Samedi 5 janvier
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11:28
Jeudi. Cela fait quatre jours que son week-end très agité est terminé et Marie-Claude commence à avoir des envies qui lui chatouillent les reins. Mr Taylor est serré de près par madame qui ne lui laisse pas le temps d’aller jouer ailleurs. A peine montre-t-il des signes d’excitation qu’elle l’entraîne dans la chambre ou la salle de bain pour une séance de vide couille. Marie-Claude surprend parfois des bruits qui ne laissent aucun doute sur la nature des activités qui se déroulent dans la pièce d’a coté. Il faut croire que madame Taylor a des doutes sur l’attitude de son mari vis-à-vis de Marie-Claude.
Marie-Claude quant à elle fait monter la pression en caressant le pantalon de monsieur dès qu’elle passe à coté de lui et aussi en s’habillant au plus juste.
Par contre ce qui la gêne davantage c’est le silence de Joana qui a toujours ses papiers et son argent. Le week-end approche et elle aimerait bien les récupérer.
Ces pensées vagabondaient dans sa tête quand la sonnette de la porte d’entrée retenti.
Tiens se dit-elle, ce doit être le facteur. D’un pas rapide elle se dirige vers la porte qu’elle ouvre pensant trouver le préposé mais son sourire se fige sur ses lèvres entre ouvertes.
-Joana, toi ici, quelle... quelle surprise.
Joana souriante ne dit rien mais repousse fermement Marie-Claude à l’intérieur de la maison et referme la porte. Toujours sans rien dire elle attrape Marie-Claude par l’épaule, la fait pivoter en la plaquant contre le mur et lui passe une paire de menotte autour des poignets.
-Joana, arrêtes, tu me fait un peu mal, moi qui ai tant de plaisir à te revoir.
-Silence esclave, tu as oublié qui je suis ? En disant cela Joana lui a tiré les cheveux en arrière. Alors réponds !
- No..non Maîtresse, je suis toujours à toi, tu le sais bien, mais je pensais...
-Silence tu n’as pas à penser, tu es faite pour m’obéir.
-Oui maîtresse, dis moi ce que je dois faire.
-Fait moi visiter cette maison, il se pourrait qu’elle me plaise.
Sur cette phrase sans suite et avec ses mains entravées, Marie-Claude guide Joana dans la maison de ses patrons et lui fait visiter les pièces une à une. La visite se finie dans la chambre de Marie-Claude que Joana passe en revue de manière très détaillée. Elle ouvre tous les placards, tous les tiroirs, regarde les vêtements de Marie-Claude, admire les sous-vêtements, bref se montre la plus indiscrète possible pour bien montrer à Marie-Claude sa vraie place.
Au bout de 10 minutes elle revient vers Marie-Claude qui attendait dans son coin avec un peu d’inquiétude. Qu’est ce qu’elle va inventer encore se disait elle. Elle le su très vite.
Joana revient vers elle avec un petit sourire et l’allonge par terre sur le dos. Elle enlève sa culotte rouge vif et, positionnant sa chatte déjà humide sur la bouche de Marie-Claude lui ordonne de la sucer de la manière la plus douce qu’il soit pour qu’elle en profite le plus longtemps possible.
Marie-Claude commence à promener sa langue sur les petites lèvres, puis passe au clitoris revient, repart, remonte jusqu’à l’anus de Joana qui commence à gémir.
-Ah Marie-Claude tu es... tu es vraiment douée, oui continu comme cela, je ne veux pas jouir mais maintiens moi au bord de l’orgasme comme tu sais si bien le faire.
La bouche de Marie-Claude est inondée de jus Joana est très mouillée, et Marie-Claude se dépasse dans son art, elle veut faire plaisir à sa maîtresse et elle y arrive. Minutes après minutes le plaisir de Joana augmente sans jamais dépasser la limite permise.
-Oui Marie-Claude tu es merveilleuse encore encore ta langue, oui sur le cul partout, encore Aaaah salope tu me tiens, oui encore là, oui doucement. Je t’en supplie fait moi jouir oui je veux jouir maintenant. Mais Marie-Claude est démoniaque, elle ralentie encore le rythme de ses coups de langue et c’est Joana qui craque la première. Elle s’écrase sur la bouche de Marie-Claude et se frotte le clitoris sur le nez, la bouche de Marie-Claude et force son orgasme à sortir de son corps qui était tendu comme un arc.
-Oouiii c’est bon Ahhh Marie-Claude tu es la meilleure suceuse que j’ai connu. oui tu auras droit à une récompense, Ah encore, encore mords suce lèche salope encore, je, je ...Ahhh oui c’est bon ...
Dans un dernier râle, Joana roule sur le coté et glisse ses mains entre ses jambes pour se masturber et arracher encore quelques spasmes de plaisir de son vagin épuisé par les coups de langue de Marie-Claude.
Il lui faut plusieurs minutes pour retrouver ses esprits.
Elle s’approche de Marie-Claude et l’embrasse tendrement; Leurs langues se mêlent, se caressent et bientôt ce n’est que gémissement. Marie-Claude n’en peut plus. Elle est attachée et ne peut pas se branler. Joana a bien compris mais refuse de la toucher ailleurs que sur la langue. Marie-Claude s’affole donne des coups de reins dans le vide, cherche un sexe d’homme qui la défoncerait, mais rien que la langue de Joana qui lui fouille la bouche, s’enroule autour de sa langue. Elle ressent des ondes de plaisir dans tout son corps mais rien pour la satisfaire vraiment.
Joana est encore plus diabolique qu’elle. Les reins de Marie-Claude sont en feu mais les coups qu’elle donne ne sont pas suffisant pour la faire jouir, la langue de Joana non plus.
Joana se relève en riant.
- Oh mais tu ressemble à un petit ver de terre quand tu ondules comme cela. Continus c’est très excitant. Dommage que mon mari ne soit pas là. Il t’aurais enfilé et tu serais moins en panne ! Dommage, ce sera pour une prochaine fois. A tout à l’heure ma chérie, ne quitte pas ta chambre sinon il pourrait t’en cuire.
Et sur ces paroles mystérieuses, Joana quitte la chambre de Marie-Claude et tout en refermant la porte elle éclate de rire. Marie-Claude frémi en se demandant ce qu’elle doit comprendre. Mais son plaisir la reprend et elle cherche désespérément l’orgasme libérateur en donnant des coups de reins dans le vide, en frottant ses cuisses l’une contre l’autre mais rien ne peut apaiser ce feu qui embrase ses reins.
En relevant la tête elle aperçoit une balle de tennis posée sur sa table de travail et une idée lumineuse lui vient. Oui c’est ça...
Elle roule sur le coté et se met à genoux, puis debout. Avec ses mains entravées par les menottes, elle attrape la balle et la pose par terre sur la moquette. Marie-Claude se remet à genoux mais cette fois ci se couche à plat ventre le sexe collé sur la balle de tennis. Elle commence à onduler sur la balle jusqu’à trouver le point maximal du plaisir. Ca vient vite et son clitoris, activé par les poils qui entoure la balle et aussi par son coté élastique, commence à réagir.
-Ohhh que c’est bon, ouiii , aaah tu ne veux pas que je jouisse hé bien tu vas voir que je me débrouille très bien sans toi.
Les coups de rein de Marie-Claude sur la balle s’accélèrent jusqu’à atteindre une cadence folle. Marie-Claude est emportée par son orgasme comme un sprinter qui court le 100m. Elle halète, crie, gémie et finie par hurler son plaisir dans un long cri rauque qui retenti dans toute la maison.
Joana qui l’a entendu, remonte précipitamment pensant que Marie-Claude a eu un accident. Elle rentre dans la pièce et voit Marie-Claude affalée à plats ventre qui respire très fort.
-Ca va lui demande-t-elle ?
-Oh oui très bien lui répond Marie-Claude avec un large sourire, c’était très bon tu sais, le tennis c’est formidable. Et sur ces paroles encore mystérieuse pour Joana, elle roule sur le coté et Joana découvre la balle de tennis coincée entre les cuisses de Marie-Claude.
-Bravo, quelle imagination, ça je ne l’avais jamais vu. Se branler avec une balle de tennis ! Apparemment c’est efficace si j’en crois ton cri. Ainsi dès que j’ai le dos tourné tu jouis sans ma permission. Tu sais que c’est une faute grave qui doit être punie.
Marie-Claude ne ri plus. Elle baisse la tête et murmure
-Oui maîtresse, je le sais, mais tu m’avais tellement excitée que je n’ai pas pu résister. Pardonnes moi, je t’en pris, je ne veux pas être punie.
-Désolé ma grande, mais ton obéissance doit être absolue. Je ne peux pas te pardonner.
Elle attrape Marie-Claude par les cheveux et la force à se mettre debout ce qui la fait crier. Mais Joana n’en a cure. D’une bourrade elle fait avancer Marie-Claude et l’entraîne dans le garage de la maison. Là, elle trouve un rouleau de ficelle qui lui sert à attacher Marie-Claude au tuyau de chauffage après lui avoir ôté les menottes.
-Mes tes mains jointes ensembles Oui c’est ça.
Joana attache les mains de Marie-Claude ensembles, comme si elle priait on ne sait quel Dieu lubrique.
-Maintenant lèves les bras, oui comme cela. Joana fait passer la ficelle au-dessus du tuyau de chauffage et tire dessus avec force. Marie-Claude s’étire et monte sur la point des pieds. C’est ce que voulait Joana. Marie-Claude est en extension et ses seins sont joliment tendus avec les mamelons dressés comme des doigts montrant quelque chose au loin.
Joana ne peut pas s’empêcher de les sucer ce qui donne des frissons à Marie-Claude. Mais ce n’est pas le moment de jouer.
Joana sort du garage et revient avec deux chaises qu’elle place de chaque coté des jambes de Marie-Claude. Elle prend la jambe gauche de Marie-Claude, la tire sur le coté et en la pliant la pose sur la chaise. Elle fait de même avec l’autre jambe. Maintenant Marie-Claude a un genou sur chaque chaise et ses cuisses sont légèrement écartées. Joana se place derrière elle et commence à faire glisser les deux chaises latéralement. Les cuisses de Marie-Claude s’écartent petit à petit sans qu’elle puisse en contrôler l’ouverture. Cette position est diabolique et soumet totalement Marie-Claude au plaisir de Joana. Les chaises continuent à s’écarter et le compas des jambes s’ouvre de plus en plus. Heureusement que Marie-Claude a fait un peu de danse, elle en à garder une certaine souplesse musculaire. Mais tout à des limites et maintenant elle ne peut plus rien faire si ce n’est gémir de douleur car ses muscles sont tendus fortement.
-Joana ne vas pas plus loin s’il de plaît. Tu me déchires l’entrejambe. S’il te plaît arrête.
Joana vient d’arrêter le mouvement des chaises et contournant Marie-Claude se retrouve devant elle.
-Bien maintenant voyons voir comment tu te sens, et d’une main experte elle commence à caresser Marie-Claude qui n’a strictement aucun moyen de s’opposer aux doigts de Joana qui la caresse, la fouille et l’encule à loisir jusqu’à ce que Marie-Claude commence à gémir de plaisir et de douleur mélangés. Mais où est la limite dans ce cas ?
Joana, satisfaite, arrête ses caresses et clos cette séance par un baiser dont la durée laisse Marie-Claude toute essoufflée.
-Bien je te laisse, à tout à l’heure pour une séance plus ....approfondie.
Sur ces mots elle éteint la lumière ce qui plonge le garage dans l’obscurité et sans s’occuper davantage de Marie-Claude remonte dans le salon ou elle s’installe confortablement devant un bon verre de whisky.
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