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Lundi 8 octobre 1 08 /10 /Oct 03:31
Les enfants ont deviné avant leurs parents que la jeune fille qui approchait avec un regard interrogateur était celle qu’ils attendaient avec impatience. Une nouvelle nurse pour s’occuper d’eux tous les jours, et de plus, elle est très belle. Ils se précipitent vers elle au grand dam de leur mère qui souhaiterait un peu plus de retenu de leur part.

La fille et le garçon arrivent à hauteur de Marie-Claude et lui demandent timidement si elle s’appelle bien Marie-Claude .

-Oui, c’est exact, et vous c’est John et Marie n’est ce pas ?

-Oui, oui, papa, maman, c’est elle je vous l’avais bien dit, s’écrit John en repartant en courant vers sa mère

-Du calme fiston, lui dit le père, il faut être poli quand même!

Il tend sa main à Marie-Claude pour l’accueillir tout en lui disant :


-Veuillez excuser les enfants mademoiselle, ils étaient tellement impatients de vous voir. Voici mon épouse Julia et moi même je me prénomme Harris. Vous c’est Marie-Claude ?

-Tout à fait, oui, enchanté de faire votre connaissance.

-Le voyage a été bon, lui demande la mère ?

-Oui, très bon, un peu fatiguant tout de même dit-elle en rougissant légèrement, ce qui n’a pas échappé au regard aiguë du père.

Tiens tiens, se dit-il, le jeune homme qu’elle saluait tout à l’heure à travers la vitre y serait-il pour quelque chose ? Bah, ce n’est pas mon problème, elle est jeune et belle et a bien le droit de s’amuser un peu quand même.

Ils repartent tous ensemble vers le parking où la voiture familiale est garée. Les bagages de Marie-Claude sont placés dans le coffre et Marie-Claude monte à l’arrière entre les deux enfants qui se serrent contre elle. Il manque un peu de place à l’arrière.



La maison des Taylor se trouve dans la banlieue Est de Lyon et le trajet dure environ une heure compte tenu des embouteillages inévitables en fin
d’après-midi. Elle apprend que les Taylor sont en France depuis quelques semaines pour le travail du père dans une filiale de la société anglaise dans laquelle il travaille. Il doit faire de nombreux voyages d’affaires et sa femme l’accompagne régulièrement. C’est pour cela qu’ils ont besoin d’une jeune fille au pair, sérieuse et capable de s’occuper des enfants pendant leurs absences.

Ils parlent de choses et d’autres, notamment de l’expérience de Marie-Claude comme garde d’enfants dans d’autres familles, de ses talents de cuisinière qui ne sont pas très développés mais suffisant pour nourrir des enfants pendant quelques jours. Ses références, qu’elle a données dans sa lettre de candidature, ont satisfait les Taylor et c’est pour cela qu’ils l’ont embauchée. Elle est toutefois à l’essai pendant un mois pour voir si les enfants l’acceptent.

Pour le moment, cela n’a pas l’air de poser de problème car John s’est endormi la tête sur son épaule ou plutôt son sein droit qu’il écrase un peu, et la main posée sur sa cuisse avec une tendance nette à aller vers entrejambe de Marie-Claude. Elle est d’ailleurs légèrement troublée par l’attitude pour le moins équivoque du garçon. Quant à la fille elle lui a carrément pris la main qu’elle caresse discrètement. La main de Marie est brûlante et cela trouble aussi Marie-Claude. Vu l’âge des enfants, la situation lui apparaît comme ambiguë. Sont-ils entrain de la séduire ou est-ce de l’innocence naturelle ? Elle n’est tout de même pas absolument insensible à ces attouchements discrets et elle se retient pour ne pas y répondre. Mais la nature est ainsi faite que son corps réagi malgré elle. Sa main dans la main de Marie est chaude aussi et elle se surprend à répondre aux caresse de la jeune fille qui manifestement s’échauffe de plus en plus. Marie-Claude voit les cuisses de Maris bouger à travers sa robe rouge et les mouvements ont tendance à s’accélérer au fur et à mesure que les minutes s’écoulent.

La pression des mains de Marie s’accentue de plus en plus et elle l’entend respirer plus vite. Si Claude ne l’avait pas vidé une heure auparavant, elle serait sûrement en train de caresser la fille en douce. Mais là, franchement sa vulve ne répondait plus. Eteinte pour quelque temps! Marie par contre semblait en pleine forme et elle continuait à se masturber en contractant les muscles vaginaux à un rythme de plus en plus rapide. Elle avait découvert ce plaisir discret, un jour par hasard, au cours d’un voyage en voiture avec ses parents et depuis elle passait le temps comme cela. Les voyages lui semblaient beaucoup moins longs depuis cette découverte!


Aujourd’hui son plaisir était plus important car elle tenait la main de Marie-Claude qui, manifestement, l’aidait dans sa quête du plaisir. Cela promettait des moments très agréables dans les semaines à venir. En attendant elle sentait un orgasme puissant monter entre ses cuisses et l’envie de se branler la tenaillait, mais là, dans la voiture ce n’était pas possible. Aussi, elle continuait ses mouvements alternés et d’un seul coup l’orgasme libérateur fut là, lui explosant dans la tête, et provoquant dans son corps un énorme frisson qu’elle eut beaucoup de mal à contenir. Sa main avait écrasé celle d’Marie-Claude qui avait immédiatement compris ce qui se passait dans le corps de la jeune adolescente. Elle l’accompagna du mieux qu’elle pu en serrant très fort la main de Marie et en pressant sa jambe contre la sienne, tout en répondant aux questions des parents de Marie qui, eux, n’avaient rien remarqué.

Marie reprenait doucement son souffle, le regard vague encore, essayant de redescendre de son paradis. Elle sourit à Marie-Claude d’un air complice et ferma les yeux pour revivre ce moment d’intense émotion. Elle s’endort presque aussitôt.

Marie-Claude s’aperçut qu’elle était excitait à nouveau et que cette petite scène avec Marie l’avait remise en forme. Mais voilà il n’y avait pas de possibilité de satisfaire son envie renaissante, pas de sexe en vue, pas de verge à sucer ou branler et encore moins pour s’empaler dessus à grand coups de reins. Tant pis pour elle, ce soir elle se rattraperait avec son vibromasseur, cadeau de son vieil amant qui n’arrivait pas toujours à la satisfaire.

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