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Dimanche 23 janvier 7 23 /01 /Jan 00:00

Un livre de Ryû Murakami pas forcément facile à lire mais il permet de découvrir une face cachée du japon.  A lire pour ceux qui n'ont pas froid aux yeux.


Ca n’est pas une descente aux enfers, c’est plutôt le contraire. Après la guerre, une jeunesse japonaise se cherche, ou plutôt se perd dans les méandres de tous les excès possibles. Drogues, sexe, violence, tout est bon pour oublier qui on est. Ryû est à la fois participant et observateur de ces excès, il les ressent avec une acuité amplifiée par le recul. Il ne fera rien pour changer, et pourtant, le changement est déjà en lui.

Dans un style presque clinique, Murakami raconte ce qui fut vraissemblablement sa jeunesse. Passant tantôt de la troisième personne à la narration subjective, il dévide les jours et les nuits, indifférent à l’horreur et à la décadence. Ces orgies, décrites simplement, amènent le lecteur à une fascination morbide, mélange d’attirance et de répulsion. C’est qu’on finit par chercher la vérité dans tout ce désordre, on la recherche activement, dans l’espoir de la trouver, simplement parce qu’on imagine pas qu’une telle vanité puisse être possible.

A travers les visions des personnages, et surtout leur réaction vis-à-vis de celles-ci, on les découvre le plus en plus, comme dans un miroir. La mise en abyme, provoquée par des scénes calmes de la vie quotidienne, finissent par rapprocher Ryû du sublime, jusqu’à la révélation prophétique de l’oiseau noir.

Malgré la noirceur, on en ressort grandi, plein d’une nouvelle foi qui ne demande qu’à s’éroder face à la réalité.

Un extrait :

« T’es bizarre, Riû : t’es pas heureux. Même les yeux fermés, je parie que t’essaies de voir des tas de trucs. Je ne sais pas très bien comment te dire, mais du moment que tu trouves quelque chose qui te plaît bien, vraiment bien, pourquoi t’irais te creuser la cervelle pour y chercher encore autre chose en plus, tu crois pas ? Mais toi, faut toujours que t’essaie de voir autre chose, justement, à toute force, et de prendre des notes comme un savant qui fait de la recherche. Ou même comme un petit gosse. D’ailleurs, c’est ça que t’es, au fond : un gosse. A cet âge-là, on veut tout voir, non ? Un bébé, les gens qu’il connaît pas, il les regarde avec des grands yeux, puis il rit ou il pleure. La différence, c’est que toi, maintenant, si t’essayais de les regarder dans les yeux, les gens, tu deviendrais raide dingue dans la seconde. Essaie seulement, je te dis, tiens, avec ceux qui passent dans la rue ; je te jure que tu tiendrais pas le coup longtemps ! T’sais, Ryû, tu devrais pas regarder les choses comme un tout petit enfant. »

Le 21 août 2004 Mario Heimburger

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 23 janvier 7 23 /01 /Jan 00:00

L'affaire agite la presse américaine et les nombreux spécialistes de ce personnage énigmatique qui a déjà suscité plus de 10 000 ouvrages : Abraham Lincoln (1809-1865), 16e président des Etats-Unis, figure mythique de la guerre de Sécession, chef de file des anti-esclavagistes et symbole du self-made-man américain. Sa vie intime échauffe les esprits depuis longtemps, et une question revient soudain : Abraham Lincoln était-il bisexuel ?

Ce nouvel os à ronger est suscité par un livre : The Intimate World of Abraham Lincoln ("Le Monde intime d'Abraham Lincoln"), de C. A. Tripp. Un ouvrage, publié par la prestigieuse maison d'édition Free Press, qui a obtenu les faveurs du New York Times et des pages d'exégèse dans le magazine Vanity Fair par l'écrivain Gore Vidal - lui-même auteur, entre autres, d'un essai sur Lincoln.

C'est que C. A. Tripp, celui par qui le scandale arrive, est un savant reconnu de la chose sexuelle. Il fit partie de l'équipe de chercheurs entourant Alfred C. Kinsey, auteur en 1948 du Comportement sexuel chez le mâle humain. Psychologue et écrivain homosexuel influent, Tripp est mort en 2003, deux semaines après avoir mis le point final à son ouvrage. Non sans avoir eu le temps de conclure : Abraham Lincoln était gay. Des biographes avaient déjà mentionné le mariage équivoque du président avec Mary Todd (même s'ils eurent quatre enfants) comme sa relation trouble avec Joshua Speed, l'ami de jeunesse avec qui il partagea son lit. Mais, selon C. A. Tripp, aucun n'a osé reconnaître son homosexualité. Lincoln, démontre-t-il en s'appuyant sur des lettres et des récits écrits par des proches du président, avait entretenu des rapports amoureux avec plusieurs hommes, dont le capitaine de ses gardes du corps, David V. Derickson.

Le débat n'est pas clos. "A cette époque de pionniers, écrit David Herbert Donald, professeur émérite à Harvard, deux fois Prix Pulitzer, considéré comme un des meilleurs biographes de Lincoln, l'espace était restreint et les hommes partageaient les lits. Et la correspondance entre Lincoln et Speed n'était pas celle de deux amants." Pour une autre spécialiste, Jean H. Baker, l'indépendance d'esprit du président et ses positions subversives s'expliquent enfin : "En tant qu'homosexuel, il était aux marges de la tradition."

Marion Van Renterghem
Article paru dans l'edition du Monde du 14.01.05

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Jeudi 20 janvier 4 20 /01 /Jan 00:00

Le sexe, des corps sans coeur, des coeurs sans corps, vaste sujet ...

bonne lecture.

Enlevez l’amour... Qu’est-ce qu’il reste? De tristes histoires avec «orgasme laïque, gratuit et obligatoire». Démonstration

Le Nouvel Observateur. – Diriez-vous, comme Jean-Claude Guillebaud, que nous sommes aujourd’hui soumis à une «tyrannie du plaisir»?
Dominique Folscheid. – Oui, mais ce n’est à mon sens qu’une conséquence de ce que j’appelle l’impérialisme du sexe. En observant la publicité, les magazines, les émissions de radio et de télé-réalité, le succès de livres comme ceux de Michel Houellebecq ou de Catherine Millet, je me suis demandé ce qu’il y avait derrière ce grand tapage sexuel, derrière ce discours dominant qui prône une sexualité libératrice et libérée, ludique, jouissive et mécanique. J’en ai découvert les racines dans la révolution anthropologique et scientifique du xviie siècle, avec l’invention du corps-machine par Descartes, devenu «l’homme-machine» de La Mettrie, en 1748. Le retentissement en a été immédiat dans les œuvres de Sade. Dans cette lignée, on retrouve plus tard Charles Fourier, auteur d’une utopie dans laquelle l’échangisme est érigé en système (avec des «parties carrées», «sextines» et «octavines»). Enfin il y a eu la grande vague d’inspiration psychanalytique, avec notamment Wilhelm Reich. Tout cela a été théorisé bien avant la révolution sexuelle des années 1960. Depuis, le sexe a quitté la marginalité pour devenir «social-démocrate», comme dit Houellebecq. Nous nous trouvons en face d’un mouvement de fond qui touche toutes les sociétés occidentales et tend à gagner les autres.

N. O. – Comment l’expliquer? Est-ce un avatar du système capitaliste?
D. Folscheid. – Question difficile… Plus largement, nous sommes dans le cadre des dérives majeures de la modernité. Comme le sexe est de nature consu-mériste, au sein d’une société consumériste, sa banalisation et sa géné-ralisation sont évidemment liées à l’essor du système marchand. Il y a aujourd’hui un marché du sexe, extrêmement juteux. Mais ce phénomène est aussi solidaire du développement de la technique. La PMA (procréation médicalement assistée), qui n’est au départ qu’un remède contre l’infécondité, a pris une place majeure dans notre imaginaire social. Au sein de cette sexualité clivée, dissociée, le sexe est devenu une entité à part, déconnectée de la procréation mais aussi du cœur. Aux Etats-Unis, un million de jeunes hommes se seraient fait stériliser après avoir stocké leur sperme en banque, pour pouvoir jouir pleinement. Voyez les magazines de cet été, qui titrent sur les nouveaux jeux du sexe – autre façon de dire que le sexe est un jeu et ceux qui s’y adonnent des jouets. Sans oublier ces émissions de télé-réalité qui proposent d’élire la plus grande séductrice, ou de récompenser le meilleur briseur de couples.

N. O. – Mais cette pratique du sexe n’a pas pour autant tué l’idéal du grand amour…
D. Folscheid.– C’est exact. 90% des jeunes rêvent de l’amour fou et considèrent dans le même temps le sexe comme une activité banale, hygiénique et festive. Les corps sont complètement désinvestis. «Entre nous, ça n’est que du sexe», entend-on souvent. On a d’un côté des corps sans cœur et, de l’autre, des cœurs sans corps. D’où l’apparition étonnante d’un néoromantisme forcené. Plus le sexe devient une activité banalisée, plus on rêve au grand amour. Remarquez ce que disent une bonne partie des adeptes du sexe ludique: «Je préfère l’échangisme en club plutôt qu’une relation continue bas de gamme… en attendant le coup de foudre.»

N. O. –N’êtes-vous pas précisément en train de produire ce que vous dénoncez, un discours général selon lequel tous les Français s’adonnent au sexe sans limites et sans complexes? La plupart des gens ne vivent pas comme ça, et parviennent même parfois à réunir le cœur et le corps…
D. Folscheid. – Certes, l’attitude majoritaire n’est évidemment pas celle-là. Beaucoup de gens doivent être effarés par ces pratiques. Mais du seul fait qu’on en parle de plus en plus, qu’on les présente comme répandues, naturelles, normales même, on produit un discours qui n’a rien d’anodin et qui a des effets. Il a, à mon sens, complètement bouleversé l’imaginaire amoureux de l’époque.

N. O. – Vous voulez dire qu’il nous soumet à une pression insidieuse?
D. Folscheid. – Oui, car il peut engendrer un certain désarroi, donner l’impression que l’on n’est pas dans le coup, que l’on est nul, parce que les films pornos érigent en modèles des performances à la fois surhumaines et inhumaines. L’orgasme est devenu comme l’école: laïque, gratuit et obligatoire. Ceux qui ne l’atteignent pas sont des ratés. D’où le succès du discours sur la «misère sexuelle», dont tout le monde peut se sentir victime. Dans la mesure où l’on a converti le désir en besoin de sexe, on fabrique des cohortes entières de frustrés. Et ne parlons même pas des jeunes générations, qui ont l’imaginaire, l’esprit et même le vocabulaire formatés par le porno!

N. O. – Mais certaines personnes se disent aussi libérées, heureuses de découvrir de nouvelles pratiques…
D. Folscheid. – Une partie de la population, probablement un peu instable, pas très heureuse en amour, est prête à tomber dans le piège du «il faut tout essayer». C’est la conséquence logique de l’impérialisme du sexe, qui transforme les partenaires en objets interchangeables. Au bout du compte le sexe n’a même plus de sexe: il requiert simplement le branchement d’éléments pénétrants sur des creux. Il faut aller toujours plus loin. Mais cette quête indéfinie engendre à la fois frustration et curiosité incessante. On espère toujours qu’un coup de plus apportera un nouveau frisson.

N. O. – Mais est-ce finalement si grave? Ne tombez-vous pas dans un moralisme excessif?
D. Folscheid. – On est en deçà de tout débat moral. Avoir l’imaginaire et le regard formatés au sexe ne peut qu’appauvrir le côté relationnel et amoureux de l’existence. Il y a aussi une perte considérable au niveau du désir, donc de l’érotisme. Derrière cet «essayisme» généralisé, ce culte de l’échangisme, se cache l’aveu d’un désir en panne. On attend qu’un tiers, érigé en rival, vienne raviver son propre désir. Ce sont ceux-là qui disent : «J’adore voir ma femme prendre son pied avec d’autres hommes.» Et la société les pousse: «C’est très bien, au moins, vous n’êtes pas jaloux!» Toute la perversité du système actuel est qu’il milite sans cesse pour l’interdiction des interdits. Il désarme donc la critique (qui aime les interdits?). Mais il se voit contraint de susciter sans cesse de nouveaux interdits pour pouvoir les transgresser! Regardez la presse: elle n’en finit pas de faire sa une sur le thème: «Sexe: le dernier tabou à vaincre». En réalité, il n’y en a plus, à part la pédophilie.

N. O. – L’omniprésence actuelle du sexe traduirait une certaine angoisse sociale?
D. Folscheid. – Autrefois on parlait de la mort, jamais de sexe. Aujour-d’hui, on occulte la mort et on est polarisé sur le sexe. C’est le symptôme d’une société adolescente, fascinée par l’immédiateté. En baisant, on tente de vaincre les angoisses de la condition humaine

N. O. – Vous prédisez un avenir bien sombre…
D. Folscheid. – Avant de sortir de la crise, on risque de voir apparaître un néopuritanisme forcené, tourné contre la sexualité en général. On en perçoit çà et là des prémices, avec des débordements sectaires dans le monde anglo-saxon (par exemple, l’engagement dans certains groupes de ne plus faire d’enfants…). Rien ne dit qu’une partie non négligeable de la population ne refuse pas aujourd’hui la sexualité, tout en se taisant, par peur d’apparaître anormale ou ringarde. Certains mouvements conservateurs peuvent ainsi tirer leur épingle du jeu, comme ces groupes islamistes dont l’audience est croissante dans certaines banlieues. Ni alcool ni sexe, et le voile pour les filles… Bref, on fait de la casse, avec des malheureux dans la vie et de nouveaux clients pour les psys.

Dominique Folscheid est professeur de philosophie à l’université de Marne-la-Vallée. Il a notamment publié «Philosophie, éthique et droit de la médecine», PUF, 1997, et «Sexe mécanique. La crise contemporaine de la sexualité», La Table ronde, 2002.

Le nouvel observateur - jeudi 24 juillet 2003

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Jeudi 20 janvier 4 20 /01 /Jan 00:00

Merci mat pour ce bel article, très culturel mais instructif lol!!

Jan Vinzenz Krause, travailleur dans une entreprise allemande qui vend des préservatifs, a lui profité de cette journée pour étudier le comportement de ses compatriotes vis-à-vis de cet objet efficace pour se protéger (et protéger son ou sa partenaire) des maladies sexuellement transmissibles.

D'après lui, les Allemands ne font pas du tout le bon choix. Ils se trompent de taille. Peut-être par coquetterie... Ou par gêne. En tout cas, les chiffres récoltés sur la taille des pénis en érection de ces messieurs ne correspondent pas vraiment à la taille des préservatifs achetés en magazin.

2500 hommes se sont laissés prendre au jeu et seulement 18% d'entre eux utilisent un préservatif à leur taille et 34% n'ont pas le compas dans l'oeil et portent une « capote » beaucoup trop grande...

"Les gens mesurent bien leur pied avant d'acheter des chaussures, conclut Jan Vinzenz Krause, pourquoi ne mesureraient-ils pas leur pénis avant d'acheter un préservatif ?"

Rappelons qu'il est primordial que le préservatif soit à la bonne taille. Trop petit, on risque de le déchirer en le mettant, trop grand, il risque de bouger ou de se déchirer. Et donc de ne plus protéger.

Par aline - Publié dans : plaisir
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Mercredi 19 janvier 3 19 /01 /Jan 00:00

The Vans triple crown of surfing

 La 1ère real TV surf !! Bouh mais qu'est ce que c'est!!

Kezako, et bien c'est une série   de 12 épisodes de 26 minutes qui parle de surf et de surf avec un casting du feu de dieu !!   Sunny Garcia , Myles Padaca , Veronica Kay , Chelsea Georgeson , Damien Hobgood Danny Fuller et Holly Beck.

Du beau monde en effet.  la série montre  les coulisses de la compétition de la villa que partagent les surfeurs jusqu’aux plages où ont lieu les compètes. C'est bien, c'est beau et qu'est ce qu'ils sont bon...

Avec en plus sur ce site un article sur super chelsea: http://www.thewb.com/Faces/Interview/0,8114,116494||,00.html

 

 

Par aline - Publié dans : plaisir
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Mardi 18 janvier 2 18 /01 /Jan 00:00

Un peu trop clinique mais bon c'est une bonne justification

Avoir des rapports sexuels deux à trois fois par semaine renforce les défenses immunitaires, au moins celles des hommes, selon une étude. La concentration des cellules dites "tueuses" dans le sang double juste après l'orgasme.

Ces résultats ont été rapportés par Tillmann Krüger de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) dans l'édition de février de la revue "Psychologie heute" (La psychologie aujourd'hui). Selon M. Krüger, le sexe a une vocation préventive car à chaque rapport, le corps entre en contact avec un grand nombre de germes étrangers qui renforcent les défenses immunitaires.

Le chercheur renvoie en outre à une étude américaine menée sur le long terme selon laquelle des rapports deux ou trois fois par semaine augmentent la concentration d'anticorps dans la salive. En revanche, "nettement plus ou moins de sexe réduit la quantité d'anticorps", précise le médecin.

ATS, le 18 janvier 2005 à 15:36 _ WEINHEIM

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Mardi 18 janvier 2 18 /01 /Jan 00:00

Vos commentaires, lachez vous !! !

Merci à sanglier noir pour valider mes choix filmographique. A vos clavier!!!

Allez en cadeau deux autres images extraites de speedy boys.

bisous à tous

   

 

Par aline - Publié dans : plaisir
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Lundi 17 janvier 1 17 /01 /Jan 00:00

 Voila un nouveau film très bien même si bien trop underground. Speedy boys

Un beau film, une invitation au plaisir. James Herbert nous plonge dans d'intenses relations amoureuses. Les dialogues sont rares mais servent à mettre en valeur les moments d'intimités.

De belles images juste la en dessous.

   

Director/ Producer/ Cinematographer: James Herbert

Editor: Mark Jordan

Principal Cast:
Andy Piedilato, Carter Davis, Aline Nari, Alessandra Palma, Kari Malievich, Sylvia Picchi

Le site le plus complet: http://www.uga.edu/ccult/SB/SB.html

Par aline - Publié dans : Films and zik !!
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Dimanche 16 janvier 7 16 /01 /Jan 00:00

Un autre film qui mérite bien d'être dans ma liste des meilleurs. Ken park ?

Kesako? bougez pas:

C'est un film poignant qui présente les états unis sous un angle encore plus critique que Mister Moore. Ce portrait de l'Amérique à contre-courant vaut le détour.. Il est dérangeant, il met mal à l'aise, c'est clair. Mais il fait réagir. Si vous avez une opinion sur ce film n'hésitez pas cliquer sur les commentaires!! .

"Ce film de Larry clark dresse un tableau provocant d'adolescents américains de classe moyenne qui trompent leur ennui avec du sexe, de la violence et de la perversion à Visalia, une petite ville de Californie. Leurs parents sont pour la plupart médiocres, aveugles, méprisants et alcooliques."

Le casting:

Réalisé par Larry Clark
Avec Adam Chubbuck , James Ransone, Tiffany Limos
Film français, néerlandais, américain.
Genre : Drame, Durée : 1h 35min. 2002
Interdit aux moins de 16 ans

Par aline - Publié dans : Films and zik !!
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