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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 21:47
Le train venait de s’arrêter dans une gare de moyenne importance et des voyageurs étaient montés en partance pour Lyon ou Paris. La porte du compartiment dans lequel il était installé s’ouvre sur une ravissante jeune fille d’environ 20 ans, blonde, avec un petit nez retroussé Il a eu à peine le temps d’enregistrer ces détails que son regard est attiré comme par un aimant, vers le chemisier de la jeune fille. Bon sang se dit-il, je n’ai jamais vu de seins aussi pleins et pointus Elle n’a pas de soutien gorge ma parole. Dieu que c’est beau. Et aussitôt il sent une nouvelle fois sa queue bondir dans son jean et heurter la fermeture éclair.

-Vous pouvez m’aider à mettre ma valise dans le filet à bagages s’il vous plaît?

La fille a parlé mais il met quelques secondes à réagir tellement il est ému.

-Euh..oui, bien sûr; il empoigne la valise et, sans effort la pose dans le filet
au-dessus de lui. Voilà c’est fait.

A cet instant le train redémarre avec une petite secousse qui oblige la fille à se raccrocher à lui pour éviter de tomber. Il la rattrape et son regard tombe sur l’ouverture du chemisier, ce qui lui permet d’admirer deux magnifiques seins fiers et bronzés qui ne demande qu’à se laisser caresser. Le parfum de la jeune fille lui monte à la tête d’un seul coup et il bégaye plus qu’il n’articule un « excusez-moi, c’est le train qui... ». Sa phrase reste en suspend devant le sourire de la jeune fille. C’est le même que celui de sa cousine quand elle jouissait dans ses bras.

-Ce n’est pas grave, et merci pour la valise.

Elle s’est assise en face de lui légèrement décalée de façon à ne pas toucher ses pieds par inadvertance. Elle sort un livre de son grand sac à main et commence une lecture attentionnée sans se préoccuper de Claude qui n’en peut plus dans son jean décidément trop étroit. La couverture du livre est masquée par un couvre livre et il n’arrive pas à savoir ce qu’elle lit. Il voudrait bien lui parler mais n’ose pas la déranger. Elle a l’air tellement absorbée par sa lecture qu’elle l’intimide. Il reprend donc le fil de ses pensées tout en regardant à la dérobée les pieds de sa voisine. Au bout d’un moment, il est surpris par leur mouvement. La fille les croise, les décroise, les frotte l’un sur l’autre comme si... Son regard remonte le long de ses jambes bronzées. Des mouvements imperceptibles les agitent, les genoux se frottent , les cuisses se contractent parfois. Non, se dit-il, je rêve, elle est en train de se masturber, comme sa cousine l’avait obligé à faire un soir dans le dos de ses parents devant la télé. Elle l’avait forcé à coincer sa queue entre ses cuisses et, par un lent mouvement de va et vient, à le faire jouir au bout d’une bonne demi-heure sans émettre le moindre son ni le moindre mouvement suspect. Il avait profité d’un bruit plus fort à la télé pour lâcher son sperme entre ses jambes et, ensuite, il avait dû s’essuyer avec les doigts que sa cousine suçait voluptueusement.

Ce souvenir avait ravivé son excitation et maintenant il bandait dur comme fer et sa culotte en était humide. Comme si elle avait deviné ses pensées, la fille lève les yeux de son livre et surprend son regard sur son entrejambes. Il rougit violemment et réussi à articuler quelques mots histoire de sauver la face.

-Votre livre est intéressant ?

Les yeux bleus de la fille sont brillants, un petit air coquin les anime :

-Oh oui dit-elle, en souriant

-Et de quoi s’agit-il ?

-Un roman du Marquis de Sade, vous connaissez cet auteur ?

-Bien sûr lui répond-il, et c’est lequel ,

-Justine ou les infortunes de la vertu

-Ah oui, je vois dit-il, ce n’est pas le meilleur paraît-il, mais l’histoire de cette jeune pucelle marquée du sceau des putains a quelque chose d’effrayant ou de comique. Cela dépend de l’état d’esprit du lecteur, ou de la lectrice. Qu’en pensez-vous ?

Elle ne répond que par un sourire qui a pour effet de ranimer sa flamme qui s’était un peu calmée durant la discussion. Ce sourire est à la fois angélique et plein de promesse, de sous-entendu.

Il a retrouvé un peu de son sang-froid et, profitant des bonnes dispositions de son interlocutrice il lui demande son prénom:

-Je me prénomme Marie-Claude, mon grand-père était suédois.

Il s’enhardit un peu et lui propose de venir s’asseoir à coté d’elle pour lire le livre ensemble. « Ca me rappellera des bons souvenirs, Ah au fait mon prénom est Claude, c’est moins exotique que Marie-Claude mais je l’aime bien »

Elle accepte sans hésiter son invitation et il soulève l’accoudoir placé à sa droite pour lui faire de la place. Maintenant son parfum lui monte à la tête et, avec les secousses du train, leurs jambes se touchent à intervalles régulier et de plus en plus rapprochés d’ailleurs. Malgré l’épaisseur de son jean, il sent la chaleur de ses cuisses, surtout que sa jupe légère est remontée assez haut quant elle s’est assise près de lui.

-J’en suis arrivé au chapitre au cours duquel elle est recueillie par les moines

-Ah, dit-il, c’est effectivement un passage assez ...relevé !

Puis ils se taisent, lisant chacun silencieusement le chapitre en question. Ne sachant pas trop comment placer son bras droit qui le gêne pour la lecture, il l’a posé sur les épaules de Marie-Claude, sans qu’elle proteste ou l’enlève.

-Je peux tourner la page  lui demande-t-elle ?

-Euh..., oui, j’ai fini

Elle mouille son doigt sur sa langue rose et tourne la page lentement. Ils continuent à lire comme cela, page après page, doigt mouillé à chaque fois et sans prononcer une seule parole. Seule la chaleur de leur corps a augmentée et il la sent de plus en plus collée à lui. Au moment où elle lève son doigt pour la cinquième fois afin de tourner la page suivante, il bloque son geste avec sa main libre et, posant son index sur la bouche de Marie-Claude, lui ordonne d’une voix rauque,

-Suces mon doigt, c’est moi maintenant qui vais tourner les pages!

Surprise, mais déjà obéissante, elle prend dans sa bouche le doigt de Claude et le suce lentement, sur toute sa longueur, durant de longues secondes qui donne à Claude l’impression de durer une éternité. Il retire son doigt mouillé, luisant de la salive de Marie-Claude, et tourne la page du livre sulfureux. Leur lecture commune continue. Le bras droit de Claude serre davantage ses épaules attirant vers lui le corps brûlant de la jeune fille. Elle lui résiste un peu mais pas trop quand même. Il pourrait renoncer à ses projets qu’elle devine. Sa respiration s’est accélérée et il entend son cœur battre la chamade.

Ils continuent à lire mais, maintenant, chaque fois qu’il faut tourner la page, elle attend qu’il lui tende son doigt, qu’il le pose sur ses lèvres humides. Alors, doucement, elle l’avale et le suce longuement jusqu’à ce qu’il décide de le retirer. Il ne le retire pas d’un seul coup, non, il le retire, l’enfonce à nouveau, le retire jusqu’au bord des lèvres et l’enfonce à nouveau  et cela plusieurs fois de suite simulant ainsi un coït buccal qui les excite au plus haut point. Marie-Claude sent que sa culotte est mouillée, elle ruisselle de foutre; jamais elle n’a bandé comme cela. Elle a envi qu’il la baise, là, sur le champ, dans ce wagon où la température est montée brusquement de plusieurs degrés. S’il le lui demande elle obéira sans discuter, sans un mot. Claude a deviné l’état de Marie-Claude. Il a senti le corps de la jeune fille se contracter de plus en plus alors que ses lèvres devenaient de plus en plus molle, de plus en plus humides. Une forte odeur de transpiration se dégage de son corps, comme cela se passait avec sa cousine quand elle bandait dans ses bras. Il connaît les filles depuis ces expériences passées. Il sait qu’elle est prête à tout pour se faire baiser et jouir, jouir pour relâcher la tension qui serre son bas-ventre.

Alors il se décide. Il enlève son bras qui entourait les épaules de Marie-Claude et, d’une voix autoritaire mais douce à la fois il lui ordonne de se lever et d’aller fermer la porte du compartiment et de tirer les rideaux. Le contrôleur est déjà passé, il n’y a plus d’arrêt avant Lyon. Il pense qu’ils ont plus d’une heure devant eux pour s’amuser un peu. Marie-Claude ne dit rien, elle attend les ordres. Il ne lui déplaît pas de se faire commander même si ce n’est pas dans ses habitudes. Une fois de temps en temps ce n’est pas désagréable. Sur son ordre, elle éteint la lumière et le compartiment est plongé dans la pénombre de cette fin de journée. Alors qu’elle à encore le bras levé vers l’interrupteur, il en profite pour détailler à nouveau sa silhouette. Superbe, cette fille est superbe, reste à savoir si elle tient ses promesses.

-Stop, ne bouges plus , lui dit-il, reste dans cette position avec un bras en l’air, oui comme cela, et maintenant tournes toi, que j’admire le coté face. Magnifique, enlèves ta jupe.

Elle la déboutonne lentement, la fait glisser le long de ses jambes bronzées sur lesquelles un léger duvet blanc apparaît. En passant d’un pied sur l’autre, elle l’enlève complètement  et sur son ordre, la lui donne. Durant ce strip-tease improvisé, elle a quitté ses chaussures. Pieds nus sur la moquette du compartiment, elle attend les ordres. Lui pendant ce temps, a renifler le tissu de la jupe et l’odeur du sexe de Marie-Claude est là, présent !!

-Tu es très belle comme cela et cette culotte noire te va à ravir. Approches.

Elle s’avance vers lui et sur son invitation, elle s’assoit à califourchon sur ses genoux, écartant ainsi largement ses cuisses. Les mains brûlantes de Claude se posent dessus et remontent lentement vers son entrejambe, pour redescendre vers les genoux et remonter encore plus près de la culotte noire Finalement il la caresse dans entrejambe, au travers de la culotte, qui ressemble d’ailleurs plus à une éponge qu’à un vêtement sec. Elle est mouillée et Claude sent sous ses doigts les replis de la peau qui entoure sa vulve. Les petites lèvres roulent sous ses doigts agiles, sa cousine l’a bien éduqué. Ses caresses se font précises et Marie-Claude gémit, halète de plaisir retenu. Il s’arrête un peu, pour lui laisser reprendre un peu ses esprits.

-Tu es vierge? lui demande-t-il  avec un sourire sur les lèvres.

-Non, cela fait bien longtemps que j’ai été dépucelée par mon petit ami de l’époque.

-A quel âge cela est arrivé ?

-J’avais 15 ans environ.

-C’est jeune, et il a fait ça bien au moins. Ce serait dommage de faire souffrir un bijou comme toi.

Elle sourit pour la comparaison et le rassure. «  Oui ça s’est bien passé car il avait l’expérience des femmes. C’était un homme d’une vingtaine d’années, un vieux quoi ! ». Et elle rigole au souvenir de ce dépucelage.

-Tu es marié maintenant, fiancée peut-être ?

-Non, pas du tout, j’ai des amants pour satisfaire mes envies.

- Des amants! Combien, un régiment, une équipe de foot ? Claude est surpris, même s’il ne veut pas le laisser paraître.

-En ce moment j’en ai 3. Un très jeune, 16 ans, qui est inépuisable, une merveille, toujours près à bander et me défoncer la chatte quand l’envie me prend. Je lui téléphone et 5 minutes après, je suis dans ses bras et il me baise sans s’arrêter jusqu’à ce que je sois épuisée. Ca peut durer une heure voire plus certains jours. Le deuxième est un père de famille d’environ 45 ans pas très rapide mais un véritable artiste. Il est capable de me maintenir au bord de l’orgasme des heures durant tout en me baisant par tous les orifices de mon corps. Quand il m’encule je devient complètement folle et il fait de moi ce qu’il veut, je suis incapable de lui dire non. Le troisième est un retraité pas performant mais pas exigeant non plus. Par contre il sait se montrer très généreux et c’est intéressant surtout en fin de mois!

Claude est estomaqué et il ne peut s’empêcher de lui dire «  Ben ma salope, tu ne t’embêtes pas toi au moins. On peut dire que ton cul et le trait d’union entre les générations ». Il éclate de rire en disant cela, et elle ri aussi.

Tout en lui parlant, Claude a continué à explorer le corps de Marie-Claude. Le chemisier fermé du départ n’est plus qu’un lointain souvenir, il est largement ouvert sur la magnifique poitrine de Marie-Claude. Ses seins sont maintenant entre les mains de Claude qui les pelote avec tout le soin nécessaire. Une large aréole brune entoure les pointes des mamelons qui, sous l’effet des caresses de Claude, sont largement dressés et ont durci sous ses doigts. Il les pétrit et les serre doucement entre ses doigts ce qui a pour effet de faire gémir Marie-Claude à chacune des pressions qu’il exerce à intervalles réguliers. Chaque fois elle a l’impression qu’il lui enfonce une aiguille dans le mamelon mais ce n’est pas douloureux, au contraire. C’est une onde de plaisir qui parcoure ses seins, puis son ventre pour se focaliser à la pointe du bouton qui orne l’entrée de sa vulve. Le clitoris de Marie-Claude est gonflé, tendu comme le sexe de Claude, du moins se l’imagine-t-elle puisqu’il ne lui a rien donné à voir ou à toucher encore

Marie-Claude n’en peut plus, elle veut jouir, sa chatte dégouline d’une liqueur odorante dont l’odeur commence à remplir l’étroit compartiment. Elle veut jouir et le lui dit en haletant les mots plus qu’en les disant « fais moi jouir, je t’en supplie, tu m’as eu, je suis à toi, mais fait moi jouir. Aaaah, c’est bon, continu, oui oui encore »

Mais lui ne presse pas, il alterne les caresses, celles qui l’amène au bord de l’orgasme et celles qui l’en éloigne. Cette science il l’acquise à ses dépends et maintenant il veut en tirer profit avec cette fille que le hasard lui a envoyé.

Marie-Claude est affolée par le plaisir lancinant qui vrille son bas-ventre, lui empli le sexe sans jamais déboucher sur l’orgasme libérateur. Son vagin se contracte au même rythme que les doigts de Claude et son anus fait pareil. Tout son corps bat au même rythme. Sa bouche est sèche à force de respirer par à-coups comme un petit chien, elle lui répète encore et encore «  fais moi jouir Claude je t’en supplie, je suis à toi, fais ce que tu veux de moi, je t’appartiens, je suis ta reine , ton esclave , Aaah je veux jouir, encore, encore des caresses, là ne t’arrêtes pas, c’est bien, oui encore, encore Ooooh oui tu me fait du bien, serres moi fort oui, ouiii ». Mais une fois de plus il a ralentie le rythme et elle s’affaisse un peu  frustrée de ne pas jouir, heureuse qu’il continue à la peloter, à la fouiller avec ses doigts magiques. Il l’attire vers lui et s’empare de sa bouche doucement d’abord, puis, de plus en plus avidement. Sa langue pénètre la bouche de Marie-Claude et exécute de savants va et vient. Il prend possession de sa langue, la domine, la maîtrise et finalement comme il a vaincu le corps de Marie-Claude il devient le maître de sa langue. Il la tient entre ses dents, sans serrer fort mais fermement quand même et il la suce comme elle lui sucerait la queue s’il le lui demandait.

Elle ne résiste plus du tout, s’abandonne complètement dans les bras de ce jeune homme qu’elle ne connaissait pas une heure auparavant. C’est fou, il a fait d’elle une esclave de l’amour dans ses bras. Lui est heureux. Il l’a vaincu par sa science des caresses et, intérieurement, il remercie sa cousine pour ses leçons.

Marie-Claude veut se branler car la tension dans son ventre est trop forte. Il faut qu’elle jouisse. Mais il bloque son geste et lui ramène les deux mains derrière le dos.

-Laisses tes mains comme cela sinon je t’attache, lui dit-il. Elle s’exécute sans broncher. Voyons voir dans quel état tu te trouves.

D’un geste lent il écarte la petite culotte noire et passe un doigt curieux sur les bords de son vagin. La vulve est mouillée, une vraie rivière, le clitoris est plus que gonflé, turgescent pourrait-on dire. Au contact de ses doigts, elle s’est remise à gémir. Les doigts de Claude glisse sans peine sur les chairs humides. Il enfonce un doigt dans son vagin et sent immédiatement une contraction. Il refait son geste plusieurs fois en imprimant un lent mouvement de va et vient à son index. Plusieurs minutes s’écoulent, rythmées par les cris et gémissements de Marie-Claude et le bruit du train sur les rails. Claude s’est accordé sur le bruit du train, il trouve le rythme à son goût. Marie-Claude elle aimerait être dans un TGV!

-Plus vite je t’en supplie, regarde ce que tu as fait de moi, plus Aaaah, plus vite, ouii encore accélère.

Jouir, elle veut jouir; ses jambes s’affolent, elle les écarte, veut aussitôt les refermer mais Claude la bloque et lui impose un grand écart en écartant ses genoux. Elle est au-delà de ce qu’elle fait d’habitude en gymnastique mais l’excitation l’a rendu très souple et ouverte à tout.

Claude retire ses doigts du vagin et, d’un geste rapide il l’encule avec son pouce et la pénètre à nouveau avec son index. Elle a poussé un cri quand il l’a enculée. Elle a eu mal, mais très vite le plaisir est revenu. Le pouce et l’index se touche à travers la cloison vaginale et Claude continu son petit jeu Sa main est inondée, le miel de Marie-Claude coule sur ses doigts. Voilà, se dit-il, elle est prête pour l’assaut final maintenant. Je peux la baiser sans problème. D’un geste rapide, il ouvre la fermeture éclair de son pantalon, déboutonne la ceinture et met à nu son sexe qui se redresse d’un seul coup et a pris des proportions gigantesque, enfin presque!

Marie-Claude le regarde avec envie et, sur l’ordre de Claude vient s’empaler sur le membre dressé avec un feulement de bête fauve. Les deux gémissent à l’unisson, trouvant un bonheur suprême à cette pénétration. Ils vibrent à l’unisson, réglant les coups de reins sur le bruit du train «  oui, encore, oui encore, oui, encore... ».

Le freinage du train les surprend en plein effort. C’est déjà la banlieue de Lyon, vite, vite qu’ils en finissent sinon tout cela n’aura servi à rien? Claude se met debout, soulevant sans peine Marie-Claude toujours empalée sur sa queue. Elle s’accroche à ses épaules et il la plaque contre la vitre du compartiment. Il continu à la baiser, ses coups de reins sont de plus en plus violents. Plus le train freine, plus il accélère ses coups de queue. Elle hurle de plaisir, gémit, secoue la tête dans tous les sens et finalement explose dans un orgasme titanesque qui la prend des doigts de pieds jusqu’au cerveau qui s’illumine de millions de petites étoiles comme un feu d’artifice intérieur. le plaisir la parcoure par ondes successives qui ne finissent pas. Claude qui l’a suivi de peu se répand en elle et à l’impression de se vider complètement. Jamais auparavant il n’avait fourni une telle quantité de sperme, Ses testicules se contractent pour mieux se vider et il a l’impression que son sperme ressort pas la bouche de Marie-Claude tellement l’odeur du sexe est forte dans la petite pièce.

Ils redescendent doucement sur terre en retrouvant leur souffle. Marie-Claude, toujours empalé sur le sexe de Claude ressent une bienheureuse fatigue, une sorte de béatitude que rien ne pourrait détruire, sauf un coup de frein plus brutal que les précédents et qui la fait redescendre brutalement sur terre. Le train entre en gare et les premiers voyageurs qui vont descendre à Lyon commencent à passer dans le couloir. Elle repousse Claude et descend de son perchoir redevenu bien modeste d’ailleurs! Vite il faut qu’elle se rhabille. Elle attrape sa jupe, l’enfile en réajustant comme elle peut sa culotte. Le sperme lui coule sur les mains et elle suce ses doigts machinalement ce qui la fait frémir à nouveau. Ah si elle avait le temps elle aurait fini par le dompter ce jeune amant. Le tout c’est de les épuiser une bonne fois et après ils deviennent plus malléables. La femme est supérieure à l’homme sur le long terme! Elle en est sure.

Elle boutonne rapidement son chemisier en se trompant d’ailleurs, mais elle n’a plus le temps maintenant. Tant pis Claude, galant malgré tout, a descendu sa valise et lui fait une bise tendre, pleine des regrets sur ce qu’ils auraient pu encore faire dans ce wagon. Mais Marie-Claude doit descendre là, on est venu la chercher.

-Au revoir Claude, tu as été merveilleux, je ne t’oublierais jamais. Ce jour  restera gravé dans mes souvenirs à jamais. Elle pense néanmoins dans sa tête, qu’un jour elle trouvera, peut-être, un amant de passage encore meilleur, avec un sexe plus long ou plus gros qui sait. Cette pensée la fait sourire et Claude, se méprenant, pense qu’il s’adresse à lui !

-Adieu Marie-Claude, je ne t’oublierais pas non plus.

Marie-Claude sort du compartiment en courant, car le train est immobilisé maintenant depuis deux minutes. Elle saute sur le quai et aperçoit au loin toute une famille qui cherche quelqu’un. « Ce sont eux se dit-elle, voilà ma nouvelle famille pour plusieurs mois ». Elle vérifie sa tenue une dernière fois, et en profite pour reboutonner discrètement son chemisier. Un dernier signe d’adieu à Claude dont elle sent le sperme encore brûlant couler entre ses jambes, et elle se dirige vers la famille qui va l’accueillir comme jeune fille au pair jusqu’à l’été prochain.

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