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Vendredi 16 septembre 5 16 /09 /Sep 00:00

Un instantané de la presse de la semaine. Où l'on redécouvre que l'orgasme est synonyme de liberté et la pornographie de contrainte.


Les hoquets du plaisir  

 

Comment l'Occident, à son corps défendant, a inventé, avec l'orgasme, la liberté sexuelle.

 

Par Jean-Baptiste MARONGIU

 

 

En ces temps qui sont les nôtres ­ où le droit à l'orgasme n'est dénié à personne (comme à l'inconscient, d'ailleurs) et où la recherche de la jouissance sexuelle (entre adultes consentants) est fortement encouragée telle une vertu publique Ñ on a du mal à imaginer que les choses ne sont ainsi que depuis les années 1960. Non pas évidemment qu'on ait inventé alors la copulation, outre la pilule et Cohn-Bendit, mais au sens où l'orgasme a commencé à devenir, à cette époque bénie, une fin en soi pour n'importe quel sexe, âge et condition, seul ou en compagnie. Dans l'Orgasme et l'Occident, Robert Muchembled en donne une démonstration, en ajoutant un chapitre original à l'histoire de la sexualité. Cependant, son «histoire du plaisir du XVIe siècle à nos jours» ne suit pas, contrairement à d'autres, un tracé linéaire de la marche de la modernité vers la libération du plaisir sexuel, mais explore un parcours contrasté d'une «civilisation» des moeurs faite d'ouvertures et de glaciations et même de longs retours en arrière débouchant finalement sur l'actuelle révolution de l'orgasme pour tous ­ que rien pourtant ne laissait présager au départ.

 

Une question posée à l'auteur du livre: Est-ce que vous pouvez nous en dire plus sur le rôle de la prostitution au 19e siècle, et comment s'est opéré ce glissement à ce sujet, d'une clientèle prolétaire d'origine rurale, à une clientèle composée majoritairement de la bourgeoisie?

 

C'est tout simplement l'invention des grosses villes. Cela a commencé au 18e siècle à Paris et à Londres, des villes qui faisaient à l'époque 600.000 habitants et un peu plus. Les filles de la campagne venaient y chercher du travail, elles devenaient aisément prostituées quand elle n'en trouvaient pas. Au 19e siècle, les mêmes villes ont explosé démographiquement, c'est la révolution industrielle, et elles ont développé des groupes sociaux bourgeois, beaucoup plus nombreux et aisés qu'auparavant à côté d'une masse prolétarisée. Donc la prostitution a pris deux chemins différents. Une prostitution de masse pour les prolétaires, de malheureuses filles vite usées et une prostitution de luxe pour les riches avec des bordels luxueux, des filles qui étaient des mondaines ou des semi-mondaines, qui étaient des ouvrières ou des filles de la bourgeoisie; cette deuxième prostitution est censée donner du plaisir aux hommes alors que leur épouse est frigide, pense-t-on, si bien qu'ils ont le droit tacitement de fréquenter cet univers de deuxième prostitution. C'est ce que l'on peut appeler le double standard: l'homme marié ou le jeune homme, bourgeois, vit avec son épouse pour le premier pour faire des enfants et fréquente les prostituées ou le bordel pour son plaisir. Mais la femme honnête n'a pas le droit à la même chose bien sûr et les médecins pensent même qu'elle ne s'intéresse pas au sexe. La prostitution de deuxième type est nécessaire dans l'état d'esprit des couches moyennes et des couches aisées pour compenser la frigidité de l'épouse et la banalité de la vie familiale.

La suite: a lire ici !

Deux adolescents sur trois ont vu des films pornographiques

 


Le Monde

 

Elle est loin, l'époque où les adolescents s'échangeaient des magazines érotiques et les cachaient sous leur matelas. Désormais, les jeunes visionnent des images ou des films pornographiques à la télévision, en vidéo ou sur Internet.

 

 

D'après une étude réalisée par l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), sous la direction de l'épidémiologiste Marie Choquet, 62 % des 14-18 ans ­ 80 % des garçons et 45 % des filles ­ ont regardé des images pornographiques durant les douze derniers mois. Le petit écran demeure la principale source de ces images, loin devant la vidéo et Internet.

 

C'est à la demande du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) que des questions sur la pornographie ont été introduites dans le volet français de la dernière enquête Espad (European School Survey Project on Alcohol and Other Drugs), menée au printemps 2003 par l'Inserm en partenariat avec l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) auprès d'un échantillon de quelque 10 000 élèves scolarisés de la quatrième à la terminale.

 


Cette étude ­ dont l'analyse des résultats a fait l'objet d'un rapport ­ permet, pour la première fois, d'appréhender la fréquence du visionnage d'images pornographiques par les adolescents et de cerner les caractéristiques sociales et personnelles des jeunes qui regardent ces images. Surtout, elle tente de cerner le poids de ces images comme facteurs de troubles ou d'adoption de conduites à risque.

Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 00:00
J'avais à peine 18 ans lors de notre rencontre. Lui était un ami et avait une trentaine d'années de plus que moi. Il s'appelait Jean.  Lors d'un séjour en camping, je me retrouvai à devoir partager une petite caravane avec Jean et donc le même lit. Nous n'avions le choix ni l'un ni l'autre et ce n'était que pour une nuit, puisque je devais repartir le lendemain. Alors je ne me suis pas posé de questions. Il me demanda s'il pouvait dormir en caleçon, je lui répondis que dans ce cas j'en ferais autant, car la chaleur était écrasante.

Nous étions allongés sur le dos, côte à côte et je commençai à m'endormir quand je sentis son bras se poser machinalement contre moi. Je ne réagis pas, puis sa main se tourna contre ma cuisse, la caressa en remontant et se posa dessus. M'étonnant moi-même, je n'eus aucune réaction et en fait, sentir sa main m'excitait bizarrement, mon érection monta brusquement. Jean continuait à avancer sa main sur mon sexe qu'il sentait durcir à chaque seconde et l'entra dans mon caleçon.

Dans un silence absolu, il me branlait. Il me demanda quand même en chuchotant si j'aimais ce qui se passait et je me contentai de gémir. Jean enleva alors mon caleçon et me branla de plus belle. Sentir sa main chaude sur mon sexe et mon plaisir qui montait me fit gémir de plus belle.

La couette bougea beaucoup et je sentis soudain le souffle de Jean sur mon ventre, puis sa bouche autour de mon sexe. Impossible alors de retenir un râle de plaisir, j'essayai de me contrôler mais c'était inutile, le plaisir monta en moi comme jamais, je ne savais plus où je j'étais ni qui j'étais, j'étais en apesanteur dans un univers de plaisir, je n'en pouvais plus, je ne gémis, plus, je couinai presque, j'avais honte de moi mais c'était si bon ! Une éjaculation violente me libéra alors de cet état second et je redescendis doucement sur terre. J'ouvris les yeux, je vis Jean fier de lui, il me caressait le ventre, me dit que j'étais beau et que je lui plaisais beaucoup.

Je me rendis compte qu'il avait avalé tout mon sperme, un peu surpris je mis ma tête contre sa poitrine lui disant que c'était une première pour moi et que j'avais adoré. Je caressai son ventre, descendant vers son caleçon qui m'attirait de plus en plus. A cet instant il était comme un maître de plaisir pour moi, je voulais absolument le remercier, j'aventurai donc une main vers son sexe...

Il était dur et bien proportionné, je fis rapidement glisser le caleçon pour voir ce sexe, cette queue. Je la caressai doucement, puis la pris dans ma main et commençai à la branler. Elle était belle, très belle, et surtout c'était celle de mon maître, donc source de plaisir. Je branlai de plus en plus fort. Poussé par Jean, j'approchai ma bouche de son gland gonflé, je lui donnai un coup de langue, puis un autre, encore un autre, j'adorai ça, j'attrapai le sexe à sa base et l'enfournai dans la bouche, Jean gémit en passant sa main dans mes cheveux, sa réaction m'excita encore plus, je pompai cette queue du mieux que je pus (pour une première fellation je fais mon maximum). Jean me tira carrément les cheveux en enfonçant son sexe au plus profond de ma gorge. Cette prise en main franche me soumit complètement à lui. Avant de jouir, il tira ma tête en arrière pour me prévenir, je laissai alors échapper sa queue qui me cracha au visage quatre giclées de sperme ...
Toujours en me tenant par les cheveux, Jean m'amena jusqu'à sa bouche et m'embrassa à pleine bouche.

« C'est très bien » me dit il, « Tu es très doué, j'aimerais pouvoir recommencer à l'occasion. Je pourrais continuer ton éducation en la matière si tu veux ... »

Cette proposition m'enchanta, c'était clair pour nous deux, il était le maître et moi l'élève.

Je devais repartir, mais l'idée d'une nouvelle nuit avec Jean me fit changer mes plans, il fut enchanté de ma décision et nous passâmes l'après-midi ensemble. Je le dévorais des yeux en permanence et attendais impatiemment que le soleil se couche.

Nous discutâmes autour d'un verre, Jean me fit part de ses désirs et de son attirance pour moi. L'alcool aidant, je lui confiai mon désir de recommencer et ma totale confiance en lui, j'avais soif de jouissances à partager avec lui et je serais un élève obéissant.

Nous allâmes enfin nous coucher (encore en caleçon), j'en avais rêvé tout l'après midi, il me prit dans ses bras, je sentis son souffle sur ma nuque, j'étais aux anges.

Jean me serra contre lui, je sentis sa queue en érection contre mes fesses, j'étais ravi de lui faire autant d'effet, je passai une main derrière moi et attrapai son sexe à travers son caleçon. Je commençai à le branler doucement, Jean descendit une main sur ma hanche, il s'attarda dans le creux de mes reins, m'embrassa dans le coup ... Sa main si douce passa sous mon caleçon, caressa mes fesses, un doigt passa sur mon anus, je continuai à le branler. Jean arrêta ma main et me dit de me laisser faire à présent. J'obéis tel l'élève discipliné que j'étais.

Mon caleçon était déjà au bas du lit, je sentis les deux mains puissantes de Jean me retourner littéralement et me mettre à quatre pattes.

Ses mains s'attardèrent sur mes fesses et mon anus, j'imaginai bien ce qui allait se passer et bien qu'un peu apeuré je m'offris complètement à elles. Une main se saisit de ma verge prête à exploser, la branla doucement puis descendit sur mes testicules et les caressa doucement. C'est à ce moment précis que la langue de Jean passa sur mon anus, je fondis instantanément, quelle sensation délicieuse ! Mon anus s'ouvrait doucement et je sentais cette langue forcer l'entrée autant que possible, que c'est bon !

Jean me signala qu'il fallait passer aux « choses sérieuses » tout en sortant une sorte de tube de crème, je gémis « oui » dans un souffle et sentis son doigt étaler une substance froide sur mon anus brûlant. Plus il étalait, plus son doigt entrait en moi, ça y était mon anus était ouvert et un doigt, puis deux, coulissèrent en moi. Jean mit sa tête entre mes cuisses et me lécha la queue et les bourses tout en continuant de travailler mon anus avec ses doigts et en se branlant. Quand il arrêta, il me prévint que si j'avais aimé ça, j'adorerais la suite. Je n'en pouvais plus d'attendre, je voulais le sentir en moi, me posséder entièrement. Il se mit à genoux derrière moi. « Je suis ton jouet sexuel, fais de moi ce que tu veux » pensais- je. Jean frappa mes fesses avec sa queue et posa son gland contre mon anus.

- Tu veux que je rentre, me demanda t-il ?

- Oui prends-moi, je suis tout à toi, défonce moi ! (Je me surprenais moi-même, mais je le voulais en moi)

- T'es une petite salope toi ! Tu veux que je t'encule ?

- Oui ! Oui ! Encule-moi, je t'en supplie !

Toutes ces grossièretés m'excitaient tellement, je ne me contrôlais plus depuis longtemps quand je sentis alors ce gland brûlant forcer le passage de mon rectum et entrer progressivement. Ce point de chaleur remontait tout doucement dans mes boyaux. Très lentement, Jean s'enfonçait en moi. La petite douleur, au début, fit place à un plaisir sans précédent. Ça y était, cette queue adorée était toute en moi, ses testicules touchaient les miens puis les tapaient au rythme des coups de boutoirs que me donnait Jean.

A présent, je criai mon plaisir.

- Oui, continue, c'est tellement bon! Lui dis-je entre des gémissements et des cris.

- J'adore ton petit cul, t'es tellement bandant!

Pendant qu'il me disait ça, Jean me branlait et je ne tardai pas à jouir abondamment sur son lit. Peu après, il se retira et couvrit mes fesses et mon dos de sperme.

Nous nous écroulâmes chacun de notre coté, épuisés par tant de plaisir.

Ayant repris mon souffle je m'approchai de Jean, mon anus se refermait quand je gobai son sexe afin de le nettoyer au mieux avec ma langue. Jean caressait mes cheveux en me disant qu'il aimerait bien éjaculer dans ma bouche la prochaine fois ...
Par Pholius - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 00:00

Retour sur un sujet qui m'intéresse et vous aussi j'espère. Les CD et le piratage;.

Voici les dernière infos: Le SNEP (Syndicat National de l'Edition Phonographique) a communiqué, le 5 septembre, les résultats de l'industrie du disque pour le premier semestre 2005.  Le nombre d'unités écoulées a augmenté de 5 % cependant chiffre d'affaires des ventes des disques à diminuer. Pour le détail, les ventes de disques ont baissé de 11,7 % en valeur et augmenté de 4,8 % en volume.

Et voila que les majors ne sont toujours pas heureuse!!  Voila qu'elles vendent plus de disques cependant moins cher. Le responsable de cette baisse du prix des CD est tout désigné : le téléchargement illégal sur les réseaux Peer to Peer. Mais comme toujours ce n'est pas vrai !!

En effet, si on achète un album au prix fort on le paye parfois plus de 20 euros, acheté sur le net on le paye plus souvent plus de 9,99 euros, alors que les vendeurs classiques eux  sont prêt à aller plus bas 6,99 euros, cf. promo d'été et autres.

Voila le loup sort du bois !! Voila que les ventes augmentent et que les arguments précédemment entendus ne sont plus  d'actualité. Quoi !! Où est la protection des artistes de la diversité musicale ? Maintenant que la musique circule, les artistes deviennent connus, les majors se plaignent de la rentabilité. Ah belle rentabilité dont  l'industrie du disque qui s'est enrichie avec l'avènement du disque compact, en doublant son prix par rapport au vinyle, dont le coût de fabrication était pourtant supérieur à profiter goulument.

Le SNEP est soit disant "[…] pris entre le marteau et l'enclume". Mais l'enclume,  ils l'ont crée eux même. La défense de la diversité musicale n'a jamais été une garantie de rentabilité à court terme. Vendre des milliers d'album sur une ou deux journées après un marketing bien soigné et un matraquage de plusieurs semaines sur les stations FM commerciales, c'était le bon temps.

Mais les consommateurs avertis eux ramait dur pour trouver de la musique originale. Et voila ce que l'on nous prépare. La FNAC par exemple parle d'une politique à trois niveau de prix : "Le catalogue (les disques de plus de deux ans) à moins de 10 euros, les artistes en développement autour de 12 euros et les artistes confirmés à 14,99 euros." Eh, les gars de la finance, j'espère que dans ce plan bien huilé, vous n'oublierez pas de lancer des artistes inconnus en France au lieux de toujours promouvoir les mêmes. 

Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Mercredi 7 septembre 3 07 /09 /Sep 00:00
Voici une découverte c'est juste de la pure musique. Je reste sur mes fondamentaux. Ces musiciens ne sortent pas de la StarAc. Ouf!! Je vous sens rassuré. Vous les avez peut être entendu ? Si ce n'est pas le cas je vous le promet vous allez les entendre. Bonne ecoute.

Issus du quebec, ces cinq musiciens à l’humour décapant se produisent un peu partout au Québec depuis 1997. Après avoir autoproduit une cassette démo, ils se payent un album complet en 1998, écoulé à un millier d’exemplaires sur les réseaux parallèles. S’étant d’abord fait connaître sur les ondes des radios étudiantes et communautaires, les Cowboys Fringants élargissent leur auditoire à chaque prestation.

Le cinquième albun des Cowboys fringants était particulièrement attendu. Réputé pour sa musique festive et ses propos satiriques, le groupe change de registre avec ce nouvel opus, La Grand-Messe. La maturité se manifeste ici à bien des égards, Le groupe est de plus en plus connu, plus établi et prend le pari de faire moins de dérision en durcissant le ton.  Loin de se limiter à un seul style musical le western, il n'hesite à métisser avec toutes sortes d'influences Ce cinquième  albun  est Plus sombre, moins parodique. Les propos de Jean-François Pauzé sont virulents: politique, mondialisation, l’avenir de notre planète. Musicalement, cette production est plus raffinée.
Adopté de façon presque inconditionnelle par les moins de 35 ans, on peut dire que le groupe est un véritable phénomène, d'autant plus que les honneurs ne semblent pas altérer leur franc-parler et leur inspiration.




Le groupe:
Jérôme Dupras: basse, contrebasse, guitare électrique, voix
Dominique Lebeau: batterie, percussions, ocarina, xylophone, cabasa, grelots, darbouka, tambourine, boîte à rythme, piano, guitare électrique, blocs, tambour basque, guiro, orgue, maracas, cloche à vache, gong, voix
Marie-Annick Lépine: violons, accordéons, violoncelles, mandoline, piano, synthétiseur, claviers, métallophone, flûtes traversières, percussions, banjo, flûte à bec, guitare, voix
Jean-François Pauzé: guitares, harmonica, boîte à rythme, voix
Karl Tremblay: chant




Discographie:
2004 La grand messe
2004 Centre Bell 30 décembre 2003 (DVD)
2003 Attache ta tuque!
2002 Break Syndical
2000 Motel Capri
1998 Sur mon canapé
1997 12 grandes chansons

Plus de sites : Incontournable et beau:
http://www.cowboysfringants.com

Plus de paroles:
Non à l'exploitation !
(NON !) À la domination !
(NON !) Non à l'exclusion !
Ce sont des mots qui existent encore...
Non au je m'en foutisme !
(NON !) Néo-libéralisme
(NON !) Non à l'impérialisme !
Ce sont les maux qui font qu'on s'endort...
En Attendant (Le Reel De Nos Gens) - La grand messe
Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Mercredi 7 septembre 3 07 /09 /Sep 00:00
I feel like I've been wanting you all my life
You don't understand
I'm so glad we're at the same place
At the same time, it's over now
I spotted you dancin'
You made all the girls stare
Those lips and your brown eyes (oooh)
And the sexy hair
I should shake my thang
Make the world want you (giggle)
Tell your boys you'll be back
I wanna see what you can do (uh)
Par Juju - Publié dans : plaisir
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Lundi 5 septembre 1 05 /09 /Sep 00:00
Bonsoir,

Un petit message de votre blogeuse préférée. Je suis heureuse de retrouver Charivari sur France inter le soir à partir de 18h pour les amateurs d'émission radiophonique sortant de l'ordinnaire. C'est juste super à écouter.
charivari

Pour le reste sachez qu'Overblog, à supprimé la catégorie "Pour adultes". Le risque est une suppression pure et simple des blogs de cette catégorie. J'avais choisi cette catégorie afin de ne jamais choquer.  Dans ses moments d'incertitudes j'espère que vous me soutiendrez, pour garder ce blog.

bises
Aline

Par Aline - Publié dans : plaisir
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Dimanche 4 septembre 7 04 /09 /Sep 00:00
Voici un nouveau texte ecrit pas Pholius un petit délice.

Nous allons passer des vacances aux sports d'hiver cette année ! Les réservations sont faites ; les skis, les combinaisons, tout est prêt, seul le trajet aurait pu être plus simple. Mes parents nous emmènent à mi-chemin environ, nous passons la nuit dans une veille maison de campagne familiale qui est vide depuis bientôt un an et on passe nous chercher le lendemain matin pour le reste du trajet.

Nous partons à trois avec ma cousine Pauline et ma sœur Carole. Nous avons tous entre vingt et vingt-cinq ans et nous nous entendons assez bien. J'aurais préféré skier avec une petite amie mais je n'en pas pour le moment et il me sera impossible de rencontrer quelqu'un sur place à cause des mes compagnons de voyage. Pauline et Carole pensent que je ne suis qu'un obsédé qui ne respecte pas les femmes et elles adorent me « casser la baraque » quand je flirte avec une fille. Ce n'est pas grave, ça m'amuse presque mais je ne cherche même plus à jouer les séducteurs quand elles sont dans les parages.

Ce sont d'ailleurs ces deux vipères, comme j'aime les appeler quand elles ne sont pas là, qui ont trouvé la voiture pour la fin du voyage. C'est Florian qui passera nous chercher, sa copine dort chez sa grand-mère dans un village non loin du nôtre, et il pourra donc nous déposer à la station de ski. La solution n'est pas trop mal mais je n'aime pas beaucoup Florian, voire pas du tout même. En fait je suis jaloux de lui car il sort avec la fille la plus jolie, gentille, rigolote que je connaisse : Emma, celle-là même qui va dormir à quelques kilomètres de nous.

Je reconnais être un peu amoureux d'elle, mais je n'ai jamais eu l'occasion de tenter ma chance parce que cet enfoiré de Florian sort avec elle depuis toujours. J'ai même appris qu'ils allaient se fiancer et ils vont faire ça à la montagne, pendant mes vacances, à côté de ma destination !

Nous arrivons à la maison dans l'après-midi pour avoir le temps de nous installer. Nous pensions trouver un minimum de confort, mais notre court séjour va ressembler à du camping. C'est l'hiver, la maison n'a pas été chauffée depuis longtemps et il n'y a que deux lits d'une personne au même étage que la cheminée. Ce n'est que pour une nuit, alors on prépare de quoi faire du feu et les filles dormiront ensemble, comme elles le faisaient parfois étant plus jeunes.

Je finis d'installer les lits et duvets quand on frappe à la porte. Carole va ouvrir et revient accompagnée d'Emma. Je reste figé un instant sous le choc : l'objet de mes phantasmes, la fille qu'il me faut, est juste devant moi, plus belle que jamais. Sa grand-mère a eu un petit malaise, rien de grave, mais elle est à l'hôpital et Emma ne peut pas avoir les clés.

- Emma, tu es la bienvenue, mais comment va-t-on faire pour dormir ? dis-je.

Regardant autour d'elle, Emma comprend la situation un peu précaire de notre couchage. Pour Pauline, la solution est simple, elle dort avec Emma et moi avec ma sœur.

- Tu ne vas pas dormir avec mon abruti de cousin de toute manière, dit Pauline

- Si j'ai pas le choix, ça ne me dérange pas plus que ça tu sais. Je suis sûre qu'il sera un gentleman.

- Bien sûr, je sais me tenir. Et si je peux choisir, je préfèrerais dormir avec toi, tu es plus petite que Carole, on se gênerait moins, dis-je.

Emma fait mine d'hésiter puis accepte en me faisant promettre d'être sage.

Je promets et me voilà forcé de dormir en copain avec la superbe Emma. Ne pas la toucher, ne pas caresser ses petits seins si adorables, ne pas l'embrasser, ne pas peloter son petit cul ferme... ça va être la nuit la plus dure de ma vie.

Il est déjà tard, nous ne tardons pas à nous mettre au lit. J'ai un jogging en guise de pyjama et Emma s'approche de mon lit en culotte avec une grande chemise par-dessus. Ses jambes sont superbes, galbées et fines.

- Je suis désolée, je n'ai pas prévu de pyjama, j'en ai un chez ma grand-mère d'habitude.

- C'est pas grave, je te préfère comme ça de toute façon...

- Petit coquin, va ! Attention, tu as promis d'être sage !

- Mais oui, ne t'inquiète pas.

Emma entre dans mon lit trop petit pour deux. Elle se serre contre moi et nous éteignons la lumière. Je la distingue mal dans l'obscurité mais je sens ses cheveux sur mon bras ainsi que son léger parfum. Pour avoir plus de place elle me tourne le dos et mon bras est par-dessus son épaule. Je la tiens presque dans mes bras, elle est tout contre moi, j'ai envie de la toucher, de l'embrasser... Je dois résister.

Je la sens bouger et plaquer ses fesses contre moi, elles sont juste sur mon sexe qui ne tarde pas à bander très dur. Emma ne peut pas n'avoir rien remarqué. Elle commence un léger va-et-vient avec sa croupe, je n'en peux plus. Emma se retourne doucement pour ne pas faire trop de bruit car nous sommes dans la même pièce que les deux vipères. Elle approche sa bouche de mon oreille, me chuchote de ne pas faire de bruit et dans le même temps sa main rejoint mon sexe. Elle me branle doucement à travers mon pantalon et me fait promettre de garder tout ça secret. Je suis aux anges.

Je déboutonne tout doucement sa chemise, le plus silencieusement possible. Ses seins sont déjà dans mes mains, ils sont doux et chauds, leur contact me fait frémir. Ma bouche est attirée irrémédiablement par ses mamelons qui durcissent rapidement sous les assauts de ma langue.

Emma baisse doucement mon pantalon jusqu'à mi-cuisses. Elle pelote mes fesses en se serrant davantage contre moi, mon sexe ainsi libéré et fièrement dressé est contre sa petite culotte. Elle est déjà toute mouillée, j'essaye de l'enlever mais ce n'est vraiment pas pratique dans notre situation. Emma m'arrête et le fait pour moi. Je passe le bout de mes doigts sur les quelques poils de sa vulve, ils sont doux et moites. Le souffle de ma belle s'accélère un peu, je m'approche alors pour l'embrasser.

Tout doucement je pose un baiser sur ses lèvres, puis un autre, encore un autre, je lèche à présent les lèvres douces et sucrées qui s'offrent à moi. Sa langue me répond et lèche la mienne. Elles se mélangent, se confondent presque, qu'est-ce qu'elle embrasse bien ! Je lèche son palais, ses dents, j'essaye d'aller le plus loin possible dans sa bouche quand je sens le sexe d'Emma tout contre le mien, elle titille mon gland avec ses poils tout en malaxant mes fesses. Ses deux mains sont maintenant au niveau de ma queue, l'une me branle et l'autre masse mes boules. Elle sait vraiment y faire, c'est exquis. Elle murmure :

- J'ai envie de te sucer, tu crois que je peux ?

- J'adorerais ça, mais on risque de réveiller les filles.

- Pas si tu ne gémis pas trop fort, tu crois que tu pourras ?

Emma marque une pause, elle m'embrasse, embrasse ma tempe et passe un coup de langue sur mon oreille.

- Allez, leçon de self-contrôle ! me dit-elle d'un ton ironique avant de s'enfoncer dans le sac de couchage.

Je ne sais pas comment elle y arrive, mais elle est pliée au fond du sac et sa bouche atteint enfin mon gland. Je suis plus qu'heureux, je plane complètement. Emma passe sa langue sur toute la longueur de ma queue puis enserre mon gland dans ses lèvres, le titille de sa langue et enfin avale ma queue en entier. Elle me procure un tel plaisir, je suis fou de cette fille ! Mon plaisir monte au fur et à mesure que ma bite est léchée, aspirée, suçotée, j'ai envie de hurler, j'ai le réflexe de mordre l'oreiller pour étouffer mes cris. Emma continue de me sucer en aspirant toujours plus fort. Je me retire de sa bouche d'un mouvement un peu brusque, je ne tiens plus et je ne crois pas que lui éjaculer en pleine figure sans prévenir soit la meilleure chose à faire. Ma bite se repose un peu, je reprends le contrôle quand Emma ressort la tête du duvet.

- Tu as vu comme je suis gentille avec toi ? À ton tour... je veux te sentir en moi.

Emma est en train de se branler tout doucement sur ma cuisse, je descends une main le long de son corps doux et voluptueux à souhait et arrive à sa petite chatte.

- Laisse-moi faire, lui dis-je.

Je glisse mes doigts contre sa fente déjà trempée, sans difficulté j'en glisse un puis deux à l'intérieur et l'excite comme ça quelques minutes. Elle dégouline sur ma main et mon poignet. Sur un ton presque implorant et s'accrochant fort à mon cou :

- Je ne tiens plus, viens en moi tout de suite, je t'en supplie !

Quelle joie de l'entendre prononcer ces mots ! Tout doucement, avec un maximum de précautions, je la fais passer sous moi, elle m'accueille entre ses cuisses et je la pénètre en appréciant chaque centimètre de ce chemin de plaisir. Ma queue est toute entière dans son ventre, je commence à la besogner dans le plus grand silence. Sa chatte est parfaite, assez étroite : elle serre ma queue à merveille. Emma souffle de plus en plus fort, elle est sur le point de gémir ; par réflexe, je plaque la main sur sa bouche en la limant de plus belle. Elle arrive à calmer son envie de crier, enlève ma main de sa bouche et me demande de ne pas jouir en elle car elle ne prend plus sa pilule. Elle prévient juste à temps, je me retire et éjacule à grosses giclées sur son petit ventre avant de m'écrouler sur elle.

Nous restons ainsi dans les bras l'un de l'autre avec cette sensation d'être dans une bulle de verre, coupés du monde, le temps n'existe plus. Enlacés, nous finissons par nous endormir, encore poisseux de mon sperme.

Je me réveille seul, Emma est déjà dans la salle de bain, lavée, habillée, prête à retrouver son copain Florian. Il ne devrait plus tarder à arriver pour nous emmener au ski et ensuite continuer vers le chalet de ses parents où il leur présentera Emma. La gentille petite Emma qu'il croit fidèle et pas trop portée sur le sexe. À cet instant je ne suis plus autant jaloux de lui qu'avant... je me demande bien pourquoi...
Par Pholius - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 3 septembre 6 03 /09 /Sep 00:00
Je vous est déjà parler longuement de ce film douches froides dans les articles suivants:

Douches Froides et Douches froides la suite

J'y reviens car j'ai trouvé une vidéo sur le site d'Arte qui donne la parole au réalisateur. Voir le reportage.
Pour ceux qui ne saurait pas de quoi je veux parler:  Douches froides est un film sur l'hédonisme adolescent, melant ménage à trois et  lutte des classes, thème que Cordier ,réalisateur prometteur, a à cœur de mettre en scène. Dans ce film Antony Cordier filme au plus près des corps et l'on ne s'en plaint pas. 
Douches froides Antony Cordier affiche du film

J'ai d'ailleurs ajouter quelques images dans l'album Oula.
 
Par sofiane - Publié dans : plaisir
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Mercredi 31 août 3 31 /08 /Août 00:00
Jeune rédactrice au sein du prestigieux magazine de photos « FRAME », Syd mène une vie paisible, confortable et rangée avec son ami James.
Un soir, elle fait la connaissance de sa voisine, Lucy Berliner, qui s’avère être une photographe talentueuse disparue de la scène en plein succès. Lucy vit ouvertement son homosexualité avec une actrice allemande et reçoit chez elle une bande bohème et junkie. Cette rencontre inattendue provoque un déclic qui va changer définitivement la vie professionnelle et personnelle de Syd… La jeune rédactrice tente de faire revivre chez la photographe le désir de création, tandis que cette dernière voudrait susciter chez l’autre la naissance d’un désir physique à son égard.
La relation entre les deux femmes évolue, passant du professionnalisme à l’intime, et quand Syd découvre la face sombre de la drôle de vie de Lucy, elle est obligée de confronter sa propre soif de reconnaissance et l’inconstance du regard des autres.


Cholodenko, Lisa : High Art
Et en plus voila les prix recus:
Quinzaine des Réalisateurs - Cannes
Grand Prix du Jury - Festival de Deauville

Plus de citations:
"Une relation trouble et ambiguë que la réalisatrice dépeint avec une indéniable sensualité." STUDIO
"Snob, lesbien et délicieux." ELLE
"Ce film a le courage d'assumer totalement la maturité sexuelle qui habite l'aventure contemporaine." LES INROCKUPTIBLES
Par Juju - Publié dans : Films and zik !!
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