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Samedi 8 janvier 6 08 /01 /Jan 00:00

Avec du retard mais cela reste un incontournable: Technikart

Avec son numéro deja ancien:  La bite génération On en parle de plus en plus, on la montre, on se la fait grossir... La poitrine ? Non, la bite. Et si c'était ça la vraie révolution sexuelle : TECHNIKART N°88 DECEMBRE !!

Voici le lien vers le site pour ceux qui n'en aurait jamais entendu parler. www.technikart.com

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 8 janvier 6 08 /01 /Jan 00:00

Hervé Juvin: "L'industrie du corps tourne à plein régime"

De l'obsession de la plastique au commerce d'organes humains, cet agitateur d'idées décrypte l'émergence d'un nouveau continent économique.

 Avec le triomphe de l'individualisme, le corps devient l'objet de toutes nos attentions. C'est un nouveau continent économique aux enjeux colossaux qui s'ouvre, explique Hervé Juvin. Acteur de la vie économique et penseur de la société, Hervé Juvin, qui s'est fait connaître par ses travaux sur les marchés financiers, est un inclassable et un curieux. Sa réflexion est guidée par le désir de comprendre les changements en cours et les impasses dans lesquelles nous risquons de nous engager, du point de vue économique, politique et anthropologique.

Y a t' il des conséquences visibles sur les  comportements amoureux et sexuels ?

-Une société ou une civilisation qui fait de la multiplicité, de la diversité et de l'intensité des expériences vécues un idéal est sans doute condamnée à aller au terme de son « voyage au bout de la nuit ». Si je suis ce que je vis, si mon but est de vivre le plus intensément possible, d'aller à la plus grande dépense de moi, je ne vais pas vers le plaisir mais vers le risque, la souffrance, et parfois même vers l'horreur. Si on recherche l'intensité maximale, le plaisir devient baliverne, mieux vaut le saut à l'élastique ! Les professionnels du marché du sexe connaissent l'évolution qui va de l'échangisme ou des pratiques SM soft - tout cela en forte croissance, avec sans doute plus de 6 millions d'adeptes au moins occasionnels en Europe - à des choses plus extrêmes. Il faut voir, rue Saint-Denis, ces centres qui proposent, en plus des jeunes femmes en salons d'accueil, des centaines de cabines vidéo où ceux qui sont au bout de leur voyage vont chercher à peu près tout, de la zoophilie aux pratiques de tortures - une clientèle riche, à surface sociale élevée, et qui est au bout de l'isolement et de l'incapacité de la relation.

Retrouver cet article sur http://www.lexpansion.com/art/0.0.80714.0.html

Propos recueillis par Vincent Giret et Bernard Poulet  
L'Expansion - 21/12/2004

 

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 8 janvier 6 08 /01 /Jan 00:00
 Sexe, raison et sentiment

Selon une enquête qualitative de l’Inserm menée auprès de vingt-quatre jeunes âgés de 18 à 22 ans, le couple reste une valeur centrale, mais son approche diffère selon le sexe.

Le premier mérite de l’enquête Inserm « L’expérience de la sexualité chez de jeunes adultes », présentée hier par Alain Giami et Marie-Ange Schiltz, est d’avoir tenté de « désenclaver la question de l’expérience de la sexualité de celle du sida, en essayant de ne plus interroger la sexualité du point de vue du sida ». Car, si, paradoxalement, l’épidémie de sida a su donner un sérieux coup d’accélérateur à la recherche sur la sexualité, elle a également déplacé le concept sous le seul angle du médical, de la préservation de la santé, du risque. Or on sait finalement peu de chose de ce qui anime les individus dans leur vie intime, qu’elle soit affective et sexuelle. Et l’on en sait encore moins sur la façon dont se vit le passage entre l’adolescence et l’âge adulte.

Comment ces jeunes adultes vivent-ils les relations physiques, sentimentales et quelles significations donnent-ils à leur expérience ? C’est à ces questions que les chercheurs ont tenté d’apporter un éclairage loin des idées reçues trop souvent véhiculées par le monde des adultes (une sexualité adolescente violente, obsédée par la pornographie par exemple - NDLR). Tout d’abord, les trois quarts des 24 jeunes interviewés (17 filles et 7 garçons) ont déjà eu des relations sexuelles. Trois filles ont évoqué la survenue d’un épisode d’abus sexuel au cours de leur enfance ou d’une période récente, un homme s’est présenté comme homosexuel et ayant subi un épisode homophobe au cours de son adolescence, et deux femmes ont évoqué des relations homosexuelles passagères.

La majorité des jeunes qui ont eu entre 2 et 4 partenaires ont connu des relations amoureuses de longue durée, sans avoir vécu en couple puisqu’ils vivent encore tous chez leurs parents. Selon Alain Giami, « les hommes et les femmes interrogés ne vivent pas dans le même monde sexuel et n’ont pas la même maturation ». L’enquête révèle, en effet, que les femmes ont eu davantage d’expériences sexuelles, que, lorsqu’elles sont encore vierges, elles le sont par choix, contrairement aux garçons, qui semblent plus « subir » cette situation, qui les plonge « dans une vie fantasmatique intense ou un vide dépressif ».

Mais la différence majeure concerne l’attitude face à la nature des relations. Si le couple et non plus le mariage reste l’idéal à vivre pour les garçons comme pour les filles, les filles expriment le désir de prendre leur temps de vivre différentes expériences, de se consacrer à leurs études et de développer leur indépendance. Pour les hommes, « les relations s’inscrivent d’emblée dans le cadre de cet idéal amoureux ». Les filles rejettent une relation trop fermée, imposée par le garçon, considérée comme prématurée. Mais inversement, elles se plaignent « du manque de franchise et du mensonge des garçons à leur égard, qui mènent des relations parallèles sans le leur dire ». Globalement, les jeunes gens vivent une période - que les chercheurs qualifient « d’errance sexuelle », une période d’expériences multiples, mais la conjugalité reste le but à atteindre, où « l’amour, l’activité sexuelle et le projet familial » pourront s’exprimer. Un idéal qui peut faciliter « l’expérience actuelle de la vie sexuelle et affective de ces personnes », mais qui peut également être « un rempart qui la dévalorise ».

Maud Dugrand

L'humanite -  Article paru dans l'édition du 10 décembre 2004.

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 8 janvier 6 08 /01 /Jan 00:00

Bonjour,

Je vais essayer d'améliorer mon blog, maintenant que je commence à comprendre comment cela fonctionne.

Si vous êtes curieux jetez un petit coup d'oeil à la revue de presse.

bon weekend a tous

Par aline - Publié dans : plaisir
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Jeudi 6 janvier 4 06 /01 /Jan 00:00

Après un tel article, je le sens il vous faut du repos. Juste un peu. Allez une petite photo. Une Tite photo sympa.

Par aline - Publié dans : plaisir
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Jeudi 6 janvier 4 06 /01 /Jan 00:00

Eloge de la bite

La bite, la queue, le phallus, la matraque, le zob, la teub, le pieu, la tige, la trique, le pénis, le sgueg...

...peut importe son nom, j'en suis accro, je sais pas pourquoi j'aime tant la bite. J'adore la prendre, la caresser, la sucer, la lécher, exciter le frein avec ma langue, malaxer et lécher les couilles, et faire bien d'autres choses encore avec.

La Queue pour moi c'est le plaisir, c'est le pied, je pourrais passer des heures à les toucher et à les sucer. On peut dire que les préliminaires est mon moment préféré :p.

A chaque fois je croise un mec qui me plait bien, jeune ou vieux, je peux pas m'empêcher de regarder sous la ceinture, pour essayer de deviner comment elle est, et fantasmer dessus, si je pouvais la toucher, rahhhhh, rien que la regarder me suffirait largement.

Alors oui si on veut, on peut largement dire que je suis une nympho, que je suis une grave excitée de la bite, mais je suis pas obsédée, en tout cas c'est pas ainsi que je me vois, je dirais juste que j'aime le sexe, dans son ensemble ;), et que j'aimes pratiquer, et il s'avère que mon petit plaisir c'est de pomper une bonne queue bien juteuse, j'y peux rien, chacun son plaisir Je fais de mal à personne, au contraire.

C'est pratiquement toujours comme ça avec moi, peu importe où je suis, je mates, j'examines, je déshabilles du regard et je fantasmes.

Je rassure, je fais ça alors que je suis célibataire, si j'avais un copain, je ne materais, ne déshabillerais du regard, ne fantasmerais et ne sucerais qu'une seule bite, la sienne.

Mais vraiment je ne sais pas pourquoi, mais j'aime la bite, faudrait que je demande à un psychanalyste, qu'il m'explique pourquoi je fais une fixation là-dessus.

Peu importe son nom, sa forme, sa largeur, sa longueur, la taille de ses boules, qu'elle soit circoncise ou non, et à qui elle appartient, j'aime la bite.

J'aime pomper un mec, et j'aime qu'il râle, qu'il explose de plaisir, qu'il éjacule, qu'il jute, qu'il gicle son jus sur moi.

Voila tout est dit...

 

 

Par aline - Publié dans : plaisir
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Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 00:00

Un petit article intéressant et informatif ...

Il est bien rare que la médecine et la biologie trouvent des vertus à la consommation des produits psychoactifs d'origine naturelle ; a fortiori lorsque cette consommation est illicite. C'est dire l'importance que l'on doit accorder aux observations faites par un groupe de chercheurs du centre de reproduction et d'endocrinologie travaillant au fort réputé King's College de Londres. Participant à la 20e conférence annuelle de la Société européenne d'embryologie et de reproduction humaines, qui se tient cette semaine à Berlin, ces chercheurs ont, lundi 28 juin, annoncé qu'ils étaient en mesure de démontrer que la consommation par l'homme des feuilles d'une plante hallucinogène, le khat, était de nature à améliorer les capacités fécondantes des spermatozoïdes des consommateurs.

Le khat est un arbrisseau d'Arabie baptisé par les botanistes Catha eludis et classé dans la famille des célastracées. Cousin germain de notre fusain, le khat aurait été introduit vers le XIVe siècle au Yémen à partir de l'Ethiopie. Nombre de consommateurs masculins de khat avaient, au cours des siècles, empiriquement témoigné des plaisirs tirés de leur pratique. Ils avaient notamment parlé de l'intensité de leur activité mentale et sexuelle puis de la grande tristesse qui suivait cette euphorie limitée à quelques heures. Les chercheurs londoniens de l'équipe de Lynn Fraser nous rappellent que le "stimulant" contenu dans le khat - la cathinone - peut donner naissance à des molécules dont font partie l'adrénaline et certaines amphétamines.

L'étude a été menée conjointement sur des spermatozoïdes de souris - mâles - et d'hommes. Elle tend, en substance, à démontrer que le principe actif hallucinogène du khat augmenterait le pouvoir fécondant des spermatozoïdes déficients. "Nous envisageons, a dit Mme Fraser, le développement de médicaments qui pourraient être pris par les couples qui ont des difficultés à concevoir un enfant, voire par des gens qui n'ont pas de problème mais qui désirent simplement un bébé." Selon elle, des dérivés du khat pourraient, dès demain, être utilisés lors des fécondations in vitro comme une nouvelle forme de "dopage" à la préparation des spermatozoïdes destinés à la procréation médicalement assistée.

Jean-Yves Nau


LE MONDE | 30.06.04 • ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 01.07.04

Par aline - Publié dans : plaisir
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Lundi 3 janvier 1 03 /01 /Jan 00:00

Bonjour voila c parti pour ce blog que je veux libertin libertaire libre !!!

Beaucoup d'envies à moi à vous de le réaliser.

bonne chance

Par aline - Publié dans : plaisir
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