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Mercredi 2 février 3 02 /02 /Fév 00:00

Réflexion attention au froissage de neurones, hi hi

bonne lecture à tous...

Notre société s'est, dit-on, débarrassée des catégories de normalité et d'anormalité sexuelle qui faisaient jadis le malheur de tant de monde. Elles frappaient non seulement l'homosexualité, mais aussi les «répertoires» sexuels des couples classiques. On comptabilise avec fierté la croissance statistique de pratiques comme la fellation, la sodomie et le cunnilingus, comme si elles venaient enrichir la jouissance brute d'un pays déjà bien nourri en plaisirs esthétiques et gastronomiques. Nous serions devenus, en quelque sorte, tous des pervers. Ce vieux mot avait en effet été récupéré par la psychiatrie et la psychanalyse pour désigner les égarements de la pulsion érotique dans d'autres directions que celle que lui dicte en principe l'«instinct génésique».

C'est pour bien montrer qu'on n'adhère plus à une conception normative de la sexualité mais qu'on en épouse toute la diversité, qu'on a introduit dans la loi la notion de «sexuel». Depuis la réforme de 1980, on a redéfini le viol à partir de critères «dénormalisés» comme «tout acte de pénétration sexuelle de quelque nature qu'il soit», alors que la jurisprudence de jadis ne l'appliquait qu'au vieux coït vaginal. Sodomie, fellation, etc. se voyaient reconnaître une dignité par le crime et dans le crime.

Le problème est qu'il n'est pas facile de faire la différence entre une pénétration sexuelle et une pénétration non sexuelle, une fois qu'on a rompu avec le critère anatomique. Sigmund Freud n'avait-il pas fait de tout notre corps une vaste zone érogène ? N'avait-il pas montré que derrière des actes apparemment anodins comme se laver les mains toutes les cinq minutes, se dissimulait un contenu ou une signification «sexuelle» ? Le juge pénal a donc dû s'improviser psychologue et même sexologue, fouiller les «mobiles» des acteurs pour décider si ce qu'ils avaient fait avait ou non un caractère sexuel. Le même acte peut être qualifié ou non de viol ou d'agression sexuelle selon la signification que le prévenu est censé lui attribuer. Ce faisant, le champ du sexuel aurait dû devenir potentiellement infini. Mais en est-il véritablement ainsi ?

Imaginons qu'un fétichiste se jette à nos pieds pendant que nous sommes tranquillement assis à la terrasse d'un café, et qu'il nous arrache d'un air lubrique notre bottine pour s'échapper et en tirer des jouissances indues. Doit-on considérer cet acte comme un vol ou comme une agression sexuelle ? Il est peu probable que les juges d'aujourd'hui retiennent cette dernière hypothèse. Ces jouisseurs insolites sont ignorés comme agresseurs sexuels. C'est donc, diront certains avec amertume, que ces pratiques ne seront pas encore «reconnues». La distinction entre sexuel et non-sexuel reconduit ainsi celle entre le normal et le pathologique, au prix d'une légère modification de ses frontières. Elle dépend d'une morale sexuelle implicite et arbitraire, puisque c'est le juge pénal qui doit à chaque fois déterminer si tel acte est sexuel ou non, et qu'il le fait en fonction de standards plus ou moins communs et non pas à l'issue d'un travail psychologique approfondi. Le caractère normatif de cette notion de sexuel apparaît par exemple dans la loi qui, récemment, a sciemment ignoré la souffrance de jeunes filles qui considéraient que ne pas se voiler était pour elle un acte qui choquait leur pudeur. La société française a décidé, elle, que les cheveux ne sont pas un organe sexuel, et s'efforce de les convaincre de penser comme elle. En revanche, elle ne les laissera pas se promener nues dans la rue.

Il est vrai que chercher à prendre en compte tous les comportements à connotation sexuelle, les punir et nous en protéger en conséquence, afin de se montrer véritablement respectueux de toutes les sexualités, risque de faire de la vie sociale un enfer. Les parents de boulimiques, conscients que leur enfant a déplacé la jouissance érotique sur les sucreries, pourraient accuser d'exhibition sexuelle celui qui consomme impunément des glaces à la vanille en public et se porter partie civile. C'est pourtant ce que nous devrions faire si nous voulions vraiment défendre une conception pluraliste et égalitaire du «sexuel» inscrit dans la loi. Il semble donc qu'on n'ait le choix qu'entre l'hypocrisie ou le ridicule...

Pour sortir de cette alternative, la meilleure solution est sans doute d'effacer cette notion de «sexuel» de nos codes, non pour en revenir à la vieille définition génitale, mais pour la fondre dans des règles plus générales, qui les puniraient selon les mêmes critères que les violences corporelles. Ceci permettrait à la fois de protéger les citoyens contre les agressions, et de respecter la diversité des formes d'expérience de la sexualité. La liberté sexuelle, en effet, c'est précisément celle de définir ce qui pour nous est sexuel. Or la loi, en particulier pénale, exige des significations communes. Effacer le mot «sexe» de la loi pénale, quitte à le conserver lorsqu'il est question de dommages au civil, lesquels peuvent être naturellement individualisés, est donc la condition sine qua non pour que notre vie érotique devienne une expérience privée. Une société sexuellement libre est une société post-sexuelle. Alors seulement nous serons bien tous des pervers, comme on nous l'avait promis.

 Marcela IACUB 2004

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Mardi 1 février 2 01 /02 /Fév 00:00

!!! Vive le plaisir libre Non aux interdictions !!!

Message a caractère revendicatif ce soir : Luttons contre les dicriminations

Aux Etats-Unis, la sodomie est définie comme un "acte sexuel anormal" et certains Etats y incluent les relations sexuelles anales et orales. Neuf Etats interdisent la sodomie à tous les individus: l'Alabama, la Floride, l'Idaho, la Louisiane, le Mississippi, la Caroline du Nord, la Caroline du Sud, l'Utah et la Virginie. Le Texas, le Kansas, le Missouri et l'Oklahoma l'interdisent uniquement si pratiquée entre hommes. Les Etats font valoir que ces lois, dont certaines ont plus de 100 ans, ont été adoptées pour préserver la morale publique.

Des lois "anti-sodomiques" spécifiquement homosexuelles persistent dans 5 états américains (Arkansas, Kansas, Missouri, Oklahoma, Texas), et dans 15 autres états, ces lois s'appliquent également aux relations hétérosexuelles. En 1986, la Cour Suprême avait décidé, dans Bowers v. Hardwick, que la Constitution permettait aux états de criminaliser la sodomie. 

 Quelques États nord-américains condamnent les discriminations liées à l’orientation sexuelle, mais une dizaine d’autres – Caroline du Nord et du Sud, Floride, Alabama, Mississippi, Louisiane, Arizona, Idaho, Michigan, Minnesota – condamnent la sodomie quel que soit le sexe des deux partenaires. En bref, la situation diffère beaucoup que l’on soit dans le Bible Belt ou dans les tolérantes mégalopoles de la côte Est et de Californie. Cinq États condamnent la sodomie entre partenaires masculins : le Texas, l’Oklahoma, l’Arkansas, le Missouri et le Kansa  

 

 

Par aline & juju - Publié dans : plaisir
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Lundi 31 janvier 1 31 /01 /Jan 00:00

Beaucoup de chiffre mais informatif

La contraception a fait des petits.

La pilule fait toujours plus d'adeptes, le stérilet n'a plus la cote et le préservatif est désormais invité dans 85 % des premiers rapports sexuels. La contraception continue de progresser en France et elle se médicalise, selon une vaste enquête Inserm-Ined (1) présentée hier. L'objectif des chercheurs était d'étudier l'évolution des méthodes contraceptives, et leurs échecs, conduisant ou non à des interruptions volontaires de grossesse (IVG). Pour cela, ils ont compilé les enquêtes de l'Ined menées depuis 1967, année de légalisation de la pilule par la loi Neuwirth. Les données les plus récentes sont issues de l'étude Cocon (cohorte sur la contraception). Commencée en 2000, et prévue sur cinq ans, cette enquête inédite interroge chaque année une «cohorte» de près de 3 000 femmes par téléphone.
Premier constat : trois quarts des 20-44 ans ont désormais recours à un moyen contraceptif, contre 67 % entre 1978 et 1994. «La pilule augmente, surtout chez les jeunes ; le stérilet a progressé jusqu'au début des années 90 et stagne depuis ; et on observe une baisse spectaculaire des méthodes traditionnelles comme le retrait», précise Nathalie Bajos (Inserm). Pour la chercheuse, cette évolution est clairement en rapport avec l'arrivée du sida, et s'accompagne d'une médicalisation de la contraception. Le recul du stérilet (30 % des méthodes contraceptives en 1988, 20 % en 2000) s'explique notamment par la réticence des médecins à le prescrire à des femmes n'ayant pas encore d'enfant. «Or la jeunesse n'est pas en soi une contre-indication, relève Nathalie Bajos. Le risque infectieux des stérilets n'existe qu'en cas de maladie sexuellement transmissible.» Par ailleurs, note-t-elle, il persiste des inégalités d'accès aux pilules. Celles de troisième génération (non remboursées) sont davantage prescrites aux femmes de catégorie socioprofessionnelle aisée qu'aux ouvrières, par exemple.
Quid des préservatifs ? «Toutes les enquêtes, sauf une, observent une hausse extraordinaire de son utilisation lors des premiers rapports», indique le démographe Henri Léridon. Au début des années 70, un quart des premiers rapports étaient protégés par une capote. La proportion est de 85 % en 2000, le préservatif étant utilisé seul ou avec contraceptif oral. Et les chercheurs sont d'autant plus rassurés que le recours massif aux capotes, résultat des campagnes de prévention du VIH, n'a pas éclipsé la pilule, meilleur moyen de contraception au long cours. Au final, plus de 95 % des premiers rapports sont désormais protégés, contre 52 % au début des années 70. Reste un paradoxe alarmant. Malgré la diffusion de la contraception, «30 % des grossesses sont non prévues, dont la moitié conduisent à une interruption volontaire de grossesse», insiste Nathalie Bajos. «Ces données traduisent les difficultés que les femmes rencontrent dans la gestion quotidienne de leur pratique contraceptive», expliquent les chercheurs. D'autant plus inquiétant que beaucoup de femmes ne savent pas quoi faire en cas d'oubli de pilule.
(1) Publiée dans la revue Population de l'Institut national d'études démographiques (Ined), n° 3-4, 2004.

Liberation - Sandrine CABUT - 11 /2004 

Par juju - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 30 janvier 7 30 /01 /Jan 00:00

Coucou cher surfeuses et surfers (des vagues ou du net),

J'ai mis un album avec des affiches de surf si ca vous intéresse. Si vous avez des affiches en jpg zolie et en grand format je suis preneuse. je les partagerai

j'ai mis mon mail dans un article précedent.

bisous a tous.

Par aline - Publié dans : plaisir
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Vendredi 28 janvier 5 28 /01 /Jan 00:00

Les nouveaux univers des libertin(e)s

Mode sulfureuse, jeune littérature coquine, lieux de rencontre inattendus... l'érotisme revient en force et en charme, après des années de porno triste. Un retour aux sources du libertinage qui nous invite à savourer une sensualité complice et pleine de fantaisie

Eros serait-il de retour? Peut-être est-il trop tôt pour l'annoncer, tant ces années de sexe trash, où de tristes anatomies s'exhibaient dans les rues grises, peinent à se refermer. Qu'importe! Légère, impertinente, hédoniste, une sensualité diffuse réchauffe la morosité automnale. A l'heure où les Galeries Lafayette, à Paris, ouvrent 3 000 mètres carrés consacrés à la lingerie féminine, les défilés de la saison 2004 ornent les corps de guêpières, de mousselines, de dentelles et de porte-jarretelles. Bref, la panoplie de la parfaite libertine du XVIIIe siècle. Sexy, mais cultivée. De la jeune littérature érotique aux DVD postporno, des jeux de société lubrico-ludiques aux leçons d'effeuillage à domicile, la fièvre monte dans les alcôves. Laissons-nous donc griser par ce nouveau souffle libertin qui, du simple marivaudage à l'art de la chambre à coucher, accouple allègrement amour et humour.

 

 

Point trop d'enthousiasme cependant, car la tendance s'amorce tout juste. Nous avons tous assisté, ces dernières années, à un étalage de chairs à l'antithèse de toute sensualité. Transgressant les tabous, des auteurs comme Michel Houellebecq, Catherine Millet, Catherine Breillat, Virginie Despentes ou Daniel Karlin ont disséqué la sexualité à travers un regard froid, clinique et désenchanté. La mode et la publicité ont opté pour l'esthétique porno et la télé réalité, en plantant ses caméras dans les chambres du Loft, a excité nos instincts voyeuristes. Enfin, regrette Philippe Brenot, psychiatre, «on a surmédiatisé les pratiques échangistes, alors qu'en réalité elles sont marginales et concernent moins de 1% de la population». Qu'en est-il ressorti? Une vision désincarnée de la sexualité, qui a poussé nombre d'intellectuels, comme Jean-Claude Guillebaud, à dénoncer cette tyrannie du plaisir.

 

Car, à trop parler de sexe, peut-être a-t-on occulté l'essentiel: le désir, ce mystérieux frisson qui parcourt l'échine et réveille les fantasmes enfouis. Comment, alors, rallumer la flamme? Des cinéastes s'interrogent. Loin de Baise-moi, de Virginie Despentes (2000), les trois succès français de l'année 2003 sont des vaudevilles au romantisme acide. Marc Esposito ausculte les palpitations du Cœur des hommes; Michel Blanc nous conseille: Embrassez qui vous voudrez; et Didier Bourdon tente de réveiller la libido de sa femme (Catherine Frot) après Sept Ans de mariage. Le public accourt: à eux trois, ces films comptabilisent près de 5 millions d'entrées.

 

Il semble donc que l'heure soit au batifolage. En France, les 13 millions de célibataires l'ont bien compris, qui ne cessent de badiner avec l'amour. Oublié le speed dating, zapping sentimental déjà dépassé. Dans les bars branchés de Manhattan et de Londres, les quiet parties, ou soirées silencieuses, font fureur. Il est interdit de parler: on ne communique que par écrit, avec Post-it et crayon. Retour du billet doux, cher au marivaudage? Il faut le croire. Ici, comme lors des jeudis drague du Lafayette Gourmet, baptisés «dating market», nulle obligation de résultat: on flirte ou non; on couche ou non. Le champ du désir reste ouvert.

 

Dans une société où prime l'ascension sociale, l'horizontal commence aussi à prendre sa revanche. Avec la mode du lounge, les restaurants invitent à s'étaler langoureusement, à la romaine, sur des sofas et des méridiennes. Les lits deviennent king size et même les salles obscures, désormais, militent pour le rapprochement des corps. Le MK 2 Bibliothèque, à Paris, a inventé le «fauteuil pour deux», dessiné par le designer Martin Szekely, histoire de se peloter gentiment dans une obscurité bienveillante. «Nous étions dans des valeurs masculines et guerrières, constate Vincent Grégoire, du bureau de style Nelly Rodi. Aujourd'hui, on a envie de féminité, de douceur et de légèreté.»

 

Aux nombreux couples complexés qui se pressent dans son cabinet André Corman conseille de «dédramatiser le sexe, qui n'est pas une compétition». Pour ce sexologue, «le fantasme vient du mot fantaisie. L'érotisme, c'est d'abord du jeu. Alors amusons-nous»! Trente ans après la libération sexuelle des années 1970, une révolution sensuelle commence donc à s'opérer dans le secret des alcôves. Les héroïnes de la série télé Sex and the City furent les premières à insuffler une gaieté licencieuse dans notre vie quotidienne. Désormais, plusieurs créatrices leur emboîtent le pas. Chez Dior Joaillerie, Victoire de Castellane a dessiné des bijoux aux noms suggestifs et ironiques: une bague Alors heureuse, des colliers Provocante et Nuit blanche, avec des nœuds très sages pour le début de soirée, puis défaits en une amorce de strip-tease chic.

 

 

Plus torride encore, mais loin des sex-shops de la rue Saint-Denis, Rykiel Woman apporte une touche d'élégance aux plaisirs féminins. Dans cette boutique-boudoir pour Eve séductrices, les godemichés, rebaptisés «sex toys», côtoient la lingerie fine en crépon de soie, les liseuses en fourrure et les peignoirs en pashmina. A 87 €, le Lapin, pénis rose bonbon gros à faire rougir, vu dans Sex and the City, est le best-seller incontesté et on se l'arrache depuis des mois. Parfois dessinés par des stars du design (Tom Dixon, Marc Newson...), ces gadgets érotiques ne sont pas les auxiliaires glauques d'une misère sexuelle, mais les symboles d'une libido joyeuse et épanouie. Et se glissent sans complexe dans le sac à main des fashion victims, entre le gloss et le portefeuille.

 

Pour celles (et ceux) qui voudraient rallumer le désir dans leur couple, Violeta Carpentier a ouvert, en janvier 2003, Art Strip, une école de l'effeuillage à domicile. «Nos clientes ont de 20 à 45 ans, et elles veulent offrir un cadeau original à leur compagnon, pour leur nuit de noces ou pour raviver l'étincelle. On leur apprend à se déshabiller sur une chorégraphie simple, en général sur la musique de Neuf Semaines et demie, l'air le plus demandé. On montre comment dégrafer son soutien-gorge d'une seule main ou enlever son string sans l'accrocher aux talons aiguilles. C'est sensuel et ludique.»

 

Pourquoi ce besoin actuel de théâtraliser l'intime? «Une femme a 25 fois moins de testostérone, l'hormone du désir, qu'un homme, explique Pierre Langis, professeur de psychologie de la sexualité au Québec. Son appétit sexuel est moins biologique, mais plus émotionnel, plus esthétique et plus créatif.» Aujourd'hui, ce sont les femmes qui entraînent les hommes dans cette quête du plaisir. Les couples recherchent des sensations nouvelles et une culture de l'érotisme, jusque-là réservée à une élite esthète.

 

Car l'art de la chambre à coucher, cela s'apprend. Véronique J., créatrice d'une école de séduction à Paris, a dû intégrer, depuis deux ans, des cours de sexualité à ses stages. «Je vois arriver des trentenaires qui ne savent pas caresser une femme!» se désole-t-elle. Des guides pour une sexualité épanouie au Bistro Sexo, d'Hélène Lechevalier (une psychanalyste tantrique qui organise des réunions d'information sur le sujet une fois par mois, à Paris), de plus en plus de spécialistes tentent de combler ce manque. Dans un pays où il n'existe pas d'ars erotica, selon le philosophe Michel Foucault, dans son Histoire de la sexualité (Gallimard), mais seulement une scientia sexualis, l'érotisme est à inventer.

 

Des artistes s'y attellent. Et défrichent cette Zone érogène, du nom d'un groupe multimédia qui défend une esthétique post-porno. «Le sexe a été laissé aux mains des pornographes et des médecins, constate Gilles Verdiani, 37 ans, vidéaste et l'un des cofondateurs du groupe, avec Nils Thornander. Il est temps que l'artiste érotise le monde.» Entre cinéma et art contemporain, «nos films sont des invites, par le son et l'image, à aller faire l'amour.» Nathalie Rykiel, de son côté, proposera, à Noël, un coffret de DVD érotiques: «Des films libertins du début du siècle, muets et en noir et blanc, mais complètement hot», promet-elle. André Corman le résume joliment: «Une sexualité sans érotisme, c'est de la gymnastique. Avec, c'est une chorégraphie.» Votre chambre à coucher ne sera plus jamais la même.

 

par Dalila Kerchouche, Léa Delpont- L'express

 

Par aline - Publié dans : La revue de presse
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Jeudi 27 janvier 4 27 /01 /Jan 00:00

Bijour à tous,

Je vais rajouter quelques images à mon blog. J'avoue j'en ai piqué une sur un autre site mais elle est toute mimi.

Je vais vous donner une adresse email si vous avez des commentaires, des idées, des photos.  aline_blog@hotmail.com

Ne vous génez pas, proposez!! 

Deux personnes m'aident pour ce blog super mat et julie. Je vous en dirais plus sur eux bientot. 

a+ 

Par aline - Publié dans : plaisir
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Jeudi 27 janvier 4 27 /01 /Jan 00:00

LE MARCHÉ MONDIAL DU SEXE AU TEMPS DE LA VÉNALITÉ TRIOMPHANTE

Un texte percutant du sociologue Richard Poulin, un article complet et extrèmement intéressant.

 Rares sont les analyses de la mondialisation capitaliste qui prennent en considération l’industrie du commerce sexuel. En pleine expansion, cette industrie produit des déplacements très importants de population et génère des revenus mirobolants. Sa croissance fulgurante exige que des millions de femmes et d’enfants soient métamorphosés en marchandises sexuelles. Après avoir mesuré l’essor des marchés sexuels et examiné le rôle du crime organisé dans son déploiement au niveau mondial, l’article analyse le processus de «marchandisation» à l’œuvre et les mécanismes par lesquels sont «fabriquées les marchandises» particulières que sont les êtres humains qui aliènent leur sexe.

http://www.toxicoquebec.com/actus/index.php?2005/01/17/206-le-marche-mondial-du-sexe-au-temps-de-la-venalite-triomphante-par-richard-poulin-professeur-de-sociologie-a-luniversite-dottawa 

Par aline - Publié dans : plaisir
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Mercredi 26 janvier 3 26 /01 /Jan 00:00

 

 Bud Clay passe son temps dans des courses de motos. Il essaie en vain d'oublier Daisy, l'amour de sa vie. Après sa dernière course dans le New Hampshire, il se rend en Californie où se déroule la prochaine course. C'est le début d'un voyage à travers l'Amérique durant lequel il va tenter chaque jour de trouver un nouvel amour. Mais il ne peut se résoudre à remplacer la seule et unique fille qu'il ait jamais aimée et qu'il aimera à tout jamais...

 

Bud erre solitaire dans le grand ouest, Brown Bunny est un film incroyablement triste et cru. Ce film est bien plus qu'une petite ballade un peu monotone, un peu creuse. Le film est dérangeant tant il est intime dans sa façon de montrer la douleur, la solitude, la haine, la détresse....

Vincent gallo nous laisse contempler sa souffrance.

 

Réalisé par Vincent Gallo

Avec Vincent Gallo, Chloë Sevigny
Film américain.

Genre : Drame

Durée : 1h 30min.

Année de production : 2003

 

 

 

 

Par aline - Publié dans : Films and zik !!
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Mercredi 26 janvier 3 26 /01 /Jan 00:00

Le système de distribution mis en place par les majors se révèle inadapté à la demande et les labels indépendants résistent mieux à la crise.

Bien fait il fallait pas nous vendre de la merde. Vive l'underground la bonne zik et le plaisir de la bonne zik!!!

Un très bon article sur le monde vite vite dépéchez vous avant qu'il devienne payant. http://www.lemonde.fr/web/recherche_breve/1,13-0,37-885482,0.html

Par aline - Publié dans : plaisir
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