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Sa bouche ensuite couvrit de baisers le ventre musclé, ses doigts jouaient avec les poils, ses dents mordillaient les tétons de Balou.
Celui-ci s'abandonna aux caresses de sa belle-mère de longues minutes encore. Ensuite la bouche de Bettina remonta dans son cou, elle lui mordilla le lobe de l'oreille avant de trouver ses lèvres pour un baiser tendre.
Balou lui rendit son baiser avec fougue jusqu'à perdre haleine. Décidément la bouche de Bettina était tellement douce et chaude.
- Ooohh Bettina vous m'avez ensorcelé. Mon dieu que dois-je penser, que vais-je faire ?
- Mon gendre chéri il ne faut pas que vous tombiez amoureux d'une dame de 55 ans tout de même voyons !! Gronda gentiment Bettina.
Elle continuait à jouer avec les poils de sa velue poitrine, elle s'amusait à en faire de petits noeuds de ses doigts agiles. Ils étaient allongés cote à cote et se caressaient mutuellement leur peau bronzée.
Ensuite Balou proposa à Bettina de piquer une tête pour se rafraîchir, chose qu'ils firent en batifolant tels des adolescents.
L'après-midi touchait à sa fin, tous les deux prirent le chemin du retour vers la propriété.
- Très bonne initiative mon cher, je m'empresse de nous en apporter, répondit sa belle-mère.
- Oh mes enfants je ne sais pas, il faut que je me refasse une beauté après cette après-midi récréative.
Balou ne pipa mot, il observa l'échange entre la mère et sa fille. Bettina accepta de les accompagner malgré tout.
La nuit était chaude. Maria habitait également en bord de mer, non loin de la maison de Bettina, étant la fille de sa femme de ménage.
On dénombrait une bonne vingtaine d'invités sur la terrasse donnant directement sur la plage, buvant et dégustant des antipasti. Balou avait une faim de loup, il se jeta sur le buffet et dévora des petits plats à base de poivrons et divers légumes farcis baignant dans l'huile d'olive. Un vrai délice pour ses papilles de gastronome.
Balou fit la connaissance de Maria, délicieux petit bout de femme brune ressemblant étrangement à une de ses anciennes secrétaires. Elle baragouinait un peu le français que lui avait enseigné Angela. Maria vivait avec sa mère veuve elle aussi comme son amie Bettina. Balou se dit en riant que sacrebleu les hommes étaient laminés par les femmes dans ce village.
La soirée battait son plein, les invités buvaient et mangeaient sans se soucier du lendemain, c'est du moins la nette impression que perçu Balou. Angela lui tint compagnie quelques instant avant de se faire happer par un troupeau d'amis qui l'entraînèrent vers la plage. Les convives avaient allumé un feu et jeunes et moins jeunes se trémoussaient au rythme de la sono sur des tubes italiens. Angela ne se priva pas de se joindre à cette bande de joyeux drilles.
Balou squatta le bar, il goûta à la bière locale car l'excès de vin blanc ne lui convenait pas. Il se tenait un peu en retrait à l'ombre sur la terrasse. Se rappelant les épisodes amoureux de la journée, il sourit intérieurement en comptant le nombre de fois où il avait joui et éjaculé cette après midi. Bettina le rendait dingue, serait-il en train d'en pincer pour une femme quinquagénaire ? Lui ? Certes sa belle-mère lui avait procuré un plaisir orgasmique inouï comme rarement il en avait éprouvé, mais nom de dieu cette femme était un démon !
Soudain il perçu un feulement au dessus de lui. Balou leva sa tête et vit au premier étage une pièce légèrement éclairée. Il quitta la terrasse et marcha le long du mur pour se trouver juste en dessous de la fenêtre. Là il constata ce qu'il pressentait. Des gémissements s'échappaient du premier étage. Il tendit davantage l'oreille et compris qu'un groupe de personnes copulait. Son verre de bière à la main il se mit en devoir d'approfondir sa curiosité, l'alcool qu'il avait bu l'aidant aussi.
Il gravit à pattes de velours l'escalier en bois massif tel un chat sur un toit brûlant, c'est ce qu'il se dit en arrivant à l'étage. Il posa délicatement son verre et débuta ses investigations.
Avançant pas à pas dans le couloir, Balou n'eu pas longtemps à attendre pour trouver l'origine des gémissements. Ceux-ci provenaient d'une chambre dont la porte était entrouverte.
Balou reconnu immédiatement la voix de Bettina. Seule une petite lampe de chevet éclairait la pièce.
Balou écarquilla les yeux en voyant le spectacle qui s'offrait à lui. Sa belle-mère était prise en sandwiches par deux hommes qui ahanaient en rythme. Sa vue s'adaptant progressivement à la demie pénombre, Balou reconnu le patron du bar qui sodomisait Bettina, l'autre était son fils que chevauchait sa belle-mère.
Balou avait la gorge sèche tout d'un coup. Il avança dans la chambre voulant savourer davantage ce spectacle. Le barman le vit mais Balou lui lança un clin d'oeil de connivence, ce qui le rassura.
Les respirations saccadées, les râles étouffés emplissaient l'air surchauffé de la chambre. Balou était troublé par ce qu'il voyait. Bettina le vit, leurs regards se croisèrent, il lui sourit gentiment et l'encouragea ainsi à continuer.
Le trio devait être au bord du plaisir car immédiatement après la jouissance les gagna. Le père grogna le premier et éjacula dans les fesses de son amante, suivi de son fils qui cria à son tour. Bettina quant à elle étouffa ses cris de bonheur comme toute bonne sicilienne soumise. Le patron du bar se retira d'entre ses fesses mais entrepris de se masturber devant la croupe de Bettina. Balou était impressionné par l'énorme verge dont il voyait la grosse main la branler. Bettina était maintenant presque affalée sur le jeune garçon qu'elle embrassait passionnément. Enfin Balou vit le patron du bar éjaculer à longues giclées sur la croupe de Bettina, les yeux fermés sans pousser un cri, il aspergeait son amante.
- Bien sûr que nom belle-maman chérie, il est toujours agréable de prendre du bon temps, répondit Balou.
- Je crois qu'elle est à la plage, répondit Balou.
- Oh Angela, non tout va bien mais tu sais ce genre de sauterie c'est pas trop mon truc.
- Ah la la, quel rabat-joie tu fais des fois !
- Main non, mais je ne connais personne ici, et je n'aime pas guincher tu le sais. Ma ta maman m'a tenu compagnie, alors tout baigne.
- J'ai envie de toi là de suite.
Balou se laissa entraîner par son amie vers un endroit discret en bout de plage à l'abri des regards. En un tour de main Angela ôta sa culotte, elle s'agenouilla dans le sable fin, remonta sa robe sur ses hanches, présenta sa croupe à Balou et lui intima :
- Prends moi là tout de suite, je n'en peux plus.
- Viiiiiiiite viiiite gémis Angela. Elle se caressait l'entrejambes devant lui
Cette vision fouetta les sens de Balou. Il déboutonna son pantalon, baissa son caleçon, et s'agenouilla face à ces divines fesses. Son érection pointait vaillamment, son gland cogna contre les lèvres déjà humides d'Angela qui gémit à cet attouchement avant de sentir la verge longue et dure s'enfoncer progressivement dans son ventre.
- OOOOOhhhhhhhhhhhhhhh chériiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii encule-moi !!!!! Cria Angela.
Balou essaya de distinguer des visages connus. Le patron du bar et son fils lui étaient maintenant familiers. Les deux autres mâles étaient beaucoup plus âgés, on aurait dit des vieux beaux de 70 ans. Maria continua à caresser les verges offertes, ses doigts couraient le long des troncs, sa bouche engloutissait les glands l’un après l’autre. Les hommes se masturbaient également au-dessus d’elle. Maria décida de privilégier ses caresses pour l’un des deux vieux messieurs.
Cette petite femme ronde a un sacré tempérament pensa Balou, elle lui rappelait Nathalie sa bien-aimée secrétaire, jadis sa maîtresse. Elle veut les faire jouir ensemble se dit-il. Maria cria un ordre et accéléra sa succion sur la hampe sexagénaire. Le maire cria le premier lorsqu’il éjacula dans la bouche qui le pompait. Les trois autres hommes accélérèrent leurs mouvements masturbatoires et ils jouirent de concert en aspergeant Maria de leur sève.
De longues giclées atterrirent sur son menton, sur ses épaules, ses bras, dans ses cheveux. Les gémissements remplissaient l’air alentour. Maria était aux anges, elle se jeta ensuite aux pieds de chacun des mâles et nettoya avec sa langue les dernières gouttes de semence qui perlaient encore au bout de leur gland.
Ce spectacle avait progressivement accaparé toute l’attention de Balou et d’Angela, ils étaient aux premières loges. Maria le savait, en fait elle aimait se savoir observée, désirée par tant de mâles.
Elle se retourna vers eux, et se coucha sur le dos, cuisses écartées puis entreprit de se caresser devant l’assistance réunie autour d’elle.
Seule la lune éclairait la scène, mais Balou voyait bien la main de Maria s’activer entre ses cuisses. Elle gémissait, couinait telle une petite souris. De son autre main, ses doigts caressaient les seins menus, ils pinçaient leur téton.
Angela remarqua que la verge des hommes avait repris une certaine vigueur, notamment celle du fils du patron du café, son nom lui échappait. Il s’approcha de Maria, s’agenouilla entre ses cuisses, la couvrit en la pénétrant d’un violent coup de rein. Elle hurla de bonheur ainsi possédée. Immédiatement il débuta son pilonnage sous les râles de Maria. Son père le barman s’était agenouillé à proximité de la brune tignasse de Maria. La hampe à nouveau fièrement dressée fut happée par la bouche de la jeune femme. Père et fils avait pris possession du corps de la petite jeune femme ronde. Quant aux deux autres hommes ils regardaient avec avidité le trio, tout en caressant de leurs mains les cuisses de Maria.
L’amie d’Angela passa ses mains sur son corps et recueillit du bout des doigts la lave de plaisir de ces amants, lave qu’elle lécha pour l’avaler avidement. Les hommes se rhabillèrent prestement en commentant leurs exploits et rejoignirent la maisonnée en bout de plage.
Elle enfila rapidement sa robe sans se sécher.
- Maria je ne te reconnais pas, toi qui était si timide avec le sexe, mon dieu quel changement ma chérie, répondit Angela.
- je sais mais c’est ainsi, j’avais envie de vous faire ce cadeau. Et vous deux aussi vous étiez bien, on vous a observé pendant que vous vous amusiez. J’ai adoré la sodomie, hummmm Balou tu es fortiche toi !!
- Euh n’exagérons pas, dit-il en se sentant rougir.
Tous trois retournèrent vers la maison en devisant comme si de rien n’était.
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