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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 02:09
Ce récit est la suite du texte « Retour de soirée »

Comme convenu, Alban nous a téléphoné. Le vendredi, en fin de journée, nous passons le prendre chez lui pour aller voir son « bon copain » qui, lui, habite dans une autre petite ville de l'Hérault.

Arrivés à une belle villa, nous sommes accueillis par un Africain, l'ami d'Alban. De grande taille, bien bâti, Jérôme, élégamment habillé, nous fait visiter la maison : quatre chambres à coucher, deux salles de bain...

Ses parents actuellement à l'étranger, ce jeunot de 23 ans est donc seul dans cette vaste villa. Dans le salon, une grande table basse est garnie d'une dizaine de flûtes à champagne, divers amuse-gueule et petits fours et, en son centre, un splendide bouquet de fleurs parmi lesquelles jaillit une merveilleuse rose rouge.


Installée sur le canapé, entre mon mari et Alban, Jérôme nous sert le champagne, du brut. La consigne a bien été passée ! Puis il s'assied dans un fauteuil, me faisant face. Durant la conversation, il me regarde avec un sourire qui découvre une belle dentition. Je porte une jupe courte, noire, et un chemisier légèrement saumoné, dont l'échancrure vaut le coup d'œil. Jérôme ne se fait pas prier pour regarder lorsque je me penche vers la table basse pour taper dans les amuse-gueule et petits fours. Alban pose sa main gauche sur mon genou bien découvert ; la chaleur de sa main passe comment un courant le long de ma cuisse et, instinctivement, mes cuisses s'entrouvrent légèrement. Le regard de Jérôme s'y glisse rapidement. Je lui souris ; il se lève alors, prend la rose rouge et vient me l'offrir. Je me lève ; il me serre doucement par la taille, contre lui, tandis que moi, tenant ma rose d'une main, je pose l'autre sur son épaule et plaque bien mon bas-ventre contre le sien, pour discrètement mesurer l'intensité de sa forte érection. Il m'embrasse sur les joues et me glisse dans l'oreille des mots plus qu'aimables qui feraient rougir une jeune vierge, alors que moi, je les ressens avec une intense salacité.

Mais voilà que l'on sonne à la porte. Jérôme s'excuse et va voir. Alban m'interroge :

- Comment le trouves-tu, Jeanine ?

- Gentil ! Bien balancé, mais je te préfère beaucoup, toi, Alban !

- Ouais ! Tu vas avoir une bien grosse surprise, chérie !

On entend parler à l'entrée. Il semble qu'il y ait trois personnes, trois voix d'hommes. Au bout de quelques instants, Jérôme revient accompagné de deux hommes, deux Africains.

- Voici deux de mes copains, de passage dans la région. Je ne peux pas leur refuser de prendre champagne avec nous. Je vous présente Didier et Emile.

Ah ! ce Didier, qu'il est mignon ! Nos regards se sont accrochés. Son sourire timide me va droit au cœur. Il comprend, lui aussi, qu'il me plaît, que je lui plais. Les deux nouveaux venus s'installent en face de moi. Je n'ose faire voir aux autres que j'ai un « ticket » avec Didier, aussi je fais des sourires à tous. Puis soudain, je comprends tout ! Ils ne sont pas de passage ! Ce n'est pas un « bon copain » qu'Alban voulait me présenter, mais bien trois ! J'ai comme une boule à l'estomac, je sens mes jambes qui flageolent ; heureusement que je suis assise ! J'entends à peine la conversation. Je vide ma coupe et en prends une autre. Pierre me jette un œil ; je crois que lui aussi a compris que je suis tombée dans une souricière ! Il s'assied à côté de moi et murmure :

- Ça va, Jeanine ?

- Hum ! Hum ! Oui.

Je dois me ressaisir, après tout ce n'est que l'effet de surprise.

Je m'excuse auprès de ces messieurs et vais à la salle de bain. Là, une petite retouche du visage, rouge à lèvres et le grand jeu... je retire mon soutien-gorge, ajuste une bonne ouverture à ma blouse et retire ma culotte. Je passe mes doigts sur ma vulve pour constater, avec une agréable surprise, que mon frottement avec Jérôme et la touche avec Didier ont eu un effet magique. Tant mieux ! Mes mâles vont en profiter et moi tout autant. C'est donc avec grande assurance que je retourne auprès de ces messieurs.

Ah ! Quel formidable ravissement de voir tous ces regards concupiscents qui me transforment en une femelle en rut ! Le terme est fort, mais exprime bien l'état dans lequel je me trouve. Oui, je me l'avoue, cela fait des lustres que je n'ai pas eu une telle envie de saillies, comme les premières connues avec Pierre !

Sur le divan, je m'installe entre mon mari et Jérôme qui a tôt fait de repérer ma blouse généreusement échancrée et d'y introduire sa grosse patte tandis que de l'autre il finit de la déboutonner pour en faire jaillir mes seins ; l'un est étonnamment malaxé avec douceur, tandis que le téton de l'autre est sucé par ses lèvres épaisses. Je ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse et régale les yeux de mes autres mâles de mes cuisses largement offertes.

C'est alors que mon mari intervient :

- Jérôme, avant de continuer ton amoureuse dégustation, je crois qu'avant les grandes manœuvres auxquelles vous êtes tous conviés, il faut préparer le terrain. Pourquoi ne pas dégager les meubles dans un coin de ce vaste salon et placer des matelas sur le parquet ?

L'accord étant unanime, tous, déjà torses nus, s'activent à déplacer les meubles. Je fais un clin d'œil à Didier pour qu'il m'aide, avec mon mari, à ranger les verres et les plateaux pendant qu'Alban, Emile et Jérôme montent à l'étage pour aller chercher les matelas. Didier et mon mari rient, tout en rangeant la verrerie. Je m'approche près de Didier, par derrière, entoure sa taille, colle ma joue sur son dos nu et chaud et dis à Pierre :

- Serais-tu d'accord mon chéri pour que Didier, seul, vienne un soir à la maison ?

- Tout à fait d'accord ma belle. J'ai vu que Didier et toi, ça a fait un beau « tilt ».

- C'est vrai Pierre ta femme me plaît énormément. Dès que je l'ai vue j'ai craqué ! Tu peux me croire, Pierre, je la traiterai avec respect et douceur tant que tu le voudras, sans m'imposer afin de ne pas briser votre vie à deux.

Toujours plaquée contre lui, ma main droite glisse sur ses abdominaux, puis s'insinue doucement dans le pantalon... Pierre regarde mon geste, l'approuve. Je touche au but :

- C'est vrai que Didier m'aime énormément ! J'en tiens la preuve vivante !

Je dois faire vite, les autres redescendent ; j'offre mes seins à Didier...

Tout est en place, le parquet est matelassé. Allongée sur le dos, blouse détachée, genoux relevés, cuisses entrouvertes, je regarde ces messieurs enlever pantalons et slips, tandis qu'ils admirent avec une convoitise exacerbée la proie dont ils vont se repaître. De mon côté, je suis stupéfaite, ravie, de voir quatre queues noires, tendues à l'extrême, bien dressées, frôlant les ventres, positionnées à une heure, confirmant ainsi la tendre jeunesse de mes prétendants.

Encore cette petite angoisse qui resurgit : ma gorge se sèche, j'entends les battements de mon cœur. Oui, je vais subir les assauts de ces quatre membres noirs, dont celui de Jérôme est d'un très impressionnant calibre. Pour la première fois cinq hommes vont disposer de moi ! Pierre doit comprendre mon inquiétude car il se place à côté de moi, tandis qu'Alban ôte ma blouse et me murmure des mots doux d'encouragement. Emile, dont j'avais quelque peu oublié la présence, me sourit et cela semble m'apaiser. Je fixe mon Didier qui s'agenouille à mes pieds, caresse mes jambes pour remonter le long de mes cuisses. Le bien-être que je ressens alors me les fait ouvrir davantage. Je suis heureuse de lui offrir en priorité mon intimité que ses doigts pénètrent délicatement ; je ferme les yeux et me sens beaucoup plus détendue, plus réceptive.

Je ne sais qui retire ma jupe... Je suis entièrement nue, à la merci de mains qui parcourent mon corps. Une langue sur chaque sein, une troisième qui flâne sur mes cuisses pour remonter vers mon antre, deux hampes fermes, chaudes, déjà ruisselantes qui coulissent dans mes mains tandis qu'une troisième sollicite ma bouche. J'ouvre les yeux, j'aperçois Didier dont la langue fourbit mon sexe, et la queue qui frôle ma bouche est énorme : celle de Jérôme ! Voilà la grosse surprise à laquelle Alban faisait allusion ! Puis les mains qui tripotaient mes seins, les ont désertés ; les membres qui s'agitaient dans mes mains, se sont retirés. Le champ est libre pour Jérôme qui me sourit. Il est costaud, je crains sa brutalité, mais non. Ses gestes sont délicats ; il se place au-dessus de moi, glisse ses genoux sous mes aisselles pour me présenter, avec un sourire qui me met en confiance, son gros gland noir décalotté. Je lui rends son sourire ; mes lèvres frôlent son engin puissant, chaud et déjà abondamment juteux. Appuyé sur ses avant-bras, il s'infiltre légèrement entre mes lèvres ; nos regards sont rivés, complices et avec une infinie précaution il s'enfonce dans ma bouche. Ma main droite saisit le fabuleux sceptre, le maintient bien décapuchonné, tandis que ma gauche palpe les fesses musclées. La langue qui me fourbit me fait exploser ; de ma bouche obstruée par l'imposant visiteur sortent mes grognements de plénitude. Sur ma gauche, j'aperçois mon mari dont le regard grave mais plein de tendresse contemple ma besogne ; j'en suis à la fois émue et fière. Un autre bienfait m'envahit : mon entrecuisse s'ouvre pour recevoir, et avec quel délice, une lente et profonde saillie de je ne sais qui ; elle me comble, aux deux sens du terme, à tel point que j'en perds ma concentration sur la queue de Jérôme. Celui-ci se penche vers mon visage pour me susurrer :

- Tu fais merveille ma belle. Attention ! Tu ne vas pas tarder à déguster la récompense que je vais te verser.

Je retire le membre de ma bouche que je laisse ouverte en attente de la récompense. Pierre ne veut rien manquer ; il m'embrasse sur la joue et moi, toujours la splendide queue en main, je joins mes lèvres aux siennes. Nos langues se lient tandis que la virilité de Jérôme s'insinue entre nos bouches qui se dessoudent. Je masturbe lentement la colonne noire dont le gland sécrète le suc pour moi si exquis. Pierre voit la pointe de ma langue se diriger sur le méat pour récupérer le filet qui s'en écoule. Je comprime le gland pour provoquer un autre écoulement que je déguste sous le regard contemplatif de mon cher époux ; quel intense bonheur pour moi de voir mon mari partager cet instant, tous ces instants sublimes avec mes jeunes amants ! Ma libido m'est revenue certes, mais en même temps je prends encore plus conscience du sentiment amoureux qui me lie incroyablement à Pierre.

Jérôme craque ! La force de projection est étonnante et l'éjaculation très généreuse ! Alors que je savoure cette abondante sève chaude, Pierre s'empresse de me couvrir de baisers tout en me témoignant par des mots crus sa satisfaction. Quel bonheur !

Mon solide gaillard bascule sur le côté et je constate la rapide défaillance de sa superbe, cause du délicieux traitement que je lui ai administré et avec quel plaisir !

C'est Alban qui me baise ! Ah que je suis heureuse ! Nous échangeons un sourire. De chaque côté de mon visage, Emile et Didier, à genoux, me présentent leurs offrandes. Comme ils sont généreux ! Comment ne pas honorer ces si majestueux présents ! Didier se penche vers moi pour me murmurer :

- Emile est puceau.

Voilà donc ce qui explique son air tristounet, embarrassé. Je me sens, tout à coup, pleine de compassion pour lui. Mon devoir me commande de prendre en mains, si je puis dire, ce jouvenceau qui en bave déjà ! Ma main droite le maintient décalotté et l'attire gentiment vers mes lèvres. Je vais le gamahucher comme il se doit. Je me tourne brièvement vers Didier pour lui faire un clin d'œil ; il comprend que je vais soigner son copain et libère ma main gauche.

Mais Alban me tringle avec délice et mon plaisir va crescendo. L'apothéose ne saurait tarder car la baguette du maestro mène bien le concerto ! Ça y est ! Pour moi c'est le final et c'est tout juste si je ne hurle pas ma félicité. Ouf ! Foutrement bon, les contractions de mon utérus sous les chaudes aspersions !

Emile, quelque peu penaud de voir mon visage ravagé de plaisir, fait doucement coulisser son prépuce. Quelques instants pour reprendre mon souffle, mes esprits et j'entreprends la flûte, ô ! combien enchantée, de mon jouvenceau. Mes lèvres l'enrobent juste au bourrelet du gland ; j'alterne succions et petits coups de langue sur le méat pour, toujours par égoïsme, me délecter des préludes de cette verge d'ébène. Le jeunot s'impatiente ; ses poussées se faisant insistantes, d'une main je soupèse ses boules bien gonflées, de l'autre je lustre son instrument, tandis que ma langue virevolte pour une mélodie de bonheur dont la fin prochaine m'est annoncée par les longs et profonds gémissements du jeune mâle. Ça y est ! Je reçois l'abondance de sa jouissance que je garde dans mon palais jusqu'à ce que, lentement, le membre s'évade hors de ma bouche ; je l'entrouvre pour permettre à mon mari de voir la copieuse semence que j'absorbe par petites gorgées.

Et maintenant Didier ! Ce garçon me plaît beaucoup, j'en suis folle. Bien entendu il y a le fort attrait sexuel mais aussi un côté sentimental indéfinissable. La douceur de son visage, ses mains fines, sa poitrine presque imberbe, son corps svelte, athlétique sans trop, la couleur de sa peau, noire bien sûr, mais pas d'un noir charbonneux. Comble du bonheur pour moi et pour l'usage bien particulier que je souhaite en faire, sa queue n'est pas trop épaisse mais d'une mesure impressionnante, s'approchant du diaphragme. Or, entre le pubis et le nombril, la distance moyenne étant de 20 cm et du pubis au diaphragme de 30 cm, j'évalue cette belle pièce de 25 à 28 cm. Ayant fait part de mon estimation à Pierre et Didier, ce denier me confirme les 28 cm.

- Ne crois-tu pas que je devrais offrir mon petit passage à la splendide queue à Didier ? demandé-je à Pierre.

- Oui ma chérie, je suis d'accord et Didier ne dira certainement pas non.

Didier et moi échangeons un sourire ; je fixe son gland ruisselant de désir que mes lèvres attendent d'envelopper. Il s'approche ; mon odorat est sensibilisé par les puissants effluves du scrotum qui me grisent, m'enivrent. Le gland frôle mes lèvres. J'ai tellement envie de le goûter que l'attente me paraît extrêmement longue. Ah ! Enfin il caresse mes lèvres et avec quelle douceur il les écarte, s'introduit dans ma bouche pour glisser sur ma langue. Ô queue, tu es bonne ! J'apprécie ta chaleur, la douceur satinée de ton gland et le généreux suc dont tu veux bien me gratifier.

Didier, à genoux au-dessus de moi, s'enfonce dans ma gorge ; mes mains malaxent ses fesses fermes. Son rythme est lent, c'est agréable, mais il ne va pas assez profond. De mes mains je fais alors pression sur ses fesses pour qu'il s'enhardisse ; il a compris : dès que je relâche la pression, il remonte. La cadence est maintenant bonne. Par moments je suis légèrement étouffée, mais c'est un vrai délice ! Ouf, les sensations sont extra ! Je sens que ma chatte mouille abondamment. Je voudrais bien, là, une langue ou une pénétration. Mais Didier se retire pour me laisser reprendre mon souffle. Je le fais mettre sur le dos et moi à genoux entre ses cuisses. Je prends la belle chose en mains sous les yeux de Pierre accoudé à ma gauche, toujours spectateur attentif et admiratif. Il jubile de voir mes lèvres lisser lentement le gland, en suçoter juste la pointe ; puis je le maintiens décalotté dans l'attente d'une coulée de sève, prémices de sa jouissance. Une première s'écoule lentement sur le frein, puis une seconde. Je regarde mon mari qui attend de voir ma langue éponger cet albumen dont je raffole. Je comble son désir, celui de Didier et le mien ! Ma langue récupère le précieux fluide. Didier ne tient plus, aussi j'absorbe au mieux toute sa queue.

Mon mari s'est éloigné de nous. J'en suis étonnée mais, pas longtemps ! Les éclairs d'un appareil photo saisissent la scène. Tant mieux ! Je pourrais ainsi revoir tous ces magnifiques instants avec Didier, toutes les saillies dont j'aurais profité, mes seins honorés de la semence de tous mes mâles, ma bouche sollicitée par ces jeunes membres.

Mes succions s'accentuent sur le gland de Didier. Il commence à gémir, son plaisir s'intensifie. Il nous avertit de sa fin prochaine. Je le prends en main, le masturbe lentement mais fermement, ne recouvrant pas le gland. Du méat, je vois sourdre mon nectar préféré. Mes lèvres pompent, et avec quel délice, la pointe du gland. J'aspire comme pour vider mon chérubin de tout son jus. Brusquement je m'emballe. J'accélère mes va-et-vient ; une sorte de frénésie s'empare de moi. Je retire la queue de ma bouche pour m'en badigeonner tout le visage et, en alternance, la sucer encore. À Pierre, émerveillé, je dis mon bonheur. Didier ne tient plus et son expulsion est proche. J'ouvre ma bouche, tends la langue afin que Pierre assiste au spectacle. Brusquement, de la queue noire, jaillissent quatre à cinq jets puissants qui tapissent mon palais d'une onctueuse et chaude semence ! Pierre peut en mesurer l'abondance et sous son regard je déguste le nectar de mon jeune amant.

Délicatement ma bouche recueille le membre déjà quiescent pour en absorber l'ultime reliquat ; puis Didier bascule sur le côté.

Mon mari m'offre une coupe de champagne, geste que j'apprécie, ce qui va encore, si besoin était, me plonger dans une griserie nouvelle. Ma bouche ainsi rincée, il goûte à mes lèvres, fouille mon palais, nos langues se mêlent. Je le fais coucher sur le dos et me place entre ses cuisses. Son gland est remarquablement baigné d'une généreuse onctuosité, due à la forte excitation du spectacle que je lui ai offert. Ma langue commence à recueillir le merveilleux suc qui s'écoule lentement. Je prends le gland en bouche et avec quel délice je savoure ce précieux jus si doux, si velouté ! J'aspire goulûment la sève de mon mari. J'en veux davantage ! Quel bonheur est le mien de sucer Pierre ! De l'entendre gémir sous ma caresse m'excite terriblement. Je sens mon désir s'accroître entre mes cuisses. Tout en le gardant dans ma bouche, Pierre et moi nous nous plaçons sur le côté. Il m'annonce qu'il va craquer. Je cesse de le masturber et ralentis mes succions. Je le lèche lentement. Ça y est ! Il se vide, me coule sa crème tiède. Je n'avale pas tout de suite ; j'apprécie la perte de son énergie, sentir fondre rapidement son membre. Je le garde jusqu'à ce qu'il retrouve la mesure de celui d'un enfant ! Le gland est maintenant tout petit. Pierre me sourit :

- Tu n'as pas encore avalé ma chérie ?

Je fais non de la tête. Il me sourit :

- Gourmande !

Ma bouche toujours garnie de sa petite présence, je déglutis lentement sa semence. Puis il s'évade de mon chaud refuge. Pourtant je ne puis résister au plaisir d'enfourner son sexe si diminué et son scrotum. Un bon moment, je garde le tout, bien au chaud, dans ma bouche, jusqu'à ce que Pierre s'assoupisse.
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