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Aline

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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 00:00

Une critique litéraire  pertinente sur un sujet qui trote dans la tete de pas mal de monde. Bientôt les vacances et ses fredaines. Les trois S n'ont, semble-t-il, pas pris une ride: Sea, Sex and Sun (mer, sexe et soleil). Chacun a le droit au strict respect de sa vie privée, mais il faut savoir où l'on met les pieds. La sexualité marginale existe. Le sociologue Daniel Welzer-Lang et son équipe de l'université de Toulouse en dressent un tableau exhaustif, avec une méticulosité qui frôle parfois la complaisance. Ils ont enquêté sur les acteurs de l'échangisme, du mélangisme et autres sexualités collectives; des couples aisés, sans histoire, plutôt la quarantaine - mais les jeunes montent en puissance. L'échangisme a ses réseaux: clubs privés, back-rooms, sex-shops, parties privées et fines pour notables discrets. Le Cap-d'Agde, on le sait, est devenu cette Mecque naturiste du tourisme sexuel européen, celui de la «baise sauvage».

Les mordus parlent volontiers d'amours libertines ou coquines, voire d' «ouverture à l'autre». Synonyme de libre et morne circulation de la marchandise, le terme «échangisme» a moins leur faveur. Les accros ou les débutants recrutent par les petites annonces de revues «hot» ou par Internet. Ils font état de leurs mensurations, surtout les femmes, cheptel très convoité. Les hommes seuls ou peu avantagés s'introduisent dans les clubs pour participer au festin, à la recherche de «salopes», comme le rapportent, avec insistance, les interlocuteurs de Daniel Welzer-Lang. A la marge, campent les tenants de pratiques très particulières: scatologie, urologie et l'épouvantable gang-bang - une femme pénétrée à la chaîne par des dizaines d'hommes en file indienne, type de viol «volontaire» qui tient plus du sacrifice humain que de l'érotisme.

Sur la plage, une femme distribue ses faveurs. Les mateurs viennent se rincer l'œil. Où se situe la limite? A la torture, au meurtre rituel, au snuff movie?

Le psychiatre Alberto Eiguer, lui, aide à se repérer dans l'univers pervers. Car la volonté d'emprise, d'avilissement et d'humiliation fait, souvent, le lit de ces pratiques. Dans les jeux sadomasos, il n'est pas rare que le sang coule. Peut-on parler de «jeu» quand une femme est niée dans son altérité élémentaire et dans son humanité?

Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 27 août 6 27 /08 /Août 00:00
Je m'appelle Sophie, j'avais tout juste 19 ans à l'époque. Mon copain s'appelle Julien et nous sommes ensemble depuis 3 mois environ. Je suis très timide et n'ai pas une grande expérience des garçons. Ma relation avec Julien se passe bien, mais je sais qu'il m'aimerait un peu plus chaude sexuellement.

Il faut dire que mon dépucelage date d'un peu plus d'un an et Julien n'est que le deuxième garçon avec qui je couche. Je l'aime, il est doux, compréhensif et toujours très attentionné.

Il ne me serait jamais venu à l'idée de le tromper, mais un jour la tentation fut si forte que je cédai aux avances d'un certain André. Je n'ai pas été jusqu'à coucher avec lui, heureusement, mais lors d'une soirée un peu arrosée, je l'ai laissé m'embrasser et caresser mes seins. Je l'ai repoussé au dernier moment, alors qu'il essayait de glisser sa main dans ma culotte. J'étais très excitée et il me plaisait beaucoup, mais j'aime trop Julien pour lui faire ça. Ça aurait pu s'arrêter là si je n'avais pas fait « LA » boulette.

On est samedi et comme très souvent à cette heure là je suis avec Julien dans sa chambre à alterner entre câlins et travail (nous sommes à la fac tous les deux et je suis assez sérieuse de ce côté-là). Pour une fois ses parents ne sont pas là et je reste chez Julien jusqu'à leur retour demain soir.

C'est l'heure de la pause câline, je suis allongée sur le lit et Julien a déjà enlevé mon pull et m'embrasse le ventre, j'adore quand il fait ça. Ses bisous me donnent de petits frissons, il remonte tout mon ventre en l'embrassant, il me débarrasse de mon soutif et peut enfin s'adonner à son plus grand plaisir, jouer avec mes seins. Julien adore mes seins, il les embrasse, les malaxe, les lèche ... ils ont déjà gonflé et je sens l'excitation monter en moi.

- Humm, j'adore que tu lèches mes seins, mon bébé !
- Tu es belle ma puce, tu sens si bon et ta peau est si douce ... je t'aime.
- Humm, André ...

Julien s'arrête brusquement et se redresse

- Comment tu m'as appelé ?
- Heu ... désolé ... je ... heu, excuse-moi, c'est à cause d'un film que j'ai vu ...

Julien ne croit pas un mot des mes explications foireuses et je finis pas lui dire la vérité moins quelques détails inutiles. Il ne prend pas mal le fait que j'ai été attirée par un autre garçon mais il change un peu d'attitude et son regard devient un peu plus dur.

- Alors comme ça tu as des envies d'autres mecs ...
- Non, c'était un accident et je n'ai rien fait, je t'aime.
- D'accord, je veux bien te croire, mais si tu m'aimes comme tu le dis, il va falloir te faire pardonner parce que j'ai eu de la peine à cause de toi.
- Je suis désolée mon chéri, je ne vois pas ce que je pourrais faire c'est trop tard.
- Oh, mais j'ai déjà une idée ma puce, puisque que tu joues les petites filles sages et qu'en fait tu n'es qu'une petite coquine, tu ne vas plus faire ta fausse timide avec moi et me laisser te baiser comme tu le mérites.

Julien a sauté sur l'occasion d'assouvir ses fantasmes plutôt que de se mettre en colère, je le reconnais bien là. Bon, je suis prise au piège et très excitée, Julien mérite bien ça après tout et je sais qu'il ne me forcerait jamais vraiment alors ... je décide d'accepter sa proposition et je vais me lâcher vraiment cette fois. Sur les « ordres » de Julien je me suis changée : grandes chaussettes, jupette plissée, chemisier blanc et des couettes, la parfaite écolière coquine. Je joue son jeu jusqu'au bout.

- Alors fillette, il paraît qu'on s'intéresse aux garçons ?
- Non monsieur, ce sont des mensonges
- Moi je crois pourtant que c'est vrai et tu es un peu jeune pour être aussi coquine je trouve, il va falloir que je te corrige tu sais ...
- Non monsieur, je serai sage c'est promis !
- C'est trop tard ma puce, viens ici approche-toi !

Julien est assis sur sa chaise de bureau, je me mets face à lui. Il soulève ma jupe, passe sa main entre mes cuisses et remonte jusqu'à mon sexe. Il le frotte vivement à travers ma culotte en coton.

- Mais c'est déjà tout humide ici, tu es une petite perverse en fait, tu mérites une fessée.

Il me place sur sa gauche, baisse ma culotte sur mes chevilles et me couche sur ses genoux. Me tenant fermement dans cette position il claque mes fesses de plus en plus fort.

- Une fessée pour une méchante petite fille, c'est tout ce qu'elle mérite !
- Non je suis une gentille fille, je ne mérite pas de fessée. (Cette situation m'excite terriblement)

Julien me fesse de plus belle ...

- Il ne faudrait pas que tu deviennes une petite salope, mais je vais t'en faire passer l'envie, je te le promets.

Il arrête de gifler mes fesses qui commençaient à chauffer, je sens son doigt passer sur ma raie, il crache sur mon anus et étale sa salive avec son doigt. Je me débats légèrement ...

- Arrête de bouger, c'est inutile, je sais ce qu'il leur faut aux petites salopes de ton espèce.

Sa grossièreté me surprend mais ça a un coté excitant, je ne dis plus rien et me laisse faire.

Julien se fait plus insistant, son pouce force sur mon anus et entre. Il fait quelques va-et-vient, puis ressort. C'est plutôt agréable comme sensation, en fait.

- Tiens, tu ne te plains plus ? Je savais que tu aimais ça ! Maintenant tu vas me sucer, sale gosse.

Je ne l'ai encore jamais fait, c'est l'occasion ou jamais de combattre mon appréhension. Julien me place entre ses jambes et me met son sexe en érection sous le nez.

- Allez, sale gosse, ouvre la bouche, c'est l'heure de la pipe !

Je place les lèvres autour du gland et commence à le lécher, le goût est un peu bizarre mais le gland est très doux et les réactions de Julien à chaque coup de langue m'encouragent. Il attrape mes couettes et me tire vers lui, sa verge est au fond de ma gorge, il fait le va-et-vient avec ma tête de plus en plus vite, puis retire sa queue de ma bouche d'un coup et éjacule violemment sur mon visage. Surprise, je marque un temps d'arrêt, je suis poisseuse de sperme, j'en ai dans l'œil, dans le nez, dans les cheveux. Julien me tend une serviette.

- Tiens cochonne, débarbouille toi, t'en as partout, c'est du propre !

Pendant que je m'essuie la figure, Julien se lève et je le vois prendre une bougie dans un tiroir.

- C'est pourquoi faire cette bougie ?

- Il paraît qu'avec des bougies, c'est plus romantique, on va voir ce qu'en pense ton cul.

- Quoi ? Ah non, tu ne mets pas ça dans mon derrière, je vais avoir mal.

La voie de Julien se fit plus douce quelques instants.

- Ne t'inquiète pas, mon cœur, tu sais bien que je ne te ferai jamais de mal ... mais j'ai décidé de te faire jouir comme une chienne alors ... (D'un ton redevenu ferme) Allez tu t'es suffisamment nettoyée, remets-toi sur mes genoux pour recevoir ta punition.

- Oui, monsieur !

Je m'allonge à nouveau sur les genoux de Julien. Il caresse mon anus, crache dessus et sort de sous son lit un petit tube. Il l'ouvre et passe une couche abondante de gel sur ma raie. Son index explore déjà mon petit trou, il entre, ressort tourne à l'intérieur pour l'élargir. Julien se saisit de la bougie ... Je la sens se poser sur ma rondelle. Elle doit faire deux centimètres de large et force de plus en plus sur mon anus. Elle entre d'un coup en moi et coulisse dans mon cul. C'est très agréable.

- T'aimes bien prendre des trucs dans ton petit cul toi, hein ?
- Oui monsieur, c'est bon ... humm !
- Alors je vais la laisser là pendant que je te baise d'accord ?
- Non ! Monsieur s'il vous plaît, ne la laissez pas là ... Je vous en supplie !
- Ah ! Tu me supplies maintenant ? Tu sais enfin qui le maître, on dirait ?
- Oui c'est vous ... vous êtes mon maître ...

Julien me porte pour me placer à quatre pattes sur le lit, toujours avec la bougie dans mon derrière, je me sens ridicule et totalement soumise.

- Chose promise, chose due, ma chérie, je vais te baiser comme une chienne.

Julien se place à genoux derrière moi, il enfonce un peu plus la bougie en moi, m'arrachant un cri de plaisir et enfonce son sexe de nouveau en érection tout au fond de ma chatte. Je n'en peux plus, je crie mon plaisir.

- Oui ... Oui ... C'est bon ... Défonce-moi, bébé.
- Pardon ?

Julien claque mes fesses sèchement

- Je suis le maître et toi la chienne, ne l'oublie pas !
- Pardon mon maître, j'aime ce que vous me faites !

La bougie est retirée doucement de mon cul maintenant bien ouvert et Julien sort de ma chatte pour remplacer la bougie, cela m'arrache de nouveaux des cris de plaisir. Je suis en train de me faire enculer, ses mains tiennent fermement mes hanches et Julien me lime le cul de plus en plus vite.

Dans un cri rauque, je jouis comme jamais et m'écroule les fesses en l'air.

Julien, qui n'avait pas encore fini, sort de moi, me retourne et m'assoit face à lui ou plus exactement, face à sa queue. Il me tient par le menton, m'ouvre la bouche et y enfonce sa bite. Il lime ainsi quelques secondes et, me tenant par les couettes, bloque sa queue au fond de la gorge et y déverse son sperme en abondance.

- Avale tout ça, petite chienne !

J'avale son sperme et retombe sur le lit, essoufflée mais comblée.

Depuis cet après midi-là, je suis toujours une « petite fille sage » à l'extérieur, mais la dernière des chiennes quand je suis avec mon Homme.
Par Pholius - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Jeudi 25 août 4 25 /08 /Août 00:00
Voici encore une découverte du blog juste pour vous. Bande de veinards. De la bonne musique de la part d'un groupe qui bouge bien, ambiance assurée, que demander de plus. Evidement comme d'habitude il n'est pas distribué par les majors et la station FM commerciale. Eh oui vous savez ce que je pense de ces gens la!! Combattons les en répendant la bonne musique ils comprendront ensuite leur erreur. 

ALors Voici  Nafta.6.Tem 4 garcons dans le vent et gravant les marches rudent de la reconnaissance. C'est ryhtmé c'est fort mais que la musique et l'ambiance est bonne. De bonne basse au parfum de répete de garage.  Vraiment téléchargez, partagez, ecoutez et faites ecouter. Les plus fouigneurs auront remarqué dans l'album Oula le logo du groupe.

Les voila:

Fab : Guitare/Chant

Nico : Guitare/Chant

Olive : Basse/Chant
Jérem : Batterie



En quelques lignes le groupe:

Nafta.6.Tem est un groupe originaire de Chelles (77) dans le quartier des coudreaux. Le groupe se compose de quatre garçons d’une moyenne d’âge de 21 ans : Fab ( guitare, chant ), Olive ( basse, chant ), Nico ( guitare, chant ) et Jérem ( batterie ) ; dont les influences varient du rock au punk-rock en passant par le ska-punk ou le hard-rock mélodique.

Nafta.6.Tem fût créé à Chelles en 1999 et composé de trois membres : Fab, Olive issus tous deux du groupe Estime, et Bob ( batterie ). En juin 2000, Bob quitte le groupe. En septembre 2000, s’ajoute un nouveau batteur : Samuel. Au même moment, un nouveau guitariste, Nicolas issu du groupe Black Spirit rejoint la formation. Les répétitions se font alors au studio « Les Cuizines » et le groupe travaille essentiellement un répertoire de compositions.

En 2001, le groupe décide de s’investir à plein temps en vue d’une carrière. Pour cause professionnelle, un nouveau batteur, Jérémy issu du groupe Stain remplace Samuel . Le groupe garde actuellement le même Line-Up composé de Fab, Olive, Nico et Jérem. Les répétions sont désormais quotidiennes ( 4 h/ jours ) ; le groupe prépare un répertoire de compositions anglophones et participe à un certain nombre de concerts ( premières parties ) et de concours en Ile de France.


Et pour la premiere fois sur mon blog des mp3:

Nafta6Tem - New World.mp3

Nafta6Tem - Amsterdam By Night.mp3

Nafta6Tem - Don't Let Me Down.mp3

Allez y ecoutez sans limites ils le méritent. Bonne chance a vous les garcons!!

Sans oublier le site: http://www.nafta6tem.com/

Bises
Aline
 
Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 00:00
La chambre était presque silencieuse, les volets clos laissaient filtrer un mince rai de lumière. Un léger ronflement emplissait la pièce, le réveil à cristaux liquides indiquait presque midi. Deux corps nus gisaient sur les draps blancs. A l’extérieur les cigales chantaient déjà, il faisait atrocement chaud.

Balou ouvrit un œil, puis péniblement un deuxième. Angela dormait d’un sommeil profond à ses cotés, nue, ses cheveux bruns en cascade sur ses épaules. 
Balou allongé, se remémorait la folle nuit écoulée.  Ripailles et luxure à profusion avaient rythmé la soirée. Jamais il n’aurait imaginé que ce petit port italien puisse regorger d’une faune sexuellement si débridée qui lui rappelait Saint Tropez mais sans les mondanités.
Maria l’avait également subjugué. Lorsqu’ils avaient quitté la plage après leurs exploits, ils s’étaient retrouvés au bar à grignoter les restes du repas.
En allant aux toilettes Balou avait croisé Bettina qui en ressortait, accompagnée par la maman de Maria. Elles semblaient ivres toutes les deux. Effectivement la cuvette des toilettes lui confirma qu’une de ces dames au moins avait dû régurgiter son repas et ses boissons. Nauséeux, il fit demi-tour et alla se soulager au pied d’un olivier.
Ensuite les derniers convives avaient tenté de refaire le monde en buvant leurs derniers verres. Balou ne se rappelait plus trop bien comment il était arrivé dans la chambre.

Il quitta la couche et prit une douche revigorante, avala deux alka seltzer contre les maux de tête, s’habilla et descendit à la cuisine. Angela dormait toujours.

La chaleur lui fit rebrousser chemin lorsqu’il arriva sur la terrasse. Il se dirigea derechef vers le salon un peu frais dont les volets étaient clos. Dans la pénombre il s’assit dans un fauteuil pour réfléchir.

Ses yeux habitués à l’obscurité, il distingua une forme allongée sur le canapé. C’était Bettina.

- Bonjour Balou, bien dormi ?
- Oui merci Bettina, Angela dort encore.

Elle se redressa et vint donner une bise chaste sur la joue de son gendre.

- Quelle sacrée soirée n’est-ce pas ? Interrogea-t-elle.
- Certes oui je suis de votre avis, répondit Balou.

Bettina portait un petit top et un simple slip de bain, ses cheveux blonds étaient ramenés en arrière en vrai faux chignon qui lui donnait un air de Milène Farmer blonde.
Tous les deux devisèrent une bonne heure ainsi. Bettina avait préparé une salade légère qui fit le plus grand bien l’estomac de Balou.
Il apprit que Maria était devenue une célébrité locale grâce aux fêtes qu’elle donnait avec sa mère. Toutes deux triaient sur le volet les convives. Cela dit Balou apprit également que chaque invité versait une modique obole pour la participation au frais de fonctionnement, mais la cerise sur le gâteau était que Maria se faisait également payer pour offrir ses charmes aux autochtones, et sa mère aussi certainement.
Balou comprenait mieux maintenant la débauche d’énergie de Maria lorsqu’elle était avec les quatre hommes la nuit dernière, mais il n’aborda pas le sujet avec sa belle-mère.

- Et vous alors, le patron du bar et son fils sont-ils vos amants officiels ? demanda Balou
- Non mon cher vous faites fausse route, Ernesto et moi nous sommes de vieux amis mais parfois nous nous aimons lubriquement. Quant à son fils la nuit dernière a été orchestrée par son père justement, pour le dépuceler. C’est un gamin de vingt ans d’une timidité maladive. J’ai été sa première femme, comprenez-vous ?

Balou sourit en se resservant un petit verre de vin.

- Hummm je comprends oui, vous l’avez initié à l’amour
- On va dire ça, Ernesto lui est également veuf, nous nous retrouvons comme deux jeunes et nous nous aimons passionnément mais nous restons très libres. C’est pour cela aussi que vous ne devez pas vous attacher à moi, vous aimez ma fille, alors vivez votre vie. Mais je dois vous dire que vous êtes un amant formidable, j’ai adoré nos échanges de corps à corps. Ceci doit rester notre jardin secret. Voulez-vous ?

Balou acquiesça. Il avait passé de superbes vacances jusqu’à présent, et il ne voulait pas gâcher la relation qui l’unissait à Angela.

- Vous savez Bettina, vous êtes une femme délicieuse, et je rends grâce aux cieux d’avoir permit notre rencontre si fusionnelle.

Bettina se leva, elle se pencha vers lui. Le regard de Balou se noya dans ses yeux bleus, leurs lèvres se frôlèrent avant de s’entrouvrir. Ils se donnèrent un baiser profondément intense. Bettina tenait le visage de son gendre entre ses mains, elle s’assit à califourchon sur les cuisses de Balou et continua à lui dévorer la bouche.

Ils continuèrent ainsi de longues minutes. Bettina sentait bien l’érection de son gendre à travers la toile du pantalon cogner contre le fin morceau de tissus cachant son intimité, mais elle ne tenta aucune autre manœuvre. Elle éloigna même les doigts inquisiteurs de son gendre.
Elle le laissa ainsi et reprit sagement sa place sur le canapé.
Balou la désirait, mais il n’insista pas. Ils reprirent leurs conversation comme si de rien n’était.

Plus tard Angela arriva en se traînant péniblement dans la cuisine avant de les rejoindre au salon.

- Mais il fait sombre ici, pourquoi restez-vous comme ça ? Questionna Angela.

- D’abord bonjour ma Chérie, lança Bettina. Il fait affreusement chaud à l’extérieur, il faut conserver un peu de fraîcheur dans les pièces.

- Hummmm oui M’man.

Angela embrassa Balou et s‘assit aux côtés de sa mère.

- Nous allons rentrer à Paris Maman, enfin moi du moins.

Balou resta interloqué.
 
Un silence pesant les entourait.

- Ah bon ? Pourquoi si rapidement ? Demanda Balou.
- Arrêtez de me jouer la comédie, j’ai écouté votre conversation, je vous ai vu vous rouler des pelles comme deux adolescents tout à l’heure, alors je me contre fou de vos explications. Hurla Angela.

Balou était déconfit, tout s’écroulait autour de lui.
- Ma chérie voyons, nous avons fait une bêtise, oui c’est vrai, mais…
- Il n’y a pas de mais Balou, tu m’a trompé, et toi Maman tu es infecte !!

Sur ces paroles elle tourna les talons et disparu.

Bettina, ouvrit les volets malgré la chaleur.

- Un peu de lumière après ces sombres paroles, nous ferons le plus grand bien.

Elle servit deux whiskies bien tassés, qu’ils burent en silence.

Une porte qui claque. Un vrombissement de moteur.
Angela disparu dans un nuage de poussière.

- La messe est dite Bettina. Il ne me reste plus qu’à partir moi aussi.
- Balou je suis sincèrement navrée, je n’ai jamais souhaité ça, répondit Bettina.

- Je vais prendre le premier vol pour Paris, furent les dernières paroles de Balou pour sa belle-mère.

Balou quitta la Sicile. Le vol vers Paris lui semblait interminable. Il avait pensé croiser Angela à l’aéroport mais il n’y eu aucune trace d’elle.
Arrivé à leur appartement, il rassembla ses affaires la mort dans l’âme. Il se sentait coupable d’avoir trahi la confiance de son amie.

Un bruit à la porte d’entrée. Angela venait de rentrer elle aussi.

- Tu fais tes valises ?
- Oui je te quitte, je ne mérite pas ton amour Angela.

Elle s’avança vers Balou et le gifla. Il resta stoïquement debout. La brûlure sur sa joue lui remit les idées en place.
Angela portait un spencer beige, un pantalon en toile assorti qui lui moulait admirablement ses fesses de déesse. Balou la détailla sans gène.

- Qu’y a-t-il, j’ai un caca de pigeon sur mon nez ? S’étonna Angela. Tu veux ma photo ?
- Tu es belle, je ne t’oublierai jamais.
- Oh arrête tes salades, tu es d’une mauvaise foi caractérisée.
- Je dis la simple vérité c’est tout, et je regrette tellement si tu savais. Répondit Balou.

Ils se regardèrent l’un l’autre sans mot dire debout au milieu de la chambre à coucher. Balou voyait les yeux sombres de son amie le mitrailler d’un regard noir.

- Je te demande pardon Angela, je t’aime mais je dois partir.

- Pffffffffffftttttttttttttt laisse ta fierté au vestiaire idiot. Je t’aime moi aussi, mais ton attitude m’a profondément blessée. Répondit Angela.

Elle lui prit la main et l’entraîna au salon.

Assis l’un en face de l’autre, Angela lui raconta que sa mère n’en était pas à son premier coup d’essai. Elle avait déjà séduit deux de ses autres amis il y a quelques années. Sa mère souffrait d’un manque affectif cruel, elle était mythomane et de surcroît nymphomane. Angela lui avoua également qu’elle s’attendait à ce que sa mère jette son dévolu sur lui.

- Mais pourquoi ne m’as-tu pas averti ? Questionna Balou.
- Je voulais te tester, voir jusqu’où ton amour pour moi t’entraînerait Je sais c’est mesquin mais après les épreuves que ma mère m’a fait subir je voulais en avoir le cœur net.

- Mon dieu j’hallucine, j’ai dû passer pour un être bien faible à tes yeux.

- Oui, et maintenant tu sais tout, alors libre à toi de me quitter. Il me faudra du temps pour oublier. Mais ma mère baise mieux que moi non ? Alors crois-moi tu peux la retrouver quand bon te semble, elle t’accueillera les cuisses ouvertes.

Balou se leva. Sa décision était prise, il voulait fuir cette femme même s’il l’aimait encore. Elle et sa mère étaient folles à lier, une sueur froide ruisselait dans son cou. Cependant il ne bougea pas. Il était paralysé par le regard hypnotique d’Angela.

Elle rompit le silence,
- Je pense qu’une séparation nous ferait le plus grand bien, nous allons réfléchir chacun de son coté, d’accord ?
- C’est une sage décision que j’approuve. Répondit Balou.

Il se leva, pris ses deux sacs de voyage et quitta l’appartement de son amie.

Plusieurs semaines passèrent. L’automne avait pris ses aises. Balou travailla d’arrache pied pour essayer d’oublier ces deux diaboliques femmes. Il n’avait pas revu Angela, ni reçu un seul coup de téléphone de sa part, et ses appels n’avaient rien donné non plus.
De plus aucune femme n’était entrée dans sa vie depuis cinq mois. Sa vie sexuelle se limitait à des séances masturbatoires seul au fond de son lit. Il se caressait en pensant à Bettina, mais la saveur du plaisir était fade et sans passion.

Il traînait ses guêtres le soir dans son bar irlandais préféré, et tapait la causette avec les habitués. Il y avait bien eu des tentatives de drague par quelques midinettes esseulées, mais Balou préférait rester seul. Le poids des souvenirs était encore trop présent. Pourtant il se rendait bien compte que son comportement le menait dans une impasse et qu’il devait continuer à vivre sa vie avant tout.

Un soir alors qu’il sirotait sa bière, accoudé au bar, on lui tapa sur l’épaule. Il reconnu immédiatement la parfum vanillé de Thierry Mugler. Il se retourna.
Angela se tenait devant lui, belle et souriante. Ses bruns et longs cheveux bouclés tombaient en cascade sur son manteau, elle portait un mignon béret féminin comme on en voit de nos jours.

- Salut ! Lança-t-elle.
- Bonsoir.
- Eh tu pourrais me faire la bise non ?
Balou déposa un chaste baiser sur chacune des joues de son ex.
- Tu m’offres un verre ?
- Un gin tonic pour Mademoiselle ! Dit-il au barman.

Balou alluma une cigarette, celle du cow-boy. Il remarqua qu’Angela portait une alliance et il faillit s’étrangler en buvant sa bière.

- T’es mariée ? Réussit-il à articuler.
- Oui depuis un mois. J’ai rencontré un armateur près de Naples

Balou était sans voix. Il restait bêtement assis sur son tabouret, les bras ballant.

- C’est pour venir m’humilier que tu viens ici ?
- Tu dis des conneries Balou. Si je suis venue c’est pour te parler car je ne t’ai pas oublié.

Balou sentait la moutarde lui monter au nez, mais sa courtoisie légendaire ne l’autorisa pas à renvoyer Angela dans ses 22.

- Avec tout le respect que je te dois ce n’était pas la peine de venir me voir pour m’annoncer une telle nouvelle.
- Je m’en rends très bien compte tu sais, mais je devais te le dire de vive voix. Répliqua Angela.
- De plus je n’habite plus en France.

Balou reprit son self-contrôle, il lui souhaita tout le bonheur possible :

- Vis ta vie maintenant, sois heureuse.

Ils conversèrent encore quelques minutes par pure politesse. Balou lança un billet sur le comptoir et sortit.
Angela le rattrapa sur le trottoir. Elle se jeta dans ses bras.
Et comme au premier jour, la magie opéra.
Ils se donnèrent un long et profond baiser. Un baiser d’adieux songea Balou.
Angela fut la première à quitter leur étreinte comme à regret.

- Adieu. Dit-elle. N’attends rien de moi.

Elle couru vers la bouche de métro sans se retourner.

Balou resta de longs instants, seul sur le bitume. Il commençait à pleuvoir, et il laissa les gouttes de pluie nettoyer ses larmes, l’esprit vide, désespéré comme jamais il ne l’avait été.
Il s’adossa au mur, s’agrippa à la gouttière car ses jambes ne le soutenaient plus, il se laissa aller et s’assit à même le sol.
Il savait maintenant qu’il ne reverrait plus jamais Angela. Pour la première fois il se senti seul au monde, abandonné des siens. Il pleura toutes les larmes de son corps.


Les semaines s’écoulèrent lentement. Noël arriva puis la date du réveillon pour la nouvelle année approcha.
Balou était toujours célibataire. Il avait bien tenté de draguer la nièce du barman irlandais mais il s’était fait éconduire gentiment.

Grande et rousse qu’elle était cette femme, 23 ans, des taches de rousseur sur son joli minois, une bouche aux lèvres roses et pulpeuses, bref une irlandaise pur jus. Bon certes il avait gentiment abusé du Paddy, whiskey irlandais incontournable lorsqu’il l’avait abordée. Marie était étudiante et perfectionnait son français, elle souhaitait également décrocher un poste dans une grande entreprise. Les week-ends elle aidait son oncle. Balou soupçonnait que le chiffre d’affaires de Freddy le patron, avait subitement augmenté depuis que cette belle rousse se trouvait aux commandes le samedi et le dimanche.

Un vendredi soir Balou s’arrêta chez Freddy pour prendre un verre bien mérité après sa journée harassante au bureau. Intérieurement il désirait également voir Marie. Sanglé et cravaté dans son plus beau costume, il s’installa au comptoir et s’assit sur son tabouret comme à l’accoutumée.

- Et bien dis donc tu nous la joues jeune cadre dynamique là ? Le taquina Freddy.
- Je sors de réunion avec la direction, je n’allais tout de même pas y assister en jean et polo.

Les habitués plaisantèrent avec Balou le temps de vider leur verre et de retrouver leur pénates.

- Mais qu’il est tout beau notre Balou national dans son costume !

Balou se retourna et d’abord il cru à une hallucination.

Elle brillait, sa chevelure rousse illuminait le bar. Ses yeux verts le dévoraient. Marie était flamboyante debout à portée de main. Elle portait une longue robe noire qui mettait en valeur ses hanches et son petit fessier. Des bottes de rockeuses, un blouson noir en cuir, complétaient sa tenue.
Balou ne pu détacher son regard de cette Fée rousse à la peau laiteuse maculée de taches de rousseur.

- Monsieur le cadre, tu m’invites à prendre un verre ? Dit l’apparition.
- Euh euh, oui naturellement. Bafouilla Balou. Mais ne travailles-tu pas ce soir ?
- Non cher ami, ce soir c’est relâche pour moi

Freddy confirma d’un hochement de tête.

- Puis-je t’inviter à prendre un verre ailleurs ? Questionna timidement Balou. Nous serions plus tranquille, qu’en penses-tu ?

Marie lui envoya son plus beau sourire et accepta son invitation. Balou avait envie de mordre dans ce fruit mûr qu’étaient les lèvres de Marie. Il imaginait déjà embrasser cette bouche si sexuelle. Il se résonna et la guida avec courtoisie vers sa voiture.

Ils prirent l’apéritif dans un bar cubain où raisonnait la musique afro-cubaine qu’adorait Marie. Cela étonna Balou qui se disait que décidément cette jeunette de 23 ans le surprenait vraiment.
Marie se livra progressivement, elle lui raconta sa vie de petite fille dans le Connemara, ses études à Shannon, ses premiers amours, et son arrivée en France favorisée par son adorable oncle Freddy.
Le courant passait bien entre eux. Balou osa lâcher également quelques bribes intimes sur sa vie récente et passée. Il parla surtout de son boulot, de la vie dans une grande entreprise, choses qui intéressèrent Marie pour la recherche d’un job. Ensuite il lui raconta son séjour en Irlande où il logeait dans les « bed and breakfast » il y a presque 10 ans de cela.
Il fit rire Marie à plusieurs reprises en racontant ces pérégrinations de noctambule à Belfast.

Balou était impressionné par la quantité de punch que pouvait avaler Marie. Il savait par expérience que les irlandaises tenaient la boisson mais là tout de même il en avait à nouveau la preuve vivante

L’heure tournait, 21 heures ; Ils n’avaient pas vu le temps passer. Balou se sentait bien en compagnie de cette demoiselle et à priori elle également. Dehors il commençait à neiger, ce qui l’inquiéta un tantinet.
Marie le devança en annonçant :
- Bon t’as vu il neige, si tu veux je nous prépare un petit plat irlandais pour nous tenir chaud. Ça te dit ?
- Avec plaisir ma chère ! Je te suis. S’entendit dire Balou.

En ce 28 décembre la température descendait à -10°, l’air glacial fouetta le sang de Balou. Cette température polaire donnait aussi des joues roses à Marie. Elle était si belle avec ses longs cheveux roux en cascade sur ses épaules, et son tain de rose. Marie habitait au troisième étage d’un immeuble sans ascenseur, la montée des marches fut ponctuée de rigolades. La chaleur de la cage d’escalier après le froid sibérien du dehors, avait dû renforcer les conséquences alcooliques des punchs sur le comportement de Marie.

Le studio était aménagé avec soin, décoré aux milles couleurs vertes de l’Irlande. Une kitchenette donnait vers la chambre à coucher qui servait aussi de salon. L’œil expert de Balou remarqua cela immédiatement.

Il trouvait cette fille désirable. Tout à l’heure dans le bar leurs mains s’étaient frôlées à plusieurs reprises, leur regard également se trouvaient attiré l’un vers l’autre.

- Sers toi une bière si tu veux, je m’occupe du repas en vitesse.

Balou ôta son loden et sa veste. En bras de chemise il partit à la recherche du frigo qu’il dénicha évidemment dans la kitchenette.
Balou dû se glisser entre le placard et Marie pour accéder au sacro-saint frigo. En se tortillant il frôla de son bas ventre les fesses rebondies de Marie.
Elle gloussa et dit :

- La promiscuité est parfois porteuse de surprises agréables.

Elle regarda Balou de ses yeux verts et confirma :

- T’es un sacré mec toi ! D’autres gars auraient déjà profité de la situation.

Balou déglutit. Il se sentait gauche avec sa bière à la main. Mais il repris son contrôle en répondant :

- Ma maman m’a bien élevé très chère.

Ils éclatèrent de rire ensemble, puis trinquèrent à la galanterie qui se perdait de nos jours.

Marie s’était débarrassée de son blouson d’aviateur. Balou admirait les divines courbes de son corps, ses yeux s’attardèrent sur sa généreuse poitrine qui pointait obstinément à travers la robe. Ensuite son regard fut captivé par la rondeur de ses fesses qu’il devinait toujours sous cette satanée robe longue noire. Il imagina ensuite les cuisses fuselées et blanches qui se trouvait en dessous, ainsi que son ventre plat qu’il aimerait embrasser.

- Dis donc c’est un examen de la marchandise que tu fais ?

Cette remarque tira Balou de sa rêverie. Il rougit tel un puceau pris en train de se masturber. A vrai dire il l’était puceau depuis presque 6 mois, oui. Tant de semaines sans aimer une femme, sans pénétrer dans un ventre doux et chaud.

- Hein ? Quoi ? Que dis-tu ?

Marie laissa la cuisinière. Elle se rapprocha de Balou qui se tenait debout dans l’embrasure de la porte, se planta devant lui et dit :

- Embrasse-moi idiot !

Elle lui prit le verre et se colla contre lui.

Balou se dit qu’il rêvait, il tenait dans ses bras cette rousse déesse qui le faisait fantasmer depuis leur première rencontre. Leurs bouches enfin se trouvèrent, leurs lèvres se soudèrent, leurs langues exécutèrent une sarabande infernale.
Marie sentit battre contre son ventre le désir de Balou. Elle désirait cet homme si différent de tous les autres. Son ventre brûlait d’amour. Elle voulait qu’il soit en elle rapidement. Son abricot d’amour était déjà luxueusement humide par l’excitation.
Elle sentait l’odeur de son partenaire, ses mains musclées lui caressaient les hanches puis les fesses. Ensuite la bouche de Balou s’aventura au creux de son cou, ce qui déclencha un exquis frisson dans tout son corps. Elle adorait les bisous dans le cou.

Un tapis de laine épaisse trônait par terre. Ils se retrouvèrent allongés. Balou la déshabillait adroitement mais délicatement. Elle sentait les mains de mâle expérimenté, la caresser, lui ôter un à un ses vêtements.
Marie se laissait faire. Elle se retrouva complètement nue, couchée cuisses écartées, Balou agenouillé entre elles à lui prodiguer une caresse fabuleuse avec sa bouche.
La langue de son amant la rendait folle. La douceur de cet organe qui la pénétrait, la suçait, son agilité, la firent crier de joie. Elle sentait le souffle chaud de Balou entre ses cuisses, deux doigts la pénétrèrent et elle hurla à nouveau en se tordant de plaisir.

- Viens viens ; Implora-t-elle.

Balou toujours habillé, continuait sa douce caresse buccale. Cette rousse et douce toison le rendaient fou d’amour, ainsi que le parfum marin qui s’en dégageait. Les lèvres, la vulve rose était de délicieuses friandises à sa bouche. Le bourgeon dressé, il le titillait en insérant deux doigts dans cet antre d’amour.
Ensuite sa bouche embrassa le ventre plat, elle remonta vers les seins majestueux aux bouts roses démesurément dressés eux aussi. Balou prit les deux globes dans ses paumes, il les pressa délicatement l’un contre l’autre en pensant à une branlette espagnole.

Marie s’était redressée. Sans un mot elle déboutonna le pantalon de Balou. Elle l’arracha avec frénésie. Son impatience était palpable. Elle voulait le pieu de cet homme en elle. Balou s’écroula de coté sous le dynamisme de Marie. Il vit la jeunette de 22 ans ramper à ses pieds. Ensuite la rousse et longue chevelure bouclée se cala entre ses cuisses. D’une agilité déconcertante Marie se débarrassa du caleçon de Balou.

Enfin elle le vit.

Il palpitait devant ses yeux, elle remarqua qu’il était circoncis. Le gland violet et gonflé dardait vers son visage. De grosses veines bleues couraient sous la fine peau du tronc. Une toison noire et grise laissait apercevoir de lourdes bourses remplies de sève. Marie admira la grosse veine violette elle aussi, courir du haut vers le bas de ce menhir. Elle se passa sa langue rose sur ses lèvres, prête à goûter enfin à ce sucre d’orge excessivement volumineux.

Balou ne bougeait plus, trop captivé par cette rose bouche pulpeuse et ce visage aux taches de rousseur qui se rapprochait inéluctablement de son bas-ventre. Il ferma les yeux lorsqu’il vit les mains de Marie caresser ses jambes velues pour remonter plus haut encore. La tension était à son comble, Marie le sentait. Elle savait également que Balou était sevré d’amour depuis six mois. Elle ne voulait pas risquer de provoquer une éjaculation trop rapide mais elle pressentait que cet homme devait pouvoir redémarrer au quart de tour après une si longue période d’abstinence.

Sa tension à elle était tombée légèrement après les orgasmes que lui avait procuré la bouche de Balou, elle prit donc son temps pour rendre les caresses à ce presque quadra.

Balou vit la bouche de Marie s’ouvrir, une langue rose se posa sur son gland. Cette langue irlandaise lécha le membre de bas en haut. Les doigts continuaient leur tendre caresse sur ses cuisses. Seule la bouche et la langue s’activaient. Ensuite les lèvres déposèrent un doux baiser sur les bourses. Puis Marie laissa sa flamboyante chevelure bouclée entourer la verge turgescente. Ces cheveux masturbaient ainsi cet homme. Elle l’entendait gémir son prénom, il lui dit qu’elle était une déesse et que cette caresse le rendait dingue. Les diaboliques cheveux roux et bouclés continuèrent leur câlin de longs instants encore.

Marie prit son temps encore et encore en recommençant à lécher doucement cette verge pucelle depuis trop longtemps. Puis enfin elle avala progressivement le sexe de Balou.

Lui, il hurla lorsqu’il se vit disparaître dans sa gorge. Il sentit plus qu’il ne vit les lèvres de cette étudiante l’aspirer.
Maria l’emporta au bord du précipice de bonheur et demanda :

- Veux-tu jouir dans ma bouche ou dans mon ventre ?
- Je m’en fous. Réussit-il à éructer, avant de sentir le poids de Marie sur lui

Sa poitrine voluptueuse il l’embrassa, la malaxa, pinça les bouts durs. Il était maintenant dans une autre dimension. Marie s’empala sur son menhir, il vit sa rousse toison l’engloutir interminablement. Marie gloussa et cria de plaisir, un orgasme s’était déclenché en elle à cette simple pénétration.

Balou avait les yeux injectés de sang, il haletait en donnant de violents coups de reins. Il se rendit vite compte que cette jeune irlandaise avait du tempérament à revendre car elle menait le bal. C’est elle qui imprimait le rythme malgré les tentatives de Balou à vouloir accélérer sa cadence.

- Tout doux mon chéri, tout doux. Lui susurra-t-elle.

Ils ahanèrent de cette manière jusqu’à l’extase salvatrice.
Balou griffa les hanches de Marie, qui elle-même mordit l’épaule de son amant. Balou hurla comme un damné lorsque la jouissance arriva. Il ne savait plus si le plaisir ou la douleur, ou les deux le foudroyèrent. Son éjaculation lui parut interminablement longue, il continua de crier et de gémir dans les bras de Marie. Ses seins généreux lui écrasèrent les joues, il les embrassa en se vidant complètement en elle.

Marie fut aussi emportée par un violent orgasme, elle mordit l’épaule de son amant, elle sentait qu’il lui griffait les hanches, ce qui décupla encore son plaisir. Son ventre était un brasier qui recevait une lave en fusion si longtemps retenue. Cette impression de dominer et de « dépuceler »un homme expérimenté la rendait folle de bonheur. Elle hoqueta dans un dernier spasme :

- Ouiii tu es bon et fort !!!
 
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Mardi 23 août 2 23 /08 /Août 00:00
Tout sur le surf! L'Australienne Fiona Capp explore la question avec une infinie sensibilité.  Au moment où le film Brice de Nice triomphe sur les écrans, le nouveau livre de Fiona Capp tombe à point pour rappeler que le surf n'est pas qu'une pratique pour bellâtres décérébrés. Après le magnifique Surfer la nuit, l'Australienne récidive avec Ce sentiment océanique. Le titre est issu d'une lettre de Romain Rolland adressée à Freud. L'écrivain français imaginait la naissance du sentiment religieux dans la sensation d'éternité venue de l'océan, où «l'enfant et le monde ne font qu'un». Selon Fiona Capp, «peu d'images expriment mieux cette "unité" primale que celle du surfeur recroquevillé, comme en position fœtale, à l'intérieur du tube de cristal d'une vague qui se brise».
Fiona Capp

Lorsqu'elle s'est lancée dans la rédaction de cet ouvrage, la jeune femme pensait exposer sa condition de mère de famille quadragénaire, ayant laissé sa planche au garage depuis ses vingt ans pour une autre passion: le journalisme. En retrouvant ce sport, sur le papier, l'ancienne surfeuse désirait réunir la sensation de la glisse et son amour pour la littérature. La lecture n'est-elle pas une sorte de surf, où l'œil fait office de planche? Mais Fiona Capp s'est laissé dépasser par son modeste projet initial en joignant toutes les approches possibles sur le sujet. Et si le surf a inspiré de nombreux romans, sociologues ou philosophes (Deleuze évoquant sa théorie du «pli» selon les surfeurs dans L'abécédaire, c'est irrésistible!), jamais personne n'avait su jusqu'alors si bien l'appréhender. A travers un récit de voyage sur les plages australiennes (en passant par Honolulu ou Biarritz!), l'écrivaine raconte aussi bien son histoire à elle que les origines du surf (chez les indigènes du Pacifique) ou l'invasion des hippies sur les côtes. Avec une grande fluidité, Fiona Capp réussit à passer d'une interprétation psychanalytique des vagues à l'évocation physique de cette pratique à la fois profondément individualiste (un homme seul avec sa planche) et résolument communautaire (une certaine jeunesse rebelle - ou revendiquée comme telle). Ce sentiment océanique ne sombre jamais dans le didactisme. Tout est question de communion entre le corps et l'esprit, le style et le contenu. Son «échec» en tant que surfeuse de haut niveau aura permis à Fiona Capp de signer un livre miraculeux, entre revanche, érudition et mélancolie. Serait-ce ce qu'on appelle l'écume des jours?

Ce sentiment océanique, qui vient de paraître, est le prolongement intime de son premier roman, Surfer la nuit.

Plus sur elle:
En tant qu’écrivain en Australie, avez-vous des difficultés pour vivre ?
Fiona Capp. Oui assurément. Je gagne de l’argent grâce à mon travail de journaliste indépendante : j’écris des critiques de livres chaque semaine pour The Age, le quotidien de Melbourne. Si je ne faisais qu’écrire des livres, je ne pourrais pas survivre. Je suis malgré tout chanceuse car j’appartiens à une génération où il existe bien plus de possibilités d’être publié que la précédente. Depuis vingt-cinq ans, la littérature australienne a vraiment décollé. Des gens se plaignent d’ailleurs que trop de romans soient publiés... Je ne pense pas, en effet, que les Australiens respectent autant les écrivains que les Européens. Les Australiens insistent surtout sur le sport, l’extérieur et la vie physique. Ainsi, dans le passé, la littérature et les arts ont été sous-évalués. Maintenant, l’art est plus apprécié, mais nous possédons une tradition, venue des pionniers qui veut que la vie soit une lutte pour la survie. Il n’y avait donc pas de possibilités de profiter des finesses de la vie et de la culture.

 "Je sais que c'est une idée de dingue. Je ne surfe plus depuis quinze ans. Parfois, quand on parle de surf, je glisse dans la conversation que j'ai gardé ma combinaison et ma planche et que je compte bien m'y remettre un jour", avoue-t-elle.


Surfer la nuit, l'histoire:
Hannah abandonne ses études pour un petit boulot près des baies fréquentée par les surfeurs, au sud de Melbourne. Ce ne sont pas des athletes photogeniques, soucieux de competition et de frime, mais des Australiens silencieux pour qui comptent, plus que l'amour d'une femme, l'attirance de la mer, l'attente de la vague qui porte et entraîne à une vitesse démente...
Les baies traversées de courants, et les vagues monstrueuses venues de loin leur servent de terrains de jeux. Dans ce roman où comme des vagues reviennent certains passages, les personnages sont hantés. Même leurs rêves appartiennent à l'ocean.

Hannah envie leur aisance, qu'elle voudrait acquerir ; elle sent bien que le surf est aussi une attitude devant la vie. Jake, pourtant si réservé, lui a confié qu'"Il a toujours rêvé de surfer la nuit, de découvrir ce qui n'apparaît pas sous le soleil étincelant. De nuit, il lui faudra surfer à l'oreille, sentir l'océan et le gonflement des vagues.."Pour lui, surfer est une activité dont il ne cerne pas toutes les motivations : "En se lancant dans le noir,il pourrait se rapprocher de l'endroit où sa mère s'en etait allée"[...]"Le passé était un trou noir qui cherchait sans cesse à vous entraîner en lui. C'etait comme un courant sous l'eau auquel on cessait de résister en esperant que, lorsqu'il aurait fini de vous entraîner au fond, une vague viendrait qui vous ramènerait à la surface".
Les choix sont faits : l'opposition entre Melbourne et l'existence dans ces endroits déserts, la liberté des désirs et l'intensité des sensations contre la vie organisée et reglementée.

Ce roman est un hymne à l'océan. Il ne faut pas entrer à petits pas dans l'univers de Fiona Capp, mais le goûter à longues gorgées.

Plus de livre:
le Crépuscule de la raison

Extrait de l'Humanité / Le monde / Lire
Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Lundi 22 août 1 22 /08 /Août 00:00
Bettina accueilli dans sa gorge la sève chaude de son gendre, elle avala ce nectar pour ne pas en perdre une goutte. Elle caressa les cuisses velues de cet homme qui la rendait folle.

Sa bouche ensuite couvrit de baisers le ventre musclé, ses doigts jouaient avec les poils, ses dents mordillaient les tétons de Balou.

Celui-ci s'abandonna aux caresses de sa belle-mère de longues minutes encore. Ensuite la bouche de Bettina remonta dans son cou, elle lui mordilla le lobe de l'oreille avant de trouver ses lèvres pour un baiser tendre.

Balou lui rendit son baiser avec fougue jusqu'à perdre haleine. Décidément la bouche de Bettina était tellement douce et chaude.

 - Ooohh Bettina vous m'avez ensorcelé. Mon dieu que dois-je penser, que vais-je faire ?

- Mon gendre chéri il ne faut pas que vous tombiez amoureux d'une dame de 55 ans tout de même voyons !!  Gronda gentiment Bettina.

Elle continuait à jouer avec les poils de sa velue poitrine, elle s'amusait à en faire de petits noeuds de ses doigts agiles. Ils étaient allongés cote à cote et se caressaient mutuellement leur peau bronzée.

Ensuite Balou proposa à Bettina de piquer une tête pour se rafraîchir, chose qu'ils firent en batifolant tels des adolescents.

L'après-midi touchait à sa fin, tous les deux prirent le chemin du retour vers la propriété.

 Angela les attendait assise en terrasse et buvant un gin tonic glacé.

 - Bin dites donc vous en faites une tête ! leur lança-t-elle. On dirait deux croques mort.

 Bettina et Balou s'esclaffèrent de rire.

 - Mais non ma chérie, nous nous sommes amusés comme des petits fous, et là on est Ko, répondit Balou. Par contre je boirais bien une bière fraîche, qu'en dites-vous Bettina ?

- Très bonne initiative mon cher, je m'empresse de nous en apporter, répondit sa belle-mère.

 Ils savourèrent en silence ce doux breuvage.

 - Ce soir nous dînons chez Maria,  maman, veux-tu te joindre à nous ? Questionna Angela.

- Oh mes enfants je ne sais pas, il faut que je me refasse une beauté après cette après-midi récréative.

Balou ne pipa mot, il observa l'échange entre la mère et sa fille. Bettina accepta de les accompagner malgré tout.

 

La nuit était chaude. Maria habitait également en bord de mer, non loin de la maison de Bettina, étant la fille de sa femme de ménage.

On dénombrait une bonne vingtaine d'invités sur la terrasse donnant directement sur la plage, buvant et dégustant des antipasti. Balou avait une faim de loup, il se jeta sur le buffet et dévora des petits plats à base de poivrons et divers légumes farcis baignant dans l'huile d'olive. Un vrai délice pour ses papilles de gastronome.

Balou fit la connaissance de Maria, délicieux petit bout de femme brune ressemblant étrangement à une de ses anciennes secrétaires. Elle baragouinait un peu le français que lui avait enseigné Angela. Maria vivait avec sa mère veuve elle aussi comme son amie Bettina. Balou se dit en riant que sacrebleu les hommes étaient laminés par les femmes dans ce village.

 

La soirée battait son plein, les invités buvaient et mangeaient sans se soucier du lendemain, c'est du moins la nette impression que perçu Balou. Angela lui tint compagnie quelques instant avant de se faire happer par un troupeau d'amis qui l'entraînèrent vers la plage. Les convives avaient allumé un feu et jeunes et moins jeunes se trémoussaient au rythme de la sono sur des tubes italiens. Angela ne se priva pas de se joindre à cette bande de joyeux drilles.

 

Balou squatta le bar, il goûta à la bière locale car l'excès de vin blanc ne lui convenait pas. Il se tenait un peu en retrait à l'ombre sur la terrasse. Se rappelant les épisodes amoureux de la journée, il sourit intérieurement en comptant le nombre de fois où il avait joui et éjaculé cette après midi. Bettina le rendait dingue, serait-il en train d'en pincer pour une femme quinquagénaire ? Lui ? Certes sa belle-mère lui avait procuré un plaisir orgasmique inouï comme rarement il en avait éprouvé, mais nom de dieu cette femme était un démon !

 

Soudain il perçu un feulement au dessus de lui. Balou leva sa tête et vit au premier étage une pièce légèrement éclairée. Il quitta la terrasse et marcha le long du mur pour se trouver juste en dessous de la fenêtre. Là il constata ce qu'il pressentait. Des gémissements s'échappaient du premier étage. Il tendit davantage l'oreille et compris qu'un groupe de personnes copulait. Son verre de bière à la main il se mit en devoir d'approfondir sa curiosité, l'alcool qu'il avait bu l'aidant aussi.

 

Il gravit à pattes de velours l'escalier en bois massif tel un chat sur un toit brûlant, c'est ce qu'il se dit en arrivant à l'étage. Il posa délicatement son verre et débuta ses investigations.

Avançant pas à pas dans le couloir, Balou n'eu pas longtemps à attendre pour trouver l'origine des gémissements. Ceux-ci provenaient d'une chambre dont la porte était entrouverte.

Balou reconnu immédiatement la voix de Bettina. Seule une petite lampe de chevet éclairait la pièce.

 

Balou écarquilla les yeux en voyant le spectacle qui s'offrait à lui. Sa belle-mère était prise en sandwiches par deux hommes qui ahanaient en rythme. Sa vue s'adaptant progressivement à la demie pénombre, Balou reconnu le patron du bar qui sodomisait Bettina, l'autre était son fils que chevauchait sa belle-mère.

Balou avait la gorge sèche tout d'un coup. Il avança dans la chambre voulant savourer davantage ce spectacle. Le barman le vit mais Balou lui lança un clin d'oeil de connivence, ce qui le rassura.

Les respirations saccadées, les râles étouffés emplissaient l'air surchauffé de la chambre. Balou était troublé par ce qu'il voyait. Bettina le vit, leurs regards se croisèrent, il lui sourit gentiment et l'encouragea ainsi à continuer.

Le trio devait être au bord du plaisir car immédiatement après la jouissance les gagna. Le père grogna le premier et éjacula dans les fesses de son amante, suivi de son fils qui cria à son tour. Bettina quant à elle étouffa ses cris de bonheur comme toute bonne sicilienne soumise. Le patron du bar se retira d'entre ses fesses mais entrepris de se masturber devant la croupe de Bettina. Balou était impressionné par l'énorme verge dont il voyait la grosse main la branler. Bettina était maintenant presque affalée sur le jeune garçon qu'elle embrassait passionnément. Enfin Balou vit le patron du bar éjaculer à longues giclées sur la croupe de Bettina, les yeux fermés sans pousser un cri, il aspergeait son amante.Balou les laissa reprendre leurs esprits et quitta la pièce sans un mot. Il n'était pas vraiment jaloux mais tout de même une once de dépit le taraudait.

 Bettina retrouva son gendre au bar.

 - Vous êtes un petit garnement mon cher, lança-t-elle. J'espère que vous n'êtes pas jaloux.

- Bien sûr que nom belle-maman chérie, il est toujours agréable de prendre du bon temps, répondit Balou.

 Tous deux s'esclaffèrent et Balou promit d'être discret sur ce qu'il avait vu.

 - Et si nous allions rejoindre Angela ? Je me demande ce qu'elle fait, proposa Bettina.

- Je crois qu'elle est à la plage, répondit Balou.

 Ils rejoignirent le groupe des amis d'Angela qui continuait à danser et chanter, cela depuis le début de la soirée. Bettina se lança immédiatement dans la sarabande, Balou lui, observa d'un oeil amusé tout ce joyeux bordel. Angela l'aperçu et couru vers lui. Elle était gaie et lui semblait-il légèrement ivre.

 - Mon chéri où étais-tu ? J'espère que tu ne t'es pas ennuyé loin de moi.

- Oh Angela, non tout va bien mais tu sais ce genre de sauterie c'est pas trop mon truc.

- Ah la la, quel rabat-joie tu fais des fois !

- Main non, mais je ne connais personne ici, et je n'aime pas guincher tu le sais. Ma ta maman m'a tenu compagnie, alors tout baigne.

 Angela regarda son ami d'un air soupçonneux, puis l'enlaça. Leurs bouches se soudèrent dans un baiser passionné. Balou remarqua l'haleine chargée de gin de sa compagne, cela le fit sourire. Angela était collé à lui comme un pieuvre, elle passa ses mains sous sa chemisette et chuchota :
- J'ai envie de toi là de suite.

 Balou se laissa entraîner par son amie vers un endroit discret en bout de plage à l'abri des regards. En un tour de main Angela ôta sa culotte, elle s'agenouilla dans le sable fin, remonta sa robe sur ses hanches, présenta sa croupe à Balou et lui intima :

- Prends moi là tout de suite, je n'en peux plus.

Balou était quelque peu surpris par tant de précipitation, et il se dit qu'après tout sa compagne avait le sang chaud.

- Viiiiiiiite viiiite gémis Angela. Elle se caressait l'entrejambes devant lui

Cette vision fouetta les sens de Balou. Il déboutonna son pantalon, baissa son caleçon, et s'agenouilla face à ces divines fesses. Son érection pointait vaillamment, son gland cogna contre les lèvres déjà humides d'Angela qui gémit à cet attouchement avant de sentir la verge longue et dure s'enfoncer progressivement dans son ventre.

- Ouiiiiiii ouiiiiiiiiiiii vas-y ouiiiiiiiiiiiiiiii laboure-moi fort mon Balou !!!!!

 Son ami s'accrocha à ses hanches et débuta de longs vas et viens. Son pubis claquait contre les fesses d'Angela, il sentait sa hampe emprisonnée dans un chaud puis mielleux. Les râles de son amie lui prouvèrent qu'il n'avait pas perdu sa vigueur malgré la journée éprouvante. Les grains de sable fin commencèrent à recouvrir leurs cuisses. Angela lâcha :

 - Mets deux doigts dans mon anus !!!! Encore plus vite !!!

 Balou continua à la labourer en introduisant un puis deux doigts dans son pertuis déjà dilaté. Angela rugissait. La belle sicilienne était déchaînée, elle se tordait sous lui, grognait des insanités. Lui sentait ses doigts être aspirés par la rondelle sodomite.  Angela joui enfin, elle lâcha un feulement de lionne qui dû s'entendre sur toute la plage malgré la musique. Balou se dégagea, remonta plus haut et entreprit de la sodomiser.

 

- OOOOOhhhhhhhhhhhhhhh chériiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii encule-moi !!!!!  Cria Angela.

 Balou d'une poussée brutale pénétra entre ses reins. Il se sentait prisonnier, mais tellement dominateur. Il senti qu'il perdait la notion de la réalité car il imaginait sodomiser sa belle-mère, ce qui décupla considérablement sa puissance. Le plaisir grandissant au creux de ses reins, Balou accéléra encore sa cadence. Celle-ci devenait infernale. Il se demandait s'il n'allait pas déchirer l'anus de sa compagne par un si important déchaînement amoureux. Angela n'en demandait pas tant. Elle hurlait de plus belle. Des vagues de bonheur l'emportèrent dans une autre dimension, elle jouissait ainsi empalée à son amant.  Dans un instant de lucidité, Balou remarqua des mouvements dans l'obscurité. Il sentait cependant le plaisir croître progressivement en lui, son pilonnage continuait, son amie hurlait toujours. Enfin la divine libération jouissive lui permit d'éjaculer dans les fesses d'Angela à longues giclées. Il avait l'impression que toute son essence se vidait dans les entrailles de son amante. Lui également ne pu réprimer un hurlement quasi inhumain lorsque le tourbillon du plaisir se déchaîna en lui.

 A bout de souffle, les deux amants restèrent encore soudés de longs instants. Ensuite Balou se retira d'Angela, il lui déposa un doux baiser sur ses fesses callipyges. Il épousseta tant bien que mal le sable envahissant, se redressa pour se rajuster. Au même moment il entendit plus qu'il ne vit des bruits étouffés à quelques mètres d'eux. Angela se rapprocha de son ami et ils se dirigèrent dans la direction d'où émanait des espèces de chuchotements.

 Devant eux ils virent Maria, l'amie d'Angela, agenouillée nue devant un groupe d'homme qu'elle masturbait et suçait alternativement. Quatre hampes fièrement dressées devant son visage étaient prêtes à offrir leur semence. Cette scène surprit grandement Angela car elle savait son amie très prude. Néanmoins ses yeux restèrent rivés sur elle. Maria se tourna vers elle et Balou en leur souriant et dit :

 - Tu vois ma chérie les hommes sont tous amoureux de moi, ils aiment ce que je leur fait.

 En effet, tous souriaient et firent des commentaires salaces en italien.

Balou essaya de distinguer des visages connus. Le patron du bar et son fils lui étaient maintenant familiers. Les deux autres mâles étaient beaucoup plus âgés, on aurait dit des vieux beaux de 70 ans. Maria continua à caresser les verges offertes, ses doigts couraient le long des troncs, sa bouche engloutissait les glands l’un après l’autre. Les hommes se masturbaient également au-dessus d’elle. Maria décida de privilégier ses caresses pour l’un des deux vieux messieurs.

 - C’est le maire du village, souffla Angela à l’oreille de Balou.

 L’homme était presque chauve, petit et fluet. Il portait de petites lunettes rondes au bout de son nez. Balou voyait ses jambes de grenouilles trembloter car il devait être au bord de l’explosion finale. Maria avait engloutit son dard au fond de sa gorge. Ses lèvres soudées à la base du sexe, elle l’aspirait complètement, avant de revenir vers le gland et de lécher le membre avec sa langue.

Cette petite femme ronde a un sacré tempérament pensa Balou, elle lui rappelait Nathalie sa bien-aimée secrétaire, jadis sa maîtresse. Elle veut les faire jouir ensemble se dit-il. Maria cria un ordre et accéléra sa succion sur la hampe sexagénaire. Le maire cria le premier lorsqu’il éjacula dans la bouche qui le pompait. Les trois autres hommes accélérèrent leurs mouvements masturbatoires et ils jouirent de concert en aspergeant Maria de leur sève.

De longues giclées atterrirent sur son menton, sur ses épaules, ses bras, dans ses cheveux. Les gémissements remplissaient l’air alentour. Maria était aux anges, elle se jeta ensuite aux pieds de chacun des mâles et nettoya avec sa langue les dernières gouttes de semence qui perlaient encore au bout de leur gland.

Ce spectacle avait progressivement accaparé toute l’attention de Balou et d’Angela, ils étaient aux premières loges. Maria le savait, en fait elle aimait se savoir observée, désirée par tant de mâles.

Elle se retourna vers eux, et se coucha sur le dos, cuisses écartées puis entreprit de se caresser devant l’assistance réunie autour d’elle.

Seule la lune éclairait la scène, mais Balou voyait bien la main de Maria s’activer entre ses cuisses. Elle gémissait, couinait telle une petite souris. De son autre main, ses doigts caressaient les seins menus, ils pinçaient leur téton.

Angela remarqua que la verge des hommes avait repris une certaine vigueur, notamment celle du fils du patron du café, son nom lui échappait. Il s’approcha de Maria, s’agenouilla entre ses cuisses, la couvrit en la pénétrant d’un violent coup de rein. Elle hurla de bonheur ainsi possédée. Immédiatement il débuta son pilonnage sous les râles de Maria. Son père le barman s’était agenouillé à proximité de la brune tignasse de Maria. La hampe à nouveau fièrement dressée fut happée par la bouche de la jeune femme. Père et fils avait pris possession du corps de la petite jeune femme ronde. Quant aux deux autres hommes ils regardaient avec avidité le trio, tout en caressant de leurs mains les cuisses de Maria.

 Angela et Balou assistèrent à ces ébats collés l’un à l’autre sans pour autant être excités. Ils admiraient la dextérité de Maria livrée à ces hommes, sa manière qu’elle avait de sucer, de se faire prendre, de masturber alternativement la forêt de verges. Plusieurs minutes s’écoulèrent entre cris, gémissements, frottements, grognements, pendant l’extase du groupe. Le visage de Maria fut aspergé de semence chaude, ses joues, son menton en étaient maculées. Le fils du barman se retira du ventre de Maria et dans un dernier élan éjacula sur son abricot d’amour. Maria reçue également un petite giclée de sperme sur ces épaules de la part du maire qui avait réussi en se branlant frénétiquement à éjaculer en gémissant pour elle.
L’amie d’Angela passa ses mains sur son corps et recueillit du bout des doigts la lave de plaisir de ces amants, lave qu’elle lécha pour l’avaler avidement. Les hommes se rhabillèrent prestement en commentant leurs exploits et rejoignirent la maisonnée en bout de plage. Maria couru ensuite vers la mer pour un bain de minuit rapide qui lui permit d’ôter toute trace suspecte. Ensuite elle rejoint Angela et Balou qui l’attendaient. Balou remarqua ces fesses rondes, ses petites cuisses un peu dodues, ses seins menus aux tétons durcis par la baignade. Quelle énergie avait-elle dépensée avec ces quatre hommes, songea-t-il.

Elle enfila rapidement sa robe sans se sécher.

 - Vous avez vu c’était top hein ?

- Maria je ne te reconnais pas, toi qui était si timide avec le sexe, mon dieu quel changement ma chérie, répondit Angela.

- je sais mais c’est ainsi, j’avais envie de vous faire ce cadeau. Et vous deux aussi vous étiez bien, on vous a observé pendant que vous vous amusiez. J’ai adoré la sodomie, hummmm Balou tu es fortiche toi !!

- Euh n’exagérons pas, dit-il en se sentant rougir.

 
Tous trois retournèrent vers la maison en devisant comme si de rien n’était.

 A suivre

Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Lundi 22 août 1 22 /08 /Août 00:00
Vite courez y avant que l'automne arrive. A voir vraiment. Voici les infos.

Rip Curl Pro 05
Hossegor/Seignosse (France)
Du 19 au 28 Août 05
Rip Curl Super Series WQS ( 22-28 Août)
Pro Junior 2 stars (19-21Août)
Finale du European GromSearch (21 Août)

Ah mais je ne vais pas résistez a craquer devant ce beau male sur sa board.
 L'étoile montante du surf français, Jérémy Florès parle de sa série "c'était très dur à l'eau, difficile de rester au pic et de revenir au large. Vraiment une série très fatigante mais j'ai eu quelques bonnes premières manoeuvres avant que la vague ne ferme ou ne s'aplatisse...Je suis assez content de ma série"

Bonne vague a toi jérémy.

Plus d'images:


Le voila à l'action

Jolie soirée
Par Aline - Publié dans : Sortir
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Dimanche 21 août 7 21 /08 /Août 00:00

EVA

Voila je vais vous racontez comment c'est arrivé. A l'époque je sortais encore avec mon ex , Eva. Belle petite brune de 1.65mètre, Eva était mon genre. Plutôt, fine, ses cheveux sombre ondulaient allégrement sur sa petite poitrine. Eva et moi, c'était une vielle histoire. Nous nous étions connus, 6 ans plus tôt, et étions instantanément tomber amoureux. Deux ans plus tard notre amour se concrétisait par notre première relation sexuelle, nous avions quinze ans.

Bien sur a cette époque ce n’était pas le nirvana à chaque fois, mais les sentiments faisaient le reste. et puis ....et puis comme tout le monde, nous avons voulu aller voire ailleurs. Nous n’étions pas jaloux. Mais à force ? de rencontres, de discussion au coin d’un oreiller, nous n’avions plus grand chose à faire ensemble…nous nous sommes séparés sans heurts. Ensuite Eva est partie sur  Genève...et les nouvelles se sont faites plus rares…


Pour mes 19 ans Eva m'a rappelé. Pour prendre de mes nouvelles, mais aussi pour que je vienne la voir un week end en hiver... et moi célibataire de mon état, je n’ai vu aucune raison de refuser cette invitation.
Nos retrouvailles furent explosives. Moins d'une heure après la visite de son appartement, je la plaquais contre un mur pour l'embrasser fougueusement. Mais nous nous connaissions, et savions que le plaisir est meilleur lorsque qu'il se fait attendre. C'est pourquoi c n'est qu'après un bon film que j’ai posé ma main au bas de son ventre... Cette nuit là, nous fîmes l'amour comme rarement dans le passé. Il faut dire que diverses expériences avaient enrichis nos corps et nos esprit. Après avoir jouis à trois reprises suite a plusieurs heures de corps à corps torride sous la couette , je déposais les armes avec regrets, tant la vue de ses fesses blanches s'enfonçant sur mon sexe circoncit m'excitait et me faisait perdre jusqu'a la notion de douleur.
Le lendemain, après avoir, pour la première fois depuis longtemps, arrosé ses mamelons d'une belle (petite) giclée, elle me fit part de sa volonté d'organiser une soirée dans son appartement.
Sitôt dit , sitôt fait, quelques heures plus tard nous étions plus d'une quinzaine à un apéritif qui devait durer tout le nuit. Durant cette soirée Eva et moi nous affichions comme à notre premier jour… nous embrassant sans cesse, montrant à tous notre fierté de posséder l'autre.
Pourtant, je me surprenais à découvrir une Eva , allumeuse, aguicheuse, se trémoussant  du haut de ses bottes en cuir. Elle savait bouger ses fesses, faire malicieusement apparaître son string et se frotter contre mon sexe durcit par cette vision.
Vers 3 heures du matin l'alcool faisant son effet, la plupart des convives repartirent, sauf un de ses amis, qui je pense devait être le plus jeune puisqu'il n'était pas encore majeur. Immédiatement après avoir refermer la porte, Eva se rua sur moi et manqua de me renverser lorsque qu'elle m’enfourcha en se cramponnant a mon cou. Sans suivi un long baiser fougueux, dans le quel je senti un étrange mélange de whisky et de mexicaine... La présence du jeune homme commençait à me gêner et malgré mon état d'alcoolémie avancé, je le fis remarquer à Eva. Lorsque elle le regarda sur le canapé, Eva lui demanda si il souhaita dormir dans son salon. En disant cela elle glissa sa main dans mon caleçon et m'empoigna les testicules. Son ami, loic, lui répondit qu'il préférait, si cela ne nous dérangeais pas, ne pas rentrer chez lui dans son état.
Il n'avait pas fini son explication, que Eva me jetai sur le canapé, juste à coté de Loic. Puis, toujours avec la même violence, elle  tira mon pantalon et mon caleçon, avant d'avaler entièrement mon sexe encor un peu mou. .....
 
L’effet de l’alcool anesthésiait mes sens.  Mon érection avait bien du mal à progresser malgré la sensation de chaleur que provoquait  la bouche d’Eva sur mon intimité. Dans un moment de lucidité, à travers les vapeurs alcoolisé qui  perturbait le fonctionnement de mon cerveau, je perçu un  clin d’œil que Eva lança à Loic . Dans un effort de pensée je me demandais ce que mon ex pouvait bien encore mijotés… mais la seule idée qui me venait à l’esprit était que EVA avait envie de nous 2.  Tout en me suçant avec application je la vis agripper le pantalon  de son ami et lui tirait dessus afin  de lui baisser. Celui ci s’exécuta et se retrouva en boxer. Si peu vêtu, il ne pouvait caché son excitation.. Son sexe était  moulé par le tissus synthétique du sous vêtements, et la démarcation de son gland ne faisait aucun doute sur l’état  dans le quel il se trouvait.  
A cette vision je me concentra d’avantage sur ce que faisait ma partenaire, car je ne voulais tout de même pas me trouver en infériorité en face de se jeunot. Enfin je bandais dur. Eva commençait franchement a prendre son  pied. Depuis combien de temps me pompait elle ?  5minutes, une demi heure ?.. Mon  esprit était engourdi, mais mon excitation commençait à me  réveiller.  Tout en me caressant, elle s’amusait à lécher une à une, les gouttes de liquide séminale qui naissait au sommet de mon gland. Cette vision me rendait fou, et si elle continuait de la sorte, le liquide qui sortirai, risquait d’être d’une nature bien différente…
Soudain, elle prit la main de son ami dans la sienne et  lui frotta sur son sexe. L’incitation était limpide. Je laissai faire, passif. Elle fit de même avec moi,, mais pour ma part je me contenter de caresser doucement mes testicule, car j’étais déjà chauffer à l’extrême.
Eva se releva, alla allumer quelques bougies au fond la pièce, avant d’éteindre les lumières. Puis elle  se dirigea vers le lecteur CD ou elle mit le premier album de Saint GERMAIN.  Elle se plaça devant  le canapé ou j’étais assis avec Loic, et prononça ces quelques mots à mon égard : « Tu es prêt à quoi pour me voire nue ?? »   
Grandement excité, et un peu amusé pas se contexte, je lui répondis  le plus calmement possible ; « A beaucoup de choses ».
Elle regarda mon voisin  elle lui dit, le sourire au  lèvre ; Vas  y, fais ce que tu as envie… le temps que je comprenne, sa main serrait déjà mon sexe brûlant. La sensation n’était pas  désagréable. , même si ma première réaction fut plus ou moins de dégoût, Je suis forcé de reconnaître que le jeune homme était adroit…Eva ne nous avait  pas quittait des yeux. Elle souriait jusqu’aux oreilles, et enleva son haut, dévoilant ainsi son sous-tiens gorges en dentelle noire…Elle me regarda en bougeant sur les samples enivrants de la musique, et me demanda si j’étais prêt à encore plus. Je la regarda dans les yeux, et confirma d’un signe de tête, appréhendant ce qu’elle allait encore me demander.    
Elle regarda Loic, qui toujours sur ma droite continuait à me caresser et lui dit ; vas y !
Il se pencha vers moi, et avala mon sexe entièrement rasé sur plus de la moitié de sa longueur. La surprise faillie  me couper le souffle. Apres quelques mouvements je commençais à retrouver une excitation dangereuse, laissant à coup sur un goût salé dans la bouche  du jeune homme.
Mais comme promis EVA s’exécuta. Tout en se trémoussant, Elle enleva avec délicatesse, ses bottes, puis se retourna  pour enlever sa jupe. qui cachait un joli petit string en dentelle noire. Quelle vue ! Elle était superbe, même avec l’éclairage de quelques bougies, le contraste de la dentelle noir sur la blancheur de sa peau était splendide.
Pendant  que loic continuait a m’aspiré littéralement , Eva continuait à nous regardé. A un moment elle me fixa dans les yeux.  Part l’expression de mon visage je voulais lui faire comprendre que je commençais à être vraiment  au bord de l’orgasme. Je ne sentais déjà plus ma queue tant elle était tendue.  Elle comprit mon embarras, et  demanda a loic de s’arrêté. Lorsqu’il se retira je vis mon sexe tendu dégoulinant de salive…
Eva l’avait vu aussi, elle s’assit entre nous et  posa la paume de sa main sur mon gland se qui provoqua une nouvelle contraction de mon organe. Je ne tenais plus …Voyant mon regard plein de détresse, elle enleva sa main et la posa dans mes cheveux pour pénétrer ma bouche de sa langue experte. Tout en m’embrassant  elle posa une main sur le  caleçon  de son ami et le tira vers le bas afin qu’il l’enlève totalement.  Elle me susurra à l’oreille l’ordre d’enlever ma chemise,, ce que je fis sans contestation. Loic  m’imita dans l’instant qui suivi.  En me penchant en avant  j’aperçu son sexe. Il bandait dur. Son sexe était assez poilus et avait en fait une taille assez modeste. A vrai dire je ne suis pas certain, encore aujourd’hui, de son  age. Sa puberté ne devait pas être complète il avait peut être moins de 16 ans…
En tout cas cette vision flattait mon ego( je ne voyais pas en lui un éventuel rival) et je pris donc les actions en mains. Ce fut a mon tour de me placer devant le canapé….
Je commençait à embrasser le dessus des  cuisses d’EVA , tout en baladant mes mains sur son ventre si doux. J’effleurais le tissus de son string, y introduisant un doigt ou deux au niveaux des hanches.
Eva gémit doucement,  elle se tourna vers loic et commença a lui embrasser le torse. Elle demanda doucement , d’une voix que je percevais mal a travers a musique, «  tu es vierge loic ?». Celui ci, répondit, un peu gêné comme on l’ai toujours quand on est un homme et que la réponse est ; oui …
A ce moment Eva descendis déposer un baiser sur le sexe de son ami.. J’en profita pour monter vers son intimité. Doucement, je posais mes mains à l‘intérieur de ses cuisses, pour les écartées de façon à avoir suffisamment de place pour poser mon visage. Je commençais par l’embrasser juste au dessous du nombril, et je descendis doucement  jusqu’au tissus de son string. D’une main délicate je tirai alors celui ci sur le coté, pour découvrir une fois de plus ses lèvres aux contour parfait, subtilement mises en valeur par un rasage parfait. Je jeta alors un œil vers le visage de ma partenaire, comme pour avoir son accord, mais je la vis occupé a déposer des baisers tout autour du sexe du jeune homme. Celui ci commençait d’ailleurs à gémir, et il y avait fort a parier que l’éjaculation n’allait pas tarder à survenir si elle continuait ainsi.
Chose promis chose due, j’ouvrais grand ma bouche pour englober la totalité de ses lèvres dans la chaleur de ma respiration…Là, je l’entendis gémir , sans retenu, son corps se  cambrait en arrière et enfin comme un dernier indicateur du plaisir que je me flattais d’avoir provoqué, sa main se posa  sur mes cheveux , afin de plaquer mon visage contre son sexe. Je fis ce qu’elle voulait, jouant de ma langue, tel un bull dozer. J’entrouvris ces lèvres, et alla caresser de mes dents son clitoris déjà bien gonflé. . Je la sentais mouiller, inondant ma bouche de son liquide sacré. Je descendis en  ensuite ma langue , doucement pour petit à petit l’immiscer à l’intérieur de son vagin. Je m’amusais à entrer , sortit , puis entrer à nouveau… Je la dominais totalement, elle n’étais plus maîtresse d’elle même, elle serrai sporadiquement le sexe du jeune homme au rythme des pénétration de ma langue. Enfin, ma visite aurait était incomplète si je n’avais pas descendu, plus bas  encore. Je lui effleura l’anus de la pointe de ma langue tout en  lui posant un doigt habile sur le clitoris. Elle bougeait dans tous les sens, se tordant sous le plaisir. De mon coté je dois avouer que mon érection n’avait pas faibli ; mon sexe pointait toujours vers le haut.. Eva quand à elle avait mis son jeune ami dans un état second à force de le branler frénétiquement. J’en étais sur :  il était sur le point de jouir. A vrai dire se fut Eva qu’il la première atteignit l‘orgasme  seulement  quelques secondes après que je lui ai introduit 2 doigts dans le vagin. Elle laissa échapper un grand cri et s’enfonça de plus belle sur mes doigts, sans doute un peu trop court.. Apres quelques seconde , je me releva et aller l’embrasser.
 Elle me glissa a l’oreille tu veux prendre ? oui ? et bien fais le jouir…..D’accord mais en même temps que tu t’empales !… Je n’avais pas fini ma phrase qu’Eva était déjà debout, faisant volant son string trempé à travers la pièce. Elle se mis au dessus de moi qui m’était rassis à coté de loic, me tournant le dos, elle pris mon sexe dans sa main et le guida  au plus profond d’elle même. Nous poussâmes tous 2 un soupir de plaisir. Passé cette émotion  elle prit ma main et la posa sur  le sexe de loic. C’était la première fois que je touchais le sexe d’un homme autre que le mien. C’était vraiment dur, on aurait cru du bois. Une des premières sensations que je ressenti fut la chaleur qui rendait ma main moite sur ce sexe encore jeune….Je commençais à le branler doucement, prenant le temps de découvrir toutes les formes de ce sexe décalotté. Il gémissait de plus en plus et m’offrit une grosse goutte de liquide séminal. Eva le regardait, presque attendri pas la scène qui s’offrait à elle. S’appuyant sur ses bras elle commença a remontre son bassin, avant de redescendre, tranquillement. Puis, petit à petit elle accéléra le rythme. Plus elle s’empalait plus je serrais fort, allant jusqu'à écrasé le gland de mon voisin, à l’intérieur de ma paume.
 Il n’en pouvait plus .  Je lui pressais encor une fois les testicules, quand je sentis une chaleur sur mon avant bras. Une belle traînée blanche, qui dégoulinait le long de mon poignet. Je l’astiqua encore de plus belle et senti son sexe se contracté sous les jets multiples qui atteignirent son torse.
Pendant, se temps , exciter par cette vision, Eva continuait a s’empaler. Son orgasme était proche.    Je pris ses fesses entres mes mains, pour tenir son corps au-dessus de moi…. L à, ne pouvant bouger elle sentit mon sexe rentrer de plus en plus fort elle. Si fort et si vite que son orgasme ne tarda pas. Elle hurla de plaisir, d’autant que plus elle criait et plus j’accélérer le rythme. Quand elle me sentit tout près de l’éjaculation, elle me chuchota…attend, on va s’occuper de toi. Elle se leva et me tira par le bras pour que je mette debout …puis elle se rassit a coté de loic. , et prit immédiatement mon sexe en bouche . Ma réaction fut instantanée. Une grosse giclée de sperme la récompensa. Elle s’enleva  et colla le visage de son ami sur mon sexe qu’il avala à pleine bouche. Eva remonta vers moi la bouche rempli de mon liquide et m’embrasa le plus fougueusement possible, me faisant ainsi goûter le fruit de ma jouissance.  Quelques centimètres plus bas une bouche d’homme aspirait le reste de mon éjaculation, aidait par la masturbation que je me prodiguais. L’orgasme que je ressenti, lors de cet instant fut d’une rare intensité…
L’instant passé, nous étions là , tous les 3 nus , à la lueur  des bougies. Ne sachant que faire, j’alla me servir un rhum, histoire de me remettre de toutes ces émotions nouvelles et contradictoires…
La nuit n’était pas terminée, mais vous en savez déjà assez. Ne vous inquiétez pas, la suite je vous la raconterai bientôt…..
Par juju54 - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Lundi 15 août 1 15 /08 /Août 00:00
Balou et Angela restèrent encore de longues minutes soudés l'un à l'autre. Ils s'embrassaient tendrement après le merveilleux bonheur qui avait ébloui leurs âmes. Les deux amants avaient le sentiment d'avoir communié avec les Dieux.
Repus, heureux et comblés ils s'avancèrent main dans la main vers la mer accueillante pour se baigner et nager comme deux dauphins amoureux. Seuls sur terre ils étaient maintenant, savourant la plénitude de s'aimer.


Bettina les observa encore, toute retournée par les plaisirs solitaires qu'elle s'était donnée. Elle aurait aimé être en compagnie de son gendre, là en cet instant. Mais la raison de mère lui dictait de ne rien provoquer qui pourrait nuire au bonheur de sa fille. Pourtant Balou accaparait constamment ses pensées, elle imaginait les scénarios les plus fous, son sexe de femme réclamait son dû.

Angela et Balou regagnèrent le sable chaud de la plage. Balou alluma une cigarette, en regardant l'horizon lointain. Il souriait. Angela s'assit et se blottit contre lui, sa tête reposant sur son épaule. Elle tira une bouffée de la cigarette de son amant et dit :

- Avec toi c'est la paradis sur terre mon chéri, je suis heureuse. Mais tu m'a fait languir tout à l'heure ente mes cuisses, tu es un chenapan !
- J'aime te rendre folle de désir, l'attente démultiplie les orgasmes et c'est cela que je voulais te donner, répondit Balou

Ils éclatèrent de rire ensemble.

- J'espère que maman ne nous a pas entendu, ajouta Angela.
- Hummm c'est bizarre que tu me dises cela, je croyais l'autre jour dans la cuisine que tu aimerais que ta mère t'écoute jouir non ?
- Oh la la mon Balounet c'était pour te taquiner voyons. Par contre ma mère est naturiste, et euh je doute qu'elle ait baissé son regard l'autre soir en te voyant prendre un bain de minuit, renchérit Angela.
- Il faisait nuit noire alors tu sais elle n'a pas vu grand chose.
- Hummmm pas sûr mon chou, maman est une croqueuse d'homme, même à son âge elle a le feu aux fesses.
- Arrête de parler ainsi de ta mère voyons, dit Balou en rigolant.
Il tirait nerveusement sur sa cigarette en espérant que son amie ne verrait pas son trouble.
- Tu sembles bien pensif mon chou.
- Non non ça va je pensais à ce que nous allions faire ce soir.
- Ah bah tu sais je dois contacter mon amie Maria, elle a très envie de faire la connaissance de l'homme de ma vie. Je pense qu'elle est curieuse de voir à qui j'ai mis le grappin dessus.

Ils passèrent le restant de l'après midi à alterner baignade et bronzette, rejoint en cela par Bettina.
Balou eu un choc en la voyant.
Par respect pour son gendre et sa fille elle portait un bikini mais trop petit pour elle. Sa généreuse poitrine était facilement visible.
Un chignon blond bien coiffé, un ventre presque plat, quelques douces rondeurs aux hanches, une croupe voluptueuse, un bronzage caramel, des yeux bleus, une bouche aux lèvres charnues, des cuisses fermes, tels était les atouts que mis Bettina sous les yeux de Balou.

- Je n'ai pas osé venir nue mes chéris, je sais que toi Angela tu désapprouves mon loisir de nudiste. Vous savez Balou le père d'Angela était un homme très pratiquant alors vous comprenez.
- Assez maman, j'en ai marre qu'à chaque fois on se chamaille pour ça, je vais aller prendre une douche rafraîchissante.

Elle se leva et  planta ainsi Balou et sa belle-mère.

Celui-ci fit mine de se lever mais Bettina lui lança :

- Laissez-la mon cher, c'est un sujet qui la fâche toujours.

Balou regarda partir Angela à travers la plantation d'oliviers.
Une ombre de luxure commençait à l'envahir, il la sentait s'insinuer en lui progressivement.

- Balou vous savez que vous êtes un amant hors du commun, lui susurra sa belle-mère
Il la regarda, et vit qu'elle avait dégrafé le fin tissu qui maintenait sa poitrine. Les seins de Bettina étaient lourds mais encore fermes malgré ses 55 ans. De brunes auréoles entouraient des tétons caramel déjà dressés.
- Il sont encore beaux n'est-ce pas mon gendre chéri ?
Balou détourna son regard mais il ne pu réprimer une violente érection.
- Oh mon cher je remarque que vous êtes pratiquement prêt à honorer mes seins, qu'en dites-vous ?
Sa belle mère s'était rapprochée de lui. Allongée à ses cotés, elle embrassa son épaule, elle laissa ses doigts courir dans son dos. Balou était tétanisé comme à chaque fois, il avait l'impression que sa belle-mère le violait psychologiquement.
Il se retourna et se retrouva nez à nez face aux voluptueux seins de Bettina. Imperceptiblement sa bouche se rapprocha de ces deux globes. La main de Bettina remonta vers le cou de son gendre et elle attira sa tête sur sa poitrine.
Balou ne résista point. Il se mis à téter comme un enfant cette poitrine de Vénus. Bettina gloussa en jetant sa tête en arrière.
- Oh oui allez-y Balou, sucez-moi et tétez-moi, j'aime vos lèvres sur moi, gémit-elle.

Son gendre la poussa délicatement, elle s'allongea de tout son long.
La bouche frénétique de Balou se délecta ainsi. Ses lèvres titillèrent le bout des seins, ses dents mordillèrent délicatement les tétons. Ensuite cette bouche avide descendit vers le sillon des seins, elle lécha encore et encore. Puis le ventre de Bettina reçu des baisers, le nombril fut taquiné, et la bouche insatiable embrassa le mont de Vénus.
Bettina était aux anges. Elle n'aurait jamais pensé que son gendre daigne lui prodiguer cette caresse. Balou d'un geste habile ôta le string de sa belle-mère, puis sa tête plongea vers les délices marins.
La bouche de Balou découvrit un fruit d'amour luisant, de grosses lèvres rouges et douces accueillirent sa langue. Le bourgeon dressé fièrement reçu mille attentions.
Balou entendait sa belle-mère gémir, elle se pâmait en écartant encore davantage ses cuisses. Balou introduit un, puis deux, et trois doigts dans ce puis mielleux.
Bettina hurla à cet attouchement, elle joui instantanément tellement elle était excité. Son gendre amant faisait aller et venir ses doigts, il les regardait disparaître et revenir.
- Ta main ! Cria Bettina, mets ta main en entier, allez !!
Balou n'avait jamais pratiqué une introduction aussi spectaculaire. Mais il vit et sentit comme par enchantement le sexe de Bettina lui happer les doigts de sa main, sans retenue aucune elle désirait sentir la main de son gendre dans son ventre de quinquagénaire.
Il n'osa pas s'introduire davantage de peur de la déchirer, et le lui susurra à l'oreille.
- Fais-les alors davantage bouger, oh mon Balounet, ouiiiii je jouis comme une folle !!! Cria Bettina
Un peu effrayé au début  par ce qu'il faisait, Balou vit que sa belle-mère appréciait et qu'elle se tortillait comme une damnée.
Le ventre en feu Bettina s'offrait à cette main. Des vagues d'orgasmes la submergèrent de longues minutes.
A bout de force, elle ordonna à Balou d'arrêter ce massage intime. La main de son gendre se retira et Balou en lécha un à un les  doigts inquisiteurs.

Bettina restait couchée, les cuisses écartées, elle reprenait ses esprits. Enfin elle dit :

- Oh mon Balou vous avez été fabuleux, merci pour ce moment de pur bonheur.

Son gendre soupira. Il ôta son slip de main. Son érection dardait vers sa belle-mère. Agenouillé il se masturbait devant elle, pour elle en fait.
Bettina gloussa devant ce spectacle délicieusement érotique.

- Venez sur mon ventre mon cher, j'ai envie que vous jouissiez entre mes seins.

Balou se positionna à califourchon au-dessus d'elle, ses cuisses enserrant la taille de sa belle-mère. Celle-ci fit coulisser le divin pieu au creux du sillon de sa volumineuse poitrine, emprisonna ainsi Balou qui débuta ses vas et viens. A deux mains sur ses seins, elle le serrait. Elle voyait devant ses yeux le gland violet venir et disparaître. La balancement des lourdes bourses de son gendre la fit également frémir.

Balou regardait sa verge compressée par les deux globes, il gémit en sentant au creux de ses reins l'intensité du  plaisir croître progressivement.
Le soleil brûlait leur peau. Tous les deux se regardèrent dans les yeux, et là Balou éjacula en grognant, il retint son cri pour ne pas attirer l'attention d'Angela.
De chaudes giclées de semence maculèrent le cou et le menton de Bettina qui continuait sa délicieuse pression de ses seins sur la hampe de son gendre. Enfin elle relâcha Balou qui s'écroula sur le sable, comblé et repu.

- Humm Balou chéri votre laitance est un nectar que j'aime, je vais vous nettoyer, lança Bettina en plongeant entre les cuisses de son gendre.

Balou se laissa faire et apprécia la bouche de Bettina s'activant sur lui. Elle lapa les restes de sperme. Ce nettoyage en règle lui provoqua de nouveau une violente érection qui ravi sa belle-mère. Il se senti aspirer vers un puis de bonheur. Bettina agenouillée entre ses cuisses le pompait voracement. Balou voyait son chignon blond aller et venir sur son bas-ventre. Plus rien de comptait pour lui, seul son bonheur du moment importait. Il admirait la bouche suceuse distendue par son sexe qui l'aspirait tout entier. Il ferma les yeux et joui doucement en couinant comme un adolescent devant son premier orgasme.

A suivre....
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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