Jeudi 11 août
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Angela aida sa mère à préparer le repas fait de salades et de poissons grillés. Par cette chaleur ils n'avaient pas très envie de manger chaud mais les grillades de la faune marine leur semblaient bien appropriées.
Le dîner se déroula comme prévu en terrasse. Bettina était aux petits soins avec Balou. Il se sentait gêné par tant de prévenance car elle refusait obstinément qu'il l'aide pour le service. Le vin blanc était magnifique, il coulait à flot. Bettina servit plusieurs pichets.
Rires et discutions animées rythmaient le repas. Balou était vraiment heureux d'être là avec Angela. Bettina raconta un peu sa vie. Elle lâcha de savoureuses anecdotes concernant son mari, alors Angela la regardait éberluée mais aussitôt elles pouffaient de rire toutes les deux.
Il n'y avait qu'eux trois dans cette grande maison du bord de mer. Pour accéder à la plage il fallait suivre un petit sentier qui traversait une plantation d'oliviers. La maison en elle-même se trouvait à quelques centaines de mètres de la Méditerranée, à l'ombre des pins.
- Alors mes enfants, que faites vous demain? demanda Bettina.
- Rien pour le moment maman. Mais je pense que je vais aller au marché avec Balou pour lui montrer ce qu'est le marché en Sicile. Répondis Angela.
Balou approuva en se reversant une bonne rasade de ce vin blanc très frais. Bettina le taquina gentiment sur les effets soit disant aphrodisiaques de ce cru et Balou naturellement lui en resservit également une généreuse rasade.
Angela se leva et annonça qu'elle était fatiguée, elle allait se coucher.
Elle s'approcha de son amant resté assis et lui déposa un chaste baiser sur la joue en disant :
- Prends soin de maman mon chou, mais ne buvez pas trop tous les deux.
- Ne t'inquiète pas mon ange, je veille sur ton chéri. Répondit Bettina en rigolant.
Angela les laissa tous les deux.
La soirée était bien avancée. La chaleur avait fait place à une délicieuse fraîcheur, la nuit était tombée. Seuls les appliques murales éclairaient la terrasse, le feu des grillades s'était consumé.
Bettina et Balou devisèrent encore de longs instants. Bettina gloussa lorsque Balou la complimenta pour ce très bon repas.
- Vous êtes ici chez vous mon cher, je suis heureuse que ma fille aie enfin rencontré un homme, un vrai ! Dit-elle en plongeant son regard dans celui de son gendre.
Balou ne cilla pas. Ce lien visuel les unit de longues secondes. Aucun des deux ne prononça un mot. Une sorte de délicieuse plénitude s'insinuait lentement en eux. Balou fut le premier à détourner les yeux, mais il laissa son regard glisser sur le cou de Bettina, sur sa généreuse poitrine d'où il voyait poindre les bouts durcis des seins, vers sa bouche pulpeuse.
Bettina était assise face à lui. Elle se leva et vint s'asseoir à sa droite sur la chaise laissée vacante par sa fille. Son parfum embaumait l'atmosphère. Balou voyait mieux maintenant le visage de Bettina. Femme quinquagénaire mais bien conservée. De petites rides marquaient légèrement la peau de sa belle-mère, la peau de son cou commençait également à flétrir mais sa blonde chevelure montée en chignon la rendait pleine de charme. Ses mains aux ongles rouge sang caressèrent distraitement la nappe en coton.
- Je préfère être assise proche de vous, c'est plus facile pour communiquer. Vous ne trouvez pas ?
- Bien sûr Bettina, et maintenant nous nous connaissons un peu mieux. Répondit Balou.
Il se savait plus quoi penser. Sa belle-mère lui faisait des avances c'était évident.
- Vous savez Balou, tout à l'heure dans la cuisine je vous ai vu avec ma fille. Dieu que vous étiez beaux tous les deux ainsi soudés l'un à l'autre. J'ai admiré vos coups de rein et avec ravissement je vous ai écouté jouir en hurlant. Angela vous aime je le sais maintenant.
Malgré la pénombre Balou sentit le rouge lui monter aux joues.
- Mais, mais...............Furent ces seules paroles.
- Ne soyez pas gêné mon cher, vous avez un charme fou, dit Bettina en posant une main sur le haut de sa cuisse.
Balou sentait la situation dévier dangereusement voir un abîme inconnu, mais son esprit lui soufflait que cette femme quinquagénaire allait l'emmener vers une extase qu'il ne soupçonnait pas.
La main aventureuse de sa belle-mère remonta vers son entre jambe. Balou était déjà en érection depuis un bon moment. Les doigts de Bettina le caressèrent à travers le tissus du pantalon. Il sentait son parfum l'envoûter. Elle le regardait bien droit dans les yeux. Leur bouches se rapprochèrent irrésistiblement, leurs souffles se mélangèrent. Enfin leurs lèvres rentrèrent en contact.
Balou fut agréablement surpris par la douceur de cette bouche. Bettina se leva pour s'installer sur les jambes de son gendre, ses cuisses pendantes de chaque coté. Balou la pris dans ses bras, il se donnèrent un passionné baiser.
La bouche de Bettina dévora carrément celle de Balou. Il laissa ses mains partir à la découverte de ce corps de femme mûre. Ses cuisses chaudes, ses petits bourrelets aux hanches, la douceur de sa peau, excitèrent encore davantage Balou.
Soudain Bettina se redressa et déposant un doigt sur la bouche de son gendre, lui intimant de ne prononcer aucune parole. Elle lui pris la main et le guida dans l'obscurité à travers la plantation d'oliviers. Ils aboutirent sur la plage.
- Bettina je suis confus, réussit à articuler Balou
- Ne dites rien, vous en avez aussi envie que moi
- Mais....
- Il n'y a pas de mais. Venez j'ai envie de vous, j'ai hâte de sentir votre queue en moi.
Il faisait nuit noire. Seul le clapotis des vagues chantait à leurs oreilles.
- Là nous serons bien mon Balou, chuchota Bettina. Elle l'entraîna entre deux barques de pécheurs et se colla à lui comme une pieuvre.
Ils ne faisaient plus qu'un. Ils ne se voyaient presque pas, seul un fin rayon de lune éclairait leurs ébats.
Bettina avait relevé sa robe et ôté sa culotte en se positionnant à quatre pattes face à son gendre en lui présentant son fessier, elle écartait sa fente luisante et mielleuse à deux mains.
- Prenez-moi s'il vous plaît Ô mon gendre, j'attends depuis si longtemps qu'un homme de votre trempe me pilonne, lâcha Bettina.
Balou était au bord d'un précipice, il sentait que s'il s'y laissait tomber, les abîmes de luxure et de débauche allaient l'entraîner vers un espace qu'il ne connaissait pas. Posséder la mère et la fille, quel délice mais aussi quel risque !! Son cerveau, son corps, sa verge tendue et prisonnière de son pantalon, lui hurlaient de se laisser aller et de goûter à la saveur d'une dame qui pourrait être grand-mère. Cette pensée lui ôta toutes inhibition. Il se débraguetta, enleva son slip et s'agenouilla devant la croupe de sa belle -mère.
Le gland frotta contre la cuisse de Bettina. Elle gloussa de plaisir à ce contact. Balou prit sa hampe érigée en main et d'un coup pénétra sans ménagement en Bettina en caressant ces fesses
Il s'accrocha à ses hanches et débuta par de grands vas et viens son pistonnage. Il entrait et sortait d'elle avant de s'y enfoncer profondément. Ce ventre chaud et mielleux, le fait de posséder sa belle-mère ainsi, lui arracha un orgasme monstrueux qu'il ne voulu pas retarder. Il grogna et éjacula longuement en elle. De son coté Bettina jouit en silence telle une femme habituée à ne pas faire état de son plaisir.
La vigueur de Balou n'avait pas faibli. Il continua à labourer sa belle -mère qui n'en demandait pas temps.
Le sable fin commençait à les recouvrir, il s'infiltrait partout, mais les deux amants n'en avait cure. Ils copulaient comme deux êtres assoiffés de jouissance.
Des vagues entières de plaisirs submergèrent Bettina, son ventre était devenu un feu grégeois qu'il fallait éteindre. Balou jouis à son tour à nouveau en déversant sa lave à deux reprises. Jamais aucune autre femme ne l'avait excitée à ce point, jouir trois fois de suite ainsi était grandiose.
- Encore mon balounet , encore j'en veux encore, haleta Bettina.
- Belle maman je ne peux plus, réussit à dire Balou avant de se retirer d'elle et de s'écrouler sur le sable.
Bettina resta accroupie à quatre pattes avant de constater que son gendre s'était entièrement déshabillé pour piquer une tête.
à suivre.....
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