Samedi 30 juin
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14:20
Claude était monté dans le train pour Lyon depuis maintenant deux bonnes heures et il commençait à somnoler sur la banquette du compartiment de deuxième classe. Dehors le temps était splendide et les paysages qu’il apercevait à travers la vitre sale du wagon annonçaient le retour du printemps et des premières chaleurs.
Le soleil de fin de journée qui entrait à flot dans le compartiment chauffait l’atmosphère et une douce langueur l’envahissait. Il sentait sa queue se durcir de manière épisodique au rythme des secousses imposées par la configuration de la voie ferrée. Plusieurs fois il avait eu envie de se branler mais à chaque fois des voyageurs étaient passés devant son compartiment et il avait dû renoncer. Il était un peu timide et à 18 ans on est toujours partagé entre l’envie de se branler comme un adolescent et l’espoir de trouve une femme avec qui faire l’amour.
Se branler! Cela lui rappela des souvenirs de jeunesse, pas si lointain que ça d’ailleurs. Un jour, au cours des vacances d’été, il s’était retrouvé seul avec sa cousine Chantale dans sa chambre de la maison dans laquelle il séjournait; Elle avait un peu plus de 15 ans et lui 14 seulement. Les parents les avaient laissés seuls pour aller au supermarché voisin faire les courses de la semaine. Trois bonnes heures de liberté !
Chantale l’avait entraîné dans sa chambre sous le prétexte de lui montrer sa collection de boites d’allumettes. Mais rapidement elle lui avait fait comprendre que les boites c’est bien, mais jouer au papa et à la maman c’est mieux, surtout quand il s’agit de jouer à aller se coucher comme s’il faisait nuit. Pour cela elle avait fermé les volets de sa chambre et, dans la pénombre ambiante, s’était approchée de lui. Il était intimidé et ne savait pas trop quoi faire. Leurs respirations étaient devenues plus rapides et le silence qui les entourait leur laisser entendre les battements précipités de leurs cœurs.
Elle ne portait sur elle qu’une robe d’été légère qui, par transparence lui avait permis de deviner la couleur blanche de sa culotte Petit bateau. En lui prenant les mains, elle lui avait montré comment ouvrir sa robe. Ses doigts tremblaient et il n’arrivait pas à la déboutonner. Les deux adolescents étaient excités comme jamais ils l’avaient été. Claude sentait sa queue dure dans son slip, mais la toile du jean qu’il portait la coinçait. Finalement le dernier bouton céda et il pu faire glisser la robe sur les épaules de sa jeune cousine. Ses petits seins étaient durs comme de la pierre et quand il les lui pris timidement dans ses mains elle gémit en sursautant légèrement comme sous l’effet d’une piqûre d’insecte. Que c’était bon de se faire caresser. Les mains de Claude s’activaient maladroitement sur cette gorge dénudée mais sa cousine avait l’air d’apprécier le traitement parfois rugueux qu’il imposait à ses tétons.
-Continu, ne t’arrête pas lui souffle-t-elle. Encore, encore! Oui pinces moi les bouts. Ouiii! Arrêtes je vais jouir. Encore, Ahh c’est bon tu sais !
N’y tenant plus elle glisse une main dans sa culotte et commence à se caresser. Son bouton se dresse aussitôt. Elle est toute mouillée et son doigt glisse sur sa fente juteuse comme un beau fruit d’été.
-Continu, encore Ah, c’est bon.
Ses doigts accélèrent et lui ne sait plus trop ce qu’il doit faire. Le visage de sa cousine reflète la douleur, le plaisir. Il ne sait pas. Il n’a jamais vu de fille jouir. C’est la première fois qu’il assiste à un tel débordement de cris, de gémissement et il est un peu affolé.
-Continu comme cela Claude c’est merveilleux ce que tu me fait, Ah je t’aime, prend moi dans tes bras, je veux jouir contre toi. Oui comme ça, c’est bien, c’est merveilleux, encore ne t’arrêtes pas ! Et dans un spasme nerveux puissant et profond elle se serre contre lui. Plusieurs fois elle est secouée par de grands frissons qui la parcourent des pieds à la tête. Elle a l’impression que jamais cela ne s’arrêtera et elle ne veut pas que ça s’arrête. Ses doigts s’activent encore et encore sur son sexe qui ruisselle de bonheur. Mais ce premier orgasme dans les bras de son cousin a été si fort que plus rien n’est possible.
Lentement elle revient sur terre et reprend son souffle. Une odeur de sueur se dégage de leur deux corps enlacés, debout au milieu de cette chambre de jeune fille.
-Merci Claude, tu as été formidable.
Lui ne comprend pas très bien mais il est rassuré, sa cousine va bien, elle ne souffre pas comme il avait craint à un moment. Par contre lui, il souffre; sa queue est toujours coincée dans son jean et il aimerait bien se détendre un peu
Chantale en se serrant contre lui a bien senti la bosse dans le pantalon de Claude et elle se doute du problème.
-Viens, lui dit elle, et, le prenant par la taille elle le pousse vers son petit lit, le fait asseoir puis le pousse par les épaules pour qu’il s’allonge.
C’est à son tour de respirer plus vite. Il sent qu’il va se passer quelque chose mais n’en n’est pas très sûr. Et pourtant si, il avait bien compris.
Le jeu de papa maman continu mais c’est maman qui déshabille papa. C’est fait rapidement et il sent son jean glisser le long de ses jambes, ses sandalettes tomber par terre et sa queue s’épanouir dans sa culotte, blanche elle aussi.
Chanlate passe doucement sa main sur la bosse, curieuse et légèrement effrayée à la fois. Ses copines lui ont raconté des tas de choses sur le sexe des garçons mais elle n’en a jamais vu. Elle est fille unique. Bien sûr, elle a déjà vu des taureaux à la ferme du village, mais il est impossible que celui de Claude soit aussi gros et velu. Doucement elle appuie sa main et c’est Claude qui, n’en pouvant plus, guide rapidement sa main sur l’objet en question.
Sous sa main qui tremble un peu, Chanlate sent le morceau de chair palpiter et vibrer. C’est doux, c’est chaud, la verge de son cousin lui semble à la fois dure comme de la pierre et fragile comme un oisillon. Elle n’ose pas bouger.
-Branle-moi je t’en supplie lui souffle-t-il, je n’en peut plus.
-Comment je fait, je sais pas, explique moi, montre moi. Fiévreusement il guide sa main vers sa queue et lui montre le chemin.
-Fait aller ta main de haut en bas, oui comme cela, plus haut, oui jusqu’au bout Ah que c’est bon. Plus vite je t’en prie.
Mais science infuse ou innocence d’une pucelle, elle n’accélère pas au contraire elle ralentie le mouvement car elle aussi elle veut en profiter de cette tige chaude et humide qui lui remplie la main. Le plaisir pour Claude est gigantesque, jamais quand il se branle il n’a éprouvé un tel plaisir. Sa cousine est démoniaque. Elle a vite compris que son cousin était prêt à tout pour qu’elle continu. Elle ralenti son mouvement jusqu’à s’arrêter.
-Continu, encore je t’en supplie, je ferais tout ce que tu veux mais continu sans t’arrêter.
-Tu feras tout ce que je veux, vraiment?
-Oui tout c’est promis
-Juré ?
-Juré!
Sa main reprend le mouvement de va et vient d’abord doucement puis plus vite, elle ralentie, repart à nouveau et intuitivement, chaque fois qu’elle sent le sexe sur le point d’éclater elle s’arrête pour repartir quelques secondes après.
- Chantale fais moi jouir, Ah que c’est bon, je deviens fou quand tu t’arrêtes, je veux jouir de ta main Ah oui ça vient Ah!
Le membre viril de son cousin palpite dans sa main et, d’un seul coup, Claude est, à son tour agité de spasmes violents, il pousse son bassin donnant des coups de reins imaginaires comme s’il pénétrait sa cousine! En fait dans sa tête il la prend, la possède comme un fou, sans bien savoir d’ailleurs comment il devrait faire si tel était le cas. Son sperme a jailli comme un flot de lave brûlante inondant la main de sa cousine et ses jeunes seins en reçoivent des gouttes. Sous la chaleur de cette liqueur odorante la pointe de ses seins se redressent et réclament encore des caresses. Elle lâche la queue de son cousin et se masse frénétiquement les seins avec le sperme de Claude. Sa chatte se mouille à nouveau et elle serre ses cuisses en tremblant. Une onde de plaisir la parcours. Elle est heureuse l’après-midi ne fait que commencer et son cousin est prêt à lui obéir. Un sourire triomphant éclaire ses lèvres humides.
Petit à petit Claude a retrouvé son calme tout en contemplant sa cousine avec admiration. Elle l’a fait jouir comme jamais et il n’est pas prêt d’oublier cette après-midi. Si elle veut bien le branler encore, il est près à lui obéir les yeux fermés. La suite de ses vacances lui prouva que son obéissance allait être mise à rude épreuve.
Pendant qu’il rêvait à sa cousine, celle-ci n’avait pas perdu de temps et elle était de nouveau en train de se caresser.
-Viens près de moi Claude, lui ordonna-t-elle, et lèche moi la poitrine. Ton sperme m’a sali et tu dois me laver avec ta langue.
Interloqué, il se redresse n’osant pas faire ce qu’on lui demande mais d’une main ferme sa jeune cousine lui attrape la tête par les cheveux et l’oblige à plaquer sa bouche sur ses seins.
-Lèches moi et vite sinon gare!
Vaincu et content à la fois, il entreprend de lui nettoyer les seins, la gorge et le ventre qui se tend sous l’effet des coups de langue. Claude s’applique du mieux qu’il peut même si le goût de son sperme lui donne un peu la nausée. C’est fort et âcre à la fois. D’un autre coté, il sent bien que cette soumission a quelque chose d’excitant! D’ailleurs sa queue commence à reprendre de bonnes dimensions. Mais Chantale n’en est plus là. Elle commence à gémir et à se tortiller sous l’effet de la langue de Claude. Elle se branle de plus en plus vite, sa fente est humide, inondée même.
-Oh Claude tu me fais du bien, tu es un bon garçon, continu, Ah! Encore, tu m’appartiens, je ferais de toi mon esclave, suce moi, lèche moi, met tes mains dans mon dos, oui comme cela, Ah! C’est bon, je mouille, je bande, c’est merveilleux et dans un dernier râle elle s’écroule à nouveau dans les bras de son cousin en haletant. Des frissons la parcours des pieds à la tête et sa main s’active toujours sur sa chatte mouillée.
Claude termine son nettoyage par un suçage en règle des mamelons dont les pointes restent toujours aussi dures. Maintenant, il attend bien sagement que sa cousine accepte de s’occuper de lui.
-Va me chercher à boire dans le réfrigérateur de la cuisine, dépêches-toi, j’ai très soif
Il part en courant et revient quelques minutes après avec deux bouteilles de jus de fruit.
-Pourquoi as-tu pris deux bouteilles, une seule me suffit
-Mais, j’ai soif moi aussi.
-Tu boiras quand je l’aurais décidé, rapporte cette bouteille où tu l’a prise.
Il obéi la tête basse et revient auprès de sa cousine en s’asseyant sur le bord du lit. Chantale s’assoit à califourchon sur ses genoux. Ses cuisses sont largement écartées et Claude aperçoit les poils noirs de son sexe qui dépassent de son slip blanc. Maintenant il bande à nouveau et il aimerait bien que sa cousine le branle mais ce n’est pas le cas. Elle passe ses bras autour de son cou et veut l’embrasser sur les lèvres. Ils hésitent un peu tous les deux, comment fait-on, le nez coince mais finalement ce petit problème est résolu, et bientôt leurs langue et leur salive se mélangent joyeusement. Ils se sucent la langue mutuellement y trouvant un plaisir nouveau et étrange. Le goût du sperme remonte dans la bouche de Chantale et elle y prend plaisir. Elle se sépare de lui et lui murmure qu’elle aimerait bien goûter à son sperme.
-Allonges-toi sur mon lit lui dit-elle en lui enlevant son tee-shirt, et branles-toi en me regardant. Il s’exécute et rapidement sa main prend un bon rythme Elle se contente de le regarder faire tout en surveillant le sexe du garçon. Quand elle le voit s’agiter et gémir sur le lit, elle comprend que la jouissance n’est plus loin. Les cris de Claude la confirment dans cette opinion.
-Oui, oui, Ah je vais jouir pour toi mon amour, rien que pour toi, Ah j’aime ça
Un spasme le secoue des pieds à la tête en même temps que le sperme jailli de sa queue et inonde son ventre et ses jambes. Il continu à se branler pour faire jaillir les dernières gouttes tout en reprenant son souffle. Il s’immobilise enfin sous le regard amusé et brillant de curiosité de sa cousine.
-Ne bouges pas, je vais de nettoyer à mon tour.
Et se penchant vers lui elle commence à lui lécher les jambes, les cuisses, passe au dessus de son sexe redevenu tout mou, continu sur le nombril où elle peut éponger une grosse goutte de sperme. Sa langue s’active maintenant sur le ventre de son cousin, de plus en plus vite. Elle est saisie d’une folle excitation et se rue sur son cousin en s’allongeant sur lui. Ses mains ont saisi ses cheveux et elle lui secoue la tête, son corps ondule frénétiquement sur celui du garçon, ses cuisses s’ouvrent et se referment spasmodiquement et elle donne des coups de reins très violents qui lui écrasent le pubis et lui branle le clitoris.
-C’est pas vrais, je deviens folle, Ah! Ce n’est pas possible que tu me fasses tant d’effet, Ah! A! J’en peu plus, encore, Ah! Oui, tes mains, mets tes mains sur moi, oui comme cela, caresse moi les fesses, Oh oui ! Encore, encore..
Les coups de reins redoublent d’intensité et les deux corps s’emmêlent, ils roulent l’un sur l’autre et maintenant, c’est Claude qui est entre les cuisses de sa cousine et qui lui donne des coups de rein. Sa queue, ni molle ni dure, cherche la grotte douce et chaude de sa cousine. Il veut la pénétrer mais elle se défend se cabre comme une jument rétive. il la veut, il la veut mais le mince rempart de la culotte tient bon. Ce n’est pas encore qu’il dépucellera sa cousine. Chantale dans un dernier sursaut le jette par terre et tous les deux jouissent à l’unisson en se branlant chacun de leur coté.
Essoufflés tous les deux, ils restent un long moment immobiles, regardant le plafond et écoutant battre leurs cœurs. C’est Claude qui parle le premier.
-J’ai très soif, je peux aller me chercher une boisson dit, s’il te plaît
Chantale hésite avant de répondre; pour le moment elle est épuisée et n’a plus envie de jouissance, son corps d’adolescente est repue, comblé.
-OK tu peux y aller
-Merci mon amour s’entend-il dire. Il revient très une bouteille à la main et commence à boire mais sa cousine l’arrête d’un geste.
-Ca suffit, donne moi la bouteille, c’est moi qui vais de donner à boire, approche et mets toi à quatre pattes comme un bon toutou. Il obéit sans rechigner.
Elle s’allonge complètement sur le sol et verse du liquide dans le creux de son ventre.
-Lèches et tu boiras, et il lui faut pas moins d’un quart d’heure pour vider la bouteille et apaiser sa soif. Il a mal à la langue à force de la lécher mais il découvre le sourire de sa cousine qui semble avoir retrouvé un peu de tonus.
-C’est bien tu es un bon chien et maintenant on va aller se promener. Habilles toi, non donnes moi ta culotte, je la garde en souvenir.
Le jean lui râpe un peu le sexe mais il le ferme sans trop de mal. Ils sortent de la maison sous un soleil éclatant, et comme sa cousine marche devant lui il en profite pour admirer son corps en contre-jour. Il sent des fourmillements dans sa queue et les frottements du jean aidant il retrouve lui aussi un peu de tonus. Ils marchent ainsi pendant quelques minutes sans parler mais, il sent bien qu’il va se passer quelque chose le concernant. Sa cousine se retourne brusquement avec un sourire au lèvre, le même que celui qu’elle avait tout à l’heure quand elle le faisait attendre avant de le faire jouir !
-Voilà, nous y sommes, dit-elle.
L’endroit est sombre, à l’abri des regards indiscrets et complètement caché de la maison de son oncle. Le sol, légèrement humide, est recouvert d’herbe verte et incite à une petite sieste. La suite devait lui prouver qu’il n’en était rien.
C’était le domaine de sa cousine, son lieu de rendez-vous avec ses petits copains. Elles les retrouvait là pour des parties de touche-touche et des baisers plus ou moins profonds, mais elle n’avait jamais été bien loin avec eux. La peur du SIDA y était pour beaucoup et aussi le risque de grossesse. On peut difficilement acheter des préservatifs à 15 ans à la campagne, en 5 minutes tout le village serait au courant!
-Mets toi à genoux, les mains derrière le dos, lui ordonna-t-elle, ce qu’il fit sans rechigner.
D’un geste rapide, elle lui attache les mains derrière le dos et lui enfile sa culotte sur la tête. Il renifle l’odeur de son sperme qui l’imprègne et son excitation revient. Sa queue durcit à nouveau et vient se coincer sur la fermeture éclair de son jean. Il ne voit pas ce que fait sa cousine qui est allée cueillir une tige d’ortie, sans se piquer. Elle sait comment s’y prendre. Elle s’accroupit devant le cousin et ouvre sa braguette ce qui a pour effet de faire jaillir la verge de Claude dans sa main.
-Eh bien, on peut dire que tu as la santé toi au moins, dit-elle d’un air admiratif. Moi je n’en peut plus, alors pour t’occuper cette nuit je vais te faire un petit massage d’un genre très particulier, et elle éclate de rire.
Tenant le sexe de son cousin dans une main et, après l’avoir branlé pendant plusieurs minutes sans le faire jouir toutefois, elle prend la tige d’ortie et fouette la verge turgescente avec. Son cousin pousse un cri et veut se gratter mais impossible il est attaché. Bientôt, il se roule par terre essayant de calmer les démangeaisons en frottant sa queue dans l’herbe fraîche. Sa cousine ri aux éclats de le voir faire. Il ressemble à un gros ver de terre. Il la supplie de le détacher mais elle lui dit plus tard, qu’ils ont le temps; il est trop drôle comme cela. Claude ne trouve pas ça drôle du tout, il veut se gratter, se branler, faire stopper cette brûlure qui l’excite au plus au point. Finalement il se retrouve à plat ventre dans l’herbe en train de donner des coups de reins dans le sol et ce que sa cousine espérait, se produit finalement, il jouit dans la terre, dans un sursaut énorme qui le soulève du sol avant de le faire retomber épuisé, vidé, sans réaction.
Sa cousine, l’a vaincu, définitivement cette fois-ci, il lui appartiendra pendant toutes les vacances. Il sera tour à tour, son esclave, son amoureux empressé, son chien, son amant, et il ne se souvient plus de tout ce qu’elle a pu lui faire subir durant ces semaines d’été. Il se rappelle avoir fait jouir sa cousine et avoir joui lui-même plusieurs fois par jour, parfois dans sa chambre, mais le plus souvent dans des lieux aussi inattendus qu’étranges comme ceux que l’on peut rencontrer dans une ferme à la campagne. Elle l’obligeait même à se branler en présence de ses parents mais sans qu’ils le sachent bien entendu! Cela se passait au cours des repas ou le soir devant la télé. Bref des vacances affreuses et géniales à la fois qui lui ont laissées un souvenir impérissable. Elles furent épuisantes mais aussi très instructives pour lui. Il savait maintenant beaucoup de chose sur le mystère qui entoure les filles et ses prochaines petites amies allaient en bénéficier.
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