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Lundi 4 avril 1 04 /04 /Avr 00:00
 

Sexualité et contraception

de Collectif "Non au sexisme"

Un collectif appelé "non au sexisme" s'était constitué en 2003 sur la faculté des lettres et des sciences sociales pour sensibiliser les étudiants autour du sexisme.

Ce collectif invite, cette année, Martin Winckler, auteur de nombreux romans et de "Contraception, mode d'emploi" le mercredi 06 avril 2005 à 20h 30 pour discuter et répondre aux questions des étudiants sur les thèmes de la sexualité et de la contraception.

Cette conférence dont l'entrée est libre et gratuite se déroulera amphi 3, à la faculté Victor Segalen à Brest.

Par aline sofiane - Publié dans : Sortir
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Dimanche 3 avril 7 03 /04 /Avr 00:00

The Dinah Shore : imaginez 15 000 filles rassemblées pour un long week-end d'alcool, de farniente, de party , de luxure et de piscine !!!

Christine, féminine et athlétique brunette, a renoncé à l'amour avec le sexe opposé depuis qu'elle a 23 ans. Dans son patelin, dit-elle, l'homosexualité n'est pas vraiment tolérée. C'est donc en cachette de ses parents et amies qu'elle a plongé dans l'aventure du Dinah Shore avec sa copine Kristen. Elle déclare, non sans ironie, que le Dinah est un rite de passage, l'équivalent d'un pèlerinage à la Mecque du lesbianisme.
Les pèlerines se rendent au Dinah pour les milliers de femmes en bikini, l'ambiance chaude et sexy, les giga-partys autour des piscines d'hôtel, les soirées déchaînées animées par des DJ réputées, les spectacles de variétés aux contenus 100% lesbiens, les promesses romantiques, la liberté d'expression...

À partir de mercredi soir une frénésie de spring break gagne rapidement les fêtardes de tous âges et tous styles, venues célébrer leur amour des femmes, du sexe et du soleil.  'Nous sommes venues faire le PARTY!!!!' entonnent en choeur Maxime, Angie, Mistyne, Constance et Shannon, ces jeunes femmes sexy, à l'aube de la vingtaine, sont convaincues qu'une bonne proportion des participantes sont aussi hétéros que Louise Deschâtelets. 'C'est bondé de filles straight qui se meurent d'être corrompues', prétend Angie.

'Les couples se font ou se défont au Dinah Shore. Ça semble être le thème dominant', observe Dana, une grande blonde de 31 ans. Comme d'autres, Kimberly, 46 ans, qui habite San Jose en Californie, s'y rend chaque année avec sa compagne depuis 23 ans. 'Il n'y a aucune jalousie entre nous, alors on se permet de regarder toutes ces belles femmes tout en s'amusant', dit-elle, délaissant le roman qu'elle lisait tranquillement dans sa chaise longue. Les plus jeunes, et vous constaterez que plusieurs recherchent une liberté sexuelle à l'extérieur d'une relation stable. Certaines couchent même avec des hommes, tout en affichant l'étiquette lesbienne. Nous vivons une révolution sexuelle.'

'C'est la débauche totale, parce que plusieurs de ces femmes sont contraintes à la répression dans leur vie quotidienne', explique Diane, une professionnelle dans le début de la quarantaine qui habite à San Diego. Des butchs portant des vêtements masculins et arborant la coupe Longueuil, des lesbiennes lipstick en minijupes et camisoles microscopiques, des sportives tatouées, des intellos minimalistes, des femmes d'affaires stylisées, des militantes au look naturel. Ces femmes n'ont en commun que leur orientation sexuelle et leur désir de s'éclater à fond. Celles qui vivent dans la Bible Belt sont heureuses de pouvoir enfin exprimer librement leurs préférences. Celles de San Francisco, habituées à plus de tolérance, sont moins exubérantes. Les super canons de Los Angeles, quant à elles, sont heureuses de dévoiler leurs nouveaux implants mammaires, leur peau bronzée et leurs maillots quasi inexistants.


L'histoire:
En 1972, au sommet de sa carrière, Dinah Shore accepte de prêter son nom à un tournoi de golf féminin. En raison de la forte représentation gaie dans la LPGA, le Dinah Shore est rapidement devenu un rendez-vous annuel de lesbiennes. L'entourage des joueuses, semble-t-il, possédait un sens de la fête imbattable et savait tirer profit des somptueuses résidences secondaires de Palm Springs.
C'est en 1990 que Mariah Hanson, Sandy Sachs et Robin Gans ont greffé au tournoi de golf un événement lesbien combinant partys, spectacles de variétés et bronzette commandité par les brasseries Miller et Finlandia. Mais les fêtardes gaies étaient déjà dans le coup depuis belle lurette.
Sans l'aura gaie de Palm Springs, le Dinah Shore n'aurait jamais pris un tel essor.En effet 40% la population gaie de cette ville d'environ 45 000 habitants. 'Palm Springs est depuis longtemps le repaire du monde du théâtre et du cinéma, où la représentation gaie est élevée.

Dina shore week-end: http://www.tetu.com/madame/
L'histoire a commencé, il y a longtemps, autour de la table d'un petit troquet parisien. Heather, alors toute jeune rédactrice de Girlfriend Magazine, m'avait parlé de ce truc incroyable qui se passe tous les ans à Palm Springs. Son nom : le Dinah Shore Week-End, un tournoi de golf pris d'assaut par des milliers de lesbiennes déchaînées ! Comme un événement sportif qui aurait mal tourné,  «L'ambiance était incroyable : les filles étaient saoules au milieu des sculptures de Rodin !»  

Mais au lieu de hooligans pétés à la bière, plein de filles excitées par le soleil et le martini dry Les années ont passé, quelques détails de plus récoltés au fil de rencontres américaines, rumeurs alléchantes d'orgies, phantasmes d'une oasis de lipstick chic prêtent à vous glisser quelques billets dans la poche arrière en échange d'un «french massage». Spa, sauna, teufs et gouines. On est loin des festivals macramés d'un autre âge. Les palaces et les restos aux pieds des palmeraies ont remplacé les tentes et les feux de camps. Le Volkswagen Van a laissé place aux coupés décapotables. Les californiennes ne plaisantent pas avec le futile Ici, à Palm Springs, pendant quatre jours, le dollar brille plus qu'ailleurs, pour la plus grande joie des autochtones, des retraités conservateurs Le porte-monnaie de ces dames serait-il en passe de devenir une arme politique d'un nouveau genre pour faire évoluer les mentalités ? Les filles d'ici prennent un pied incroyable à flamber du cash et à faire baver d'envie le reste du monde, le combat se gagnant désormais à coup de cartes bancaires plutôt que par des banderoles protestataires Les nouvelles filles de Los Angeles savent que pourboire rime avec pouvoir. Compte rendu tant espéré du voyage au pays des golden girls du Dinah Shore Week-End. Texte:  Axelle Le Dauphin

The site: http://www.dinahshoreweekend.net/

Par aline - Publié dans : plaisir
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Samedi 2 avril 6 02 /04 /Avr 00:00

Le Texas veut bannir le sexe du cheerleading!!

Petit débat révélateur du puritanisme de certain dans les états du sud américains. Voir les articles sur la sodomie et les sodomie laws  pour plus d'info.
En effet, Les majorettes du Texas pourraient bientôt se voir interdire toute une série de mouvements trop suggestifs sexuellement, question de rendre le match du vendredi soir plus familial et de donner l’exemple aux adolescents. Le représentant de Houston, Al Edwars a présenté la semaine dernière un projet de loi visant à bannir les chorégraphies «sexuellement suggestives» des écoles primaires, secondaires et des collèges.

«La façon qu’elles ont de bouger, ce n’est pas danser ou faire le grand écart, elles font des choses sexuelles», a commenté M. Edwards. «Notre règlement dit que si ces mouvements ne disparaissent pas, nous coupons votre financement», a-t-il précisé. Selon le représentant du peuple, ces chorégraphies envoient un mauvais message aux jeunes. Le cheerleading est une immense industrie qui implique des millions d’étudiants américains des niveaux primaire, secondaire et collégial. Les compétitions commencent aussi tôt que la première année.

AgenceNews | 20 mars 2005

Par mat - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 2 avril 6 02 /04 /Avr 00:00

A l'heure ou la messe est dite pour ce  pape qui s'est prononcé contre le mariage des prêtres, contre le préservatif, de n'avoir rien fait pour la cause homosexuelle et que le sidaction bat sont plein. Petite infos sur la capote.  

Des chiffres:

Les centres de planning familial belge ont réalisé une enquête sur la contraception chez les jeunes. Quelque 650 garçons et filles de 13 à 21 ans ont rempli un questionnaire ; 40 % d'entre eux disent avoir une vie sexuelle active.

Les jeunes interrogés semblent connaître les moyens de contraception. Ils sont 92 % à citer la pilule, 89 % le préservatif ; peu mentionnent la pilule du lendemain (7 %) et l'abstinence (6 %). L'enquête précise que « la pilule du lendemain est davantage une contraception d'urgence qui doit rester exceptionnelle. Parce que son taux de réussite varie en fonction du délai de la prise par rapport à la relation à risque. Et puis parce que ce type de contraception n'apprend pas aux jeunes à se responsabiliser sur le long terme. »
75 % des filles ayant une vie sexuelle active disent prendre la pilule. Celles qui ne la prennent pas citent la peur vis-à-vis des parents (67 %), le prix trop élevé (51 %) et... la peur de grossir (49 %). Alors que les pilules actuelles ne font normalement plus grossir.
Concernant le préservatif, 57 % des jeunes disent que le fait de ne pas l'avoir sur soi est un frein. 50 % ont également souligné la non-conscience des risques lorsqu'il n'est pas employé (sida et autres MST). Ainsi que la non-envie de l'utiliser (50 %), l'oubli (51 %) ou l'aspect désagréable (42 %). Un jeune sur deux admet ainsi délibérément refuser d'utiliser le préservatif.

L'afrique:

Selon ONUSIDA , le programme des Nations Unies sur le VIH/sida, l’estimation du nombre de personnes séropositives dans le monde serait proche de 40 millions. 25 millions de cas sont recensés en Afrique, 14000 nouveaux cas sont constatés en moyenne chaque jour dont 95% concentrés dans des pays à revenus faibles ou moyens, 12 000 cas chez l'adulte (15-49 ans) dont 50% environ chez les 15-24 ans…

Articles:(dépechez vous certains articles sont supprimés par les rédactions)

Le très bon et très complet site d' ONUSIDA: http://www.unaids.org/en/default.asp

Le pape, le préservatif et les interdits :http://www.liberation.fr/page.php?Article=282498

 Freins et incitants à la contraception : http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=90&art_id=211952

Par aline - Publié dans : plaisir
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Jeudi 31 mars 4 31 /03 /Mars 00:00

 Dimanche matin, 8h30, nous émergeons. Petit câlin, Béa se demande à présent si nous devons nous rendre à ce rendez vous….Je la convainc que nous ne risquons rien, nous n’allons pas nous faire enlever, le bois le Dimanche est rempli de monde, et puis si il n’y a personne ça nous donnera l’occasion de faire un petit footing, cela fait longtemps que nous n’avons pas fait de sport…Et puis s’il y a quelqu’un, il n’y a aucun mal à se faire de nouveaux amis et à aller courir dans les bois….Béa était rassurée. Un petit dej au lit, une douche et nous étions partis pour courir. Le bois se trouvait à une demie heure de chez nous….Je sentais Béa stressée sur la route, moi aussi mais j’étais encore plus excité et curieux de voir la suite des évènements. Maire ne cessait de faire des « et si… » « Et si, c’est un gars qui se pointe ? »
-Et bien, nous lui dirons que ce n’est pas vraiment jouer franc jeu que de se faire passer pour une femme, mais s’il est sympa on peut toujours aller courir avec lui.
« Et si c’est une fille mais un gros boudin »
-Attends, on a juste parlé d’aller courir ensemble,pas de baiser dans le bois;
« Et si c’est une fille et qu’elle te plait ? »
-Et bien je partirai avec et on te perdra dans les bois; Mais non ! on est depuis 10 ans ensemble et heureux, je ne vais pas partir à la première fille canon qui passe devant moi. Et si ça se trouve c’est à toi qu’elle plaira
«  T’es con, tu sais bien que le côté féminin ne m’attire pas »

-C’est ce que l’on dit…De toutes manières, si tu veux on parie, mais il y aura personne
«  Ok, on parie quoi ? »
-Eh bien, si il y a quelqu’un, c’est toi qui mène le jeu…et s’il n’y a personne tu m’offres ton corps ce soir et tu seras mon esclave » Après quelques instants d’hésitation, Béa accepta.

Nous arrivions sur le lieu de rendez vous…Béa se mit à rire
-Qu’est ce que tu as ?  « On a l’air malin, on ne sait même pas à quoi elle
ressemble, on a juste eu une photo de ses seins, alors, à moins qu’elle se balade seins à l’air, on va avoir du mal à la reconnaître »
-C’est vrai, elle a cet avantage sur nous, elle elle nous a vu sur nos photos, enfin, on sait déjà qu’elle est rousse.

Nous nous sommes garés et sommes descendus de la voiture…il y avait beaucoup de monde ce jour…Nous avons attendu un moment…personne ne venait nous aborder, je jubilais déjà                                                                            -Ah ce soir tu vas être à moi, ça va être vachement sympa ma petite esclave

Nous attendions depuis un bon quart d’heure, toujours personne, alors je dis à Béa qu’il fallait savoir s’avouer vaincu et que nous étions tombés sur un petit plaisantin la veille. « Aller, partons courir »  disais je, lorsque quelqu’un derrière nous dit « Béa, c’est vous ? »

Elle était là, vraiment jolie : Rousse avec de beaux yeux verts et quelques taches de rousseur sur le visage, elle avait mis un fuseau rouge moulant qui ne laissait pas apparaître de marques de culotte (en avait-elle ?), un top bien serré qui moulait sa poitrine. Il n’y avait pas de doute par contre, elle n’avait pas de soutien-gorge : le froid (ou était-ce déjà l’excitation) rendait ses tétons si durs que l’on pouvait les deviner à travers le tissu. Sophie avait du remarquer mon regard bloqué sur ses seins, et dit « Et oui c’est moi » tout en refermant sa veste de jogging.

C’était bien elle effectivement et nous étions si surpris que personne ne disait rien. C’est Sophie qui engagea la conversation :

Sophie Désolée, je suis un peu en retard, j’ai loupé le bus précédent 

Moi Y a pas de soucis, tu n’as pas de voiture ?
Sophie Et vous oubliez que je suis étudiante, je ne cours pas sur l’or  
Béa C’est vrai, alors on va courir ou on reste la à se les geler ?
Moi  Ah, oui, j’avais oublié que nous étions venu pour ça;

Nous sommes donc parti faire un petit footing…enfin petit, nous avons couru plus d’une heure et demie…
On voyait bien que Sophie était bien plus entraînée que nous. C’était vraiment cool, hormis le fait que Sophie était jolie, elle était très sympas, et avait de la conversation, le temps du footing passait très vite, Béa et Sophie parlait de leurs études, Béa avait fait les mêmes qu’elle quelques années plus tôt. Je me suis arrêté à un moment pour faire pipi derrière un arbre, les filles ont continué, tout en me soulageant, je contemplais les 2 petites paires de fesses qui s’éloignaient devant moi…J’ai pris mon temps pour les rattraper afin de profiter le plus longtemps possible du spectacle.. Béa s’est retournée au bout d’un moment et m’a lancé « Bon tu traînes ! » Je suis revenu à leur niveau.

Béa Ben alors, tu faisais quoi ?
Moi  Oh, j’admiré la nature;
Sophie T’as vu quoi ?
Moi 2 belles paires de fesses qui courraient devant moi !
Béa T’es con, c’était beau au moins ?
Moi Oui, enfin sans toutes ces épaisseurs, ça serait sympas aussi.
Sophie Tu sais ce que l’on dit d’abord l’effort, après le réconfort

A ces mots mon sexe se dressa immédiatement…Elle était folle de me chauffer comme cela ! Nous avons terminé le footing, et comme il faisait vraiment beau, nous étions dégoulinants …de sueur.

Sophie Bon ben je vais rentrer, c’était vraiment sympas, il faut que l’on remette cela.

J’avais une boule dans la gorge…elle rentrait ? Je voulais intervenir mais j’avais promis à Béa qu’elle mènerait le jeu. Béa lui dit alors
Béa Attend, tu va pas rentrer en bus, on va te ramener, t’habites où ?
Sophie Cool, car dans mon état…Ca ne vous gêne pas ?
Moi  Oh non ! Nous sommes donc montés dans la voiture.
Moi Il fait vraiment beau aujourd’hui, on se ferait bien un barbecue ce midi ?
Béa Ah ouais, ça fait longtemps…Tu veux venir manger avec nous ?
Sophie C’est sympas, j’accepte volontiers, mais je ne suis pas une fille facile, je ne couche pas le premier soir;
Elle rigolait, mais je commençais sérieusement à être exité…Béa me ramena aussitôt à la raison.

Béa  Nous non plus; De toute manière nous refusons tout rapport hors de notre couple !
Moi  A ce propos tu nous a dit que t’avais eu une expérience originale ?
Sophie Ah oui, avec mon mec et mon ex…c’était vraiment sympas, mais j’ai quitté les deux à présent. Trop dur de choisir.
Béa Y’en a qui s’ennuie pas aux soirées étudiantes !
Moi Aller t’en a trop raconté ou pas assez, raconte
Sophie  Bon aller…

…En fait, ça s’est passé il y a 2 mois, j’étais sortie seule à un zinzin étudiant parce que je m’étais pris la tête avec mon mec et il était parti en claquant la porte. En boîte j’ai rencontré un ex que je n’avais pas revu depuis 6 mois au moins, on a bien discuté toute la soirée, et puis ce qui devait arriver arriva. Il m’a raccompagné chez moi on s’est couché…et
3 minutes plus tard, mon mec rentrait ! Au début, il était furax, et il a commencé à gueuler comme un putois, et puis il a finit par dire, « ah tu veux faire ta salope, montre nous ce que tu sais faire ! » Il a ouvert notre tiroir où il y a plein de jeux sexuels et il s’est installé sur une des deux chaises…Mon ex était vraiment gêné, surtout que comme moi il était à poil. Je ne savais pas trop quoi faire, mais j’avais super envie de baiser alors j’ai commencé un show car je crois que les deux gars n’attendaient que cela. J’ai pris un pinceau à maquillage et je me suis allongé sur le dos sur le lit et me suis caressée les seins jusqu’à ce qu’ils pointent bien, mon ex s’était installé sur l’autre chaise et bandait comme un âne. J’ai continué à me caresser, je suis descendue le long de mon ventre et ai commencé à jouer avec mon minou, il n’y avait pas un bruit dans la pièce à part quelques gémissements que je laissais entendre malgré moi de temps en temps. Je m’étais totalement laissé aller au jeu, j’avais fermé les yeux pour ne pas être gênée par leurs regards, et me caressais comme si j’étais seule dans mon lit. Comme cela ne suffisait pas, je me suis décidée à prendre quelques godes dans le tiroir. Je m’étais mis à  quatre pattes et les léchaient et faisait des allers retours dans ma chatte qu’ils ne pouvaient qu’admirer depuis leur place. J’ai tout à coup senti un liquide froid entre mes fesses…C’était mon mec qui venait que me vider du gel…. « Vas y , dit il , il y a encore une place de bre » je me retournais et ouvrais les yeux, il était bite à l’aire, apparemment il appréciait beaucoup le spectacle. J’ai obéit et je me suis introduit un deuxième gode dans l’anus. Quand j’ai ouvert les yeux à nouveau mon mec était passé devant moi et tenait sa bite raide devant ma bouche…je l’ai engloutie…Je crois qu’à ce moment, j’aurai fait n’importe quoi tant j’étais excitée…Alors que je le suçais, j’ai sentis que quelqu’un derrière moi retirait délicatement mes godes de mon cul et ma chatte et commençait à me bouffer par derrière. C’était réellement une nouvelle sensation. Mon mec a finit par dire « Eh toi, viens, y a de la place pour deux devant  ! », mon ex est venu devant et je les ai sucés chacun leur tour, puis les deux ensemble. Je continuais de sucer mon ex, mon mec a fait le tour et m’a embroché comme un poulet et a
commencé à me pilonner. Il a ensuite saisit un gode et me l’a foutu dans le fond du cul. Je sentais que de chacun de leur côté la sauce allait sortir. Mon ex est sorti de ma bouche, mon mec de ma chatte, il m’a bien écarté les lèvres pour que mon ex ai le droit à son tour de venir en moi. Mon ex a donné quelques coups pour être poli, mais n’en pouvait plus…Ils ont finit
pas jouir tous les deux sur mon dos. Ils se sont rhabillés et sont partis,et je n’ai pas eu de nouvelles depuis…Mais c’est une soirée que je n’oublierais pas de si tôt…

Tu m’étonnes, je n’en pouvais plus, j’étais chaud comme de la braise…Béa ne disait rien…Nous étions arrivés
Béa, Aller, tu nous prépare un apéro, nous on monte se doucher
Sophie Je te suit

Faites nous savoir si cette histoire vous a plus ou non et si vous voulez la suite
(
yves_bea@yahoo.fr)..Nous apprécions les mails avec photos.

Par Yves et Bea - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Mercredi 30 mars 3 30 /03 /Mars 00:00

Mon rêve ma chair Aline
Ce sont tes seins et leurs tétines
C’est ma langue qui se faufile
Jusqu’à la Porte de ton Nombril
C’est une halte sur le Mont
Pour un pic nique dans le buisson
C’est la descente vers la Vallée
Pour mes doigts enfiévrés
Entre tes colonnes haut dressées
Par parfums et odeurs inondées
C’est l’autel bouillonnant de plaisir
Et c’est moi guidé par le désir
Me soûlant avide de tes élixirs
Mes ongles plantés dans tes fesses
Et y disant la fébrile messe
C’est moi t’écoutant haleter et gémir
Pour succomber enfin au plaisir,
Mon rêve c’est te voir offerte à quatre pattes
Ma bouche assoiffée plaquée à ta chatte
Pétrissant et écartant tes rondeurs
Tremblantes en timides rougeurs
C’est ta main entre mes cuisses qui s’agite
Et écrit sur mon ventre le désir qui la bite
C’est moi signant en langue fourrée
Ce rêve inavoué à ton cul dédié


Mon rêve enfin, c’est planter mon soc
Dans le sillon trempé de ta coque
Au son continu d’un ardent flic floc
C’est moi enfin te portant l’estoc
Rythmé par des tapes coquines
Sur ton adorable gros cul Aline
C’est moi agrippé à tes seins
Ballottés par le va et viens
C’est moi plaqué à tes hanches
Et tes fesses qui mènent la danse
C’est mes doigts égarés dans tes poils
Qui achèvent de peindre la torride toile.

Par Abdou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Lundi 28 mars 1 28 /03 /Mars 00:00

Tabous nous offre une vision des dessous de la jeunesse iranienne et de la question de la sexualité., c'est une plongée dans l'intime d'une société érigeant la répression sexuelle au rang de salubrité publique. Le film se compose d’une partie fiction, tournée en Super 8, l’adaptation d’un poème érotique persan du XIXe siècle écrit par Iraj Mirza (célèbre auteur iranien) et d’une partie documentaire qui regroupe une série d’entretiens sur la sexualité réalisés dans les milieux les plus divers et opposés de la société iranienne
On y découvre donc pele mele, une jeunesse aux prises avec les traditions séculaires, emprisonnée dans un carcan religieux mais qui tente tant bien que mal de faire valoir ses droits de liberté, une prostituée, un transexuel, un ancien combattant etc...Le film nous fait découvir la position de la femme et le rapport à la virginité autant pour les hommes que pour le femmes, quasi obsessionnel pour les iraniens.

Le film parie sur la fin prochaine des barbus devant la pression sociale d'une génération moins docile que celle de ses pères. Souhaitons juste que cet optimisme ait valeur de prophétie. N'hesitez pas à allez voir ce film qui nous dévoile l'Iran sous un autre jour.

 

 

Comment une religion peut-elle s’ériger en système politique qui s’immisce dans les sphères les plus intimes de notre vie privée et grève tout ce qui est en rapport avec la sexualité d’une aura d’anxiété ?

Dans l’Iran d’aujourd’hui, comment l’amour et la sexualité peuvent-ils se frayer un chemin à travers cette jungle d’interdits et de principes traditionnels et religieux ?

Ces questions sont au centre du film de Mitra Farahani qui comporte une partie documentaire et une partie mise en scène.
Après avoir mené les premières interviews, l’impression qui ressortait de ces entretiens ne coïncidait pas avec l’image qu’elle se faisait elle-même de son pays.

Mitra Farahani : « Si l’on demande aujourd’hui à quelqu’un, en Iran, de définir l’amour, sa réponse sera inévitablement remplie d’allusions poétiques. Personne ne parlera jamais de son propre passé ni d’évènements récents, mais on trouvera toujours la métaphore poétique adéquate. La poésie est d’une importance capitale en Iran. Son omniprésence dans le cinéma, dans la peinture, ou même dans le langage familier exerce une influence sur tout un chacun, même sur les hommes politiques et les membres de la classe religieuse dirigeante. Sans poésie, il est impossible de parler d’amour et de sexualité en Iran. Pour réaliser son film, la cinéaste s’est inspirée d’un poème d’Iraj Mirza qui parle sans équivoque d’amour et de désir. « Je voulais souligner les liens existant dans une société qui associait autrefois admirablement bien sa culture avec l’art d’aimer, alors qu’aujourd’hui, un couple qui s’embrasse doit se demander si c’est l’amour ou bien si c’est un crime, passible de bastonnade. »

MITRA FARAHANI

Née en 1975 à Téhéran, Mitra Farahani étudie dès l’âge de 14 ans chez des maîtres de l’art pictural en Iran afin de se former au dessin et à la peinture.
En décembre 1999, elle réalise un happening intitulé : « vous êtes invité pour une cérémonie d’enterrement » où l’effacement d’une peinture murale symbolise l’enterrement de la culture en Iran.
En 1999, elle intègre à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (Paris) afin d’étudier la vidéo.
Son premier documentaire de 26 minutes, « Juste une femme » (2001) montre les premiers jours en tant que femme d’une transsexuelle à Téhéran. Il obtient un important succès dans plusieurs festivals internationaux. En 2002, le film est sélectionné au festival de Berlin et remporte le prix spécial du jury aux Teddy Awards. A partir de juillet 2001, Mitra Farahani travaille sur son second film : « Zohre et Manouchehr – Tabous ».
Au terme de près de trois ans de tournage, le film est présenté au festival de Berlin 2004.

The site:http://www.tabous-lefilm.com/

The film:Réalisé par Mitra Farahani Avec Coralie Revel
Film français Documentaire Durée : 1h 10min.                       
Année de production : 2003 Titre original : Zohre et Manouchehr

Par aline - Publié dans : Films and zik !!
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Samedi 26 mars 6 26 /03 /Mars 00:00

Voici un article qui se balade sur le net depuis environ une semaine instructif. Jetez un coup d'oeil aux marges!!

En  presque  un  an,  le  site de téléchargement VirginMega a écoulé 1,5 million de titres. Pour gagner de l'argent à terme, il espère revoir les    contrats de reversement avec les producteurs.                                                                                                        
                                                                            
La  route  est  longue  et  tortueuse  jusqu'à  l'eldorado supposé de la  musique en ligne. C'est l'enseignement de Virgin Megastore presque un an    après  avoir  lancé  la  deuxième version de son site de téléchargement,    VirginMega.  Principal  problème  :  le modèle économique. "Il n'est pas    viable,  tranche  Jean-Noël  Reinhardt,  le  président  du directoire de    Virgin   Megastore.  Nous  payons  0,16  euro  de  TVA,  0,70  euro  aux producteurs, 0,07 euro à la Sacem et 0,05 euro de frais de transaction." Pour  un  titre vendu 99 centimes d'euro, il ne reste donc que 1 centime d'euro  de  marge brute au détaillant, soit un peu plus de 1 %. "Dans le monde  physique, nous touchons une marge de 30 %. Nous avons donc engagé de  nouvelles  discussions avec les producteurs", a indiqué le président    du  directoire  qui espère faire baisser le montant des reversements. La Fnac  admet  aussi à mots couverts que le modèle n'est pas rentable mais    préfère  pour l'instant  insister  sur l'importance de se placer sur ce   marché émergent. 
                                                                            
Reste que les maisons de disques sont réticentes à l'idée de baisser les tarifs. "La structure de marge est équivalente entre les mondes physique et  virtuel", assure Jérôme Roger, le directeur géné- ral de l'Union des producteurs phonographiques français indépendants  (Upfi).  A  une différence  près : dans le commerce en ligne, c'est le distributeur qui paye  directement les droits à la Sacem alors qu'ils sont assumés par le producteur dans le monde physique. 
                                                                            
"Il  faudrait plutôt mener une réflexion sur le prix de vente d'un titre à  l'unité", oppose Jérôme Roger. De fait, le prix de 99 centimes est un standard qu'a imposé Apple au niveau mondial en lançant l'iTunes, et qui a obligé les plates-formes de musique à s'aligner. Au départ, VirginMega commercialisait  ses titres 1,19 euro. Faut-il augmenter les prix ? "Les    sonneries  sont  vendues  entre  deux et trois euros", précise Jean-Noël Reinhardt. Et le prix de vente des titres sur mobile a débuté à 2 euros.

Silicon.fr

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Vendredi 25 mars 5 25 /03 /Mars 00:00

Les jeun's accros au porno ?

Un rapport du CSA (Conseil supérieur de l'audiovisuel) publié en novembre indique que 80 % des garçons et 45 % des filles entre 14 et 18 ans déclarent avoir vu au moins un film X dans les douze mois écoulés (1). Les garçons sont, sans surprise, davantage amateurs de ces images : un sur quatre en a vu plus de dix fois durant l'année. L'intérêt pour le sexe filmé augmente entre 14 et 15 ans : 67 % des garçons de 14 ans ont vu au moins une fois un film X dans l'année, contre 77 % à 15 ans. A ce même âge, ils sont 30 % à en avoir vu au moins dix dans l'année (ce que le CSA appelle les « spectateurs assidus ») alors qu'ils n'étaient « que » 18 % à 14 ans.

On trouve peu de « spectatrices assidues » : 2 % à 14 ans, 3 % à 15 ans. Le nombre de spectatrices occasionnelles est également sensiblement inférieur à celui des garçons : 36 % des filles de 14 ans ont vu au moins un film X durant l'année écoulée, contre 45 % à 15 ans. Il est intéressant de noter qu'après cette augmentation des chiffres entre 14 et 15 ans, les chercheurs ont observé une stabilité chez les garçons jusqu'à 18 ans et une légère baisse chez les filles.

« Ne soyez pas dupes ! »
Psychiatre de l'adolescence, Philippe Van Meerbeeck, sans diaboliser la pornographie, met en garde les jeunes qui la considèrent comme un « cours sur la sexualité ».

Que cherchent les adolescents dans la pornographie ?
Ils espèrent comprendre par des images - qui sont tout sauf pédagogiques - les mystères du sexe. Ils se découvrent un corps pubère, génitalisé et sont très intéressés par la question sexuelle. Ils veulent découvrir la sexualité de l'autre mais aussi entrer dans la sphère des parents. Ils cherchent à combler leur envie de connaissance comme ils peuvent, souvent les parents sont embarrassés d'en parler...

L'école devrait mieux comprendre cela et élargir la réflexion à autre chose que le sexe stricto sensu qu'on trouve dans la pornographie. En fait, les jeunes sont gravement désinformés. Il ne faut pas diaboliser la pornographie, les jeunes qui se masturbent devant une cassette, c'est d'une banalité confondante... Mais il faut être attentif à expliquer le côté manipulateur et tronqué de l'univers pornographique. Leur dire simplement : « Ne soyez pas dupes ! »

Est-ce que ça se traduit dans leur comportement sexuel ?
Il se passe des choses graves, c'est très inquiétant. On le voit avec le phénomène des « tournantes ». Il y a des jeunes filles qui pensent qu'elles sont anormales parce qu'elles ne font pas quatre fellations à des inconnus. Le danger de la pornographie, c'est qu'elle banalise des formes de sexualité partielles (fétichisme, homosexualité...). Cela peut bloquer dans une étape de découverte normale de sa sexualité. La pornographie mène par exemple à « instrumentaliser » l'autre dans la relation, ce qui est désastreux dans une relation affective. Parce que ce que les jeunes veulent, c'est aimer et être aimés.

Comment limiter ces effets négatifs ?
Il faudrait montrer aux jeunes comment les images qu'ils voient dans la pornographie sont manipulées, orchestrées. On y remplace les acteurs pour donner l'impression que le héros garde son érection pendant des heures, il n'y a pas de lien affectif entre les personnages, on voit des morceaux de corps, il y a des trucages... Les jeunes qui regardent de la pornographie pour s'informer voient quelque chose qui n'a rien à voir avec la sexualité dans la vie. Ils perdent leur innocence, mais dans une illusion... Le danger est là, quand ils voient un film X comme une vérité scientifique, comme « ce qu'il est normal de faire »

un article de Propos recueillis par M. D. de www.swarado.be

Plus: 

Nouvel Obs du 15 juin 2000 - H.S N°41 :http://www.nouvelobs.com/hs-lesados/se_chercher/art4.html

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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