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Ce n'est pas ma décision. Vous ne trouverez pas de pub ailleurs sur ce blog.

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Ne cliquez pas dessus, pub sans intérêt et attrapes couillons....
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Aline et sa blog team.

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Lundi 2 mai 1 02 /05 /Mai 00:00

Un court très court et très frais pour le plaisir des sens. A voir d'urgence!!!

http://www.trescourt.com/IMG/ram/7e_05_hotelresidence.ram

Hotel & résidence  Un film de Alex Montoya & Ravil Navarro (Espagne) [Prix Très D’Esprit] & [Mention Spéciale du Jury]

En savoir plus : http://www.trescourt.com/

 

Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Samedi 30 avril 6 30 /04 /Avr 00:00

Voila de quoi vous donner des idées pour attaquer l'été avec délice. Oui je veux bien parler du Rubixcube ?? Non je ne suis pas devenue folle. Je ne veux pas parler de ce petit jeu cubique mais d'un autre jeu !!! Cela ne vous dis rien ….Allez un petit indice les deux chiffres magiques.

 

Le bon vieux 69 !! Excellent compromis, cette délicieuse gâterie consiste à offrir votre sexe à votre partenaire, tandis qu'il vous offre le sien. Il s'agit donc de donner et de recevoir en même temps: le pied absolu!!!!

 

C'est parti!!

Avant de commencer, vous devez d'abord savoir pratiquer le sexe oral. Et oui on ne devient forgeron qu'en forgeant.

Maintenant il faut y aller. Il vous suffit de placer votre tête entre les cuisses de votre partenaire et qu'il(elle) en fasse de même. Autrement dit, vous êtes placé(e) à l'envers! Vous serrez votre partenaire dans vos bras, vous bougez en harmonie... Le duo de vos plaisirs respectifs constitue un mélange délicieux!!!

 

En fait, cette union peut se réaliser dans trois situations différentes : l'homme allongé sur le dos et la femme sur lui, la femme allongée sous l'homme, ou les deux allongés sur le côté. Dans le couple homosexuel, l'échange des places dans les positions à plat ne modifie pas la figure réalisée : ce sont les sensations éprouvées par chacun qui varient.

 

 

La grande majorité des gravures représentent l'homme allongé sur le dos, confortablement installé. La femme est à quatre pattes au-dessus de lui, elle se laisse passivement embrasser et caresser, des lèvres et de la langue, ou bien elle recherche, par les mouvements de son bassin, à varier le contact, à le rendre plus précis ou plus fort, à en multiplier les effets en l'intensifiant par le frottement. L'homme a les mains libres pour caresser ses fesses ou ses reins, pour guider ses hanches afin de multiplier les sensations.

 

La femme embrasse le sexe de l'homme, ou le caresse des lèvres et de la langue, l'introduit un peu, ou beaucoup, dans sa bouche pour une caresse circulaire plus enveloppante. Elle peut rester le visage face au sexe, redressant la verge à la verticale, ou se mettre un peu de biais, le front appuyé, sur le ventre, l'aine, la cuisse de l'homme.

 

Dans une telle position, l'excitation ressentie par chacun se renforce de celle qu'il procure à l'autre et du caractère provoquant des postures. Mais certaines personnes peuvent penser qu'être attentif au plaisir de l'autre ne permet pas de s'abandonner pleinement au sien : elles préfèrent dissocier le temps du cunnilinctus de celui de la fellation. Tout est question de goût, et le couple doit être assez ouvert pour que chacun puisse demander, et obtenir, le jeu de bouche qui comble sa gourmandise.

 

La règle:

Ne vous concentrez pas uniquement sur le plaisir que vous prenez: celui de votre partenaire est tout aussi important, et il faut savoir penser à l'autre. Inversement, il ne faut pas penser qu'à l'autre, le but de cette pratique étant de partager un plaisir mutuel.

 

 

Les rappels techniques :

La pipe :

Il va donc falloir ouvrir la bouche et accueillir le membre de ton partenaire que tu vas sucer, lécher, exciter avec ta langue… Tu peux donc imaginer que tu as affaire à une sucette très sensible et c'est à toi d'en faire ce que tu veux et à ton rythme (reste raisonnable).

Il ne faut pas oublier une condition obligatoire pour que ça marche : qu'il y ait un va-et-vient pratiqué (de haut en bas et inversement, en général ta main est d'un bon secours) sur son sexe pour qu'il puisse faire monter le plaisir, voire plus… S'il y a bien une partie à privilégier, c'est le gland et le frein (la peau qui fait le lien entre le sexe et le gland). Un léger massage des testicules est généralement bien accepté comme accompagnement !

Selon l’appétit du moment, la question va se poser d’avaler ou pas la semence du garçon. C’est à chacune de décider, se retirer au moment ultime ne va pas empêcher le garçon de jouir, mais cela peut être un peu frustrant. Ce qui ne passe pas, c’est d’oublier de prévenir sa partenaire qui se retrouve alors devant le fait accompli. http://plaisir.over-blog.com/article-173680.html

 

Le cunni :

C'est une descente vers l'origine du monde… donc c'est forcément un grand moment ! Il va falloir que tu exerces ta langue et ta connaissance du sexe féminin afin de la rendre heureuse pour ne pas dire plus. Tu vas avoir le choix entre lécher le sexe entièrement de bas en haut, stimuler le clitoris ou encore l'entrée du vagin (tu ne devrais pas la rater). Varie en utilisant ta langue puis ta bouche (lécher et sucer) et même parfois tes doigts, tout comme l'endroit stimulé afin de ne pas être trop répétitif… Le clitoris est bien connu pour être particulièrement sensible (on parle même d'orgasme spécifiquement clitoridien), donc ne l'oublie pas c'est ton meilleur ami ! http://plaisir.over-blog.com/article-160042.html

 

Pour aller plus loin:

Petite idée our les gourmandes et gourmands:

 

Par Aline - Publié dans : plaisir
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Jeudi 28 avril 4 28 /04 /Avr 00:00

Un article étonnant publié au canada cette semaine, bonne lecture

Des bambines à tresses qui distribuent les fellations dans l'autobus scolaire. Des garçons de 15 ans qui promettent des cadeaux aux petites de l'école primaire d'à côté en échange de faveurs sexuelles. Des adolescentes qui multiplient les «fuck friends». Des grands de secondaire 4 qui font des concours de masturbation en pleine classe. La bamboula du vendredi soir qui revêt des allures d'orgie. Vous en avez assez? Vous n'y croyez pas?

Eux non plus n'y croyaient pas. Dans l'auditorium d'une école secondaire de Montréal, quelques dizaines de parents écarquillaient les yeux et retenaient mal leur ébahissement -- et leur souffle -- devant les propos de cette conférencière invitée par l'infirmière de l'école pour causer ados et éducation sexuelle.

 «Je ne veux pas vous alarmer, mais je crois que la situation que l'on vit actuellement dans les écoles est inquiétante», leur avait d'entrée de jeu lancé la sexologue Francine Duquet. «Les jeunes vivent des expériences sexuelles étonnantes de plus en plus jeunes, et la société hypersexuelle dans laquelle ils baignent banalise le phénomène.»  

Ces parents ont écouté la professionnelle pendant trois heures. Mal à l'aise au début, souvent consternés, parfois même dubitatifs, ils l'ont entendue brosser un portrait en effet inquiétant des pratiques et du discours sexuels de leurs enfants, qu'on dit de plus en plus précoces. Cela tourmente les spécialistes, qui évoquent maintenant avec assurance la «sexualisation de l'enfance».

L'âge de la première relation sexuelle se situe toujours autour de 15 ans et demi, mais il pourrait bien s'agir d'un leurre puisque la vogue actuelle dans les écoles donne la cote à la fellation, et ce, même du côté des écoles primaires, où vestiaires et toilettes sont souvent sous haute surveillance.

«En ce moment, le primaire est notre baromètre», explique Francine Duquet, professeure de sexologie à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). «C'est de là qu'on saisit que ce qui se passe est inquiétant.»

Et restez bien accrochés à vos sièges : dans les écoles, la mode est au fuck friend, et ce «copain de baise» n'a pas besoin d'être unique : on peut le multiplier sans engagement amoureux. Les jeunes filles confient pratiquer la fellation dans la pseudo-intimité des cabinets de toilette, en même temps qu'elles révèlent n'avoir jamais embrassé un garçon.

Sans s'afficher comme lesbiennes, les demoiselles pratiquent allégrement les caresses entre elles pour émoustiller les garçons, qui en redemandent. Les trips à plusieurs dans l'obscurité des sous-sols sont monnaie courante, et il n'est pas rare que les garçons du secondaire reluquent dans la cour de l'école primaire d'à côté pour recruter une nouvelle élue... sexuelle.

Dans une école secondaire de Montréal, la direction a même dû composer avec un drôle de phénomène : assis au dernier rang d'une salle de classe, les garçons se livraient à un concours de masturbation, coursant pour la première éjaculation, au vu et au su des copains et du prof, consterné et paralysé. Pendant ce temps, dans une école primaire, une fillette de neuf ans s'interroge candidement sur la pertinence d'envoyer à son nouveau petit copain une photo de... sa vulve.

Sensationnalisme que tout cela, dramatisation et démesure, le tout livré à la sauce journalistique ? «Pas du tout», explique la sexologue Jocelyne Robert, qui vient tout juste d'exposer dans le livre Le Sexe en mal d'amour son ras-le-bol face à cette détérioration de la situation, qui se traduit par «une perte de sens et de signification liés au sexuel, un dérapage de cette société qui nage dans la pornographie et qui, en même temps, ferme les portes sur une véritable sexualité».

«Nous n'avons évidemment pas de statistiques officielles sur le nombre de fellations dans les cours d'école, et ce ne sont pas toutes les petites filles de onze ans qui sombrent là-dedans, comprenons-nous bien», confie la sexologue. «Cela dit, ce n'est plus un phénomène anecdotique. Il faut réagir.»

«On ne peut plus être naïfs», renchérit Francine Duquet. «On ne peut plus jouer seulement la carte du "Je vais lui faire confiance" ou "Ça s'peut pas ! Pas mon fils, pas ma fille !". On ne peut plus mettre la tête dans le sable.»

Mme Duquet sillonne le Québec depuis une vingtaine d'années et rencontre parents, enseignants, professionnels et élèves pour les convaincre de l'importance d'une véritable éducation à la sexualité, «qui dépasserait le condom et les MTS pour entrer dans l'univers des valeurs».

Les questions des jeunes l'étonnent. Quoi ? Désormais, on se demande si, lors de la première relation sexuelle, il faut «faire les trois trous» ? On s'interroge à huit ans sur ce qu'est une «bonne pipe» ? Les réactions de certains adultes l'inquiètent. Comment ? Des parents découvrent en catimini que leur princesse de 13 ans utilise comme nom de clavardage «la cochonne» mais n'osent pas intervenir, craignant qu'ensuite, elle ne leur parle plus ? Des intervenants scolaires ne savent pas quoi répondre à un garçon de 13 ans qui se demande si sa petite amie de 12 ans aimerait bien le fist fucking (pénétration avec le poing) ?

«Comment se fait-il que le premier réflexe ne soit pas de dire : "Ça n'a pas de bon sens !" et de questionner le pourquoi de ces questions ?», tonne Mme Duquet, qui s'alarme du doublé dangereux que constituent à la fois le plongeon des très jeunes dans un bain sexuel acidulé mais aussi la réaction -- ou l'absence de réaction -- des adultes qui les entourent.

À question étonnante, réponse étonnante

Vu sur un site de référence destiné aux jeunes : un ado expose un problème qu'il vit avec sa cousine de 12 ans, dont il est amoureux. Lors de leur première relation sexuelle, il tente de la sodomiser et s'interroge sur le fait que la petite crie sans arrêt. «Pouvez-vous résoudre notre problème ?», demande-t-il candidement.

Plutôt que de s'étonner de l'âge de l'enfant et du lien familial qui unit les deux cousins, plutôt que d'expliquer les cris tout simplement par la démonstration évidente que la sodomie ne plaisait pas du tout, les intervenants ont d'abord recommandé l'usage d'un lubrifiant, exposant à coups de détails anatomiques et scientifiques que la pénétration anale n'est pas aussi aisée que la pénétration vaginale, une réponse qui a dû être corrigée à la suite d'une intervention condamnant une réponse aussi réductrice.

La sociologue Diane Pacom, elle, observe tout cela d'un oeil soucieux. «Dans quelle société pornographique est-on en train de les balancer pour qu'on en soit là ?», demande la professeure de l'Université d'Ottawa. «Il y a une pression constante qui vient de partout : la pub, l'industrie musicale, les vidéoclips, la mode, les magazines. Nous sommes en train de renvoyer aux petites filles, aux gamines, un discours qui les "adolescentise". Et la responsabilité ne revient pas à ces jeunes mais aux adultes !»

Partout, en effet, le raz-de-marée sexuel nous submerge. Une publicité télévisuelle de lunettes qui évoque les trips à trois. Un magazine destiné aux ados qui vante les «99 trucs coquins pour amener votre mec au septième ciel». Des boutiques de lingerie féminine qui vantent aux 8-12 ans les mérites du G-string. Les idoles féminines de la chanson qui s'embrassent à pleine bouche lors des soirées de gala. La populaire émission Loft Story, diffusée bien avant le dodo des plus petits, qui renvoie l'image d'une concurrente confiant son appétit du jour : «J'ai envie de manger une grosse queue.»

Société à saveur pornographique, jeunes consommateurs avides de sensations fortes, adultes eux-mêmes vaccinés et parfois hésitants à dénoncer l'inacceptable : un mélange explosif qui donne naissance à des situations inquiétantes devenues le pain quotidien de plusieurs jeunes.

«Il faut faire ce qu'on peut, comme adultes, pour prendre nos responsabilités et protéger nos petits», explique Diane Pacom. «Ce sont des antidotes qu'il faut donner à nos jeunes, un esprit critique plutôt que de leur renvoyer une image coupable, des outils pour les délivrer de ce dérapage pornographique qui est le problème de la société adulte, pas le leur.»

L'ampleur de la situation, nourrie par des rencontres, des courriels, des appels téléphoniques, a créé chez la sexologue Jocelyne Robert le besoin de déverser ce trop-plein dans son livre, qu'elle associe tant à un «cri du coeur» qu'à un «cri d'alarme». «Si j'avais à résumer en une phrase ce qui me frappe le plus dans tout ça, c'est le désarroi sexuel, la perte de sens et de signification liés au sexuel», explique-t-elle en entrevue.

«Quand on me réplique que ce n'est pas pire aujourd'hui qu'avant, je dis : mon oeil !, ajoute-t-elle. Je pense qu'on vit une période qui est sans précédent, une période qui n'est portée par aucune valeur. Avant, on était en amour et on avait des pensées cochonnes. Maintenant, les jeunes baignent de façon extrême dans le sexe, le génital, et ils ont des fantasmes amoureux ! C'est le monde à l'envers !»

C'est dans ce contexte inquiétant que le ministère de l'Éducation a choisi de donner le coup d'envoi à une autre forme d'éducation à la sexualité qui ne «relève plus maintenant d'une seule matière ou d'un seul intervenant mais qui devient la responsabilité d'un ensemble de partenaires», selon les voeux du MEQ. Exit le programme «Formation personnelle et sociale» (FPS), où un certain nombre d'heures étaient allouées à cette portion de l'éducation à la sexualité.

«Plus que jamais, nos jeunes ont besoin d'entendre parler d'éducation à la sexualité», explique Geneviève Lalonde, l'une des rares sexologues au Québec à travailler directement dans une école secondaire. «C'est plus des farces ! On pense à faire des animations sur la pornographie au primaire alors qu'il n'y a pas si longtemps, c'est de menstruations et de poils qu'on leur parlait !»

Embauchée par le CLSC du coin, Mme Lalonde passe désormais toute sa semaine à la polyvalente Montignac, située à Lac-Mégantic, et organise des formations spéciales destinées aux jeunes tout en les rencontrant individuellement. Elle confirme cette modification du paysage sexuel des jeunes et s'alarme de devoir désormais intervenir pour désamorcer des crises... au primaire.

De nouveaux problèmes

«On se retrouve maintenant avec des problèmes que nous n'avions pas il y a à peine trois ans», explique-t-elle, relatant qu'une enseignante d'une école primaire lui confiait récemment que la moitié des filles de sa classe de sixième année avaient déjà eu des relations sexuelles. «Les jeunes ont besoin de savoir si ce qui se passe chez eux est normal, et c'est un peu comme s'ils étaient toujours en manque de sensations fortes.»

Quel sort attend ces jeunes qui consomment crûment la sexualité ? Jocelyne Robert croise de jeunes adultes désabusés et des ados dysfonctionnels, mais d'autres stoppent la machine, «écoeurés par cette surdose qui n'a pas été satisfaisante». «Je viens d'entendre parler de ce jeune garçon de 16 ans qui affirme être tellement dégoûté par cette abondance de sexe qu'il a décidé d'être seul et de s'adonner à la lecture», relate Francine Duquet, qui y décèle à la fois un signe encourageant et un symptôme désolant. «Il y a encore des jeunes romantiques qui sont critiques face à cette surenchère sexuelle. Mais il est triste de constater que ces mêmes jeunes sont déstabilisés et déçus... »

Retour dans l'auditorium de cette école secondaire. Le flot d'anecdotes livrées par l'animatrice a laissé certains parents sous le choc; d'autres sont décidés à prendre le taureau par les cornes et à causer sexualité le lendemain au petit-déjeuner. «Vos jeunes veulent vous entendre parler de sexualité et d'amour, explique Mme Duquet. Sous des allures blasées, ils veulent savoir ce que vous en pensez. Si, comme parents, vous ne réagissez pas, si votre silence est le seul signal qu'ils ont, vous leur indiquez que tout cela est finalement très acceptable.»

Marie-Andrée Chouinard -  Le Devoir Quebec
Édition du samedi 16 et du dimanche 17 avril 2005

Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Jeudi 28 avril 4 28 /04 /Avr 00:00

Bonjour cher surfeur surfeuse. A l'aide !!!

Je suis a la recherche de la zik de ce clic du ripcurl pro 2004 à hossegor. Petit rappel voici le clip : GIRLS FESTIVAL DAY 3 : The victory of Chelsea Georgeson sur cette page. Si vous avez une idée de génie si possible pour trouver qui chante alors bravo !!!

Le clip en basse qualité (ouf cela ne touche pas la sik): http://wmp.zonepro.com/ripcurl/pro2004/day3_low.wmv

Le clip en haute qualité : http://wmp.zonepro.com/ripcurl/pro2004/day3_high.wmv

Le site avec la vidéo  : http://www.ripcurl-europe.com/pro2004/videos.asp colonne de droite :Girls festival day 3

Si vous avez une idée de qui fait la bande son alors la je suis preneuse. Merci d'avance pour votre aide.

Gros bisous à tous.

Aline

Par Aline - Publié dans : plaisir
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Mercredi 27 avril 3 27 /04 /Avr 00:00
 Doucement, elle lui dit, très doucement. Elle n'a pas le temps de finir de dire, il est déjà loin en elle, si doucement qu'une coulée de désir la fait se pencher plus encore pour qu'il aille plus loin encore. Depuis le début de la nuit d'automne où les grillons ne chantent plus, leurs lèvres se mêlent, leurs mains aussi, comme la douceur de leurs corps, à l'écart des images inventées censées déclencher des nouveautés au plaisir. Lentement, très lentement, il la caresse, la découvre, la parcoure, les doigts autour de son sexe lisse, juste autour, sans déflorer les secrets, il l'effleure délicatement, pas un mot, seulement le silence de leurs soupirs, et la nuit d'automne aux parfums de raisins vendangés, tout autour, tandis qu'il la désire ouverte et attentive, très attentive même. Les corps sont très près, instant de l'incarnation de la pensée qui les relie l'un à l'autre et les invente en amants. Entre ses mains à elle, joue la tige toute tendue, qui gonfle sous la pression des doigts, l'étreinte est audacieuse et amoureuse, chaque fragment des corps s'ouvre au plaisir, le bout des seins durcit sous la chaleur de la langue. Tout est très lent, tout est très doux, ils sont des amants en paix entièrement consacrés à débobiner leurs désirs précieux comme des fils d'or. Voilà qu'il devance, voilà qu'il prévoit, afin que la caresse invite à plus de hardiesse. Entre ses cuisses à elle, s'écoule vers on ne sait quelle embouchure le délicieux nectar parfumé d'ivresse, alors ses caresses à lui si près, si près, laissent fondre ce miel si doux là sur le ventre puis autour des seins gonflés, il sait alors qu'elle s'écarte plus encore, qu'elle s'offre et ça l'enchante, bien qu'il veuille encore attendre, attendre encore, et c'est beaucoup plus tard, à cet instant où la jouissance crée un goût délicieux au fond de la gorge, où l'émotion se métamorphose en larmes légères et fuyantes sur le visage, alors elle le sent entrer, c'est pourquoi elle dit doucement, très doucement, et même s'il ne dissimule plus son ardeur à conquérir, il prend soin de son plaisir à elle, elle chante et lui, il danse, ils sont complètement libres, c'est leur secret, le chant de leurs corps efface toutes les images vaines ou inaccessibles. Alors il se penche, la rassure et dans un râle profond et doux, la foudroie.
Par Marie Chantal - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Mardi 26 avril 2 26 /04 /Avr 00:00

 
Loin de toute volonté de représentation pornographique ou d'avilissement de la personne, Eros is eros (..) tend à montrer et à magnifier ce que l'on ne voit que trop rarement avec une représentation ouverte et décomplexée, à savoir le sexe amoureux dans ses circonvolutions poétiques potentielles. Ce projet se voudrait être une forme improbable de la rencontre entre l'amour libre fouriériste et la poésie électronique. Une invitation à la réflexion sur la place et la valeur du sexe dans notre société, à l'ère de sa marchandisation industrielle et exponentielle; une critique du consumérisme par une proposition destinée à questionner notre propre rapport à l'amour et à nos systèmes de croyances et de fonctionnement.
Mais avant tout, Eros is eros est une partition poétique, une errance au cœur de la carte du tendre, à partager et à méditer.

 Eros, marqué durablement par Platon et la chrétienté, dimension interdite, rejetée, signé de l'insaisissable d'une dia-bolè sensible. Eros, manqué dans l'histoire, qui au moment même de sa possible reconnaissance (XVIIème, XVIIIème siècle) s'est distillée peu à peu, par le passage de l'écriture à la photo-graphie, sur les surfaces scintillantes ou glacées des écrans ou des revues spécialisées. Eros interdit, dans le déni d'un dire, qui pourrait amener à conclure qu'entre sa condamnation et sa libération extrême et pornographique, il aura été manqué, il sera resté l'inapparent de ce qui nous anime : notre désir et sa vibration charnelle.
Joachim Montessuis, créateur de composition video-poético-sonore (La danse des fous), dans la lignée généalogique de Chopin, de Duchamp ou Filliou, avec eros eros eros, ouvre justement cette dimension de l'interdit, non pas dans un logos, mais par la création d'un état vibratoire devant permettre de ressentir ce qui détermine le flux sensible d'eros. Errance de la répétition qui tourbillonne, eros visuel et sonore, loin de toute pornographie, qui pour sa part vise immédiatement à l'excitation narcissique de sa jouissance annoncée. Errance de cette répétition steinienne, a rose is a rose, because eros is eros, il a travaillé avec ce projet, à transformer l'excitation qui détermine notre époque, en la retenue vibratoire d'images et de flux sonores qui par leur caractère numérique, loin d'indiquer directement la nudité et la prostitution (pornè), renvoie à la distance, à l'entre-deux, au jeux hypnotiques de corps qui se mêlent dans l'incroyable impossibilité d'en faire un commerce ou d'être vu à la lumière crue d'un appétit de consommation.
Car avant de dire eros, il faut en sentir le flux charnel. C'est parce que l'occident a été obsédé par le langage et l'objectivité, qu'il l'a manqué tout à la fois en le rejetant ou en le suprématisant. C'est en ce sens que Montessuis propose, avant tout discours, la plongée dans une image de cette sensibilité qui ne fait qu'esquisser, suggérer, montrer sous les traits du voile, de l'écart, le désir des corps. Car, de toute évidence, eros, tension de désir, n'est jamais un terme, mais un entre-deux, l'intensité vécue d'une ouverture de soi à la présence de l'autre ou des autres. Ainsi, Montessuis invite à nous rouvrir la question d'eros, en revenant à la dimension qui était déjà posée dans l'amour courtois, dont lui-même fait mention, à savoir comme moment d'une rencontre qui loin de toute ligne droite - ce qui caractérise selon Adorno  la liaison contemporaine - en revient aux chemins détournés, sinueux et aventureux qui amènent les corps à se nouer et s'enchevêtrer. Cette composition alors ne serait-elle pas l'initiation à une tension amoureuse du corps, dont nous portons le deuil depuis déjà des décennies ?
Philippe Boisnard

+ d'info : http://www.eternalnetwork.org/jm/

Festival Némo à Mains d'OEuvres, 1, rue Charles Garnier, Saint-Ouen les 23 et 24 avril. Entrée libre. www.mainsdoeuvres.org

Par Aline - Publié dans : Sortir
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Lundi 25 avril 1 25 /04 /Avr 00:00

Durex a lancé une enquête en ligne sur Al Bawaba et ce pour créer une base de données discrète et ainsi connaître le niveau de la prise de conscience du danger des maladies sexuellement transmissibles dans le monde arabe.

Rhys Neal, le directeur régional de Durex a déclaré que Durex avait conduit dans le monde entier une enquête où plus de 350.000 personnes de 41 pays ont participé pour mieux connaître les comportements et les attitudes sexuelles qui aident à empêcher la transmission des infections sexuelles.Il a insisté sur l'intérêt de conduire une enquête en ligne semblable dans le monde Arabe pour inciter les gens à une prise de conscience et pour prendre des mesures préventives sur les diverses maladies sexuelles à transmission rapide dans notre société.

Plus de 4000 personnes ont participé a ce sondage dont 2.4% sont de la Tunisie , 82% sont de sexe masculin.
Pour 44.9% la méthode de contraception la plus utilisée est le condom, 10.9% utilisent des pilules, 3.4% le coil et 11.5% n’utilisent aucun moyen contraceptif.
La fréquence de l’acte est une fois par semaine pour 11.5%, 12.1 au moins une fois par jour, 14.6% trois à quatre fois par semaine, 15.1% deux fois par semaine, 0.5% une fois par an et 15% n’ont jamais eu de rapports sexuels.

Les résultats http://surveys.albawaba.com/results.htm

Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 00:00
Un bon protfolio sonore et visu sur le site du monde :  John Severson, le surfeur aux cheveux d'argent. A voir, a lire et a ecouter !!!
Allez y avant qu'il ne disparaisse.
 
 
Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 16 avril 6 16 /04 /Avr 00:00

 

Evidement ce n'est pas Canne mais c'est la deuxième édition de ce festival qui merite le détour. Cette année il prend vraiment son envol avec un très bon jury, et j'espère plein de spectatrices et de spectateurs fan ou juste amateur de surf. C'est juste bo.

 Mercredi 4 mai
15h00 Présentation du Jury
17h30 Amuz
19h30 Cérémonie d’Ouverture
20h00 Style Master
21h00 Les vagues
 Jeudi 5 mai
15h00 Handi Surf (Hors Compétition) + débat
17h00 Transmission
17h45 One Life
19h00 Surfez Provencal
19h15 Flat Country (100% méditerranée)
20h45 Style Tudor
21h00 Surf Movie : reels 1-14
22h00 Globus (Hors Compétition)

 Vendredi 6 mai
16h00 Samba, trance & rock’n Roll
17h00 Inner Visions from the Search
17h30 Way of Life
18h45 Balsa the Story
19h15 The 6th Element
21h15 Les fils du pays
22h00 Sprout

 Samedi 5 mai
15h00 Seasons
16h15 Fashion
17h00 Effet Mer
18h00 Fabio Fabuloso
21h00 Cérémonie de Clôture
21h30 On Safary to Stay (Hors Compétition

Le Palmarès 2004: L’Aileron du meilleur Film de Surf 2004 : RIDING GIANTS

Pour en savoir plus : http://www.festivaldufilmdesurf.com/

Par Aline - Publié dans : Sortir
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