Samedi 13 août
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Balou plongea dans la mer. L'eau était fraîche mais il lui fallait d'abord évacuer le sable qui l'irritait et ensuite reprendre ses esprits après la folle étreinte avec Bettina.
Mon dieu qu'avait-il fait? Est-ce dû aux effets éthyliques de l'excès de vin ou avait-il plongé dans la débauche la plus totale ? Le fait de se baigner dans l'eau froide devrait lui permettre d'y voir plus clair, du moins l'espérait-il.
Bettina était restée sur la plage. Elle admirait son gendre amant et ses brassées très coulées qu'elle devinait au clair de lune.
Enfin Balou regagnât la terre ferme, nu, devant sa belle-mère.
- Vous êtes une ensorceleuse Bettina, crachat-il.
Bettina admirait son gendre, ses petites fesses rebondies, ses cuisses musclées, sa poitrine velue, son ventre un peu rond entouré de poignées d'amour, sa démarche féline. Elle répondit :
- Vous êtes beau Balou, vous m'avez donné un bonheur immense et ça je ne l'oublierai pas soyez-en certain mon chou.
Balou épousseta ses vêtements et s'habilla à la hâte.
- J'ai aussi aimé Bettina mais ce n'est pas raisonnable, nous avons agit sur un coup de folie.
- Certainement mais le désir a été plus fort que la raison. Vous savez j'ai 55 ans et jamais dans mes désirs les plus fous je n'osais imaginer ce qui est arrivé entre nous. Cependant j'ai lu dans votre regard depuis votre arrivée ici, que je ne vous laissais pas indifférent.
- Oui oui mais coucher avec une dame qui pourrait être grand-mère quand même c'est contraire à la nature.
- Oh arrêtez de me sortir vos principes à deux euro, vous en aviez envie alors nous l'avons fait un point c'est tout, lâcha Bettina un peu excédée.
Son gendre ne dit rien. Tous les deux quittèrent la plage pour remonter vers la maison familiale.
A pas de velours Balou regagna leur chambre où Angela devait dormir. Il prit une douche et se glissa délicatement dans les draps.
Une main toucha son épaule, il sursauta.
- ça va mon chéri ?
Angela ne dormait pas.
- Oui je suis fatigué, dit-il.
- C'est marrant de prendre une douche si tard, constata son amie.
Balou réfléchi à ce qu'il devait répondre.
- J'ai pris un bain de minuit pour rafraîchir mes esprits car je pense que j'ai abusé du vin blanc.
- Ah ? Et ma mère t'accompagnait ?
Un ange passa....
- Euh oui mais il faisait sombre, elle ne m'a pas vu nu. En fait elle a détourné son regard lorsque je me suis déshabillé, dit-il d'une petite voix mal assurée.
- Tiens donc ça m'étonne, maman n'est pas si prude que ça. Enfin on en reparlera au petit déjeuner. Bonne nuit mon chéri.
- Bonne nuit ma belle.
Balou passa une mauvaise nuit. Il devait absolument parler à Bettina demain matin avant qu'Angela ne pose trop de questions à sa mère.
Allongée dans son lit, Bettina souriait toute seule. Quelle superbe soirée elle avait passé. Elle se remémora l'épisode sur la plage avec son gendre. Quel bel homme, se dit-elle en s'endormant en chien de fusil une main entre ses cuisses.
Un petit rai de lumière filtrait à travers les volets. Il glissait sur le plancher, remontait vers le lit puis vers le visage de Balou.
Balou se réveilla, il avait somnolé quelques heures sans vraiment sombrer dans le sommeil. La bouche pâteuse, il se leva et se traîna vers la salle de bain. Le miroir au-dessus du lavabo lui renvoya l'image d'un trentenaire aux yeux globuleux, les cheveux hirsutes, la mine déconfite et pâle.
Il était 6h30, heure matinale qui lui convenait. Il se dépêcha de vaquer à sa toilette pour pouvoir discuter avec Bettina seuls à seuls.
La maison était silencieuse. Balou rejoignit la cuisine et se fit un double express bien serré sans sucre. Il gagna la terrasse et s'assis dans un fauteuil en allumant une cigarette. La caféine lui fouetta le sang, la nicotine elle, lui apaisa les pensées.
- Bonjour mon cher.
Il se retourna et vit Bettina en peignoir, son chignon défait, ses blonds cheveux tombaient en cascade sur ses épaules. Elle portait des mules horribles surmontées d'une coccinelle, kitsch à souhait. aux yeux de Balou cette dame perdait toute sa grâce ainsi fagotée. Mais il se dit qu'au saut du lit personne ne pouvait faire mieux.
- Bonjour Bettina, bien dormi ?
- Oui très bien, j'ai passé une nuit de rêves.
Balou se racla la gorge, tira une bouffée sur sa cigarette et se lança en disant :
- Ecoutez Bettina, l'épisode de la nuit dernière doit rester entre nous. Angela ne dormait pas hier soir lorsque je me suis couché. Je lui ai dit que j'ai pris un bain de minuit, en ajoutant que vous ne m'aviez pas vu nu car vous aviez détourné votre regard. Il faut absolument que vous lui confirmiez cette version des faits si Angela vous questionne.
- Mais mon petit Balou vous semblez apeuré ? Ne soyez pas inquiet, votre belle-mère préférée saura gérer la situation sans porter préjudice à votre couple. Cependant mon cher, ma fille a du être surprise par vos propos car je suis naturiste et je ne détourne pas les yeux devant la nudité.
Un age passa...........Balou se maudit d'avoir lâché cette phrase.
- Allez Balou je lui dirai en rigolant que je n'ai rien vu puisqu'il faisait nuit noire. Bon allons préparer le petit déjeuner voulez-vous je meurs de faim. Lança Bettina et lui prenant le bras.
Devant la table de la cuisine qui avait vu les ébats d'Angela et de Balou, Bettina s'affairait à préparer le café et une salade de fruits. Balou la regardait faire. Il accentua son regard sur cette femme sorcière qui lui avait procuré un plaisir jamais éprouvé avec aucune autre.
Bettina ressemblait à ces vieilles dames qu'on remarquait sur la Cote d'Azur, une rombière bourrée de fric. Elle savait qu'il l'observait, elle se doutait de ce qu'il pensait.
- Vous pensez que je suis une sorcière, vieille et défraîchie, n'est-ce pas Balou ?
Son gendre rougit d'être ainsi découvert.
- Bettina, vous êtes une femme exquise, une mère admirable, mais je m'interroge sur les pulsions qui m'ont jeté dans vos bras, c'est tout.
- Et vous regrettez ?
- Oui... Enfin je ne sais plus où j'en suis voila.
- Ecoutez-moi Balou, vous êtes un garçon charmant dont ma fille est amoureuse. J'ai succombé à votre charme comme vous avez succombé au mien, et je vous mentirais si je vous disais que là maintenant j'ai envie de tout stopper. Vous me traitez de sorcière ok je veux bien, mais vous aussi vous êtes un homme envoûtant, et une femme telle que moi ne peut que défaillir à votre contact.
Balou ne sus que répondre, il restait là les bras ballant devant Bettina.
Elle s'essuya les mains, se rapprocha de son gendre.
Ils étaient face à face. Balou était tétanisé, il ne pouvait plus bouger, ou ne voulait pas réagir, il ne savait plus. Son coeur battait la chamade. Il craignait sa belle mère mais une petite voix lui soufflait que cette dernière voulait encore abuser de lui. Cette pensée aussi furtive fut-elle lui provoqua instantanément une érection douloureuse qu'il ne pu masquer à la vue de Bettina.
Cette dernière ne pipa mot. Elle s'agenouilla devant son gendre.
Balou voyait les doigts de sa belle mère déboutonner un à un les boutons de son pantalon. Elle laissa celui-ci tomber aux pieds de son gendre. Ses deux mains baissèrent le caleçon.
Le souffle chaud de Bettina s'abattit sur le bas ventre de Balou. Elle pris ses blonds cheveux longs et entrepris de caresser ainsi la verge dressée devant elle, en veillant à ne pas la toucher avec ses doigts. Ce contact soyeux provoqua un gémissement de Balou.
- OOOOhhhhh Bettina que c'est bon......furent ses seules paroles.
Sa diabolique belle-mère agenouillée à ses pieds le regardait par en-dessous, elle se léchait les lèvres, prête à offrir à son gendre chéri une fellation digne d'une Sicilienne de 55 ans.
- Qu'elle est belle Balou cette hampe dressée pour moi, c'est votre désir qui s'exprime, votre envie de goûter à ma bouche, n'est-ce pas ?
Balou sombra à nouveau dans cette folie de luxure qui l'avait animé la nuit dernière.
- Bettinaaaaaaa oui sucez-moi s'il vous plaît, buvez ma semence chaude, je n'en peux plus allez-y.
Il n'en fallait pas davantage à sa belle-maman pour débuter sa caresse. Elle admira d'abord la finesse du gland violacé. Le fait que Balou soit circoncis donnait encore plus de beauté et de cachet à ce membre. Ensuite son regard se posa sur le tronc gros et long où la fine peau laissait transparaître des veines bleues tendues à l'extrême. Plus bas les lourdes bourses se balançaient devant ses yeux.
Bettina était excitée comme une pucelle, elle sentait la moiteur envahir son ventre, le feu grégeois se rallumait. Elle soupira en engloutissant le gland de Balou.
Son gendre se vit disparaître dans la bouche aux commissures de lèvres ridées. La bouche était chaude et accueillante. Il sentait la langue jouer avec lui. Il s'agrippa à la table de la cuisine pour ne pas tomber à terre car la blonde chevelure avait commencé à aller et venir.
Bettina l'engloutissait au fond de sa gorge. Il se demandait comment elle faisait pour de pas hoqueter. Ses poils pubiens chatouillaient les narines de sa belle mère, il ferma les yeux et disparu dans une autre dimension.
La cuisine était toujours silencieuse, Angela devait dormir profondément. Seuls des râles et des bruits de succion remplissaient l'atmosphère.
Le soleil continuait à se lever. On entendait au loin le bruit des vagues s'écraser sur la plage, et dans une maison sicilienne une belle mère était en train de pomper allègrement son gendre agenouillée en peignoir aux pieds de celui-ci.
Soudain un cri.
Un long gémissement presque inhumain comme on devait en entendre en enfer.
Puis plus rien pendant de longs instants.
à suivre
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