Novembre 2024 | ||||||||||
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Voici un petit texte que jai du porter en moi un certain temps. Ce matin, il est sorti.
Dabord mes mains palpent, malaxent ses épaules, ses bras, avec fermeté et décision. Détendre les muscles, assouplir la peau, caresser le creux du bras. Puis les pouces suivent les omoplates, les doigts roulent la peau de lépaule, les pouces descendent le long de la colonne, accentuant chaque vertèbre. Les paumes viennent naturellement se placer au creux de ses reins. Elles créent un tourbillon lent. Réveiller lénergie enfuie à cet endroit. Les mains sécartent pour pétrir les hanches, glisser légèrement vers le ventre, suivre le sillon des aines, et retour au reins. Mes mains remontent aux épaules et recommencent le trajet, plusieurs fois, jusquà ce que son souffle prenne de lampleur. enfin revenue au bas de son dos, elle descendent doucement vers les cuisses, le creux poplité, les jambes, en aller-retour fermes et décidés. Ici encore détendre et assouplir. Mais aussi caresser du bout des doigts, tourner avec douceur au creux des genoux, masser les jambes. Puis aller vers les pieds, où, après les mains, ma bouche va prendre le relais, pour baiser, mordiller, lécher, sucer. Orteils, plante, tendons.
Mon souffle maintenant parcours les jambes, les genoux, les cuisses, les fesses. Mes mains reprennent ces globes, charnus, musclés, ronds. Pétrissage lent et doux. Ecartement léger, puis plus ample pour laisser la place à la langue qui sinsinue, cherche et atteint la rosace où elle sattarde, mouille, ouvre. Le bout de ma langue rencontre le bas de ses lèvres, et les effleure. Je redescends vers les cuisses, et son souffle sest fait musique depuis un moment. Alors mes mains lui demande de se retourner. Mes lèvres et mes doigts glissent lentement le long de lintérieur de ses cuisses où la peau se fait de plus en plus douce, de plus en plus fine. Je contourne le triangle pour remonter à son ventre, le baiser, le lécher jusquau nombril, mordiller sa toison au parfum si discret. De temps en temps, ma langue séchappe vers les lèvres. Peu à peu, elle sy installe. Alors elle lèchent doucement, sucent. La langue sinsinue entre elles, et titille leur intérieur. Elle remonte parfois pour couvrir avec légèreté le petit promontoire qui a gonflé. Et le ballet continue, en haut, en bas, au centre où la langue se glisse et ouvre sa grotte. Son voix à pris son envol, cest maintenant un chant continu qui menthousiasme et me survolte. Ma bouche couvre totalement son sexe, je mange ses lèvres, son clitoris, ma langue senfonce, lèche, suce, mouille. Je bois la liqueur de son ventre mêlée à ma salive. Et doucement , mes doigts se mêlent au jeu. Le majeur masse en tournant lentrée de sa bouche, doucement, sans forcer, au passage il senduit de sa sève. Lorsquil est totalement trempé, lindex le remplace, et lui savance un peu plus, caressant le haut de la paroi. Nos souffles se font plus rauques, ses hanches basculent, un rythme lent, doux et incessant sest installé. Mon index caresse toujours, et mon majeur a glissé vers la rosace de son cul. Peu à peu il sintroduit, dabord en tournant lentement, et puis plus vigoureusement. Une phalange sest installée et masse doucement. Lindex reste dans sa chaleur douce et humide, ma bouche sactive, ma langue agace le clitoris. Et tout à coup la tension monte, sa voix explose, et ses mains repoussent mes mains, ma tête. Mes lèvres séloignent en petits baisers sur les cuisses qui vont se refermer.
Alors, mon corps se glisse vers le sien, alors ses cuisses souvrent, sa bouche murmure " oui, viens ".
Sa main sempare de ma queue et la guide. Je caresse son sexe de mon gland, et peu à peu je me glisse. Douceur de ses lèvres sur ma peau, douceur de son vagin sur mon sexe. Je menfonce doucement. Nous savourons linstant. Et tout à coup, sa voix reprend son chant, lorgasme sinstalle. mon sexe caresse ses parois. Et puis je ressort, mallonge. Elle se colle à moi, nos souffles se mêlent. Sa bouche glisse vers mon cou, embrasse ma poitrine, titille mes tétons. Elle reprend son parcours, effleure mon ventre de son souffle. Son nez explore ma toison. Sa bouche baise à petits coups la base de ma queue. Sa langue glisse le long de la hampe, effleure le gland. Puis elle redescend pour le parcours inverse, se glisse vers mes couilles, les mordille, ses doigts se faufilent cers mon cul, écartent mes fesses et viennent se poser sur ma rosace. Un instant, un instant seulement. Sa main prend possession de mon sexe et le masse avec vigueur. Sa langue frôle mon méat. Ses lèvres sen mêlent. Elle lâche une goutte de salive sur le gland. Ses lèvres sentrouvrent pour couronner mon bout. Et ce jeu continue longtemps, jusquà ce que tout à coup sa bouche mavale totalement. Alors elle procède à un va et vient lent ou rapide. Sa langue caressant toute la longueur qu elle avale. Elle le recrache pour mieux le baiser et le reprendre encore et encore
Enfin ces jeux ont éveillés tous nos sens, nos peaux sont devenus des récepteurs dune puissance nouvelle. Cest le moment où mon desir delle est son paroxysme. Je la pénètre avec toute ma force, comme pour la clouer sous mon poids. Je vais, je viens. Elle explose. Je la retourne et prend son sexe presque violemment. Mes mains pèsent sur sa taille. Elle se creuse, visage enfoui dans loreiller, cul offert à ma démence. Et je la baise. Rythme lent. Rythme rapide. Gland se frottant à ses lèvres, à son clitoris. Queue au fond de sa chatte. Explosion. Sommeil tendre enlacés lun contre lautre, lun dans lautre. "
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