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Lundi 1 août 1 01 /08 /Août 00:00

Il fait nuit, nous sommes seuls. Dans cette maison au milieu de la colline. Il fait surtout très chaud. Une chaleur humide.

Elle a sa chemise de nuit bleue foncée, sa petite culotte, pas de soutien-gorge, on s’allonge côte à côte, je caresse sa cuisse, j’entre sous les draps , elle se glisse sous mes draps, tirant ma couette à elle, j’éteins la lumière, il fait nuit, et silence. J’embrasse ses cheveux ; la peau de son cou, je commence à caresser son dos par dessus sa chemise de nuit, puis par dessous. Mes mains prennent, JE prend ses deux petits seins durs et doux dans les paumes de mes mains, je caresse, d’abord sans appuyer trop fort, puis du bout des doigts, elle dis, «  tu peux appuyer plus fort » je serre, un peu, puis encore plus fort, elle ne dit rien, je commence à pétrir ses seins, elle me murmure «  ça me fait rien » puis elle rigole, je colle mon ventre contre le bas de son dos, je suis encore à moitié mou, le sexe à l’abri entre ses fesses et mon nombril. Je la pelote, je pétri ses seins, je pince les tétons, pose toute la petite sphère dans la paume de ma main, je malaxe, je tâte , je durci.  Elle se tourne vers moi ; moi j’ai mon short de pyjama très ample et je suis torse nu, mon sexe se tend, je ne fais plus rien pour le dissimuler, on commence les bisous, du bout des lèvres, sur le nez, le menton, le cou ;

Je mord son épaule elle me dit «  non ça va laisser des traces ». Toujours aussi pudique. Je mord son cou, elle dit la même chose mais je continue quand même, plus doucement , je l’enjambe, une cuisse de chaque côté des siennes, dans le noir, le sexe dressé, je me revois détachant son élastique dans ses cheveux pour voir ses mèches blondes tomber sur mon oreiller, je me revois glissant mes doigts sous sa chemise de nuit bleue , je retrouve l’odeur de sa bouche, le goût de sa peau !

 On se tourne et elle me fait face, elle s’asseoir sur moi, pesant de tout son poids sur mes cuisses et mon ventre, Je repense à elle sous mes draps se serrant contre moi, je me souviens de l’excitation qui montait du fond de moi quand elle s’allongeait sur mon corps, nous allumons la lumière, elle est assise à califourchon sur mes cuisses, je me revois son visage yeux fermés s’approcher du mien et ses deux lèvres tendres et humides se poser sur les miennes, elle lèche mes lèvres et tente son baiser orgasmique ; ( celui qui fait mourir les Hommes) deux , trois fois de suite, à chaque fois ça me scie et je la laisse faire, perdant toute initiative ; j’enlève sa chemise de nuit, elle est nue, sauf sa culotte, je la fais glisser le long de ses cuisses, elle écarte les jambes, je ramène sa petite culotte contre nos visages, elle rigole.  Mon short qui fini sur le sol, dans la lumière on se regarde, ses cheveux pendent devant son visage, elle ne fait rien, elle me regarde, ses mains sur mon lit, me faisant face, à califourchon sur moi :

Je ne fais rien , mon sexe est plaqué contre mon nombril, dressé. je vois son pubis, mes mains sur ses reins, elle s’allonge contre ma poitrine, en douceur, mon sexe prend sa place entre son ventre et le mien, elle embrasse hargneusement, ses cheveux se collent entre nos lèvres , elle remet son élastique, je la laisse faire, puis l’enlève à nouveau, ses cheveux blonds tombent en paquet sur mon front, elle commence à onduler du bassin, mon sexe est prisonnier contre son nombril, je n’ai plus peur, plus honte qu’elle sache que je suis en érection ; elle râle pour l’élastique ; elle le remet encore, je la laisse faire, puis elle m’embrasse et j’enlève à nouveau son élastique, le gardant dans ma main, elle tente de ma le reprendre, on se bat, on se serre l’un contre l’autre , elle embrasse encore mieux comme ça, je pose l’élastique sur mon ventre , elle le reprend mais je lui saisi, on rigole , elle m’offre son  baiser du tonnerre, elle sait que j’aime ça, je lui en redemande, elle refuse, elle refuse aussi de m’embrasser ailleurs que sur la bouche, je demande le front ou les joues ou les yeux, elle dit non, elle m’énerve ! elle m’énerve gentiment ; je le lui dis , elle demande sur une petite voix «  pourquoi ? » puis elle repose encore et encore la question « pourquoi ? » elle me rend dingue, je lèche ses lèvres et , toujours à califourchon sur moi, m’entraîne sur le côté, on roule, face à face sur le côté, et elle m’embrasse sur les yeux, un bisou claquant, sec ; puis elle recommence, plus tendrement, sur les paupières! je jette l’élastique dans la chambre, elle se débat et je commence la descente, elle se laisse faire, elle se calme, cesse de s’agiter ; je suis sur elle, je suis humide de liquide séminal, je macule son ventre de mon liquide transparent. j’embrasse son cou, ses seins, arrêt dans la vallée, j’explore de la langue, je mordille les tétons, son ventre, tout doucement, avec la langue ; j’arrive au nombril, elle commence à frissonner, elle n’aime pas qu’on touche son nombril, ça lui chatouille  , je pose le bout de la langue dans son nombril, en faisant des petits ronds ; la encore une fois j’ai peur de l’inconnu, je pose mes lèvres sur les poils de son sexe, j’appréhende ce passage, je sens une odeur forte, âcre, intime, je glisse les doigts profondément, elle serre les cuisses, j’embrasse la face interne de ses cuisses, humides de son liquide intime et je fais des bisous sur son sexe , juste sur les poils. Je n’entre pas la langue cette fois! C’est tiède. Humide.

je reviens  à son visage sans passer par le corps, puis je remonte encore, je pose mon sexe sur son ventre, puis plus haut entre ses seins. Elle me fait le baiser orgasmique et j’éjacule sur son ventre, sans prévenir, quelques jets de sperme éclaboussent son ventre, coulent dans son nombril et quelques gouttes se posent sur les poils noirs de son sexe, je continue de la caresser entre les cuisses et au bout de quelques instants elle me fait arrêter ; elle aussi à eu du plaisir ;nous avons du dormir emmêlés.

On se réveille très tôt le dimanche matin.

On recommence les bisous, très vite je redeviens dur , elle sent bon,  elle à l’odeur du matin, tiède et humaine, elle a le souffle du matin, une haleine particulière, je respire son souffle, je me colle à elle, on repense à la veille au soir.

Après quelques préliminaires qui suffisent à nous tendre de désir, je m’agenouille sur elle. Elle enlève une capote de son emballage. Je me rappelle dérouler le cercle de plastique sur mon sexe, elle attend, elle ne bouge pas. Enfin mon sexe est enveloppé. Mélanie pose ses mains, c’est différent de sentir ses mains directement sur ma peau,  la je me penche et je l’embrasse, puis je m’approche de l’entrée de ses cuisses ; j’ai eu peur, elle aussi, je sens que ça passe, puis que ça rentre, j’ai peur d’être entré entre ses cuisses sans trouver son sexe, je ressors et j’entre différemment, et là surprise, la pénétration aveugle de l’instant précèdent, se transforme en scène de sexe. Ca résiste cette fois, je sais qu’elle n’est pas vierge, elle a eu des rapports avec un autre, mais c’est différent d’avant ou j’avais juste glissé entre le haut de ses cuisses ; là elle cesse d’embrasser, un peu hagarde ; je continue, je suis excité, j’ai sa salive sur mes lèvres : enfin elle cède dans un petit souffle, je me sens différent, un peu serré mais  l’aise, et là je commence à onduler, elle me caresse le dos, je suis sur elle, ses cheveux détachés, ses yeux marron ouverts, silencieuse, on se serre, elle se tourne, je dois suivre le mouvement comme je suis en elle ; elle embrasse bien. Différemment, encore plus près de moi, nos dents s’entrechoquent pendant la retournée  nos langues se cherchent. Là, elle est sur moi. Ses cheveux tombent sur mes joues, elle prend les ondulations en main, elle s’affaisse, se laisse tomber sur moi, m’écrase. Elle est le maître, je la sens serrer ses cuisses, je pose mes mains sur ses petites fesses, je glisse un doigt entre ses fesses, doucement, puis un peu plus, la moitié de l’index, ça entre facilement: en entier entre ses fesses, c’est humide mais ça ne glisse pas. Elle ne dit rien, m’embrasse avec des petits coups de langue, je suis très proche, elle serre ses cuisses encore plus fort, serre, desserre et j’éjacule lentement avec une force de plaisir énorme, j’explose dans le préservatif, l’emplissant de mon sperme. je continue à bouger le bassin et la elle gémit et m’offre un baiser humide, très tendrement, j’ai envie d’arrêter j’ai eu mon orgasme mais elle murmure «  continue » dans un soupir. Alors je continue à la pénétrer doucement, et enfin elle se rend, je la sens se tendre, m’offrir encore un baiser divin et se décontracter, elle se tait… Silence. Humidité.

 Elvea ( elveaparadise@yahoo.fr / lalunabay@voila.fr )

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