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Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 00:00
J'avais à peine 18 ans lors de notre rencontre. Lui était un ami et avait une trentaine d'années de plus que moi. Il s'appelait Jean.  Lors d'un séjour en camping, je me retrouvai à devoir partager une petite caravane avec Jean et donc le même lit. Nous n'avions le choix ni l'un ni l'autre et ce n'était que pour une nuit, puisque je devais repartir le lendemain. Alors je ne me suis pas posé de questions. Il me demanda s'il pouvait dormir en caleçon, je lui répondis que dans ce cas j'en ferais autant, car la chaleur était écrasante.

Nous étions allongés sur le dos, côte à côte et je commençai à m'endormir quand je sentis son bras se poser machinalement contre moi. Je ne réagis pas, puis sa main se tourna contre ma cuisse, la caressa en remontant et se posa dessus. M'étonnant moi-même, je n'eus aucune réaction et en fait, sentir sa main m'excitait bizarrement, mon érection monta brusquement. Jean continuait à avancer sa main sur mon sexe qu'il sentait durcir à chaque seconde et l'entra dans mon caleçon.

Dans un silence absolu, il me branlait. Il me demanda quand même en chuchotant si j'aimais ce qui se passait et je me contentai de gémir. Jean enleva alors mon caleçon et me branla de plus belle. Sentir sa main chaude sur mon sexe et mon plaisir qui montait me fit gémir de plus belle.

La couette bougea beaucoup et je sentis soudain le souffle de Jean sur mon ventre, puis sa bouche autour de mon sexe. Impossible alors de retenir un râle de plaisir, j'essayai de me contrôler mais c'était inutile, le plaisir monta en moi comme jamais, je ne savais plus où je j'étais ni qui j'étais, j'étais en apesanteur dans un univers de plaisir, je n'en pouvais plus, je ne gémis, plus, je couinai presque, j'avais honte de moi mais c'était si bon ! Une éjaculation violente me libéra alors de cet état second et je redescendis doucement sur terre. J'ouvris les yeux, je vis Jean fier de lui, il me caressait le ventre, me dit que j'étais beau et que je lui plaisais beaucoup.

Je me rendis compte qu'il avait avalé tout mon sperme, un peu surpris je mis ma tête contre sa poitrine lui disant que c'était une première pour moi et que j'avais adoré. Je caressai son ventre, descendant vers son caleçon qui m'attirait de plus en plus. A cet instant il était comme un maître de plaisir pour moi, je voulais absolument le remercier, j'aventurai donc une main vers son sexe...

Il était dur et bien proportionné, je fis rapidement glisser le caleçon pour voir ce sexe, cette queue. Je la caressai doucement, puis la pris dans ma main et commençai à la branler. Elle était belle, très belle, et surtout c'était celle de mon maître, donc source de plaisir. Je branlai de plus en plus fort. Poussé par Jean, j'approchai ma bouche de son gland gonflé, je lui donnai un coup de langue, puis un autre, encore un autre, j'adorai ça, j'attrapai le sexe à sa base et l'enfournai dans la bouche, Jean gémit en passant sa main dans mes cheveux, sa réaction m'excita encore plus, je pompai cette queue du mieux que je pus (pour une première fellation je fais mon maximum). Jean me tira carrément les cheveux en enfonçant son sexe au plus profond de ma gorge. Cette prise en main franche me soumit complètement à lui. Avant de jouir, il tira ma tête en arrière pour me prévenir, je laissai alors échapper sa queue qui me cracha au visage quatre giclées de sperme ...
Toujours en me tenant par les cheveux, Jean m'amena jusqu'à sa bouche et m'embrassa à pleine bouche.

« C'est très bien » me dit il, « Tu es très doué, j'aimerais pouvoir recommencer à l'occasion. Je pourrais continuer ton éducation en la matière si tu veux ... »

Cette proposition m'enchanta, c'était clair pour nous deux, il était le maître et moi l'élève.

Je devais repartir, mais l'idée d'une nouvelle nuit avec Jean me fit changer mes plans, il fut enchanté de ma décision et nous passâmes l'après-midi ensemble. Je le dévorais des yeux en permanence et attendais impatiemment que le soleil se couche.

Nous discutâmes autour d'un verre, Jean me fit part de ses désirs et de son attirance pour moi. L'alcool aidant, je lui confiai mon désir de recommencer et ma totale confiance en lui, j'avais soif de jouissances à partager avec lui et je serais un élève obéissant.

Nous allâmes enfin nous coucher (encore en caleçon), j'en avais rêvé tout l'après midi, il me prit dans ses bras, je sentis son souffle sur ma nuque, j'étais aux anges.

Jean me serra contre lui, je sentis sa queue en érection contre mes fesses, j'étais ravi de lui faire autant d'effet, je passai une main derrière moi et attrapai son sexe à travers son caleçon. Je commençai à le branler doucement, Jean descendit une main sur ma hanche, il s'attarda dans le creux de mes reins, m'embrassa dans le coup ... Sa main si douce passa sous mon caleçon, caressa mes fesses, un doigt passa sur mon anus, je continuai à le branler. Jean arrêta ma main et me dit de me laisser faire à présent. J'obéis tel l'élève discipliné que j'étais.

Mon caleçon était déjà au bas du lit, je sentis les deux mains puissantes de Jean me retourner littéralement et me mettre à quatre pattes.

Ses mains s'attardèrent sur mes fesses et mon anus, j'imaginai bien ce qui allait se passer et bien qu'un peu apeuré je m'offris complètement à elles. Une main se saisit de ma verge prête à exploser, la branla doucement puis descendit sur mes testicules et les caressa doucement. C'est à ce moment précis que la langue de Jean passa sur mon anus, je fondis instantanément, quelle sensation délicieuse ! Mon anus s'ouvrait doucement et je sentais cette langue forcer l'entrée autant que possible, que c'est bon !

Jean me signala qu'il fallait passer aux « choses sérieuses » tout en sortant une sorte de tube de crème, je gémis « oui » dans un souffle et sentis son doigt étaler une substance froide sur mon anus brûlant. Plus il étalait, plus son doigt entrait en moi, ça y était mon anus était ouvert et un doigt, puis deux, coulissèrent en moi. Jean mit sa tête entre mes cuisses et me lécha la queue et les bourses tout en continuant de travailler mon anus avec ses doigts et en se branlant. Quand il arrêta, il me prévint que si j'avais aimé ça, j'adorerais la suite. Je n'en pouvais plus d'attendre, je voulais le sentir en moi, me posséder entièrement. Il se mit à genoux derrière moi. « Je suis ton jouet sexuel, fais de moi ce que tu veux » pensais- je. Jean frappa mes fesses avec sa queue et posa son gland contre mon anus.

- Tu veux que je rentre, me demanda t-il ?

- Oui prends-moi, je suis tout à toi, défonce moi ! (Je me surprenais moi-même, mais je le voulais en moi)

- T'es une petite salope toi ! Tu veux que je t'encule ?

- Oui ! Oui ! Encule-moi, je t'en supplie !

Toutes ces grossièretés m'excitaient tellement, je ne me contrôlais plus depuis longtemps quand je sentis alors ce gland brûlant forcer le passage de mon rectum et entrer progressivement. Ce point de chaleur remontait tout doucement dans mes boyaux. Très lentement, Jean s'enfonçait en moi. La petite douleur, au début, fit place à un plaisir sans précédent. Ça y était, cette queue adorée était toute en moi, ses testicules touchaient les miens puis les tapaient au rythme des coups de boutoirs que me donnait Jean.

A présent, je criai mon plaisir.

- Oui, continue, c'est tellement bon! Lui dis-je entre des gémissements et des cris.

- J'adore ton petit cul, t'es tellement bandant!

Pendant qu'il me disait ça, Jean me branlait et je ne tardai pas à jouir abondamment sur son lit. Peu après, il se retira et couvrit mes fesses et mon dos de sperme.

Nous nous écroulâmes chacun de notre coté, épuisés par tant de plaisir.

Ayant repris mon souffle je m'approchai de Jean, mon anus se refermait quand je gobai son sexe afin de le nettoyer au mieux avec ma langue. Jean caressait mes cheveux en me disant qu'il aimerait bien éjaculer dans ma bouche la prochaine fois ...
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