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Mardi 7 mars 2 07 /03 /Mars 19:47
Un post rapide conrnant charivari l'émission de france inter par Frédéric Bonnaud Du lundi au jeudi de 18h20 à 19h00

Dans l'emission du mercredi 1er mars 2006 on pouvait ecouter

Il s’appelle Emmanuel Pierrat, avocat,  il s’intéresse aux enfers des bibliothèques, écrit des romans, et il est avocat spécialisé dans le droit d’auteur. Son nouveau livre est un essai, publié chez Fayard, et il s’intitule « La guerre des copyrights ». Maître Pierrat constate avec regrets que la notion de « domaine public » est en passe de disparaître complètement, au profit de ce qu’il appelle le « tout-copyright », quand n’importe quoi devient une source possible de royalties au profit d’éventuels ayants-droits. Mais à l’heure des polémiques à propos du téléchargement et de la « licence globale », ce livre n’est pas un ennuyeux traité juridique mais plutôt un état des lieux qui s'interroge sur l’accès à la culture.

Pour écouter toute l'emission : http://www.tv-radio.com/ondemand/france_inter/CHARIVARI/CHARIVARI20060301.ram
Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 5 mars 7 05 /03 /Mars 10:11


Hautes, lourdes du cul, grassement tétonnées,
Elles s'en vont indolemment, tous poils dehors,
Et la maturité superbe de leurs corps
Frissonne sous leurs mains longuement promenées.

La tiède nuit lunaire a bleui leur blancheur.
Sur le bancc du rond-point, plus propice à la halte,
Un désir les unit qui murmure et s'exalte,
Préparant leur prurit d'un long baiser lécheur.

A les voir dans le vague éclat de la clairière,
L'une dressant le torse et l'autre se courbant
Croupe tendue, on imagine au bord du banc,
Un beau monstre éperdu qui regarde en arrière.

Par Anonyme - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 4 mars 6 04 /03 /Mars 11:16
Petit titre en forme de pied de nez pour mélomanes cherchant désespérément à acheter de la musique légalement.

Beaucoup moins médiatisé que le vote surprise concernant la licence globale, la commission des Lois de l'Assemblée nationale a adopté mercredi 1er mars des amendements du gouvernement modifiant le projet de loi controversé sur les droits d'auteur.

Même si le bénéfice de l'exception pour copie privée est réaffirmé dans un amendement. Il semble que cela ne soit que poudre aux yeux en effet, un autre amendement à l'article 8 prévoit qu'il revient à un "collège des médiateurs" de fixer les modalités de la copie privée, dont le nombre de copies selon les différents types de contenus, modes d'exploitation et techniques de protections disponibles. Bizarre comme amendement ? qui sera dans ce mystérieux "collège des médiateurs" ??

De plus, un autre amendement mi chèvre mi chou annonce qu'un internaute, qui télécharge illégalement de la musique ou un film pour son usage personnel, risquera une contravention de 38 euros maximum. Si le téléchargement "s'accompagne de la mise à disposition de ces oeuvres", une peine d'amende de 150 euros maximum pourra être prononcée.

Oh, la peur se lit sur les visages des internautes, amateurs de bonne musique. Est-ce que les députés ont lu la proposition sur la licence globale ? Par ce que là, l'argent va dans la poche de l'Etat et non à la création !! Défendons la création, dis le ministre.

La licence globale, elle, garantissait des revenus bien supérieurs aux artistes.

Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Vendredi 3 mars 5 03 /03 /Mars 18:36
A voir un orgasme lors d’un rapport sexuel serait bien plus satisfaisant que de l’atteindre par la masturbation, si l’on en croit une étude très sérieuse publiée par la revue Biological Psychology. C’est à la prolactine, une hormone libérée immédiatement après l’orgasme chez l’homme et la femme, que l’on doit la sensation d’être « rassasié(e) » à la fin de l’acte. Elle intervient pour contrer les effets de la dopamine qui joue, elle, un rôle dans l’éveil de l’appétit sexuel. Des chercheurs de l’université de Paisley (Royaume-Uni) et de l’institut fédéral suisse de technologie à Zurich ont donc mesuré les taux de prolactine chez des volontaires, hommes et femmes, soumis à un protocole plutôt étonnant. Après visionnage de films érotiques, les volontaires ont du, dans les locaux du laboratoire, atteindre l’orgasme seul ou en couple. Les chercheurs ont ainsi mesuré que l’élévation du taux de prolactine chez les individus des deux sexes ayant eu un orgasme à la suite d’un rapport sexuel est supérieure de 400% à celle suscitée par un orgasme solitaire.

Et la conclusion de l’étude n’en est pas moins étonnante : ces résultats expliqueraient pourquoi un orgasme atteint suite à une relation sexuelle est plus satisfaisant que s’il est atteint en solo. Mais ces résultats pourraient également expliquer pourquoi l’homme a besoin d’une période de repos (dite période « réfractaire ») immédiatement après l’acte : des taux importants de prolactine sont impliqués dans certains troubles de l’érection.

Extrait du nouvel obs
Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 26 février 7 26 /02 /Fév 13:52


L'inconnu dégagé par vos étranges yeux,
Ces deux grands yeux pervers, purs comme une eau profonde,
Vous donne des airs d'ange aspirant à l'immonde
Ou de damné cupide enviant l'air des cieux.

Lamentable torpeur des baisers anxieux,
Cris, râles étouffés, débauche furibonde,
Vice, recherche infâme, impuissance inféconde,
Maudit est qui maudit le don sacré des dieux.

Au dedans de vous-même un démon doit se tordre ;
Impossible est l'amour où vous voudriez mordre,
Et l'on voit, sous le choc des élans repoussés,

Votre corps qui succombe et votre cœur qui pâme,
Mortel épuisement des désirs émoussés,
Sans repaître jamais ni vos sens ni votre âme.

Jules de Marthold
Par Aline - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 09:24
La première étape des championnats du monde de surf féminin, saison 2006, le Roxy Pro présenté par Samsung se déroulera du 28 février au 12 mars prochain. Chelsea Georgeson, Sofia Mulanovich et Megan Abubo font partie des favorites. Mais Georgeson et Gilmore se retrouveront face à face lors du 1er tour, pas facile pour Chelsea.
La compétition se déroulera sur le spot de Snapper Rock

Par Pierre - Publié dans : La revue de presse
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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 19:25
Ce matin, lorsque je me suis réveillée, j'ai mis quelques instants à me rappeler de tout ce qui s'était passé hier soir, avec Emeline. Et puis, lentement, tout m'est revenu, une boule s'est formée dans mon ventre, et l'envie m'est venue de crier, de hurler à la terre entière tout le bonheur que j'avais ressenti la nuit précédente et qui, j'en suis sûre, changera ma vie à jamais. J'avais tellement envie d'en parler, de le raconter que j'ai décidé de vous confier ce qui m'est arrivé.

Je me prénomme Laura, j'ai 18 ans, depuis quelques jours, et comme les cours à la fac n'étaient pas terminés et que nous avions des partiels, nous avions convenu, avec ma meilleure amie, Emeline, de ne fêter mon anniversaire que vendredi soir, histoire de fêter aussi la fin du premier semestre et le début des vacances.

Vendredi, après les cours, nous sommes rentrées chez Emeline, ses parents n'étaient pas là, ils ont une maison dans le Lubéron, et ils profitent de chaque période de vacances pour s'y rendre et fuir la région parisienne. Nous voilà donc seule dans ce grand duplex, aménagé dans un style très contemporain, du Ier arrondissement, pas loin des Halles.

Nous commençons à nous préparer pour aller en boîte, avec quelques autres amis de la fac ou de vieilles connaissances, qui remontent à l'école primaire pour certaines. C'est là que j'ai connu Emeline, nous avions 6 ou 7 ans, je ne sais plus, et nous rentrions en CP. Nous avons été placées par ordre alphabétique, l'une à côté de l'autre (nos noms sont proches), et depuis, nous en nous sommes plus jamais quittées.

J'ai vu grandir Emeline, elle est devenue une belle jeune femme, un peu plus grande que moi. Elle mesure 1 m 75, elle est mince, sa chevelure est magnifique, brune, avec des reflets presque bleutés, et ses longs cheveux bouclés descendent jusqu'à ses hanches lorsqu'elle les détache. Ses yeux sont verts clairs et sa peau très blanche. Le contraste entre la luminosité de ses yeux et la noirceur de ses fins sourcils et de ses longs cils lui donne un regard qui pétrifie parfois les hommes sur place. Plus d'une fois, j'ai vu des bellâtres ne pas parvenir à bredouiller la moindre syllabe devant elle. Quant à sa peau, sa couleur est celle d'un pétale de rose pâle.

Parfois je suis jalouse d'elle, enfin, je l'ai été, jusqu'à ce qu'elle me confie, un soir, lorsque nous dormions ensemble, en tout bien tout honneur, qu'elle aussi, parfois, me jalousait. Intriguée, je lui ai demandé pourquoi, elle me répondit qu'elle aurait aimé me ressembler, que si on lisait la grâce et la beauté sur ses traits, on lisait la force de caractère sur les miens, bref, en un mot : « j'avais du chien », un tempérament de feu, et elle m'enviait pour ça. Elle me parla ensuite de mes yeux presque noirs comme le jais et qui émettaient de véritables décharges de lumière ; de mes cheveux bouclés, châtains et méchés de blonds ; de mes lèvres qu'elle trouvait pulpeuses ; de la ligne de mes sourcils, volontaires et effrontés ; de mes hanches sensuelles et de ma poitrine dont elle trouvait la silhouette plus jolie que la sienne. Tout ceci nous a bien amusées et, cette nuit-là, nous nous sommes endormies un sourire aux lèvres.

Avant de sortir, Emeline me dit qu'elle veut prendre une douche, elle commence à ôter ses vêtements, devant moi, dans la spacieuse salle de bain aux nombreux miroirs, et bientôt, je peux compter 4 ou 5 Emeline, nues, qui referment la porte vitrée de la cabine de douche. Je pense : « Elle est toujours aussi belle. » Je me concentre sur mon maquillage. J'entends le bruit de l'eau qui frappe contre les parois de la douche. « Etrange, me dis-je, qu'elle ait toujours refusé de me parler de ses conquêtes. Moi, je lui racontais toutes les miennes, même peu glorieuses. Ça avait l'air de l'amuser. » Lorsque Emeline ressort, je suis déjà prête. Me voilà glissée dans mon pantalon noir, moulant, spécial « boîtes », taille basse, avec un petit top noir dos nu, style « cœur croisé », qui cache juste ce qu'il faut et laisse mes hanches, mon dos et mon ventre libre. « Alors, prête à faire des ravages ? » me lance Emeline. Je lui souris. Elle sait que je suis seule depuis deux mois et que la présence et la chaleur d'un corps me manquent. Elle se glisse dans une robe noire, courte, assez décolletée, et dos nu. Une paire d'escarpins à talons aux pieds, et nous voilà parties.

Lorsque la porte du duplex se referme derrière nous, nous sommes exténuées. Il est trois heures de matin. Nous avons dansé toute la nuit. Nous abandonnons nos chaussures et pieds nus, nous nous dirigeons vers la cuisine pour dévaliser le réfrigérateur. Là, au cours d'un solide encas, nous commençons à discuter de la soirée.

- Il était lourd le gars au bar...

- Oh, j'ai jamais vu ça. Un gros naze...

- J'étais morte de rire quand tu lui as sorti qu'on était en couple pour le faire partir.

- Oui, sauf qu'il a insisté.

- Jusqu'à ce que tu fasses semblant de m'embrasser, me lança Emeline, les yeux en feu.

- Oui, là, il a vraiment cru qu'on était ensemble.

- Ça ne m'a pas déplu, d'ailleurs...

Et là, encore, mon regard croise le sien qui brille d'une lueur étrange, comme jamais auparavant. « Sûrement l'excitation de la soirée. »

- Enfin, on s'est bien amusée.

- Oui, ça faisait longtemps.

- Mais je ne t'ai toujours pas offert mon cadeau.

- Non c'est vrai, je suis curieuse de savoir ce que tu as choisi...

- Devine !

- Hum... parfum ?

- Non.

- Vêtement ?

- Non.

- Un petit bijou ?

- Non plus. Plus personnel.

Là, un long silence, je cherche, mais je ne trouve pas, peut-être mon esprit est-il embrumé par l'heure tardive ou les deux ou trois cocktails pris en boîte.

- Tu donnes ta langue au chat ? me lance Emeline, d'un air coquin.

- Ma foi... oui.

Sur ce, le dîner fini, elle se lève, et va prendre un objet que je ne vois pas. Elle repasse derrière moi.

- Maintenant, laisse-toi faire, voilà ton cadeau.

Sur ce, elle m'applique délicatement un bandeau en soie noire devant les yeux. Elle fait un nœud, derrière ma tête, afin qu'il tienne, mais sans me faire mal. Ensuite, j'ai senti ses mains sur les miennes, elle m'a fait me relever et elle m'a conduit à travers l'appartement. La curiosité m'excitait, que me préparait-elle ? Nous nous sommes immobilisées. Elle a lâché mes mains, j'ai attendu quelques secondes, j'ai entendu un bruit d'étoffe ou de vêtement. Et puis soudain, j'ai senti ses mains défaire la fermeture de mon pantalon. J'étais pétrifiée. Elle l'a descendu jusque sur mes chevilles puis m'a fait lever une jambe puis l'autre afin de l'ôter complètement. Elle a ensuite détaché mon top. J'étais maintenant en string et soutien-gorge. Elle m'a fait allonger sur le ventre. Il y avait un grand lit, ce devait être sa chambre. Ensuite, je l'ai sentie s'asseoir sur mes fesses, à califourchon.- Allez, un petit massage pour détendre ma Laura, après nos danses endiablées.

Sur ce, elle a versé quelques gouttes froides d'un liquide odorant sur mon dos, sûrement une huile parfumée. Elle a ensuite commencé à me masser la nuque, les épaules, le haut du dos. Ma respiration était profonde, je profitais du moment présent. Laura m'avait déjà massée, quelques fois, elle savait que j'adorais ça, que ça me faisait le plus grand bien. En redescendant le long de mon dos, les bretelles de mon soutien-gorge l'ont gênée, elle a fait sauter le fermoir et a libéré mon dos et ma poitrine. Elle a continué à me masser consciencieusement, jusqu'à atteindre mes hanches et mes fesses.

- Oh, il nous gêne, ce string, allez hop !Et sur ce, d'un geste décidé qui n'appelle pas la contestation, elle fait glisser le dernier morceau de tissu qui recouvre mon corps jusqu'à mes chevilles. Me disant de rester immobile, elle s'allonge à demi à côté de moi et commence à me masser les chevilles, puis elle remonte, lentement, la voici sur mes mollets, puis mes cuisses. Et soudain, une décharge électrique parcourt mon corps, elle vient de frôler mes grandes lèvres. Je suis toute chose. Elle recommence son massage, avec application, elle détend les muscles de mes cuisses.- Tu aimes ?Je n'ai pas la force d'articuler le moindre son, j'opine de la tête. Mais avant que j'aie fini de lui faire comprendre que oui, voilà que, de nouveau, ses doigts ont frôlé ma petite toison. Et soudain, je me rends compte que mon sexe est humide. J'ai honte. Je veux lui dire d'arrêter, mais comment ? C'est tellement bon. Ses mains parcourent mes cuisses, elles me font tellement de bien que je ne parviens plus à me contrôler.- Laura ?

- Oui ?

- Tourne-toi, maintenant ! Je n'ai pas fini le massage...

Elle avait parlé d'une voix douce et en même temps sûre d'elle. Je me suis tournée, toute honteuse, espérant qu'elle ne remarquerait pas la cyprine qui devait déjà faire briller mes grandes lèvres. Me voilà allongée sur le dos, les yeux toujours bandés, je ne vois pas Emeline. Je sens juste ses mains qui caressent mon ventre, mes hanches... plus haut... oui... mes seins. Elle me caresse, ce n'est plus un massage. Je suis pétrifiée. Je ne sais comment réagir. Je suis brûlante, comme emportée par une fièvre délirante et en même temps glacée d'effroi, pétrifiée. Elle quitte mes seins. Je sens ses mains, sur mes cuisses, elles les entrouvrent. Je dois être offerte à sa vue maintenant, mes jambes écartées découvrent entièrement ma toison et mes lèvres. Je sens les mains d'Emeline qui remontent sur moi, vers la partie la plus intime de mon être. Et là, je sens quelque chose de chaud, d'humide et de doux écarter lentement les deux grandes lèvres. Sa langue. Elle s'est glissée entre mes jambes et embrasse mes grandes lèvres. Elle passe sa langue sur elles, elle joue avec et bientôt, la voilà qui commence à se diriger vers mon petit bouton d'amour, je sens sa langue frôler mon clitoris, puis le titiller, tourner lentement autour, je deviens folle, et puis, soudain, je sens mon petit bouton aspiré dans la bouche d'Emeline. Il est entre ses lèvres, elle passe sa langue contre lui, elle l'embrasse passionnément, fougueusement, je perds la raison. Je tremble, je frissonne.

- Enlève ton bandeau.


Fébrile, j'obéis et, bientôt, je vois le corps d'Emeline qui se déplace, tout en continuant de me donner du plaisir. Elle est nue, sa jambe gauche passe par-dessus ma tête et son sexe est désormais à quelques centimètres de mon visage. Je pense : « je n'ai jamais rien vu d'aussi beau ». Mes mains s'aventurent sur ses fesses, je les agrippe, et je leur commande de descendre un peu. Ses grandes lèvres frôlent mon visage. J'ose un premier coup de langue. Emeline libère mon clitoris d'entre ses lèvres lors d'un faible gémissement. Le goût de sa cyprine est une révélation. Je me surprends à apprécier, à adorer même la saveur de son sexe. Mes baisers se font plus appuyés. Ceux d'Emeline aussi. J'ose aspirer son clito entre mes lèvres. Je la sens frissonner, elle répond en posant ses lèvres à l'entrée de mon vagin. Puis je sens glisser sa langue dans ma petite grotte d'amour. C'est délicieux. J'aimerais lui donner le même plaisir, à mon tour, je glisse ma langue dans son vagin et je caresse l'intérieur de son corps lentement et sensuellement. Je retire ma langue, je savoure son goût, je m'enivre de son odeur. J'adore ça, elle est délicieuse. Une dernière vague de plaisir me submerge, je resserre mon étreinte sur les fesses d'Emeline et j'étouffe mes cris de plaisir dans son sexe dont je bois jusqu'à la dernière goutte de cyprine.


Brisée, rompue, tous mes muscles se relâchent. Emeline se tourne, vient alors face à moi et, me fixant droit dans les yeux, m'embrasse passionnément. Je goutte ma propre cyprine, sa langue est douce, nous échangeons nos saveurs, nos odeurs. Ces baisers n'en finissent plus, et la chaleur du corps d'Emeline fait naître d'autres désirs en moi. Un éclair dans les yeux de mon amante me fait comprendre que mon « cadeau » n'est pas terminé.


- Tourne-toi.


J'obéis, j'ai abdiqué toute volonté, elle peut faire de moi ce qu'elle veut. Allongée sur le ventre, je sens les mains d'Emeline qui rehaussent mes hanches. Je suis maintenant à quatre pattes, les fesses hautes et la tête enfouie dans un oreiller. Emeline me caresse les fesses, les cuisses puis je sens un doigt s'insinuer dans ma petite grotte d'amour. Puis deux. Elle commence des allers et venues lents, comme pour me préparer. Et bientôt je ne sens plus ses doigts, mais une forme plus massive force doucement l'entrée de mon vagin. Je tourne la tête, Emeline me sourit et me donne confiance. Elle fait aller et venir l'objet dans mon vagin. Jamais je n'ai connu d'homme qui m'ait remplie ainsi. La sensation est nouvelle, agréable, violente et douce à la fois. Les va-et-vient se font plus rapides, plus vigoureux, plus profonds aussi. Je commence à haleter, ma respiration s'accélère, se saccade. La tête me tourne, je ne sais plus où je suis, j'enfonce la tête dans l'oreiller pour gémir. Le membre que manie mon amante me remplit, me comble, il y a tant d'amour dans chacun de ses gestes...


Et puis, au milieu de cette tempête de sens, je sens des baisers humidifier mes fesses. De nombreux baisers, la bouche d'Emeline doit courir sur mes fesses, entre mes fesses aussi. Je sens sa langue descendre le bas de mon dos, et finir sa course sur ma raie, frôlant mon petit soleil. Elle me rend folle, je perds la raison. Mon vagin est en feu, je dois hurler. J'enfonce la tête dans l'oreiller et je crie aussi fort que je peux. Emeline continue d'embrasser ma petite rondelle, sa langue se ballade entre mes fesses, tandis que le membre qu'elle manie avec tant d'amour me procure le plus violent orgasme de ma vie. Et soudain, je sens un doigt pénétrer dans mon anus. Je hoquette de surprise, un peu plus, je me serai étranglé. « Non pas ça... » Les mots n'ont pas franchi le seuil de mes lèvres. Elle sait que je n'ai essayé qu'une fois, je n'ai ressenti que douleur. Peu importe, je ne suis plus en état, je m'abandonne, qu'elle fasse de moi, ce qu'elle désire. Le plaisir me déchire les entrailles, des spasmes me secouent, je ne sens même pas le deuxième doigt qu'elle glisse entre mes fesses. Elle masse mon petit orifice et, lorsqu'elle retire le membre de mon vagin, ce n'est que pour l'appliquer fermement, mais avec douceur et amour à l'entrée de mon anus. La taille de l'objet oblige Emeline à le faire pénétrer progressivement. Je n'ai pas mal. Elle est douce et délicate. Le plaisir de mon vagin commence à se communiquer à mon anus. Je ressens des sensations inconnues jusqu'alors. Emeline fait bouger le membre d'un mouvement circulaire, comme pour agrandir le passage. Lorsqu'elle sent que je suis détendue et que mon corps a accepté l'objet, elle commence des va-et-vient. Lents, de plus en plus profonds. À partir de ce moment-là, je ne me souviens plus de rien, la suite, c'est Emeline qui me l'a racontée. J'ai commencé à onduler, de plus en plus, gémissant, criant presque, enfonçant la tête dans l'oreiller, puis j'ai poussé mes fesses toujours plus en arrière pour permettre au membre de pénétrer au plus profond de moi. J'ai joui telle une démente, une possédée. Je m'empalais sur le sexe factice qu'Emeline faisait aller et venir avec amour et violence au plus profond de moi. Et puis brisée, en sueur, ayant joui de toutes les manières possibles, je me suis évanouie dans le lit.


Emeline m'a prise dans ses bras et s'est endormie à mes côtés.

Par Julien - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 19:11
URGENT ce soir,  20.février dans l'émission C'EST LENOIR 21H sur France Inter
Une BLACK SESSION EN DIRECT ET EN PUBLIC AU STUDIO 105" avec
les ARCTIC MONKEYS

Il n'est sans doute pas nécessaire de vous rapeller qui sont les Arctic Monkeys.

Plus de site : Dispo gratuit I bet you look good on the dance floor en Mp3 sur le site qui les a fait connaitre.

http://www.dominorecordco.com/site/index.php?page=multimedia&artistID=49&artistID=209&view=audio

Par juju - Publié dans : Sortir
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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 11:05

Le retour après un grand moment d'absence c'est reparti pour des les posts.
Pour un retour autant prendre du nouveau Brandi Carlile. Je pense que beaucoup d'entre vous dirons mais quoi ? Mais qui donc ?
En effet comme d'habitude ne le chercher pas dans les rayons  bénéfice rapide des majors. C'est une américaine de l'état de Washington seattle. Certain diront authentique. Oui certainement. Moi je dirais pas mal du tout. Sympa a écouter.

Une touche de Dylan au féminin. Je vous en dis pas plus à vous de vous faire une opinion.


Plus de site :
http://www.brandicarlile.com

Plus de musique:
http://www.brandicarlile.com/media/bc_fall.mp3
Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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