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Vendredi 25 février 5 25 /02 /Fév 00:00

Une petite pause gastronomique....

Par une froide soirée de février, des clients pénètrent dans un restaurant new-yorkais où ils ôtent manteaux, écharpes et gants. Mais ils ne s'arrêtent pas là. Ils ôtent également jupes, pantalons, chemises et sous-vêtements avant de passer au bar pour l'apéritif, puis à table dans le plus simple appareil.

Les dîneurs sont des nudistes et ne manquent jamais la soirée "vêtements en option" qu'organise chaque mois ce restaurant de Manhattan."C'est très agréable d'être nu au restaurant", explique George Keyes, professeur d'anglais à la retraite de 65 ans qui figure parmi les convives.Le propriétaire de l'établissement, John Bussi, précise que la soirée reste très convenable."Ce sont des gens bien, comme vous et moi", dit-il de ses clients dévêtus. "Ils ne font de mal à personne. Ce n'est pas une orgie romaine."

 (Reuters)


 

Par mat - Publié dans : Sortir
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Jeudi 24 février 4 24 /02 /Fév 00:00

Le cinéma X:  produit médiocre, produit culturel ? 

La suite de l'analyse présentée hier soir.Bonne lecture

Une façon radicale de situer la vastitude du problème posé par le cinéma dit X consiste à s'en tenir à la rigueur très hard des chiffres bruts : le porno, combien de divisions ? Aujourd'hui, le cinéma hollywoodien standard, réputé le plus puissant du monde, produit un maximum d'environ 400 films par an. Pendant ce temps, dans ce même grand et beau pays, l'industrie du cinéma porno en produit à peu près 10 000... Aux Etats-Unis toujours, plus de 700 millions de cassettes et DVD porno sont loués chaque année et les revenus générés par l'industrie du cul dans sa globalité (films, magazines, télévision, Internet) sont estimés entre 10 et 14 milliards de dollars (de 7,5 à 10,5 milliards d'euros). Un chiffre dont le New York Times a calculé qu'il était non seulement supérieur à celui de l'industrie hollywoodienne classique mais qu'il devançait aussi celui du football, du basket et du base-ball professionnels réunis ! Face à un tel stakhanovisme, qui pourrait encore prétendre que la profession du X est un ramassis de branleurs ?

En France, le cinéma porno échappant à la tutelle du CNC, aucun chiffre fiable n'est donc disponible, mais on estime néanmoins que les proportions sont équivalentes. Le paysage télévisuel lui-même est fort éloquent sur ce point : pas plus tard que samedi dernier, autour de minuit, une bonne douzaine de films pornos s'infiltraient sur les canaux satellitaires et câblés du spectateur français. Un tel rapport de force devrait suffire à prendre, ne serait-ce qu'un instant, le cinéma porno au sérieux, à la fois comme bloc culturel opaque, colossal mais tabou, et comme chapitre considérable de l'histoire de la sexualité humaine et de ses représentations.

Ce début de considération est en train de voir le jour aux Etats-Unis, sur le campus californien de Berkeley, toujours à la pointe, où les «Porn Studies» ont vu le jour sous la houlette déterminée de la professeure Linda Williams, qui enseigne là-bas le cinéma et la «rhétorique», et dirige depuis cinq ans le département des Film Studies. On peut sans risque associer Linda Williams à sa collègue de fac Judith Butler (1) ou à Eve Kosofsky Sedgwick (2), et à tous les chercheurs américains qui ont travaillé sur la sexualité dans la tradition de Michel Foucault, avec lequel Linda Williams tient à revendiquer une filiation.

Linda Williams a donné ses premiers cours sur la pornographie en 1994, quelques années après avoir assis sa réputation universitaire avec Hard Core, son premier essai sur le sujet (lire page III). Avec ses étudiants, elle a défriché aussi bien les champs du porno underground que du porno standard, celui du porno pionnier et celui du porno contemporain. Toutes les typologies du porno l'intéressent, qu'il soit hétérosexuel, homo, lesbien, sadomaso, bisexuel, fétichiste, interracial... Chacune des dix semaines qu'a duré ce cours inaugural comprenait la projection d'un ou deux longs métrages, à la suite desquels étaient analysés et discutés d'un point de vue critique les concepts de plaisir et de pouvoir. Au fil des ans, de cours en séminaires, Linda Williams s'est spécialisée dans ce domaine que les disciplines universitaires classiques ont longtemps ostracisé. Le bilan de ces études a été publié il y a quelques mois sous le titre Porn Studies, certainement le recueil d'essais et d'analyses les plus passionnants jamais rassemblés sur cette brûlante question.

 Sur d'innombrables points, c'est un livre du dessillement : les problèmes que soulève le cinéma pornographique y sont posés d'une façon entièrement revivifiée et l'on mesure vite, à la lecture des nombreux essais qui composent l'ouvrage, que l'étude académique de la pornographie est un levier intellectuel formidablement libérateur, qui permet d'appréhender sous des perspectives nouvelles non seulement des questions sexuelles, ce qui tombe sous le sens, mais aussi politiques, sociales, raciales, esthétiques. La principale révolution symbolique à laquelle est conduit le lecteur de Porn Studies tient sans doute à son propos politique implicite, que l'on pourrait résumer ainsi : l'histoire du cinéma pornographique est d'abord une histoire de la démocratisation de la pornographie.

En d'autres termes, le cinéma X consacre l'accès massif des classes moyennes et populaires à une culture de la représentation sexuelle jusque-là réservée à l'élite des intellectuels et des nantis. Exemple historique frappant : la découverte, en plein XIXe victorien, et tandis que s'élaborait le concept même de pornographie, des fameuses fresques sexuelles de Pompéi. La réaction «scientifique» immédiate a été de les soustraire secrètement aux yeux du public, pour en réserver les usages à une élite de savants, historiens de l'art, notables, exclusivement masculins, dans des salles privées du musée Borbonico. D'une certaine manière, la culture pornographique populaire d'aujourd'hui est le témoin du chemin parcouru depuis la découverte de ces fresques «indécentes», et le cinéma X contemporain raconte à sa façon l'histoire de la réappropriation de cette culture par ceux auxquels elle était préalablement refusée, c'est-à-dire les classes dominées mais aussi les femmes (éloquente étude de mangas sexuels à destination du public féminin nippon).

On voit bien la charge subversive potentielle qu'un tel discours charrie. Dans son introduction, Linda Williams prend un malin plaisir à mettre en parallèle la prolifération objective de la pornographie aux Etats-Unis (mais la démonstration serait valable pour le monde entier : le porno étant lui-même vecteur et agent de la globalisation, il fleurit actuellement partout et à toute vitesse) avec le contenu de certaines polémiques fameuses, comme le rapport du procureur Starr sur l'affaire Clinton-Lewinsky ou celui du sénateur Jesse Helms contre les «dirty photos» de Robert Mapplethorpe, deux monuments de faux-culterie puritaine qui prétendaient bannir ce dont ils se délectaient. La démonstration paradoxale des «Porn Studies» tient dans ce renversement : nous appelons «ob/scène» (ce qui doit rester caché de la «scène», de la vision) ce qui est en réalité devenu «on/scène», et fait partie intégrante du paysage de nos vies. Réglant au passage son compte à l'opposition hypocrite entre le «bien» de l'érotisme et le «mal» de la pornographie, Linda Williams établit finalement le cinéma pornographique comme «une forme culturelle qui influence la vie d'une large variété d'Américains, et qui doit être prise en compte dans l'évaluation que nous faisons nous-même de notre culture».

 Olivier SEGURET 23 02 2005 Liberation

 

 

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Mercredi 23 février 3 23 /02 /Fév 00:00

Un article intéressant sur des questions trop souvent delaissées du champ des études et de la réflexion. Même si beaucoup de nous sont des amateurs du genre.

Bonne lecture à tous.

Linda Williams, a dirigé le livre «Porn Studies» Comment est né le concept de Porn Studies ?

Au départ, en tant qu'universitaire, je préparais un livre sur le corps et sa représentation. Dans le cadre de mes recherches, j'avais prévu un chapitre sur la pornographie. C'est en commençant à y travailler que je me suis aperçue à quel point j'étais moi-même victime d'idées reçues sur cette question. Mon angle était celui d'une féministe très classique : j'abordais le sujet avec des réflexes comme celui de la soumission de la femme, sa transformation en objet ou la question du regard masculin unilatéral. Mais je me suis rendu compte que ces idées étaient fausses, que tout un pan du cinéma porno y échappait. J'ai découvert que le porno avait une histoire, des évolutions, une culture. Du coup, ce chapitre est devenu le coeur d'un autre travail, l'étude de la pornographie. C'est ainsi que j'ai publié Hard Core : Power, Pleasure and the Frenzy of the Visible, en 1989. A l'époque s'affrontaient des positions féministes antagonistes. Mon livre, dans ce débat, plaidait en faveur d'une étude du cinéma pornographique en tant que genre spécifique. La question centrale est celle de la représentation : comment figurer le plaisir sexuel ? C'est le fascinant défi que relève la pornographie. J'ai décidé d'en faire le sujet de mes cours et j'ai rassemblé sous le titre de Porn Studies une anthologie des meilleurs travaux produits autour de ces questions.

Vous définissez-vous comme féministe ?

Il faut distinguer deux courants du féminisme américain : le féminisme antipornographique, que l'on peut qualifier de puritain, et le féminisme anticensure. A l'époque de la publication de Hard Core, le porno était le bouc émissaire des discours féministes. Il y a eu des débats très tendus. J'ai toujours pensé que c'était une énergie gâchée : pourquoi combattre le porno et non pas les causes premières de l'oppression des femmes, dont le porno n'est pas responsable ? Je me définis donc comme une féministe «pro-sex», selon les termes en vogue dans le mouvement universitaire des gender studies, des gay and lesbian studies, des queer studies.

Comment Porn Studies a-t-il été reçu ?

La réception du livre a été plutôt favorable lors de sa sortie, en juillet dernier. Il a réalisé de bonnes ventes mais n'a pas soulevé de débat majeur. Depuis 1989, les choses ont beaucoup évolué. Il est aujourd'hui admis que le porno puisse être un objet d'étude. C'est un point focal de nos sociétés, révélateur de beaucoup de problèmes connexes qui touchent aux questions raciales, aux identités, au genre et, bien sûr, à la sexualité. Je n'aime pas tellement le mot, mais je trouve le porno... «libérateur».

Le livre établit des différences entre les pornographies homo- et hétérosexuelles.

Ce sont deux histoires parallèles. Le porno gay est plus «célébratoire», les questions de pouvoir sont beaucoup plus importantes dans le porno hétérosexuel. C'est d'ailleurs l'aspect auquel mes élèves féminines sont le plus sensibles. Chez les gays, les représentations du pouvoir sont beaucoup plus ludiques et surtout fréquemment réversibles, ce qui change tout.

La pornographie devient-elle respectable ?

En tout cas, le monde professionnel du X est avide d'attention et de respect. J'ai participé à des conférences réunissant le monde porno professionnel et des universitaires. C'était très intéressant. Les interventions ont été regroupées en un recueil intitulé Anthology Porn 101. Les gens du X trouvaient là une forme de la légitimité qu'ils recherchent tant. Je me suis également rendue à la cérémonie des AVN Awards (les «oscars» du X, remis chaque année à Las Vegas sous le haut patronage de la revue Adult Video News, ndlr). Mais Hollywood et le cinéma porno appartiennent à deux mondes étanches. Les passages de l'un à l'autre sont rarissimes, aussi bien pour les cinéastes que pour les acteurs.

Comment interprétez-vous la forte croissance des industries pornographiques ?

Je me considère comme trop foucaldienne pour ne pas replacer la prolifération de l'image pornographique dans le contexte de l'explosion des discours sur la sexualité dans la culture contemporaine. Nous vivons dans un monde où il est important de trouver les moyens d'apprendre ce que sont la sexualité et le plaisir à travers leurs représentations. Je ne sais pas si c'est bien ou mal : c'est comme ça, et il est de mon devoir de regarder les choses en face. La sexologie, la pornographie font partie de ce mouvement global. Il y a quelques années, mes étudiants n'étaient pas tous familiers de l'image porno. Aujourd'hui, on ne trouve plus un seul étudiant qui n'aurait jamais vu de pornographie, y compris chez les étudiantes. Par ailleurs, si le porno est aussi populaire, c'est précisément parce qu'Hollywood lui a tourné le dos ! Le cinéma standard a tracé une ligne infranchissable : la représentation frontale et explicite du sexe. Tant qu'Hollywood s'y refusera, le cinéma porno sera là pour combler ce vide.

Linda Williams est prof de cinéma et de rhétorique à l'université de Berkeley (Californie). Depuis 1989 et la publication de Hard Core, elle a développé l'étude académique du cinéma X et de la pornographie, et en a rassemblé les meilleures recherches dans le livre collectif Porn Studies.

Libération - 02/2005

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Mardi 22 février 2 22 /02 /Fév 00:00

Pour ne pas rester ignorant:  www.sodomylaws.org

Merci pour ton commentaire.

Par blog team - Publié dans : plaisir
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Dimanche 20 février 7 20 /02 /Fév 00:00

Mais jusqu'ou vont ils aller. Nicos au boulot!!

 De Porno Academy à Sperm Race, les real tv se mettent au sexe

Le 8 janvier 2004 débutait une real tv américaine très "sexe", animée par trois actrices vedettes en la matière : Mary Carey (ex-candidate gouverneur de Californie), Tabitha Stevens et Ginger Lynn. Nommé Porno Academy, ce programme composé de sept heures d’émissions était proposé aux abonnés de la télévision par câble selon le principe du "pay-per-view". À noter que depuis, cette production a aussi était vendue en DVD avec un net succès.

Comme toutes émissions de real tv, Porno Academy jouait sur l’élimination. Au départ, 28 femmes ont été sélectionnées. Dans chaque épisode, quatre d’entre elles arrivaient dans une maison de Los Angeles pour une séance de photos, des entretiens et des "surprises". Puis, les téléspectateurs ont retenu huit candidates en vue de la finale. La gagnante a décroché un contrat d’un an avec un distributeur de vidéo pornographique ainsi qu’un chèque de 100.000 dollars.

Avec Porno Academy, on pensait que la real tv avait atteint des sommets pour les amateurs de trash. Pourtant, Endemol semble aller plus loin avec une nouvelle production allemande baptisée Sperm Race.

La célèbre société, bien connue pour ses émissions de real tv à succès comme Loft Story, Star Academy, La Ferme..., prépare une véritable course aux spermatozoïdes. Plusieurs inconnus et deux vedettes vont ainsi faire une compétition pour démontrer lequel d’entre eux possède la "sève" la plus rapide.

L’émission présentera toutes les étapes jusqu’aux plus intimes. Cela commence par le don de spermatozoïdes des participants qui sera congelé puis envoyé dans un studio de Cologne. Les spermatozoïdes seront ensuite relachés dans un tube avec une substance chimique imitant un récepteur féminin, une sorte d’appât qui les encouragera à franchir la ligne d’arrivée.

Au final, un groupe de médecins et spécialistes couronnera l’Allemand le plus viril de son pays. Véritable Grand Prix des spermatozoïdes, la production a cependant tenu a affirmé que le programme ne ferait que "tester" et qu’il n’était pas question de conception.

À la tête d’Endemol Allemagne, Borris Brandt, rejette toutes les critiques. Celui-ci a d’ailleurs déclaré : "Le grand prix est une Porsche, pas un bébé. En fait, il s’agit d’abord d’un programme scientifique" tout en soulignant que "la fertilité est un sujet important maintenant en Allemagne où environ 1,8 million d’hommes sont incapables d’avoir des enfants à cause de la piètre qualité de leurs spermatozoïdes".

Une course télévisée de spermatozoïdes n’est pas une première en télévision. En Grande-Bretagne, les docteurs Mike Leahy et Zeron Gibson avaient déjà réalisé une expérience similaire sur la BBC mais dans un cadre beaucoup plus scientifique. Comme quoi, quand la télé se met en "branle", elle ne connait plus de limite.


 

Par aline - Publié dans : plaisir
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Samedi 19 février 6 19 /02 /Fév 00:00

Un grand film, pour cette histoire sordide à voir ou revoir!!  L'expérience en vaut largement la peine, on en sort pas indemme. Et en plus la bande originale déménage!

resumé
Durant l'été 1981, un quadruple meurtre a lieu dans une superbe résidence sur Wonderland Avenue, dans les quartiers chic de Los Angeles. Outre son caractère sauvage, l'affaire prend une tournure exceptionnelle lorsque les enquêteurs soupçonnent John Holmes, star du X de l'époque, d'être l'auteur présumé de ce crime affreux.

Wonderland, ce n'est pas un parc d'attraction, c'est en fait, tout simplement, une avenue de Los Angeles où se déroule l’action que nous raconte James Cox. Et le moins que l’on puisse dire c’est que le réalisateur ne nous épargne pas grand chose de cette sordide affaire de meurtre.L’histoire, tirée de faits réels, nous entraîne dans le Hollywood des stars déchues où le sexe et la drogue sont toujours là, mais où le " rock‘n roll " a été remplacé par l’alcool. Un cocktail explosif pour le corps mais aussi pour le porte-feuille. Et dans ces milieux là, quand on ne peut plus payer, les choses se compliquent douloureusement.

James Cox réalise là un polar survitaminé, ou la caméra et le montage semblent bien souvent s'accorder avec l'hysterie ambiante de l'intrigue. Val Kilmer(John Holmes),  aurait mieux fait de continuer à miser sur ses bijoux de famille que sur les paradis artificiels. On notera aussi la prestation de Lisa Kudrow, qui fait oublier son personnage de friends et joue habilement avec la complexité de son personnage, elle est absolument extraordinaire face à un Val Kilmer également remarquable. Kate Bosworth est une révélation à suivre, elle aussi rend très bien la complexité du personnage de Dawn, la petite amie de John Holmes.

Wonderland Etats-Unis, 2003   
Genre : Drame Durée : 104 min
Production : Killer Films / Lions Gate Films Inc.

   

Par aline - Publié dans : Films and zik !!
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Vendredi 18 février 5 18 /02 /Fév 00:00

Gorge profonde (Deep Throat), tourné par un coiffeur new yorkais, Gerard Damiano, en six jours, avait fait scandale aux Etats-Unis en 1972 .il avait été interdit dans 22 états et est toujours interdit dans certains Etats. Cependant, il est considéré comme le film le plus rentable de tous les temps et est tellement culte que son titre servira de nom de code dans l'affaire du Watergate! Il a coûté 25.000 dollars mais en 33 ans d'exploitation, il a généré environ 600 millions de dollars dans le monde.

Le film était prévu pour circuler sous le manteau, il est soudainement devenu un "must" qu'il fallait avoir vu, ce que ne manqueront de faire les célébrités et les lanceurs de nouvelles tendances, telle Jacqueline Onassis. L’histoire de deep throat suivait une femme qui ne peut connaître l’orgasme que par la fellation car son clitoris est situé dans sa gorge...

Le film va ressortir ,"grâce" à la sortie d'un documentaire, Inside Deep Throat, qui vient d'être présenté au festival de Sundance. Les anecdotes autour du film sont légions: accusé d'avoir été financé par la mafia, c'est ensuite l'actrice principale Linda Lovelace, décédée dans un accident de voiture en 2002, qui avoua avoir fait le film sous la contrainte du revolver de son mari, aussi son manager. De plus, les injections de silicone qu'elle avait du subir pour avoir une grosse poitrine lui ont valu une double mammectomie en 1986 et une greffe du foie l'année suivante.

Dennis Hopper et John Waters apportent leur participation au documentaire, produit par la star télé Jason Bateman, qui aura une double mise en circulation: dix copies seront classées "X", et cinq autres subiront quelques coupures pour être vues par des adolescents de moins de 17 ans accompagnés par un adulte.

Le site pour les curieux:http://www.insidedeepthroatmovie.com/

 

 

Par juju - Publié dans : plaisir
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Jeudi 17 février 4 17 /02 /Fév 00:00

Chasseurs d'internautes

Beaucoup moins fun que les articles habituellement present sur ce blog mais la on doit informer alors lisez et cultivez vous.!! et partagez l'information !!!


L'industrie du disque s'apprête à ouvrir un nouveau front contre la mise en partage de fichiers musicaux en déléguant la traque des utilisateurs à des entreprises privées.

"Vous ne pourrez pas entrer dans nos locaux, vous n'aurez pas accès à nos installations, vous ne verrez donc pas nos systèmes fonctionner. Vous ne rencontrerez aucun de mes collaborateurs…" Ces conditions préalables draconiennes, dignes d'un feuilleton d'espionnage, sont celles auxquelles il faut se soumettre pour rencontrer Stéphane Michenaud, 33 ans, directeur général de la société Co-pee-right agency.

Attraction de l'édition 2005 du salon international de la musique (Midem), la start-up a été retenue par la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP) pour traquer les usagers des systèmes d'échanges de pair à pair ("peer to peer", ou P2P).

C'est donc dans l'anonymat d'une brasserie d'un grand boulevard parisien, et sous la surveillance d'une conseillère juridique, que Stéphane Michenaud décrit son métier : chasseur en masse d'internautes contrefacteurs. "Dès l'année 2000, durant nos temps de loisirs, quelques amis et moi avons déployé des fichiers leurres, recherché sur le réseau par les personnes qui, les premières, mettaient des contrefaçons (des fichiers dont ils ne possèdent pas les droits) en partage", explique-t-il. Le hobby consiste à créer des outils informatiques capables d'automatiser le pistage des internautes.

En 2003 se termine le temps de l'amateurisme pour entrer dans un cadre plus mercantile et créer la société Co-pee-right agency. La jeune société compte une vingtaine d'employés, "douze sont basés au Canada, car nos clients sont français et que c'est du Québec que beaucoup de contrefaçons francophones sont lâchées sur le réseau. Ensuite le gouvernement canadien nous offre une fiscalité avantageuse en ce qui concerne notre secteur recherche et développement", précise le jeune patron.

A ses clients comme le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisir (SELL), Disney, ou la SCPP, Co-pee-right agency offre un panel complet de services allant de la diffusion de faux fichiers, le ralentissement des échanges sur les réseaux en créant des encombrements, et cerise sur le gâteau : le "tracking" automatisé des internautes qui mettent des fichiers en partages, l'identification de leur adresse Internet.

Dans le petit monde de la sécurité informatique un passé de hacker, sorte de pirate informatique, peut être une référence de bon aloi. Stéphane Michenaud n'hésite pas à évoquer sur le ton de la confidence, un sombre passé : "L'univers des hackers se divisent en deux catégories explique-t-il les Black hats (chapeaux noirs) et les white hats (chapeaux blancs). Pour schématiser, les méchants et les bons. Nous sommes passés de l'autre côté, au service du droit."

POLICE DU NET

Des références qui font bondir certains habitués de l'Internet souterrain comme Jarodc42, spécialiste des réseaux P2P : "Un "white hat" est un hacker qui exerce ses compétences dans le but d'aider à l'amélioration des systèmes, sans causer de tort à personne. Considérer qu'en faisant de la traque d'utilisateurs de P2P il est passé du côté des "white hat" ne sert pas sa crédibilité", assure-t-il. Mais aucune surenchère n'effraie le présumé ancien hacker, qui confirme par ailleurs qu'un de ses collaborateurs a eu maille à partir avec les services secrets français, peaufinant d'une couche de mystère l'image de sa société.

Prévoyante, la SCPP a décidé de recourir aux armes d'une seconde entreprise pour sa chasse aux internautes. Advestigo, fondée par deux anciens chercheurs du Commissariat à l'énergie atomique (CEA), propose une technologie calculant "une espèce d'ADN des œuvres protégées. Ainsi nous avons la possibilité de reconnaître sur le réseau les copies, malgré différentes compressions, coupures, etc.", explique Marc Pic, directeur d'exploitation. Pas de passé sulfureux déclaré du côté de ces deux docteurs en sciences. "Nous avons vocation à fournir des solutions de traçabilité des contenus numériques des entreprises. Le P2P est un cas parmi d'autres", poursuit l'ancien chercheur, résumant son activité à celui de fournisseur de solutions informatiques. Un costume trop étriqué pour son concurrent.

Co-pee-right agency serait-elle une police privée sur le réseau ? "Oui en quelque sorte reconnaît le directeur, les contrefacteurs pillent les droits d'auteurs. Nous participons au respect du droit". Si les mots de "police du Net", associés à leurs activités, ne froissent pas la direction de l'entreprise, celui de milice, à la connotation bien plus négative, est loin de lui être agréable. Quentin Renaudo, lycéen et vice-président de l'association des Audionautes, s'est permis la comparaison devant les caméras de France 3 à l'occasion du Midem. Une insolence jugée inacceptable chez Co-pee-right agency, "Milice du Net ! En pleine commémoration de la libération d'Auschwitz ! Nous allons porter plainte pour diffamation", s'emporte Stéphane Michenaud, qui s'apprête à traîner devant les tribunaux cet adolescent de 14 ans.

Eric Nunès - LEMONDE.FR | 11.02.05 |

Par blog team - Publié dans : plaisir
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Mercredi 16 février 3 16 /02 /Fév 00:00

Une bonne action éducative et pleine d'humour!!

Un album qui est le vingt-deuxième album de Pierre Tombal (Cauvin & Hardy) qui sortira en mars prochain. Un titre normal lorsque l’on sait que cette série traite avec humour de la mort. La couverture risque de choquer les personnes puritaines.

Encore plus surprenant encore, un préservatif sera offert à l’achat de cet album. Une véritable première pour un album grand public.

Par blog team - Publié dans : Sortir
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