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Mercredi 9 novembre 3 09 /11 /Nov 00:00
Balou vit son équipière plonger entre ses cuisses. D’autorité elle avala son membre devenu flasque. Il caressait enfin la brune chevelure tressée de Maglou. Sa bouche était chaude, sa langue le léchait, puis ses lèvres se soudaient. Elles le pompaient allégrement. Maglou caressait les cuisses velues de son amant en s’activant sur la verge. Elle mit tout son talent pour lui faire retrouver la vigueur originelle. Elle était excitée comme jamais. Elle voulait se faire pénétrer par cet homme jeune, ce serait une première à tous les deux.

Doris permettait très rarement aux employées de faire l’amour avec les donneurs de sperme, alors elle ne voulait absolument pas gâcher cette occasion unique.

Maglou s’activa de plus en plus vite. Sa bouche, ses mains, sa langue dansaient une folle sarabande sur la verge au repos de Balou.
Celui-ci voyait entre ses cuisses, la jeune femme brune se démener pour lui redonner la puissance d’antan.
Dans les box voisins, d’autres hommes jouissaient en criant, le pompage continuait inlassablement. La récolte s’annonçait prometteuse songea Balou. Cette pensée lui fouetta le sang. Instantanément, sa verge reprit un semblant d’érection.
Maglou sentit le membre frémir dans sa bouche. Progressivement il gonflait entre ses lèvres qui se distendaient. Ses doigts fins allaient et venaient le long du tronc, elle admirait devant ses yeux, l’énorme gland violacé qui serait en elle bientôt.

L’amante de Balou s’allongea en gémissant :

- Viens maintenant, couvre-moi jeune homme.

Maglou avait les cuisses largement écartées. Entre sa brune toison taillée en triangle, Balou voyait les roses lèvres luisantes de désir pour lui.
Il s’avança, embrassa les jambes relevées. Puis, instinctivement il pris la position adéquate, sa verge tapotait contre le ventre de Maglou.
Balou sentit une main autoritaire le guider vers l’antre d’amour.

- Pousse doucement ton bassin, murmura son amante.

Balou savoura sa première pénétration. Ce mielleux ventre l’accueillait admirablement. Il avait bien senti une légère résistance lors de sa progression dans le ventre féminin, mais Maglou l’avait encouragé à continuer à la pénétrer.

Maglou ressentait enfin le poids d’un mâle sur elle. Ce reproducteur la remplissait entièrement. Son ventre avait vite cédé sous la pression du gland, le dépucelage avait eu lieu. La petite brûlure avait rapidement laissé sa place à une vague de désir pour cet homme vigoureux. Il ne fallait pas décevoir Doris, qui elle, ne devait pas rater une miette de leurs ébats sur les écrans du poste de contrôle.

Balou donna des puissants coups de reins, il admirait son infirmière qui se tordait de bonheur sous lui. Elle avait noué ses jambes autour de sa taille pour le conserver bien en elle.

Tous deux haletaient, Maglou griffait le dos de son jeune amant, la jouissance était proche.
L’orgasme libérateur montait progressivement des reins de Balou vers ses bourses, pour se concentrer dans sa hampe.

Yeux dans les yeux, ils savourèrent le merveilleux bonheur qui déferlait en eux par vagues successives.

Doris se délecta de ce spectacle grâce aux diverses caméras installées dans chaque box. Après le missionnaire classique, elle vit Maglou se positionner à quatre pattes, croupe offerte, elle écartait les deux globes de ses mains. Balou agrippa ses hanches et d’un puissant coup de boutoir, la pénétra en levrette.

Doris accentua le zoom. L’écran lui renvoyait l’image agrandie, d’un sexe mâle allant en venant
dans une orchidée luisante. Balou fera un bon amant pour la reine Zara, se dit-elle. Le sablier venait d’annoncer la fin des débats.


Balou se retrouva sur sa couche. Il avait encore en tête cette première fois, cette formidable journée de plaisir. Plus de vingt tempêtes avaient passé depuis.
Son bas ventre le brûlait toujours, irrité par trop de pénétrations, trop d’éjaculations certainement aussi.

Ce matin, la nostalgie entourait Balou. Il n’avait jamais plus revu Maglou, la petite amazone brune. De leur union, il savait que deux jumelles étaient nées. Doris le lui avait annoncé discrètement à la faveur d’une étreinte furtive ensemble.
Au fil du temps, la directrice du centre de traite et Balou, étaient devenus amis, amants dans la clandestinité. Doris avait découvert l’amour, ce sentiment indescriptible, entre les bras de Balou. C’est du moins ce qu’elle lui avait dit.
Lui, pensait le contraire, un amant n’était-il pas une source inépuisable de sève, mise à disposition d’une bouche assoiffée? Certes à plus de 200 cycles, Doris gardait un charme certain, même si le vieillissement en était ralenti. En fait, un tacite contrat les liait tous deux, l’une profitant de sa semence, l’autre des facilités de vie et avantages locaux.

Il n’était pas aisé pour les deux amants de se voir quotidiennement. Cependant, Doris tenait en son pouvoir le « clan des gardiennes de la divine semence ».
Les jeunes femmes qui composaient cette unité d’élite lui étaient loyales et fidèles, Doris étant une des leurs.
De plus, les réseaux parallèles, le barème des bakchichs, le troc et la valeur des services « rendus », engendraient mille et un avantages dont profitaient les gardiennes. Elles s’étaient appropriées cette organisation lorsque leur leader avait gravit un échelon supplémentaire vers le pouvoir.
Un trafic de sperme bien huilé faisait leur richesse, la logique voulait qu’elles en profitent également, étant reliées directement à la source de production.

Doris était une femme à la peau très brune, de soyeux cheveux noirs étaient coiffés à « l’andalouse » et tirés en arrière pour former un petit chignon, lui donnant un charme rétro absolument fou de danseuse de flamenco.
La nuit dernière elle avait littéralement martyrisé le dos de Balou de ses ongles rouge sang lorsque la jouissance avait déferlé en elle. Sa bouche aux lèvres rouges et pleines, avait pourtant déjà aspiré une quantité de sève non négligeable, Balou étant prié de ne pas éjaculer en son ventre

Balou aimait Doris, certes à sa façon. Cette femme lui offrait un appartement où il pouvait circuler à sa guise dans le périmètre réservé aux hommes. Les gardiennes veillaient de leur coté au stricte respect des consignes.

D’accord, les femmes dirigeaient le Monde, mais pour autant que Balou puisse en juger, les hommes ne mourraient pas de faim. Ils étaient cantonnés dans des logements ressemblant à des blocs de dominos, « protégés » par les gardiennes. Ils étaient la richesse de la Reine Zara.
Les hommes vivaient et mourraient dans ce lieu, à plusieurs par chambre.
L’homosexualité, forcément tenait sa place dans ces conditions.
Les hommes à fort potentiel physique et endurant, fuyaient ces pratiques afin de conserver leur énergie vitale.
Mais certains mourraient de plaisir au centre de traite, malgré toutes les précautions que prenaient les infirmières. Le sérum qui leur était inoculé développait terriblement les organes génitaux, il était primordial de pouvoir résister à la dépense d’énergie qu’occasionnaient les monstrueuses éjaculations provoquées par la bouche suceuse. De plus, un orgasme mal géré déclenchait habituellement un arrêt cardiaque pour les plus faibles mâles.

L’accompagnatrice, l’infirmière du moment de Balou se prénommait Alicia. Grande femme rousse, à la chevelure bouclée et chatoyante, yeux en amande d’un bleu azur. Elle était presque maigre, avec une petite poitrine. Par contre, des cuisses interminablement fuselées et musclées rehaussaient son physique. Un petit nez fin en trompette, une bouche accueillante et pulpeuse, d’adorables grains de beautés sur ses pommettes embellissaient son visage angélique.

Malgré son statut de privilégié, Balou devait toujours remplir son devoir de se faire traire au moins un fois toute les sept nuits.
Alicia était depuis peu sa nouvelle coéquipière. Ils s’entendaient à merveille. La grande rousse qu’il surnommait « ma sauterelle » connaissait parfaitement l’anatomie masculine, elle le mettait en condition optimum pour qu’il puisse se vider ensuite dans l’infernale machine du plaisir en jouissant en sa compagnie dans les meilleurs conditions possibles.

Balou apprit qu’Alicia courait souvent au stadium. Seule, elle s’entraînait à conserver sa taille de guêpe malgré un âge identique au sien.
Il savait également qu’Alicia n’était plus pucelle. Elle avait participé par le passé à des orgies organisées par la Reine Zara. Malheureusement pour elle, son physique filiforme, ne plaisait pas à la Reine. Elle avait été démise de ses fonctions « d’amante royale » après plusieurs mises en garde, pour par la suite se retrouver au centre de récolte. C’est dans ce lieu que Balou et Alicia s’étaient rencontrés. Une rencontre, qu’il savait orchestrée par Doris, qui elle également avait soif de pouvoir, et rêvait de renverser le régime en place.

Alicia était féline, rapide, et endurante. Sa blanche tunique moulante courait devant Balou. Le stade était vide, mais tous deux étaient surveillés par les gardiennes. Doris avait obtenu pour Balou le droit de s’entraîner en privé avec Alicia, mais sous la surveillance des membres de son unité spéciale.
Ils entamaient le dixième tour à un train d’enfer. Alicia volait littéralement sur la piste, Balou semblait se traîner péniblement plusieurs foulées derrière elle. Le soleil brillait de mille feux. Certaines gardiennes dans les tribunes, encourageaient Alicia. Balou en avait marre de se faire ainsi bananer (encore une expression rétro de l’ancien temps).

Il voyait devant ses yeux où ruisselait la sueur, les cuisses longues et fuselées, légèrement hâlées d’Alicia. Ce n’était plus une sauterelle mais une gazelle.
« Jamais je ne pourrai la rattraper » se dit-il.

Au bout du quinzième tour de piste, Balou abandonna le rythme infernal de sa coéquipière. Il se laissa tomber dans la soyeuse et grasse pelouse verte formant le centre de la piste.

« Je me régale, je suis heureuse » songea Alicia. Son grand brun de Balou n’arrivait plus à la suivre. « Fichtre, s’il me claque dans les pattes je serai bien avancée ». Elle se retourna juste à temps pour apercevoir Balou s’écrouler à même le gazon.
Immédiatement elle fit demi-tour et sprinta vers lui.

- Oh mon Balounet, ça va ? Questionna-t-elle timidement, agenouillée à ses côtés.

Elle le voyait haleter, il recherchait de l’air. Sa poitrine ruisselait de sueur. Torse nu, en basket et boxer, il avait voulu jouer au malin avec elle. Les yeux clos, il reprenait progressivement ses esprits.

- Tu n’as pas envie de perdre ton reproducteur préféré, hein ?

Alicia se retourna.
Son regard se porta d’abord sur le pied couleur caramel aux ongles bien manucurés, puis sur la sandale noire qui l’entourait. Ensuite, elle laissa ses yeux courir le long de la jambe, remonter vers la cuisse musclée, pour terminer vers l’entrejambe serré dans un bermuda kaki.

Doris portait une chemise sable assortie, ses cheveux toujours tirés à quatre épingles.
De sa haute stature de brune incendiaire, bras croisés, elle toisait effrontément Alicia.
Les deux femmes se jaugèrent un bref instant.

- Tu t’intéresses aux jeux du stade maintenant ? Lança Alicia.
- Oui ma chère, d’autant plus que les athlètes de ce genre ne courent pas les rues. Mais prends garde à toi de ne pas les épuiser ainsi. Je te surveille, et mes gardiennes également. Alors ne fais pas d’écarts de conduite que tu pourrais regretter plus tard.

Sur ces bons conseils, Doris tourna les talons, et s’en alla, laissant Alicia seule avec Balou.

Un œil, puis deux s’ouvrirent. Bon sang une rousse fée se tenait au-dessus de lui. Elle lui souriait. Ses lèvres roses s’écartèrent doucement pour laisser la place à de belles dents blanches, les yeux bleus étincelaient. De fines rides entouraient les paupières, mais les mignonnes taches de rousseur masquaient les traces du temps.
Une main agréablement fraîche lui caressa la joue. « Que c’est bon de se laisser dorloter par une femme » pensa Balou en souriant.

- Ah ben Monsieur rigole à présent. Ce n’est donc pas si grave que ça alors ?
- Non non Alicia je t’assure j’ai eu un malaise, répondit Balou.

Toujours allongé, il vit la frimousse de sa belle infirmière se rapprocher de lui. Alicia dénoua sa queue de cheval et les doux cheveux roux tombèrent sur le visage de Balou, lui prodiguant de douces caresses qui le faisaient frissonner.
Elle redressa sa nuque. Balou pu admirer son long et fin cou de déesse. Sa tunique blanche moulait admirablement les hanches et les fesses d’Alicia. Il respirait le parfum salé de sa sueur. De petites auréoles sous les aisselles laissaient à penser qu’Alicia avait tout de même souffert un petit peu. Cette vision réconforta Balou.

La puissante érection ne passa pas inaperçue aux yeux d’Alicia. Le boxer hyper moulant de Balou mettait en évidence cette délicieuse partie de son anatomie. Certes, Alicia avait déjà caressé ce membre, embrassé la bouche masculine, mais là ils sortaient du contexte de travail habituel et cela l’excitait considérablement.

Cachée par le dos de Balou, Alicia laissa ses doigts fins caresser la hampe à travers le tissu.

- Tu aimes ? Gémit-elle d’une voix rauque.
- Oh oui Oh oui ma Fée, oui hummm c’est trop bon

Le risque d’être découverts, démasqués par Doris et ses hyènes, accroissaient leur désir mutuel.
Alicia était trempée comme jamais. Son désir ruisselait presque sur ses cuisses. Son orchidée réclamait son dû, BALOU !
Soudain elle sentit un, puis deux doigts caresser son mont de Vénus. Elle déchira sa culotte, se moquant des conséquences et elle s’empala prestement sur la main de Balou.
Elle avait fermé les yeux. Balou la branlait délicieusement devant les gardiennes de Doris. Et ça, c’était déjà une belle victoire. Alicia se laissa aller à la jouissance, agenouillée sur la main de son coéquipier. Elle lâcha un feulement de fauve qui raisonna de long instant dans l’enceinte du stadium.
Balou avait toujours deux doigts en elle. Il se redressa et poussa délicatement Alicia sur le dos. Immédiatement il s’agenouilla entre ses longues cuisses.
Sa bouche, ses lèvres, sa langue, avaient irrésistiblement envie de boire, de lécher, le nectar de ce roux bonheur féminin. La toison presque transparente laissait voir des lèvres affamées, humides de désir.

Doris aperçu au milieu du stadium, une grande jeune femme rousse, cuisses écartées qui recevait les hommages buccaux de son amant. Elle enrageait de se voir ainsi humiliée devant son corps d’élite, mais elle ne pouvait agir dans l’instant. Elle laissa le couple continuer à se donner du plaisir, sachant que l’homme ne devait pas éjaculer.
« Il en aura un beau paquet pour moi ce soir » songeât Doris.

Alicia gémissait, allongée dans l’herbe, offerte à la bouche de Balou. Sa langue chaude s’insinuait bien loin en elle. Ensuite elle virevoltait comme animée d’une vie propre. Son bouton, léché, caressé, pincé, irradiait également son ventre d’un merveilleux bonheur.

- Viens, viens, geignit-elle. Cela fait si longtemps que je n’ai pas eu une belle queue en moi, oh viens vite mon beau.

Balou se redressa.
Maintenant il embrassait le ventre plat et chaud, sa langue titilla le nombril. Elle remonta vers les petits seins en forme de pomme, dont les bouts roses dardaient vers le ciel ;

Cette jeune femme rousse à la peau légèrement ambrée, le rendait fou de désir. Il savait que Doris les observait. Il savait aussi qu’il ne devait éjaculer sous aucun prétexte, du moins pas devant les gardiennes, en public de surcroît.

- Alicia, tu sais bien que je ne peux pas te pénétrer, je risque de ne pas pouvoir me retenir.
- Si tu peux te retenir je le sais. Donne-moi juste quelques jolis coups de reins pour que mon minou jouisse, vite, vite je te veux, cria-t-elle.

Les gardiennes s’étaient rapprochées de « la scène du crime », prêtes à intervenir si la situation dérapait.
Devant les écrans de contrôles, Doris ne perdait pas une miette du spectacle. Elle constata également que certaines femmes se tortillaient debout dans leurs uniformes kaki. D’autres avaient les tétons de leur poitrine qui pointaient à travers la tunique.
Elles virent Balou couvrir gaillardement Alicia. Il la pénétra instantanément et profondément. De forts gémissements montèrent dans la gorge d’Alicia pour se répandre dans les gradins du stade.
Les femmes admiraient les coups de reins d’abords très lents, puis ensuite plus rapides, de ce reproducteur. Leurs yeux étaient rivés sur les rondes fesses de l’homme qui besognait admirablement leur sœur.

Doris n’en croyait pas ses yeux. Son unité, composée de dix femmes expérimentées, agissait comme une bande de voyeuses.

Soudain un cri supérieur à tous les autres raisonna dans l’enceinte sportive.

Alicia chérie jouissait comme jamais.

Elle était prise de spasmes, de convulsions, sous Balou. Celui-ci ne pouvait pas se retirer de son ventre car son amante avait enroulé ses jambes autour de ses hanches. Il était soudé à elle sans pouvoir s’en défaire en ayant l’impression que sa hampe se faisait aspirer par le ventre affamé.
Balou suait abondamment. Il avait réussit par miracle à contenir son éjaculation mais là devant les visages ébahis des gardiennes, il se sentait affreusement seul.

Deux femmes plus téméraires que leurs collègues, s’étaient agenouillées prêt de lui. Elles commencèrent à lui caresser les fesses, et ses cuisses velues.

Balou se pencha vers le visage d’Alicia. Leurs lèvres se donnèrent un baiser passionné, leurs langues se taquinaient délicieusement. Les salives se mélangeaient, les dents s’entrechoquaient, Alicia tentait de conserver Balou en elle. En effet, elle le sentait toujours aussi vigoureux puisqu’il s’était retenu.

Plusieurs ombres passèrent sur le visage d’Alicia. Elle ouvrit les yeux, et découvrit l’attroupement féminin autour d’eux. Quelque peu surprise, voire intriguée, elle questionna :

- Mais que faites-vous ici ?

Des respirations saccadées, des râles, des bruits de frottements, furent les seules réponses. Alicia libéra Balou de son étreinte. Elle s’assit, et découvrit une dizaine de femmes qui les regardait avec envie. Quelques unes s’étaient dénudées, deux autres caressaient le dos de son amant. Plus loin couchée dans l’herbe une gardienne se masturbait devant Balou.

Le délire total. C’est ce à quoi pensèrent Alicia et Balou.

- « Nous voulons que cet homme nous honore, qu’il nous pénètre comme tu l’as été, qu’il nous montre la divine jouissance ». Dirent les femmes d’une seule et même voix.

Comme de concert, la plus proche de Balou s’agenouilla devant lui et elle entreprit de lui administrer une fellation afin de redonner une belle taille à la verge qui pendouillait, ainsi délaissée. La gardienne, entièrement nue, un peu boulotte, ses lourds seins tressautaient, faisait de son mieux. Sa bouche incroyablement profonde, avalait entièrement le membre maintenant fièrement dressé
Elle gloussa de joie à la vue de ce dard de plaisir, et elle s’agenouilla en présentant sa croupe à Balou.

- Prends-la, murmurèrent les femmes.

La sensation d’une irréalité quasi mystique envahissait Balou. Alicia avait été gentiment écartée du groupe. Un cercle féminin entourait à présent Balou et la femme qui s’offrait.

Le murmure s’intensifia, inlassablement les voix répétaient : « prends la, prends, la prends la, prends la, prends la, prends la, prends la prends, la prends, la prends la ». Les gardiennes marmonnèrent ces mots jusqu’à ce que Balou agrippe les fesses de la jeune femme devant lui, puis lorsque enfin il s’enfonça en elle, les femmes tapèrent le rythme dans leurs mains.

Balou se sentait glisser vers un abîme complètement hallucinant. Jamais il n’aurait imaginé se retrouver entouré d’une horde d’amazones prêtes à se faire prendre par lui. Il délirait en donnant d’énormes coups de boutoir dans le ventre anonyme. Une deuxième et une troisième femme se positionnait en levrette, fesses offertes, à proximité du couple qui copulait.

Balou accélérait ses vas et viens de longs instants, ensuite il ralentissait, pour reprendre de plus belle. Les femmes se pâmaient, elles gémissaient, et hurlaient leur joie lorsque la jouissance libératrice les emportait.
Un enthousiasme sans nom, une folle frénésie gagnait les dix amazones. Elles encourageaient maintenant Balou à continuer sur sa cadence jusqu’à la dernière d’entre elles.

Doris accueillit Alicia dans son bureau. Toutes deux fixaient les écrans où une démonstration de plaisir se déroulait.

- Ce n’est pas possible ! Hurla Doris. Cet homme doit être enfermé, il trouble l’ordre public.
- Arrête ton délire. Le stadium est verrouillé de l’intérieur. A par nous et tes nymphomanes, personne ne sait ce qu’il s’y passe en ce moment, rétorqua Alicia.
- C’est toi la fautive, non ? Tu as envoûté ce brave homme malgré mes recommandations.
- Pfffffffffffftttttttttt…. Alicia balaya d’un revers de la main les accusations de la directrice. « Il va rendre dix de tes soldates heureuses comme jamais elles ne l’ont été. De plus, je pense que dans le tas il va en dépuceler quelques unes aussi. Elle est pas belle la vie ? ».

…………………………………………………………………………………………………

Balou avait l’impression de boire des litres d’eau fraîche, tant il avait soif. Ses oreilles bourdonnaient, son sexe le brûlait malgré l’onguent posé amoureusement par Doris, ses genoux saignaient, bref il se sentait aussi mou qu’une carpette.
Il but encore et encore à la fontaine dans le bureau de Doris.
Assise dans le canapé, Alicia s’était refaite une beauté, mais elle conservait encore entre ses cuisses et sur sa peau, l’odeur suave de Balou. Elle observait ce mâle quadra qu’elle aimerait avoir chaque nuit dans son lit. « Je vais essayer de convaincre Doris de me le prêter », se dit-elle en souriant.
Quant à Doris, elle tapotait impatiemment de ses ongles rouges, le sous-main de son bureau.

Les deux jeunes femmes s’étaient alliées pour renverser Zara et sa cours. La politique n’avait jamais été la tasse de thé d’Alicia, cependant elle devait avouer que la « mère » Doris savait haranguer les foules, pour ensuite les convaincre de la marche à suivre.
La milice était toute à la cause de Doris, l’armée encore hésitante se rapprochait de la sportive charismatique qu’était Alicia.
Malgré ce courant d’opinion favorable à l’opposition, la reine Zara disposait toutefois encore de fortes ressources au sein de ses unités d’élite. Mais il fallait admettre que la révolte grondait. Les meetings étaient officiellement interdits, mais des réunions privées se déroulaient chaque semaine avec davantage de sympathisantes chaque jour.

- Alors t’as terminé de boire ?

La voix cinglante de Doris rompit le charme.

Balou s’affala dans un sofa, mis les deux mains derrière la tête; posa ses pieds sur la table basse et dit :
- Oui M’dame, et j’ai faim.

Alicia s’esclaffa de rire.

- Quoi mais comment oses-tu, hurla Doris.
- Arrête, ça va ton cinéma. Tu ne vois pas que tes amazones, tes gardiennes dévouées, en ont marre de tes frasques. Elles sont fatiguées, usées, elles veulent de l’amour tout simplement. A la limite tu vois, elles s’enfoutent de boire du sperme pour éviter de vieillir, elles veulent une sérénité, un cadre familial avec homme et enfants.
- Tu délires mon pauvre homme.
- Non je ne délire pas ma chère « directrice-récolteuse de semence », rétorqua Balou en appuyant bien sur chaque syllabe.
« Il m’a suffit de quelques minutes pour comprendre en discutant avec ces femmes. Certes, elles m’ont remercié tendrement de les avoir honoré, mais elles voulaient surtout parler ».
- Je pense qu’il n’a pas tord Doris. L’armée aussi s’interroge car il n’est pas question de renverser Zara pour reconstruire une dictature identique. De plus, la guérilla masculine gagne du terrain dans l’ouest. Enfin, la majeure partie des amazones aspire à un climat de sérénité et de paix, en cela je confirme les dires de Balou, annonça Alicia.

Tous les trois discutèrent ainsi une bonne partie de la nuit. Balou eut droit à un repas de roi qu’il partagea de bonne grâce avec les deux femmes. Il était ainsi devenu le premier conseiller et allié masculin dans l’armée clandestine de libération du Monde connu.

Plusieurs grandes tempêtes ont passé depuis cette nuit historique. La démocratie s’est installée, femmes et hommes vivent et apprennent à vivre ensemble
La reine Zara a été emprisonnée quelques mois, Doris est devenue le ministre de l’armée et de la police. Quant à Alicia, elle occupe le poste de présidente, élue au suffrage universel. Dès son accession au pouvoir, elle gracia Zara, qui devait vivre en rase campagne à l’heure d’aujourd’hui.

Le sperme conserve néanmoins encore tous ses avantages pour retrouver un bain de jouvence. Les hommes savent que leur espérance de vie est quasiment deux fois inférieure à celle des femmes, ils se rendent compte que le ménage battra de l’aile le jour où la femme ne pourra plus boire le nectar et qu’elle s’en ira vers un homme plus jeune. La vie est ainsi faite, l’essentiel est que femmes et hommes vivent en pleine harmonie.

C’est à tout cela que pense Balou, debout devant la tombe de Maglou. Il approche lui aussi du seuil limite de reproducteur, il est las de toutes les contraintes physiques nécessaires pour damner le pion aux jeunes pousses qui se bousculent à la banque du sperme, établissement nouvellement rebaptisée par le gouvernement et ne collaborant qu’avec des hommes volontaires.
Alicia lui avait proposé un portefeuille ministériel, mais il refusa. « Choisis le chef des rebelles des régions à l’ouest, il saura te conseiller, et politiquement ce sera une décision correcte. », avait répondu Balou.

Maglou et Balou ne s’étaient jamais revu depuis toutes ces années, il aurait préféré la tenir dans ses bras comme au premier jour, au lieu de s’apitoyer sur lui-même devant sa sépulture.
Les genoux ankylosés, Balou s’agenouilla devant la tombe de Maglou. Il pleurait car il n’avait jamais oublié cette femme, elle lui manquait cruellement. Il aurait donné sa vie pour qu’elle voie tout le chemin accomplit depuis ces vingt dernières grandes tempêtes.
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Mardi 8 novembre 2 08 /11 /Nov 00:00
Ah le surf, l’océan et ces vagues, toutes ces vahinés qui se pavanent sur la plage, tout cela ça laisse rêveur hein ? Le surfer est par définition (comment ne pourrait-il l’être) beau gosse, musclé avec une grosse mèche de cheveux venant lui obscurcir le champ de vision tel un terre-neuve, et le style parfait du mec cool, avec un shorty cool, un way of life, désolé mon bilinguisme me rattrape, une attitude toute aussi cool à en faire pâlir le grand Fonzy.

Quel ne fut pas ma surprise pour ma première mise à l’eau d’être entouré de mousse nauséabonde, de bouts de plastiques et de bouteilles de lait (des sensations pures…).C’est donc par hasard que j’ai découvert le surf sur la plage de la Salie à côté d’un grand égout relâchant toute sa daube, après avoir bu des bières et fait un pari stupide. C’est par la suite que j’ai dissocié bière et surf, cette dernière arrivant plutôt comme récompense en fin de session.

Je pratique le surf à mon niveau de débutant avec pour mot d’ordre : le PLAISIR (je suis donc sur le bon blog n’est-il pas ?), ou placer en espagnol pour les bilingues, que je me fasse brasser la gueule, que je n’arrive pas à passer la barre, je prends du plaisir, je dois être un peu SM, mais être dans l’eau c’est déjà génial. Et d’après ce que j’ai pu voir à droite et à gauche, il y en a beaucoup qui ont le slip serrer et se prennent énormément la tête, à la limite de vous la casser pour que vous n’entriez pas à l’eau, d’autres qui passent leur vie sur des forums de surf à expliquer qu’un « secret spot » (oui pour être cool faut parler anglais « sorry mate ! ») ne doit pas être divulgué, alors qu’à mon humble avis l’océan n’appartient à personne, et qu’au contraire l’idée essentielle est justement la rencontre, avec l’océan mais aussi avec les autres surfers et surfeuses pour partager des idées, des sensations et pourquoi pas une petite biérotte aussi ! C’est ainsi que je comprends que l’on puisse vouloir surfer seul, mais pas que l’on veuille empêcher les autres de prendre du plaisir. Un pote à moi habitant proche d’un bon spot n’a pas voulu me dire où il habite pour éviter que je marche 700km la nuit avec mes petits pieds boudinés pour lui pourrir son spot, vive l’amitié !

C’est donc dans ce monde de brutes épaisses-épaisses, que nos ch’tites surfeuses-urfeuses, avec leurs ch’tites planches, leur ch’tite combi de 12, et leur grosse dose d’énergie me motivent dans l’eau en agitant leurs p’tites fesse rondes, ce qui me permet de ramer plus facilement, donc merci à toutes, entretenez vos fesses… Voilà comment je vois les choses, si vous avez des commentaires allez y

Bises
The Fonz

PS : mangez des bulots ! Ça rend aimable

Par The Fonz - Publié dans : plaisir
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Mardi 1 novembre 2 01 /11 /Nov 00:00

Un petit post pour vous dire que je n'oublie pas de vous parler de surf la Vans Triple Crown se déroulera du vendredi 12th novembre au mardi 20 décembre 2005.Elle constituera les dernières épreuves de surf féminine de l'année pour le WCT.

 
Le site:http://www.triplecrownofsurfing.com/index.php

La foto: chelsea georgeson rules !!!

Par Aline - Publié dans : plaisir
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Lundi 31 octobre 1 31 /10 /Oct 00:00
Anaïs vous connaissez ?? Oh, sûrement la je ne suis pas en avance pour vous faire découvrir cette artiste. Comment la décrire, une artiste rock à l'humour décalé qui à une vision très vrai de la vie moderne.

Anais sa vie : Anaïs Croze est née à Grenoble, grandie en Alsace puis étudiante à Aix-en-Provence, avant de monter à Pairs. Elle débute dans la musique dans les chorales et integre Opossum, groupe rock unique et déliceux, dans lequel elle chante, écrit et compose. Le groupe mélange allègrement des compositions  rock, rap, ragga, pop.. avec des textes, en français ou en Anglais directement inspirées par la chanson réaliste et le music-hall.

On la retrouve maintenant sur scène en one woman show.
Décalée jusqu' a porter sur scène lors d'un concert à Paris cette été un Tshirt : Pas Sûr de Gagner, cela ne vous rappelle pas un certain club de foot. Son album auto produit Cheap Show.

Coté son cela donne ca:
Mon coeur mon amour Sympa n'est ce pas??


Plus de citation: « J’aime la musique qui se lâche ! »





Plus de site: http://anaisinyourface.free.fr
Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Lundi 31 octobre 1 31 /10 /Oct 00:00
Un petit article sur cet organe mythique. Ce lieu avec lequel magic mat peu me faire grimper aux rideaux. Ah les weekends prolongées.
 
Première étape le trouver. La méthode : suivre la ligne de la raie des fesses en allant vers le pubis, et, tout au bout, il y a le clitoris ! Il est tout petit, comme un petit pois, et gonfle sous l'effet du désir. Si vous ne pouvez pas identifier le clitoris, demandez lui si  où il se trouve. Ce n'est pas la peine de tout titiller surtout si ce n'est pas le bon endroit. Cet organe étant très sensible, la stimulation doit se faire très délicatement et en ayant pris soin du lubrifier les zones concernées.

La tige peut également être stimulée. Un frottement appuyé à cet endroit produit des sensations très voluptueuses. Les positions où le pubis de l’homme appuie sur le pubis féminin permettent une telle stimulation. Les racines du clitoris aboutissant dans le vagin, sur les bords, des caresses relativement appuyées des deux côtés du vagin, tout près de l’entrée, peuvent aussi procurer de très fortes sensations. Chacune de nous à ses propres envies sur la meilleure caresse. Alors messieurs n'appliquer pas de recette toute faite. N'hésitez pas à lui montrer, vous pouvez tentez la masturbation devant votre partenaire, cela fait craquer tout les hommes.

Evidement, les caresses qui durent longtemps sont les meilleures !! Un peu de patience messieurs, le plaisir se partage. Lorsque ce que l'orgasme arrive ne vous arrêtez pas, le meilleur est à venir,  continuer donc à le caresser, sinon, cela peut être très frustrant pour elle.

Photo H&M

Le clito et la science: En 1875, le clitoris est déclaré “organe inutile”. Ah bravo !!  Le sexe à cette époque c'est seulement par les voies vaginales. Ainsi donc le clitoris est diabolisé ainsi que d'autre pratiques….
Selon une récente étude australienne le clitoris dix fois plus gros que la plupart d’entre nous ne l’imagine. Selon l’urologue Helen O’Connell, il mesure de 8 à 10 centimètres de long et de 3 à 6 centimètres de large. Et il ne ressemble ni à un petit pois ni à un bouton, mais plutôt à une poire. Le clitoris présente une structure identique au pénis : corps caverneux, corps spongieux, prépuce et gland. Pour plus d'information voir l'illustration.


Par Aline - Publié dans : plaisir
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 00:00
Balou fait un rêve étrange, il vit sur une planète ressemblant à la terre, peuplée en majorité de femmes. Les hommes eux ne servent qu’à la reproduction et à retarder le vieillissement des femmes. Leur semence bue par les amazones leur permet également de rajeunir.

Le cri des mouettes le réveilla, il entendit le bruit du ressac des vagues sur la plage. L’air était déjà chaud en ce début de matinée, le soleil illuminait sa cellule monacale.
Balou tâta son bas ventre, il lâcha un gémissement. Ses bourses le faisaient encore souffrir. Son sexe irrité brûlait. Cette douleur le réveilla complètement. L’anesthésie perdait ses effets au bout d’un certain temps, comme à chaque fois qu’il se faisait traire.

Il avait lu dans une très vieille encyclopédie que sur une lointaine planète appelée « Terre », certains terriens élevaient des animaux « vaches » pour leur aspirer une substance nommée « lait ». Ce liquide était inclus dans leur alimentation. Balou n’avait pas tout compris, mais en tout cas il ne ressemblait pas à ces bêtes à cornes.

Les femmes dirigeaient le Monde « connu ». Le pays était une île verdoyante, faite de pâturages où les brebis gambadaient, de forêts denses peuplées d’animaux qu’il ne connaissait pas. L’énergie solaire permettait de faire fonctionner divers engins robots et machines, que les femmes utilisaient dans leur quotidien. Les hommes eux, ne servaient qu’à la reproduction de l’espèce. Si un bébé mâle naissait, il était immédiatement placé dans le « centre résidentiel » rempli d’hommes-nounou. Il passait son enfance dans un cocon douillet, axé principalement sur le sport, l’apprentissage de la Loi et le respect des femmes.

Balou ne connaissait pas sa mère; ni son père, encore moins l’histoire de son peuple. Les lointains souvenirs de son enfance le replongeaient dans un univers typiquement masculin.
Les anciens, n’étant plus capables de fournir la sainte semence, étaient cantonnés dans des rôles de serviteurs, de cuisiniers et d’ouvriers.
Lui-même était encore jeune, malgré les quarante grandes tempêtes qu’il avait vécues. Chaque déchaînement de l’océan marquait pour lui une étape supplémentaire dans sa vie.
Il espérait pouvoir encore longtemps convenir aux gouvernantes grâce à la pratique assidue des disciplines sportives, et de ses talents d’amant. Il brûlait d’un amour immodéré pour les femmes, il les respectait plus que de coutume. Certains hommes le considéraient comme un traître, dans la mesure où ils souhaitaient que les femmes redeviennent des servantes et des génitrices au service des hommes comme aux temps anciens avant l’apocalypse.
Balou n‘en avait cure. La Reine Zara était certes un peu tyrannique, mais elle aimait son peuple. Les hommes n’étaient nullement cloîtrés dans des ghettos, ils se devaient simplement de respecter la loi, comme Elle te respectait. Ensuite, les « récolteuses » apportaient plaisirs et jouissances à ceux qui se donnaient la peine de les apprécier.

Cette civilisation n’était pas idyllique pour tout le monde, mais rien n’est parfait. Ceux qui en pâtissaient étaient ceux-la même qui prônaient l’avilissement des femmes.

Allongé sur sa couche, Balou réfléchissait à tout cela. Il savait par quelques vieillards que le Monde n’avait pas toujours été ainsi. A une époque Femmes et Hommes vivaient en complète harmonie. Quel cataclysme avait provoqué ce changement ? La réponse le fuyait toujours.

Son statut de reproducteur lui imposait d’être en condition physique optimale. La journée qui s’annonçait serait remplie d’exercices physiques et de courses à pieds dans le stadium.

Hier soir la Reine Zara l’avait utilisé à nouveau. Les éjaculations répétées le fatiguaient de plus en plus souvent, mais il comprenait que son relatif confort de vie dépendait de ses performances.

Zara était une femme imposante. Blonde, à la peau halée par le soleil. Ses cheveux dorés tombaient en cascade sur ses larges épaules. Sa poitrine relativement petite en comparaison de sa stature, dominait un ventre plat et musclé. D’interminables cuisses puissantes terminaient le tableau.
Balou craignait le regard d’un vert intense de la Reine, cela signifiait si elle sondait ainsi un homme, que pour la nuit il devrait l’honorer, ou baisser dans l’échelle sociale, s’il ne réussissait pas cette épreuve. De plus, sa grande bouche pulpeuse, pouvait aimer et caresser mais aussi mordre.
Dans sa vie, Balou avait déjà dû subir à plusieurs reprises les assauts répétés de cette femme. A chaque fois, il en ressortait épuisé, vidé, anéanti. Généralement, Zara passait la nuit avec plusieurs hommes vigoureux qui lui donnaient du plaisir, mais qu’elle aussi faisait hurler par ses talents d’amoureuse. Des torrents de sève si précieuse coulaient sur sa peau. Elle en avalait la majorité pour que son organisme se régénère. Cette substance ralentissait le vieillissement des femmes.
Le laboratoire national essayait vainement de fabriquer une semence de synthèse, mais les résultats n’étaient pas probants du tout.

Cependant, le Sénat, bannissait le gaspillage de sève. De ce fait Zara recevait ses amants en toute discrétion.

La récolte de laitance quotidienne se déroulait dans un bâtiment à l’écart de la population. Une grande salle souterraine accueillait les hommes élus.
Des cris, des gémissements, des râles, des pleurs, emplissaient alors cet espace. Les employées officiant dans ce cercle restreint étaient triées sur le volet. Des gardiennes armées veillaient à ce qu’aucune femme ne dérobe l’inestimable liquide.

Balou se rappelait la première exploitation de son corps. Il avait 18 tempêtes à son actif, âge minimum pour effectuer le « don de soi » pour la pérennité nationale. Plus jeune, il était libre de sa vie sexuelle. Mais certaines amazones du Sénat désiraient voter une loi abaissant l’âge minimum requis pour la traite des mâles.

Le dépucelage de Balou avait eu lieu dans un laboratoire aseptisé. Avant d’accéder au saint des saints, chaque homme devait passer sous une douche purificatrice. Ensuite les gardiennes les guidaient vers les box adéquats, où elles les sanglaient.
L’homme était debout, nu, attaché et adossé à une paroi douce qui épousait parfaitement son dos.
Ainsi maintenu confortablement, les employées inoculaient avec une fine seringue un sérum à l’homme ce qui augmentait les capacités sexuelles, mais démultipliait également la taille du sexe et des bourses. Le corps mâle générait ainsi une quantité de semence largement supérieure à la moyenne.

Balou se remémorait cela. Il ne pouvait plus bouger, attaché à la paroi du box, il vit son employée vêtue d’une blouse d’infirmière, déposer un support devant son bas ventre. Cet engin ressemblait à un tube d’une cinquantaine de centimètre fait d’une matière ressemblant à du latex.
La jeune femme sourit à son étalon en prenant entre les doigts le sexe encore flasque de Balou. Elle venait de le « piquer ». Lui il était angoissé, ne sachant pas à quoi s’attendre vraiment. Ses aînés l’avaient pourtant prévenu. Au début, l’excitation est si forte qu’on se laisse griser par les orgasmes. Mais ensuite le plaisir peut se transformer en supplice si le mâle n’est pas en parfaite condition physique. Crampes, spasmes, peuvent devenir insupportables dans ces conditions.

L’employée était jeune, mais cela avait-il un sens ? Elle devait certainement boire la semence elle aussi.
Balou la détailla. Petite, brune, cheveux coiffés en nattes, une blouse trop grande pour elle. Elle paraissait nue en dessous. Les doigts fins le masturbaient doucement. « Que c’est bon se dit-il » en gémissant. Sa verge grossissait maintenant à vue d’œil, il sentait une intense chaleur irradier ses testicules.
L’employée ôta sa blouse et se retrouva nue devant Balou. Celui-ci avait les yeux écarquillés par la beauté féminine puisque c’était la première fois qu’il voyait un corps nu de femme. Ensuite, l’effroi le saisit aussi lorsqu’il vit sa monstrueuse érection surmontant des bourses volumineuses.

- Rassure toi, tout ira bien, dit la petite brune.

Elle avait maintenant stoppé sa caresse. Elle s’agenouilla devant lui, ses petites mains soupesèrent les testicules ovoïdes et admirablement formés, aussi gros qu’une belle tomate, gorgés de ce breuvage si important pour ses sœurs. La hampe également était devenue un vrai gourdin long, au diamètre extraordinaire, ressemblant à celui d’un étalon. Elle admirait son œuvre, de grosses veines bleues courraient sous la fine peau du tronc démesurément allongé.
A la vue du gland violacé qui la narguait, elle senti au creux de son ventre la moiteur du désir l’enflammer toute entière. Elle se passa la langue sur ses lèvres. Hélas il lui était interdit de sucer ce magnifique menhir, sous peine de retenue sur salaire.

Contrairement à ce que pensait Balou, elle était pucelle, jamais elle n’avait pu goûter à un sexe d’homme. Pourtant elle en voyait des centaines, mais c’était le prix à payer pour officier dans ce laboratoire.

Balou vit son accompagnatrice rapprocher le tube de latex devant le gland. Cet engin était relié par un tuyau à un appareil s’apparentant à un alambic, fait d’un enchevêtrement de durites en tout genre.
La jeune femme logea sa verge dans ce fourreau jusqu’à la garde. Immédiatement Balou ressenti une agréable douceur envelopper son sexe devenu monstrueux, comme celui d’un incube.
Il transpirait, ses bourses semblaient animées d’une vie propre, il sentait la semence vibrer. Le tube de latex s’anima aussi. Il bougeait, le serrait, le caressait. Il ferma les yeux, c’était sublime.

La petite brune se colla nue à ses côtés, elle lui massait le torse, elle embrassait sa poitrine velue, puis elle enfourna sa langue dans sa bouche, le violant buccalemant. Balou était aux anges.

- Tout doux, jeune homme. Je suis avec toi pour t’aider, susurra l’employée.

Balou perdait pied, il entendait des cris, des gémissements, mêlés de hurlements dans les box alentour. Où était-il ?

Le tube de latex continuait à le pomper, à le masser. C’était merveilleux. Il avait oublié son sexe hors norme. Une gigantesque vague de bonheur allait déferler bientôt en lui, il ressentait le plaisir croître dans le creux de ses reins.
La jeune femme brune quitta sa bouche. Elle s’agenouilla à nouveau devant lui, et elle prit entre ses petites mains, les bourses pleines de balou, qu’elle léchait doucement.

Balou haletait, il vit le tube de latex augmenter sa cadence de succion, le plaisir montait irrémédiablement dans son membre, la sève serait éjectée dans quelques secondes. Son regard croisa celui de son infirmière, agenouillée à ses pieds……

La jouissance suprême. Le jeune mâle se tordit, il explosa en hurlant comme le damné qu’il était. Encore et encore, il éjaculait dans cette bouche artificielle qui n’arrêtait pas de pomper son essence. Ses testicules se vidèrent longuement, son sexe éjaculait interminablement la récolte des femmes.
Balou eu l’impression qu’il allait être aspiré par cet infernal cylindre de plaisir. Jamais il n’avait connu une telle extase. Un bonheur inégalé le faisait vibrer, il frétillait, les tétons de sa poitrine étaient durcis et allongés comme jamais, ses jambes tremblaient, la sueur ruisselait sur son visage.

………………………..

- La moisson a été particulièrement bonne, tu es très prometteur jeune étalon, dit la femme en lui déposant un doux baiser sur le front.
- je n‘en peux plus, gémit Balou. Il était à bout de souffle, comme s’il avait couru un marathon.
- Ne t’inquiète pas, nous recommencerons dans quelques instants mon beau.

Balou la regarda ahurit, comment pouvait-il continuer ? Il comprenait, là en cet instant, les conseils et les craintes de ses aînés.

- Mais c’est impossible Madame cria-t-il.
- Je suis avec toi pour t’aider, rappelle-toi. Je veillerai personnellement à ce que tu remplisses ton quota, même si pour ce premier « jet » tu as été au-delà de mes espérances. Nous formons une équipe, nous réussirons ensemble.

Sur ces bonnes paroles, elle se pelotonna contre lui et dessouda le tube de sa verge. Celle-ci avait retrouvé sa taille normale, comme les bourses d’ailleurs. Puis elle actionna une manette.
Balou se retrouva à l’horizontal, couché sur la texture douce.

- Je m’appelle Maglou, dit l’infirmière

Elle se coucha près de lui, et l’embrassa passionnément. Leurs langues se chamaillèrent, leurs lèvres se soudèrent, tous deux haletaient.
Balou aurait aimé caresser cette femelle qui le rendait fou. Comme si elle avait lu dans ses pensées, Maglou répondit :

- Je ne peux pas te détacher, mais je vais permettre à ta bouche de sucer mon orchidée luisante de désir pour toi.

Elle s’agenouilla au-dessus du visage de Balou. Lentement elle approcha sa brune toison des lèvres de son protégé. Tête-bêche, ils se retrouvèrent. Maglou avait devant ses yeux le sexe à nouveau dressé, mais elle ne pouvait pas le prendre en bouche sous peine de contamination. « Ah ces satanées procédures Qualité », se dit-elle.
Ses doigts masturbaient doucement la verge de Balou, qui lui avait inséré en elle sa langue chaude. Maglou gémissait sous la caresse buccale de cet homme. Il était puceau certes, mais il semblait avoir été bien formé par ses maîtres. Il lui titilla à merveille son bouton avec sa bouche vorace, il savait y faire celui-la.
Le plaisir n’allait pas tarder. Elle repensait à ce menhir qu’elle avait vu, à la taille impressionnante des testicules, aux crispations du visage de l’homme pendant les orgasmes répétitifs. Ces visions la firent jouir violemment au-dessus de Balou. Elle lâcha à son tour un feulement qui se mêlait à ceux des autres box. Ses collègues féminines devaient être dans la même position qu’elle................. En principe. Pensa-t-elle en souriant.

Balou bu à pleine bouche le jus d’amour de sa récolteuse. Ses cris de bonheur chantaient à ses oreilles, quelle joie d’écouter une femme jouir. Décidément cette journée était grandiose.
Maglou stoppa sa branlette de crainte d’une éjaculation non programmée. Elle savait que certains hommes se masturbaient en cachette ou copulaient ensemble dans la joie de Sodome, mais ce n’était pas leur intérêt car ils devaient conserver leur essence vitale, s’ils souhaitaient rester dans la caste des reproducteurs.

La directrice du Centre vint assister à la seconde séance de don pour Balou.

- Bonjour jeune homme, je suis Doris, la responsable de ce lieu de plaisir. J’espère que vous appréciez nos installations et nos hôtesses.
- Oui Madame, Maglou prend très bien soin de moi, elle est adorable.
- Je n’en doute pas. Elle m’a prévenu que votre premier jet vous permet à tous les deux d’approcher le quota de la récolte. C’est assez rare et je tenais à vous féliciter pour cette belle performance, surtout pour un puceau. Logiquement il faut 3 ou quatre traites pour approcher seulement les 100%. Vous allez au-delà c’est bien, le Sénat saura vous remercier.

Balou, nu, debout devant Doris, se mit à s’interroger sur les paroles qu’elle venait de prononcer. Il laissa son regard courir sur cette femme-manager. Sa peau brune luisait. Ses cheveux noirs tirés en arrière en chignon, dévoilaient un visage bien dessiné, des lèvres rouge sang rehaussaient l’ensemble. Elle devait avoir environ 30 cycles de plus que lui, songea-t-il.

Maglou se tenait en retrait. Elle vit sa patronne tendre la main vers la hampe déjà dressée. Les doigts aux ongles rouges s’enroulèrent autour du tronc, elle masturbait délicatement Balou qui avait fermé les yeux de bonheur.

- J’ai presque 200 grandes tempêtes à mon actif, jeune Balou. Vous voyez le bien que nous fait votre nectar. ?

Immédiatement il rouvrit ses yeux, il battait des paupières. « Incroyable » se dit-il.

- Laissons la place à Maglou, voulez-vous ?

Elle le piqua à nouveau.

La seconde récolte se déroula à merveille. Maglou aida presque amoureusement son équipier à accéder à la jouissance sans se dépenser trop rapidement. Les attentions qu’elle lui portait évitaient également des douleurs dues à un excès de succion de la pompe. Il fallait que les deux partenaires soient en parfaite harmonie, ils devaient communiquer et ne pas se laisser griser.

Maglou s’était caressée devant Balou, elle lui prouvait ainsi sa confiance. L’orgasme les avait emporté tous les deux. Le tube de latex était devenu le sexe de Maglou.

Doris avait assisté en connaisseuse à ce deuxième épisode. Elle les avait félicité pour leur harmonie sexuelle, de plus, cette moisson dépassait largement l’objectif du jour.
- Bravo mes chéris, vous formez un excellent tandem. En fait c’est une parfaite idée d’associer une pucelle et un puceau pour cet exercice Ô combien millimétré.

Maglou et Balou se dévisagèrent, comme deux chenapans pris en faute. Ils souriaient, heureux d’être ensemble.

Doris actionna la manette. Balou se retrouva allongé.

- Ma fille, dit-elle à Maglou, je t’autorise à faire l’amour avec ce garçon.

Elle délia les sangles de Balou rapidement.

- Je vous laisse jusqu’à ce que ce sablier se soit écoulé. Je me tiendrai à l’extérieur, bon amusement mes tourtereaux.

Maglou se jeta immédiatement sur Balou, elle roula sur lui.

- Prends moi vite mon chéri, vite je te veux en moi, gémit la jeune femme.
- Je suis vidé ma belle, je n’arrive plus à bander, dit Balou dépité.

Maglou voyait avec angoisse le sable s’égrainer dans la partie inférieure du sablier.

- Laisse moi faire dit-elle

Elle plongea entre les cuisses du garçon et se mit en devoir d’exécuter une fellation comme le lui avait apprit ses professeurs.

A suivre
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 00:00
Pour toutes les personnes de sortie sur Paris ce weekend et qui ont envie d'en apprendre plus sur la vie politique mais aussi sur notre société.

L'élection présidentielle est-elle un concours de beauté ?


Seuls les hommes beaux ont-ils le droit d¹être élus ? Ont-ils des coiffeurs de garde ? Les moches ont-ils une chance ? Pourquoi certains n'ont pas le physique de l'emploi ? Est-ce vraiment une injustice ? Est-il plus respectable de rentrer dans un sex-shop ou dans un institut de beauté ? N'ont-ils pas raison de recourir à la chirurgie esthétique ? La beauté est-elle contagieuse? Est-ce une nouveauté ? Louis XIV, Che Guevara, Kennedy sont-ils des icônes ?

Nous poserons toutes ces questions à des témoins privilégiés, des observateurs patentés, des arbitres du bon goût qui accepteront de se pencher sous ces questions pour les regarder par en dessous.

Dimanche 30 octobre de 18h à 20h
En direct et en public au Théâtre du Rond Point



Par Juju - Publié dans : Sortir
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Mercredi 26 octobre 3 26 /10 /Oct 00:00
Un petit article dans le Figaro Madame, mag rarement cité sur ce blog. Sexualité : les nouveaux rapports du couple, Viviane Chocas.

L'extrait :
Avez-vous consulté un sexologue cette année ? Si la question vous semble abrupte, elle concerne pourtant cinq cent mille Français ! L’objet du désir : l’épanouissement sexuel, revendiqué haut et fort par les hommes et les femmes. Enquête sur les vicissitudes du plaisir.

À neuf heures du matin, c’est une jeune femme de vingt-neuf ans qui a pris rendez-vous : elle a beau être très amoureuse, après quelques mois d’une passion sans nuages, elle a de moins en moins envie de faire l’amour. “ Mon désir n’est pas ce qu’il devrait être ! ” tempête-t-elle. Lui succède à 9 h 45 un homme de cinquante-cinq ans, dirigeant happé par le travail, le stress et les repas d’affaires, que sa femme a conduit ici pour un manque de vigueur sexuelle.

L'adresse pour retrouver la suite: http://www.madamefigaro.fr/psycho/20051025.MAD0007.html

Petite news ciné la sortie de Batalla en el cielo" déjà cité dans ce blog, et de Match point. La rien a dire la presse a déjà tout dit.
Par Pierre - Publié dans : La revue de presse
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Lundi 24 octobre 1 24 /10 /Oct 00:00
L’automne arrivait, je sentais le froid frôler ma peau et des frissons la parcourir. J’étais dans le métro et repensait à cette journée au bureau où les choses ont pris une tournure bien particulière.  Je travaille dans une société de finance depuis environ 3 mois, je fais partie des petites nouvelles embauchées, je dois d’ailleurs du haut de mes 26 ans remonter la moyenne d’âge.
J’ai intégré le département contrôle de gestion et mon chef  Marc est vraiment … très intéressant. Dès le départ, entre nous il y a eu quelques choses … des regards coquins, des gestes lorsque je lui donnais un dossier par exemple il me caressait la main. Si j’avais besoin d’un dossier aux archives il m’accompagnait et aimait (moi aussi d’ailleurs) se coller à moi sous prétexte évidement de prendre un dossier. Je sentais son sexe dur frôler mes fesses et ce n’était pas pour me déplaire.

Aujourd’hui, c’est le passage à l’acte … un geste de trop et notre désir c’est enflammer ! Ce matin j’avais opté pour une jupe noire, des chaussures à talons, un chemisier rose, et des dessous noirs en dentelle.

Rien n’était prévu pourtant mais heureusement je suis toujours très prévoyante. Tout d’abord, ce matin quand je suis arrivée il m’a serré la main de manière différente comme s’il tenait à me dire c’est aujourd’hui nous deux, je me suis tout de suite sentie toute drôle.
Puis il m’a convoqué dans son bureau (juste une fenêtre donnant sur l’extérieur), et là il m’a dit qu’il voulait me parler d’un tableau, des chiffres et il s’est assis près de moi autour de la table de travail, il avait posé sa main sur ma cuisse et la caressait (tout en m’expliquant je ne sais plus trop quoi). Je sentais mes joues devenir rouge, il le remarqua et s’avanca pour un baiser langoureux, sa main caressant toujours ma cuisse ….
Je le stoppais, j’avais encore envie de jouer alors je pris le dossier et me retira dans mon bureau, un désir en bas du ventre bien présent…
Le reste de la journée passa …
Il était 19h00 et tout le monde était partis, il devait rester à l’étage Marc, la femme de ménage … et moi. Je me rendis dans la salle des photocopieurs, quand la lumière s’éteignit tout à coup, la porte se ferma seule la lumière verte éclairait la pièce. Je sentis le souffle de Marc sur mon coup, ses mains plaquées sur ma poitrine et son sexe déjà dur contre mes fesses.
Là j’avais vraiment envie, je me retourna et l’embrassa fougueusement. Il déboutonna mon chemisier et caressa ma poitrine de sa langue. Sa main glissa le long de ma cuisse et frotta doucement mon sexe puis plus rapidement ce qui m’exista énormément. Je commençais à déboutonner sa chemise et lui léchait l’oreille le cou…

Je pris les devants en lui retirant son pantalon, et son boxer j’avais envie de le caresser, de sentir son sexe gonflé entre mes mains. Je l’ai plaqué contre le photocopieur et commença à descendre ma bouche, ma langue vers son sexe. D’abord, je lui léchais le sexe dans toute la longueur, puis titillait son gland du bout de ma langue afin de le goûter … il n’en pouvait plus d’autant que je le masturbait en même temps. Il n’en pouvait plus, il voulait plus alors il me plaqua son sexe dans ma bouche et commença un va et vient. A présent je le suçais et j’adorais ça !!! hummm quel régal ! Je le regardais et j’aimais voir son visage sous les effets de ma bouche, de ma langue…
Puis il s’arrêta me souleva et me posa sur le photocopieur et là il mit sa langue sur mon sexe et commença à le caressa de manière très vive j’étais à lui !!! Je m’offrais complètement à sa bouche sa langue qu’il faisait rentrer dans mon sexe…. Je me suis mise à jouir et à  plaquer vivement son visage sur mon sexe. Il se releva et me caressa avec son gland, le faisant sortir puis rentrer … j’étais complètement folle et excitée !!
Puis doucement il rentra et effectua un va et vient de plus en plus rapide ! Il ne manquait pas de m’embrasser, limite de violer ma bouche avec sa langue tant le désir qu’il l’animait était puissant. Le va et vient était de plus en plus fort, passionner féroce !!! Il décida de s’arrêter, il voulait juste retarder et goûter une autre pose …
Il me caressa de ses doigts et me retourna en me demandant de bien me cambrer et là il me prit en levrette … ses mains caler sur mes hanches il me fourra de plus belle et de plus en plus excitée !
J’ai jouis !! et lui il aspergea mes fesses de son sperme …. Je pense qu’on aura d’autres occasions pour recommencer cette « réunion de travail » !

Je me souviendrais de cette journée de travail comme d’une belle journée payer à baiser !
Par Nat - Publié dans : Eros - essais érotiques
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