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Lundi 14 mars 1 14 /03 /Mars 00:00

En bref:
"les Contes immoraux" de Valérian Borowczyk où les masturbations à l'aide de concombres sont filmées dans l'esthétique des estampes cochonnes du début du siècle, bien loin de la norme pornographique actuelle.

"les Contes immoraux"
A travers quatre contes, réunion de quatre courts métrages, Walerian Borowczyk illustre différents « vices sexuels ». Chacun se déroule à une époque plus reculée de l’histoire et correspond à un degré supérieur dans la perversion. Dans La Marée, adaptée d’une nouvelle d’André Pieyre Mandiargues (1909-1991), un jeune homme, sous les traits de Fabrice Luchini, orchestre une fellation qu’il ordonne à sa plus jeune cousine d’accomplir, selon un rite bien particulier.
La jeune Sainte Thérèse, canonisée au XIXe siècle, et héroïne du deuxième conte, fait converger amour de Dieu et émois sexuels, confusion qui aboutit à un acte de masturbation.
Dans le troisième conte, Paloma Picasso incarne une variation féminine du célèbre vampire hongrois Erzébet Báthory. Aristocrate sanguinaire, elle s’entoure de jeunes femmes de condition modeste qu’elle gâte à des fins douteuses.
Le dernier conte narre le crime sexuel des crimes sexuels, l’inceste perpétré par Lucrèce Borgia avec son père. Notons à titre de curiosité que parmi les légendes qui circulèrent sur Lucrèce Borgia, le motif de l’inceste l’associe plutôt à son frère Jean, par exemple dans la pièce de Victor Hugo Lucrèce Borgia.

Contes immoraux sort en france en 1974 à l'époque de la sortie du célèbre d’Emmanuelle (1974). Film dans lequel les scènes ne laisse personne de marbre.La question qui se pose particulièrement pour ce genre de film, au regard de ce que l’on pourrait imaginer être le recul des tabous depuis sa réalisation, est : ces films gardent-ils aujourd’hui leur charge dérangeante ?
On répondra par l’affirmative, même si la fellation n’est plus un acte choquant aujourd’hui. On aurait du mal à trouver à notre époque des œuvres cinématographiques qui ont l’audace d’illustrer l’inceste, sans y inclure une condamnation morale. Les films de Borowczyk au contraire les met en scène en nous montrant le plaisir trouble et puissant qui les caractérise, et auquel, par son entremise, (et c’est là toute la dimension dérangeante de Contes immoraux) nous pouvons découvrir une séduction. Les films de Borowczyk nous montrent que le recul des tabous depuis trente ans n’est qu’apparent.

D’autres transgressions auxquelles se livre le réalisateur sont moins susceptibles de nous toucher, en particulier celle vis-à-vis de l’Eglise catholique – et à cet égard, il faut se rappeler que Borowczyk vient d’un pays très catholique, la Pologne. Dans Sainte Thérèse, la virginité d’une jeune dévote est sérieusement soumise à interrogation. Elle est émue par les candélabres d’une manière bien peu catholique. Lucrèce Borgia, qui clôt les quatre contes, dépeint les vices sans limites de la papauté. Force est de reconnaître qu’une mise en question de l’Eglise, toute violente fût-elle, a perdu aujourd’hui son caractère choquant. On peut voir cependant aussi dans ce thème la reprise d’un classique de la littérature érotique : l’Eglise, censée incarner la vertu et la respectabilité, est en réalité le lieu de toutes les débauches. Il n’est que de citer l’œuvre du marquis de Sade.

Sauf peut-être dans certaines scènes de La Marée, dont la photographie un peu datée peut faire songer à certains films de série B pseudo érotiques de l’époque, un peu ridicules, la façon de filmer n’a globalement pas vieilli. Certaines scènes sont d’une efficace crudité, comme celle de la masturbation, filmée avec une maligne habileté, si bien qu’on a l’impression d’être sur le point d’apercevoir le sexe de la jeune fille. Dans La Marée, Borowczyk parvient à créer un malaise, en transposant le fétichisme du jeune homme, qui ne voit en sa cousine qu’un objet sexuel, ou plutôt des objets sexuels (fesses, bouche) par un cadrage de la jeune femme toujours partiel et sexuel, nous forçant à ce regard voyeuriste et utilitariste. Il faut enfin rendre hommage à certaines images magnifiques du réalisateur, qui nous rappelle ainsi sa formation initiale à l’Académie des Beaux-Arts de Cracovie. Les couleurs de Sainte Thérèse sont splendides, nous offrant une Thérèse d’une blondeur incendiaire, sorte d’Alice au pays des merveilles transposée dans l’univers de la sexualité. Dans le troisième conte, les corps nus sur fond d’étranges pièces peintes en rouge vif créent des tableaux d’une beauté froide. Contes immoraux a reçu le Prix de l’âge d’or au moment de sa sortie en 1974.

Walerian Borowczyk sa vie:
Né à Kwilcz en Pologne en 1923, le futur maître de l'érotique débute sa carrière dans le domaine du dessin et de la lithographie. Il termine ses études à l'Académie des Arts à Varsovie en 1951 et gagne, dès 1953, le grand prix national en graphisme pour ses affiches de cinéma. Il réalise quelques courts-métrages d'animation à partir de 1946, mais c'est en 1957, avec la collaboration de Jan Lenica, qu'il sort de l’ombre avec le film d'animation Byl Sobie Ras... (Il était une fois).En 1963, il crée son premier long-métrage d'animation Le Théâtre de M. et Mme. Kabal une étrange et violente vision de la vie de couple servant de microcosme de la condition humaine. Son premier film ouvertement érotique, Contes Immoraux, apparaît en 1974. C'est un aperçu de la sexualité au travers des âges en quatre épisodes.La scène où Thérèse Philosophe, enfermée dans une remise, se masturbe à l'aide d'un concombre en lisant le chemin de la croix peut sembler vulgaire au premier coup d'oeil, mais il serait superficiel de ne pas la considérer autrement. Cet épisode du film comprend de nombreuses similitudes avec Breaking the Waves de Lars Von Trier.Borowczyk repousse davantage les limites de l'acceptable avec La Bête (1975). Il confrontait cette fois-ci le public avec des scènes graphiques d'accouplements équins, des phallus immenses éjaculant des quantités monstrueuses de sperme et de gros plans de masturbation féminine assez longs pour faire quitter des spectateurs lors d'une représentation à Londres en 1998.
Borowczyk utilise l’érotisme afin d'éveiller des sentiments primaires chez le spectateur. Avec un degré de qualité variant de film en film, Borowczyk nous propose des images soignées d'une grande et puissante sensualité. Dans Emmanuelle 5, il laisse de côté l'exotisme caractéristique de cette série pour mettre en scène au contraire un érotisme très sombre, presque cruel, sans pour autant perdre en sensualité. Les films Borowczyk affichent des désirs que nous n’oserions peut-être jamais mentionner, mais qui font partie des fantasmes journaliers qui surgissent de notre inconscient.Bref, il ne fait que vous présenter la bête qui se trouve en chacun de nous...

 

Contes immoraux
Sortie Cinéma : 1974, France
Durée du film : 99 minutes
Avec : Fabrice Luchini, Lise Danvers, Charlotte Alexandra, Paloma Picasso, Pascale Christophe, Florence Bellami, Jacopo Berinizi et Lorenzo Berinizi
Genre : érotique

Pour aller plus loin: De l'art et du cochon: Libération http://www.liberation.com/page.php?Article=279824

Par juju & mat - Publié dans : Films and zik !!
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Dimanche 13 mars 7 13 /03 /Mars 00:00

Innocents - The Dreamers

L'histoire
En mai 1968, à Paris et dans le reste de la France, les étudiants descendent dans la rue pour manifester leur mécontentement vis-à-vis du système éducatif français. Les ouvriers ne tardent pas à rejoindre les rangs des contestataires pour faire valoir leurs revendications. Durement réprimé, le mouvement s'amplifie en quelques jours au point d'ébranler le régime polique existant.
Isabelle et son frère Théo, restés seuls à Paris pendant les vacances de leurs parents, invitent chez eux Matthew, un étudiant américain. Dans cet appartement où ils sont livrés à eux-mêmes, ils vont fixer les règles d’un jeu qui les amènera à explorer leur identité émotionnelle et sexuelle. Au fil des heures, la partie s’intensifie, les sens et les esprits s’exacerbent. Avec pour toile de fond la France déchirée de Mai 68, reflet d’une jeunesse dont la voix résonne dans toute l’Europe, INNOCENTS est un voyage initiatique : celui de trois adolescents testant leurs propres limites pour enfin se trouver.Les trois jeunes gens vont alors découvrir le cinéma, l'esprit révolutionnaire, la liberté et la sexualité...


La critique « Mai 68 façon 69,un film dans la plus pure tradition nouvelle vague »:
Film dans lequel eros est bien présent même si ce n'est pas un film facile. En effet l'atmosphère y est parfois irrespirable.
Mai 68, la révolution sexuelle. Dans ce film dépucelage, triolisme, bain collectif avec forte consommation de vin et de joints, ces trois jeunes qui veulent vivre en poésie font l’expérience de la liberté sans tabous ni scrupules. Bertolucci (réalisateur)  filme les corps nus de ses jeunes interprètes avec pudeur, le voyeurisme .
Mieux, les trois acteurs sont tellement formidables qu’on oublie leur nudité et le simple voyeurisme est relégué au second plan.
La culture cinéphile est nécessaire pour mieux rentrer et comprendre ce film. Les références cinéphiles pullulent, puisqu'elle servent explicitement de langue commune, puis d'aphrodisiaque aux trois jeunes ­ devinettes, gages, querelles sur les mérites comparés de Chaplin et de Keaton...


AU final même si le film fait débat c'est un huis-clos électrique et surprenant sur une période essentielle de notre histoire récente. c'est juste une histoire intimiste et légèrement perverse tout en étant aussi romantique! en huis clos dans un décor étrange et séduisant d'appartement parisien, de jeunes acteurs  qui jouent très très très bien et une caméra qui les filme à merveille.

Et toi lectrice, lecteur que penses tu de ce film?

Le film(l'affiche dans l'album Oula):

Bernardo Bertolucci, avec Michael Pitt, Louis Garrel, Eva Green
Film français, américain, britannique.
Genre : Drame Durée : 1h 56min.
Année de production : 2002

Par aline - Publié dans : Films and zik !!
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Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 00:00

Kinsey, Mon dieu mais qu'est ce ??? Qui est il en fait.

Alfred Kinsey (1894-1956)  professeur de biologie à l'Université de l'Indiana . Oula !!Promis cela va vous intéressez.

Kinsey, entomologiste, aurait pu vouer sa carrière a l'étude des gentils zanimos. Mais non il s'est tourné vers le sexe. Il s'illustre en publiant Sexual Behavior in the Human Male (1948)[publié en France sous le titre Le Rapport Kinsey] et de Sexual Behavior in the Human Female (1953), deux livres chocs. Son impact sur la culture et la société américaine, en tant qu'auteur démystifiant la sexualité, peut être comparé à celui de Freud sur l'europe.

Ces livres provoquèrent un énorme scandale. Et pour cause: l'objet de cette étude scientifique était de dresser un inventaire des comportements sexuels des américains, levant ainsi le voile sur un tabou longtemps alimenté par les ligues de vertu et les organismes religieux. Masturbation, rapports extraconjugaux ou prémaritaux, homosexualité. Rien n'échappa à Alfred Kinsey, professeur d'université qui interrogea près de 5000 hommes. En 1953, il fit de même avec les femmes, déclenchant cette fois un scandale tel que le bonhomme reste à ce jour encore vilipendé par les conservateurs et autres illuminés.

Après lui, on allait prendre l'habitude de fonder le " discours sexuel " non plus sur des jugements de valeur, mais sur des considérations amorales fort éloignées du puritanisme traditionnel : bon fonctionnement ou dysfonctionnement de la sexualité, éducation et apprentissage technique, volonté prosélytiste de combattre la " misère sexuelle ", légitimité des préférences individuelles, etc.

Voici quelques unes des conclusions de ce rapport:(elles sont cliniques et directes)

Le rapport Kinsey faisait état de 8% d'adultes ayant eu, au moins une fois, cette pratique. La zoophilie est plus répandue à la campagne qu'à la ville. A la campagne se sont plus les hommes qui utilisent le vagin des chèvres ou des juments, et à la ville ce sont plus les femmes qui aiment se faire lécher par leur chien.

Le rapport Kinsey rapporte que la première ejaculation constitue un événement essentiel dans le développement de la sexualité du jeune garçon: Après leur première éjaculation, presque tous les mâles deviennent réguliers quant à leur activité  sexuelle... plus de 99% des garçons commencent leur vie sexuelle régulière immédiatement après leur première éjaculation.

Le rapport Kinsey indique que 20 % des garçons de 12 ans, 85 % de ceux de 15 ans et 92 % de ceux de 18 ans pratiquent ou ont pratiqué la masturbation. Mais alors que, chez les garçons, la maturation pubertaire s'accompagne d'une rapide poussée de la pratique masturbatoire, chez les filles, le cycle de fréquence de masturbation ne s'accroît que très progressivement au cours de la puberté. Un tiers seulement des adolescentes accèdent à l'orgasme au cours de la masturbation, ce qui est très différent de ce qui se passe chez les garçons.

 

Pour kinsey, l'homosexualitén'est pas le contraire de l'hétérosexualité mais que les deux orientations constituent les pôles d'un même continuum

I-------I-------I-------I-------I-------I-------I

0         1         2         3         4         5         6

0 : hétérosexualité exclusive

1 : hétérosexualité prédominante, avec quelques activités homosexuelles

2 : hétérosexualité préférentielle, avec des activités homosexuelles plus qu'occasionnelles

3 : bisexualité (autant d'activités homosexuelles qu'hétérosexuelles)

4 : homosexualité préférentielle, avec des activités hétérosexuelles plus qu'occasionnelles

5 : homosexualité prédominante, avec quelques activités hétérosexuelles

6 : homosexualité exclusive


Selon cette classification, 37% des 5,300 hommes interrogés par Kinsey avaient eu au moins un rapport homosexuel ayant mené à l'orgasme entre l'âge de seize à cinquante cinq ans (classification de 1 à 6), 20%  pouvaient être considérés plus ou moins bisexuels, ayant eu plusieurs expériences hétérosexuelles et homosexuelles ayant mené à l'orgasme (classification de 2 à 4, inclusivement) et 10% des répondants avaient été exclusivement ou presque exclusivement homosexuels pendant au moins trois ans de leur vie adulte (classification 5 et 6).

En ce qui concerne l'homosexualité féminine, 20% des quelques 8,000 femmes interrogées par Kinsey et son équipe avaient eu au moins une relation homosexuelle ayant mené à l'orgasme entre l'âge de 16 à 55 ans, 9% avaient eu des activités homosexuelles plus qu'occasionnelles (classification de 2 à 4, inclusivement) et 4% étaient exclusivement ou presque exclusivement homosexuelles (classification 5 et 6). Autres découvertes saisissantes de Kinsey: environ 50% des hommes adultes interrogés avaient déjà ressenti de l'attrait sexuel pour un autre homme, quoique 13% n'avaient jamais actualisé ce désir et 7% ne l'avaient fait qu'exceptionnellement. Parmi l'échantillon féminin, 28% des répondantes avaient déjà identifié une attirance homosexuelle, bien que 8% ne l'avaient jamais actualisée et 7% ne l'avaient fait qu'exceptionnellement. Cela montre à quel point le désir homosexuel serait plus fréquent encore que sa matérialisation.

Certain jugent kinsey dangereux car si l'étude est scientifique l'interprétation assez infantile de la sexualité humaine, présentée comme une fonction biologique. Et, surtout, une étrange et durable complaisance à l'égard de certaines transgressions. De plus certaines personnes remmetent en cause les echantillons de population choisis pour ces études.

A vous de vous faire votre avis et de donner votre avis.

Pour aller plus loin:

Un film: «Dr Kinsey - Parlons sexe!» («Kinsey»)

Acteurs : Laura Linney, Liam Neeson,Chris O'Donnell
Réalisateur :Bill Condon Film américain.
Genre : Biographie Durée : 1h 58min Année de production : 2003

Livres et sites web:

The Kinsey Institute :http://www.indiana.edu/~kinsey/

Kinsey, Quand l’Amérique parle de sexe: http://www.artmaniaque.com/article.php3?id_article=208

Les vérités du sexe: http://www.photographie.com/?pubid=102288&secid=1&rubid=33


 

 

Par aline - Publié dans : plaisir
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Mercredi 9 mars 3 09 /03 /Mars 00:00

Pipe, gourmandise, plume, turlutte, que du plaisir !!!

Imaginons un sexe au repos, tout recroquevillé sur lui-même, tout mignon et tout propre. Vos mains et votre bouche caressent l'ensemble du corps avant de vous approcher du sexe lui-même. Prenez-le entier dans votre bouche et sucez-le comme un bonbon, baladez-le avec la langue et aspirez-le au fond de votre gorge sans desserrer les lèvres. Voici le concept de cette délicieuse pratique.

Un peu d'histoire:
Il semble que la fellation remonte à la nuit des temps, mais c'est du côté du taoïsme et du Kamasutra que l'on trouve les témoignages les plus probants d'une pratique millénaire. Les illustrations anciennes que l'on contemple encore aujourd'hui montrent que les Asiatiques et les Hindous intégraient la fellation à des rituels amoureux dont la sophistication n'a de cesse de troubler et d'inspirer le monde modems. Les temps ont changé, mais la porno et le sexe à consommation rapide ne nous empêchent pas d'admirer le côté zen des positions sexuelles orientales. Si l'on ajoute à cela la sexualité libre et ouverte des Polynésiens, on comprend que la pipe soit aussi universelle qu'intemporelle…


La methode: Glisser une main dans le caleçon, et caresser la verge sur toute sa surface. C'est terriblement excitant (surtout, ne pas oublier les testicules). Il faut aussi lui faire sentir que vous avez envie de le manger tout entier, pourquoi pas le lui dire? On ne parle pas assez souvent du fait que les paroles agissent considérablement sur l'excitation. Il s'agit en suite de mettre son homme à nu puis de commencer par lui embrasser le corps sur toute la longueur, du cou jusqu'au sexe. Commencez par lui embrasser le sexe, léchez le pénis de la base jusqu'en haut du gland avec le bout de votre langue, frottez le contre votre visage, et n'hésitez pas à prendre une testicule dans votre bouche ou/et les faire rouler avec votre langue. Il faut d'abord des "préliminaires" à la fellation !

Position. Attention, soyez confortablement installé(e). Que votre partenaire soit sur le dos, assis sur une chaise ou debout, sachez que sont plaisir augmentera en fonction du temps que vous consacrez au processus. En effet, l'éjaculation n'a aucun intérêt si il n'y a pas un crescendo de plaisir !

C'est parti mon kiki. Attrapez le sexe juste avec la bouche : avec les lèvres, attrapez le bout du pénis, puis brusquement rentrez-le dans votre bouche (en l'aspirant) tout en regardant votre homme dans les yeux. Attention toutefois à bien ouvrir votre mâchoire pendant ce coup brusque (tout comme pendant toute la longueur de l'acte) car sinon cela va terriblement heurter votre compagnon et l'érection descendra d'un coup.

Effectuez ce mouvement le long de la verge en l'enfonçant le plus profond possible. Accompagnez ce mouvement d'une masturbation, bien sur au même rythme que vos "allées et venues". Ne craignez pas de serrer trop fort. Autre technique très excitante: prenez TOUTE la verge dans votre bouche, en entier. les problèmes que vous imaginez certainement sont les spasmes dus au contact entre le gland et le fond de votre bouche. La solution est d'avaler régulièrement la verge pour prévenir un éventuel spasme.

Tout doux et...hop ! hop ! hop ! hop ! Pour augmenter la puissance de l'orgasme, faites durer votre fellation: conservez l'excitation, menez le près de l'éjaculation et ralentissez fortement la cadence. Pour ralentir au bon moment, sentez son sexe dans votre bouche : peu avant l'orgasme, elle se tend, gonfle et se réchauffe (prête à exploser).

Simulateur de bruits. Ne vous arrêtez jamais de masturber, sinon il va penser que vous en avez marre (ou alors arrêtez lorsque la verge est toujours dans votre bouche). Une bonne fellation doit durer environ 10 minutes un quart d'heure, (sauf pour les éjaculateurs précoces) vous devez être capable de contrôler son éjaculation, de le faire éjaculer quand vous voulez. N'hésitez pas à émettre de petits cris de jouissance, c'est très excitant. Montrez-lui que c'est aussi bon pour vous que pour lui.

A vos marques, prêt... Bloquez le gland entre vos lèvres et faites tourner rapidement votre langue autour de la partie qui se trouve dans votre bouche, tout en masturbant assez vigoureusement jusqu'a l'orgasme. Chose à ne pas faire: arrêter avant qu'il ne jouisse. Autre chose: ne le faites pas éjaculer hors de votre bouche car le plaisir est réduit de moitié! Ou alors faites quelque chose qui l'excite: faites le éjaculer dans votre main (et pourquoi pas léchez le sperme après). Dirigez la verge vers votre visage et recevez tout sur votre nez, bouche, langue, joues, cou, etc... Dirigez le sexe vers votre bouche grande ouverte tendant une langue (c'est fantastique). Vous pouvez aussi viser votre poitrine et après l'éjaculation étaler le sperme avec sa verge. Vous pouvez enfin lui proposer une branlette espagnole s'il est endurant. Notez que si le goût vous rebute réellement, il reste encore une solution: dés qu'il commence à jouir, avalez rapidement au rythme de ses éjaculations successives (il n'y en a que trois ou quatre en général).


L'ejaculation peut se faire dans la bouche du partenaire ou en dehors. Le sperme pouvant être avalé sans crainte si l'homme n'est pas infecté par le SIDA ou autre maladies sexuellement transmissibles. En dehors d'une infection réelle, le sperme est stérile mais bien sûr il peut également être recraché.
Certaines personnes éprouvent un dégoût pour cette pratique. Au fil des expériences sexuelles cette répulsion peut disparaître ou se confirmer. La sexualité est avant tout un jeu pour un plaisir partagé dans le jeu amoureux. Le pénis est aussi le lieu d'excrétion (les urines) . Cette proximité est souvent l'origine de la répulsion. Une hygiène intime quotidienne est nécessaire et suffisante pour permettre l'expression des émotions sans provoquer le dégoût du partenaire. Les odeurs des sécrétions sexuelles sont particulières et parfois fortes, elles sont pour certains source d'excitation sexuelle.


Conseils et idées pour aller plus loin :
La tendance naturelle du corps pour rejeter un objet étranger comme l'introduction profonde du pénis dans votre gorge est gênante pour faire de bonne "pipe". Vous pouvez surmonter cette tendance en relaxant votre gorge. Il est également important que vous entreteniez cette relaxation pendant la fellation.
Mettez son pénis au fond de votre gorge et tenez-le toujours pour trouver la façon la plus confortable de le faire passer. Votre conjoint doit introduire et entretenir tout le mouvement. C'est le seul exercice dans lequel vous abandonnez votre contrôle de la situation à votre partenaire. Il savourera cela pour le simple fait que pour la première fois il peut insérer son pénis aussi profondément qu'il veut dans votre gorge.
Maintenant votre partenaire commence un mouvement de va et vient. Il doit commencer lentement, particulièrement si c'est une nouvelle expérience pour les deux d'entre vous. Cette technique s'appelle la technique de "la gorge profonde".


Deux très bon articles pour poursuivre la lecture.

D'où viens la fellation ?
Aujourd'hui, la pipe telle qu'elle est pratiquée au pays de l'ultra-libéralisme n'est rien moins que le reflet d'un individualisme forcené à dimension hédoniste, une philosophie " politique " qui déteint sur nous un peu plus chaque jour. Dans cet univers contractuel (" Je te suce mais, s'il te plaît, lâche moi la grappe !") , le rapport intime finit par devenir lui aussi un rapport d'échange, souvent non payant, mais pas toujours désintéressé. A grand coups de langue tournoyante, les jeunes américaines en soquettes blanches mesurent le pouvoir qu'elles possèdent sur les hommes, ces êtres si vulnérables au contact d'une cavité humide et goulue. Dans un récent article du New-York Times, le docteur Levy Warren avançait un chiffre enthousiasmant : selon lui, les concitoyennes de Monica Lewinski pratiquent en toute nonchalance de 50 à 60 turluttes avant de connaître leur premier rapport sexuel (NDLR : avec pénétration).

Nicolas Santolaria Technikart 

 

Les femmes et la fellation: Même si le thème est éculé, sucé et resucé jusqu-à l'indigestion, il convient d'analyser le plus finement possible ce comportement « cuculinaire ». La fellation ou pipe selon le registre langagier ou l'humeur est un acte sexuel à part entière qui remonte et descend en rythme le long de la hampe depuis la nuit des « tant mieux » et des "encore, oui c'est bon chérie". La fellation est avant tout régie par la morale et son pendant qui bouge en images animées le soir sur Canal plus ou ailleurs : le film porno. Oui, il faut bien l'avouer souvent notre première vision de cette gâterie énergique ou lente arrive après ses dix ans devant un long métrage de boules qui nous fait envisager les cornets de glaces de manière bien différente dès le lendemain matin.

Dès lors il y a deux écoles. Les pro et les anti, le monde est divisé en deux, tout en sachant que plus on vieillit et différemment on envisage la flatterie buccale. On pourrait dire que l'on y prend goût et puis cela fait tellement plaisir à Popaul et à son maître qu'on se laisse tenter pour avoir un peu la paix des ménages. Ca ne mange pas de pain et plus on est experte et plus ça va vite. La pipe est partout dans « les sucettes à l'anis » de France Gall qui n'y avait vu que des bonbons, dans les films non pornographiques où elle est très souvent mimée et de plus en plus montrée dans sa réalité crue et triomphante. Les publicitaires l'ont bien compris, les marchands aussi, depuis les MST on nous vend des capotes à la fraise ou à la guimauve pour rendre le plaisir sans risque et parfumé. Le plastique c'est fantastique, le caoutchouc a un bon goût.
Eva Bronstein le mague http://www.lemague.net/dyn/article.php3?id_article=174

Par aline - Publié dans : plaisir
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Mardi 8 mars 2 08 /03 /Mars 00:00

Voila du bon son. Je sais c'est plutot confidentiel mais je suis sur que les surfeurs connaissent.

Un groupe local californien fort sympathique qui parvient à procurer un réel bonheur, et une joie immédiate dés qu'on les écoute.

Ce groupe reggae et hip hop plein de talent. Leur discographie est composée de 4 albums, un premier, 'slightly stoopid' entierement punk, un deuxieme 'longest barrel ride' dans lequel ils introduisent un peu de reggae, un troisième 'accoustic roots' trés réussis, entierement accoustic et trés reggae, et enfin leur dernier 'everything you need' qui est un mélange de genre bien puissant!!

Le chanteur a une voix magnifique, les sons vous plongent dans un bonheur et un optimisme étonnant. Mais ce groupe ne se limite pas seulement à sortir des bons sons. Ils n'ont pas peur de s'exprimer!!

Le site: http://www.slightlystoopid.com/ 

Par aline - Publié dans : Films and zik !!
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Mardi 8 mars 2 08 /03 /Mars 00:00

Paradoxe? Alors que les Français plébiscitent le bonheur familial, jamais la question de la liberté sexuelle au sein du couple ne s'est tant posée. Homme ou femme, chacun, aujourd'hui, réinvente à sa manière les règles du jeu. Entre aventure et déchirure, transparence et secret

Mener deux, trois vies à la fois? «Un jeu d'enfant!» souffle Paul. Il avale son petit noir, à la table d'un café, et s'amuse à l'idée de dévoiler son odyssée sentimentale. «J'ai toujours été infidèle, lâche-t-il. J'ai rencontré ma femme à 22 ans et, avant même qu'on vive sous le même toit, je l'ai trompée.» Ce butineur hédoniste, âgé de 48 ans, aux cheveux poivre et sel, a longtemps pratiqué une «drague de cueillette plutôt que de culture». Transporté par le désir, il gratifie ses maîtresses d'un «chérie», pour ne pas se tromper de prénom, et, s'il peut les cueillir au travail, il ne s'en prive pas. Son plaisir, c'est la chasse, la conquête. «Ce moment d'une grâce inouïe, poursuit-il, qui fait basculer la femme de la réserve à l'abandon.» Une proie de choix, l'épouse. «La femme mariée, deux enfants, 35 ans, est intéressante parce qu'elle ne veut pas d'emmerdes, dit-il, et recherche des frissons qu'elle ne connaît plus.»

Claustrophobie conjugale
Poussé par une forme d'absolu, de boulimie existentielle, mâtinée de peur de la solitude, Paul se dit tiraillé entre la jouissance de la conquête et la conscience de son non-sens moral. Ce don Juan cherche à prolonger la fête, mais surfe sur l'abîme. Il confie: «On se dit que ce n'est pas bien, mais on le fait quand même.» On aime sa moitié, sa vie, ses enfants, mais on fuit la claustrophobie conjugale. On rêve d'exclusivité, mais on exalte une sexualité fraîche et vagabonde. On navigue à vue entre deux hypocrisies: le tout-interdit et le tout-permis. La fidélité n'est plus ce tabou qui déchirait les consciences, flétrissait l'honneur conjugal: 39% des hommes - contre 24% des femmes - confient avoir déjà trompé leur conjointe, selon un sondage Ifop réalisé en 2000. En 1972, elles étaient trois fois moins nombreuses que les hommes. «Elastiques avec leur engagement initial, les Français se montrent de plus en plus pragmatiques, notent Pascale Wattier et Olivier Picard, auteurs de l'ouvrage Mariage, sexe et tradition (Plon). Ils défendent le droit de chaque couple à redéfinir sa liberté conjugale dans un subtil dosage entre secret et transparence.» Prendre un amant n'est plus un sacrilège ni un scandale. «C'est devenu une injonction dans les magazines féminins - «Profitez des vacances sans votre jules!» - relève le psychiatre Jacques-Antoine Malarewicz, spécialiste du couple. Il y a une forte pression sociale: soyez mince, séduisant et épanoui sexuellement. Si leur mari les délaisse, les femmes n'hésitent plus à tenter l'aventure.»

D'ailleurs, cela fait longtemps qu'on ne dit plus «adultère» ni «flagrant délit» au sujet des frasques extraconjugales. «Considéré comme un crime sous l'Ancien Régime, puis un délit jusqu'en 1975, l'adultère n'est plus puni, et devient aujourd'hui une affaire strictement privée», raconte l'historienne Sabine Melchior-Bonnet, qui a publié avec Aude de Tocqueville une passionnante Histoire de l'adultère (La Martinière). Les aventuriers de la double, voire de la triple, vie préfèrent enguirlander d'expressions bucoliques le spectre du péché et balayer les peurs religieuses qui jadis s'y adossaient: ils chantent les louanges du désir nomade et des escapades voluptueuses. «Bien sûr, la fidélité demeure pour le couple une valeur sacrée. On y croit, on s'y attelle, mais on cède plus facilement, explique la philosophe Patricia Delahaie, qui a recueilli le témoignage d'une quarantaine de femmes dans son livre Fidèle, pas fidèle? (Leduc.s). L'une d'elles m'a lancé: «Un amant, c'est du développement personnel, et cela coûte moins cher qu'un psy!» Par les émotions, les remaniements personnels qu'elle entraîne, l'infidélité reste un bouleversement qui peut causer autant de bonheur que de dégâts irréparables.»

Un CDD amoureux
C'est le paradoxe: les Français rêvent de constance sentimentale - voir L'Express du 21 juin 2004 sur la nouvelle passion du mariage - mais l'air du temps flirte avec la frivolité. En France, 800 000 internautes draguent sur le Web, selon une étude NetValue. Et les frasques des nymphettes et des mâles testostéronés lâchés sur L'Ile de la tentation attirent chaque été sur TF 1 près de 3 millions de téléspectateurs qui n'attendent qu'une chose: que les couples craquent! Où commence et où s'arrête la fidélité? Au lit conjugal, érigé en interdit absolu par l'écrivain Catherine Millet, qui détaille sa vie sexuelle, mais refuse d'y aligner ses amants? Au geste érotique - «Boire un Gini, c'est tromper?» demande la publicité, ces jours-ci? A une philosophie hédoniste - «On est fidèle quand on tient les engagements que l'on a choisis», déclinée par Michel Onfray dans sa libertine Théorie du corps amoureux (Grasset)?

A l'heure où le couple s'avère aussi précaire qu'un CDD amoureux, où l'on papillonne avant de s'installer, où 1 mariage sur 3 vire au fiasco, chacun insuffle un sens très personnel à l'infidélité. Est-elle la violation d'un serment social, religieux, sacré? Un petit caprice sans lendemain qui ne fait de mal à personne ou bien un coup de canif définitif dans le contrat conjugal? Socialement toléré, individuellement insupportable, l'adultère du XXIe siècle incarne désormais l'expression d'une liberté mais peut entraîner une réaction radicale chez celui qui le subit (lire l'interview d'Isabelle Adjani). Il reste d'ailleurs le motif n° 1 de divorce. «Celui qui est trahi ne dort plus, maigrit, rumine ses reproches, explique la psy Mireille Bonierbale, qui dirige l'enseignement de sexologie à la faculté de médecine de Montpellier-Marseille. Personne n'en sort indemne: il y a presque toujours une victime et peu de conjoints trahissent sans culpabilité. Le «trompé» se sent foudroyé par une blessure narcissique - «Je ne suis plus rien, puisque je ne suis rien pour toi»».

En ce moment, François, 40 ans, avocat, jongle entre trois téléphones portables, un double agenda et... quatre femmes. Et de préciser: «Epouse non comprise.» Oui, il est marié. Depuis dix ans. Mais elles aussi le sont - trois d'entre elles. Elles ne vivent pas à Paris, ça aide. Il a toujours été infidèle, ça entraîne: «Mon épouse passe avant les autres, mais j'ai des sentiments pour toutes.» Il reste, il teste. Son angoisse, c'est la routine. Un classique. Alors que, autrefois, les conjoints infidèles invoquaient la fatalité, ils assument aujourd'hui leur inconstance. Leurs raisons sont multiples: l'ennui, le coup de foudre, le plaisir de la transgression, le goût de la vengeance, etc. Leur passage à l'acte se prépare longtemps à l'avance, sur le terrain inconscient des rêves, des fantasmes, des frustrations. «On trouve aussi bien les dons Juans, qui exercent la séduction comme un sport, que ceux qui font une incartade pour tester la force de leur couple», souligne Paule Salomon, psychothérapeute et auteur de Bienheureuse Infidélité (Albin Michel). Tous les psys le disent, en matière d'adultère, la nouveauté est que les femmes sont en train de rattraper les hommes, mais les uns et les autres ne se lancent pas avec les mêmes besoins dans la parade. «Les hommes, eux, se rassurent sur leurs performances sexuelles. C'est le fantasme de la madone et de la putain: d'un côté, la femme légitime, qu'ils aiment; de l'autre, la maîtresse, précise le Dr François Parpaix, sexologue, qui a publié Pour être de meilleurs amants (Robert Laffont). Les femmes, elles, cherchent autant le plaisir charnel qu'une écoute, un regard attentif.»

Il lui a plu, elle y est allée
Dans le précipité de son débit perle un sentiment d'exaltation et de... honte, vite ravalée. Mariée depuis dix ans, Sophie, jolie blonde employée de banque, 36 ans, trois enfants, a trompé son mari pour la première fois il y a trois mois. Un soir de plus, un de trop, il est resté au travail. Elle sort avec des amies. Un type l'invite à danser la salsa. «Brun, bronzé, élancé, il dégageait une attraction animale, dit-elle. Il m'a fait valser toute la nuit. Jusqu'à ce que j'en perde la tête.» Elle baisse d'un ton. «Quand j'ai senti ses mains sur ma peau, j'ai su que ni mon mari ni mes enfants ne m'empêcheraient d'aller jusqu'au bout.» Sophie ajoute que, cette nuit-là, elle a rajeuni de dix ans. Puis elle a rendossé sa panoplie d'épouse. «Quand j'y pense, j'ai envie de pleurer, avoue-t-elle. Je lui ai interdit de me rappeler. Mais je n'ai qu'une envie, le revoir...»

Jamais la question de la liberté sexuelle au sein du couple, en particulier le couple marié, ne s'est posée avec autant de vigueur. En vingt-cinq ans, tous les vieux verrous répressifs ont été balayés: la réforme du divorce en 1975, le droit à la contraception, la montée de l'individualisme ont changé les règles du jeu conjugal. Désacralisé, le mariage ne corsète plus le désir, pas plus que l'entrée dans la vie sexuelle et la procréation - 40% des enfants naissent hors mariage. «Dès lors que cette institution n'agit plus comme garde-fou, la satisfaction de nos désirs prime sur cet effort du renoncement, explique Sylvain Mimoun, andrologue à l'hôpital Cochin, à Paris. L'infidélité a toujours existé - il n'y a qu'à voir les pièces de Feydeau: les hommes avaient une femme et une maîtresse. C'était organisé. Aujourd'hui, on agit plutôt par impulsion, on consomme de l'amour, a fortiori du sexe: elle me plaît, j'y vais.» Il lui a plu, elle y est allée. Dix mois, dix petits mois après avoir juré fidélité devant M. le Maire, Cindy, 26 ans, s'est jetée dans les bras d'un ami. Son chavirement affectif n'est qu'une suite de promesses non tenues, de digues morales rompues: ne pas succomber, ne pas trahir, ne pas s'attacher, etc. «J'ai lutté de toutes mes forces, mais je me sentais si seule! dit-elle. Mon amant a comblé mes désirs, mes angoisses. C'est une bouffée d'oxygène. Mon mari est accaparé par son travail, mais je ne veux pas le quitter. Alors je le trompe...»

L'amant(e) comme dopant(e) du mariage? Faire ménage à trois serait le seul moyen de réveiller sa vie à deux. Aussi efficace que le Viagra, l'escapade sexuelle aurait des vertus thérapeutiques sur la libido conjugale. «Le trompeur a l'impression de rajeunir de vingt ans, mincit, fait des rêves érotiques, retrouve une dynamique sexuelle, assure le Dr François Parpaix. Mais l'adultère ne résout pas les problèmes du couple. Il reste l'indicateur de l'usure conjugale.» Effrayés par la perspective vertigineuse d'une vie conjugale extensible, les Français veulent tout: le piment de l'interdit et le cocon familial, le confort et l'érotisme. Les couples qui se marient aujourd'hui passeront en moyenne quarante ans ensemble, avec l'allongement de l'espérance de vie - 75 ans pour les hommes et 82 pour les femmes. «Le couple des années 1950 et 1960 était fusionnel et romantique; celui de demain sera fissionnel, avance Serge Chaumier, sociologue et maître de conférences à l'université de Bourgogne. Chacun définit son contrat, ce qui est permis ou non: danser, flirter, coucher... Délestée du poids de la morale judéo-chrétienne, la fidélité n'est plus charnelle, mais se recompose sous une forme plus laïque, spirituelle. Grâce aux progrès de la contraception, on dissocie la sexualité de la procréation. Et c'est une révolution.»

   
Le sang souillé
Durant des siècles, l'infidélité du mari n'a pas pesé lourd, alors que la trahison de l'épouse lui valait l'opprobre. La raison officielle: elle brouillait la filiation. L'origine du mot «adultère», du latin adulterium, est d'ailleurs «altération», au sens où le sang est souillé. «L'histoire de l'adultère pourrait se confondre avec une histoire de la femme vue à travers le prisme masculin: lascive, inconstante, dangereuse et criminelle, relève Sabine Melchior-Bonnet. Jusqu'à l'époque contemporaine, la bâtardise était un péché. D'ailleurs, ces enfants n'ont obtenu un statut égal à celui des enfants légitimes qu'en 1972.»

Mais il y a une raison moins noble: la femme est la propriété de l'homme. Dans la Grèce antique, le législateur n'y va pas par quatre chemins, permettant à l'offensé - père, frère ou mari - qui surprend un adultère de tuer l'offenseur. Rien de moins. «Puis, avec les Romains, le droit civil s'empare de la notion d'adultère, poursuit l'historienne. Et c'est ce droit, remanié par les empereurs chrétiens, que la France observe jusqu'à la Révolution de 1789.» Les mœurs sont plus que débridées, à Rome, quand l'empereur Auguste édicte sa fameuse Lex Julia de adulteris. Beaucoup de citoyens vivent avec une esclave qu'ils affranchissent: des brassées d'enfants illégitimes naissent de ces unions. Divorces et répudiations vont bon train. Où finit le mariage? Où commence l'adultère? On ne sait plus très bien. Auguste décide alors de restaurer la dignité du mariage: l'adultère tourne à l'offense criminelle. Et discrimine la femme, coupable si elle a des relations sexuelles avec un autre, tandis que son mari l'est seulement si la femme qu'il a débauchée est mariée. Il est tenu de la traduire devant un tribunal et de la répudier, sous peine d'être accusé de proxénétisme. Et à partir du code de l'empereur Justinien, la peine de mort pour la coupable est remplacée par le fouet et la réclusion dans un monastère.

Des sérails de favorites
Durant des siècles, en France, l'adultère est sévèrement corseté par deux discours normatifs: le juridique et le religieux. «La fidélité a la même racine que foi, fides (confiance, en français), explique Odon Vallet, historien des religions. Dans la fidélité, ce qu'il y a de judéo-chrétien, c'est l'alliance entre un homme et une femme qui reflète l'alliance entre Dieu et l'humanité. Il y a ainsi une sacralisation de la fidélité et du mariage.» L'adultère ne se contente donc plus de saper l'ordre social; il passe aussi pour un sacrilège. Le message chrétien impose une vision du mariage, monogame, indissoluble, et condamne les amours parjures. Un des dix commandements donnés par Dieu à Moïse stipule: «Tu ne commettras pas d'adultère.»

La pastorale ecclésiastique s'attache peu à peu à infléchir les mentalités. Lourde tâche, face aux mœurs exaltées des seigneurs mérovingiens et carolingiens! Le roi Dagobert, pas si bon que ça, vit avec trois reines; Charlemagne, fieffé séducteur, n'est pas en reste. Pour autant, les pratiques illicites ne s'évanouissent pas. L'adultère se coule dans le secret des alcôves et des confessionnaux. Vanité des puissants: les rois entretiennent des sérails nantis en favorites, d'Henri IV et sa volage épouse, Margot, à Louis XIV et la Montespan, à Louis XV et la Pompadour...

Du côté de la justice, les recours diminuent au fil des siècles, au profit des séparations amiables. Il n'y a guère que la loi pour ne pas répercuter l'évolution des esprits et maintenir la supériorité de l'homme sur la femme. Elaboré pour revaloriser le mariage, malmené par la Révolution, le Code Napoléon, le fameux Code civil, affirme en 1804 que les époux se doivent fidélité mutuelle. L'homme est libre d'assouvir ses caprices tant qu'il est hors de la maison, sinon il risque une amende. La femme, elle, est passible de trois mois à deux ans de prison. L'adultère est donc une infraction punie par le Code pénal, jusqu'en 1975. «Depuis cette date, les femmes n'ont plus peur d'être répudiées, peur d'être enceintes, peur du qu'en-dira-t-on, explique le Dr Gérard Leleu, sexologue. Aujourd'hui, elles ont conquis les mêmes droits que les hommes: le droit de travailler, de voter et le droit au plaisir. Le sexe a pris le pouvoir, dans le couple.»

Au point que les duos les plus soudés ne peuvent jurer qu'ils ne céderont pas un jour à la tentation. Les ami(e) s, les collègues sont les partenaires extraconjugaux les plus fréquents, loin devant l'inconnu et les rencontres de vacances. Mais le danger, c'est d'être reconnu, piégé. Les athlètes de la gymnastique affective n'ont pas le droit à l'erreur. Ils sont comme des funambules, toujours sur la corde raide. Le secret impose un rituel: une RTT tous les quinze jours, par exemple, pour Mathieu. Cet ingénieur de 36 ans a entamé une liaison, il y a un an, après la naissance de son premier enfant. Elle a duré huit mois. Sa maîtresse choisissait le restaurant, lui l'hôtel. «Chacun écrivait deux fantasmes sur un papier, dit-il. Nous avions décidé que lorsque nous les aurions tous réalisés, nous arrêterions.» Ils se sont pliés aux règles du jeu et ne se voient plus. «Mon épouse ne sait rien de la double vie que j'ai menée. Je n'ai pas de regrets, parce qu'elle n'a pas eu à souffrir de mes écarts.»

Et, pour se décomplexer un peu plus, les stakhanovistes de la séduction en appellent à la biologie. Docteur en neurosciences, Lucy Vincent s'est penchée sur l'alchimie de nos inclinations, ce phénomène irrésistible qui pousse deux personnes l'une vers l'autre. Elle en a tiré un ouvrage instructif, Comment devient-on amoureux? (Odile Jacob). Le coup de foudre? Avant tout beaucoup de chimie et un zeste de cognitif! Un cocktail de phéromones, d'odeurs et de messages inconscients! «Il agirait sur nous comme une sorte de piège biologique, qui nous mettrait sous pression, explique-t-elle, dans un état aussi incontrôlable que délicieux pour nous forcer à accomplir notre destin génétique.» C'est un organe situé sous le palais qui détecterait dans l'air les fameuses phéromones. Et nous voici envahis par une libération d'ocytocine, la fameuse hormone de l'attachement sécrétée lors des rapports sexuels. En un mot, irrésistiblement attirés. Mais la passion ne dure pas. On observe, après un certain nombre de rencontres, un tassement de l'effet. Après de dix-huit à trente-six mois - le temps de faire un enfant et de l'élever! - voici la routine. Devient-on plus sensible à l'infidélité passé la période rose? «Sans doute», répond Lucy Vincent. Si près de 40% des divorces sont prononcés après dix ans de mariage, le premier pic survient au bout de cinq ans seulement.

Le dire ou le taire?
Des maris trompés et des femmes éplorées, l'avocate Sylvie Cohen-Solal en reçoit depuis quinze ans, dans son cabinet parisien. «L'adultère reste la faute la plus invoquée, explique-t-elle. Et ce sont les femmes, à 88%, qui demandent le divorce. Il y a deux sortes d'infidélité: l'accident de parcours et la liaison installée. Ce sont plutôt des hommes, âgés de 40 à 50 ans, qui mènent cette double vie. C'est la résidence alternée: la semaine chez la femme, le week-end chez la maîtresse!» A 30 ans, Isabelle était abonnée au week-end. C'était elle, la clandestine. Elle a vécu sept ans en pointillé avec un homme marié dont la femme vivait en province. Le jour où elle a voulu un enfant, il a hurlé. Elle l'a quitté. «J'ai eu droit aux promesses, aux insultes, aux menaces, dit-elle. Il a tout tenté pour me récupérer.» Une scène classique, selon le psychiatre Patrick Lemoine, chef de service à l'hôpital du Vinatier, à Lyon, auteur de Séduire (Robert Laffont). «Le véritable Casanova ne désire pas de femme, il veut juste en être désiré, précise-t-il. Séduire, c'est ravir, enlever, séquestrer, en aucun cas aimer. Anxieux sur ses capacités à être aimé, il ne se met jamais à la place de l'autre.»

A condition que l'incartade soit passagère, ou accidentelle, on lui survit plutôt mieux qu'auparavant. On sait qu'elle peut arriver. Mais faut-il le dire ou le taire? A la longue, les ruses, la peur de se faire piéger finissent par créer chez l'époux volage une tension insupportable: l'aveu est alors précipité. Il sépare plus qu'il ne répare. Thérapeute de couples, le psychanalyste Robert Neuburger met en garde contre ce culte de la transparence: «Cette confession provoque un drame qui laisse des traces indélébiles. Elle met le doigt sur une transgression du contrat de confiance que s'est donné le couple. Certains, suivis en thérapie, arrivent à se remettre en question, pour en tirer une expérience positive.»

Très tôt, Françoise Simpère, une brune séduisante, mère de deux ados, a choisi de le dire. Elle a des aventures. Et son mari le sait. Onze mois après leur union, il y a trente ans, Françoise a rencontré un homme avec qui elle entretient toujours des relations. Par la suite, avec chaque homme de sa vie, cette Parisienne a tissé des liens «affectifs et amicaux pour certains, confie-t-elle, passionnels ou seulement sensuels pour d'autres, ou tout cela la fois, liens qui évoluent au gré des envies: rien n'est fixé». De ses petits arrangements avec la fidélité elle a tiré un essai: Il n'est jamais trop tard pour aimer plusieurs hommes (La Martinière). Persuadée que «l'amour unique est un mythe», elle organise sa vie entre la maison familiale et son studio: «Je reste discrète, je n'ai pas une vie débridée. J'aime mon mari et tous les hommes de ma vie. Les relations de courte durée ne m'intéressent pas.» Elle ne se dit pas infidèle, mais polyamoureuse. S'agit-il encore de fidélité? Les polyfidélités, les polyamours et autres polygamies à la chaîne, via les unions successives, rendent aujourd'hui plus flous les contours de l'infidélité, et poussent plus que jamais chaque couple à réinventer ses propres règles du je(u).

L'Express - Marie Huret, Delphine Saubaber

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Lundi 7 mars 1 07 /03 /Mars 00:00

Voici un film dont l'insertion dans le blog a fait débat, beacoup de débats. Pseudo film de surf pour les connaisseurs, moyen de connaitre pour ceux qui ne connaissait pas. Ce film plus que moyen d'un point de vue cinématographique particulièrement au regard des films présentés précedement, snif.

Du 100% fleur bleue, avec peut être une dose d'érostisme et de nayade, si si monsieurs ne fait pas les prudes. Au final un petit film à regarder tranquillou, un soir de grisaille.

Voici l'histoire:
Anne Marie vit à Hawaii et fait du surf depuis qu'elle est toute petite. Elle est employée comme femme de service dans un grand hôtel, où ses collègues Lena et Eden sont également ses meilleures copines. Cette année a lieu la grande compétition des «Pipe Masters», un tournoi de surf inmanquable par les amateurs du genre, et Anne Marie veut absolument y participer. Mais la jeune femme a un passé difficile : sa mère l'a abandonnée des années auparavant et elle a dû s'occuper seule de sa soeur Penny. De plus, elle a survécu à un grave accident de surf qui lui revient en mémoire à chaque fois qu'elle participe à une compétition, et ce traumatisme l'empêche systématiquement de gagner...Anne  Critique du film Blue Crush (la cruche bleue) de John Stockwell

Marie a la passion du surf. Championne-née, une inhibition tenace l'empêche cependant de se donner à 100% pour remporter les victoires dont elle rêve. Mais, cet été, Anne Marie est bien décidée à se présenter aux Pipe Masters, épreuve reine qui réunit l'élite du surf pour affronter les vagues les plus dangereuses du monde.

La critique de la mort : "La cruche bleue"

The conest story of the year : Anne-Marie une jeune américaine se prépare pour la compétition de surf très réputée Pipe Master... nan, nan, je me fous pas de ta gueule, c'est dans le résumé de l'histoire. Donc Anny, faisons court comme le scénario, compte bien envoyer du bois sur la plage de Oahu à Hawai, ah ouais ? waouh ! Anny est tendue car elle est sous tension. Elle loue une maison avec des copines et sa petit soeur Penny' (on ne prononce pas les s en wawaien). Elles sont serveuses dans un hôtel chic... Un hôtel chic, des soubrettes, Pipe Master... A ce moment du film, j'ai des doutes...
Un jour, débarque une équipe de football américain qui s'installe dans l'hôtel où les quatre copines travaillent. Anny trouve alors son pipe master : c'est le quarterback Matt Tollman... (ndlr : Toll en anglais veut dire péage). Mais Anny ne veut pas laisser croire à son grand con de Matt qu'elle est une fille facile. Il devra patienter jusqu'à la prochaine marée pour se la payer... non mais c'est vrai, Anny n'est pas une salopeu.. sic... voilà donc comment on raconte aujourd'hui des histoires de cul aux Etats-Unis !
Prétexte fallacieux, allusions de tous poils, la censure républicaine se raie-jouit.
En France, on aurait un bon vieux 100' de John B. Root avec Tabatha, Laure et Samantha et Unmecparciparla. L'histoire serait moins encombrée, moins empesée. Un petit effort, lecteur, ferme les yeux... enfin juste de quoi lire la suite et imagine que tu lis une de ces jaquettes aux photos évocatrices et sans équivoque, qui fleurent bon l'anus : « Tous les ans Anny et ses copines vont à l'hôtel Depass où elles se transforment en soubrettes... un peu spéciales et très ouvertes aux clients. Là, les attendent une dizaine de catcheurs bien décidés à transformer tous les lits de l'hôtel en ring de plaisir... Fellations sportives, sodomies d'entraînement, partouzes de club, John B. Root nous enchante. Les paysages que l'on aperçoit parfois entre les cuisses des acteurs finiront d'entraîner le spectateur dans la volupté tropicale du film ». Et voilà, emballé, c'est pesé. Suivant !
Pour l'anecdote, le titre Blue Crush évoque la chute du film. Anny est tellement bête que son copain craque et l'étrangle. Tant va la crush à l'eau qu'à la fin elle devient blue.

Réalisé par John Stockwell
Avec Kate Bosworth, Michelle Rodriguez, Mika Boorem
Film américain. Genre : Comédie
Durée : 1h 46min. Année de production : 2002

Par Blog team - Publié dans : Films and zik !!
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Lundi 7 mars 1 07 /03 /Mars 00:00

L'événement n'a pas été du tout médiatisé, c'est donc dans la quasi indifférence générale que le fournisseur d'accès Free.fr a supprimé le 23 Fevrier 2005 sans un mot d'explication le site de Revebebe, le plus grand site d'histoire érotique francophone puisque près de 10.000 récits y ont été publiés.

En effet fervente lectrice de ce superbe site j'en suis très triste. Il semblerait que Revebebe était trop consommateur de bande passante. Snif le pouvoir marchant à supplanter le plaisir. 

Sa disparition si elle se confirme est une catastrophe qui nous touche tous.   J'espère que l'équipe gérant Revebebe va pouvoir s'en sortir.
Monsieurs, mesdames manifestez vous !!  Manifestez vous aussi par email auprès de Free pour faire part de votre désapprobation.

La défense du plaisir érotique est à ce prix...

 

Par juju - Publié dans : plaisir
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Dimanche 6 mars 7 06 /03 /Mars 00:00

 «Clients, vous jouez à la roulette russe ?»  Une excellente initiative !!!

 Une association lilloise d'aide aux prostituées a lancé une campagne d'affichage sur les bus de la ville pour mettre en garde les clients de la prostitution contre les rapports sexuels sans préservatif et participer à la lutte contre le sida.

  «Clients, vous jouez à la roulette russe ?»  Est l'un des slogans pour mettre en garde les clients de la prostitution contre les rapports sexuels sans préservatif et participer à la lutte contre le sida.

Depuis mardi et pendant une semaine, certains bus lillois arborent sur leurs flancs en grosses lettres rouges sur fond blanc: "Clients, le port du préservatif ne se marchande pas!". Des dessins humoristiques accompagnent le slogan.

La campagne publicitaire se décline en deux autres slogans et en plaquettes d'information distribuées par les prostituées à leurs clients. Elle est financée par la délégation sida de la Direction départementale des affaires sociales.

 

 

 

 

 

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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