers le ciel en se disant qu'Angela était vraiment une femme fabuleuse qu'il aimait par dessus tout.
Cette nuit ainsi que ce matin lorsqu'ils avaient fait l'amour Angela lui avait susurré des "je t'aime" à profusion. Ce mots, il le savait maintenant n'était pas dénués  de sens, mais sur le moment il n'y avait pas prêté attention.
Il tira une dernière bouffée de sa cigarette et retourna dans la chambre.
Angela était réveillée;
- Tu as les yeux larmoyants mon chéri, qu'y a-t-il ?
Balou la regarda interloqué, il ne s'était pas rendu compte que sa réflexion intérieure l'avait secoué autant.
- Ah ? Oh ben ce doit être à cause du vent.
Angela le regarda à nouveau intensément, elle plongea les yeux dans ceux de Balou et lui dit :
- Je t'aime tel que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Je serai toujours présente à tes cotés, j'ai envie de construire avec toi une pyramide d'amour pour l'éternité.
Balou se rapprocha d'elle, il s'assit sur la couche, lui pris les deux mains qu'il baisa en lui disant :
- Je t'aime aussi Angela, et ce que tu m'apportes aujourd'hui je ne l'ai jamais connu.
Elle lui caressa les joues, ses doigts fins couraient sur le pourtour de ses lèvres. Balou ouvrit sa bouche et lécha ses doigts. Angela se releva légèrement et se pelotonna contre le torse velu de son amant. Balou l'entoura de ses bras puissants. Ils restèrent ainsi que longs instants à savourer ce moment magique.

L'après midi touchait à sa fin, la soirée pointait le bout de son nez. Balou sentait sous ses pieds la chaleur des pierres chauffées par le soleil sicilien. Il était assis à l'ombre entrain de siroter un verre de vin blanc bien frais. Il sentait à chaque gorgée le liquide revigorer son corps et surtout son esprit, la fraîcheur du breuvage hydrata également sa gorge nouée. Angela et lui avaient énormément discuté toute à l'heure. De leurs sentiments réciproques, de leurs envies, de leur situation à tous les deux, tels étaient les sujets abordés.
Se livrer de cette manière à une femme fut pour Balou un moment pénible, mais aussi très passionné. Il s'était complètement  mis à nu devant Angela. Balou savait que son amie était éperdument amoureuse de lui, cela ne faisait qu'accroître ses sentiments envers elle. Ils avaient prévus de vivre ensemble dès leur retour en France, l'appartement d'Angela étant plus grand, Balou allait emménager chez elle.
Il sentit une main sur son épaule, Angela venait de le rejoindre. Qu'elle belle femme se dit-il en l'admirant.
Angela portait une robe vert olive en flanelle qui moulait admirablement bien ses seins et son fessier. De fines bretelles maintenaient la robe plaquée à son corps. Ses épaules nues attiraient les baisers. Sa brune chevelure bouclée, ses yeux en amandes, son petit nez, sa pulpeuse bouche, sa peau couleur caramel, rendaient Angela plus désirable que jamais.
Elle s'assit en face de lui en se servit également un verre de vin. Ils se souriaient tous les deux, heureux d'être ensemble à savourer l'exquis début de soirée.
- Tu as l'air bien pensif mon chéri
- Hummmm je t'admire, tu es belle, tu es ma Muse que j'aime
Sur ce, Angela s'assit, cuisses écartées sur les jambes de Balou.  Leurs lèvres se rapprochèrent tout doucement avant que leurs bouches ne se soudent, que leurs langues dansent une sarabande profondément buccale. Ce baiser passionné les émoustilla tous les deux, Angela se laisser couler aux pieds de Balou. Agenouillée devant lui, elle lui écarta les cuisses. Elle déboutonna son  pantalon, ses fines mains prirent entre ses doigts la hampe déjà dressée de désir.
Lentement elle masturba Balou. Celui-ci sentait le souffle chaud de son amie contre la peau de ses cuisses et de son ventre. Angela fit passer la verge entre ses soyeux cheveux et continua ainsi à la branler. Le contact de cette chevelure brune électrisa Balou, il gémit sur son siège. Il se voyait aller et venir dans cette délicieuse toison.
Ensuite Angela pris la hampe dans sa bouche, sa langue s'enroula autour du tronc, ses lèvres débutèrent une succion qui faillit faire exploser Balou, mais son amante remarqua les soubresauts annonciateurs, elle arrêta nette sa caresse et lâcha la hampe.
Il regarda sa verge gonflée et humide, son amante se redressa et lui souffla dans l'oreille :
- Viens me prendre sur la table de la cuisine avant que ma mère ne vienne préparer le dîner
 Angela se retrouva allongée sur ladite table en chêne massif, robe relevée, cuisses écartées. Les fesses à l'extrémité du meuble, elle accueillit son ami en elle. La position était certes un tantinet inconfortable pour les deux amants mais l'excitation de savoir que belle-maman pouvait arriver d'un instant à l'autre décupla les ardeurs de chacun.
Entre les casseroles, le fourneau, la salade dans l'évier, des râles et des gémissements se faisaient entendre. Balou et Angela se livraient à la préparation d'un plat hautement jouissif pour le plaisir non pas des papilles mais des sens. Ils ahanèrent ainsi pendant dix bonnes minutes car Angela taquinait son ami pour qu'il n'éjacule pas de suite mais elle susurra :
- J'aimerais que ta belle-maman voie son gendre aimer sa fille.
L'esprit de Balou enregistra cette information, son cerveau développa cette image de sa belle mère dans l'encadrement de la porte en train de les reluquer. Il cria le premier ne pouvant plus se retenir en pensant que la mère d'Angela les regardait.
Angela elle, vint juste après pour jouir par vagues successives. Elle se cambra, ses doigts raclèrent la table, son ventre était devenu une fournaise, elle hurla de sa voix rauque sans aucune retenue comme pour prouver à sa mère tout l'amour qu'elle ressentait pour Balou.
Ils restèrent plusieurs instants ainsi, lui sur elle. Mais la tension avait baissé d'un cran. Ils se rendirent compte de leur inconfortable position et retrouvèrent vite leurs esprits aux premières douleurs de courbatures.
Angela rajusta rapidement et remonta quatre à quatre les marches de l'escalier pour se refaire une beauté aux toilettes, la semence de son amant dégoulinait entre ses cuisses. Balou lui réussit à remballer sa verge gluante juste à temps car la sa belle-mère arrivait à la maison.
Il jeta un regard angoissé sur la table de la cuisine, remarqua des traces suspectes et des poils pubiens. La dame était là derrière lui, il sentait la sueur perler à son front.
L'évier là.  Balou s'empara en un éclair de l'éponge et entrepris de nettoyer méticuleusement la table.
- Mais ne vous donnez pas la peine Balou d'astiquer ainsi le mobilier, nous dînerons en terrasse mon cher.
Balou se retourna et lui sourit, il était soulagé.
Il se rappela que 5 minutes avant il avait joui en pensant à cette femme quinquagénaire alors qu'il chevauchait sa fille. Cela lui sembla surréaliste. Cependant il laissa son regard déshabiller sa belle-mère. Elle était blonde, cheveux remontés en chignon, bronzée, yeux bleus, taille fine malgré son age, bouche aussi pulpeuse que celle de sa fille, seins hauts placés et généreux, bien conservée. Elle portait une robe du même genre qu’Angela mais de couleur bleue qui rehaussait la blondeur de ses cheveux et de son bronzage. C'était une femme encore très séduisante, veuve depuis 5 ans. Balou lui donnait approximativement 55 à 60 ans.
- Vous allez bien Balou ? Vous me regardez sans me voir on dirait, ça va ?
- Euh oui Madame j'étais sur la lune
- Allons allons arrêtez de m'appeler Madame ça me gène, appelez-moi Bettina dit-elle en rigolant à gorge déployée et en lui jetant un regard très appuyé.
C'est ainsi que notre Balou national avait conquis sa belle maman
- Dites moi mon Balou, en arrivant j'ai entendu des hurlements. Vous vous disputiez avec ma fille ?
Un grand blanc. Balou ne sus que répondre.
L'arrivée d'Angela lui sauva la mise.
- Maman j'ai une faim de louve !!

À suivre
Jeudi 4 août 4 04 /08 /Août 00:00
J'ai connu Angela un jour en faisant mes courses au supermarché local. Jeune femme brune, peau mate, taille de guêpe, cuisses fines et musclées, bouche très pulpeuse, cheveux mi-longs. Angèla est une ancienne gymnaste de haut niveau reconvertie en visiteuse médicale.
Samedi matin c'est la cohue dans ce magasin. Je pousse mon caddie péniblement entre les gens. Bon sang tant de retraités ici alors qu'ils ont toute la semaine pour faire leur course, ça m'énerve !

Je circule de rayon en rayon avec ma liste de produits à acheter. En tant que célibataire je prends un soin méticuleux à noter ce qu'il me faut pour survivre seul dans mon appartement. Généralement je m'attarde au rayon surgelé et conserves. C'est paradoxal mais j'aime cuisiner, cependant le soir faire la popote tout seul pour soi ce n'est pas excitant. Alors j'achète des plats cuisinés.

Soudain au détour d'une gondole mon caddie heurta un autre de ces engins à roulettes. Je m'excusai devant le manteau émeraude se trouvant à proximité, j'avais toujours le nez dans ma liste de courses.
- Je vous en prie Monsieur dit une voix rauque
Je levais la tête pour répondre au manteau émeraude, et je découvris Angela dans toute sa splendeur. Nous échangeâmes un sourire de courtoisie.
Nous continuâmes notre chemin et je pensais à cette jeune femme que je croisais et recroisais dans les rayons. A chaque passage elle me souriait, j'admirais le dessin de sa bouche pulpeuse, les formes de son visage, et sa chevelure brune.

J'arrivais en caisse et déposais mes provisions sur le tapis roulant. En me relevant je me retrouvais nez à nez avec la belle inconnue.

- Ah bin dites donc on ne se quitte plus dis-je
- Vous avez raison Monsieur, comme c'est drôle

Je remarquais les doigts admirablement fins aux ongles rouges vifs et bien dessinés de ma belle inconnue. Nous devisâmes de choses et d'autres jusqu'au moment où il me fallut payer mes achats. Ensuite un peu à regret je laissais mon joli manteau émeraude tout seul.

J'arrivais à ma voiture et rangeais mes victuailles dans le coffre.

Une voix rauque derrière moi :

- Excusez moi Monsieur mais ....
Je me retournais et découvris Angela face à moi

- J'ai un pneu à plat, pourriez-vous me monter la roue de secours ?
- Oui bien sûr Madame, où êtes-vous garée ?

Etait-ce mon jour de chance ?


Je me retrouvais agenouillé devant la voiture de l'inconnue au manteau émeraude et démontais l'ancienne roue pour remonter la nouvelle.  Au bout d'une bonne demi-heure je réussi à dépanner la Belle Dame. Mes mains étaient crasseuses de cette espèce de cambouis qui entoure les crics et les manivelles. Je décidais d'aller aux toilettes pour me décrasser.

Angela me donna rendez-vous à la cafétéria pour prendre un café ensemble et me remercier pour mon geste. Je me dépêchais et d'un pas alerte me dirigeais vers les WC, je me sentais de très bonne humeur.
J'arrivais à la cafete en cherchant désespérément des yeux mon adorable manteau émeraude. Je scrutais chaque table en vain. Il avait disparu. Une pointe de tristesse traversa mon esprit, mais je me dis après tout que l'occasion n'a pas fait le larron.

- Coucou je suis là !

Je me retournais et vis Angela qui me souriait en me jetant un regard moqueur.
- Quelle heureuse surprise, j'ai cru vous avoir perdu

Elle se mis à rire et me dit :

- Comment aurais-je pu m'éclipser c'est vous qui avez gardé les clés de ma voiture

Effectivement j'avais conservé les fameuses clés dans la poche de mon jean, je m'empressais de les lui remettre. Angela me remercia à maintes reprises et me proposa de prendre un verre dans un bar. Je lui fit remarquer que si nous avons acheté des produits périssables il faudrait certainement remettre cette invitation à plus tard. Elle acquiesça et me tendit sa carte de visite professionnelle en me demandant de la rappeler si je souhaitais accepter son invitation.
Je remarquais qu'elle était visiteuse médicale. Nous devisâmes encore quelques minutes sur nos jobs respectifs et je promis de l'appeler dans la journée. Angela semblait ravie et m'encouragea à ne surtout pas l'oublier.
Nous nous quittâmes ainsi.

J'arrivais  dans mon appartement de célibataire et rangeais mes provisions. La matinée était déjà bien engagée, et je ne cessais de penser à cette jeune femme brune à qui j'avais rendu service.
Au milieu de l'après midi je me décidais de l'appeler sur son portable. Elle décrocha immédiatement. Nous convînmes de nous retrouver chez elle.
Mon esprit libertin vagabonda jusqu'au moment où la porte de son appartement s'ouvrit.
Quelle déception. Aucune Angela sur la pas de la porte. Un petit (enfin au regard de ma stature) jeune homme rouquin maculé de taches de rousseur m'accueillit. J'étais surpris et déçu à la fois.
- Bonjour dis-je je suis la personne qui a dépanné votre femme ce matin
- Ah oui entrez, nous ne sommes pas mariés mais c'est tout comme.
Angèla arriva enfin. Nous nous saluâmes et je m'assis sur la canapé, Angèla à mes cotés.
Tous les deux me remercièrent encore chaleureusement pour l'aide que j'avais apporté.  La conversation dévia ensuite vers la belle jeune femme brune. J'appris qu'elle était une ancienne gymnaste de haut niveau reconvertie en visiteuse médicale et d'origine sicilienne. Son compagnon lui était directeur informatique. Leur appartement respirait le fric, meublé avec goût certes, mais un peu trop surchargé de bibelots et de gadgets en tous genres

Le début de soirée pointait son nez. Le petit rouquin qui s'appelait Laurent me servit généreusement du bourbon, "boisson d'hommes" me dit-il.  A l'apéritif rien de tel pour se mettre en forme. Angela de son coté m'invita à dîner avec eux. J'appréciais ce geste et j'acceptais bien volontiers.

Nous passâmes le reste de la soirée à discuter de moi, de mon job, tout en savourant les petits plats italiens préparés par Angela.
A table je faillis m'étrangler lorsque je sentis un pied aventureux remonter le long de mon mollet. Laurent était assis en face de moi. Je ne comprenais plus rien. Il me souriait. Je mis cette vision et cet attouchement sur le compte de la quantité d'alcool que nous avions bu. Angela assise à coté de son compagnon fit mine de ne rien remarquer. Le pied téméraire continuait sa progression le long de mon mollet. Bientôt je sentis un second pied entourer mon mollet et ma cheville. Là j'étais certain qu'Angela imitait Laurent. Les deux pieds débutèrent un semblant de masturbation de ma jambe.
Je ne savais plus que penser. Je jetais des regards interrogatifs à mes hôtes.
Le jeu de pied cessa d'un coup.
- Tu sais Balou Laurent et moi nous aimons les plaisirs de la vie. Nous on ne se prend pas la tête, nous laissons parler nos envies de l'instant.
Je m'interrogeais sur les propos d'Angela mais compris vite ses allusions.
- Dans ce cas nous sommes sur la même longueur d'ondes. Dis-je.
Je voyais Laurent rougir, ses yeux bleus me dévoraient littéralement.  Angela se rapprocha de moi et me susurra de sa voix rauque dans le creux de l'oreille :
- Laurent te trouve craquant, mais comme tu as remarqué il est très timide.

Mon cerveau était en ébullition. Le parfum suave d'Angela m'enivrait, je la désirais. Et elle me parlait de son compagnon, j'étais sidéré. Je n'avais jamais eu de relations avec des garçons.
Je regardais Laurent. L'alcool aidant certainement, je laissais mon regard se poser sur sa bouche aux lèvres pleines et roses, ses cheveux roux taillés en brosse, ses mains fines aux ongles bien coupés, sa peau blanche maculée de taches de rousseur, son petit nez à la Peter Pan. Ce garçon était petit et mince, il portait un jean qui moulait ses fesses rondes de jeune éphèbe.

- Laurent suce divinement bien. Me dit une voix à mon oreille.

Malgré moi je sentais une érection poindre entre mes cuisses. Angela la remarqua. Elle me pris la main en me guidant vers sa chambre. Je me levais dans un état second et la suivis. Elle me poussa sur la couche, se vautra sur moi et me donna un baiser fougueux. Je sentais sa langue s'enfoncer dans ma bouche comme un viol buccal. Je lui répondis à l'identique. Cela entraîna un déchaînement de râles et de caresses. Nous nous retrouvâmes tous les deux nus. Angela me dit :
- Laisse-toi faire, tu verras c'est bon
J'étais couché, Angela entre mes cuisses me prodiguait une fellation que je savourais. Je voyais sa crinière brune aller et venir sur ma hampe, ses lèvres me pompaient allégrement, sa langue jouait avec les veines bleues et le gland. Je frétillais d'aise. Soudain je vis Laurent nu dans l'encadrement de la porte, sa  petite verge blanche tendue dans sa main il se masturbait en nous admirant. Cette vision déclenchât un gémissement de ma part.
Je fermais les yeux lorsque je vis Laurent prendre la place de sa compagne. Mon Dieu une bouche masculine me suçait, j'étais paralysé mais en ayant l'impression que ma verge avait subitement doublée de volume.

Cette bouche aux lèvres roses me donna un plaisir inimaginable. Je savais maintenant que les garçons pouvaient prodiguer des caresses beaucoup plus intenses que les femmes. Je me laissais faire et j'admirais la dextérité de Laurent. Sa timidité avait disparu. Il me lançait des regards pleins de tendresse en plongeant ses yeux bleus dans les miens avec mon sexe dans sa bouche. Ses mains fines caressaient mes cuisses velues, sa langue rose et chaude titillait mon gland violacé. Je n'en pouvais plus. Je me redressais sur mes coudes pour caresser la nuque de Laurent et ses petits cheveux roux en brosse. Je gémissais, j'écoutais les bruits de succion et la respiration saccadée de mon petit poil de carotte. Il sentit que j'allais exploser et stoppa net toute caresse.

Angela s'était caressée toute seule devant le tableau que nous formions son compagnon et moi. Elle me dit :
- Viens mon Balou prends moi en levrette pendant que je pompe Laurent.
Je m'agenouillais derrière elle, je caressais le galbe majestueux de ses fesses couleur caramel, je voyais son abricot d'amour s'ouvrir pour accueillir ma hampe gorgée de désir. Laurent se rapprocha de sa compagne et se coucha face à elle cuisses écartées. Angela pris sa verge en bouche et débuta sa fellation.
Moi je m'enfonçais en elle, j'agrippais ses hanches et mon pistonnage commença. Laurent et moi nous nous regardions dans les yeux pendant que lui se faisait aspirer goulûment par sa compagne, alors que je la prenais en levrette.

Exquises sensations, plaisirs des yeux et des sens. La chambre résonnait de nos râles, de nos respirations, et des bruits de succion. Je voyais le visage de Laurent se crisper sous la caresse buccale. Nous avions envie de jouir tous les trois ensemble je le sentais.
Un cri, et Laurent éjacula dans la bouche d'Angela qui hurla à son tour alors que des jets de semence atterrissaient sur ses joues et son menton. Je me lâchais également en jouissant dans le ventre de cette brune incendiaire. Un tourbillon orgasmique nous emporta loin très loin sur le continent du plaisir.

Lundi 1 août 1 01 /08 /Août 00:00

Il fait nuit, nous sommes seuls. Dans cette maison au milieu de la colline. Il fait surtout très chaud. Une chaleur humide.

Elle a sa chemise de nuit bleue foncée, sa petite culotte, pas de soutien-gorge, on s’allonge côte à côte, je caresse sa cuisse, j’entre sous les draps , elle se glisse sous mes draps, tirant ma couette à elle, j’éteins la lumière, il fait nuit, et silence. J’embrasse ses cheveux ; la peau de son cou, je commence à caresser son dos par dessus sa chemise de nuit, puis par dessous. Mes mains prennent, JE prend ses deux petits seins durs et doux dans les paumes de mes mains, je caresse, d’abord sans appuyer trop fort, puis du bout des doigts, elle dis, «  tu peux appuyer plus fort » je serre, un peu, puis encore plus fort, elle ne dit rien, je commence à pétrir ses seins, elle me murmure «  ça me fait rien » puis elle rigole, je colle mon ventre contre le bas de son dos, je suis encore à moitié mou, le sexe à l’abri entre ses fesses et mon nombril. Je la pelote, je pétri ses seins, je pince les tétons, pose toute la petite sphère dans la paume de ma main, je malaxe, je tâte , je durci.  Elle se tourne vers moi ; moi j’ai mon short de pyjama très ample et je suis torse nu, mon sexe se tend, je ne fais plus rien pour le dissimuler, on commence les bisous, du bout des lèvres, sur le nez, le menton, le cou ;

Je mord son épaule elle me dit «  non ça va laisser des traces ». Toujours aussi pudique. Je mord son cou, elle dit la même chose mais je continue quand même, plus doucement , je l’enjambe, une cuisse de chaque côté des siennes, dans le noir, le sexe dressé, je me revois détachant son élastique dans ses cheveux pour voir ses mèches blondes tomber sur mon oreiller, je me revois glissant mes doigts sous sa chemise de nuit bleue , je retrouve l’odeur de sa bouche, le goût de sa peau !

 On se tourne et elle me fait face, elle s’asseoir sur moi, pesant de tout son poids sur mes cuisses et mon ventre, Je repense à elle sous mes draps se serrant contre moi, je me souviens de l’excitation qui montait du fond de moi quand elle s’allongeait sur mon corps, nous allumons la lumière, elle est assise à califourchon sur mes cuisses, je me revois son visage yeux fermés s’approcher du mien et ses deux lèvres tendres et humides se poser sur les miennes, elle lèche mes lèvres et tente son baiser orgasmique ; ( celui qui fait mourir les Hommes) deux , trois fois de suite, à chaque fois ça me scie et je la laisse faire, perdant toute initiative ; j’enlève sa chemise de nuit, elle est nue, sauf sa culotte, je la fais glisser le long de ses cuisses, elle écarte les jambes, je ramène sa petite culotte contre nos visages, elle rigole.  Mon short qui fini sur le sol, dans la lumière on se regarde, ses cheveux pendent devant son visage, elle ne fait rien, elle me regarde, ses mains sur mon lit, me faisant face, à califourchon sur moi :

Je ne fais rien , mon sexe est plaqué contre mon nombril, dressé. je vois son pubis, mes mains sur ses reins, elle s’allonge contre ma poitrine, en douceur, mon sexe prend sa place entre son ventre et le mien, elle embrasse hargneusement, ses cheveux se collent entre nos lèvres , elle remet son élastique, je la laisse faire, puis l’enlève à nouveau, ses cheveux blonds tombent en paquet sur mon front, elle commence à onduler du bassin, mon sexe est prisonnier contre son nombril, je n’ai plus peur, plus honte qu’elle sache que je suis en érection ; elle râle pour l’élastique ; elle le remet encore, je la laisse faire, puis elle m’embrasse et j’enlève à nouveau son élastique, le gardant dans ma main, elle tente de ma le reprendre, on se bat, on se serre l’un contre l’autre , elle embrasse encore mieux comme ça, je pose l’élastique sur mon ventre , elle le reprend mais je lui saisi, on rigole , elle m’offre son  baiser du tonnerre, elle sait que j’aime ça, je lui en redemande, elle refuse, elle refuse aussi de m’embrasser ailleurs que sur la bouche, je demande le front ou les joues ou les yeux, elle dit non, elle m’énerve ! elle m’énerve gentiment ; je le lui dis , elle demande sur une petite voix «  pourquoi ? » puis elle repose encore et encore la question « pourquoi ? » elle me rend dingue, je lèche ses lèvres et , toujours à califourchon sur moi, m’entraîne sur le côté, on roule, face à face sur le côté, et elle m’embrasse sur les yeux, un bisou claquant, sec ; puis elle recommence, plus tendrement, sur les paupières! je jette l’élastique dans la chambre, elle se débat et je commence la descente, elle se laisse faire, elle se calme, cesse de s’agiter ; je suis sur elle, je suis humide de liquide séminal, je macule son ventre de mon liquide transparent. j’embrasse son cou, ses seins, arrêt dans la vallée, j’explore de la langue, je mordille les tétons, son ventre, tout doucement, avec la langue ; j’arrive au nombril, elle commence à frissonner, elle n’aime pas qu’on touche son nombril, ça lui chatouille  , je pose le bout de la langue dans son nombril, en faisant des petits ronds ; la encore une fois j’ai peur de l’inconnu, je pose mes lèvres sur les poils de son sexe, j’appréhende ce passage, je sens une odeur forte, âcre, intime, je glisse les doigts profondément, elle serre les cuisses, j’embrasse la face interne de ses cuisses, humides de son liquide intime et je fais des bisous sur son sexe , juste sur les poils. Je n’entre pas la langue cette fois! C’est tiède. Humide.

je reviens  à son visage sans passer par le corps, puis je remonte encore, je pose mon sexe sur son ventre, puis plus haut entre ses seins. Elle me fait le baiser orgasmique et j’éjacule sur son ventre, sans prévenir, quelques jets de sperme éclaboussent son ventre, coulent dans son nombril et quelques gouttes se posent sur les poils noirs de son sexe, je continue de la caresser entre les cuisses et au bout de quelques instants elle me fait arrêter ; elle aussi à eu du plaisir ;nous avons du dormir emmêlés.

On se réveille très tôt le dimanche matin.

On recommence les bisous, très vite je redeviens dur , elle sent bon,  elle à l’odeur du matin, tiède et humaine, elle a le souffle du matin, une haleine particulière, je respire son souffle, je me colle à elle, on repense à la veille au soir.

Après quelques préliminaires qui suffisent à nous tendre de désir, je m’agenouille sur elle. Elle enlève une capote de son emballage. Je me rappelle dérouler le cercle de plastique sur mon sexe, elle attend, elle ne bouge pas. Enfin mon sexe est enveloppé. Mélanie pose ses mains, c’est différent de sentir ses mains directement sur ma peau,  la je me penche et je l’embrasse, puis je m’approche de l’entrée de ses cuisses ; j’ai eu peur, elle aussi, je sens que ça passe, puis que ça rentre, j’ai peur d’être entré entre ses cuisses sans trouver son sexe, je ressors et j’entre différemment, et là surprise, la pénétration aveugle de l’instant précèdent, se transforme en scène de sexe. Ca résiste cette fois, je sais qu’elle n’est pas vierge, elle a eu des rapports avec un autre, mais c’est différent d’avant ou j’avais juste glissé entre le haut de ses cuisses ; là elle cesse d’embrasser, un peu hagarde ; je continue, je suis excité, j’ai sa salive sur mes lèvres : enfin elle cède dans un petit souffle, je me sens différent, un peu serré mais  l’aise, et là je commence à onduler, elle me caresse le dos, je suis sur elle, ses cheveux détachés, ses yeux marron ouverts, silencieuse, on se serre, elle se tourne, je dois suivre le mouvement comme je suis en elle ; elle embrasse bien. Différemment, encore plus près de moi, nos dents s’entrechoquent pendant la retournée  nos langues se cherchent. Là, elle est sur moi. Ses cheveux tombent sur mes joues, elle prend les ondulations en main, elle s’affaisse, se laisse tomber sur moi, m’écrase. Elle est le maître, je la sens serrer ses cuisses, je pose mes mains sur ses petites fesses, je glisse un doigt entre ses fesses, doucement, puis un peu plus, la moitié de l’index, ça entre facilement: en entier entre ses fesses, c’est humide mais ça ne glisse pas. Elle ne dit rien, m’embrasse avec des petits coups de langue, je suis très proche, elle serre ses cuisses encore plus fort, serre, desserre et j’éjacule lentement avec une force de plaisir énorme, j’explose dans le préservatif, l’emplissant de mon sperme. je continue à bouger le bassin et la elle gémit et m’offre un baiser humide, très tendrement, j’ai envie d’arrêter j’ai eu mon orgasme mais elle murmure «  continue » dans un soupir. Alors je continue à la pénétrer doucement, et enfin elle se rend, je la sens se tendre, m’offrir encore un baiser divin et se décontracter, elle se tait… Silence. Humidité.

 Elvea ( elveaparadise@yahoo.fr / lalunabay@voila.fr )

Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 00:00
Dans la ligné deLe désir et la soumission, voici un extrait de Soumise de Salomé. Un livre fort sur le plaisir puissant et fort d'une femme aimant se soumettre à son homme. Bonne lecture.

S,

Il faut bien le dire, j’adore te soumettre. J’adore lorsque je te vois marcher à quatre pattes, abandonnant toute dignité. J’adore te traiter en soumise et que tu sois mon jouet, l’instrument de mon plaisir sur qui je vais assouvir tous mes désirs, même les plus secrets. J’adore te voir, te savoir chienne rampante à mes pieds, humiliée mais consentante et aimante. Et encore plus, demandeuse. Lorsque tu passes à ton cou ce collier de cuir si hautement symbolique, que tu poses sur tes seins ces bijoux, ces simples gestes m’envoient des frissons jusque dans le sexe. J’adore regarder ta chatte si lisse pour moi. J’adore voir ton joli cul se trémousser devant mes yeux, trembler sous les coups de fouet, de cravache ou de martinet. J’adore le voir rougir, porter mes marques. J’adore aussi t’appeler par ce qui te qualifie le mieux c’est-à-dire une très jolie salope prête à tout pour son Maître. C’est vrai que tu es une très belle et bonne salope dans le sens digne du terme. Et c’est un compliment. Quelle fille peut se targuer de ne vivre que pour le plaisir de son homme, mieux qu’une salope ? Quel homme ne serait pas flatté par une telle attention ? Bien fou celui qui refuserait un tel sacrement ! J’aime te savoir putain pour moi, j’aime ton vice, tes vices. J’aime à savoir que tu aimes baiser, me baiser, te faire baiser. J’aime à savoir qu’il suffit que je te le demande pour que tu m’offres instantanément ta bouche, ton sexe, ton cul. Je sais que je peux, quand j’en ai envie, te prendre et te baiser de la façon dont j’en ai envie.

Baiser, parlons-en justement. Lorsque je sens ta chatte s’humidifier sous mes doigts, quand je la sens s’écarter sous mes caresses, lorsque je sens ses lèvres se gorger de sang dans l’attente du coup de queue qui va la ravir, tout cela me fait bander pour toi. Je ne vis plus que dans l’attente de l’instant où je vais te baiser, où je vais prendre tes seins au creux de mes mains et les caresser, parfois rudement, parfois amoureusement. Quand les pointes de ceux-ci se dressent un peu plus que de coutume sous mes paumes, quand ma queue vibre contre ton ventre, toute tendue de désir pour toi, quand elle s’insère entre tes cuisses qui s’écartent pour la laisser passer, lorsque mon gland, si friand de toi retrouve le satin de ton antre, alors, à ces instants, je suis heureux. J’aime particulièrement te fouiller de mes doigts à ce moment-là, pour mieux ressentir encore la cyprine que tu distilles afin que je puisse mieux te posséder encore. J’aime t’écarteler de mes doigts inquisiteurs, pour m’enfoncer plus sauvagement encore dans ton sexe gourmand. Et bien sûr je ne dédaigne pas parfois le pénétrer d’un gode puissant qui va ravager ton intérieur, te remplir à outrance, t’écarter plus que de raison jusqu’à te faire perdre la tête. J’adore te voir remplie de ces instruments qui te perforent, te fouillent l’entrejambe de façon démesurée. Dans ces instants tu es putain, catin, tu n’es plus qu’un sexe gourmand, grand ouvert, attendant le plaisir, et cela me plaît. J’aime voir tes cuisses ouvertes lorsque tu es offerte, ruisselante de désir. Oui je raffole de ton corps, oui j’adore le posséder, le sentir vibrer sous mes coups de boutoir, oui j’adore te remplir, j’adore te baiser, te lécher, te caresser. J’adore ton attente du plaisir, j’adore te savoir courtisane, chienne en chaleur dans l’attente du mâle qui viendra profiter de toi, prendre son plaisir en toi.

Mais ne crois pas que ce long préambule va me faire oublier le côté pile de ta ravissante personne. J’adore aussi les deux hémisphères qui le composent. J’adore ces fesses tant de fois caressées et si gourmandes. Et l’œillet qui se cache en leur milieu. Comme j’aime le forcer pour en redécouvrir à chaque fois le doux étau. Comme j’aime ce petit crispement qui fait tressaillir ton dos à chaque fois que je m’insinue un peu brutalement dans ton cul. Et je glisse lentement au fond de toi, dégustant en connaisseur chaque millimètre que je conquiers à la force du pénis. Lorsque mon vit conquérant se trouve blotti dans sa tanière préférée, je me cale au plus profond et la chaleur de ton cul envahit mes couilles débordantes de sève pour toi. Alors je commence un lent va-et-vient qui va m’amener au plaisir et me faire jouir en toi. Et à ce moment-là, si tu savais le sentiment de puissance que je ressens. Comme j’aime te regarder et regarder mon sexe s’enfoncer lentement au creux de tes reins, écarter cet étroit passage. Comme j’aime me retirer lentement pour ressentir tes muscles frémir, pour mieux m’enfoncer encore dans tes entrailles.

Parlons aussi de ta bouche si chaude, de tes lèvres si délicates, de ta langue si experte. T’ai-je jamais dit que tu étais une excellente suceuse ? Lorsque ta tête se penche sur moi, dans l’instant qui précède ce délicieux plaisir que tu vas me prodiguer, mon imagination vagabonde. Je m’imagine guerrier barbare et toi esclave que je soumettrais à mes désirs les plus fous. J’aime quand tu me suces, mon amour. J’aime lorsque le plaisir jaillit de ma bite entre tes lèvres et que tu te repais de ma liqueur. J’aime jaillir au fond de ta gorge, violer ton palais et te nourrir de mon foutre. J’aime les caresses gourmandes de ta langue agile, ces caresses de tes mains qui effleurent ma verge, tes cheveux qui frôlent mon ventre.
La jeune esclave sera punie avec un chat a neuf queues
En ce qui concerne ta soumission, dois-je te dire combien j’en raffole ? Dois-je te préciser encore combien j’ai de plaisir à abattre sur tes reins les lanières du martinet ou la mèche du fouet ? Et combien j’aime marquer ton ventre ou martyriser tes seins ? Ta douleur me transcende et transcende mon amour. Ta souffrance te rend plus belle encore à mes yeux et chaque nouvelle zébrure est une offrande à notre amour. Chaque fois que je marque ton corps c’est à la fois un plaisir et une souffrance pour moi. Plaisir de te voir subir ce que je t’inflige, souffrance de ta douleur. Mais que veux-tu, j’adore ça et je ne crois pas que je pourrais m’en passer maintenant. À la simple idée que tu passes ta tenue de soumise, mon esprit s’enflamme, mon corps se réveille, mon sexe frémit. Alors oui, j’aime te frapper, j’aime te marquer, j’aime ta souffrance. Mais sans doute parce que je sais que tu aimes ces brûlures sur ta peau, que tu te sens femme-femelle dans ces instants. Et que tu te sais adorée, sublimée, magnifiée par ton Maître. Alors sois encore ma femme-femelle, sois encore l’objet de mon désir, sois encore celle qui subit avec amour et gratitude mes punitions. Sois encore plus salope pour moi, encore plus vicieuse, encore plus chienne. Dépasse tes derniers interdits, donne-toi intégralement à moi, à ma folie. Va au-devant de mes désirs, taraude mon esprit de tes perversions les plus intimes, mets le feu à mes sens. Ne crains rien, je te suivrai, te précéderai. Sois ma salope divinement soumise, ma soumise délicieusement salope. Suce-moi, baise-moi, branle-moi, donne-moi encore ta bouche, ton cul, ton sexe. Aspire-moi encore au plus profond de toi, par l’entrée qui te plaira... ou qui me plaira. Encore, encore, ENCORE.

Mastermind.
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