Jeudi 8 mars
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Retour de soirée - « in vino veritas ! »
Ce dernier samedi d'avril, nous revenons, mon mari, Pierre, et moi, Jeannine, d'un dîner chez des amis.
Après trente ans de mariage, mon mari est toujours insatiable, tandis que moi depuis quelques années, ma libido a disparu, et la « chose », que mon corps réclamait si intensément, m'est aujourd'hui bien indifférente, même insupportable, car la pénétration m'est fort douloureuse.
Nous avons tous les deux soixante ans. Lui 1,80 m, svelte, toujours plein d'humour. Moi 1,63 m, 59 kg, visage agréable, même joli, dit-on, lèvres pulpeuses, certes, exquises pour les baisers, mais aussi, à la bonne époque, pour un autre délice ! Les formes sont généreuses aux bons endroits, par exemple pour mes avantages : un 90 D !
À ce dîner, nous n'étions pas quatre, soit deux couples, mais cinq ! Un jeune noir, dans la vingtaine, que le mari de ma copine avait connu lors d'une mission en Afrique, Alban, venu à Paris pour ses études en médecine, est aussi grand que mon mari mais beaucoup plus athlétique. Les traits de son visage sont fins, sa voix est suave, en harmonie avec la calme personnalité du jeune homme.
En voiture, nous reconduisons Alban. Arrivés devant chez lui, il nous fait la remarque :
- Nous n'avons pas pris de café... Voulez-vous monter en prendre un ?
- Tiens, c'est vrai ! Tu es d'accord, Jeannine ?
J'acquiesce, et nous voilà dans son petit appartement modeste, mais propre et tout en bon ordre.
- Je vous avoue, Alban, que votre café est bienvenu ; il va m'aider à me dégriser car le repas était bien arrosé...
Alban nous fait installer dans son salon, puis passe dans sa petite cuisine. Mon mari, constatant que je suis bien pompette, me demande si je n'ai pas quelques nausées. Je le rassure tout en lui disant que je piquerais bien un somme.
- Tu as remarqué, Jeannine, comme Alban te regardait ? Il a l'air d'en pincer drôlement pour toi !
- Oui, je l'ai remarqué... Mais je n'y puis pas grand-chose et cela m'est bien égal ! Ceci dit, je vais aux toilettes...
Après avoir fait mon petit besoin et quelques légères retouches au visage, je retourne au salon où je trouve mes deux hommes installés dans le divan, mais pas de café dont je sens pourtant l'arôme en provenance de la cuisine. Alban s'explique :
- Jeannine, j'ai deux bouteilles de champagne au frais... Cela vous tente ? Mais attention, c'est du brut !
- Ah du brut ! C'est ce que je préfère ! D'accord pour le champagne, Alban !
Petite discussion banale sur le dîner de nos amis ; alors que nous en sommes à notre troisième coupe, Alban se lève pour mettre un peu de musique, un slow et m'invite à danser.
- Avec plaisir, Alban, cela fait si longtemps que je n'ai pas dansé.
Me voilà dans des bras d'un autre continent. Cette danse est langoureuse, je me sens bien, légère, heureuse et tout naturellement ma tête se pose sur l'épaule de mon partenaire. Je sens son odeur, son musc un peu fort, mais que j'apprécie. La main d'Alban fait pression sur ma taille ; au gré des pas, mon bas-ventre frôle une puissante érection. Je suis étonnée de ma réaction, car ce contact, bien loin de me révolter, semble m'attirer, m'exciter !
Toujours est-il, que prise d'un délicieux vertige, comme dans une semi-inconscience, par des frottements pressants, je manifeste mon intérêt pour cette jeune et ferme tige. Là, Alban, encouragé, prend les choses en main en saisissant ma croupe qu'il commence à malaxer. Mon regard croise celui de Pierre ; nous échangeons un sourire ; il se lève, se place derrière moi pour détacher ma jupe. Alban en profite pour glisser ses mains dans ma culotte étant ainsi en prise directe avec mes fesses. Je ferme les yeux pour apprécier la douce chaleur qui m'envahit et me décolle légèrement de mon cavalier, invitant ainsi mon mari à libérer mes deux hémisphères.
Dans la chambre, jupe et culotte abandonnées dans le salon, Alban détache ma blouse, Pierre, derrière moi, la fait glisser de mes épaules. En soutien-gorge pigeonnant, ultime voile, je ressens fortement la convoitise du jeune mâle qui ne résiste pas à déposer un baiser sur mes seins. Lentement Pierre dégrafe, Alban fait glisser les bretelles.
Ah ! le regard d'Alban lorsqu'il aperçoit mon offrande ! Encore aujourd'hui je mesure l'émerveillement d'un homme au vu des seins. Comme il est écrit : « Le sein nourrira l'enfant et réjouira l'homme ! » Alban les soupèse, et ne tarit pas de compliments ; il me suce les mamelons et je tressaille.
- Vos seins sont lourds et étonnamment fermes, Jeannine !
- C'est toujours ce que j'apprécie, ajoute mon mari.
Je retrouve mes sensations d'autrefois ou je rêve ?
En écrivant ces lignes, mon mari et moi, nous interrogeons. Fallait-il donc quelques coupes de champagne ? In vino veritas : dans la vérité est dans le vin ! Mais aussi, et surtout, un ensemble de circonstances favorables pour un tel choc émotionnel ?
Allongée sur le lit, nue, les pieds par terre, les fesses sur la tranche du matelas, les cuisses largement ouvertes, me voici offerte. Dans une profonde euphorie, je me sens bien détendue et aperçois un membre noir, lui, bien tendu. Alban s'agenouille sur le bord du matelas, sa queue touche mon nombril, glisse sur mon ventre pour remonter entre mes seins, que je réunis, pour l'emprisonner. Après un court temps d'arrêt, qui me permet d'apprécier le poids exquis et chaud du scrotum, Alban entame ses glissades ; son gland effleurant mes lèvres, j'ai soudainement envie de le happer. Pierre me sourit ; Alban se dégage de mes seins pour me poser son gland sur ma bouche. J'accueille le fruit noir, si chaud à mon palais ! Pierre jubile, baise mon front, caresse mon visage. Mais Alban se retire de ma bouche : ses lèvres aspirent fortement mes mamelons et je me sens comme électrisée. Sa langue descend le long de mon ventre, s'attarde quelque peu sur mon nombril, rôde vers mon aine, tandis que sa main caresse mon pubis. Ma chair attend... Être allongée devant lui, nue, pétrie, qui plus est au regard de mon mari, éveille au niveau de mon plexus un charivari qui se propage maintenant jusqu'à mon entrecuisse.
Ses lèvres s'emparent délicatement de mon clitoris, l'aspirent. Tous les replis de ma vulve sont léchés par sa brûlante langue. À mon grand étonnement une manifestation du désir semble poindre, s'amplifier même. Je commence à couiner et ne peux me retenir de clamer à mes deux hommes que je vais défaillir. Dans un geste lascif, mes bras se tendent, mes doigts s'incrustent dans les cheveux crépus et je maintiens la tête de mon amant pour mieux sentir sa bouche sur mon sexe, sa langue me fouiller au plus profond. Je m'agrippe à ses cheveux, par peur de chavirer. Ouf ! Mais quel délice ! Je n'ai pas le temps de sentir arriver mon orgasme et, bouleversée par son intensité, j'exulte dans cette ivresse enfin retrouvée.
Alban reprend son souffle, me sourit, satisfait de m'avoir fait revivre. Il hume ma chair quelques instants, puis de nouveau sa langue reprend un délicat balayage comme pour apaiser mes sens. J'apprécie beaucoup et très détendue, je flatte cette tête qui me procure un tel ravissement. Je me laisse aller ; je souris à Pierre qui caresse mes seins ; nos lèvres s'unissent pour un profond baiser. Je suce avidement sa langue, tandis que celle d'Alban s'active dans mon sexe. La langue se retire pour laisser place au doigt qui glisse lentement sur ma vulve abondamment détrempée de salive. Il écarte mes grandes lèvres, joue longuement avec les petites, puis s'insinue précautionneusement à l'entrée de mon vagin. Maintenant, son doigt me visite par petites touches.
- Dis-moi si tu sens la moindre douleur Jeannine ; dans ce cas, j'arrêterai.
Comprenant que Pierre lui a fait part de ma douleur à la pénétration, je lui souris :
- Merci pour ta délicatesse, Alban ; je ressens en effet un déchirement, parfois plus intense, mais continue de m'ouvrir tout doucement, j'ai tellement envie que tu me pénètres, Alban. Mon désir l'emportera peut-être sur la douleur.
Alban retire son doigt pour le porter à sa bouche ; il me sourit.
- Ta légère lubrification prouve que tu es encore très excitable Jeannine et c'est donc le bon moment pour rouvrir le passage de ton plaisir.
- Enfin une excellente nouvelle, chérie ! s'exclame mon mari. On te devra énormément, Alban et tu pourras, comme nous deux, en profiter !
Deux doigts se glissent, ébréchant un peu plus ma fente. Je ressens une sensation de brûlure, de déchirement, mais en même temps le désir semble poindre. Les doigts se retirent puis la langue revient me butiner avec une telle allégresse que mon bassin se soulève, s'agite, mes mains caressent le visage, mes cuisses l'emprisonnent. Je halète de plus en plus, Pierre masse mes seins, pince mes mamelons... Je veux aller plus loin. Je fais placer Alban sur le dos...
- Tu as raison Jeannine, viens sur moi !
Pierre bande tellement que je suce son gland abondamment juteux ; puis je passe à mon mélanoderme. De saisir le membre si chaud et bien dur du jeune mâle, décuple ma lascivité. Alban, les jambes jointes, je me place au-dessus de lui en écartant largement mes cuisses ; son gland est tout aussi ruisselant que celui de mon mari. Je le dépose sur ma vulve pour l'y faire glisser brièvement : je me sens tout électrisée. Alors, lentement, je m'empale sur le long pieux d'ébène, je pousse afin qu'il m'écartèle et ouvre à nouveau le passage ; mes chairs se distendent. La sensation est comme lorsqu'on retire le pansement d'une plaie. Je marque une courte pause. Alban abandonne mes seins pour m'attirer sur lui. Ses mains caressent mes fesses, puis les écartent. Je m'attends à la visite de son médius. Ce que je ressens alors est sublime : la langue chaude de mon mari flattant mon huis. Mon désir s'accroît d'autant qu'Alban fait palpiter sa queue. Mon envie de jouir est tellement intense que je décide de pousser à fond sur le membre du jeune carabin. Mes chairs se déchirent et je ne peux retenir un cri de douleur, mais je sais que le passage est de nouveau ouvert. Alban me murmure :
- Ne bouge plus, ma chérie. Lorsque tu te sentiras à l'aise, tu reprendras l'initiative. Tu peux aussi, si tu veux, te retirer.
- Merci Alban. Je crois que cela va aller. Te sentir en moi est si merveilleux. Je veux tellement jouir avec toi, chéri !
Et pour la première fois nous échangeons un baiser profond. Ses lèvres épaisses se soudent aux miennes, nos langues fraternisent, tandis que celle de Pierre s'active merveilleusement dans mon anus.
- Tu es très excitable, Jeannine... Maintenant, après cette nouvelle défloraison, tu devrais avoir des pénétrations plus régulières, plus fréquentes afin de bien entretenir ton chaleureux passage.
J'acquiesce et accélère légèrement ma cadence sur ce phallus d'ébène dont le coulissement m'est davantage supportable, voir même beaucoup plus agréable malgré une sensation moindre de plaie à vif. Comme j'en rends compte à mes deux mâles, mon mari me suggère d'être prise en levrette, lui désirant se placer sous moi pour me passer sa langue. Chose dite, chose faite. Je me positionne au-dessus de la tête de Pierre alors qu'Alban place sa queue entre mes cuisses. Appuyée sur mes bras, mes fesses malaxées par les mains d'Alban, je sens son membre tendu et ruisselant glisser sur mes grandes lèvres. Mes seins garnissent les mains de mon mari, alors que sa langue flatte, savoure mon bouton et passe savamment sur ma vulve ; je suis pénétrée par la queue de mon jeune amant.
Ses va-et-vient, très lents, sont de plus en plus profonds, mais d'une grande délicatesse ; malgré cette vive irritation qui m'incommode, je sens naître le plaisir grâce à la si délicieuse conjonction langue-queue. Curieuse aussi, je m'efforce de voir, sous moi, mon mari qui me lèche ; il marque une pause, déplace légèrement sa tête. J'aperçois alors, bien sûr, sa bouche au ras de ma chatte, mais aussi les lents allers et retours du membre noir. Alban se retire complètement, puis, voulant à nouveau me pénétrer, son gland frôle les lèvres de mon mari et, pour un bref instant, trouve refuge dans un nouvel antre. Ma surprise est de courte durée, car Pierre me réintroduit le précieux sceptre. Je ressens encore de la difficulté, mais mon passage me paraît bien rouvert. Encouragé par les ondulations de ma croupe, Alban accélère un peu son rythme. L'activité linguale aidant, mon désir va crescendo et je commence à ahaner bruyamment.
- Alban, mon chéri, vas-y plus vigoureusement ! Pilonne-moi fort !
- Avec plaisir, Jeannine, mais n'hésite pas à me dire si tu as mal.
Entendant nos propos, Pierre s'exclame :
- Chérie, je veux voir ça ! Change de position ! Mets-toi sur le dos, jambes en l'air !
Je me positionne donc, jambes en l'air, maintenues par Alban.
- Pierre, tu veux voir ma queue noire dans la chair blanche de ta femme ?
- Oui, Alban, la voir entrer et sortir lentement ; voir le visage de ma femme irradié de bonheur...
- Ah, mon mari, si de me voir faire l'amour avec un jeune amant de couleur te procure un immense plaisir, tu ne peux pas imaginer combien, en ta présence, le mien est encore plus fort !
Je demande à Alban de me pilonner plus vigoureusement. Ses coups de boutoir se font plus longs, plus profonds. Mon corps se cambre sous chacune de leurs poussées, les avale. J'ai l'impression de voler avec lui. Le plaisir croît, malgré la douleur encore persistante. Je sens son sexe enfler, puis comme une vague puissante déferlant sur la grève, je sens venir mon spasme tout aussi puissant. Alors que d'un cri rauque, je manifeste ma jouissance, une seconde vague se propage intensément dans mon être tout entier : je connais un anéantissement sublime. Je m'effondre. Ma respiration est haletante, comme après une course. Je reprends mes esprits, encore stupéfaite de ce moment d'ivresse impressionnant.
Mes deux hommes, quelque peu abasourdis de me voir dans un si magnifique état, me sourient. La queue d'Alban est toujours en moi, elle palpite comme pour réclamer son dû. Je comprends que lui n'a pas eu son plaisir. Je ne peux le laisser ainsi, je me dois de le récompenser mais aussi, et surtout, je vais aussi m'accorder un autre plaisir que je n'ai guère savouré depuis longtemps.
Alban, allongé sur le lit, les fesses sur la tranche du matelas et les pieds par terre, je suis agenouillée entre ses cuisses largement ouvertes et je contemple cette fabuleuse merveille d'ébène. D'une main, je soupèse le lourd scrotum, de l'autre je masse délicatement ce membre qui m'affole. Je l'hume, je badigeonne mon visage du mélange de nos sécrétions. Pierre me regarde, si étrangement heureux. Le fixant dans les yeux, lentement ma langue caresse le gros bourgeon noir d'où s'écoule le premier jus précurseur du flot dont je vais libérer mon jeune amant.
- Oui, ma chérie, tu es magnifique ainsi ! Fais-toi plaisir et fais plaisir à Alban en le suçant à fond. Montre-moi bien l'instant où sa semence se déversera dans ton palais. Je serai comblé !
Alors, je me mets à la délicieuse besogne, suçotant le bout du gland, ma langue faisant des vrilles. Ma main coulisse sur le membre, descend lentement très à fond pour remonter, sans cependant, recouvrir complètement le fruit noir dont j'attends l'écoulement du suc. Mon bel éphèbe soulève ses reins pour tenter de glisser le fruit gonflé entre mes lèvres. Mais, souriante, je retarde encore abaissant fermement le prépuce. Ma patience est récompensée : une première petite coulée de suc clair s'échappe du méat, glisse sur le frein. Comprimant légèrement le gland, une seconde vient, lubrifiant davantage le frein et déferle lentement le long du membre. Alors ma langue entreprend d'abord quelques caresses sur les bijoux de mon heureux supplicié pour, ensuite remonter le long de la hampe et savourer cette liqueur, prélude à la jouissance, que j'apprécie bien plus que l'ultime. Alban gémit, soulève davantage ses reins ; il veut que je l'enfourne. Pierre me regarde, son membre ruisselant du même suc ; je vais, là aussi, me délecter.
Revenant à Alban, j'absorbe son gland, ma tête commençant de lents va-et-vient tandis que d'une main, je le masturbe. Mon bienheureux s'agite et me supplie. Sentant la fin de son tourment proche, nous changeons de position : moi sur le dos, lui au-dessus de moi, ses genoux sous mes aisselles. Je laisse alors Alban, appuyé sur ses avant-bras, coulisser dans mon palais. Il fait l'effort de se retenir pour ne pas s'emballer au risque de m'étouffer. Comme il a pris la bonne mesure, mes mains caressent ses fesses tandis que mon médius s'introduit légèrement dans son petit passage.
Pierre a vu mon geste et me fait part de son approbation. Il contemple avec un ravissement indescriptible les lentes entrées et sorties de cette queue noire dans ma bouche, puis je garde le gland seul pour lui administrer de fortes succions. Alban nous avertit qu'il va éclater. Il s'agenouille. Pouce, index et majeur, de ma main droite, saisissent alors son pieu, le masturbent par petites et fermes saccades sans recouvrir le gland qui repose sur ma langue tendue. Bouche bien ouverte, j'attends l'expulsion de bonheur de ce gentil et beau garçon qui a su faire renaître le mien et, tout aussi important, celui de mon cher époux. Alban nous avertit qu'il va éclater ; mon mari, à ma gauche, approche son visage et assiste alors aux trois ou quatre jets puissants de la semence propulsée dans mon palais. Le membre perd de sa consistance, je le comprime pour en extraire un reliquat, non négligeable, qui échoue sur ma langue. Je souris à Pierre en déglutissant cet abondant élixir ! Le jeune mâle ne manque pas de compliments, puis bascule sur le côté.
- Viens, mon chéri, je veux, toi aussi te sucer... Cela fait tellement longtemps que dure ton sevrage.
Il n'est pas long et son expulsion n'a guère la vigueur ni l'abondance de la précédente reçue. Qu'importe, elle me comble, me souvenant de notre jeune temps. Comme à cette époque, au lieu de s'assoupir, Pierre veut me satisfaire à nouveau. Il me fait placer au-dessus de lui, mes genoux sous ses aisselles, et entreprend de me lécher jusqu'à me faire jouir !
oooOOOooo
Allongée entre mes deux hommes, je les regarde dormir. Alban m'attire vertigineusement. Je relève le drap, pose doucement ma tête sur son ventre tandis que ma main cajole sa queue encore inerte. Tendrement, j'extrais de son capuchon, le petit fruit noir encore trempé, pour le réchauffer de mes lèvres, de ma bouche où je le garde. Ce n'est pas long. Ma bouche et mon palais se remplissent d'un remarquable volume.
Mon mari, réveillé, assiste à la scène et bande ; son gland ruisselant trouve, un bref instant, asile entre mes lèvres.
Alban prend tendrement mon visage dans ses mains. Je lâche le précieux membre pour m'avancer lentement vers son visage et au passage de mes seins, je caresse la splendide virilité de mon fougueux mélanoderme. Pierre nous regarde. Je lui souris car je sais ce qu'il attend que je fasse. Je glisse le pieu d'ébène entre mes seins que je réunis de mes mains.
- Quel magnifique contraste, ma chérie ! N'est-ce pas, Alban ?
- Oui Pierre, les seins de ta jolie femme sont somptueux ! Mes 22 centimètres y sont bien au chaud ! Ils ont presque disparu ! Ah je vois la tête sortir ! Tu dois faire un mètre de poitrine Jeannine ?
- Oui Alban, 98 cm ! J'en ai de la chance avec toi chéri ! Tu es bien membré, mais la grosseur ? Tu sembles plus gros que Pierre...
- 13 cm de circonférence ; je crois que la fourchette est de 11 à 14,20 cm.
- Ah c'est le même calibre que Pierre ! Pourtant tu me parais plus gros que lui.
- Ma chérie, Alban a vingt et un ans. Il bande beaucoup plus fort que moi ; la différence est là ! Et quatre centimètres de long en plus pour te combler, ce qui n'est pas rien ! Vas-y, ma chérie, masturbe Alban entre tes fastueux appas ! Que je suis heureux de voir cette belle queue noire entre tes beaux seins ! Admirable de te voir, tout à l'heure, pomper un tel morceau, ma chérie !
Alban m'interroge :
- Chérie, maintenant que tu as retrouvé ton tempérament de jeunesse, est-ce que tu aimerais rencontrer un de mes très bons amis ?
Quelque peu étonnée de cette proposition :
- Mais Alban, je ne voudrais pas tout de même passer pour...
- Je comprends ce que tu veux me dire, Jeannine. Ne te préoccupe pas de ça et je crois que Pierre sera de mon avis, profite donc du bonheur que cela peut t'apporter ! Une femme a cette chance de pouvoir jouir plusieurs fois avec trois ou quatre hommes et même plus, alors que nous, nous sommes bien limités.
- Alban a raison, ma chérie. Quant à moi, je suis pleinement d'accord pour te voir prise par trois ou quatre jeunes mâles. La décision t'appartient donc et tu pourras vérifier, d'une part, si tu ressens encore quelque gêne à la pénétration et, d'autre part, juger de ta capacité de jouissance.
Je ne donne pas suite à cette proposition, mais dans le fond et imperceptiblement, je reconnais qu'une telle salacité me comblerait.
Alban bien enserré, je commence donc le doux supplice.
Quel bien-être de sentir la chaleur, la fermeté, mais aussi la douceur de ce membre entre mes seins ! Un ravissant contraste, ce noir enveloppé de blanc ! Il disparaît et resurgit successivement ! Enivrant spectacle, lorsque le gland noir, gonflé, émerge d'entre mes deux blanches rondeurs. Alban pousse un peu plus, j'ouvre la bouche et le cueille. Alban gémit. Du plaisir de voir mes seins emprisonner une telle proie, Pierre exulte et bande fort. Son bonheur est à la mesure du mien ; ses doigts prennent possession de ma chatte en rut, un autre s'enfonce divinement dans mon petit trou. Je ne sais plus où j'en suis. Mon plaisir, ma jouissance. Je bascule sur le dos, mes seins et ma bouche libèrent la belle queue d'ébène. Mes cuisses s'ouvrent sous le feu qui me dévore. La bouche, la langue de Pierre viennent à mon secours, suçant, fouillant dans mon antre, tandis qu'Alban se place à genoux au-dessus de moi. D'une main, je malaxe avec douceur ses couilles dont l'odeur m'affole, de l'autre je saisis sa splendide queue la décalotte pour enfin me délecter du gros fruit au suc abondant. Pierre me lèche et me boit à merveille. J'aspire goulûment et branle, lentement, l'énorme salsifis dont j'attends la chaude sève. Mais ma bouche le lâche pour pouvoir expulser un râle puissant d'extase ! Mon orgasme me bouleverse ; je tente de reprendre mon souffle, alors que la queue formidablement tendue s'agite sur mon visage.
Pierre est maintenant placé près de nous pour voir Alban me badigeonner le visage de son gland ruisselant des prémices de sa jouissance qu'il glisse plusieurs fois sur mes lèvres sollicitant leur ouverture. Ma main prend l'imposant phallus d'ébène ; je respire profondément son puissant parfum exaltant qui me rend lubrique. La pointe de ma langue virevolte sur la gourmandise noire. Alban pousse gentiment, cherchant le passage. Mes lèvres s'arrondissent, ma bouche s'entrouvre, juste ce qu'il faut, pour l'entrée du visiteur tellement désiré. Il est là, mes lèvres et ma bouche l'enveloppent et au niveau du bourrelet du gland, très délicatement, mes dents l'enserrent. À chacune de ses incursions, il est, ainsi, soumis à un voluptueux limage. Le jeune amant noir veut plus encore et moi je le veux encore plus profond. Une bonne respiration, je tends son prépuce et enfourne tout ce que je peux des 22 cm ; je le branle, lentement, mais à fond.
Alban me demande de le serrer fort ; ma langue et mes lèvres répondent à son désir ; il se met à coulisser dans ma bouche. Quelque peu étouffée, je me délecte, néanmoins, de la chaleur, de la grosseur, de la saveur du fabuleux membre. Alban m'annonce que sa fin est proche ; voulant apprécier les jets de son bonheur et que mon mari en soit le témoin, bouche bien ouverte, je tends la langue sous son gland. Ma main s'agite sur la colonne et un, deux, trois jets chauds, violents sont propulsés dans mon palais, les derniers s'échouant sur ma langue. Je garde sa laite épaisse, au goût très relevé et déjà l'ex-superbe queue fond et le gland glisse hors de mes lèvres que je ferme aussitôt.
Tandis qu'Alban bascule sur le côté, je souris à Pierre ; j'ouvre la bouche et il constate l'abondante rasade de semoule que je déglutis lentement sous ses yeux.
Alban somnole.
- Jeannine, je voudrais tant te faire jouir avec ma langue ! J'aime ta chatte, son odeur, son goût... Ah, combien je t'aime, Jeannine !
- Si tu veux Pierre ! Tu sais comme j'adore ça, mais je crains que ce soit long.
Il me fait mettre à genoux au-dessus de lui. Je lui offre ma chatte, lui plaque sur sa bouche. Ses lèvres aspirent les miennes, sa succion merveilleuse me donne la sensation que ma vulve est à moitié absorbée par sa bouche avide. Maintenant, de sa langue Pierre me fouille au plus profond, tellement que son nez s'écrase sur mon pubis.
- C'est bon mon chéri ! Tu vas me faire jouir encore Pierre !
Il saisit mes fesses, je sens son doigt gratouiller mon petit trou, il me colle sur sa bouche et y va de succions alternées de coups de langue. Je m'agite intensément.
- Pierre, Pierre ! Continue, chéri, je vais jouir...
Je suis au bord de mon plaisir. Je ne tiens plus. Ah, j'aime quand mon mari me bouffe comme ça !
Violemment je frotte mon sexe sur sa bouche. Son nez fourbit mon clito, sa langue me balaye sublimement...
- Ah, Pierre ! Je viens, je viens ! Oh que c'est bon, mon chéri !
Je m'allonge sur le dos, souffle et me détends quelque peu.
- Tu n'as pas joui mon amour ? Viens ! Je veux te sucer chéri.
Il accepte et je lui administre le même traitement qu'à Alban. Il n'est pas long à me couler sa semence, pas avec la même puissance et abondance que mon jeune étalon, mais quel bonheur ! Quelle joie de voir Pierre me sourire lorsque j'ai en bouche la virilité du bel éphèbe Alban !
Grâce à la compréhension de mon mari, j'ai retrouvé mon tempérament de jeune femme. On ne sait ce que nous réserve l'avenir, mais je ferai le nécessaire pour profiter de ma sexualité retrouvée avec des mâles qui seront de mon goût mais aussi en tenant compte de l'avis de mon époux.
Lorsque je me réveille, il est 4 heures 30 ! Je fais lever Pierre pour rentrer chez nous. Alban se lève.
Nous fixons un rendez-vous pour la semaine suivante.
Rentrés chez nous, je fais part à Pierre de cette nuit extrêmement surprenante.
- En effet, ma chérie, je crois que tu l'as, comme moi, beaucoup appréciée. Mais il y a une chose que tu n'as pas faite avec Alban et que j'adorerais te voir faire...
- Tu penses à quoi ? Ah ça y est, je devine ! Faisons-la alors tous les deux, tout de suite, et bien sûr, la prochaine fois ça sera avec Alban.
Chose promise, chose due : j'ai offert mon petit passage à Pierre qui l'a d'abord généreusement fourbi de sa langue pour ensuite... Vous devinez la conclusion.
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