La pub du dessus...

Bonjour,

Vous allez voir sur les bandeaux des publicités Si si ...
Ce n'est pas ma décision. Vous ne trouverez pas de pub ailleurs sur ce blog.

Cette bannière qui est très agressive et défigure le blog est pour l'instant ajoutée automatiquement par l'hébergeur.

Ne cliquez pas dessus, pub sans intérêt et attrapes couillons....
Je vous conseille d'utiliser ad block  qui permet de naviguer sur le net avec un minimum d'agression publicitaire

Bonne lecture quand même.

Aline et sa blog team.

Texte libre

!! Plaisirs et jouissances !!

 

Vous voulez faire partager vos envies, découvertes, plaisirs, vos jouissances.

Utilisez le mail !!

Un désir, une envie, envoyez vos idées, textes et articles.

Bisous à tous

Aline

Images aléatoires

Recherche

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

W3C

  • Flux RSS des articles
Jeudi 4 août 4 04 /08 /Août 00:00
J'ai connu Angela un jour en faisant mes courses au supermarché local. Jeune femme brune, peau mate, taille de guêpe, cuisses fines et musclées, bouche très pulpeuse, cheveux mi-longs. Angèla est une ancienne gymnaste de haut niveau reconvertie en visiteuse médicale.
Samedi matin c'est la cohue dans ce magasin. Je pousse mon caddie péniblement entre les gens. Bon sang tant de retraités ici alors qu'ils ont toute la semaine pour faire leur course, ça m'énerve !

Je circule de rayon en rayon avec ma liste de produits à acheter. En tant que célibataire je prends un soin méticuleux à noter ce qu'il me faut pour survivre seul dans mon appartement. Généralement je m'attarde au rayon surgelé et conserves. C'est paradoxal mais j'aime cuisiner, cependant le soir faire la popote tout seul pour soi ce n'est pas excitant. Alors j'achète des plats cuisinés.

Soudain au détour d'une gondole mon caddie heurta un autre de ces engins à roulettes. Je m'excusai devant le manteau émeraude se trouvant à proximité, j'avais toujours le nez dans ma liste de courses.
- Je vous en prie Monsieur dit une voix rauque
Je levais la tête pour répondre au manteau émeraude, et je découvris Angela dans toute sa splendeur. Nous échangeâmes un sourire de courtoisie.
Nous continuâmes notre chemin et je pensais à cette jeune femme que je croisais et recroisais dans les rayons. A chaque passage elle me souriait, j'admirais le dessin de sa bouche pulpeuse, les formes de son visage, et sa chevelure brune.

J'arrivais en caisse et déposais mes provisions sur le tapis roulant. En me relevant je me retrouvais nez à nez avec la belle inconnue.

- Ah bin dites donc on ne se quitte plus dis-je
- Vous avez raison Monsieur, comme c'est drôle

Je remarquais les doigts admirablement fins aux ongles rouges vifs et bien dessinés de ma belle inconnue. Nous devisâmes de choses et d'autres jusqu'au moment où il me fallut payer mes achats. Ensuite un peu à regret je laissais mon joli manteau émeraude tout seul.

J'arrivais à ma voiture et rangeais mes victuailles dans le coffre.

Une voix rauque derrière moi :

- Excusez moi Monsieur mais ....
Je me retournais et découvris Angela face à moi

- J'ai un pneu à plat, pourriez-vous me monter la roue de secours ?
- Oui bien sûr Madame, où êtes-vous garée ?

Etait-ce mon jour de chance ?


Je me retrouvais agenouillé devant la voiture de l'inconnue au manteau émeraude et démontais l'ancienne roue pour remonter la nouvelle.  Au bout d'une bonne demi-heure je réussi à dépanner la Belle Dame. Mes mains étaient crasseuses de cette espèce de cambouis qui entoure les crics et les manivelles. Je décidais d'aller aux toilettes pour me décrasser.

Angela me donna rendez-vous à la cafétéria pour prendre un café ensemble et me remercier pour mon geste. Je me dépêchais et d'un pas alerte me dirigeais vers les WC, je me sentais de très bonne humeur.
J'arrivais à la cafete en cherchant désespérément des yeux mon adorable manteau émeraude. Je scrutais chaque table en vain. Il avait disparu. Une pointe de tristesse traversa mon esprit, mais je me dis après tout que l'occasion n'a pas fait le larron.

- Coucou je suis là !

Je me retournais et vis Angela qui me souriait en me jetant un regard moqueur.
- Quelle heureuse surprise, j'ai cru vous avoir perdu

Elle se mis à rire et me dit :

- Comment aurais-je pu m'éclipser c'est vous qui avez gardé les clés de ma voiture

Effectivement j'avais conservé les fameuses clés dans la poche de mon jean, je m'empressais de les lui remettre. Angela me remercia à maintes reprises et me proposa de prendre un verre dans un bar. Je lui fit remarquer que si nous avons acheté des produits périssables il faudrait certainement remettre cette invitation à plus tard. Elle acquiesça et me tendit sa carte de visite professionnelle en me demandant de la rappeler si je souhaitais accepter son invitation.
Je remarquais qu'elle était visiteuse médicale. Nous devisâmes encore quelques minutes sur nos jobs respectifs et je promis de l'appeler dans la journée. Angela semblait ravie et m'encouragea à ne surtout pas l'oublier.
Nous nous quittâmes ainsi.

J'arrivais  dans mon appartement de célibataire et rangeais mes provisions. La matinée était déjà bien engagée, et je ne cessais de penser à cette jeune femme brune à qui j'avais rendu service.
Au milieu de l'après midi je me décidais de l'appeler sur son portable. Elle décrocha immédiatement. Nous convînmes de nous retrouver chez elle.
Mon esprit libertin vagabonda jusqu'au moment où la porte de son appartement s'ouvrit.
Quelle déception. Aucune Angela sur la pas de la porte. Un petit (enfin au regard de ma stature) jeune homme rouquin maculé de taches de rousseur m'accueillit. J'étais surpris et déçu à la fois.
- Bonjour dis-je je suis la personne qui a dépanné votre femme ce matin
- Ah oui entrez, nous ne sommes pas mariés mais c'est tout comme.
Angèla arriva enfin. Nous nous saluâmes et je m'assis sur la canapé, Angèla à mes cotés.
Tous les deux me remercièrent encore chaleureusement pour l'aide que j'avais apporté.  La conversation dévia ensuite vers la belle jeune femme brune. J'appris qu'elle était une ancienne gymnaste de haut niveau reconvertie en visiteuse médicale et d'origine sicilienne. Son compagnon lui était directeur informatique. Leur appartement respirait le fric, meublé avec goût certes, mais un peu trop surchargé de bibelots et de gadgets en tous genres

Le début de soirée pointait son nez. Le petit rouquin qui s'appelait Laurent me servit généreusement du bourbon, "boisson d'hommes" me dit-il.  A l'apéritif rien de tel pour se mettre en forme. Angela de son coté m'invita à dîner avec eux. J'appréciais ce geste et j'acceptais bien volontiers.

Nous passâmes le reste de la soirée à discuter de moi, de mon job, tout en savourant les petits plats italiens préparés par Angela.
A table je faillis m'étrangler lorsque je sentis un pied aventureux remonter le long de mon mollet. Laurent était assis en face de moi. Je ne comprenais plus rien. Il me souriait. Je mis cette vision et cet attouchement sur le compte de la quantité d'alcool que nous avions bu. Angela assise à coté de son compagnon fit mine de ne rien remarquer. Le pied téméraire continuait sa progression le long de mon mollet. Bientôt je sentis un second pied entourer mon mollet et ma cheville. Là j'étais certain qu'Angela imitait Laurent. Les deux pieds débutèrent un semblant de masturbation de ma jambe.
Je ne savais plus que penser. Je jetais des regards interrogatifs à mes hôtes.
Le jeu de pied cessa d'un coup.
- Tu sais Balou Laurent et moi nous aimons les plaisirs de la vie. Nous on ne se prend pas la tête, nous laissons parler nos envies de l'instant.
Je m'interrogeais sur les propos d'Angela mais compris vite ses allusions.
- Dans ce cas nous sommes sur la même longueur d'ondes. Dis-je.
Je voyais Laurent rougir, ses yeux bleus me dévoraient littéralement.  Angela se rapprocha de moi et me susurra de sa voix rauque dans le creux de l'oreille :
- Laurent te trouve craquant, mais comme tu as remarqué il est très timide.

Mon cerveau était en ébullition. Le parfum suave d'Angela m'enivrait, je la désirais. Et elle me parlait de son compagnon, j'étais sidéré. Je n'avais jamais eu de relations avec des garçons.
Je regardais Laurent. L'alcool aidant certainement, je laissais mon regard se poser sur sa bouche aux lèvres pleines et roses, ses cheveux roux taillés en brosse, ses mains fines aux ongles bien coupés, sa peau blanche maculée de taches de rousseur, son petit nez à la Peter Pan. Ce garçon était petit et mince, il portait un jean qui moulait ses fesses rondes de jeune éphèbe.

- Laurent suce divinement bien. Me dit une voix à mon oreille.

Malgré moi je sentais une érection poindre entre mes cuisses. Angela la remarqua. Elle me pris la main en me guidant vers sa chambre. Je me levais dans un état second et la suivis. Elle me poussa sur la couche, se vautra sur moi et me donna un baiser fougueux. Je sentais sa langue s'enfoncer dans ma bouche comme un viol buccal. Je lui répondis à l'identique. Cela entraîna un déchaînement de râles et de caresses. Nous nous retrouvâmes tous les deux nus. Angela me dit :
- Laisse-toi faire, tu verras c'est bon
J'étais couché, Angela entre mes cuisses me prodiguait une fellation que je savourais. Je voyais sa crinière brune aller et venir sur ma hampe, ses lèvres me pompaient allégrement, sa langue jouait avec les veines bleues et le gland. Je frétillais d'aise. Soudain je vis Laurent nu dans l'encadrement de la porte, sa  petite verge blanche tendue dans sa main il se masturbait en nous admirant. Cette vision déclenchât un gémissement de ma part.
Je fermais les yeux lorsque je vis Laurent prendre la place de sa compagne. Mon Dieu une bouche masculine me suçait, j'étais paralysé mais en ayant l'impression que ma verge avait subitement doublée de volume.

Cette bouche aux lèvres roses me donna un plaisir inimaginable. Je savais maintenant que les garçons pouvaient prodiguer des caresses beaucoup plus intenses que les femmes. Je me laissais faire et j'admirais la dextérité de Laurent. Sa timidité avait disparu. Il me lançait des regards pleins de tendresse en plongeant ses yeux bleus dans les miens avec mon sexe dans sa bouche. Ses mains fines caressaient mes cuisses velues, sa langue rose et chaude titillait mon gland violacé. Je n'en pouvais plus. Je me redressais sur mes coudes pour caresser la nuque de Laurent et ses petits cheveux roux en brosse. Je gémissais, j'écoutais les bruits de succion et la respiration saccadée de mon petit poil de carotte. Il sentit que j'allais exploser et stoppa net toute caresse.

Angela s'était caressée toute seule devant le tableau que nous formions son compagnon et moi. Elle me dit :
- Viens mon Balou prends moi en levrette pendant que je pompe Laurent.
Je m'agenouillais derrière elle, je caressais le galbe majestueux de ses fesses couleur caramel, je voyais son abricot d'amour s'ouvrir pour accueillir ma hampe gorgée de désir. Laurent se rapprocha de sa compagne et se coucha face à elle cuisses écartées. Angela pris sa verge en bouche et débuta sa fellation.
Moi je m'enfonçais en elle, j'agrippais ses hanches et mon pistonnage commença. Laurent et moi nous nous regardions dans les yeux pendant que lui se faisait aspirer goulûment par sa compagne, alors que je la prenais en levrette.

Exquises sensations, plaisirs des yeux et des sens. La chambre résonnait de nos râles, de nos respirations, et des bruits de succion. Je voyais le visage de Laurent se crisper sous la caresse buccale. Nous avions envie de jouir tous les trois ensemble je le sentais.
Un cri, et Laurent éjacula dans la bouche d'Angela qui hurla à son tour alors que des jets de semence atterrissaient sur ses joues et son menton. Je me lâchais également en jouissant dans le ventre de cette brune incendiaire. Un tourbillon orgasmique nous emporta loin très loin sur le continent du plaisir.

Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 4 août 4 04 /08 /Août 00:00
FRANCE 3, samedi 22 h 45. «Désirs et sexualité», documentaire de Nils Tavernier.
c 'est un curieux documentaire qu'a réalisé Nils Tavernier. Passionnant, original, audacieux, mais faux. Pour reprendre la chronologie de cette aventure, il faut remonter à 2002 avec la publication d'une étude consacrée à la sexualité des Français (1). France 3 confie au réalisateur le soin de l'adapter en documentaire et celui-ci préfère engager des acteurs pour dire face à la caméra, au mot près, les témoignages que les enquêteurs ont recueillis. Il ne joue sur aucune ambiguïté et avertit dès les premières images des contraintes particulières de son film. Alors, des hommes et des femmes font semblant de témoigner, entre deux chorégraphies contemporaines. Les comédiens parlent de cul, avec plus ou moins de pudeur, tandis qu'en même temps ils livrent en marge de leur «texte» leur propre interprétation. Difficile, dès lors, d'adhérer totalement au propos qui impose une curieuse alternative : ne s'attacher qu'aux mots «authentiques» ou ne voir que les images «fausses». Selon le réalisateur, le dispositif évite toute tentation de surenchère exhibitionniste et libère la parole. Pas sûr qu'il y parvienne, mais il a le mérite de mettre en lumière une dimension plus subtile. Tout le monde «joue» face à une caméra qui tourne. Témoin ou acteur. Le film esquisse du coup une définition en creux de tout ce que la télévision produit autour de cette vérité qu'elle met en scène à longueur d'émission de télé-réalité ou de talk-show. Une sacrée bonne question.


Par GUIDE SERVICE 30 juillet 05 Liberation

(1) La Vie sexuelle en France, de Janine Mossuz-Lavau, éditions de La Martinière.
Par flo - Publié dans : La revue de presse
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 1 août 1 01 /08 /Août 00:00

Il fait nuit, nous sommes seuls. Dans cette maison au milieu de la colline. Il fait surtout très chaud. Une chaleur humide.

Elle a sa chemise de nuit bleue foncée, sa petite culotte, pas de soutien-gorge, on s’allonge côte à côte, je caresse sa cuisse, j’entre sous les draps , elle se glisse sous mes draps, tirant ma couette à elle, j’éteins la lumière, il fait nuit, et silence. J’embrasse ses cheveux ; la peau de son cou, je commence à caresser son dos par dessus sa chemise de nuit, puis par dessous. Mes mains prennent, JE prend ses deux petits seins durs et doux dans les paumes de mes mains, je caresse, d’abord sans appuyer trop fort, puis du bout des doigts, elle dis, «  tu peux appuyer plus fort » je serre, un peu, puis encore plus fort, elle ne dit rien, je commence à pétrir ses seins, elle me murmure «  ça me fait rien » puis elle rigole, je colle mon ventre contre le bas de son dos, je suis encore à moitié mou, le sexe à l’abri entre ses fesses et mon nombril. Je la pelote, je pétri ses seins, je pince les tétons, pose toute la petite sphère dans la paume de ma main, je malaxe, je tâte , je durci.  Elle se tourne vers moi ; moi j’ai mon short de pyjama très ample et je suis torse nu, mon sexe se tend, je ne fais plus rien pour le dissimuler, on commence les bisous, du bout des lèvres, sur le nez, le menton, le cou ;

Je mord son épaule elle me dit «  non ça va laisser des traces ». Toujours aussi pudique. Je mord son cou, elle dit la même chose mais je continue quand même, plus doucement , je l’enjambe, une cuisse de chaque côté des siennes, dans le noir, le sexe dressé, je me revois détachant son élastique dans ses cheveux pour voir ses mèches blondes tomber sur mon oreiller, je me revois glissant mes doigts sous sa chemise de nuit bleue , je retrouve l’odeur de sa bouche, le goût de sa peau !

 On se tourne et elle me fait face, elle s’asseoir sur moi, pesant de tout son poids sur mes cuisses et mon ventre, Je repense à elle sous mes draps se serrant contre moi, je me souviens de l’excitation qui montait du fond de moi quand elle s’allongeait sur mon corps, nous allumons la lumière, elle est assise à califourchon sur mes cuisses, je me revois son visage yeux fermés s’approcher du mien et ses deux lèvres tendres et humides se poser sur les miennes, elle lèche mes lèvres et tente son baiser orgasmique ; ( celui qui fait mourir les Hommes) deux , trois fois de suite, à chaque fois ça me scie et je la laisse faire, perdant toute initiative ; j’enlève sa chemise de nuit, elle est nue, sauf sa culotte, je la fais glisser le long de ses cuisses, elle écarte les jambes, je ramène sa petite culotte contre nos visages, elle rigole.  Mon short qui fini sur le sol, dans la lumière on se regarde, ses cheveux pendent devant son visage, elle ne fait rien, elle me regarde, ses mains sur mon lit, me faisant face, à califourchon sur moi :

Je ne fais rien , mon sexe est plaqué contre mon nombril, dressé. je vois son pubis, mes mains sur ses reins, elle s’allonge contre ma poitrine, en douceur, mon sexe prend sa place entre son ventre et le mien, elle embrasse hargneusement, ses cheveux se collent entre nos lèvres , elle remet son élastique, je la laisse faire, puis l’enlève à nouveau, ses cheveux blonds tombent en paquet sur mon front, elle commence à onduler du bassin, mon sexe est prisonnier contre son nombril, je n’ai plus peur, plus honte qu’elle sache que je suis en érection ; elle râle pour l’élastique ; elle le remet encore, je la laisse faire, puis elle m’embrasse et j’enlève à nouveau son élastique, le gardant dans ma main, elle tente de ma le reprendre, on se bat, on se serre l’un contre l’autre , elle embrasse encore mieux comme ça, je pose l’élastique sur mon ventre , elle le reprend mais je lui saisi, on rigole , elle m’offre son  baiser du tonnerre, elle sait que j’aime ça, je lui en redemande, elle refuse, elle refuse aussi de m’embrasser ailleurs que sur la bouche, je demande le front ou les joues ou les yeux, elle dit non, elle m’énerve ! elle m’énerve gentiment ; je le lui dis , elle demande sur une petite voix «  pourquoi ? » puis elle repose encore et encore la question « pourquoi ? » elle me rend dingue, je lèche ses lèvres et , toujours à califourchon sur moi, m’entraîne sur le côté, on roule, face à face sur le côté, et elle m’embrasse sur les yeux, un bisou claquant, sec ; puis elle recommence, plus tendrement, sur les paupières! je jette l’élastique dans la chambre, elle se débat et je commence la descente, elle se laisse faire, elle se calme, cesse de s’agiter ; je suis sur elle, je suis humide de liquide séminal, je macule son ventre de mon liquide transparent. j’embrasse son cou, ses seins, arrêt dans la vallée, j’explore de la langue, je mordille les tétons, son ventre, tout doucement, avec la langue ; j’arrive au nombril, elle commence à frissonner, elle n’aime pas qu’on touche son nombril, ça lui chatouille  , je pose le bout de la langue dans son nombril, en faisant des petits ronds ; la encore une fois j’ai peur de l’inconnu, je pose mes lèvres sur les poils de son sexe, j’appréhende ce passage, je sens une odeur forte, âcre, intime, je glisse les doigts profondément, elle serre les cuisses, j’embrasse la face interne de ses cuisses, humides de son liquide intime et je fais des bisous sur son sexe , juste sur les poils. Je n’entre pas la langue cette fois! C’est tiède. Humide.

je reviens  à son visage sans passer par le corps, puis je remonte encore, je pose mon sexe sur son ventre, puis plus haut entre ses seins. Elle me fait le baiser orgasmique et j’éjacule sur son ventre, sans prévenir, quelques jets de sperme éclaboussent son ventre, coulent dans son nombril et quelques gouttes se posent sur les poils noirs de son sexe, je continue de la caresser entre les cuisses et au bout de quelques instants elle me fait arrêter ; elle aussi à eu du plaisir ;nous avons du dormir emmêlés.

On se réveille très tôt le dimanche matin.

On recommence les bisous, très vite je redeviens dur , elle sent bon,  elle à l’odeur du matin, tiède et humaine, elle a le souffle du matin, une haleine particulière, je respire son souffle, je me colle à elle, on repense à la veille au soir.

Après quelques préliminaires qui suffisent à nous tendre de désir, je m’agenouille sur elle. Elle enlève une capote de son emballage. Je me rappelle dérouler le cercle de plastique sur mon sexe, elle attend, elle ne bouge pas. Enfin mon sexe est enveloppé. Mélanie pose ses mains, c’est différent de sentir ses mains directement sur ma peau,  la je me penche et je l’embrasse, puis je m’approche de l’entrée de ses cuisses ; j’ai eu peur, elle aussi, je sens que ça passe, puis que ça rentre, j’ai peur d’être entré entre ses cuisses sans trouver son sexe, je ressors et j’entre différemment, et là surprise, la pénétration aveugle de l’instant précèdent, se transforme en scène de sexe. Ca résiste cette fois, je sais qu’elle n’est pas vierge, elle a eu des rapports avec un autre, mais c’est différent d’avant ou j’avais juste glissé entre le haut de ses cuisses ; là elle cesse d’embrasser, un peu hagarde ; je continue, je suis excité, j’ai sa salive sur mes lèvres : enfin elle cède dans un petit souffle, je me sens différent, un peu serré mais  l’aise, et là je commence à onduler, elle me caresse le dos, je suis sur elle, ses cheveux détachés, ses yeux marron ouverts, silencieuse, on se serre, elle se tourne, je dois suivre le mouvement comme je suis en elle ; elle embrasse bien. Différemment, encore plus près de moi, nos dents s’entrechoquent pendant la retournée  nos langues se cherchent. Là, elle est sur moi. Ses cheveux tombent sur mes joues, elle prend les ondulations en main, elle s’affaisse, se laisse tomber sur moi, m’écrase. Elle est le maître, je la sens serrer ses cuisses, je pose mes mains sur ses petites fesses, je glisse un doigt entre ses fesses, doucement, puis un peu plus, la moitié de l’index, ça entre facilement: en entier entre ses fesses, c’est humide mais ça ne glisse pas. Elle ne dit rien, m’embrasse avec des petits coups de langue, je suis très proche, elle serre ses cuisses encore plus fort, serre, desserre et j’éjacule lentement avec une force de plaisir énorme, j’explose dans le préservatif, l’emplissant de mon sperme. je continue à bouger le bassin et la elle gémit et m’offre un baiser humide, très tendrement, j’ai envie d’arrêter j’ai eu mon orgasme mais elle murmure «  continue » dans un soupir. Alors je continue à la pénétrer doucement, et enfin elle se rend, je la sens se tendre, m’offrir encore un baiser divin et se décontracter, elle se tait… Silence. Humidité.

 Elvea ( elveaparadise@yahoo.fr / lalunabay@voila.fr )

Par elvea - Publié dans : Eros - essais érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 31 juillet 7 31 /07 /Juil 00:00
Un petit article qui pourrait finir dans une section pratique. Eh oui c'est les vacances et tous le monde se lâche. Hi hi, votre chère blogeuse aussi profite le l'été. Alors pour éviter les boulettes quelques lignes pour ne rien oublier et allez directement vers l'orgasme.

En quelques lignes la technique:
Le condom doit être mis en place quand le pénis est en érection, avant tout contact entre le pénis et le corps de votre partenaire. Ouvrez délicatement l'emballage individuel pour éviter d'endommager le condom.
Déroulez un peu le préservatif en le faisant tourner lentement entre le pouce et l’index, de manière à vérifier dans quel sens il doit être posé. Alors avec l'autre main, déroulez tout le préservatif sur le sexe en érection. Si ça ne marche pas, c'est que le préservatif est à l'envers. Jetez-le et prenez-en un nouveau.

Pincez l'extrémité du réservoir afin d'en chasser l'air (un excès d'air emprisonné dans le préservatif pouvant causer sa déchirure). Placez le préservatif sur le pénis en érection avant toute pénétration et déroulez-le en maintenant le réservoir. Serrez le bout du préservatif entre le pouce et l'index pour chasser l'air. En serrant toujours le bout du préservatif, utilisez l'autre main pour le dérouler le long du pénis.

Retirez-vous immédiatement après l'éjaculation en maintenant le préservatif à la base du pénis. Attendre de s'être complètement retiré avant d'enlever le préservatif. Eviter tout contact du pénis et du condom avec le corps du partenaire.

Jetez la capote usagée dans une poubelle (et non dans les toilettes), après l'avoir noué et enveloppé dans un papier. N'utilisez un préservatif qu'une seule fois, même à l'occasion de rapports successifs.
Comment enfiler une capote avant une pénétration
Superbe dessin de Bruce Morgan

Quelques trucs:

Les préservatifs sont généralement prélubrifiés mais vous pouvez compléter la lubrification au moyen d'un gel hydrosoluble. Les corps gras et la vaseline sont à proscrire : ils peuvent corrompre le préservatif ou le rendre poreux. Employez uniquement des gels appropriés disponibles en pharmacie.

Vérifiez également que le préservatif présente la norme NF ou CE, attestant de la conformité aux normes françaises ou européennes.
C'est l'été n'oubliez pas, il est déconseillé d'utiliser un préservatif ayant subi des écarts de température. Alors gare au stockage de la capote dans la boite à gants.

Pour plus de plaisir, vous pouvez mettre une goutte de gel sur le gland ou au fond de la capote avant de l'enfiler, ce qui permet un contact plus agréable avec le latex. Et si votre partenaire aime la sensation de fraîcheur, vous pouvez laisser la dosette ou le flacon dans un endroit frais et le sortir au dernier moment, ou au contraire vous pouvez réchauffer la dosette ou le tube entre vos mains avant de l'appliquer.
Par Aline - Publié dans : plaisir
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 30 juillet 6 30 /07 /Juil 00:00
Musée Léopold à Vienne en Autriche accueillait gratuitement ce vendredi les visiteurs se présentant nus ou en maillot de bain à une exposition présentant des oeuvres érotiques de Klimt et Schiele.

Une initiative pour le moins osée pour découvrir The Naked Truth («la vérité nue»), une exposition des oeuvres les plus crues des expressionnistes autrichiens du début du XXe siècle. Il y a un siecle les oeuvres de Gustav Klimt, Egon Schiele, Oskar Kokoschka et d'autres avaient choquées lorsqu'elles avaient été montrées pour la première fois.

«En cette saison, les gens ont tendance à préférer la plage aux musées parce qu'on peut s'y promener dénudé. Nous avons pensé que ce serait un moyen de les attirer, [...]L'ambiance est gaie. Les autres visiteurs sont amusés et personne n'est venu se plaindre" a déclaré la porte-parole du musée, Verena Dahlitz.

Belle initiative pour une fois les visiteurs ne pourront pas voler une toile sans passer inparçu, de plus rien de mieux pour se découvir.
Par Frank - Publié dans : La revue de presse
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 00:00
Dans la ligné deLe désir et la soumission, voici un extrait de Soumise de Salomé. Un livre fort sur le plaisir puissant et fort d'une femme aimant se soumettre à son homme. Bonne lecture.

S,

Il faut bien le dire, j’adore te soumettre. J’adore lorsque je te vois marcher à quatre pattes, abandonnant toute dignité. J’adore te traiter en soumise et que tu sois mon jouet, l’instrument de mon plaisir sur qui je vais assouvir tous mes désirs, même les plus secrets. J’adore te voir, te savoir chienne rampante à mes pieds, humiliée mais consentante et aimante. Et encore plus, demandeuse. Lorsque tu passes à ton cou ce collier de cuir si hautement symbolique, que tu poses sur tes seins ces bijoux, ces simples gestes m’envoient des frissons jusque dans le sexe. J’adore regarder ta chatte si lisse pour moi. J’adore voir ton joli cul se trémousser devant mes yeux, trembler sous les coups de fouet, de cravache ou de martinet. J’adore le voir rougir, porter mes marques. J’adore aussi t’appeler par ce qui te qualifie le mieux c’est-à-dire une très jolie salope prête à tout pour son Maître. C’est vrai que tu es une très belle et bonne salope dans le sens digne du terme. Et c’est un compliment. Quelle fille peut se targuer de ne vivre que pour le plaisir de son homme, mieux qu’une salope ? Quel homme ne serait pas flatté par une telle attention ? Bien fou celui qui refuserait un tel sacrement ! J’aime te savoir putain pour moi, j’aime ton vice, tes vices. J’aime à savoir que tu aimes baiser, me baiser, te faire baiser. J’aime à savoir qu’il suffit que je te le demande pour que tu m’offres instantanément ta bouche, ton sexe, ton cul. Je sais que je peux, quand j’en ai envie, te prendre et te baiser de la façon dont j’en ai envie.

Baiser, parlons-en justement. Lorsque je sens ta chatte s’humidifier sous mes doigts, quand je la sens s’écarter sous mes caresses, lorsque je sens ses lèvres se gorger de sang dans l’attente du coup de queue qui va la ravir, tout cela me fait bander pour toi. Je ne vis plus que dans l’attente de l’instant où je vais te baiser, où je vais prendre tes seins au creux de mes mains et les caresser, parfois rudement, parfois amoureusement. Quand les pointes de ceux-ci se dressent un peu plus que de coutume sous mes paumes, quand ma queue vibre contre ton ventre, toute tendue de désir pour toi, quand elle s’insère entre tes cuisses qui s’écartent pour la laisser passer, lorsque mon gland, si friand de toi retrouve le satin de ton antre, alors, à ces instants, je suis heureux. J’aime particulièrement te fouiller de mes doigts à ce moment-là, pour mieux ressentir encore la cyprine que tu distilles afin que je puisse mieux te posséder encore. J’aime t’écarteler de mes doigts inquisiteurs, pour m’enfoncer plus sauvagement encore dans ton sexe gourmand. Et bien sûr je ne dédaigne pas parfois le pénétrer d’un gode puissant qui va ravager ton intérieur, te remplir à outrance, t’écarter plus que de raison jusqu’à te faire perdre la tête. J’adore te voir remplie de ces instruments qui te perforent, te fouillent l’entrejambe de façon démesurée. Dans ces instants tu es putain, catin, tu n’es plus qu’un sexe gourmand, grand ouvert, attendant le plaisir, et cela me plaît. J’aime voir tes cuisses ouvertes lorsque tu es offerte, ruisselante de désir. Oui je raffole de ton corps, oui j’adore le posséder, le sentir vibrer sous mes coups de boutoir, oui j’adore te remplir, j’adore te baiser, te lécher, te caresser. J’adore ton attente du plaisir, j’adore te savoir courtisane, chienne en chaleur dans l’attente du mâle qui viendra profiter de toi, prendre son plaisir en toi.

Mais ne crois pas que ce long préambule va me faire oublier le côté pile de ta ravissante personne. J’adore aussi les deux hémisphères qui le composent. J’adore ces fesses tant de fois caressées et si gourmandes. Et l’œillet qui se cache en leur milieu. Comme j’aime le forcer pour en redécouvrir à chaque fois le doux étau. Comme j’aime ce petit crispement qui fait tressaillir ton dos à chaque fois que je m’insinue un peu brutalement dans ton cul. Et je glisse lentement au fond de toi, dégustant en connaisseur chaque millimètre que je conquiers à la force du pénis. Lorsque mon vit conquérant se trouve blotti dans sa tanière préférée, je me cale au plus profond et la chaleur de ton cul envahit mes couilles débordantes de sève pour toi. Alors je commence un lent va-et-vient qui va m’amener au plaisir et me faire jouir en toi. Et à ce moment-là, si tu savais le sentiment de puissance que je ressens. Comme j’aime te regarder et regarder mon sexe s’enfoncer lentement au creux de tes reins, écarter cet étroit passage. Comme j’aime me retirer lentement pour ressentir tes muscles frémir, pour mieux m’enfoncer encore dans tes entrailles.

Parlons aussi de ta bouche si chaude, de tes lèvres si délicates, de ta langue si experte. T’ai-je jamais dit que tu étais une excellente suceuse ? Lorsque ta tête se penche sur moi, dans l’instant qui précède ce délicieux plaisir que tu vas me prodiguer, mon imagination vagabonde. Je m’imagine guerrier barbare et toi esclave que je soumettrais à mes désirs les plus fous. J’aime quand tu me suces, mon amour. J’aime lorsque le plaisir jaillit de ma bite entre tes lèvres et que tu te repais de ma liqueur. J’aime jaillir au fond de ta gorge, violer ton palais et te nourrir de mon foutre. J’aime les caresses gourmandes de ta langue agile, ces caresses de tes mains qui effleurent ma verge, tes cheveux qui frôlent mon ventre.
La jeune esclave sera punie avec un chat a neuf queues
En ce qui concerne ta soumission, dois-je te dire combien j’en raffole ? Dois-je te préciser encore combien j’ai de plaisir à abattre sur tes reins les lanières du martinet ou la mèche du fouet ? Et combien j’aime marquer ton ventre ou martyriser tes seins ? Ta douleur me transcende et transcende mon amour. Ta souffrance te rend plus belle encore à mes yeux et chaque nouvelle zébrure est une offrande à notre amour. Chaque fois que je marque ton corps c’est à la fois un plaisir et une souffrance pour moi. Plaisir de te voir subir ce que je t’inflige, souffrance de ta douleur. Mais que veux-tu, j’adore ça et je ne crois pas que je pourrais m’en passer maintenant. À la simple idée que tu passes ta tenue de soumise, mon esprit s’enflamme, mon corps se réveille, mon sexe frémit. Alors oui, j’aime te frapper, j’aime te marquer, j’aime ta souffrance. Mais sans doute parce que je sais que tu aimes ces brûlures sur ta peau, que tu te sens femme-femelle dans ces instants. Et que tu te sais adorée, sublimée, magnifiée par ton Maître. Alors sois encore ma femme-femelle, sois encore l’objet de mon désir, sois encore celle qui subit avec amour et gratitude mes punitions. Sois encore plus salope pour moi, encore plus vicieuse, encore plus chienne. Dépasse tes derniers interdits, donne-toi intégralement à moi, à ma folie. Va au-devant de mes désirs, taraude mon esprit de tes perversions les plus intimes, mets le feu à mes sens. Ne crains rien, je te suivrai, te précéderai. Sois ma salope divinement soumise, ma soumise délicieusement salope. Suce-moi, baise-moi, branle-moi, donne-moi encore ta bouche, ton cul, ton sexe. Aspire-moi encore au plus profond de toi, par l’entrée qui te plaira... ou qui me plaira. Encore, encore, ENCORE.

Mastermind.
Par Aline - Publié dans : Eros - essais érotiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 00:00

Voici un groupe découvert par l'intermédiaire de charivari. Un groupe dont la musique est sincère loin des plans market des relations publiques. Il se dégage quelque chose de leur musique. Une authenticité qui force le respect. Catalogué trop vite world musique par certains, énorme erreur!!. Leur parcours démontre le contraire. Leurs poésies chantées appellent à l'éveil politique des consciences, et abordent les problèmes de l'exil, de la répression et des revendications politiques. On est loin de la musique formatée pour la FM. Voici quelques infos sur eux rassemblées au cours de mes lectures. Bonne lecture et bonne écoute.

Tinariwen naît en 1982 Les musiciens de Tinariwen sont tous originaires de l'Adrar des Ifoghas, réfugiés dans les années 1970 à Tamanghasset, en Algérie. Le groupe, du nom de Taghreft Tinariwen (qui signifie "l'édification des pays"), s'est tout d'abord produit dans cette période d'exil. Les musiciens du groupe sont des légendes vivantes de la musique contemporaine touareg.
Il va évoluer peu à peu vers une formation complète, et se fait accompagner par des choristes féminines pour mieux acheminer la musicalité du groupe, en la rattachant à celle des campements. Le groupe même si le son est moderne utilise trois types d'instrument. Des cordes, des guitares, acoustiques ou électriques, les percussions mais aussi le clap des mains et bien sur la voix.
Le groupe a toujours su faire face a l'adversité pour avancer. Ainsi leur premier album en 2002, "The Radio Tisdas Sessions", fur réalisé à l'énergie solaire dans les studios de la radio de Kidal.

La legende:
"L’image la plus saisissante devant contribuer à forger la légende de ce groupe, vraiment à part reste celle de Keddu Ag Hossad, partant à l’assaut du poste militaire malien de Menaka près de la frontière nigérienne, une kalachnikov à la main, une guitare électrique dans le dos. Cette offensive du 30 Juin 1990 sera l’amorce de la seconde rébellion touareg qui durera 3 ans et fera des milliers de victimes" écrivait Francis Dordor dans Biographie de Tinariwen.

Tinariwen Amassakoul  le groupe de de Kidal, capitale administrative de l'Adrar des Ifoghas a Bamako

La citation
Dans son introduction publiée dans le livret qui accompagne le CD de Tinariwen, Andy Morgan dit : "Les jeunes touaregs qui ont fuit la misère de leur pays pour trouver refuge ailleurs, choisirent la guitare électrique parce que sa puissance sonore portait leur message beaucoup plus loin et que ses plaintes parlaient avec éloquence de leur peine. Elle exprimait aussi leur frustration avec leur propre peuple qui languissait dans un sommeil sans âge tandis que le monde s’écroulait tout autour d’eux. Tinariwen, de Kidal, furent les premiers instigateurs de cette révolution de la guitare. Vingt ans après, leur message continue à s’amplifier ; on l’entend de plus en plus loin de leur désert natal."

La reconnaissance:
"...I still maintain that they are not only the best world music but the best rock and roll band in the world, full stop!" David Honnigman on Tinariwen, Financial Times Review, Feb 12th.

Plus de liens:
http://mali-music.com/Cat/CatT/Tinariwen.htm

Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 00:00

Imaginez un sexe au repos, tout mignon et tout propre, a vous de jouer.Frôler l'animal avec vos lèvres, c'est très sensible et la chaleur de votre souffle s'avére très excitante !

Placez la bête  en érection à l'intérieur de votre bouche mais ne serrez pas vos lèvres autour de lui. Avec votre tête commencez un mouvement de cercle. Le pénis glissera alors dans votre bouche en formant ce cercle. Évitez de frotter vos dents sur celui-ci. Une position à genoux suffira. Le cercle doit être exécuté dans le sens et inverse des aiguilles d'une montre, d'une façon constante, lente et délicate. Remontez vos lèvres le long du sexe Votre langue et vos lèvres continuent de s’activer autour du gland; c’est l’endroit le plus sensible du sexe.

Le mouvement peut être rapide ou lent, profond ou plus superficiel. Pour cela, l'idéal est de lui demander ce qu'il préfère. Certains mâles préfèrent la lenteur, et d'autres la vitesse cependant vous devez faire preuve d'inventivité et suivre votre inspiration du moment le plaisir viens de la découverte. Et le plaisir se partage à deux.

Ceci n'est pas une pipe mais une fellation

Une goutte d'histoire US:
Savez-vous que dans certains Etats très puritains des Etats-Unis, cette technique amoureuse est encore interdite et cela même entre époux consentants! Les contrevenants risquaient jusqu'en 1998 jusqu'à 20 ans de prison et 5000$ d'amende! Je vous rassure cela a bien changé. 
La majorité des jeunes américains sont aujourd'hui au courant de cet Oral Sex si bien décris par l'ex président Bill Clinton. Cette apologie évidente est entourée d'une publicité permanente britney spears ne  proclamait t'elle pas haut et fort "Je resterais vierge jusqu'à mon mariage!" tout en ayant la langue bien pendue ?

Par Florence - Publié dans : plaisir
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 20 juillet 3 20 /07 /Juil 00:00

Un livre sur la sexualité et la vie lors de l'antiquité:  Désir et contraintes en Grèce antique. A lire pour en découvrir plus sur les relations homme femme actuelles.

Le mythe d’une société où tous les désirs étaient acceptés, y compris, surtout, l’homosexualité — enfin, la pédérastie — traîne encore dans l’imaginaire occidental. Or, malgré les sempiternelles références à la civilisation mère de toutes les civilisation, les Grecs restent pour nous un mystère, ou plutôt un "monde exotique", comme l’aborde avec finesse John J. Winkler dans "Désir et contraintes en Grèce ancienne", publié en 1990 juste avant sa mort, et traduit cette année en France chez Epel.

Mort du sida en 1990, John J. Winkler fut moine bénédictin avant de s’engager dans les luttes féministe et gay, et de devenir enseignant et chercheur à Yale puis à Standford. Avec une grande érudition, s’appuyant sur des textes anciens — publiés en annexe — mais aussi sur les travaux de ses prédécesseurs (Foucault en tête), il effectue une analyse du discours des Anciens sur la sexualité, dans l’intention d’y déceler les traces de la réalité. Il parvient alors à distinguer les "figures" des genres, de l’hoplite (citoyen assez riche pour s’offrir un équipement de soldat, idéal de la virilité) au kinaidos (son contre-modèle qui pourtant n’a pas grand-chose à voir avec nos "folles").

Il dissèque et retourne avec subtilité le rôle des femmes, dont le statut était certes inférieur à celui de l’homme, mais qui savaient aussi trouver des stratégies pour se jouer des normes et trouver une certaine autonomie. Il met ainsi en évidence un ordre sexuel étroitement lié à un ordre social qui n’a rien à voir avec la "nature", et des contraintes puissantes auxquelles sont astreints dominants comme dominés. Il ne s’agit pas là d’un livre d’histoire mais d’un livre à partir d’histoires, qui en disent long, y compris sur nous.

tim madesclaire - John J. Winkler, " Désir et contraintes en Grèce antique ", Epel, 44 euros.

Petite news sans conséquence: Les riches ont plus de désir sexuel!  Selon une enquête britannique réalisée auprès de 500.000 sujets, les personnes les plus riches auraient davantage de pulsions sexuelles que les moins fortunés!

La chaîne britannique BBC 1 a entrepris ce sondage pour son émission intitulée 'Secrets de sexe'. L'enquête nous éclaire également sur les différences homme-femme en matière de sexualité. Elle révèle que les hommes croient plus au coup de foudre que les femmes et que 69% de ces dernières estiment que les sentiments vont de paire avec les rapports sexuels contre 47% des hommes.  Au cours des cinq prochaines années, les femmes espèrent avoir en moyenne deux amants tandis que les hommes 3,4... A méditer!

Par Juju - Publié dans : La revue de presse
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés